Bonjour !

Lien du ou des sujets : Portes V - Tour II
Gains : un compagnon Fae qui a participé (en petite main) à la création du conte (elle a fait un buisson ou deux, a soumis une idée, a aidé à faire la liste pour choisir les personnes IRL incarnant les personnages etc).
Lien vers sa fiche : Fiche

Pindépine

Prénom : Pindépine;
Surnom : Pinpin, Pine;
Sexe : Féminin
Taille : Huit centimètres trois;
Âge apparent : Jeune
Ère de naissance : Ere des Prophéties
Race : Fae
Métier : X

Crédits ; Pauline Voß | Josefina Heit

Niveau : I (Niveau I à partir de 900 point)

Armes :  
- Une aiguille

Spécialités :
- Agilité : 5
- Force : 5
- Charisme : 5
- Intelligence : 5
- Magie : 5

Pouvoirs :
- Les Murmures de la Rose
- L'Éternel Secret
- Poussières Merveilleuses
- Invisibilité
- Traverser la matière

Gain de niveau 2
- X

Gain de niveau 3
- X

POUVOIRS
- X

ARMES
- X

ARTEFACTS
- X

~ Formes de magie
- La Magie de la Lumière
- La Magie d'Argent

~ Patrimoine et réputation
- X

Particularité : A participé à la création du conte de Lieugro. Vit à Basphel.

Histoire : « Alors, tu as lu le chapitre suivant ? » « Oui, j'ai même lu les trois suivants... Ne me regarde pas comme ça, je sais qu'on avait dit pas de triche mais j'ai pas pu m'en empêcher. Ce conte est vraiment addictif. » Pindépine était cachée sur l'une des étagères de la salle, entre deux livres. Elle écoutait les discussions des élèves du club de lecture. Leur réunion hebdomadaire était la réunion à ne pas rater, pour l'autrice. Elle ne manquait jamais une session, encore moins depuis qu'ils s'étaient mis à lire ensemble le conte auquel elle avait participé. Cela l'emplissait de joie, et de fierté aussi, il fallait le reconnaître.

La Fae aux ailes bleues n'avait qu'un rêve : devenir la plus grande autrice de tous les temps. Elle voulait que ses contes traversent les âges, les races, les continents. Elle souhaitait que ses histoires se transmettent de génération en génération. Elle était encore loin de son objectif, mais cette participation à un projet aussi colossal était le début de son succès, elle en était certaine. Bientôt, son nom se ferait connaître mondialement. Elle avait déjà choisi son nom de plume : Pindépine la coquine. Un petit clin d'œil aux livres qui l'avaient le plus marqué - les romans d'Adam Pendragon pour ne citer qu'eux. Mais avant d'obtenir cette renommée, l'écrivaine devrait fournir des efforts, travailler sur son style, améliorer la confection de ses décors. Pour cela, elle avait besoin de retours, et c'est pour cela que la fouineuse participait à chaque session. Ces minots étaient une véritable source d'information : ils lui faisaient un compte rendu détaillé des erreurs à ne pas commettre, des archétypes à ne pas manquer. Surtout, ils lui permettaient de donner une idée de ce qui était tendance à lire, ces derniers temps.

La brunette aux yeux clairs ne manquait pas d'idées. Elle en avait peut-être trop, si bien qu'elle avait tendance à se disperser, et à ne jamais terminer ses histoires : il y en avait bon nombre de commencées, et aucune n'avait reçu de chapitre final. Ce n'était pas de sa faute : les étudiants de Basphel étaient une inspiration infinie, pour elle. Les couloirs regorgeaient d'histoires, de drames et de rumeurs, tout ce qui plaisait à la conteuse. Souvent, elle se plaisait à les suivre. Parce qu'elle était curieuse, disait-elle aux fleurs. Parce qu'elle était une perverse, répondaient les plantes. Lorsqu'elle leur rétorquait, avec mauvaise foi, se contenter d'observer l'anatomie des grandes personnes dans un but éducatif, ses auditrices avaient tendances à détourner leurs corolles. Il n'était pas naturel pour les Faes de s'intéresser à ces choses de grande personne. A vrai dire, leurs relations physiques avaient quelque chose qui l'obsédaient. Non pas qu'elle eut envie de participer ou de répliquer l'acte - non, cela avait même quelque chose de dérangeant. Néanmoins, elle ne pouvait s'empêcher de se questionner à ce sujet, de vouloir comprendre ce qui obnubilait tant tout ces adolescents. Alors elle épiait, écoutait, prenait des notes. Elle savait, à force d'écoute attentive, classer par ordre qui était le meilleur pour embrasser et qui avait les plus jolies fesses - bien qu'elle ne comprit pas exactement comment on était supposé classer ce genre de choses.

« Et alors ? Ils sont biens ? » « Oui ! Enfin, le dernier que j'ai lu était nul. C'était du point de vue d'Irène et tu sais que j'ai grave du mal avec elle. Elle est trop frappa-dingue pour que j'arrive à m'immerger dans ce qu'elle raconte. » Pindépine gonfla les joues, furibonde et vexée comme un pou. Elle détestait que l'on dise du mal de l'héroïne qu'elle avait réussi à intégrer grâce à sa proposition. De toute manière, Joëlle n'était pas plus intelligente qu'une algue séchée. Mieux valait se concentrer sur les commentaires des autres, lorsqu'ils auraient rattrapé l'avance qu'elle avait pris.

Code:

<div id="wrapperSER"><br><div class="spoiler"><center><div id="titreSER">Pindépine</div>
<img src="https://zupimages.net/up/23/40/765p.jpg" class="imgSER"></center>
<div class="cadreHIS"><img src="https://zupimages.net/up/23/40/dpug.jpg" style="float:right;padding-left:5px;width:200px;" />[b]Prénom[/b] : Pindépine;
[b]Surnom[/b] : Pinpin, Pine;
[b]Sexe[/b] : Féminin
[b]Taille[/b] : Huit centimètres trois;
[b]Âge apparent[/b] : Jeune
[b]Ère de naissance[/b] : Ere des Prophéties
[b]Race[/b] : Fae
[b]Métier[/b] : X

[b]Crédits ;[/b] [url=https://www.artstation.com/artwork/WmQWNN]Pauline Voß[/url] | [url=https://www.artstation.com/artwork/Nxeo1N]Josefina Heit[/url]

[b]Niveau[/b] : I (Niveau I à partir de 900 point)

[b]Armes[/b] :  
- Une aiguille

[b]Spécialités[/b] :
- Agilité : 5
- Force : 5
- Charisme : 5
- Intelligence : 5
- Magie : 5

[b]Pouvoirs[/b] :
- Les Murmures de la Rose
- L'Éternel Secret
- Poussières Merveilleuses
- Invisibilité
- Traverser la matière

[b]Gain de niveau 2[/b]
- X

[b]Gain de niveau 3[/b]
- X

[b]POUVOIRS[/b]
- X

[b]ARMES[/b]
- X

[b]ARTEFACTS[/b]
- X

[b]~ Formes de magie[/b]
- La Magie de la Lumière
- La Magie d'Argent

[b]~ Patrimoine et réputation[/b]
- X

[b]Particularité[/b] : A participé à la création du conte de Lieugro. Vit à Basphel.

[b]Histoire [/b]: « [color=#cc66ff]Alors, tu as lu le chapitre suivant ?[/color] » « [color=#9966ff]Oui, j'ai même lu les trois suivants... Ne me regarde pas comme ça, je sais qu'on avait dit pas de triche mais j'ai pas pu m'en empêcher. Ce conte est vraiment addictif. [/color]» Pindépine était cachée sur l'une des étagères de la salle, entre deux livres. Elle écoutait les discussions des élèves du club de lecture. Leur réunion hebdomadaire était [i]la[/i] réunion à ne pas rater, pour l'autrice. Elle ne manquait jamais une session, encore moins depuis qu'ils s'étaient mis à lire ensemble le conte auquel elle avait participé. Cela l'emplissait de joie, et de fierté aussi, il fallait le reconnaître.

La Fae aux ailes bleues n'avait qu'un rêve : devenir la plus grande autrice de tous les temps. Elle voulait que ses contes traversent les âges, les races, les continents. Elle souhaitait que ses histoires se transmettent de génération en génération. Elle était encore loin de son objectif, mais cette participation à un projet aussi colossal était le début de son succès, elle en était certaine. Bientôt, son nom se ferait connaître mondialement. Elle avait déjà choisi son nom de plume : [i]Pindépine la coquine[/i]. Un petit clin d'œil aux livres qui l'avaient le plus marqué - les romans d'Adam Pendragon pour ne citer qu'eux. Mais avant d'obtenir cette renommée, l'écrivaine devrait fournir des efforts, travailler sur son style, améliorer la confection de ses décors. Pour cela, elle avait besoin de retours, et c'est pour cela que la fouineuse participait à chaque session. Ces minots étaient une véritable source d'information : ils lui faisaient un compte rendu détaillé des erreurs à ne pas commettre, des archétypes à ne pas manquer. Surtout, ils lui permettaient de donner une idée de ce qui était [i]tendance[/i] à lire, ces derniers temps.

La brunette aux yeux clairs ne manquait pas d'idées. Elle en avait peut-être trop, si bien qu'elle avait tendance à se disperser, et à ne jamais terminer ses histoires : il y en avait bon nombre de commencées, et aucune n'avait reçu de chapitre final. Ce n'était pas de sa faute : les étudiants de Basphel étaient une inspiration infinie, pour elle. Les couloirs regorgeaient d'histoires, de drames et de rumeurs, tout ce qui plaisait à la conteuse. Souvent, elle se plaisait à les suivre. Parce qu'elle était curieuse, disait-elle aux fleurs. Parce qu'elle était une perverse, répondaient les plantes. Lorsqu'elle leur rétorquait, avec mauvaise foi, se contenter d'observer l'anatomie des grandes personnes dans un but éducatif, ses auditrices avaient tendances à détourner leurs corolles. Il n'était pas naturel pour les Faes de s'intéresser à ces choses de grande personne. A vrai dire, leurs relations physiques avaient quelque chose qui l'obsédaient. Non pas qu'elle eut envie de participer ou de répliquer l'acte - non, cela avait même quelque chose de dérangeant. Néanmoins, elle ne pouvait s'empêcher de se questionner à ce sujet, de vouloir comprendre ce qui obnubilait tant tout ces adolescents. Alors elle épiait, écoutait, prenait des notes. Elle savait, à force d'écoute attentive, classer par ordre qui était le meilleur pour embrasser et qui avait les plus jolies fesses - bien qu'elle ne comprit pas exactement comment on était supposé classer ce genre de choses.

« [color=#cc66ff]Et alors ? Ils sont biens ? [/color]» « [color=#9966ff]Oui ! Enfin, le dernier que j'ai lu était nul. C'était du point de vue d'Irène et tu sais que j'ai grave du mal avec elle. Elle est trop frappa-dingue pour que j'arrive à m'immerger dans ce qu'elle raconte. [/color] » Pindépine gonfla les joues, furibonde et vexée comme un pou. Elle détestait que l'on dise du mal de l'héroïne qu'elle avait réussi à intégrer grâce à sa proposition. De toute manière, Joëlle n'était pas plus intelligente qu'une algue séchée. Mieux valait se concentrer sur les commentaires des autres, lorsqu'ils auraient rattrapé l'avance qu'elle avait pris.
<!-- NE PAS SUPPRIMER CETTE BALISE DIV A DROITE --></div>
</div></div>

Statut : Oky by Mancy. Bienvenue petite Fae J'espère l'avoir correctement mise dans la Fiche, vu que le lien n'était pas bon. Au besoin, n'hésite pas à me MP !

Merci d'avance.

Coucou ! J'utilise mon compa gratuit de compte !  

Dankána Arkta-Kahfrel

Nom : Arkta-Kahfrel
Prénom : Dankána
Surnom : Kána
Sexe : Féminin
Taille : 158cm
Âge apparent : Quatorze ans
Ère de naissance : Ère de la Conciliation
Race : Eversha
Type : Evergrim
Totem : Ours (Grizzli)
Métier : X

Niveau : I

Armes :  
- Un ceste (gantelet composé de sangles en cuir et surmonté de clous)
- Un couteau

Spécialités :
- Agilité : 5
- Force : 5
- Charisme : 5
- Intelligence : 5
- Magie : 5

Pouvoirs :
- Esprit du Totem
- Règne Animal
- Colère des Anciens
- Superforce
- Posséder une caractéristique animale

Gain de niveau 2
- X

Gain de niveau 3
- X

POUVOIRS
- X

ARMES
- X

ARTEFACTS
- X

~ Formes de magie
- Magie d'Argent
- Magie Primitive

~ Patrimoine et réputation
- X

Particularité : /

Histoire :
Le bruit, au-dehors, s’était fait clameur. Un assourdissant tumulte de cris d’hommes et de bêtes entremêlés, de rugissements et de hurlements de joie, d’applaudissements et d’entrechoquements de corps et de pieds sur le sol. Les autres enfants me bousculèrent en se ruant hors de la tente, sourds à mes protestations virulentes. Je pris leur suite en maugréant.
Un tel vacarme ne signifiait qu’une chose : Iael était enfin rentrée. Dehors, les membres de la meute étaient regroupés en une masse compacte et grouillante. Je sautillai pour tenter d’apercevoir la cible de leur attention. Un effort inutile car bientôt, la foule s’ouvrait en deux pour laisser passer une petite panthère noire, la tête haute et fière malgré le triste état de son pelage et l’entaille qui fendait une de ses oreilles en deux. Je serrai des dents. La jalousie me dévorait de l’intérieur. Iael n’avait que onze ans, soit trois ans de moins que moi, mais c’est elle qui viendrait grossir le rang des adultes aujourd’hui.

Une main s’abattit brutalement sur ma nuque, suivie d’une voix grave qui retentit dans mon oreille. « Alors, paidáki, c’est quand, ton tour ? Tu comptes pas nous faire une Brindille, hein ? » Je me dégageai de son étreinte d’une secousse brusque, l’air mauvais. « La ferme, sale cabot. C’est pour bientôt, je le sens. T’as pas intérêt à être sur mon chemin à ce moment-là. Et t’avises plus de prononcer ce nom-là devant moi. »
Abessa avait seize ans. Il n’avait accompli le Rite que l’an passé, mais chez les garçons, la puberté arrivait plus tard que chez les filles. Je tentai de lui planter mon coude dans les côtés, qu’il esquiva en riant. C’était un Loup et depuis que son Totem s’était éveillé, il était devenu plus grand et plus agile. Il m’avait même surpassé en force brute. Plus jeunes, je lui faisais presque toujours mordre la poussière lors de nos affrontements. Plus maintenant. « J’attends de voir ça avec impatience. » ricana-t-il avant de me planter là, parmi les mômes que l’excitation faisait s’agiter dans tous les sens.
Pour me défouler, j’en flanquai un qui me traînait dans les pattes au sol. Depuis l’ascension d’Abessa, j’étais la plus âgée du groupe. Je savais très bien que beaucoup me soupçonnaient de prendre la même voie que ma sœur, cette mauviette qui avait presque atteint la vingtaine sans jamais se transformer et qui avait fini par disparaître dans la nature. Bon débarras.

Aucune chance que je partage le même destin.

J’étais le portrait craché de ma mère à mon âge, c’est ce que tout le monde me répétait, avec envie ou sarcasme ; la même peau cuivrée, le poil sombre, épais, les mêmes yeux ambrés et féroces, les épaules et la mâchoire carrée. Aucun membre de ma fratrie ne lui avait jamais tant ressemblé.
C’est pour ça que je ne doutais pas, malgré les railleries et les suspicions des autres, que j’avais hérité de son Animal Totem.
En attendant mon propre retour victorieux de l’Ashara Kora, je forçais le respect avec mes poings et une hargne que j’avais développée très jeune ;  j’étais née en hurlant à plein poumons et je n’avais pas cessé depuis, comme si déjà à l’époque je savais qu’il faudrait que je me batte plus que tous les autres pour prouver ma valeur, laver par le feu de ma rage l’opprobre jetée par celle qui était venue avant moi.
Chaque chamaillerie d’enfant, messe basse et regard de travers étaient prétextes à ce que j’aiguise mes griffes et ma langue et renforce ma carapace. Parfois, ça me gonflait ; une part de moi avait envie de laisser tomber cette façade, éreintante à entretenir, et à me laisser aller à la légèreté de l’enfance comme les autres, mais je savais que c’était à elle que je devais ma survie. Alors je m’échinais à être une élève assidue et une rivale revêche, m’entraînant plus dur et plus longtemps que les autres et m’assurant que personne ne ressortait d’une échauffourée avec moi sans un ou deux hématomes.

Lorsqu’Iael passa près de moi, je dus me faire violence pour m’empêcher d’abattre mon pied sur la longue queue qui venait de me frôler les mollets et crachai bruyamment par terre.
Bientôt, ce serait mon tour. Et tous regretteront.

Lien vers sa fiche : Orenha

Statut : Oky by Mancy. N'oubliez pas le code pour la prochaine fois, merci !

Merci  

Bonsoir

Non, ce n'est pas un nouveau compagnon (pas encore héhé) mais juste une mise à jour de fiche (j'en profite pour laisser derrière moi la dernière fiche nyan nyan qu'il me restait...).
Pour résumer ce que j'ai modifié, j'ai modifié son âge apparent, j'ai enlevé quelques pouvoirs que je savais que je ne jouerais pas, j'ai réorganisé ceux qui restent, j'ai modifié le fait qu'elle ait été adoptée par les Dæloran car je n'ai finalement jamais joué ça et je préfère qu'elle soit née directement dans cette lignée, comme je l'ai déjà joué dans quelques rps. J'ai également supprimé les blocs de description physique, psychique, et histoire pour ne garder qu'un bloc roleplay qui montre mieux son caractère actuel comparativement à l'ancienne fiche où c'était entièrement obsolète o/

S'il y a le moindre souci, vous savez où venir me taper sur les doigts !

Susannah Dæloran

Nom : Dæloran
Prénom : Susannah
Surnom : Arrêtez de l'appeler Suzette, Suzie, Sucette ou elle va vous mettre la tête dans les toilettes
Titres : Reine de Malyë, Élue des Portes
Sexe : Féminin
Taille : 152 cm adolescente, 157 cm adulte
Âge apparent : Environ 17 ans
Ère de naissance : Ère de la Conciliation
Race : Ondine
Spécialités :
- Agilité : 12
- Force : 19
- Charisme : 21
- Intelligence : 18
- Magie : 13
Métier : X
Activité : Étudiante à Basphel (Obsidienne), voler les goûters des autres élèves, grignoter, mater les garçons, faire preuve de mauvaise foi, détester les Gælyan, faire semblant de détester Læn.
Armes :
- Ses poignées d'amour
- Son égo
Particularité : Elle est issue de la Précieuse Lignée des Dæloran. Victime de sa gourmandise, elle possède un physique enrobé et n'en tire aucun complexe.

Pouvoirs et gains

Pouvoirs de base :
- Les Cheveux de Medusæ
- Le Chant des Sirènes
- L'Esprit de l'Eau
- Prendre possession d'autrui
- Télékinésie

Gain de niveau II :
- X

Pouvoirs :
- Neru : Un lien particulier lie votre personnage à Stanislav Dementiæ. Il s'agit d'un lien d'amour, de respect et de domination consenti au moment du rêve. Vos deux personnages deviennent capables de communiquer par la pensée et de faire preuve d'empathie l'un envers l'autre. L'Aisuru possède néanmoins une caractéristique de domination sur son Orine. Lorsqu'il exige quelque chose, cela crée chez l'autre le besoin d'obéir ou de l'aider au mieux. L'Aisuru sera inspiré en présence de son Orine. Il se peut également qu'il ou elle développe une attirance physique pour l'Orine et trouve excitant de l'imaginer attachée par ses soins.- Désir : En présence de Læn, votre personnage ressent un désir immédiat, celui-ci étant réciproque. Cela dit, la magie de Désir peut être augmentée volontairement par une action du personnage (s'étirer) qui éveillera d'autant plus les sens de l'autre, rendant réellement difficilement tenable la situation.
- Le partage de la chair, le partage des secrets (Seiji & Lana) : Pratiquer Fëry ensemble a lié vos personnages l'un à l'autre. Chez chacun d'eux, un arbre magique divin va commencer à pousser, une forme d'olivier doré. Si ce dernier donne des olives de la même couleur, celles-ci ne sont pas ordinaires. En effet, en manger une permet de prendre connaissance d'un secret appartenant à l'autre. Au fur et à mesure de la croissance des arbres, le désir qui lie les protagonistes deviendra de plus en plus grand et les olives deviendront de plus en plus abondantes. De plus, en de très rares occasions, la magie de l'olivier transformera les liés en femmes pour un temps plus ou moins long.
- Fantasme (Adriæn) : Votre personnage devient l'un des plus grand fantasme de son partenaire d'Orgie (et vice versa), au point d'y penser souvent mais rarement dans une configuration en duo. Lorsque les partenaires d'Edel Orgía Nisqa sont ensemble, il arrive que les pensées de l'entourage dérivent vers la possibilité d'un plan à plusieurs et que les esprits et les corps s'émoustillent. Les deux partenaires sont également irrémédiablement attirés l'un par l'autre lorsqu'ils se croisent, ce qui s'illustre physiquement de façon systématique. Ils rêvent également souvent d'orgies dans lesquelles ils sont impliqués tous les deux. Lorsque ça se produit, et si l'un des partenaires est une femme, il y a un risque de grossesse dans la réalité.
- Le mariage amoureux (Læn) : Si votre personnage côtoie son partenaire de rêve dans la réalité, il va commencer à éprouver un réel attachement pour ce dernier, un attachement qui glissera rapidement vers de l'amour véritable. Néanmoins, l'idée du mariage, elle, va commencer très tôt à s'immiscer dans son esprit. Il se posera beaucoup de questions et finira par considérer l'autre comme le partenaire de vie idéal. Lorsqu'ils sont ensemble, le sujet du mariage revient régulièrement dans leur entourage.
- Vision de l'autre (Læn) : Lorsqu'il ferme les yeux, votre personnage peut visualiser l'autre comme s'il se trouvait en hauteur (par exemple, au plafond d'une pièce). Il se peut que le pouvoir devienne un peu handicapant, notamment avant de s'endormir puisqu'il peut agir à sa guise et, de ce fait, votre personnage peut ne pas très bien le contrôler, condamné à regarder l'autre au moment de dormir. Si les deux individus utilisent le pouvoir en même temps, ils s'endorment et se retrouvent sur Somnium par une étrange magie, dans une petite habitation qui, visiblement, est à eux.
- Cavalier/Cavalière : Ce pouvoir permet à votre personnage de demander à Stanislav de l'accompagner partout, afin qu'il ne soit jamais seul. Ce dernier aura envie d'accepter et acceptera le plus souvent, poussé par une étrange volonté.
- Superforce
- Bouh ! : Lorsque Susannah a peur, en fonction de sa magie, cela provoque chez ceux autour d'elle une envie irrépressible de la rassurer.
- Embrasse-moi : Il s'agit d'un pouvoir qui rend les lèvres de votre personnage très attirantes, si bien que ses interlocuteurs ressentent l'envie de l'embrasser.
- Zébartiii ! : À chaque fois que Susannah pratiquera une activité sportive, elle en ressortira de meilleure humeur et aura un regain de motivation. Si dans le cadre de compétitions sportives, elle en ressort gagnante, elle sera auréolée d'un halo lumineux et inspirera l'admiration autour d'elle. À l'inverse, si elle perd, elle obtiendra une éruption de boutons et inspirera les moqueries autour d'elle.
- Sentiments partagés : Les sentiments de Zébella ont tendance à se mélanger à ceux que votre personnage ressent dans la réalité pour les individus ayant incarné les autres personnages du conte.
- Pluie de sang : Permet de changer l'eau de la pluie en sang
- Création de fruits confits
- Création de sable
- Création d'eau
- Création de gemme de couleur orange : Il s'agit d'un pouvoir qui permet à votre personnage de créer des gemmes similaires à celles qui sont apparues lors de l'Ère des Prophètes mais en plus petit. Lutte contre les infections.
- Bourrasque : Votre personnage peut créer une bourrasque plus ou moins forte en fonction de sa magie.
- Viens dormir à la maison : Lorsque votre personnage propose à un autre de dormir chez lui, ce dernier a du mal à refuser l'invitation, même s'il n'en a pas envie. Si c'est un personnage du conte, il ne peut pas la refuser.
- Reliure magique : Lorsque votre personnage prend des notes, écrit des lettres, dessine ou toute autre activité dans cet esprit, il peut ensuite relier le tout dans un livre aux pages infinies. Le livre ne sera pas plus gros au fur et à mesure de l'ajout de contenu mais par un procédé magique, les pages se tourneront jusqu'à la fin. De plus, tous les supports n'étant pas au bon format seront automatiquement redimensionnés. Enfin, le personnage pourra donner accès aux livres de la reliure magique à tous les personnages du conte.
- Ça sent le roussi : Votre personnage est capable de créer de la fumée qui propagera une odeur de brûlé et donnera l'impression qu'un incendie s'est déclaré quelque part.

Armes :
- Un poignard entièrement bleu. C'est une arme étrange, d'une matière inconnue mais qui semble magique. Même en l'absence de magie - donc chez les Humains - l'effet étrange de texture perdure.
- L'épée de Malyë, qui implique que Susannah est considérée comme la protectrice de l'île.

Artefacts :
- Un pendentif ayant la forme d'un bâton, qui devient une arme réelle pour vous en servir en cas de problème
- Bonbon mauve : C'est un bonbon en forme de cœur. Celui qui l'avale attire automatiquement les araignées ou les serpents, en fonction de ce que l'utilisateur aura déterminé. Plus il en mangera, plus les espèces les plus grosses et dangereuses le rejoindront, le prenant pour cible et mettant ainsi en danger sa vie.
- La résille argentée : Il s'agit d'une fine chaîne en mailles d'argent. Lorsque son détenteur l'installe sur une porte, la pièce où il se trouve devient impénétrable et il est impossible pour une personne de l'extérieur de forcer l'entrée ou d'entendre ce qu'il s'y passe.
- Dessine-moi un mouton : C'est une plume magique permettant de matérialiser l'objet dessiné ou de donner vie à l'être dessiné (humain ou animal). C'est un artefact limité à votre magie de deux façons : l'invocation restera pour un temps équivalent à autant de minutes que vous avez en magie, et la taille dépendra également de votre magie (si vous dessinez un dragon mais que vous avez 5 en magie, le dragon aura la taille de votre doigt, ce sera mignon, mais c'est tout). Bien entendu, ça dépend également de votre talent artistique.
- Potins et rumeurs sur Adam : Les Faes détiennent un livre par individu dans lequel elles répertorient absolument tous les dires publics (potins, rumeurs, histoires, contes etc) des Terres de Sympan sur ce dernier, avec la position des personnes les ayant colportées. Plus l'individu est connu, plus le livre est gros. Une Fae a décidé de copier le livre dont elle s'occupe à destination de votre personnage. Il se mettra à jour automatiquement et comprendra toutes les théories possibles et imaginables qui parcourent la plèbe au sujet de ce dernier. Bien entendu, ledit livre regorge d'informations qui peuvent s'avérer utiles, comme la position de l'individu qui éveille bien plus de rumeurs s'il se trouve à tel ou tel endroit que s'il ne s'y trouve pas.
- Un ruban (ruban violet à cœurs bleus) : Ce ruban permet à votre personnage de se téléporter près de Læn à n'importe quel moment en fonction de sa magie et de savoir s'il est réveillé ou en train de dormir. Ce ruban permet à votre personnage d'utiliser son propre corps pour faire ressentir des choses à l'autre.
- Les Furies : Quand Susannah claque entre eux les talons des Furies, les bottes lui donnent temporairement un surplus de force et d'agilité qui lui permettent d'exécuter des mouvements surhumains. Malheureusement, son fabricant a oublié d'ajouter un sort pour prévenir des courbatures derrière.
- La seringue du Fessetival : C'est une seringue contenant un liquide qui se régénère en fonction de la magie du possesseur. Se l'injecter ou l'injecter à quelqu'un rend heureux et désinhibe. Les effets sont dépendants de la force et de la magie des personnages.
- La toge d'Ivanhoë : Il s'agit d'une toge de bonne facture. Elle permet à votre personnage, en l'enfilant, soit de changer de sexe, soit de gommer son identité aux yeux d'autrui pendant un temps dépendant de sa magie.
- Le dé de Primaël : Avoir le dé de Primaël sur soi confère une chance insolente à son porteur, en fonction de la magie de la personne qui le possède.
- Le poison de la Foi : Il s'agit d'une petite fiole contenant un liquide. Il est inoffensif la plupart du temps. Seules les intentions de son propriétaire le transforment en poison. Pour cela, il doit agir pour ses convictions profondes ou pour la gloire des Ætheri, sans aucune hésitation.
- Scène de conte (Narfas) : Il s'agit d'un tableau, livré à votre personnage, représentant Zébella coupant ses cheveux. Du fait de la popularité du conte qui ne cesse de grandir, le tableau vaut une petite fortune. Il s'agit en réalité d'un passage vers un endroit ressemblant à Narfas. Chacun des protagonistes ayant joué dans le conte peut le traverser pour s'y retrouver. L'endroit est désert et ne peut être parcouru que par d'autres possesseurs de ces tableaux, ce qui en fait un endroit privilégié pour les rencontres secrètes.
- Nécessaire à pique-nique : Il s'agit d'un joli petit panier en osier contenant le nécessaire à pique-nique (vaisselle et nourriture) et qui apparaît devant votre personnage lorsqu'il a besoin de faire une petite pause. S'il prend la anse du panier dans sa main, le panier le téléportera, avec son entourage, quelque part dans les Terres d'Emeraude. Le voyage de retour n'est pas compris.
- Le masque des secrets : Il s'agit d'un masque qui brouille l'identité de votre personnage quand il le porte.
- La Clef magique : Il s'agit d'une clef qui peut entrer dans toutes les serrures. Elle ne sert pas à ouvrir les portes de base mais plutôt à les fermer. Quand on tourne la clef dans une serrure, la pièce dans laquelle la personne se trouve devient protégée magiquement des intrusions extérieures. Il suffit de la tourner dans l'autre sens pour que le sort cesse de fonctionner.
- Le miroir maudit : Il s'agit d'un miroir qui semble tout à fait banal à première vue. Néanmoins, de temps en temps dans son reflet apparaissent des scènes horribles, provenant du conte ou non. Si celui qui les regarde reste trop longtemps devant, le miroir l'aspire et il se retrouve au beau milieu de la scène. La seule façon de s'en échapper est de crier trois fois le nom d'un des personnages les plus mauvais du conte ou qu'une autre personne regarde à son tour dans le miroir (la notice est marquée derrière le miroir).

Formes de magie :
- La Magie des Ténèbres
- La Magie des Abîmes

Patrimoine et réputation :
- La propriété de l'île de Malyë
- Symbole de présence : Il s'agit d'un symbole lié à votre personnage qui le précède, lui succède ou se trouve en même temps que lui quelque part : une odeur de biscuit.
- Un poney fell du nom de Crasse.

Sphère raciale Magicienne - Niveau I :
Pouvoirs de race :
- Umbra in Lucem | Praesidium
- La Valse Créatrice
- La Magie des Pentacles

Formes de magie :
- Magie Bleue
- Magie de la Lumière

Role-play

Plantée devant le buffet à desserts, Susannah s'humecta les lèvres avant de les mordiller. Par gain de temps, elle avait enfilé en avance sa tenue pour le Puffball. À l'aide d'un crayon, elle avait remonté quelques mèches gênantes en chignon fou sur le haut de sa tête. Plus coquette en dehors des pratiques sportives, il n'était pas rare de voir ses cheveux océan parés de perles de nacre ou des pinces ouvragées provenant directement des joailliers de Port Dirælla et des cités-bulle sous les mers.

Une main anonyme se hasarda dangereusement en direction du dernier éclair au chocolat. Aussitôt, la Sirène referma ses doigts sur le poignet de l'audacieuse. Ses yeux couleur de pluie se plantèrent dans ceux de la voleuse. « J'allais le prendre. » objecta-t-elle d'un ton sec. Voyant la blonde ouvrir la bouche pour protester, elle accentua la force dans ses doigts, allant jusqu'à planter ses ongles dans la manche de son uniforme et fut récompensée par la grimace de douleur qui déforma son visage. « J'ai dit que j'allais le prendre. » articula-t-elle lentement, comme si elle s'adressait à une demeurée, ce qu'elle pensait d'ailleurs sincèrement. Autiste n'était qu'un synonyme pour ces culs-terreux. Disgracieux et peu dégourdis, ils ne lui inspiraient que dégoût pour la majorité. respirer le même air lui coûtait beaucoup.

Une fois débarrassée de la gêneuse, la pâtisserie trônant victorieusement sur son plateau, l'Ondine laissa errer son regard pensivement sur les autres desserts. Il lui arrivait d'en empiler jusqu'à trois les jours où sa mauvaise humeur tutoyait les sommets. Seulement, la semaine passée, l'entraîneur avait fait faire passer aux joueurs toute une batterie de tests pour leur santé et leur forme en général. Il l'avait ensuite prise à part dans son bureau et lui avait présenté ses résultats. Sans y mettre les formes, il lui avait recommandé de but en blanc de diminuer considérablement sa consommation de sucre si elle ne voulait pas être reléguée sur le banc de touche à ce rythme. Elle avait quitté la pièce en claquant la porte, sifflant des insultes entre ses dents serrées. Le jour où elle laisserait un bipède, et un mâle de surcroît, lui dicter quoi faire n'était pas encore venu. Toutefois, le doute l'envahissait comme du poison désormais que les tentations décuplaient leurs arômes sous son nez. Elle visait le poste de capitaine de son équipe, et peut-être que cela valait quelques sacrifices. Elle ne le ferait pas parce que son entraîneur l'avait menacée, juste pour pouvoir enfin briller sur le terrain. Elle ne voulait pas non plus subir l'avanie d'être privée de jeu parce qu'on ne la jugeait pas suffisamment en bonne santé pour courir sur le terrain. Elle voyait d'ici l'air goguenard de Zeryel. Ce serait insupportable, il y aurait des meurtres. « Hé, attends ! » Elle s'approcha de la blonde qui se renfrogna en voyant Susannah venir jusqu'à elle et commença à reculer. « Tiens, je n'en veux plus. » Elle lança la petite assiette sur son plateau sans se soucier de voir si elle atterrissait sur d'autres plats. En passant devant les corbeilles, elle opta pour une pomme qui se récolta un regard si courroucé de la bleue qu'on se serait attendu à voir le fruit se ratatiner. Très bien, elle ferait davantage attention à son alimentation, mais tout le monde allait devoir en payer le prix.

Basphel n'avait pas su entériner son mépris souverain pour les Gælyan, l'école avait néanmoins forcé la bleue à apprendre à cohabiter avec eux. Susannah voyait les choses autrement. Elle forçait les autres à s'adapter à elle. Cela fonctionnait plutôt bien avec les nouveaux aux pupilles facilement effrayées, qui comprenaient vite que s'ils tardaient trop à lui céder leurs friandises ou osaient adopter un certain ton, ils feraient promptement connaissance avec le fond de la cuvette des toilettes. Pour les autres, c'était une autre couleur d'écaille, mais elle aimait relever les défis, surtout lorsqu'il s'agissait de prouver sa supériorité sur le reste des élèves.

HRP

Le thème de votre personnage :
X -Bea Miller - That Bitch
XX - Dove Cameron - Breakfast
XXX - GAIN - Paradise Lost
La mort : En s'étouffant sur les miettes d'un gâteau.
Votre fréquence de rp : Tous les jours si je pouvais.
Comment avez-vous découvert le forum ? : DC
Le code du règlement : Tartelette au citron

Code:

<div id="wrappper">
<div class="titreprez cellule">Susannah Dæloran</div>
<div class="cellule" id="identite"><img src="https://zupimages.net/up/21/13/04jp.jpg" style="float:right;padding-left:5px" />[b]Nom[/b] : Dæloran
[b]Prénom[/b] : Susannah
[b]Surnom[/b] : Arrêtez de l'appeler Suzette, Suzie, Sucette ou elle va vous mettre la tête dans les toilettes
[b]Titres[/b] : Reine de Malyë, Élue des Portes
[b]Sexe[/b] : Féminin
[b]Taille[/b] : 152 cm adolescente, 157 cm adulte
[b]Âge apparent[/b] : Environ 17 ans
[b]Ère de naissance[/b] : Ère de la Conciliation
[b]Race[/b] : Ondine
[b]Spécialités[/b] :
- Agilité : 12
- Force : 19
- Charisme : 21
- Intelligence : 18
- Magie : 13
[b]Métier[/b] : X
[b]Activité[/b] : Étudiante à Basphel (Obsidienne), voler les goûters des autres élèves, grignoter, mater les garçons, faire preuve de mauvaise foi, détester les Gælyan, faire semblant de détester Læn.
[b]Armes[/b] :
- Ses poignées d'amour
- Son égo
[b]Particularité[/b] : Elle est issue de la Précieuse Lignée des Dæloran. Victime de sa gourmandise, elle possède un physique enrobé et n'en tire aucun complexe.

<!-- NE PAS SUPPRIMER CETTE BALISE DIV A DROITE --></div>
<div class="titreprez cellule">Pouvoirs et gains</div>
<div class="cellule">[b]Pouvoirs de base[/b] :
- Les Cheveux de Medusæ
- Le Chant des Sirènes
- L'Esprit de l'Eau
- Prendre possession d'autrui
- Télékinésie

[b]Gain de niveau II[/b] :
- X

[b]Pouvoirs[/b] :
- Neru : Un lien particulier lie votre personnage à Stanislav Dementiæ. Il s'agit d'un lien d'amour, de respect et de domination consenti au moment du rêve. Vos deux personnages deviennent capables de communiquer par la pensée et de faire preuve d'empathie l'un envers l'autre. L'Aisuru possède néanmoins une caractéristique de domination sur son Orine. Lorsqu'il exige quelque chose, cela crée chez l'autre le besoin d'obéir ou de l'aider au mieux. L'Aisuru sera inspiré en présence de son Orine. Il se peut également qu'il ou elle développe une attirance physique pour l'Orine et trouve excitant de l'imaginer attachée par ses soins.- Désir : En présence de Læn, votre personnage ressent un désir immédiat, celui-ci étant réciproque. Cela dit, la magie de Désir peut être augmentée volontairement par une action du personnage (s'étirer) qui éveillera d'autant plus les sens de l'autre, rendant réellement difficilement tenable la situation.
- Le partage de la chair, le partage des secrets (Seiji & Lana) : Pratiquer Fëry ensemble a lié vos personnages l'un à l'autre. Chez chacun d'eux, un arbre magique divin va commencer à pousser, une forme d'olivier doré. Si ce dernier donne des olives de la même couleur, celles-ci ne sont pas ordinaires. En effet, en manger une permet de prendre connaissance d'un secret appartenant à l'autre. Au fur et à mesure de la croissance des arbres, le désir qui lie les protagonistes deviendra de plus en plus grand et les olives deviendront de plus en plus abondantes. De plus, en de très rares occasions, la magie de l'olivier transformera les liés en femmes pour un temps plus ou moins long.
- Fantasme (Adriæn) : Votre personnage devient l'un des plus grand fantasme de son partenaire d'Orgie (et vice versa), au point d'y penser souvent mais rarement dans une configuration en duo. Lorsque les partenaires d'Edel Orgía Nisqa sont ensemble, il arrive que les pensées de l'entourage dérivent vers la possibilité d'un plan à plusieurs et que les esprits et les corps s'émoustillent. Les deux partenaires sont également irrémédiablement attirés l'un par l'autre lorsqu'ils se croisent, ce qui s'illustre physiquement de façon systématique. Ils rêvent également souvent d'orgies dans lesquelles ils sont impliqués tous les deux. Lorsque ça se produit, et si l'un des partenaires est une femme, il y a un risque de grossesse dans la réalité.
- Le mariage amoureux (Læn) : Si votre personnage côtoie son partenaire de rêve dans la réalité, il va commencer à éprouver un réel attachement pour ce dernier, un attachement qui glissera rapidement vers de l'amour véritable. Néanmoins, l'idée du mariage, elle, va commencer très tôt à s'immiscer dans son esprit. Il se posera beaucoup de questions et finira par considérer l'autre comme le partenaire de vie idéal. Lorsqu'ils sont ensemble, le sujet du mariage revient régulièrement dans leur entourage.
- Vision de l'autre (Læn) : Lorsqu'il ferme les yeux, votre personnage peut visualiser l'autre comme s'il se trouvait en hauteur (par exemple, au plafond d'une pièce). Il se peut que le pouvoir devienne un peu handicapant, notamment avant de s'endormir puisqu'il peut agir à sa guise et, de ce fait, votre personnage peut ne pas très bien le contrôler, condamné à regarder l'autre au moment de dormir. Si les deux individus utilisent le pouvoir en même temps, ils s'endorment et se retrouvent sur Somnium par une étrange magie, dans une petite habitation qui, visiblement, est à eux.
- Cavalier/Cavalière : Ce pouvoir permet à votre personnage de demander à Stanislav de l'accompagner partout, afin qu'il ne soit jamais seul. Ce dernier aura envie d'accepter et acceptera le plus souvent, poussé par une étrange volonté.
- Superforce
- Bouh ! : Lorsque Susannah a peur, en fonction de sa magie, cela provoque chez ceux autour d'elle une envie irrépressible de la rassurer.
- Embrasse-moi : Il s'agit d'un pouvoir qui rend les lèvres de votre personnage très attirantes, si bien que ses interlocuteurs ressentent l'envie de l'embrasser.
- Zébartiii ! : À chaque fois que Susannah pratiquera une activité sportive, elle en ressortira de meilleure humeur et aura un regain de motivation. Si dans le cadre de compétitions sportives, elle en ressort gagnante, elle sera auréolée d'un halo lumineux et inspirera l'admiration autour d'elle. À l'inverse, si elle perd, elle obtiendra une éruption de boutons et inspirera les moqueries autour d'elle.
- Sentiments partagés : Les sentiments de Zébella ont tendance à se mélanger à ceux que votre personnage ressent dans la réalité pour les individus ayant incarné les autres personnages du conte.
- Pluie de sang : Permet de changer l'eau de la pluie en sang
- Création de fruits confits
- Création de sable
- Création d'eau
- Création de gemme de couleur orange : Il s'agit d'un pouvoir qui permet à votre personnage de créer des gemmes similaires à celles qui sont apparues lors de l'Ère des Prophètes mais en plus petit. Lutte contre les infections.
- Bourrasque : Votre personnage peut créer une bourrasque plus ou moins forte en fonction de sa magie.
- Viens dormir à la maison : Lorsque votre personnage propose à un autre de dormir chez lui, ce dernier a du mal à refuser l'invitation, même s'il n'en a pas envie. Si c'est un personnage du conte, il ne peut pas la refuser.
- Reliure magique : Lorsque votre personnage prend des notes, écrit des lettres, dessine ou toute autre activité dans cet esprit, il peut ensuite relier le tout dans un livre aux pages infinies. Le livre ne sera pas plus gros au fur et à mesure de l'ajout de contenu mais par un procédé magique, les pages se tourneront jusqu'à la fin. De plus, tous les supports n'étant pas au bon format seront automatiquement redimensionnés. Enfin, le personnage pourra donner accès aux livres de la reliure magique à tous les personnages du conte.
- Ça sent le roussi : Votre personnage est capable de créer de la fumée qui propagera une odeur de brûlé et donnera l'impression qu'un incendie s'est déclaré quelque part.

[b]Armes[/b] :
- Un poignard entièrement bleu. C'est une arme étrange, d'une matière inconnue mais qui semble magique. Même en l'absence de magie - donc chez les Humains - l'effet étrange de texture perdure.
- L'épée de Malyë, qui implique que Susannah est considérée comme la protectrice de l'île.

[b]Artefacts[/b] :
- Un pendentif ayant la forme d'un bâton, qui devient une arme réelle pour vous en servir en cas de problème
- Bonbon mauve : C'est un bonbon en forme de cœur. Celui qui l'avale attire automatiquement les araignées ou les serpents, en fonction de ce que l'utilisateur aura déterminé. Plus il en mangera, plus les espèces les plus grosses et dangereuses le rejoindront, le prenant pour cible et mettant ainsi en danger sa vie.
- La résille argentée : Il s'agit d'une fine chaîne en mailles d'argent. Lorsque son détenteur l'installe sur une porte, la pièce où il se trouve devient impénétrable et il est impossible pour une personne de l'extérieur de forcer l'entrée ou d'entendre ce qu'il s'y passe.
- Dessine-moi un mouton : C'est une plume magique permettant de matérialiser l'objet dessiné ou de donner vie à l'être dessiné (humain ou animal). C'est un artefact limité à votre magie de deux façons : l'invocation restera pour un temps équivalent à autant de minutes que vous avez en magie, et la taille dépendra également de votre magie (si vous dessinez un dragon mais que vous avez 5 en magie, le dragon aura la taille de votre doigt, ce sera mignon, mais c'est tout). Bien entendu, ça dépend également de votre talent artistique.
- Potins et rumeurs sur Adam : Les Faes détiennent un livre par individu dans lequel elles répertorient absolument tous les dires publics (potins, rumeurs, histoires, contes etc) des Terres de Sympan sur ce dernier, avec la position des personnes les ayant colportées. Plus l'individu est connu, plus le livre est gros. Une Fae a décidé de copier le livre dont elle s'occupe à destination de votre personnage. Il se mettra à jour automatiquement et comprendra toutes les théories possibles et imaginables qui parcourent la plèbe au sujet de ce dernier. Bien entendu, ledit livre regorge d'informations qui peuvent s'avérer utiles, comme la position de l'individu qui éveille bien plus de rumeurs s'il se trouve à tel ou tel endroit que s'il ne s'y trouve pas.
- Un ruban (ruban violet à cœurs bleus) : Ce ruban permet à votre personnage de se téléporter près de Læn à n'importe quel moment en fonction de sa magie et de savoir s'il est réveillé ou en train de dormir. Ce ruban permet à votre personnage d'utiliser son propre corps pour faire ressentir des choses à l'autre.
- Les Furies : Quand Susannah claque entre eux les talons des Furies, les bottes lui donnent temporairement un surplus de force et d'agilité qui lui permettent d'exécuter des mouvements surhumains. Malheureusement, son fabricant a oublié d'ajouter un sort pour prévenir des courbatures derrière.
- La seringue du Fessetival : C'est une seringue contenant un liquide qui se régénère en fonction de la magie du possesseur. Se l'injecter ou l'injecter à quelqu'un rend heureux et désinhibe. Les effets sont dépendants de la force et de la magie des personnages.
- La toge d'Ivanhoë : Il s'agit d'une toge de bonne facture. Elle permet à votre personnage, en l'enfilant, soit de changer de sexe, soit de gommer son identité aux yeux d'autrui pendant un temps dépendant de sa magie.
- Le dé de Primaël : Avoir le dé de Primaël sur soi confère une chance insolente à son porteur, en fonction de la magie de la personne qui le possède.
- Le poison de la Foi : Il s'agit d'une petite fiole contenant un liquide. Il est inoffensif la plupart du temps. Seules les intentions de son propriétaire le transforment en poison. Pour cela, il doit agir pour ses convictions profondes ou pour la gloire des Ætheri, sans aucune hésitation.
- Scène de conte (Narfas) : Il s'agit d'un tableau, livré à votre personnage, représentant Zébella coupant ses cheveux. Du fait de la popularité du conte qui ne cesse de grandir, le tableau vaut une petite fortune. Il s'agit en réalité d'un passage vers un endroit ressemblant à Narfas. Chacun des protagonistes ayant joué dans le conte peut le traverser pour s'y retrouver. L'endroit est désert et ne peut être parcouru que par d'autres possesseurs de ces tableaux, ce qui en fait un endroit privilégié pour les rencontres secrètes.
- Nécessaire à pique-nique : Il s'agit d'un joli petit panier en osier contenant le nécessaire à pique-nique (vaisselle et nourriture) et qui apparaît devant votre personnage lorsqu'il a besoin de faire une petite pause. S'il prend la anse du panier dans sa main, le panier le téléportera, avec son entourage, quelque part dans les Terres d'Emeraude. Le voyage de retour n'est pas compris.
- Le masque des secrets : Il s'agit d'un masque qui brouille l'identité de votre personnage quand il le porte.
- La Clef magique : Il s'agit d'une clef qui peut entrer dans toutes les serrures. Elle ne sert pas à ouvrir les portes de base mais plutôt à les fermer. Quand on tourne la clef dans une serrure, la pièce dans laquelle la personne se trouve devient protégée magiquement des intrusions extérieures. Il suffit de la tourner dans l'autre sens pour que le sort cesse de fonctionner.
- Le miroir maudit : Il s'agit d'un miroir qui semble tout à fait banal à première vue. Néanmoins, de temps en temps dans son reflet apparaissent des scènes horribles, provenant du conte ou non. Si celui qui les regarde reste trop longtemps devant, le miroir l'aspire et il se retrouve au beau milieu de la scène. La seule façon de s'en échapper est de crier trois fois le nom d'un des personnages les plus mauvais du conte ou qu'une autre personne regarde à son tour dans le miroir (la notice est marquée derrière le miroir).

[b]Formes de magie[/b] :
- La Magie des Ténèbres
- La Magie des Abîmes

[b]Patrimoine et réputation[/b] :
- La propriété de l'île de Malyë
- Symbole de présence : Il s'agit d'un symbole lié à votre personnage qui le précède, lui succède ou se trouve en même temps que lui quelque part : une odeur de biscuit.
- Un poney fell du nom de Crasse.

[b]Sphère raciale Magicienne - Niveau I[/b] :
[u]Pouvoirs de race[/u] :
- Umbra in Lucem | Praesidium
- La Valse Créatrice
- La Magie des Pentacles

[u]Formes de magie[/u] :
- Magie Bleue
- Magie de la Lumière

<!-- NE PAS SUPPRIMER CETTE BALISE DIV A DROITE --></div>

<div class="titreprez cellule">Role-play</div>
<div class="cellulepetite">Plantée devant le buffet à desserts, Susannah s'humecta les lèvres avant de les mordiller. Par gain de temps, elle avait enfilé en avance sa tenue pour le Puffball. À l'aide d'un crayon, elle avait remonté quelques mèches gênantes en chignon fou sur le haut de sa tête. Plus coquette en dehors des pratiques sportives, il n'était pas rare de voir ses cheveux océan parés de perles de nacre ou des pinces ouvragées provenant directement des joailliers de Port Dirælla et des cités-bulle sous les mers.

Une main anonyme se hasarda dangereusement en direction du dernier éclair au chocolat. Aussitôt, la Sirène referma ses doigts sur le poignet de l'audacieuse. Ses yeux couleur de pluie se plantèrent dans ceux de la voleuse. [color=#067790]« J'allais le prendre. »[/color] objecta-t-elle d'un ton sec. Voyant la blonde ouvrir la bouche pour protester, elle accentua la force dans ses doigts, allant jusqu'à planter ses ongles dans la manche de son uniforme et fut récompensée par la grimace de douleur qui déforma son visage. [color=#067790]« J'ai dit que j'allais le prendre. »[/color] articula-t-elle lentement, comme si elle s'adressait à une demeurée, ce qu'elle pensait d'ailleurs sincèrement. Autiste n'était qu'un synonyme pour ces culs-terreux. Disgracieux et peu dégourdis, ils ne lui inspiraient que dégoût pour la majorité. respirer le même air lui coûtait beaucoup.

Une fois débarrassée de la gêneuse, la pâtisserie trônant victorieusement sur son plateau, l'Ondine laissa errer son regard pensivement sur les autres desserts. Il lui arrivait d'en empiler jusqu'à trois les jours où sa mauvaise humeur tutoyait les sommets. Seulement, la semaine passée, l'entraîneur avait fait faire passer aux joueurs toute une batterie de tests pour leur santé et leur forme en général. Il l'avait ensuite prise à part dans son bureau et lui avait présenté ses résultats. Sans y mettre les formes, il lui avait recommandé de but en blanc de diminuer considérablement sa consommation de sucre si elle ne voulait pas être reléguée sur le banc de touche à ce rythme. Elle avait quitté la pièce en claquant la porte, sifflant des insultes entre ses dents serrées. Le jour où elle laisserait un bipède, et un mâle de surcroît, lui dicter quoi faire n'était pas encore venu. Toutefois, le doute l'envahissait comme du poison désormais que les tentations décuplaient leurs arômes sous son nez. Elle visait le poste de capitaine de son équipe, et peut-être que cela valait quelques sacrifices. Elle ne le ferait pas parce que son entraîneur l'avait menacée, juste pour pouvoir enfin briller sur le terrain. Elle ne voulait pas non plus subir l'avanie d'être privée de jeu parce qu'on ne la jugeait pas suffisamment en bonne santé pour courir sur le terrain. Elle voyait d'ici l'air goguenard de Zeryel. Ce serait insupportable, il y aurait des meurtres. [color=#067790]« Hé, attends ! »[/color] Elle s'approcha de la blonde qui se renfrogna en voyant Susannah venir jusqu'à elle et commença à reculer. [color=#067790]« Tiens, je n'en veux plus. »[/color] Elle lança la petite assiette sur son plateau sans se soucier de voir si elle atterrissait sur d'autres plats. En passant devant les corbeilles, elle opta pour une pomme qui se récolta un regard si courroucé de la bleue qu'on se serait attendu à voir le fruit se ratatiner. Très bien, elle ferait davantage attention à son alimentation, mais tout le monde allait devoir en payer le prix.

Basphel n'avait pas su entériner son mépris souverain pour les Gælyan, l'école avait néanmoins forcé la bleue à apprendre à cohabiter avec eux. Susannah voyait les choses autrement. Elle forçait les autres à s'adapter à elle. Cela fonctionnait plutôt bien avec les nouveaux aux pupilles facilement effrayées, qui comprenaient vite que s'ils tardaient trop à lui céder leurs friandises ou osaient adopter un certain ton, ils feraient promptement connaissance avec le fond de la cuvette des toilettes. Pour les autres, c'était une autre couleur d'écaille, mais elle aimait relever les défis, surtout lorsqu'il s'agissait de prouver sa supériorité sur le reste des élèves.

<!-- NE PAS SUPPRIMER CETTE BALISE DIV A DROITE --></div>

<div class="titreprez cellule">HRP</div>
<div class="cellulehrp">[b]Le thème de votre personnage[/b] :
X -[url=https://youtu.be/l6sK7Np2Ij8]Bea Miller - That Bitch[/url]
XX - [url=https://youtu.be/z4sMXibc_S0] Dove Cameron - Breakfast[/url]
XXX - [url=https://youtu.be/4i32ANEa5mk]GAIN - Paradise Lost[/url]
[b]La mort[/b] : En s'étouffant sur les miettes d'un gâteau.
[b]Votre fréquence de rp[/b] : Tous les jours si je pouvais.
[b]Comment avez-vous découvert le forum ?[/b] : DC
[b]Le code du règlement[/b] : Tartelette au citron

<!-- NE PAS SUPPRIMER CES BALISES DIV A DROITE --></div></div>

Lien vers sa fiche : Susannah

Oky by Mancy. *range son fouet*

Merci  

Bonjour !

Si plus de place sous Yngvild, ne pas hésiter à éditer le post après les compagnons animaux ou à en créer un nouveau. Je vais vraiment essayer de refaire ma fiche bientôt

Lien du ou des sujets : Portes V - Tour II
Gains : un compagnon Fae qui a participé (en petite main) à la création du conte (elle a fait un buisson ou deux, a soumis une idée, a aidé à faire la liste pour choisir les personnes IRL incarnant les personnages etc).
Lien vers sa fiche : Fiche, sous Yngvild

Primerose

Prénom : Primerose
Surnom : Prim
Sexe : Femme
Taille : Sept centimètres cinq
Âge apparent : Entre vingt et trente
Ère de naissance : Ère des Prophéties
Race : Fae
Métier : X

Niveau : I (Niveau I à partir de 0 point)

Armes :  
- Un dé à coudre
- Une écharde

Spécialités :
- Agilité : 5
- Force : 5
- Charisme : 2
- Intelligence : 6
- Magie : 7

Pouvoirs :
- Les Murmures de la Rose
- L'Éternel Secret
- Poussières Merveilleuses
- Fusionner avec un objet
- Ouïe surdéveloppée

Gain de niveau 2
- X

Gain de niveau 3
- X

POUVOIRS
- X

ARMES
- X

ARTEFACTS
- X

~ Formes de magie
- La Magie de la Lumière
- La Magie d'Argent

~ Patrimoine et réputation
- X

Particularité : Elle a participé à la création du conte Le Roi Sadique (les Portes V).

Roleplay : Depuis qu’elle m’avait déposée ici, elle était revenue plusieurs fois. Elle s’était rarement arrêtée. Souvent, elle se contentait de passer, un pli soucieux entre les sourcils. Parfois, des étincelles sombres brillaient au fond de ses yeux. Ses doigts effleuraient les roses. Elle en réarrangeait tendrement les pétales, vérifiait que les racines ne manquaient de rien, étudiait rapidement les tiges et leurs épines. Elle ne me remarquait jamais. Il fallait dire que je me faisais toujours discrète. Même quand je m’étais éveillée pour la première fois au cœur de ce rosier blanc, devant la ferme qu’elle habitait, je n’avais pas cherché à signaler ma présence. Je préférais l’observer en silence. Au début, je n’avais pas osé rentrer dans la maison, mais petit à petit, j’avais pris mes aises. Ainsi, je savais qu’elle se levait tôt le matin, peu après les premiers rayons du soleil. Je la suivais dans la cuisine. Elle s’affairait à droite et à gauche. Elle était toujours pieds nus, généralement vêtue d’un haut et d’un pantalon amples aux couleurs chamarrées. J’avais touché l’étoffe, une fois. C’était doux. Je n’avais jamais vu personne d’autre porter de tels vêtements ici.

Une fois son petit-déjeuner prêt, elle s’asseyait à la table de la cuisine et mangeait. J’avais l’impression qu’elle se nourrissait avec ce qui lui tombait sous la main : un matin, des œufs brouillés et des légumes, l’autre du pain et du beurre de bicorne, ou encore juste des fruits ou quelques noix avant de filer à vive allure à travers les champs. Immanquablement, comme prise dans un rituel bien rôdé, elle regardait la chaise à sa gauche. Celle-ci était toujours vide. Je me demandais souvent qui aurait dû la remplir. À qui elle pensait quand ses iris mélancoliques remontaient vers la fenêtre et se perdaient sur l’étendue brune des terres de Lumnaar’Yuvon, quand ses lèvres s’entrouvraient et laissaient échapper un soupir triste. J’aimais bien ces moments-là. Elle me semblait à la fois vulnérable et hors d’atteinte. Quand elle était entourée, son corps et son visage se mouvaient différemment. Elle se tenait plus droite, ses prunelles brillaient plus ardemment et il se dégageait d’elle une aura chargée de détermination. Dans la solitude, elle m’apparaissait autrement.

Cependant, depuis mon arrivée au milieu des millepertuis, je ne la voyais plus autant. Je chérissais les jours où elle venait. Sa figure familière me rappelait les moments que l’on avait passés ensemble. Quand elle rentrait en courant, couverte de boue, et jetait chaussures et vêtements de tous les côtés avant de sauter dans une bassine d’eau froide pour se laver, quitte à m’éclabousser au passage. Quand elle fredonnait des airs qui s’enroulaient autour de moi telles de vieilles rengaines. Quand elle se mettait à sauter et à danser à travers la maison, prise dans des élans de folie dont je ne percevais que l’expression finale, mais qui remplissaient mon cœur d’euphorie et me poussaient à la suivre dans ses jeux. Quand elle était de mauvaise humeur et qu’elle claquait les portes en grognant, ce qui me faisait toujours sursauter et me poussai à me cacher derrière le premier objet venu. Quand elle oubliait son repas sur le feu et qu’une odeur de brûlé me piquait les narines et m’irritait la gorge. Quand elle cherchait partout des objets que je m’amusais à déplacer en son absence. Quand, en fin de journée, elle montait les escaliers, et qu’elle se laissait tomber sur son matelas, avant de s’enrouler dans les couvertures. Je déployai mes ailes rosées et me posai sur la tête de lit, puis passai mes doigts dans mes cheveux pour les démêler. Parfois, elle s’endormait très rapidement ; j’entendais son souffle s’appesantir, signe que son esprit s’en était allé pour le pays des rêves. D’autres fois, elle était plus agitée. La colère ou la tristesse tourbillonnaient dans la chambre, et moi j’étudiai leur ballet, à la fois fascinée et dépassée. Je n’intervenais jamais. Je n’aurais su que dire, tout comme je ne savais comment réagir quand elle posait sur ma fleur son regard blessé, et que mes yeux gris croisaient les siens sans qu’elle ne les vît.

Ce jour-là, pourtant, je pris une décision. Je quittai ma fleur et me glissai dans ses cheveux. Ma tignasse rose y disparut, ainsi que toute ma silhouette. Je voulais rester avec elle, où qu’elle allât et, surtout, je sentais que ma place n’était plus entre les pétales de ma rose. Le monde et l’aventure me tendaient les bras.

Suite

Code:

<div id="wrappper"><div class="titreprez cellule">Primerose</div>
<div class="cellule"><img src="https://images2.imgbox.com/95/39/8WUYDxES_o.jpg" style="float:right;padding-left:5px" />[b]Prénom[/b] : Primerose
[b]Surnom[/b] : Prim
[b]Sexe[/b] : Femme
[b]Taille[/b] : Sept centimètres cinq
[b]Âge apparent[/b] : Entre vingt et trente
[b]Ère de naissance[/b] : Ère des Prophéties
[b]Race[/b] : Fae
[b]Métier[/b] : X

[b]Niveau[/b] : I (Niveau I à partir de 0 point)

[b]Armes[/b] :  
- Un dé à coudre
- Une écharde

[b]Spécialités[/b] :
- Agilité : 5
- Force : 5
- Charisme : 2
- Intelligence : 6
- Magie : 7

[b]Pouvoirs[/b] :
- Les Murmures de la Rose
- L'Éternel Secret
- Poussières Merveilleuses
- Fusionner avec un objet
- Ouïe surdéveloppée

[b]Gain de niveau 2[/b]
- X

[b]Gain de niveau 3[/b]
- X

[b]POUVOIRS[/b]
- X

[b]ARMES[/b]
- X

[b]ARTEFACTS[/b]
- X

[b]~ Formes de magie[/b]
- La Magie de la Lumière
- La Magie d'Argent

[b]~ Patrimoine et réputation[/b]
- X

[b]Particularité[/b] : Elle a participé à la création du conte [i]Le Roi Sadique[/i] (les Portes V).

[b]Roleplay[/b] : Depuis qu’elle m’avait déposée ici, elle était revenue plusieurs fois. Elle s’était rarement arrêtée. Souvent, elle se contentait de passer, un pli soucieux entre les sourcils. Parfois, des étincelles sombres brillaient au fond de ses yeux. Ses doigts effleuraient les roses. Elle en réarrangeait tendrement les pétales, vérifiait que les racines ne manquaient de rien, étudiait rapidement les tiges et leurs épines. Elle ne me remarquait jamais. Il fallait dire que je me faisais toujours discrète. Même quand je m’étais éveillée pour la première fois au cœur de ce rosier blanc, devant la ferme qu’elle habitait, je n’avais pas cherché à signaler ma présence. Je préférais l’observer en silence. Au début, je n’avais pas osé rentrer dans la maison, mais petit à petit, j’avais pris mes aises. Ainsi, je savais qu’elle se levait tôt le matin, peu après les premiers rayons du soleil. Je la suivais dans la cuisine. Elle s’affairait à droite et à gauche. Elle était toujours pieds nus, généralement vêtue d’un haut et d’un pantalon amples aux couleurs chamarrées. J’avais touché l’étoffe, une fois. C’était doux. Je n’avais jamais vu personne d’autre porter de tels vêtements ici.

Une fois son petit-déjeuner prêt, elle s’asseyait à la table de la cuisine et mangeait. J’avais l’impression qu’elle se nourrissait avec ce qui lui tombait sous la main : un matin, des œufs brouillés et des légumes, l’autre du pain et du beurre de bicorne, ou encore juste des fruits ou quelques noix avant de filer à vive allure à travers les champs. Immanquablement, comme prise dans un rituel bien rôdé, elle regardait la chaise à sa gauche. Celle-ci était toujours vide. Je me demandais souvent qui aurait dû la remplir. À qui elle pensait quand ses iris mélancoliques remontaient vers la fenêtre et se perdaient sur l’étendue brune des terres de Lumnaar’Yuvon, quand ses lèvres s’entrouvraient et laissaient échapper un soupir triste. J’aimais bien ces moments-là. Elle me semblait à la fois vulnérable et hors d’atteinte. Quand elle était entourée, son corps et son visage se mouvaient différemment. Elle se tenait plus droite, ses prunelles brillaient plus ardemment et il se dégageait d’elle une aura chargée de détermination. Dans la solitude, elle m’apparaissait autrement.

Cependant, depuis mon arrivée au milieu des millepertuis, je ne la voyais plus autant. Je chérissais les jours où elle venait. Sa figure familière me rappelait les moments que l’on avait passés ensemble. Quand elle rentrait en courant, couverte de boue, et jetait chaussures et vêtements de tous les côtés avant de sauter dans une bassine d’eau froide pour se laver, quitte à m’éclabousser au passage. Quand elle fredonnait des airs qui s’enroulaient autour de moi telles de vieilles rengaines. Quand elle se mettait à sauter et à danser à travers la maison, prise dans des élans de folie dont je ne percevais que l’expression finale, mais qui remplissaient mon cœur d’euphorie et me poussaient à la suivre dans ses jeux. Quand elle était de mauvaise humeur et qu’elle claquait les portes en grognant, ce qui me faisait toujours sursauter et me poussai à me cacher derrière le premier objet venu. Quand elle oubliait son repas sur le feu et qu’une odeur de brûlé me piquait les narines et m’irritait la gorge. Quand elle cherchait partout des objets que je m’amusais à déplacer en son absence. Quand, en fin de journée, elle montait les escaliers, et qu’elle se laissait tomber sur son matelas, avant de s’enrouler dans les couvertures. Je déployai mes ailes rosées et me posai sur la tête de lit, puis passai mes doigts dans mes cheveux pour les démêler. Parfois, elle s’endormait très rapidement ; j’entendais son souffle s’appesantir, signe que son esprit s’en était allé pour le pays des rêves. D’autres fois, elle était plus agitée. La colère ou la tristesse tourbillonnaient dans la chambre, et moi j’étudiai leur ballet, à la fois fascinée et dépassée. Je n’intervenais jamais. Je n’aurais su que dire, tout comme je ne savais comment réagir quand elle posait sur ma fleur son regard blessé, et que mes yeux gris croisaient les siens sans qu’elle ne les vît.

Ce jour-là, pourtant, je pris une décision. Je quittai ma fleur et me glissai dans ses cheveux. Ma tignasse rose y disparut, ainsi que toute ma silhouette. Je voulais rester avec elle, où qu’elle allât et, surtout, je sentais que ma place n’était plus entre les pétales de ma rose. Le monde et l’aventure me tendaient les bras.

[center][url=http://yinandyangpower.forumactif.com/t40305-q-les-secrets-caches-entre-les-bles#759264]Suite[/url][/center]

<!-- NE PAS SUPPRIMER CETTE BALISE DIV A DROITE --></div></div>

Statut : Oky by Mancy. Son avatar est sublime - ça passe de justesse niveau Fiche, mais c'est tendu, faudra la refaire quand même /sbaf

Merci beaucoup

Bonsoir  

Lien du ou des sujets : /
Gains : Premier compagnon
Lien vers sa fiche : Ici

Code:

<div id="wrappper"><div class="titreprez cellule">Jezeṃiās</div>
<div class="cellule"><img src="https://zupimages.net/up/24/01/lh5l.jpg" style="float:right;padding-left:5px" />[b]Nom[/b] : X
[b]Prénom[/b] : Jezeṃiās
[b]Surnom[/b] : Jezz , Jezemiasme
[b]Sexe[/b] : Masculin
[b]Taille[/b] :  170cm adolescent - 183cm adulte
[b]Âge apparent[/b] : 15 ans
[b]Ère de naissance[/b] : Ère de la conciliation
[b]Race[/b] : Démon
[b]Métier[/b] : X
[b]Thèmes[/b] :
- [url=https://youtu.be/vrVErpPzZCo]Bones UK - Beautiful Is Boring[/url]
- [url=https://youtu.be/rOthXzegML4]Palaye Royale - Nightmares[/url]
- [url=https://youtu.be/8tn4-TVXihM]Dead Poet Society - I hope you hate me[/url]

[b]Niveau[/b] : I

[b]Armes[/b] :  
- Son haleine foudroyante
- Ses mensonges

[b]Spécialités[/b] :
- Agilité : 5
- Force : 5
- Charisme : 5
- Intelligence : 5
- Magie : 5

[b]Pouvoirs[/b] :
- Le pacte démoniaque
- Le reflet de l'[i]autre[/i]
- La tentation du Diable
- Le prix du mensonge : Chaque fois que Jezeṃiās ment, il perd un morceau de ses souvenirs qu'il ne récupérera jamais
- Invocation de charognes

[b]Gain de niveau 2[/b]
- X

[b]Gain de niveau 3[/b]
- X

[b]POUVOIRS[/b]
- X

[b]ARMES[/b]
- X

[b]ARTEFACTS[/b]
- X

[b]~ Formes de magie[/b]
- La Magie des Ténèbres
- La Magie Pourpre

[b]~ Patrimoine et réputation[/b]
- X

[b]Particularité[/b] : Il suit un programme d'alternance à Basphel (au Charbon) afin de pouvoir travailler en parallèle en Enfer où il fait partie de l'équipe d'entretien des arènes du Royaume de Sēneya. Il suit un régime alimentaire à base de charognes. Souffrant de cauchemars depuis l'enfance, il éprouve des difficultés à distinguer la frontière entre le réel et le non réel. Il a grandi à l'orphelinat de Liluvel.

[b]Roleplay[/b] :

Jezeṃiās se hâta de descendre les escaliers. L'écho de sa course sur les marches grossièrement taillées dans la pierre résonnait désagréablement à ses oreilles. Les lieux déserts et silencieux l'avaient toujours mis mal à l'aise. Quand il y réfléchissait, il n'avait jamais véritablement vécu seul, pas un seul instant. La solitude était une dame terrifiante qu'il n'aimait pas côtoyer et il espérait que c'était réciproque. Le sous-sol, labyrinthique, était taillé comme un gâteau à plusieurs étages dont les galeries débouchaient sur des poches, plus ou moins grosses. Il trouva son chemin sans effort et fut soulagé quand la double porte s'ouvrit dans un bruit soyeux dès qu'il l'aperçut. Il pénétra dans un immense amphithéâtre. Le public se replia dans un silence lourd d'expectative. Ils peuplaient les gradins, si nombreux, et autant d'yeux rivés, non sur lui, mais sur la bouche ténébreuse qui venait de s'ouvrir au centre de l'arène sablonneuse. Une odeur musquée précéda l'arrivée de la Bête. Ses tentacules charbonneux hérissés de piques fouettèrent l'air avec violence et une vibration d'une puissance telle qu'elle faillit le jeter à terre fit gémir les pierres de toute l'architecture. Jezeṃiās repoussa ses boucles couleur d'encre, dévoilant un visage transcendé. Quand le corps volumineux se hissa enfin hors du monde d'où il s'extirpait, l'adolescent se laissa tomber sur les genoux, les jambes sciées par l'émotion. Des larmes roulèrent sur ses joues et l'assemblée sanglota en chœur avec lui. Ils priaient tous avec ardeur. Il leva les bras pour accueillir la gueule vorace mais c'est une botte cloutée qui fondit sur lui pour s'écraser sur son nez. Il poussa un cri de douleur et roula sur le côté pour tenter d'éviter, sans succès, un second coup de pied. [color=#AD4F09]« Tu dors au travail, maintenant ? »[/color] mugit la voix du contremaître. Le Démon pressentit l'arrivée d'un nouveau coup de pied. Au lieu de s'écarter, il se jeta en avant et entoura les jambes de l'homme de ses bras. La tactique eut l'effet escompté et, saisi par la surprise, son supérieur ne bougea pas. La situation n'était que temporaire et Jezeṃiās énuméra mentalement les options qui s'offraient à lui. Il leva ensuite les yeux sur l'homme bien que ces derniers soient à peine visibles, cachés par la masse emmêlée de ses cheveux. [color=#F0C300]« C'est que j'ai pas dormi depuis une semaine, m'sieur. »[/color] commença-t-il à expliquer. [color=#F0C300]« J'ai attrapé une intoxication alimentaire. La bouffe à Basphel est trop saine, vous comprenez, c'pas bon pour l'estomac, ça l'rend fragile. »[/color] [color=#AD4F09]« Qu'est-ce j'en ai à foutre de c'que tu grailles dans cette école de péteux ? T'auras qu'la moitié de ton salaire, j'en ai rien à foutre. Tout ce que j'veux, c'est que t'ailles nettoyer le merdier qu'ils ont foutu dans l'arène avec le dernier combat. J'arrive pas à croire que t'aies réussi à dormir avec ce vacarme. Incroyable ces jeunes putain, c'est à se demander si tes oreilles sont pas juste là pour faire décoration. Et lâche-moi la jambe, j'aime pas me faire sucer par des gosses au travail. »[/color] [color=#F0C300]« Au fait, il y a une arène dans le sous-sol ? »[/color] [color=#AD4F09]« Quel sous-sol ? T'as la bouche pleine de merde à dire autant de conneries, c'est à ton école que t'apprends à inventer des trucs ? »[/color] Jezeṃiās fronça les sourcils, confus.

Un peu plus tard, l'adolescent franchit en courant le portail qui le ramènerait à Basphel. Ce n'était jamais très précis et cette fois, il trébucha dans une salle de classe, vide par chance. Il s'ébroua et se pinça le nez. Chaque fois, il avait l'impression de perdre l'odorat tant la pestilence de son lieu de travail contrastait avec les couloirs proprets de l'école. Il se passa une main dans les cheveux pour enlever le lien qui retenait ses cheveux de devant en un petit palmier, et fourragea dans sa frange pour la faire retomber sur ses yeux. Enfin, il sortit de la pièce et longea le couloir. Au début, il ne prêta pas attention aux regards étonnés qu'on lui jetait, occupé à se dépêcher de rejoindre son dortoir pour récupérer son sac et ne pas prendre plus de retard sur son cours qu'il n'en avait déjà. [color=#ED7F10]« Excuse-moi ? »[/color] Le ton polissé de certains congénères avait tendance à l'amuser, mais là, il était pressé, et cette fille le ralentissait. [color=#F0C300]« Quoi ? »[/color] aboya-t-il. [color=#ED7F10]« Est-ce que tu es blessé ? Tu veux que je t'accompagne à l'infirmerie ? »[/color] [color=#F0C300]« Hein ? »[/color] Il baissa les yeux et constata qu'il était couvert de sang et d'excréments. [color=#F0C300]« C'est rien ça. »[/color] Il saisit une viscère qui pendait sur son épaule et la jeta distraitement sur le côté. Un garçon fit un bond de renard sur le côté pour éviter de se la prendre sur le nez. Jezeṃiās suçota le bout de ses doigts par réflexe et le regretta aussitôt. Ça allait lui ouvrir l'appétit et il n'avait vraiment pas le temps. La fille avait brusquement pâli et se mit à bégayer quelque chose qui ne l'intéressait pas vraiment. Il la poussa sur le côté pour poursuivre sa course. Ses méninges turbinaient, occupées à calculer quelle serait la plus grosse retenue qu'il gagnerait entre arriver propre mais avec un retard conséquent, ou s'y présenter maintenant, couvert de saletés. Lui, il savait que ça ne le dérangeait pas, mais ici, ils tenaient à faire respecter certaines règles de bienséance pour le bien de la communauté.

<!-- NE PAS SUPPRIMER CETTE BALISE DIV A DROITE --></div></div>

Jezeṃiās

Nom : X
Prénom : Jezeṃiās
Surnom : Jezz , Jezemiasme
Sexe : Masculin
Taille :  170cm adolescent - 183cm adulte
Âge apparent : 15 ans
Ère de naissance : Ère de la conciliation
Race : Démon
Métier : X
Thèmes :
- Bones UK - Beautiful Is Boring
- Palaye Royale - Nightmares
- Dead Poet Society - I hope you hate me

Niveau : I

Armes :  
- Son haleine foudroyante
- Ses mensonges

Spécialités :
- Agilité : 5
- Force : 5
- Charisme : 5
- Intelligence : 5
- Magie : 5

Pouvoirs :
- Le pacte démoniaque
- Le reflet de l'autre
- La tentation du Diable
- Le prix du mensonge : Chaque fois que Jezeṃiās ment, il perd un morceau de ses souvenirs qu'il ne récupérera jamais
- Invocation de charognes

Gain de niveau 2
- X

Gain de niveau 3
- X

POUVOIRS
- X

ARMES
- X

ARTEFACTS
- X

~ Formes de magie
- La Magie des Ténèbres
- La Magie Pourpre

~ Patrimoine et réputation
- X

Particularité : Il suit un programme d'alternance à Basphel (au Charbon) afin de pouvoir travailler en parallèle en Enfer où il fait partie de l'équipe d'entretien des arènes du Royaume de Sēneya. Il suit un régime alimentaire à base de charognes. Souffrant de cauchemars depuis l'enfance, il éprouve des difficultés à distinguer la frontière entre le réel et le non réel. Il a grandi à l'orphelinat de Liluvel.

Roleplay :

Jezeṃiās se hâta de descendre les escaliers. L'écho de sa course sur les marches grossièrement taillées dans la pierre résonnait désagréablement à ses oreilles. Les lieux déserts et silencieux l'avaient toujours mis mal à l'aise. Quand il y réfléchissait, il n'avait jamais véritablement vécu seul, pas un seul instant. La solitude était une dame terrifiante qu'il n'aimait pas côtoyer et il espérait que c'était réciproque. Le sous-sol, labyrinthique, était taillé comme un gâteau à plusieurs étages dont les galeries débouchaient sur des poches, plus ou moins grosses. Il trouva son chemin sans effort et fut soulagé quand la double porte s'ouvrit dans un bruit soyeux dès qu'il l'aperçut. Il pénétra dans un immense amphithéâtre. Le public se replia dans un silence lourd d'expectative. Ils peuplaient les gradins, si nombreux, et autant d'yeux rivés, non sur lui, mais sur la bouche ténébreuse qui venait de s'ouvrir au centre de l'arène sablonneuse. Une odeur musquée précéda l'arrivée de la Bête. Ses tentacules charbonneux hérissés de piques fouettèrent l'air avec violence et une vibration d'une puissance telle qu'elle faillit le jeter à terre fit gémir les pierres de toute l'architecture. Jezeṃiās repoussa ses boucles couleur d'encre, dévoilant un visage transcendé. Quand le corps volumineux se hissa enfin hors du monde d'où il s'extirpait, l'adolescent se laissa tomber sur les genoux, les jambes sciées par l'émotion. Des larmes roulèrent sur ses joues et l'assemblée sanglota en chœur avec lui. Ils priaient tous avec ardeur. Il leva les bras pour accueillir la gueule vorace mais c'est une botte cloutée qui fondit sur lui pour s'écraser sur son nez. Il poussa un cri de douleur et roula sur le côté pour tenter d'éviter, sans succès, un second coup de pied. « Tu dors au travail, maintenant ? » mugit la voix du contremaître. Le Démon pressentit l'arrivée d'un nouveau coup de pied. Au lieu de s'écarter, il se jeta en avant et entoura les jambes de l'homme de ses bras. La tactique eut l'effet escompté et, saisi par la surprise, son supérieur ne bougea pas. La situation n'était que temporaire et Jezeṃiās énuméra mentalement les options qui s'offraient à lui. Il leva ensuite les yeux sur l'homme bien que ces derniers soient à peine visibles, cachés par la masse emmêlée de ses cheveux. « C'est que j'ai pas dormi depuis une semaine, m'sieur. » commença-t-il à expliquer. « J'ai attrapé une intoxication alimentaire. La bouffe à Basphel est trop saine, vous comprenez, c'pas bon pour l'estomac, ça l'rend fragile. » « Qu'est-ce j'en ai à foutre de c'que tu grailles dans cette école de péteux ? T'auras qu'la moitié de ton salaire, j'en ai rien à foutre. Tout ce que j'veux, c'est que t'ailles nettoyer le merdier qu'ils ont foutu dans l'arène avec le dernier combat. J'arrive pas à croire que t'aies réussi à dormir avec ce vacarme. Incroyable ces jeunes putain, c'est à se demander si tes oreilles sont pas juste là pour faire décoration. Et lâche-moi la jambe, j'aime pas me faire sucer par des gosses au travail. » « Au fait, il y a une arène dans le sous-sol ? » « Quel sous-sol ? T'as la bouche pleine de merde à dire autant de conneries, c'est à ton école que t'apprends à inventer des trucs ? » Jezeṃiās fronça les sourcils, confus.

Un peu plus tard, l'adolescent franchit en courant le portail qui le ramènerait à Basphel. Ce n'était jamais très précis et cette fois, il trébucha dans une salle de classe, vide par chance. Il s'ébroua et se pinça le nez. Chaque fois, il avait l'impression de perdre l'odorat tant la pestilence de son lieu de travail contrastait avec les couloirs proprets de l'école. Il se passa une main dans les cheveux pour enlever le lien qui retenait ses cheveux de devant en un petit palmier, et fourragea dans sa frange pour la faire retomber sur ses yeux. Enfin, il sortit de la pièce et longea le couloir. Au début, il ne prêta pas attention aux regards étonnés qu'on lui jetait, occupé à se dépêcher de rejoindre son dortoir pour récupérer son sac et ne pas prendre plus de retard sur son cours qu'il n'en avait déjà. « Excuse-moi ? » Le ton polissé de certains congénères avait tendance à l'amuser, mais là, il était pressé, et cette fille le ralentissait. « Quoi ? » aboya-t-il. « Est-ce que tu es blessé ? Tu veux que je t'accompagne à l'infirmerie ? » « Hein ? » Il baissa les yeux et constata qu'il était couvert de sang et d'excréments. « C'est rien ça. » Il saisit une viscère qui pendait sur son épaule et la jeta distraitement sur le côté. Un garçon fit un bond de renard sur le côté pour éviter de se la prendre sur le nez. Jezeṃiās suçota le bout de ses doigts par réflexe et le regretta aussitôt. Ça allait lui ouvrir l'appétit et il n'avait vraiment pas le temps. La fille avait brusquement pâli et se mit à bégayer quelque chose qui ne l'intéressait pas vraiment. Il la poussa sur le côté pour poursuivre sa course. Ses méninges turbinaient, occupées à calculer quelle serait la plus grosse retenue qu'il gagnerait entre arriver propre mais avec un retard conséquent, ou s'y présenter maintenant, couvert de saletés. Lui, il savait que ça ne le dérangeait pas, mais ici, ils tenaient à faire respecter certaines règles de bienséance pour le bien de la communauté.

Statut : Ok par Sol ! Hâte de le voir traumatiser Basphel.

Merci par avance

Coucou !  

Lien du ou des sujets :
Le Bal d'Encens (première épreuve) : Message I | Message II | Message III

Gains :

Turquoise

Prénom - Turquoise
Sexe - Féminin
Race - Zhēnguì de Shítou

Pouvoirs :
- L'Éternité
- Vitesse Accrue
- Création de l'Eau
- Fu-Zang Long - lui permet de créer une petite pierre précieuse par mois, si le personnage est mauvais avec lui, ce sera du charbon

Particularité - Créature résidant sur les Terres d'Émeraude, le Zhēnguì de Shítou est un animal de compagnie des plus énergiques. C'est une race qui est signe de luxe, puisque des légendes disent qu'ils vivent près des filons de gemmes précieuses exploitées par les Orines ; ils y seraient très sensibles.

Physique - Chien de petite taille, élégant au port de tête fier, son garrot est d'environ trente centimètres, avec un poids variant de trois à cinq kilos. De grands yeux aux couleurs variées. Queue retombante et poilue, sans ondulation. Son pelage comporte des couleurs variables, mais ses coussinets restent strictement blanc. Du fait de son apparence physique particulière et de son visage barbu, il a souvent très chaud, ce qui fait que sa langue pendille. Il doit boire souvent.

Psychologie - Très joueur, il aime aussi voyager, surtout sur des navires. L'on dit que si son partenaire est bon avec lui, il le récompensera en lui donnant une pierre précieuse, dans le cas inverse, ce sera du charbon, jusqu'à ce que l'offense soit levée. Ils sont très faciles à vivre, mais ils ne sont pas très obéissant pour autant.

Code:

<div id="wrappper"><div class="titreprez cellule">Turquoise</div>
<div class="cellule"><img src="https://i.servimg.com/u/f83/11/47/94/71/zhuozu10.png" style="float:right;padding-left:5px" />[b]Prénom[/b] - Turquoise
[b]Sexe[/b] - Féminin
[b]Race[/b] - Zhēnguì de Shítou

[b]Pouvoirs[/b] :
- L'Éternité
- Vitesse Accrue
- Création de l'Eau
- Fu-Zang Long - [size=10]lui permet de créer une petite pierre précieuse par mois, si le personnage est mauvais avec lui, ce sera du charbon[/size]

[b]Particularité[/b] - Créature résidant sur les Terres d'Émeraude, le Zhēnguì de Shítou est un animal de compagnie des plus énergiques. C'est une race qui est signe de luxe, puisque des légendes disent qu'ils vivent près des filons de gemmes précieuses exploitées par les Orines ; ils y seraient très sensibles.

[b]Physique[/b] - Chien de petite taille, élégant au port de tête fier, son garrot est d'environ trente centimètres, avec un poids variant de trois à cinq kilos. De grands yeux aux couleurs variées. Queue retombante et poilue, sans ondulation. Son pelage comporte des couleurs variables, mais ses coussinets restent strictement blanc. Du fait de son apparence physique particulière et de son visage barbu, il a souvent très chaud, ce qui fait que sa langue pendille. Il doit boire souvent.

[b]Psychologie[/b] - Très joueur, il aime aussi voyager, surtout sur des navires. L'on dit que si son partenaire est bon avec lui, il le récompensera en lui donnant une pierre précieuse, dans le cas inverse, ce sera du charbon, jusqu'à ce que l'offense soit levée. Ils sont très faciles à vivre, mais ils ne sont pas très obéissant pour autant.
</div></div>

Lien vers sa fiche : Aubépine

Statut : Oki By Mitsu o/ Part avec son trésor rubis *_*

Merci ! pète un rubis pour la modo qui passera valider ça  

Bonne matinée

Alors, à défaut de rattraper mes déclarations, je vais quand même mettre à jour la fiche de Lysium parce qu'il a quand même changé de race il y a plusieurs années IRL 8D.

Lysium

Nom : Fortas-Petraliphas, mais il ne l'utilise plus.
Prénom : Lysium, principalement.
Titres : Élu des Portes ; Main d'Omi'Ake.
Sexe : Masculin.
Taille :  1,81
Âge apparent : Une vingtaine d'années.
Ère de naissance : Troisième partie de l'Ère de la Renaissance du Dieu Roi.
Race : Vampire.
Lignée : Lech.
Métier : X


Niveau : I (niveau I à 260 points RP)

Armes :  
- Une rapière.

Spécialités :
- Agilité : 10
- Force : 14
- Charisme : 16
- Intelligence : 11
- Magie : 11

Pouvoirs :
- Aliénation
- Contemple ton ombre
- Le lien du sang
- Révalation
- Charme

Gain de niveau 2
- Points de spécialité.

Gain de niveau 3
- X

POUVOIRS

- Les portes (Il s'agit du pouvoir de se téléporter aux portes via un halo de lumière qui apparaîtra à la demande. Les portes ne sont pas toujours les mêmes, elles ne mènent pas toujours aux mêmes endroits non plus mais, en règle générale, elles envoient vers des lieux qui seront soit utiles à l'individu, soit dans lesquels une intrigue importante sur les Terres du Yin et du Yang sera en cours.)
- Une paire d'ailes grises démoniaques
- Le Destin, ce chien (Lorsque Lysium rage à propos du Destin, une femme à la beauté époustouflante apparaît pour le guider.)
- Caméléon (Pouvoir permettant de changer la couleur de ses yeux et de ses cheveux, ainsi que la longueur de ceux-ci pour mieux se dissimuler).
- Le Jeu (Qui n’aime pas jouer ? Le Jeu est un pouvoir sensationnel pour ça. Il est capable de façonner n’importe quel jeu existant au monde. Il traduit naturellement les règles et explique par une voix sortie du néant comment jouer. Besoin d’un arbitre ? Le Jeu est là. Il fera tout pour que vos parties se passent bien et incitera votre entourage à jouer avec vous. On dit que Le Jeu serait à l’origine de bien des tournois interraciaux de jeux de société divers et variés et contribuerait à la paix et à la cohésion sociale. Pourtant, Le Jeu possède aussi ces vices car, petit à petit, à force de l’utiliser, de découvrir plusieurs styles de jeux, le pouvoir vous rendra accroc. Vous serez alors comme une marionnette entre les mains du Jeu, qui vous guidera toujours plus loin, toujours plus haut, sur le chemin de la dépendance et de la solitude. Car après tout, ces gens là-bas, ne connaissent pas aussi bien ce jeu que vous, si ? À quoi ça sert de jouer avec eux alors que vous savez très bien que vous allez gagner ? Pourquoi ne pas jouer contre vous-même, après tout ? Vous n’avez pas vraiment besoin de dormir et puis… vous êtes tellement occupé que vous oubliez de manger. Votre comportement devient de plus en plus irascible et pousse les autres à, justement, ne plus vouloir jouer avec vous. Le cercle vicieux a commencé. Dommage.)
- Création de l'or.
- Création de confettis.

ARMES
- X

ARTEFACTS
- Un arbuste qui produit, en fruits, des pièces d'or et d'argent.
- Une dinde qui pond des œufs soit en or, soit en chocolat, finement emballés.
- La clochette (Il s'agit d'une petite clochette dorée à faire teinter. Une fois que le son caractéristique retentira, un homme ou une femme apparaîtra, avec l'apparence d'une personne [Homme pour le moment inconnu - PNJ]. L'individu sera habillé de vert et de rouge, un petit chapeau sur la tête. Il vous donnera son prénom [Rudolph] et vous demandera ce qu'il peut faire pour vous. Il s'agit de petits services, des petites choses. Il ne pourra rien faire de maléfique.)
- Bouclier des ombres (confère l'invisibilité).
- Une armure enchantée (cotte de mailles ayant le pouvoir de coller tout ce qui touche sa surface extérieure).
- Amandine (Il s’agit d’une adorable petite poupée avec des cheveux châtains qui tirent un peu le roux et de grands yeux clairs et verts, avec un peu de gris et de marron. Elle ne mesure pas plus de quarante centimètres et elle est en porcelaine. C’est une jolie poupée, avec un regard droit et juste. Est-ce qu’elle vous veut du mal ? Pire : elle vous juge, de son regard tranchant. Amandine est une poupée un peu oppressante. Elle bouge toute seule et ne sera jamais là où vous l’avez posée. Dès que vous lui tournez le dos, elle n’en fait qu’à sa tête.  Est-elle une Enfant de Méduse, un peu à part, une membre de cette race parasite ? Peut-être. Quoi qu’il en soit, Amandine est magique, c’est indéniable. Elle viendra visiter vos rêves, hanter vos pensées. Elle est là pour vous rappeler vos priorités, et faire que vous ne déviez jamais de votre chemin, celui qu’elle estime être le meilleur et que vous devez suivre. Elle vous poussera vers l’excellence. Vous risquez de trouver des objets ne vous appartenant pas, chez vous. N’est-ce pas un ouvrage très rare, idéal pour parfaire vos connaissances dans ce domaine où vous cherchez à exceller ? Ou bien l’objet qui vous manquait pour réussir votre quête ? Il est là, posé juste à côté de la Poupée Amandine, sur la table. Pas là où elle était hier soir donc ... Amandine fera tout pour vous. Mais ne décevez jamais Amandine. Car si vous baissez dans son estime, elle risque d’employer des techniques plus … radicales, pour vous faire emprunter le chemin que vous devez suivre. Elle ne rechignera pas à vous enfermer et vous garder captif jusqu’à ce qu’elle estime que cela est assez, dans le meilleur des cas. Fait intéressant : la Poupée Amandine semble devenir plus virulente au contact de la Poupée Charlène. Amandine est une poupée magique à la puissance effrayante. Bien supérieure à la vôtre. Pas la peine d’essayer de la jeter. Elle sait où vous habitez. Déménagez ? Elle vous retrouvera.)
- Une statue de sa personne sur l'Île d'Omi'Ake (Votre personnage a aidé à résoudre un conflit qui durait depuis des siècles et des siècles entre les Anges et les Démons de l'Île d'Omi'Ake. Un Dieu a donc décidé d'ériger une statue pour chaque Élu des Portes, conforme à son image, avec son nom gravé sur le socle de la statue. Votre personnage, lorsqu'il le désire, peut être téléporté sur l'Île par l'intermédiaire de cette statue qui disparaîtra le temps de sa visite et réapparaîtra à l'endroit où il souhaitera retourner chez lui, dans la position prise alors).

~ Formes de magie
- Magie des Ténèbres
- Magie du Sang

~ Patrimoine et réputation
- Richesse à vie.
- Une propriété à l'apparence lugubre, avec un personnel étrange, sur l'île de Grimmrock.
- 30 PNJ d'un niveau inférieur à votre personnage qui lui seront dévoués [Troupe de théâtre].
- La Popularité d'Omi'Ake (Grâce à la statue en son nom, votre personnage gagnera de plus en plus en renommé au fil du temps, au fur et à mesure que la Légende de la Guerre Finale d'Omi'Ake se racontera de génération en génération. Il est considéré comme un Dieu-Vivant).

Particularité : Ancien sorcier ayant été transformé de par son statut d'élu d'Hel'Dra. Appartient au Temple de Rhéa Latia.

Roleplay :

« Tu sais, ça peut encore être le début d’un nouveau chapitre. » – « Si on clôt un roman, on ne peut pas commencer un nouveau chapitre. Ta métaphore n’a aucun sens. » – « Tu comprends ce que je veux dire. » – « Oui. Bon, admettons que j’accepte. Comment est-ce ça se passerait ? » – « Il faut d’abord que tu lises nos textes. » Un livre sacré intriguant mais particulièrement indigeste, qu’on lui avait donné récemment. C’était plus divertissant que de regarder le plafond. « J’y travaille. Mais avant de m’engager, je veux en savoir plus. » Il aimait agir comme s’il avait encore le choix. « Est-ce que je vais devoir devenir… » Lysium toucha ses canines. Il n’avait aucune envie de se transformer en suceur de sang.

« Oui. » Ce n’était pas nécessaire pour intégrer l’Empire, mais les Lech servaient aussi leurs propres intérêts. « Et oui, les crocs viennent en même temps que la transformation. Je ne vois même pas pourquoi tu te poses la question. » – « On sait jamais. Je ne suis pas si informé que ça sur les vôtres. » Pour sa défense, le peuple vampirique semblait être dans un sommeil perpétuel dont il ne se réveillait qu’occasionnellement, pour conquérir un territoire, renverser leur gouvernement ou entrer en guerre avec une nation aussi inintéressante que la leur. Le reste du temps ? Lysium n’avait aucune idée de ce qu’ils pouvaient bien faire. « J’ai fait une liste de questions. » Il s’éclaircit la gorge.

« Forcément. C’est élémentaire : on est des vampires, on mange des gens. » – « Comment ça “on mange des gens” ? Je croyais que vous buviez du sang. » — « Oui. Manger, boire, c’est pareil. » – « Alors non, monsieur, il y a une différence. Je vais pas rogner les os de quelqu’un comme un chien, c’est répugnant. » – « Oui, c’est sûr, mais le sang est plus visqueux que l’eau. C’est un repas, pour nous. » – « C’est suffisamment liquide pour être considéré comme une boisson. » — « Non. Certaines soupes ont la même texture, et pour autant que je sache tu appellerais ça un repas. » – « Je crains de ne pas pouvoir répondre. Je ne suis pas de ceux qui ont besoin de limiter les dépenses au point de manger de la soupe. » – « Tu vois ? Tu viens de dire “manger”. J’ai raison. » — « Ah. Mais c’est parce que la soupe est salée ! » – « Tu crois que le sang est sucré ? À moins de tomber sur un diabétique… »

« Soit. Il n’empêche que “manger du sang”, ça n’a aucun sens. » – « Pourtant vous le faites aussi. Le boudin est bien une charcuterie sorcière, non ? » – « Le boudin noir. Le boudin blanc, lui, est une spécialité magicienne. C’est de là qu’ils tirent leurs noms respectifs. » — « Hm. Si je puis me permettre, ce serait bien que vous appreniez à vous différencier avec autre chose que des couleurs. » – « Comment osez-vous… bon, passons. » L’envie de défendre sa nation était grande, mais il ne pouvait s’empêcher de regarder sa propre race avec amertume. Après tout, ils l’avaient essentiellement envoyé à l’abattoir. « En oubliant la sémantique : est-ce qu’il y a une raison pour laquelle vous parlez de “manger” et non pas de “boire” ? Est-ce que vous mangez du sang coagulé ? Est-ce que vous le préparez parfois d’une manière ou d’une autre ? C’est ça, ma crainte. »

« La plupart des vampires ne s’embêterait pas avec la cuisine. Le goût du sang suffit, et il est meilleur frais. » – « Tant mieux. Et est-ce que vous mangez de la chair ? » – « Et bien… techniquement, ça doit arriver, oui. On n’a pas tous des dents aiguisées comme des rasoirs, et on n’est pas non plus aussi efficaces que des pompes à fontaines, donc suivant où tu mords, parfois il faut faire un peu travailler sa mâchoire, et quelques bouts de chair peuvent… » – « C’est ignoble. » – « Comment ça ? C’est naturel, je te signale. Et tu es mal placé pour nous juger, venant d’une race qui copule avec des cadavres. » – « On fait pas ça, c’est une rumeur ! » – « Sois honnête. Statistiquement parlant, quelle nation a le plus de chances d’abriter des nécrophiles ? Celle qui est connue pour animer les corps, ou les autres ? »

« Soit. C’est bon. N’en dis pas plus. » – « Tu es convaincu ? » – « Non, je suis dégoûté. » – « Tu peux toujours choisir d’être mangé. Ou bu, si tu préfères ce terme. » – « Honnêtement, je préfère mourir plutôt que de rester captif ici. » – « Si tu nous rejoins, tu serais libre d’aller où bon te semble. » – « Et si ça ne marche pas ? Et si je me transforme en une créature comme celle que vous m’avez montrée ? » – « Crois en ton potentiel. » – « Je croyais en mon potentiel et maintenant je suis dans un donjon. Voyez où ça m’a mené. » – « Donc tu préfères mourir que tenter ta chance d’être choisi par Rhéa Latia, en plus d’être un élu de la Déesse de la Conciliation ? » – « Hel’Dra peut mettre son toucher divin là où je pense, c’est à cause d’elle que je suis ici. » – « C’est grâce à elle, plutôt. Penses-tu vraiment que tu aurais pu te creuser une place, chez les sorciers ? Je t’en prie. Les trois autres membres de ta famille sont tous plus compétents que toi, et ils te mettaient une pression folle. Ils auraient fini par te rendre fou. » – « Parce que j’ai l’air sain, ici ? » – « Tu es plus lucide que tu ne l’as jamais été, car tu te détaches des stupides considérations sociétales qu’on t’a inculquées. Tu as appris des choses que tu pensais infondées. Tu évolues. »

Code:

<div id="wrappper"><div class="titreprez cellule">Lysium</div>
<div class="cellule"><img src="https://www.zupimages.net/up/21/04/68qx.png" style="float:right;padding-left:5px" />[b]Nom[/b] : Fortas-Petraliphas, mais il ne l'utilise plus.
[b]Prénom[/b] : Lysium, principalement.
[b]Titres[/b] : Élu des Portes ; Main d'Omi'Ake.
[b]Sexe[/b] : Masculin.
[b]Taille[/b] :  1,81
[b]Âge apparent[/b] : Une vingtaine d'années.
[b]Ère de naissance[/b] : Troisième partie de l'Ère de la Renaissance du Dieu Roi.
[b]Race[/b] : Vampire.
[b]Lignée[/b] : Lech.
[b]Métier[/b] : X


[b]Niveau[/b] : I (niveau I à 260 points RP)

[b]Armes[/b] :  
- Une rapière.

[b]Spécialités[/b] :
- Agilité : 10
- Force : 14
- Charisme : 16
- Intelligence : 11
- Magie : 11

[b]Pouvoirs[/b] :
- Aliénation
- Contemple ton ombre
- Le lien du sang
- Révalation
- Charme

[b]Gain de niveau 2[/b]
- Points de spécialité.

[b]Gain de niveau 3[/b]
- X

[b]POUVOIRS[/b]

- Les portes [size=10](Il s'agit du pouvoir de se téléporter aux portes via un halo de lumière qui apparaîtra à la demande. Les portes ne sont pas toujours les mêmes, elles ne mènent pas toujours aux mêmes endroits non plus mais, en règle générale, elles envoient vers des lieux qui seront soit utiles à l'individu, soit dans lesquels une intrigue importante sur les Terres du Yin et du Yang sera en cours.) [/size]
- Une paire d'ailes grises démoniaques
- Le Destin, ce chien [size=10](Lorsque Lysium rage à propos du Destin, une femme à la beauté époustouflante apparaît pour le guider.) [/size]
- Caméléon [size=10](Pouvoir permettant de changer la couleur de ses yeux et de ses cheveux, ainsi que la longueur de ceux-ci pour mieux se dissimuler). [/size]
- Le Jeu [size=10](Qui n’aime pas jouer ? Le Jeu est un pouvoir sensationnel pour ça. Il est capable de façonner n’importe quel jeu existant au monde. Il traduit naturellement les règles et explique par une voix sortie du néant comment jouer. Besoin d’un arbitre ? Le Jeu est là. Il fera tout pour que vos parties se passent bien et incitera votre entourage à jouer avec vous. On dit que Le Jeu serait à l’origine de bien des tournois interraciaux de jeux de société divers et variés et contribuerait à la paix et à la cohésion sociale. Pourtant, Le Jeu possède aussi ces vices car, petit à petit, à force de l’utiliser, de découvrir plusieurs styles de jeux, le pouvoir vous rendra accroc. Vous serez alors comme une marionnette entre les mains du Jeu, qui vous guidera toujours plus loin, toujours plus haut, sur le chemin de la dépendance et de la solitude. Car après tout, ces gens là-bas, ne connaissent pas aussi bien ce jeu que vous, si ? À quoi ça sert de jouer avec eux alors que vous savez très bien que vous allez gagner ? Pourquoi ne pas jouer contre vous-même, après tout ? Vous n’avez pas vraiment besoin de dormir et puis… vous êtes tellement occupé que vous oubliez de manger. Votre comportement devient de plus en plus irascible et pousse les autres à, justement, ne plus vouloir jouer avec vous. Le cercle vicieux a commencé. Dommage.) [/size]
- Création de l'or.
- Création de confettis.

[b]ARMES[/b]
- X

[b]ARTEFACTS[/b]
- Un arbuste qui produit, en fruits, des pièces d'or et d'argent.
- Une dinde qui pond des œufs soit en or, soit en chocolat, finement emballés.
- La clochette [size=10](Il s'agit d'une petite clochette dorée à faire teinter. Une fois que le son caractéristique retentira, un homme ou une femme apparaîtra, avec l'apparence d'une personne [Homme pour le moment inconnu - PNJ]. L'individu sera habillé de vert et de rouge, un petit chapeau sur la tête. Il vous donnera son prénom [Rudolph] et vous demandera ce qu'il peut faire pour vous. Il s'agit de petits services, des petites choses. Il ne pourra rien faire de maléfique.) [/size]
- Bouclier des ombres (confère l'invisibilité).
- Une armure enchantée [size=10](cotte de mailles ayant le pouvoir de coller tout ce qui touche sa surface extérieure). [/size]
- Amandine [size=10](Il s’agit d’une adorable petite poupée avec des cheveux châtains qui tirent un peu le roux et de grands yeux clairs et verts, avec un peu de gris et de marron. Elle ne mesure pas plus de quarante centimètres et elle est en porcelaine. C’est une jolie poupée, avec un regard droit et juste. Est-ce qu’elle vous veut du mal ? Pire : elle vous juge, de son regard tranchant. Amandine est une poupée un peu oppressante. Elle bouge toute seule et ne sera jamais là où vous l’avez posée. Dès que vous lui tournez le dos, elle n’en fait qu’à sa tête.  Est-elle une Enfant de Méduse, un peu à part, une membre de cette race parasite ? Peut-être. Quoi qu’il en soit, Amandine est magique, c’est indéniable. Elle viendra visiter vos rêves, hanter vos pensées. Elle est là pour vous rappeler vos priorités, et faire que vous ne déviez jamais de votre chemin, celui qu’elle estime être le meilleur et que vous devez suivre. Elle vous poussera vers l’excellence. Vous risquez de trouver des objets ne vous appartenant pas, chez vous. N’est-ce pas un ouvrage très rare, idéal pour parfaire vos connaissances dans ce domaine où vous cherchez à exceller ? Ou bien l’objet qui vous manquait pour réussir votre quête ? Il est là, posé juste à côté de la Poupée Amandine, sur la table. Pas là où elle était hier soir donc ... Amandine fera tout pour vous. Mais ne décevez jamais Amandine. Car si vous baissez dans son estime, elle risque d’employer des techniques plus … radicales, pour vous faire emprunter le chemin que vous devez suivre. Elle ne rechignera pas à vous enfermer et vous garder captif jusqu’à ce qu’elle estime que cela est assez, dans le meilleur des cas. Fait intéressant : la Poupée Amandine semble devenir plus virulente au contact de la Poupée Charlène. Amandine est une poupée magique à la puissance effrayante. Bien supérieure à la vôtre. Pas la peine d’essayer de la jeter. Elle sait où vous habitez. Déménagez ? Elle vous retrouvera.) [/size]
- Une statue de sa personne sur l'Île d'Omi'Ake [size=10](Votre personnage a aidé à résoudre un conflit qui durait depuis des siècles et des siècles entre les Anges et les Démons de l'Île d'Omi'Ake. Un Dieu a donc décidé d'ériger une statue pour chaque Élu des Portes, conforme à son image, avec son nom gravé sur le socle de la statue. Votre personnage, lorsqu'il le désire, peut être téléporté sur l'Île par l'intermédiaire de cette statue qui disparaîtra le temps de sa visite et réapparaîtra à l'endroit où il souhaitera retourner chez lui, dans la position prise alors). [/size]

[b]~ Formes de magie[/b]
- Magie des Ténèbres
- Magie du Sang

[b]~ Patrimoine et réputation[/b]
- Richesse à vie.
- Une propriété à l'apparence lugubre, avec un personnel étrange, sur l'île de Grimmrock.
- 30 PNJ d'un niveau inférieur à votre personnage qui lui seront dévoués [Troupe de théâtre].
- La Popularité d'Omi'Ake [size=10](Grâce à la statue en son nom, votre personnage gagnera de plus en plus en renommé au fil du temps, au fur et à mesure que la Légende de la Guerre Finale d'Omi'Ake se racontera de génération en génération. Il est considéré comme un Dieu-Vivant). [/size]

[b]Particularité[/b] : Ancien sorcier ayant été transformé de par son statut d'élu d'Hel'Dra. Appartient au Temple de Rhéa Latia.

[b]Roleplay[/b] :

[color=MidnightBlue]« Tu sais, ça peut encore être le début d’un nouveau chapitre. »[/color] – [color=#999900]« Si on clôt un roman, on ne peut pas commencer un nouveau chapitre. Ta métaphore n’a aucun sens. »[/color] – [color=MidnightBlue]« Tu comprends ce que je veux dire. »[/color] – [color=#999900]« Oui. Bon, admettons que j’accepte. Comment est-ce ça se passerait ? »[/color] – [color=MidnightBlue]« Il faut d’abord que tu lises nos textes. »[/color] Un livre sacré intriguant mais particulièrement indigeste, qu’on lui avait donné récemment. C’était plus divertissant que de regarder le plafond. [color=#999900]« J’y travaille. Mais avant de m’engager, je veux en savoir plus. »[/color] Il aimait agir comme s’il avait encore le choix. [color=#999900]« Est-ce que je vais devoir devenir… »[/color] Lysium toucha ses canines. Il n’avait aucune envie de se transformer en suceur de sang.

[color=MidnightBlue]« Oui. »[/color] Ce n’était pas nécessaire pour intégrer l’Empire, mais les Lech servaient aussi leurs propres intérêts. [color=MidnightBlue]« Et oui, les crocs viennent en même temps que la transformation. Je ne vois même pas pourquoi tu te poses la question. »[/color] – [color=#999900]« On sait jamais. Je ne suis pas si informé que ça sur les vôtres. »[/color] Pour sa défense, le peuple vampirique semblait être dans un sommeil perpétuel dont il ne se réveillait qu’occasionnellement, pour conquérir un territoire, renverser leur gouvernement ou entrer en guerre avec une nation aussi inintéressante que la leur. Le reste du temps ? Lysium n’avait aucune idée de ce qu’ils pouvaient bien faire. [color=MidnightBlue]« J’ai fait une liste de questions. »[/color] Il s’éclaircit la gorge.

[color=MidnightBlue]« Forcément. C’est élémentaire : on est des vampires, on mange des gens. »[/color] – [color=#999900]« Comment ça “on mange des gens” ? Je croyais que vous buviez du sang. »[/color] — [color=MidnightBlue]« Oui. Manger, boire, c’est pareil. »[/color] – [color=#999900]« Alors non, monsieur, il y a une différence. Je vais pas rogner les os de quelqu’un comme un chien, c’est répugnant. »[/color] – [color=MidnightBlue]« Oui, c’est sûr, mais le sang est plus visqueux que l’eau. C’est un repas, pour nous. »[/color] – [color=#999900]« C’est suffisamment liquide pour être considéré comme une boisson. »[/color] — [color=MidnightBlue]« Non. Certaines soupes ont la même texture, et pour autant que je sache tu appellerais ça un repas. »[/color] – [color=#999900]« Je crains de ne pas pouvoir répondre. Je ne suis pas de ceux qui ont besoin de limiter les dépenses au point de manger de la soupe. »[/color] – [color=MidnightBlue]« Tu vois ? Tu viens de dire “manger”. J’ai raison. »[/color] — [color=#999900]« Ah. Mais c’est parce que la soupe est salée ! »[/color] – [color=MidnightBlue]« Tu crois que le sang est sucré ? À moins de tomber sur un diabétique… »[/color]

[color=#999900]« Soit. Il n’empêche que “manger du sang”, ça n’a aucun sens. »[/color] – [color=MidnightBlue]« Pourtant vous le faites aussi. Le boudin est bien une charcuterie sorcière, non ? »[/color] – [color=#999900]« Le boudin noir. Le boudin blanc, lui, est une spécialité magicienne. C’est de là qu’ils tirent leurs noms respectifs. »[/color] — [color=MidnightBlue]« Hm. Si je puis me permettre, ce serait bien que vous appreniez à vous différencier avec autre chose que des couleurs. »[/color] – [color=#999900]« Comment osez-vous… bon, passons. »[/color] L’envie de défendre sa nation était grande, mais il ne pouvait s’empêcher de regarder sa propre race avec amertume. Après tout, ils l’avaient essentiellement envoyé à l’abattoir. [color=#999900]« En oubliant la sémantique : est-ce qu’il y a une raison pour laquelle vous parlez de “manger” et non pas de “boire” ? Est-ce que vous mangez du sang coagulé ? Est-ce que vous le préparez parfois d’une manière ou d’une autre ? C’est ça, ma crainte. »[/color]

[color=MidnightBlue]« La plupart des vampires ne s’embêterait pas avec la cuisine. Le goût du sang suffit, et il est meilleur frais. »[/color] – [color=#999900]« Tant mieux. Et est-ce que vous mangez de la chair ? »[/color] – [color=MidnightBlue]« Et bien… techniquement, ça doit arriver, oui. On n’a pas tous des dents aiguisées comme des rasoirs, et on n’est pas non plus aussi efficaces que des pompes à fontaines, donc suivant où tu mords, parfois il faut faire un peu travailler sa mâchoire, et quelques bouts de chair peuvent… »[/color] – [color=#999900]« C’est ignoble. »[/color] – [color=MidnightBlue]« Comment ça ? C’est naturel, je te signale. Et tu es mal placé pour nous juger, venant d’une race qui copule avec des cadavres. »[/color] – [color=#999900]« On fait pas ça, c’est une rumeur ! »[/color] – [color=MidnightBlue]« Sois honnête. Statistiquement parlant, quelle nation a le plus de chances d’abriter des nécrophiles ? Celle qui est connue pour animer les corps, ou les autres ? »[/color]

[color=#999900]« Soit. C’est bon. N’en dis pas plus. »[/color] – [color=MidnightBlue]« Tu es convaincu ? »[/color] – [color=#999900]« Non, je suis dégoûté. »[/color] – [color=MidnightBlue]« Tu peux toujours choisir d’être mangé. Ou bu, si tu préfères ce terme. »[/color] – [color=#999900]« Honnêtement, je préfère mourir plutôt que de rester captif ici. »[/color] – [color=MidnightBlue]« Si tu nous rejoins, tu serais libre d’aller où bon te semble. »[/color] – [color=#999900]« Et si ça ne marche pas ? Et si je me transforme en une créature comme celle que vous m’avez montrée ? »[/color] – [color=MidnightBlue]« Crois en ton potentiel. »[/color] – [color=#999900]« Je croyais en mon potentiel et maintenant je suis dans un donjon. Voyez où ça m’a mené. »[/color] – [color=MidnightBlue]« Donc tu préfères mourir que tenter ta chance d’être choisi par Rhéa Latia, en plus d’être un élu de la Déesse de la Conciliation ? »[/color] – [color=#999900]« Hel’Dra peut mettre son toucher divin là où je pense, c’est à cause d’elle que je suis ici. »[/color] – [color=MidnightBlue]« C’est grâce à elle, plutôt. Penses-tu vraiment que tu aurais pu te creuser une place, chez les sorciers ? Je t’en prie. Les trois autres membres de ta famille sont tous plus compétents que toi, et ils te mettaient une pression folle. Ils auraient fini par te rendre fou. »[/color] – [color=#999900]« Parce que j’ai l’air sain, ici ? »[/color] – [color=MidnightBlue]« Tu es plus lucide que tu ne l’as jamais été, car tu te détaches des stupides considérations sociétales qu’on t’a inculquées. Tu as appris des choses que tu pensais infondées. Tu évolues. »[/color]

<!-- NE PAS SUPPRIMER CETTE BALISE DIV A DROITE --></div></div>

Lien vers sa fiche : iciiii

Statut : Quitter les Sorciers devrait être puni par la loi. Mais bon, ok quand même. Tout le monde ne peut pas être dans la meilleure race de tous les temps ! Heureusement que j'ai Eris en vrai sinon je devrais me critiquer moi-même /sbaf

Merci !

Bonjour !

Je viens mettre à jour la fiche de Leigh :

Leigh Dogma

Nom : Dogma
Prénom : Lysistrate
Surnom : Leigh
Titre : Isemssith
Sexe : F
Taille : 1.70m
ge apparent : entre 25 et 30 ans
Ère de naissance : Ère de la Conciliation
Race : Démon
Métier : Prostituée [Rang I]

Niveau : 2 (Niveau I à partir de 74 point)

Armes :  
- Un couteau de sacrifice

Spécialités :
- Agilité : 7
- Force : 13
- Charisme : 14
- Intelligence : 12
- Magie : 7

Pouvoirs :
- Le pacte démoniaque
- Le reflet de l’autre
- La tentation du Diable
- Contrôle des ombres
- Prendre possession d’autrui

Gain de niveau 2
- Points de spécialité

Gain de niveau 3
- X

POUVOIRS
- Un lien particulier lie votre personnage à Elias Salvatore. Il s'agit d'un lien d'amour, de respect et de soumission consenti au moment du rêve. Vos deux personnages deviennent capables de communiquer par la pensée et de faire preuve d'empathie l'un envers l'autre. L'Orine possède néanmoins une caractéristique de soumission par rapport à son Aisuru. Elle cherchera à l'aider au mieux et à répondre à ses besoins. Elle ne pourra pas trahir ses secrets. Il se peut également qu'elle développe une attirance physique pour son Aisuru et trouve excitant de s'imaginer attachée par ses soins.
- Le Sexe : Le sexe fait partie d’un des plus grands plaisirs de la vie. Voir quelqu’un tout nu, effleurer sa peau, crée des sensations nouvelles, rajeunissantes et terriblement enrichissantes. Le Sexe permet à celui qui l’utilise d’avoir des détails croustillants sur l’anatomie de ceux qui croisent sa route. Cependant, ce n’est pas tout, et loin de là. Le pouvoir permet de faire des blagues, en incitant les individus à parler de façon clairement sous-entendue ou, au contraire, à cacher les mots sexuels par d’autres mots. Ainsi, la personne ne dira plus pénis mais concombre, par exemple. Ce petit côté du Sexe est plutôt amusant mais la suite va vous étonner. En effet, inspiré de la Luxure en Flacon, Le Sexe permet d’éveiller le désir chez les individus (ou même chez vous). Ce désir n’est cependant pas contrôlé. Si vous souhaitez qu’un individu vous désire en utilisant Le Sexe, il se peut que vous soyez légèrement déçus en le voyant désirer une autre personne. Quoi qu’il en soit, la libido ainsi éveillée entraînera les conséquences physiques qui s’y rattachent. C’est génial, me direz-vous, surtout lorsque vous prenez de l’âge. Seulement voilà, à l’instar de son homologue en bouteille, Le Sexe peut s’avérer être un puissant poison, du style qui gâche la vie à celui qui en ressent les effets. Durant des heures, des jours même, les effets peuvent perdurer, changeant le plaisir en une affreuse douleur, tant et si bien que l’individu peut parfois s’adonner à des comportements extrêmes pour s’empêcher de souffrir de la sorte. Vraiment, un grand plaisir.

ARMES
- Obsession : Il s’agit d’une boîte remplie de toutes petites aiguilles. “Rien de bien méchant”, dites-vous ? Détrompez-vous. Elles sont redoutablement efficaces et particulièrement retord. C’est une façon assez vicieuse d’agir. Mais c’est tellement jouissif. Il suffit de planter une aiguille dans la chair de quelqu’un. Elle est si petite … Ils sont nombreux à ne pas remarquer cette intrusion. Certains pensent qu’ils ont été piqués par un insecte. Pas de quoi s’inquiéter en somme. Pourtant, les effets d’Obsession ne tarderont pas à se manifester. A envahir l’esprit. Une petite rengaine se mettra à tourner dans un coin de la tête. Une ritournelle entêtante, qui rongera peu à peu les restes de la raison. Il faut en finir. Il faut mettre fin à ses jours. Cette idée sera fixe et il n’y a que deux issus possibles : la mort - que la personne se sera elle-même donnée - ou la vie - si l’aiguille est retirée. Vaincre Obsession est aussi simple que cela. Il faut simplement retirer l’aiguille et soigner la petite plaie. Encore faut-il que vous remarquiez sa présence.

ARTEFACTS
- Confluence - d'un naturel bleu traversé de veines plus pâles, voire blanches, la Confluence est une pierre tout ce qu'il y a de plus banale et fera une très belle décoration. Néanmoins, si vous l'avez sur vous lors de la traversée d'un lieu aride et que votre gourde est à sec, il suffira de creuser un trou dans le sable et l'y enterrer. Attendez quelques minutes, car il lui faut du temps pour appeler à elle l'eau qui se trouve dans les strates souterraines pour étancher votre soif.
- La tenue rouge de Quetzalcoatl : Il s'agit d'une tenue composée d'un long manteau, bottes, gants, pantalon serré et chemise. Elle vous tiendra toujours au frais lorsque vous la portez, peu importe les températures chaudes autour de vous et peu importe si des morceaux de votre peau sont dénudés. Elle est rouge et dorée, dans un tissu inconnu mais qui rappelle du cuir animal. Son style rappelle quelque peu la mode Sorcière, Elfique ou Magicienne mais les nombreux symboles tribaux qui la recouvrent empêchent de lui mettre une étiquette précise. Elle vient d'une mode inconnue, qui a piqué ses inspirations partout dans le monde. La tenue activera en vous des effets secondaires quand vous la portez, qui sont reliés aux symboliques Chamaniques : [Le rouge est associé à la passion, plus généralement aux sentiments forts. Il peut symboliser l'amour, donc la fidélité qu'une personne éprouve pour une personne, il peut également témoigner d'une réelle passion pour une activité, un lieu, etc. Un rouge foncé englobe la colère, une puissante envie de vengeance ou de vaincre à tout prix. Un rouge très vif montre les sentiments d'amour. Selon donc les nuances qu'on accorde au rouge, il peut symboliser la stabilité ou l'instabilité, à se rapprocher des autres ou au contraire à se détacher d'eux.]

~ Formes de magie
- Magie des Ténèbres (Native)
- Magie de Pourpre (Native)

~ Patrimoine et réputation
- Popularité nationale | Démons
- Popularité nationale | Sorciers
- Un établissement commercial | Un bordel en Enfer
- 10 PNJ Serviteurs d'un niveau inférieur au vôtre | Démons

Particularité : Sous forme démoniaque, c’est une aveugle sadomasochiste. Sous forme humaine, c’est juste une sadomasochiste.

Physionomie : Leigh n’aime pas vraiment prendre sa forme humaine. Elle n’aime pas être cette femme à la peau noire et chaude, ses longs cheveux bruns nattés. Elle est trop parfaite à son goût. Ses courbes au galbe déroutant, sa peau trop impeccable, ses yeux trop chaleureux. Cette forme n’est qu’un outil qu’elle utilise pour faire bonne figure et pourquoi pas, attirer autrui dans son lit.

Lorsqu’elle se sait à l’aise et tranquille, Leigh n’hésite pas à reprendre sa véritable apparence : celle d’une femme maigre à la peau encore plus sombre et dont la moitié du visage est parfois cachée par un bandeau. Si vous vouliez voir la couleur de ses yeux, vous n’y verriez que deux globes remplis de sang. Ses côtes saillantes et ses clavicules tirent sur sa peau frêle, recouvertes de nombreuses cicatrices, dont certaines sont encore ouvertes. Ses bras et ses jambes en particuliers ressemblent à des membres qu’on lui aurait arraché avant de les recoudre au bon endroit.

Psychologie : Dépressive et fanatique, Leigh met un point d’honneur à ne pas faire de son existence une vie paisible et bien rangée. Vouant un culte passionnel et dérangeant pour la douleur depuis sa plus tendre enfance, la Démone aime les frissons que procurent la déraison et le danger. Éprouver violemment sont les maîtres mots. Ainsi semble-t-elle ne jamais connaître la colère, puisque tout malheur est considéré comme une aubaine.

La Démone est également adepte des plaisirs charnels. Ses deux loisirs ne font souvent qu’un, que ce soit seule, avec un homme, une femme, ou à plusieurs. Elle est loin d’être pudique. Si elle cache ses cicatrices, ce n’est que par jeu, pour le plaisir de voir, ou du moins, d’imaginer la réaction des curieux…

Histoire : RP précédent : Dogma aeternam

TW GORE
-Tu es prêt ?

Le visage entre ses mains acquiesça. Elle les laissa glisser sur le cou puis le torse de son frère, contre lequel elle garda son appui. Son sens de l'équilibre était rudement mis à l'épreuve. La douleur qui lui transperça le crâne par deux ne devait pas y être pour rien. Elle en tremblait tout entière, en particulier ses doigts, dont on ne pouvait plus dire qu’elle avait le contrôle. C’était presque des spasmes.

-Tu n’hésiteras pas, n’est-ce pas ?

-Tu es la seule à hésiter dans cette pièce, Leigh.

Elle rit sans vigueur, mais cela ressembla davantage à un râle plaintif. C’était probablement vrai. Le sang coulait sur ses joues, longeait l’arête de son nez et glissait à l’horizontale sur la commissure de ses lèvres. Elle les lécha. Le goût de sa propre vie inonda sa bouche. Elle en avait besoin, plus que jamais. Tout le sang qu’elle avait ingurgité jusqu’ici n’était rien comparé à la préciosité de son propre fluide vital.

-Bois aussi.

Il n’avait pas encore rempli la coupe. L’aider à s’être crevé les yeux n’était pas suffisant.

-Après.

Elle reposa son front contre le pourpoint de son frère. Cette proximité le dérangeait, surtout qu’elle était nue. Elle le savait, mais elle se fichait pas mal de ce qu'il pensait. Elle n'était pas dans son état normal.

-J’ai peur…

-On ira chercher un médecin.

Elle entendit à sa voix qu’il souriait. Agazio l’écarta en la prenant par les épaules. Elle était bien plus frêle que lui. Les derniers jours avaient été dédiés à de petits châtiments sur sa personne, ce qui avait suffi à l'affaiblir et lui faire perdre beaucoup de poids. Cette fois-ci, ils avaient choisi de passer à l’étape des séquelles définitives.

Agazio la fit s’asseoir par terre. Elle ressemblait à un animal blessé. Il trouvait cette mise en scène pitoyable, mais au moins, ils seraient fixés sur la solidité des convictions que Lysistratait proférait depuis toutes ces années. Le Sorcier avait prévu d'y aller plus fort que prévu sur la torture. Ainsi, Ethelba trancherait ne bonne fois pour toutes.

La frère mit en marche la Valse Destructrice. Un cri de surprise, puis un rire nerveux. Puisque Leigh était du genre à trouver ça drôle, il fit tordre davantage ses chairs. Les assauts se multiplièrent. La suppliciée pleurait, tout en récitant quelques psaumes à l’attention de la déesse. Lui s’acharnait, prenant un plaisir cordial à déchirer sa peau et tordre ses tissus, la brûler, la soumettre, lui arracher çà et là quelques morceaux de chair.

Pour une seule personne, l’endroit s’était transformé en un bain de sang. Agazio ne comprenait pas comment sa sœur avait encore la force de crier. Il arrivait généralement un temps où l’on n’y parvenait même plus. D’un mouvement imperceptible du doigt, le Sorcier renvoya sa magie s’engager dans un grand final. Aussitôt, tous les membres de Leigh craquèrent d’un seul coup, volèrent, puis s'écrasèrent par terre en même temps que le silence.

-Leigh ?

Sans réponse à son appel, il s’engagea dans la mare de sang poisseux. Il s’agenouilla et pressa deux doigts sur la gorge de sa sœur. Rien.

-...

Il y était allé trop fort sans faire exprès. Enfin… un peu. Agazio posa ses genoux sur le sol sans considération pour ses vêtements. Il caressa son corps, puis lécha sa main rougie. Il trouva dans le sang le goût de l’amertume, mais aussi celui de la satisfaction : Leigh avait eu tort et elle en avait payé le prix.

Code:

<div id="wrappper"><div class="titreprez cellule">Leigh Dogma</div>
<div class="cellule"><img src="https://i.servimg.com/u/f62/19/57/04/49/dogma110.png" style="float:right;padding-left:5px" />[b]Nom[/b] : Dogma
[b]Prénom[/b] : Lysistrate
[b]Surnom[/b] : Leigh
[b]Titre[/b] : Isemssith
[b]Sexe[/b] : F
[b]Taille[/b] : 1.70m
[b]ge apparent[/b] : entre 25 et 30 ans
[b]Ère de naissance[/b] : Ère de la Conciliation
[b]Race[/b] : Démon
[b]Métier[/b] : Prostituée [Rang I]

[b]Niveau[/b] : 2 (Niveau I à partir de 74 point)

[b]Armes[/b] :  
- Un couteau de sacrifice

[b]Spécialités[/b] :
- Agilité : 7
- Force : 13
- Charisme : 14
- Intelligence : 12
- Magie : 7

[b]Pouvoirs[/b] :
- Le pacte démoniaque
- Le reflet de l’autre
- La tentation du Diable
- Contrôle des ombres
- Prendre possession d’autrui

[b]Gain de niveau 2[/b]
- Points de spécialité

[b]Gain de niveau 3[/b]
- X

[b]POUVOIRS[/b]
- Un lien particulier lie votre personnage à Elias Salvatore. Il s'agit d'un lien d'amour, de respect et de soumission consenti au moment du rêve. Vos deux personnages deviennent capables de communiquer par la pensée et de faire preuve d'empathie l'un envers l'autre. L'Orine possède néanmoins une caractéristique de soumission par rapport à son Aisuru. Elle cherchera à l'aider au mieux et à répondre à ses besoins. Elle ne pourra pas trahir ses secrets. Il se peut également qu'elle développe une attirance physique pour son Aisuru et trouve excitant de s'imaginer attachée par ses soins.
- Le Sexe : Le sexe fait partie d’un des plus grands plaisirs de la vie. Voir quelqu’un tout nu, effleurer sa peau, crée des sensations nouvelles, rajeunissantes et terriblement enrichissantes. Le Sexe permet à celui qui l’utilise d’avoir des détails croustillants sur l’anatomie de ceux qui croisent sa route. Cependant, ce n’est pas tout, et loin de là. Le pouvoir permet de faire des blagues, en incitant les individus à parler de façon clairement sous-entendue ou, au contraire, à cacher les mots sexuels par d’autres mots. Ainsi, la personne ne dira plus pénis mais concombre, par exemple. Ce petit côté du Sexe est plutôt amusant mais la suite va vous étonner. En effet, inspiré de la Luxure en Flacon, Le Sexe permet d’éveiller le désir chez les individus (ou même chez vous). Ce désir n’est cependant pas contrôlé. Si vous souhaitez qu’un individu vous désire en utilisant Le Sexe, il se peut que vous soyez légèrement déçus en le voyant désirer une autre personne. Quoi qu’il en soit, la libido ainsi éveillée entraînera les conséquences physiques qui s’y rattachent. C’est génial, me direz-vous, surtout lorsque vous prenez de l’âge. Seulement voilà, à l’instar de son homologue en bouteille, Le Sexe peut s’avérer être un puissant poison, du style qui gâche la vie à celui qui en ressent les effets. Durant des heures, des jours même, les effets peuvent perdurer, changeant le plaisir en une affreuse douleur, tant et si bien que l’individu peut parfois s’adonner à des comportements extrêmes pour s’empêcher de souffrir de la sorte. Vraiment, un grand plaisir.

[b]ARMES[/b]
- Obsession : Il s’agit d’une boîte remplie de toutes petites aiguilles. “Rien de bien méchant”, dites-vous ? Détrompez-vous. Elles sont redoutablement efficaces et particulièrement retord. C’est une façon assez vicieuse d’agir. Mais c’est tellement jouissif. Il suffit de planter une aiguille dans la chair de quelqu’un. Elle est si petite … Ils sont nombreux à ne pas remarquer cette intrusion. Certains pensent qu’ils ont été piqués par un insecte. Pas de quoi s’inquiéter en somme. Pourtant, les effets d’Obsession ne tarderont pas à se manifester. A envahir l’esprit. Une petite rengaine se mettra à tourner dans un coin de la tête. Une ritournelle entêtante, qui rongera peu à peu les restes de la raison. Il faut en finir. Il faut mettre fin à ses jours. Cette idée sera fixe et il n’y a que deux issus possibles : la mort - que la personne se sera elle-même donnée - ou la vie - si l’aiguille est retirée. Vaincre Obsession est aussi simple que cela. Il faut simplement retirer l’aiguille et soigner la petite plaie. Encore faut-il que vous remarquiez sa présence.

[b]ARTEFACTS[/b]
- Confluence - d'un naturel bleu traversé de veines plus pâles, voire blanches, la Confluence est une pierre tout ce qu'il y a de plus banale et fera une très belle décoration. Néanmoins, si vous l'avez sur vous lors de la traversée d'un lieu aride et que votre gourde est à sec, il suffira de creuser un trou dans le sable et l'y enterrer. Attendez quelques minutes, car il lui faut du temps pour appeler à elle l'eau qui se trouve dans les strates souterraines pour étancher votre soif.
- La tenue rouge de Quetzalcoatl : Il s'agit d'une tenue composée d'un long manteau, bottes, gants, pantalon serré et chemise. Elle vous tiendra toujours au frais lorsque vous la portez, peu importe les températures chaudes autour de vous et peu importe si des morceaux de votre peau sont dénudés. Elle est rouge et dorée, dans un tissu inconnu mais qui rappelle du cuir animal. Son style rappelle quelque peu la mode Sorcière, Elfique ou Magicienne mais les nombreux symboles tribaux qui la recouvrent empêchent de lui mettre une étiquette précise. Elle vient d'une mode inconnue, qui a piqué ses inspirations partout dans le monde. La tenue activera en vous des effets secondaires quand vous la portez, qui sont reliés aux symboliques Chamaniques : [Le rouge est associé à la passion, plus généralement aux sentiments forts. Il peut symboliser l'amour, donc la fidélité qu'une personne éprouve pour une personne, il peut également témoigner d'une réelle passion pour une activité, un lieu, etc. Un rouge foncé englobe la colère, une puissante envie de vengeance ou de vaincre à tout prix. Un rouge très vif montre les sentiments d'amour. Selon donc les nuances qu'on accorde au rouge, il peut symboliser la stabilité ou l'instabilité, à se rapprocher des autres ou au contraire à se détacher d'eux.]

[b]~ Formes de magie[/b]
- Magie des Ténèbres (Native)
- Magie de Pourpre (Native)

[b]~ Patrimoine et réputation[/b]
- Popularité nationale | Démons
- Popularité nationale | Sorciers
- Un établissement commercial | Un bordel en Enfer
- 10 PNJ Serviteurs d'un niveau inférieur au vôtre | Démons

[b]Particularité[/b] : Sous forme démoniaque, c’est une aveugle sadomasochiste. Sous forme humaine, c’est juste une sadomasochiste.

[b]Physionomie[/b] : Leigh n’aime pas vraiment prendre sa forme humaine. Elle n’aime pas être cette femme à la peau noire et chaude, ses longs cheveux bruns nattés. Elle est trop parfaite à son goût. Ses courbes au galbe déroutant, sa peau trop impeccable, ses yeux trop chaleureux. Cette forme n’est qu’un outil qu’elle utilise pour faire bonne figure et pourquoi pas, attirer autrui dans son lit.

Lorsqu’elle se sait à l’aise et tranquille, Leigh n’hésite pas à reprendre sa véritable apparence : celle d’une femme maigre à la peau encore plus sombre et dont la moitié du visage est parfois cachée par un bandeau. Si vous vouliez voir la couleur de ses yeux, vous n’y verriez que deux globes remplis de sang. Ses côtes saillantes et ses clavicules tirent sur sa peau frêle, recouvertes de nombreuses cicatrices, dont certaines sont encore ouvertes. Ses bras et ses jambes en particuliers ressemblent à des membres qu’on lui aurait arraché avant de les recoudre au bon endroit.

[b]Psychologie[/b] : Dépressive et fanatique, Leigh met un point d’honneur à ne pas faire de son existence une vie paisible et bien rangée. Vouant un culte passionnel et dérangeant pour la douleur depuis sa plus tendre enfance, la Démone aime les frissons que procurent la déraison et le danger. Éprouver violemment sont les maîtres mots. Ainsi semble-t-elle ne jamais connaître la colère, puisque tout malheur est considéré comme une aubaine.

La Démone est également adepte des plaisirs charnels. Ses deux loisirs ne font souvent qu’un, que ce soit seule, avec un homme, une femme, ou à plusieurs. Elle est loin d’être pudique. Si elle cache ses cicatrices, ce n’est que par jeu, pour le plaisir de voir, ou du moins, d’imaginer la réaction des curieux…

[b]Histoire [/b]: RP précédent : [url=http://yinandyangpower.forumactif.com/t40322-flashback-dogma-aeternam-solo]Dogma aeternam[/url]

<center>[color=#ff0000]TW GORE[/color]</center>
[color=#3300ff]-Tu es prêt ?[/color]

Le visage entre ses mains acquiesça. Elle les laissa glisser sur le cou puis le torse de son frère, contre lequel elle garda son appui. Son sens de l'équilibre était rudement mis à l'épreuve. La douleur qui lui transperça le crâne par deux ne devait pas y être pour rien. Elle en tremblait tout entière, en particulier ses doigts, dont on ne pouvait plus dire qu’elle avait le contrôle. C’était presque des spasmes.

[color=#3300ff]-Tu n’hésiteras pas, n’est-ce pas ?[/color]

[color=#006600]-Tu es la seule à hésiter dans cette pièce, Leigh. [/color]

Elle rit sans vigueur, mais cela ressembla davantage à un râle plaintif. C’était probablement vrai. Le sang coulait sur ses joues, longeait l’arête de son nez et glissait à l’horizontale sur la commissure de ses lèvres. Elle les lécha. Le goût de sa propre vie inonda sa bouche. Elle en avait besoin, plus que jamais. Tout le sang qu’elle avait ingurgité jusqu’ici n’était rien comparé à la préciosité de son propre fluide vital.

[color=#3300ff]-Bois aussi.[/color]

Il n’avait pas encore rempli la coupe. L’aider à s’être crevé les yeux n’était pas suffisant.

[color=#006600]-Après.[/color]

Elle reposa son front contre le pourpoint de son frère. Cette proximité le dérangeait, surtout qu’elle était nue. Elle le savait, mais elle se fichait pas mal de ce qu'il pensait. Elle n'était pas dans son état normal.

[color=#3300ff]-J’ai peur…[/color]

[color=#006600]-On ira chercher un médecin.[/color]

Elle entendit à sa voix qu’il souriait. Agazio l’écarta en la prenant par les épaules. Elle était bien plus frêle que lui. Les derniers jours avaient été dédiés à de petits châtiments sur sa personne, ce qui avait suffi à l'affaiblir et lui faire perdre beaucoup de poids. Cette fois-ci, ils avaient choisi de passer à l’étape des séquelles définitives.

Agazio la fit s’asseoir par terre. Elle ressemblait à un animal blessé. Il trouvait cette mise en scène pitoyable, mais au moins, ils seraient fixés sur la solidité des convictions que Lysistratait proférait depuis toutes ces années. Le Sorcier avait prévu d'y aller plus fort que prévu sur la torture. Ainsi, Ethelba trancherait ne bonne fois pour toutes.

La frère mit en marche la Valse Destructrice. Un cri de surprise, puis un rire nerveux. Puisque Leigh était du genre à trouver ça drôle, il fit tordre davantage ses chairs. Les assauts se multiplièrent. La suppliciée pleurait, tout en récitant quelques psaumes à l’attention de la déesse. Lui s’acharnait, prenant un plaisir cordial à déchirer sa peau et tordre ses tissus, la brûler, la soumettre, lui arracher çà et là quelques morceaux de chair.

Pour une seule personne, l’endroit s’était transformé en un bain de sang. Agazio ne comprenait pas comment sa sœur avait encore la force de crier. Il arrivait généralement un temps où l’on n’y parvenait même plus. D’un mouvement imperceptible du doigt, le Sorcier renvoya sa magie s’engager dans un grand final. Aussitôt, tous les membres de Leigh craquèrent d’un seul coup, volèrent, puis s'écrasèrent par terre en même temps que le silence.

[color=#006600]-Leigh ?[/color]

Sans réponse à son appel, il s’engagea dans la mare de sang poisseux. Il s’agenouilla et pressa deux doigts sur la gorge de sa sœur. Rien.

[color=#006600]-...[/color]

Il y était allé trop fort sans faire exprès. Enfin… un peu. Agazio posa ses genoux sur le sol sans considération pour ses vêtements. Il caressa son corps, puis lécha sa main rougie. Il trouva dans le sang le goût de l’amertume, mais aussi celui de la satisfaction : Leigh avait eu tort et elle en avait payé le prix.

<!-- NE PAS SUPPRIMER CETTE BALISE DIV A DROITE --></div></div>

Liens vers sa fiche : Leigh

Statut : Ok ! C'est tout mis à jour

Merci d'avance !

Bonjour !
Lien du ou des sujets : Les coeurs fébriles
Gains : 1 compagnon
Lien vers sa fiche : Fiche. On peut les mettre sous la fiche de Maëra.

Okhadja & Säewine

Prénom : Okhadja & Säewine
Surnom : Okha, Säe
Sexe : Femelle ; mâle
Race : Chiens [Barzoï]
Lié à : Khelil & Maëra

Pouvoirs :
- Eternité du Phoenix
- Läaknil ; Okhadja et Säewine sont connectés à leurs maîtres. Chacun est capable de communiquer par télépathie sous formes d'images. Ce lien leur permet également de savoir où se trouve l'autre.
- Voyage ; Okhadja est capable de se téléporter en utilisant des flammes comme portail. Säewine est capable de se téléporter en utilisant des ombres comme portail.
- Guérir les blessures [Okhadja]
- Guérir les maladies [Säewine]
- Contrôle de la lumière [Okhadja]
- Contrôle des ombres [Säewine]

Mon Histoire : Okhadja et Säewine ont été retrouvés dans la forêt, seuls survivants d’une portée de chiots. Ils ont été adoptés par Khelil et Maëra. Ce sont eux qui s’en sont occupés et les ont dressés depuis qu’ils sont enfants. Une nette différence de caractère les distingue. Okhadja, à l’image du Rehla, est une chienne posée, observatrice et méticuleuse. On ne l’entend que rarement aboyer et elle obéit facilement à n’importe qui. Elle reste souvent aux côtés de Khelil. Säwine, lui, est un chien turbulent qui a du mal à rester en place, il est très sociable et vadrouille souvent dans le village, ce qui suscite parfois des tensions puisque les villageois n’apprécient pas que l’on vienne fouiner dans leurs affaires. Il n’obéit que lorsqu’il en a envie, sachant parfaitement comment feindre la surdité lorsque cela l’arrange ; il n’est docile qu’avec Maëra qui, avec le temps, est parvenue à le dresser suffisamment pour qu’il lui obéisse. Il se montre très affectueux envers son humaine.
Les deux chiens possèdent la physionomie propre à leur race : un corps élancé taillé pour la course rapide, aux proportions équilibrées ; un long museau affiné et une taille plutôt imposante. Leurs pelages sont longs et lisses, blanc pour Säwine et noir pour Okhadja.
Si les deux chiens ont été présentés comme un cadeau de leurs parents, dicté par la volonté de Bahäany, il n’en est rien. C’eest Faye qui, ayant conscience du futur de ses enfants, a décidé de créer un attachement entre ces animaux de compagnie et ses enfants, dans le but de les offrir ensuite en sacrifice pour les invocations monstrueuses du Temple de Rhéa Latia. Il a ainsi jugé que la douleur sentimentale induite par ce sacrifice sera plus douloureuse qu’un simple sacrifice de chaire, et donnera un meilleur résultat pour les bêtes que contrôleront ses descendants.

Statut : Oki By Mitsu !

Code:

<div id="wrapperSER"><br><div class="spoiler"><center><div id="titreSER">Okhadja & Säewine</div>
<img src="https://zupimages.net/up/24/08/db5s.jpg" class="imgSER"></center>
<div class="cadreHIS">[b]Prénom[/b] : Okhadja & Säewine
[b]Surnom[/b] : Okha, Säe
[b]Sexe[/b] : Femelle ; mâle
[b]Race[/b] : Chiens [Barzoï]
[b]Lié à[/b] : Khelil & Maëra

[b]Pouvoirs[/b] :
- Eternité du Phoenix
- Läaknil ; [size=10]Okhadja et Säewine sont connectés à leurs maîtres. Chacun est capable de communiquer par télépathie sous formes d'images. Ce lien leur permet également de savoir où se trouve l'autre.[/size]
- Voyage ; [size=10]Okhadja est capable de se téléporter en utilisant des flammes comme portail. Säewine est capable de se téléporter en utilisant des ombres comme portail.[/size]
- Guérir les blessures [Okhadja]
- Guérir les maladies [Säewine]
- Contrôle de la lumière [Okhadja]
- Contrôle des ombres [Säewine]

[b]Mon Histoire :[/b] Okhadja et Säewine ont été retrouvés dans la forêt, seuls survivants d’une portée de chiots. Ils ont été adoptés par Khelil et Maëra. Ce sont eux qui s’en sont occupés et les ont dressés depuis qu’ils sont enfants. Une nette différence de caractère les distingue. Okhadja, à l’image du Rehla, est une chienne posée, observatrice et méticuleuse. On ne l’entend que rarement aboyer et elle obéit facilement à n’importe qui. Elle reste souvent aux côtés de Khelil. Säwine, lui, est un chien turbulent qui a du mal à rester en place, il est très sociable et vadrouille souvent dans le village, ce qui suscite parfois des tensions puisque les villageois n’apprécient pas que l’on vienne fouiner dans leurs affaires. Il n’obéit que lorsqu’il en a envie, sachant parfaitement comment feindre la surdité lorsque cela l’arrange ; il n’est docile qu’avec Maëra qui, avec le temps, est parvenue à le dresser suffisamment pour qu’il lui obéisse. Il se montre très affectueux envers son humaine.
Les deux chiens possèdent la physionomie propre à leur race : un corps élancé taillé pour la course rapide, aux proportions équilibrées ; un long museau affiné et une taille plutôt imposante. Leurs pelages sont longs et lisses, blanc pour Säwine et noir pour Okhadja.
Si les deux chiens ont été présentés comme un cadeau de leurs parents, dicté par la volonté de Bahäany, il n’en est rien. C’eest Faye qui, ayant conscience du futur de ses enfants, a décidé de créer un attachement entre ces animaux de compagnie et ses enfants, dans le but de les offrir ensuite en sacrifice pour les invocations monstrueuses du Temple de Rhéa Latia. Il a ainsi jugé que la douleur sentimentale induite par ce sacrifice sera plus douloureuse qu’un simple sacrifice de chaire, et donnera un meilleur résultat pour les bêtes que contrôleront ses descendants.

<!-- NE PAS SUPPRIMER CETTE BALISE DIV A DROITE --></div>
</div></div>

Bonsoir  

J'aimerais faire appel à la règle Mertle afin de récupérer Grendel, si possible sur le compte de Ssyi'hæ (ce sera plus logique vu son nouveau background)

Code:

<div id="wrappper"><div class="titreprez cellule">Grendel</div>
<div class="cellule"><img src="https://zupimages.net/up/24/09/ospa.jpg" style="float:right;padding-left:5px" />[b]Nom[/b] : X
[b]Prénom[/b] : Son vrai prénom est Hellébore mais elle n'est connue que sous le nom de Grendel
[b]Surnom[/b] : X
[b]Sexe[/b] : Féminin
[b]Taille[/b] :  6,9 centimètres
[b]Âge apparent[/b] : Un peu moins de vingt
[b]Ère de naissance[/b] : Ère de la conciliation
[b]Race[/b] : Fae
[b]Métier[/b] : X
[b]Thèmes[/b] : [url=https://youtu.be/R2ct_Gkq-HQ]Sin Shake Sin - Can't Go To Hell[/url]
[b]Niveau[/b] : I

[b]Armes[/b] :  
- Son couteau de boucher (volé puis transformé en taille réduite)
- Son vocabulaire fleuri

[b]Spécialités[/b] :
- Agilité : 7
- Force : 4
- Charisme : 5
- Intelligence : 10
- Magie : 11

[b]Pouvoirs[/b] :
- Les Murmures de la Rose
- L'Éternel Secret
- Poussières Merveilleuses : Le Dédale des Imprudents
- Changer d'apparence
- Invocation d'insectes

[b]Gain de niveau 2[/b]
- X

[b]Gain de niveau 3[/b]
- X

[b]POUVOIRS[/b]
- Objectif : C'est un pouvoir qui permet au personnage de donner un objectif à un autre personnage en fonction de sa magie.

[b]ARMES[/b]
- X

[b]ARTEFACTS[/b]
- La boîte de Sendhar : C'est une boîte protectrice qui peut contenir de nombreux documents et objets. Elle ne s'ouvre que lorsque son propriétaire la touche, ce qui la rend particulièrement pratique pour tous ceux qui ont des choses à cacher.
- La Bénédiction des Prophètes : Il s'agit d'un anneau d'argent où une pierre blanche ayant les traits d'un flocon a été incrusté. Il attire la bienveillance d'autrui lorsque le personnage le revêt et lui permet également d'obtenir une faveur, toujours empreinte de gentillesse, de la part de quelqu'un d'autre [seulement une fois par RP, sur PNJ ou accord du Joueur préalable].

[b]~ Formes de magie[/b]
- Magie de la Lumière
- Magie d'Argent

[b]~ Patrimoine et réputation[/b]
- X

[b]Particularité[/b] : Elle a vécu les premières années de sa vie avec un cirque itinérant avant de basculer en Enfer par un portail qu'elle a distraitement emprunté. Son apparence s'y modifia ce qui lui a occasionné un choc au départ et a été très mal vécu mais qu'elle a fini par accepter, notamment grâce aux Faes rencontrées sur place. Même s'il lui est arrivé de revenir dans le monde d'où elle vient, elle vit désormais en Enfer depuis plusieurs années, dans le jardin de Kitoe qu'elle entretient avec [url=https://zupimages.net/up/24/09/97rm.jpg]Ancolie[/url], [url=https://zupimages.net/up/24/09/jruy.jpg]Gaillarde[/url] et [url=https://zupimages.net/up/24/09/1tod.jpg]Ortie[/url]. Elle se sert de Jezeṃiās pour se rendre à Basphel en catimini. Il ne s'est rendu compte que récemment de sa présence.

[b]Roleplay[/b] :

[color=sandybrown]« Il va bien falloir qu'on se décide. S'il te plaît, Grendel. »[/color] Ancolie se tordait les mains si fort que les coutures sur ses poignets se mirent à grincer. J'avais du mal à savoir si c'était d'agacement ou si elle avait mal digéré sa tartine au miel. C'était une Fae pleine de névroses et hypocrondritruc, j'avais du mal à suivre. [color=#FF4500]« Quoi s'il te plaît ? T'es sourde en plus d'être conne ou t'as cru que la politesse allait me faire céder comme si j'étais une marguerite née ce matin ? J'ai déjà donné mon avis, et je n'en bougerai pas. Braille autant que tu voudras, pour c'que ça m'fait. »[/color] Le battement de mes ailes ralentit et je m'assis en tailleur sur un caillou, les bras croisés et le regard fixe. Je surpris néanmoins le regard que Gaillarde lança à Ancolie. Les deux étaient nées dans la même fleur et à elles deux, elles avaient le courage d'une crevette séchée. [color=#FF4500]« Quoi ? »[/color] aboyai-je. [color=plum]« Si Ortie était là, tu te tiendrais bien, et on y serait déjà ! En plus, c'est de ta faute si on est en retard, tu exagères ! »[/color] Du cirque, j'avais conservé l'habitude de me maquiller même si mon visage n'était plus aussi vilain qu'autrefois. J'avais plutôt même tendance à l'enlaidir désormais. En Enfer, la beauté était de toute façon quelque chose de relatif. La survie, c'était le plus important. La survie, les copines, le nectar de pollen aromatisé à l'absinthe, et s'amuser surtout. [color=#FF4500]« J'en ai rien à foutre de votre raccourci de merde, je refuse de passer par le champ des tournesols, ils hurlent si fort qu'y a pas un piaf qui vole au dessus ! En plus, tu sous-entends quoi avec Ortie ?! Ose me le dire en face, sale truie ! »[/color] Ortie, c'était ma meuf, alors c'était vrai que je faisais en sorte d'aller dans son sens, même quand elle racontait des conneries. Cependant, il était intolérable qu'on croit qu'elle me menait à la baguette. [color=sandybrown]« On va être en retaaaard ! On va tout rater à cause de toi ! »[/color] gémit Ancolie qui semblait au bord des larmes, comme d'habitude. [color=#FF4500]« Et alors ? De toute façon, au début, c'est que des combats nuls à chier. Le meilleur, c'est à la fin. »[/color] [color=plum]« C'est vrai, la dernière fois, un porcelet a gobé tout cru un Démon qui faisait au moins trois fois sa taille. Son rot a fait trembler les gradins. »[/color] se souvint Gaillarde en réprimant un petit frisson d'expectative à ce souvenir. Moi, je n'avais rien vu car j'avais perdu à la courte paille et ça avait été à moi de garder le jardin. Cette fois, c'était Ortie qui restait s'occuper des enfants. [color=plum]« Bon. On traverse le jardin et puis c'est tout. Et, non ! Tais-toi ! Parce que si tu refuses, je dis à Ortie que c'est toi qui a mis les oeufs de mouche dans son tiroir à lingerie. »[/color] [color=#FF4500]« Quoi ! Mais c'était y a une éternité ! »[/color] couinai-je. Une semaine. [color=#FF4500]« En plus, t'as pas de preuve ! Menteuse ! Menteuse ! »[/color] Mais Gaillarde ne m'écoutait plus. Elle avait pris le bras de sa sœur et elles s'étaient envolées. Je fis de même, mais juste pour m'assurer qu'elles puissent entendre les insultes que je leur adressai. Les hurlements aigus des tournesols eurent vite fait de recouvrir le son de ma voix. Elles étaient, de loin, les fleurs que je détestais le plus. Menteuses hors pair, elles nous prenaient pour leurs esclaves et exigeaient tout et n'importe quoi, et ce, toujours en hurlant car elles ne s'entendaient plus. Nous prenions soin de protéger nos tympans avec des bouchons mais cela ne faisait qu'atténuer les terribles plaintes de ces harpies. Je préférais de loin le jardin de Kitoe. Il possédait ses propres pestes mais au moins, je gardais mon audition intacte.

Pendant l'entracte, le temps que le public aille se ravitailler en boissons et grignotages, je m'envolai sans prévenir les filles qui s'étaient lancées dans des paris. Sans que quiconque remarque ma présence, je me faufilai dans une des bouches sombres bordant l'arène. Je passai aisément entre les épais barreaux. L'odeur de sang, de sueur et d'excréments me prit à la gorge. [color=#FF4500]« Par les nichons de la Sailanie, c'que ça shlingue ! »[/color] Je progressai néanmoins plus en avant, curieuse de découvrir l'envers du décor. Au bout d'un moment, voir les combats s'enchaîner devenait lassant. Comme étouffé, un sifflotement joyeux flotta jusqu'à moi malgré le sifflement dans mon oreille interne après la torture sonore des tournesols. Un bras sur le nez, je longeai les longs couloirs en suivant le bruit et tombai alors sur un jeune garçon. Dos à moi, il balayait le sol en dandinant du fessier. Comme beaucoup de Démons, des cornes dépassaient d'une épaisse toison de boucles noires, et en m'approchant, je vis qu'il s'agissait plutôt de bois, plutôt courts d'ailleurs. [color=#FF4500]« Salut. »[/color] Le garçon continua de siffloter, m'ignorant totalement. C'était quelque chose qui m'agaçait profondément. Quand j'étais petite, non, je commence mal cette histoire. Quand j'étais plus jeune, je n'avais aucun mal à me faire entendre des autres car j'étais bien plus grande que maintenant, en taille. [color=#FF4500]« TU VAS M'REPONDRE GROS PIGNOUF ! »[/color] beuglai-je, de toute la force de mes poumons qui devaient faire la taille de la moitié de son ongle. [color=#F0C300]« Hou hou ah ! Houwa ! »[/color] chantonna-t-il en se lançant dans un tango avec le manche du balais. Le pollen me monta au nez et mon visage prit les couleurs de tous les pétales. Une seconde plus tard, un vrombissement se fit entendre au plafond. Intrigué, le garçon leva le nez pour voir une nuée de gros cafards volants descendre comme jusqu'à lui. [color=#FF4500]« Bien fait. »[/color] ricanai-je, ravie de mon petit tour. [color=#F0C300]« Dément !!! »[/color] Mon sourire se décomposa quand je vis le brun attraper un cafard en plein vol. [color=#FF4500]« Mais qu'est-ce qu'il... Hé ! Arrête ! »[/color] J'entendis distinctement le son croustillant que fit l'insecte entre les maxillaires du Démon. [color=#FF4500]« Espèce de ! Mes bébés ! »[/color] [color=#F0C300]« Pétard, je vais être en retard au cours encore. »[/color] fit-il soudainement après s'être régalé d'un autre cafard. Il se mit à courir et je le suivis, déterminée à avoir ma vengeance. Je ne sus trop comment, peut-être sa silhouette masquait-elle l'entrée du portail, mais soudain, nous n'étions plus dans les coulisses de l'arène mais dans un tout autre endroit. Il y avait des adolescents partout. Habillés de façon similaire. Je glapis d'horreur et attrapai le col du Démon à la dernière seconde alors qu'il reprenait sa course. Le cœur serré d'effroi, je me blottis dans l'espace entre le col du vêtement et la nuque du mangeur de cafards. La masse noire graisseuse de ses cheveux me dissimulait efficacement et j'attendis là que ma respiration retrouve son cours normal.
<!-- NE PAS SUPPRIMER CETTE BALISE DIV A DROITE --></div></div>

Lien de la fiche : Sous Jezz, merci  

Statut : Ok par Sol. GRENDEL GRENDEEEEL GREEEEEEEEEEEENDEEEEEEEEEEEEEEEEEEEL !

Spoiler:

Merci par avance et je ne suis pas loin s'il faut modifier quelque chose  

Grendel

Nom : X
Prénom : Son vrai prénom est Hellébore mais elle n'est connue que sous le nom de Grendel
Surnom : X
Sexe : Féminin
Taille :  6,9 centimètres
Âge apparent : Un peu moins de vingt
Ère de naissance : Ère de la conciliation
Race : Fae
Métier : X
Thèmes : Sin Shake Sin - Can't Go To Hell
Niveau : I

Armes :  
- Son couteau de boucher (volé puis transformé en taille réduite)
- Son vocabulaire fleuri

Spécialités :
- Agilité : 7
- Force : 4
- Charisme : 5
- Intelligence : 10
- Magie : 11

Pouvoirs :
- Les Murmures de la Rose
- L'Éternel Secret
- Poussières Merveilleuses : Le Dédale des Imprudents
- Changer d'apparence
- Invocation d'insectes

Gain de niveau 2
- X

Gain de niveau 3
- X

POUVOIRS
- Objectif : C'est un pouvoir qui permet au personnage de donner un objectif à un autre personnage en fonction de sa magie.

ARMES
- X

ARTEFACTS
- La boîte de Sendhar : C'est une boîte protectrice qui peut contenir de nombreux documents et objets. Elle ne s'ouvre que lorsque son propriétaire la touche, ce qui la rend particulièrement pratique pour tous ceux qui ont des choses à cacher.
- La Bénédiction des Prophètes : Il s'agit d'un anneau d'argent où une pierre blanche ayant les traits d'un flocon a été incrusté. Il attire la bienveillance d'autrui lorsque le personnage le revêt et lui permet également d'obtenir une faveur, toujours empreinte de gentillesse, de la part de quelqu'un d'autre [seulement une fois par RP, sur PNJ ou accord du Joueur préalable].

~ Formes de magie
- Magie de la Lumière
- Magie d'Argent

~ Patrimoine et réputation
- X

Particularité : Elle a vécu les premières années de sa vie avec un cirque itinérant avant de basculer en Enfer par un portail qu'elle a distraitement emprunté. Son apparence s'y modifia ce qui lui a occasionné un choc au départ et a été très mal vécu mais qu'elle a fini par accepter, notamment grâce aux Faes rencontrées sur place. Même s'il lui est arrivé de revenir dans le monde d'où elle vient, elle vit désormais en Enfer depuis plusieurs années, dans le jardin de Kitoe qu'elle entretient avec Ancolie, Gaillarde et Ortie. Elle se sert de Jezeṃiās pour se rendre à Basphel en catimini. Il ne s'est rendu compte que récemment de sa présence.

Roleplay :

« Il va bien falloir qu'on se décide. S'il te plaît, Grendel. » Ancolie se tordait les mains si fort que les coutures sur ses poignets se mirent à grincer. J'avais du mal à savoir si c'était d'agacement ou si elle avait mal digéré sa tartine au miel. C'était une Fae pleine de névroses et hypocrondritruc, j'avais du mal à suivre. « Quoi s'il te plaît ? T'es sourde en plus d'être conne ou t'as cru que la politesse allait me faire céder comme si j'étais une marguerite née ce matin ? J'ai déjà donné mon avis, et je n'en bougerai pas. Braille autant que tu voudras, pour c'que ça m'fait. » Le battement de mes ailes ralentit et je m'assis en tailleur sur un caillou, les bras croisés et le regard fixe. Je surpris néanmoins le regard que Gaillarde lança à Ancolie. Les deux étaient nées dans la même fleur et à elles deux, elles avaient le courage d'une crevette séchée. « Quoi ? » aboyai-je. « Si Ortie était là, tu te tiendrais bien, et on y serait déjà ! En plus, c'est de ta faute si on est en retard, tu exagères ! » Du cirque, j'avais conservé l'habitude de me maquiller même si mon visage n'était plus aussi vilain qu'autrefois. J'avais plutôt même tendance à l'enlaidir désormais. En Enfer, la beauté était de toute façon quelque chose de relatif. La survie, c'était le plus important. La survie, les copines, le nectar de pollen aromatisé à l'absinthe, et s'amuser surtout. « J'en ai rien à foutre de votre raccourci de merde, je refuse de passer par le champ des tournesols, ils hurlent si fort qu'y a pas un piaf qui vole au dessus ! En plus, tu sous-entends quoi avec Ortie ?! Ose me le dire en face, sale truie ! » Ortie, c'était ma meuf, alors c'était vrai que je faisais en sorte d'aller dans son sens, même quand elle racontait des conneries. Cependant, il était intolérable qu'on croit qu'elle me menait à la baguette. « On va être en retaaaard ! On va tout rater à cause de toi ! » gémit Ancolie qui semblait au bord des larmes, comme d'habitude. « Et alors ? De toute façon, au début, c'est que des combats nuls à chier. Le meilleur, c'est à la fin. » « C'est vrai, la dernière fois, un porcelet a gobé tout cru un Démon qui faisait au moins trois fois sa taille. Son rot a fait trembler les gradins. » se souvint Gaillarde en réprimant un petit frisson d'expectative à ce souvenir. Moi, je n'avais rien vu car j'avais perdu à la courte paille et ça avait été à moi de garder le jardin. Cette fois, c'était Ortie qui restait s'occuper des enfants. « Bon. On traverse le jardin et puis c'est tout. Et, non ! Tais-toi ! Parce que si tu refuses, je dis à Ortie que c'est toi qui a mis les oeufs de mouche dans son tiroir à lingerie. » « Quoi ! Mais c'était y a une éternité ! » couinai-je. Une semaine. « En plus, t'as pas de preuve ! Menteuse ! Menteuse ! » Mais Gaillarde ne m'écoutait plus. Elle avait pris le bras de sa sœur et elles s'étaient envolées. Je fis de même, mais juste pour m'assurer qu'elles puissent entendre les insultes que je leur adressai. Les hurlements aigus des tournesols eurent vite fait de recouvrir le son de ma voix. Elles étaient, de loin, les fleurs que je détestais le plus. Menteuses hors pair, elles nous prenaient pour leurs esclaves et exigeaient tout et n'importe quoi, et ce, toujours en hurlant car elles ne s'entendaient plus. Nous prenions soin de protéger nos tympans avec des bouchons mais cela ne faisait qu'atténuer les terribles plaintes de ces harpies. Je préférais de loin le jardin de Kitoe. Il possédait ses propres pestes mais au moins, je gardais mon audition intacte.

Pendant l'entracte, le temps que le public aille se ravitailler en boissons et grignotages, je m'envolai sans prévenir les filles qui s'étaient lancées dans des paris. Sans que quiconque remarque ma présence, je me faufilai dans une des bouches sombres bordant l'arène. Je passai aisément entre les épais barreaux. L'odeur de sang, de sueur et d'excréments me prit à la gorge. « Par les nichons de la Sailanie, c'que ça shlingue ! » Je progressai néanmoins plus en avant, curieuse de découvrir l'envers du décor. Au bout d'un moment, voir les combats s'enchaîner devenait lassant. Comme étouffé, un sifflotement joyeux flotta jusqu'à moi malgré le sifflement dans mon oreille interne après la torture sonore des tournesols. Un bras sur le nez, je longeai les longs couloirs en suivant le bruit et tombai alors sur un jeune garçon. Dos à moi, il balayait le sol en dandinant du fessier. Comme beaucoup de Démons, des cornes dépassaient d'une épaisse toison de boucles noires, et en m'approchant, je vis qu'il s'agissait plutôt de bois, plutôt courts d'ailleurs. « Salut. » Le garçon continua de siffloter, m'ignorant totalement. C'était quelque chose qui m'agaçait profondément. Quand j'étais petite, non, je commence mal cette histoire. Quand j'étais plus jeune, je n'avais aucun mal à me faire entendre des autres car j'étais bien plus grande que maintenant, en taille. « TU VAS M'REPONDRE GROS PIGNOUF ! » beuglai-je, de toute la force de mes poumons qui devaient faire la taille de la moitié de son ongle. « Hou hou ah ! Houwa ! » chantonna-t-il en se lançant dans un tango avec le manche du balais. Le pollen me monta au nez et mon visage prit les couleurs de tous les pétales. Une seconde plus tard, un vrombissement se fit entendre au plafond. Intrigué, le garçon leva le nez pour voir une nuée de gros cafards volants descendre comme jusqu'à lui. « Bien fait. » ricanai-je, ravie de mon petit tour. « Dément !!! » Mon sourire se décomposa quand je vis le brun attraper un cafard en plein vol. « Mais qu'est-ce qu'il... Hé ! Arrête ! » J'entendis distinctement le son croustillant que fit l'insecte entre les maxillaires du Démon. « Espèce de ! Mes bébés ! » « Pétard, je vais être en retard au cours encore. » fit-il soudainement après s'être régalé d'un autre cafard. Il se mit à courir et je le suivis, déterminée à avoir ma vengeance. Je ne sus trop comment, peut-être sa silhouette masquait-elle l'entrée du portail, mais soudain, nous n'étions plus dans les coulisses de l'arène mais dans un tout autre endroit. Il y avait des adolescents partout. Habillés de façon similaire. Je glapis d'horreur et attrapai le col du Démon à la dernière seconde alors qu'il reprenait sa course. Le cœur serré d'effroi, je me blottis dans l'espace entre le col du vêtement et la nuque du mangeur de cafards. La masse noire graisseuse de ses cheveux me dissimulait efficacement et j'attendis là que ma respiration retrouve son cours normal.

Zébulon

Nom : Noirbuisson
Prénom : Zébulon
Surnom : Il faudra lui en trouver
Sexe : Masculin
Taille : 1m56
Âge apparent : Adolescent
Ère de naissance : Conciliation
Race : Eversha (Wynmeris Shua)
Totem : Chat (d'égouts, d'après Kaahl)
Métier : X

Niveau : I (Niveau I à partir de 128 points)

Armes : Il ne vaut mieux pas, il pourrait se blesser avec.

Spécialités :
- Agilité : 5
- Force : 5
- Charisme : 5 + 2 = 7
- Intelligence : 5
- Magie : 5

Pouvoirs :
- Esprit du Totem
- Règne Animal
- Colère des Anciens
- Éternité du Phénix
- Clonage

Gain de niveau 2
- X

Gain de niveau 3
- X

POUVOIRS
- La Vision du Prophète : Votre personnage est soumis à des visions lié à l'Ère des Prophète et des Prophéties. Ces visions montrent l'avenir.

ARMES
- X

ARTEFACTS
- X

~ Formes de magie
- Magie d'Argent
- Magie Primitive

~ Patrimoine et réputation
- X

Particularité : Il a les dents pointus et une queue noire sous sa forme humaine (alors qu'elle est rousse sous sa forme de chat)

Role Play : Mon pelage n’avait jamais été autant hérissé que lorsque l’inconnu aux longs cheveux me balança à la tête de son sosie à la coupe courte. Un bruit étranglé, miaulement vain, s’éleva péniblement de ma gorge. Le reste ne resta pas dans mon cerveau atrophié par la peur. Je me sentis manipulé dans tous les sens et crachai partout, une odeur fétide s’échappant de mon corps dans l’objectif d’éloigner la source de mon traumatisme.

Une fois dehors, je continuai mon manège longtemps avant de retrouver un semblant de maîtrise de moi. Petit à petit, je me convainquis d’avoir terrassé le Duc (duquel j’avais quand même eu le temps de contempler l’expression terrorisée) et tous les autres.

Au fur et à mesure, mon poil retrouva son apparence habituelle. Je m’assis sur mon arrière-train, satisfait. C’était ça. Si je ne me rappelais pas tout, l’explication était simple : leur panique avait provoqué une telle satisfaction chez moi que le bonheur m’avait rendu amnésique au reste, comme lorsqu’on me donnait du lait, de la sardine ou du jambon. Le monde aurait pu exploser autour de moi que je ne l’aurais même pas remarqué.

Cette histoire de phéromones d’alarme, de pelage hérissé et de crachats n’avait jamais existé. Quiconque m’en reparlerait serait gommé de la surface du monde par mes soins.

Alors que je m’apprêtais à me lécher pour fêter ma victoire, je sentis une main me saisir par la nuque. Abasourdi que quiconque ose, j’ouvris de grands yeux sur le visage de ce qui me sembla être un campagnard à taches de rousseur, une espèce qui avait bien plus sa place dans les champs que dans les villes.

Je le sentis aussi, pour faire connaissance. Ce n’était pas si mal, jusqu’à ce qu’un autre apparaisse à son tour, un roux. Comme je commençais à paniquer, un phénomène inattendu se produisit. Un POUF sorti de nulle part retentit et la main qui me tenait auparavant par le cou ne put plus supporter mon poids.

Embarrassé par ce changement soudain de forme (et nu comme un ver de terre), j’atterris sur mes fesses.

« Aïe. »

Je ne me laissai cependant pas abattre et me relevai. Je devais impressionner ces manants, même si je n’y voyais pas grand-chose sans mes lunettes sous forme humaine. Ils ne me semblaient plus n’être que deux taches, l’une rousse et l’une brune, flottant vaguement dans le brouillard.

« Arrière ! Je n’irai dans le pantalon de personne ! »

Par contre, j’avais bel et bien besoin d’un pantalon.

« Je viens de vaincre le Duc Kaahl Paiberym et sa clique d’un regard ! »

Je les fixai, incertain, et leur soufflai :

« C’est le moment où vous devez être impressionnés normalement. »

Puis je pris une pause qui était censée mettre à l’honneur ma plastique. Mon corps n’avait pourtant rien d’exceptionnel. J’étais beaucoup plus cérébral que physique, même si ça restait relatif. Convaincu d’être un génie du mal, j’aurais été parfaitement assorti à une certaine Sorcière au prénom commençant par un M.

« Qui êtes-vous, d’ailleurs ? Moi je m’appelle Zébulon. »

On ne choisissait pas son prénom.

Code:

<div id="wrappper"><div class="titreprez cellule">Zébulon </div>
<div class="cellule"><img src="https://zupimages.net/up/23/48/4mzz.bmp" style="float:right;padding-left:5px" />[b]Nom[/b] : Noirbuisson
[b]Prénom[/b] : Zébulon
[b]Surnom[/b] : Il faudra lui en trouver
[b]Sexe[/b] : Masculin
[b]Taille[/b] : 1m56
[b]Âge apparent[/b] : Adolescent
[b]Ère de naissance[/b] : Conciliation
[b]Race[/b] : Eversha (Wynmeris Shua)
[b]Totem[/b] : Chat (d'égouts, d'après Kaahl)
[b]Métier[/b] : X

[b]Niveau[/b] : I (Niveau I à partir de 128 points)

[b]Armes[/b] : Il ne vaut mieux pas, il pourrait se blesser avec.

[b]Spécialités[/b] :
- Agilité : 5
- Force : 5
- Charisme : 5 + 2 = 7
- Intelligence : 5
- Magie : 5

[b]Pouvoirs[/b] :
- Esprit du Totem
- Règne Animal
- Colère des Anciens
- Éternité du Phénix
- Clonage

[b]Gain de niveau 2[/b]
- X

[b]Gain de niveau 3[/b]
- X

[b]POUVOIRS[/b]
- La Vision du Prophète : Votre personnage est soumis à des visions lié à l'Ère des Prophète et des Prophéties. Ces visions montrent l'avenir.

[b]ARMES[/b]
- X

[b]ARTEFACTS[/b]
- X

[b]~ Formes de magie[/b]
- Magie d'Argent
- Magie Primitive

[b]~ Patrimoine et réputation[/b]
- X

[b]Particularité[/b] : Il a les dents pointus et une queue noire sous sa forme humaine (alors qu'elle est rousse sous sa forme de chat)

[b]Role Play[/b] : Mon pelage n’avait jamais été autant hérissé que lorsque l’inconnu aux longs cheveux me balança à la tête de son sosie à la coupe courte. Un bruit étranglé, miaulement vain, s’éleva péniblement de ma gorge. Le reste ne resta pas dans mon cerveau atrophié par la peur. Je me sentis manipulé dans tous les sens et crachai partout, une odeur fétide s’échappant de mon corps dans l’objectif d’éloigner la source de mon traumatisme.

Une fois dehors, je continuai mon manège longtemps avant de retrouver un semblant de maîtrise de moi. Petit à petit, je me convainquis d’avoir terrassé le Duc (duquel j’avais quand même eu le temps de contempler l’expression terrorisée) et tous les autres.

Au fur et à mesure, mon poil retrouva son apparence habituelle. Je m’assis sur mon arrière-train, satisfait. C’était ça. Si je ne me rappelais pas tout, l’explication était simple : leur panique avait provoqué une telle satisfaction chez moi que le bonheur m’avait rendu amnésique au reste, comme lorsqu’on me donnait du lait, de la sardine ou du jambon. Le monde aurait pu exploser autour de moi que je ne l’aurais même pas remarqué.

Cette histoire de phéromones d’alarme, de pelage hérissé et de crachats n’avait jamais existé. Quiconque m’en reparlerait serait gommé de la surface du monde par mes soins.

Alors que je m’apprêtais à me lécher pour fêter ma victoire, je sentis une main me saisir par la nuque. Abasourdi que quiconque ose, j’ouvris de grands yeux sur le visage de ce qui me sembla être un campagnard à taches de rousseur, une espèce qui avait bien plus sa place dans les champs que dans les villes.

Je le sentis aussi, pour faire connaissance. Ce n’était pas si mal, jusqu’à ce qu’un autre apparaisse à son tour, un roux. Comme je commençais à paniquer, un phénomène inattendu se produisit. Un POUF sorti de nulle part retentit et la main qui me tenait auparavant par le cou ne put plus supporter mon poids.

Embarrassé par ce changement soudain de forme (et nu comme un ver de terre), j’atterris sur mes fesses.

« Aïe. »

Je ne me laissai cependant pas abattre et me relevai. Je devais impressionner ces manants, même si je n’y voyais pas grand-chose sans mes lunettes sous forme humaine. Ils ne me semblaient plus n’être que deux taches, l’une rousse et l’une brune, flottant vaguement dans le brouillard.

« Arrière ! Je n’irai dans le pantalon de personne ! »

Par contre, j’avais bel et bien besoin d’un pantalon.

« Je viens de vaincre le Duc Kaahl Paiberym et sa clique d’un regard ! »

Je les fixai, incertain, et leur soufflai :

« C’est le moment où vous devez être impressionnés normalement. »

Puis je pris une pause qui était censée mettre à l’honneur ma plastique. Mon corps n’avait pourtant rien d’exceptionnel. J’étais beaucoup plus cérébral que physique, même si ça restait relatif. Convaincu d’être un génie du mal, j’aurais été parfaitement assorti à une certaine Sorcière au prénom commençant par un M.

« Qui êtes-vous, d’ailleurs ? Moi je m’appelle Zébulon. »

On ne choisissait pas son prénom.

<!-- NE PAS SUPPRIMER CETTE BALISE DIV A DROITE --></div></div>

Roxanne

"Et je chante pour les p'tits chats les chiens qu'aboient pour moi car ça me fais plaisir, et je chante aussi pour toi"

Nom : Rhoswen
Prénom : Roxanne
Surnom : Rouquette ; Rouflaquette
Sexe : ♀
Taille : 1m59
Âge apparent : 14 ans
Ère de naissance : Les Prophéties
Race : Eversha | Wynmery Shua
Totem : Chien | Husky

Métier : /
Niveau : I [Niveau I à 5 points de RP]

Le thème de votre personnage : Oh Potato Dog - Parry Gripp
Crédits images : Kudos Productions & Alexander Levett

Armes :
- Des crocs
- Sa bonne humeur

Spécialités :
- Agilité : 5
- Force : 5
- Charisme : 6
- Intelligence : 5
- Magie : 4

Pouvoirs de base :
- Esprit du Totem
- Règne Animal
- Colère des Anciens
- Localisation
- Empathie

~ Gains de niveaux
Niveau II : N/A
Niveau III : N/A
Niveau IV : N/A
Niveau V : N/A

~ Pouvoirs
- N/A

~ Armes
- N/A

~ Artefacts
- N/A

~ Formes de magie
- Magie d'Argent
- Magie Primitive

~ Doubles nationalités
- N/A

~ Patrimoine et réputation
- N/A

~ Autres
- N/A

Particularité : Elle a les cheveux roses et des canines plus grandes que la normale ; jusqu'à ses 12 ans elle vivait sous forme animale et persuadée d'être une véritable chienne

Physionomie : Rouflaquette a tout du husky standard. Mais c'est à Roxanne que l'on va s'intéresser. Sous ses deux identités, on y retrouve une seule personne : la petite Eversha qui n'apprit que bien tard qu'elle en était une. Elle qui avait toujours marché sur ses quatre pattes, dû se dresser sur ses deux jambes frêles sans préparations préalables. Chose formidable cependant : les mains ! Tant de possibilité qui s'offraient à elle avec ces choses ! Et si difficile à maîtriser en même temps. Elle avait pu découvrir autre chose dans sa métamorphose : la nudité. Ou plutôt, l'absence de poils pour lui tenir chaud. C'est ainsi qu'elle comprit pourquoi les humains se couvraient de quantité incroyable de couche de tissu. Une chose l'amusait néanmoins dans les formes de son corps humain : ces petites choses, excroissances molles en haut de son torse. Les seins étaient des choses marrantes, comme ces balles pleines d'eau avec lesquelles les enfants, et souvent elle aussi, s'amusait. Marie lui avait dit qu'ils allaient peut-être encore pousser un peu, le temps qu'adolescence se fasse.
Finalement, comme elle était un husky standard sous forme animale, elle n'était également qu'une jeune adolescente normale dont le corps quittait lentement l'enfance pour devenir celui d'une adolescente et atteindre la forme de celui des adultes. Normale ? Pas tout à fait, en fait. Comme sa truffe était encore légèrement rosée, ses cheveux l'étaient, eux, totalement. Un rose vif, comme si son éternel sourire, assez déstabilisant à cause de la paire de canine imposante qu'il révélait, avait besoin d'être accentué par cette teinte pétillante. Comme si ces iris noisettes brillants d'amour et de chaleur avaient besoin d'être encadrés par la folie d'une tignasse rarement coiffée. Résumée en quelques mots, Roxanne, ou Rouflaquette, peu importe, était un être solaire, de ceux qui suintent la bonne humeur, la bienveillance, et qui donnent le sourire.

Psychologie : Comme dit précédemment, Roxanne brille par sa sempiternelle joie. Il est peu commun de ne pas la voir sourire et encore plus de la voir pleurer. Généralement, c'est quand Marie et Franck s'absentent plus de cinq minutes. Elle entre alors dans une détresse extrême et pleure toutes les larmes de son corps, ou hurle à la mort au grand dam des voisins. Ça ne dure jamais longtemps cependant. Juste assez pour laisser entendre à ses parents – Marie l'appelait toujours sa fifille ou la nommait comme étant « sa soeur » à Sophie - son désespoir. Après cela... La vie reprenait son court, tout simplement. Elle en profitait pour faire des choses que Franck et Marie – enfin, surtout Franck – refusaient qu'elle fasse, dormir sur le canapé ou le lit faisant partie de ses activités favorites. Parfois il lui arrivait de fuguer s'ils avaient oubliés de fermer une fenêtre avant de partir. Alors elle se promenait dans le village, rejoignant ses copains canidés comme humains. Parfois elle allait même jusqu'au village des Humains où s'y trouvait beaucoup de jeunes personnes avec ailes apparentes. Elle trouvait ça particulièrement drôle, les ailes. En fait, il n'y a que peu de choses qu'elle n'aime pas. Les chats, peut-être ? Ils pouvaient facilement se montrer méchants alors qu'elle voulait simplement faire connaissance et jouer, elle. Bon, ils n'étaient pas tous comme ça non plus. Dans ce cas, elle n'aimait pas certains chats seulement. Un peu comme les êtres humains. Certains n'avaient pas été agréable avec elle. Ceux-là, elle leur grognait dessus pour leur rappeler qu'elle se souvenait d'eux et de leur méchancetés, même si sous forme humaine ce n'était pas très crédible.

Histoire : « Pose-moi ! ». J'avais eut beau le lui crier, le monsieur qui m'avait enlevé à ma maman et à mes frères et à mes sœurs n'en avait pas démordu et ne m'avait libéré qu'une fois dans une nouvelle maison. Ce monsieur, c'était Franck, mon papa adoptif. La première fois que j'étais arrivé dans sa maison, j'avais été perturbée par l'odeur des lieux. C'était si différent de là d'où je venais. Ça sentait bon la lavande. Il avait fermé la porte derrière nous. Tout de suite je m'étais mise à paniquer et m'étais jetée sur la porte pour la forcer. Je n'avais eu que le rire de Franck en retour. « Tu auras le temps de visiter le reste de la maison. Pour l'instant je te laisse faire connaissance avec le salon. ». Puisque je ne pouvais pas sortir, je m'étais mise à détailler la pièce, le ton apaisé de Franck ayant calmé mes premières craintes. Puis j'étais partie à l'aventure. Il y avait ce gros coussin énorme en cuir clair. J'avais essayé de grimper dessus, ça avait l'air confortable. C'était la première fois que Franck me grondait. « C'est fragile, tu ne dois pas monter dessus. » m'avait-il expliqué. Mais c'était trop tentant, et ça l'est toujours. Ils avaient l'air si bien dedans. Et c'était vrai qu'on y était bien. Encore aujourd'hui Franck me grondait quand je montais sur le canapé. Mais je crois qu'il a un peu perdu l'espoir que j'arrête un jour.
..Mince. Où j'en étais ? OUI ! Si. Ça me revient. La découverte du salon.

Après m'avoir fâché, il s'était avancé jusqu'à l'âtre d'une cheminée et m'avait invité à le suivre. Juste à côté, il y avait un épais coussin à même le sol. J'allais naturellement monter dessus avant de me souvenir de la façon dont il m'avait grondé avant. « Tu peux y aller, c'est ton canapé à toi ça. » m'avait-il dit en souriant. De cette nouvelle, j'avais bondit sur place, trop heureuse d'avoir un coussin juste pour moi, et je m'étais jetée dessus en tournant sur moi-même. Oui, parce qu'avant on devait se partager les places avec mes frères et mes sœurs. Du coup c'est trop bien d'avoir toute la place juste pour soi. « Franck ? Tu es là ? ». Je m'étais arrêtée en entendant la nouvelle voix, toute l'attention rivée vers l'extérieur inaccessible. Sans un mot, Franck s'était éloigné. Je l'avais suivie, curieuse. Devant la porte, il me barra le passage. « Attends une seconde, le temps que je parle de toi à Marie. » m'avait-il soufflé en baissant la voix. Alors il s'était faufilé hors de la pièce, laissant la porte juste entrouverte de sorte que je pouvais y passer le museau. Il l'avait cependant bloqué par je ne savais quelle magie – qui n'était rien d'autre que sa main en fait – car mes tentatives pour passer avait été infructueuses. « Marie, je suis là. J'ai une surprise pour toi. ». Il avait été rejoint par une autre personne. Une femme avec de beaux cheveux châtains et de belles lèvres rouges. C'est comme ça que j'avais pour la première fois vu Marie, ma maman adoptive. « Ah ? Qu'est-ce que c'est ? » l'avait-elle interrogée. Alors enfin il avait relâché la porte me permettant de les rejoindre en sautillant. « Bonjour Marie ! » - « Joyeux anniversaire de mariage. » avait-il déclaré en même temps que je saluais l'humaine. J'avais à peine fais trois pas que déjà je m'était retrouvé dans les bras de Marie. « Pose-moi ! » avais-je à nouveau jappé. Mais j'avais immédiatement cessé sous l'emprise de ses caresses et de ses bisous. « Je croyais que tu ne voulais pas de chien ? » s'était-elle étonnée. « Mais toi tu en voulais un. ». Elle sourit, me regardant avec un regard tendre pendant que ses doigts me caressait sous le menton. Plus rien n'existait alors. Les yeux fermés, la langue pendue, j'étais au paradis. « Moi aussi j'ai une surprise. ». Sa voix était si douce quand elle avait prononcé ces mots. « Je suis enceinte. ». À ce moment-là je n'avais pas compris ce que cette révélation pouvait être. Ça semblait important, considérant le court silence qui s'en était ensuivit et la surprise de Franck. Je découvris plus tard que ça voulait dire que j'allais avoir une nouvelle sœur, en plus de nouveaux parents.

On m'a baptisé Roxanne. Apparemment c'était le nom de la grand-mère décédée de Marie. J'imagine que je dois prendre ça comme un compliment d'avoir hérité de ce prénom ? Je considérais la chose comme telle. Mais la plupart du temps ils m'appelaient par tout un tas de drôle de surnom. Roukette. Rouflaquette. Grosse. Louloute. Il n'y avait que Marie qui usait peu de ces surnoms, sûrement rapport au fait que je porte le nom de son aïeule. Franck, lui, m'appelait par mon vrai prénom quand j'avais fait une bêtise. Avec le temps, j'avais cependant fini par développer une technique imparable pour me faire pardonner aussi vite qu'il s'était fâché. Je m'approchais lentement, la tête baissée et lui offrant le plus malheureux des regards. Puis je venais m'asseoir tout contre lui, appuyée contre ses jambes, et levait la tête avec toujours cet air malheureux. Puis, à la seconde où je croyais déceler une faille, je lui faisais les yeux doux, battait la queue et lui faisait mon plus beau sourire. Ça fonctionnait à tout les coups.
Depuis qu'on avait découvert qu'en fait je n'étais pas totalement animale, ils faisaient particulièrement attention à moi. Mes métamorphoses étaient trop aléatoires. Je n'aimais pas ça, être sous forme humaine. Ils me regardent bizarrement les gens, encore plus si je me transforme pendant une balade ou quand on joue au bord du lac bleu. Marie m'avait expliqué que les mœurs de la population étaient trop pudique pour qu'elles considèrent normalement une adolescente qui se promène nue en plein milieu de la rue. Elle m'avait aussi dit de faire attention. Tous n'étaient pas bien attentionnés, surtout à l'encontre d'une fille, surtout comme moi. Je n'avais pas compris ce qu'elle voulait dire. Je ne le comprenait d'ailleurs toujours pas.

Depuis quelques temps je les entends parler des écoles dans lesquelles m'inscrire pour mes études, puisque je suis largement en âge. Mais je ne voulais pas partir pour étudier, moi. J'étais bien là, à la maison, avec eux, sur mon coussin-canapé devant la cheminée. J'essayais de leur faire comprendre. Je croise les doigts et les pattes forts pour qu'ils acceptent de me laisser ici.

Code:

<div id="wrapperSER"><br><center><div id="titreSER">Rouflaquette</div>
<div id="citationSER">"Et je chante pour les p'tits chats les chiens qu'aboient pour moi car ça me fais plaisir, et je chante aussi pour toi"</div><br /><img src="https://i.servimg.com/u/f87/16/78/24/51/et_110.png" class="imgSER"></center><div class="cadreHIS"><img src="https://i.servimg.com/u/f87/16/78/24/51/ava_ro11.png" style="float:right;padding-left:5px;width:200px;" />
[b]Nom[/b] : Rhoswen
[b]Prénom[/b] : Roxanne
[b]Surnom[/b] : Rouquette ; Rouflaquette
[b]Sexe[/b] : ♀
[b]Taille[/b] : 1m59
[b]Âge apparent[/b] : 14 ans
[b]Ère de naissance[/b] : Les Prophéties
[b]Race[/b] : Eversha | Wynmery Shua
[b]Totem :[/b] Chien | Husky

[b]Métier : [/b] /
[b]Niveau :[/b] I [Niveau I à 5 points de RP]

[b]Le thème de votre personnage[/b] : <a href=https://music.youtube.com/watch?v=uoHvv68xGD0&si=szxDN6-uyWxrwFzZ>Oh Potato Dog</a> - Parry Gripp</a>
[b]Crédits images[/b] : <a href=https://cdna.artstation.com/p/assets/images/images/032/860/020/large/kudos-productions-sera-illustration-adjustingcamerakeyboard1-guan-yu.jpg?1607681218>Kudos Productions</a> & <a href=https://cdnb.artstation.com/p/assets/images/images/038/462/111/large/alexander-levett-wolf.jpg?1623164246>Alexander Levett</a>

[b]Armes : [/b]
- Des crocs
- Sa bonne humeur

[b]Spécialités : [/b]
- Agilité : 5
- Force : 5
- Charisme : 6
- Intelligence : 5
- Magie : 4

[b]Pouvoirs de base : [/b]
- Esprit du Totem
- Règne Animal
- Colère des Anciens
- Localisation
- Empathie

[b]~ Gains de niveaux[/b]
Niveau II : N/A
Niveau III : N/A
Niveau IV : N/A
Niveau V : N/A

[b]~ Pouvoirs[/b]
- N/A

[b]~ Armes[/b]
- N/A

[b]~ Artefacts [/b]
- N/A

[b]~ Formes de magie[/b]
- Magie d'Argent
- Magie Primitive

[b]~ Doubles nationalités[/b]
- N/A

[b]~ Patrimoine et réputation[/b]
- N/A

[b]~ Autres[/b]
- N/A

[b]Particularité[/b] : Elle a les cheveux roses et des canines plus grandes que la normale ; jusqu'à ses 12 ans elle vivait sous forme animale et persuadée d'être une véritable chienne

[b]Physionomie[/b] : Rouflaquette a tout du husky standard. Mais c'est à Roxanne que l'on va s'intéresser. Sous ses deux identités, on y retrouve une seule personne : la petite Eversha qui n'apprit que bien tard qu'elle en était une. Elle qui avait toujours marché sur ses quatre pattes, dû se dresser sur ses deux jambes frêles sans préparations préalables. Chose formidable cependant : les mains ! Tant de possibilité qui s'offraient à elle avec ces choses ! Et si difficile à maîtriser en même temps. Elle avait pu découvrir autre chose dans sa métamorphose : la nudité. Ou plutôt, l'absence de poils pour lui tenir chaud. C'est ainsi qu'elle comprit pourquoi les humains se couvraient de quantité incroyable de couche de tissu. Une chose l'amusait néanmoins dans les formes de son corps humain : ces petites choses, excroissances molles en haut de son torse. Les seins étaient des choses marrantes, comme ces balles pleines d'eau avec lesquelles les enfants, et souvent elle aussi, s'amusait. Marie lui avait dit qu'ils allaient peut-être encore pousser un peu, le temps qu'adolescence se fasse.
Finalement, comme elle était un husky standard sous forme animale, elle n'était également qu'une jeune adolescente normale dont le corps quittait lentement l'enfance pour devenir celui d'une adolescente et atteindre la forme de celui des adultes. Normale ? Pas tout à fait, en fait. Comme sa truffe était encore légèrement rosée, ses cheveux l'étaient, eux, totalement. Un rose vif, comme si son éternel sourire, assez déstabilisant à cause de la paire de canine imposante qu'il révélait, avait besoin d'être accentué par cette teinte pétillante. Comme si ces iris noisettes brillants d'amour et de chaleur avaient besoin d'être encadrés par la folie d'une tignasse rarement coiffée. Résumée en quelques mots, Roxanne, ou Rouflaquette, peu importe, était un être solaire, de ceux qui suintent la bonne humeur, la bienveillance, et qui donnent le sourire.

[b]Psychologie[/b] : Comme dit précédemment, Roxanne brille par sa sempiternelle joie. Il est peu commun de ne pas la voir sourire et encore plus de la voir pleurer. Généralement, c'est quand Marie et Franck s'absentent plus de cinq minutes. Elle entre alors dans une détresse extrême et pleure toutes les larmes de son corps, ou hurle à la mort au grand dam des voisins. Ça ne dure jamais longtemps cependant. Juste assez pour laisser entendre à ses parents – Marie l'appelait toujours sa fifille ou la nommait comme étant « sa soeur » à Sophie - son désespoir. Après cela... La vie reprenait son court, tout simplement. Elle en profitait pour faire des choses que Franck et Marie – enfin, surtout Franck – refusaient qu'elle fasse, dormir sur le canapé ou le lit faisant partie de ses activités favorites. Parfois il lui arrivait de fuguer s'ils avaient oubliés de fermer une fenêtre avant de partir. Alors elle se promenait dans le village, rejoignant ses copains canidés comme humains. Parfois elle allait même jusqu'au village des Humains où s'y trouvait beaucoup de jeunes personnes avec ailes apparentes. Elle trouvait ça particulièrement drôle, les ailes. En fait, il n'y a que peu de choses qu'elle n'aime pas. Les chats, peut-être ? Ils pouvaient facilement se montrer méchants alors qu'elle voulait simplement faire connaissance et jouer, elle. Bon, ils n'étaient pas tous comme ça non plus. Dans ce cas, elle n'aimait pas certains chats seulement. Un peu comme les êtres humains. Certains n'avaient pas été agréable avec elle. Ceux-là, elle leur grognait dessus pour leur rappeler qu'elle se souvenait d'eux et de leur méchancetés, même si sous forme humaine ce n'était pas très crédible.

[b]Histoire [/b]: [color=#999933][i]« Pose-moi ! »[/i][/color]. J'avais eut beau le lui crier, le monsieur qui m'avait enlevé à ma maman et à mes frères et à mes sœurs n'en avait pas démordu et ne m'avait libéré qu'une fois dans une nouvelle maison. Ce monsieur, c'était Franck, mon papa adoptif. La première fois que j'étais arrivé dans sa maison, j'avais été perturbée par l'odeur des lieux. C'était si différent de là d'où je venais. Ça sentait bon la lavande. Il avait fermé la porte derrière nous. Tout de suite je m'étais mise à paniquer et m'étais jetée sur la porte pour la forcer. Je n'avais eu que le rire de Franck en retour. [color=#722272]« Tu auras le temps de visiter le reste de la maison. Pour l'instant je te laisse faire connaissance avec le salon. »[/color]. Puisque je ne pouvais pas sortir, je m'étais mise à détailler la pièce, le ton apaisé de Franck ayant calmé mes premières craintes. Puis j'étais partie à l'aventure. Il y avait ce gros coussin énorme en cuir clair. J'avais essayé de grimper dessus, ça avait l'air confortable. C'était la première fois que Franck me grondait. [color=#722272]« C'est fragile, tu ne dois pas monter dessus. » [/color]m'avait-il expliqué. Mais c'était trop tentant, et ça l'est toujours. Ils avaient l'air si bien dedans. Et c'était vrai qu'on y était bien. Encore aujourd'hui Franck me grondait quand je montais sur le canapé. Mais je crois qu'il a un peu perdu l'espoir que j'arrête un jour.
..Mince. Où j'en étais ? OUI ! Si. Ça me revient. La découverte du salon.

Après m'avoir fâché, il s'était avancé jusqu'à l'âtre d'une cheminée et m'avait invité à le suivre. Juste à côté, il y avait un épais coussin à même le sol. J'allais naturellement monter dessus avant de me souvenir de la façon dont il m'avait grondé avant. [color=#722272]« Tu peux y aller, c'est ton canapé à toi ça. »[/color] m'avait-il dit en souriant. De cette nouvelle, j'avais bondit sur place, trop heureuse d'avoir un coussin juste pour moi, et je m'étais jetée dessus en tournant sur moi-même. Oui, parce qu'avant on devait se partager les places avec mes frères et mes sœurs. Du coup c'est trop bien d'avoir toute la place juste pour soi.[color=#333366] « Franck ? Tu es là ? »[/color]. Je m'étais arrêtée en entendant la nouvelle voix, toute l'attention rivée vers l'extérieur inaccessible. Sans un mot, Franck s'était éloigné. Je l'avais suivie, curieuse. Devant la porte, il me barra le passage. [color=#722272]« Attends une seconde, le temps que je parle de toi à Marie. »[/color] m'avait-il soufflé en baissant la voix. Alors il s'était faufilé hors de la pièce, laissant la porte juste entrouverte de sorte que je pouvais y passer le museau. Il l'avait cependant bloqué par je ne savais quelle magie – qui n'était rien d'autre que sa main en fait – car mes tentatives pour passer avait été infructueuses. [color=#722272]« Marie, je suis là. J'ai une surprise pour toi. »[/color]. Il avait été rejoint par une autre personne. Une femme avec de beaux cheveux châtains et de belles lèvres rouges. C'est comme ça que j'avais pour la première fois vu Marie, ma maman adoptive. [color=#333366]« Ah ? Qu'est-ce que c'est ? »[/color] l'avait-elle interrogée. Alors enfin il avait relâché la porte me permettant de les rejoindre en sautillant. [color=#999933][i]« Bonjour Marie ! »[/i][/color] - [color=#722272]« Joyeux anniversaire de mariage. »[/color] avait-il déclaré en même temps que je saluais l'humaine. J'avais à peine fais trois pas que déjà je m'était retrouvé dans les bras de Marie.[color=#999933][i] « Pose-moi ! »[/i][/color] avais-je à nouveau jappé. Mais j'avais immédiatement cessé sous l'emprise de ses caresses et de ses bisous. [color=#333366]« Je croyais que tu ne voulais pas de chien ? »[/color] s'était-elle étonnée. [color=#722272]« Mais toi tu en voulais un. »[/color]. Elle sourit, me regardant avec un regard tendre pendant que ses doigts me caressait sous le menton. Plus rien n'existait alors. Les yeux fermés, la langue pendue, j'étais au paradis.[color=#333366] « Moi aussi j'ai une surprise. »[/color]. Sa voix était si douce quand elle avait prononcé ces mots. [color=#333366]« Je suis enceinte. »[/color]. À ce moment-là je n'avais pas compris ce que cette révélation pouvait être. Ça semblait important, considérant le court silence qui s'en était ensuivit et la surprise de Franck. Je découvris plus tard que ça voulait dire que j'allais avoir une nouvelle sœur, en plus de nouveaux parents.

On m'a baptisé Roxanne. Apparemment c'était le nom de la grand-mère décédée de Marie. J'imagine que je dois prendre ça comme un compliment d'avoir hérité de ce prénom ? Je considérais la chose comme telle. Mais la plupart du temps ils m'appelaient par tout un tas de drôle de surnom. Roukette. Rouflaquette. Grosse. Louloute. Il n'y avait que Marie qui usait peu de ces surnoms, sûrement rapport au fait que je porte le nom de son aïeule. Franck, lui, m'appelait par mon vrai prénom quand j'avais fait une bêtise. Avec le temps, j'avais cependant fini par développer une technique imparable pour me faire pardonner aussi vite qu'il s'était fâché. Je m'approchais lentement, la tête baissée et lui offrant le plus malheureux des regards. Puis je venais m'asseoir tout contre lui, appuyée contre ses jambes, et levait la tête avec toujours cet air malheureux. Puis, à la seconde où je croyais déceler une faille, je lui faisais les yeux doux, battait la queue et lui faisait mon plus beau sourire. Ça fonctionnait à tout les coups.
Depuis qu'on avait découvert qu'en fait je n'étais pas totalement animale, ils faisaient particulièrement attention à moi. Mes métamorphoses étaient trop aléatoires. Je n'aimais pas ça, être sous forme humaine. Ils me regardent bizarrement les gens, encore plus si je me transforme pendant une balade ou quand on joue au bord du lac bleu. Marie m'avait expliqué que les mœurs de la population étaient trop pudique pour qu'elles considèrent normalement une adolescente qui se promène nue en plein milieu de la rue. Elle m'avait aussi dit de faire attention. Tous n'étaient pas bien attentionnés, surtout à l'encontre d'une fille, surtout comme moi. Je n'avais pas compris ce qu'elle voulait dire. Je ne le comprenait d'ailleurs toujours pas.

Depuis quelques temps je les entends parler des écoles dans lesquelles m'inscrire pour mes études, puisque je suis largement en âge. Mais je ne voulais pas partir pour étudier, moi. J'étais bien là, à la maison, avec eux, sur mon coussin-canapé devant la cheminée. J'essayais de leur faire comprendre. Je croise les doigts et les pattes forts pour qu'ils acceptent de me laisser ici.
<!-- NE PAS SUPPRIMER CETTE BALISE DIV A DROITE --><br /></div></div>

Chô Yèwǎn

Nom : Yèwǎn
Prénom : Chô
Surnom : Pieris
Sexe : Masculin
Taille : 1m70
Âge apparent : Dix-sept ans
Ère de naissance : L'Ère de la Conciliation
Race : Vampire
Lignée : Evgeniya
Métier : X

Niveau : I (Niveau I à partir de 600 points)

Armes :  
- Non, il est pacifique

Spécialités :
- Agilité : 5
- Force : 4
- Charisme : 7
- Intelligence : 5
- Magie : 4

Pouvoirs :
- Aliénation
- Contemple ton ombre
- Le lien du sang
-  Obsession : Lorsque Pieris boit le sang d'un individu, il peut laisser une marque dans l'organisme de ce dernier qui le pousse à penser à lui durant un temps.
- Égérie : En utilisant ce pouvoir, reste de son ancienne race, Pieris peut inspirer les artistes qui désireront créer à partir de lui. À haut niveau de magie, ce don lui permet donc de devenir une véritable muse.  

Gain de niveau 2
- X

Gain de niveau 3
- X

POUVOIRS
- X

ARMES
- X

ARTEFACTS
- X

~ Formes de magie
- La Magie des Ténèbres
- La Magie du Sang

~ Patrimoine et réputation
- X

Particularité : Pieris est une ancienne Orine qui a été transformée en Vampire. Il était modèle auparavant (son Aisuru l'exploitait en ce sens). Il ressemble vraiment à une fille.

Physionomie : La première chose à relever à propos de Pieris, c’est qu’il semble être une fille. Ses traits sont fins, tout comme ses articulations. Ses muscles – peu développés – sont longilignes, tout comme ses jambes qui semblent s’étendre à n’en plus finir. Sa chevelure s’étend jusqu’à ses reins. Naturellement d’ébène, il lui arrive de la teindre en châtain. Ses yeux sont noisette. S’il ne peut plus s’admirer dans les miroirs, le Vampire a un goût prononcé pour tout ce qui peut magnifier son apparence. Souvent habillé comme une Orine, il lui arrive néanmoins de tester d’autres vêtements. Il aime décorer ses cheveux et porter des bijoux. Il lui arrive également de se maquiller légèrement, même si la chose reste plus rare. Il a du goût pour ce qui est beau et a tendance à être plus lascif qu’il ne le faudrait dans ses mouvements. Finalement, seules son absence de poitrine, la faible bosse au niveau de son bassin et sa voix rauque et rocailleuse – il roule les r aussi – peuvent trahir sa condition d’homme. Cependant, il ne cache pas en être un, même s’il a tendance à ne pas contredire ceux qui pensent qu’il est une fille.

Psychologie : Avant sa transformation en Vampire, Pieris servait de modèle pour différents artistes. Doué d’un grand charisme – que sa transformation a réduit à néant – il obéissait à son Aisuru et émouvait les foules en jouant sur sa beauté. Pour plaire au plus grand nombre, il a appris à mentir mais également à aller dans le sens de ses fans. Il a donc plutôt tendance à être d’accord avec autrui ; ce qui le rend particulièrement peu fiable puisqu’il change son fusil d’épaule en fonction de son interlocuteur pour éviter de le contredire. Néanmoins, il possède une pensée propre, qu’il dissimule le plus souvent. Particulièrement maniable et malléable, le Vampire peut sembler être un jouet entre les mains de celui qui le tient. Il n’a aucun amour propre mais aime tout de même être beau et recevoir des compliments. Parfois, du fait de sa condition, un petit côté sauvage émerge de son être. C’est particulièrement le cas au réveil où il peut être ronchon, voire sarcastique et ironique. Là est peut-être l’illustration d’une nature plus profonde qu’il cache. Pieris aime les arts et pratique la danse, le tricot et le chant. Il aimerait continuer de poser pour des artistes, même s’il n’est plus aussi magnétique que par le passé. Il a une obsession pour Læn, son odeur et ses affaires.

Histoire : Pieris n’est pas le vrai prénom du Vampire. Il s’agit du pseudonyme qu’il a pris lorsqu’il a commencé à poser afin de préserver sa vie privée. Enfant, il était connu sous le nom de Chô Yèwǎn. C’est toujours ainsi qu’on le connaît chez les Orines, bien qu’il n’y soit pas retourné depuis longtemps. Il a vécu une vie plutôt standard pour son peuple, jusqu’à la formation du lien avec son Aisuru. Ce dernier, aujourd’hui porté disparu, a vu, en posant les yeux sur le garçon qu’il était alors, un réel potentiel et a décidé de l’introduire dans des salons, dont certains particulièrement douteux. Plusieurs adultes eurent pour lui des fantasmes inavouables, même si son Aisuru et son peuple d’appartenance le préservèrent de toutes dérives. De ces fantasmes, l’homme tira un énorme profit. En peu de temps, l’adolescent gravit les marches d’un monde fait d’illusions et de faux semblants. Il devint désirable, jouant la comédie pour émoustiller la masse. Il posa, parfois de manière chaste, parfois de façon plus lascive mais jamais vulgaire. Son rôle était de vendre du rêve, de tremper les sous-vêtements des filles et de tendre ceux des garçons pour faire toujours plus de profits. Son Aisuru lui interdit d’avoir une petite-amie. Il devait rester libre, pour que dans l’esprit de la foule, tout fût possible. Il fut également amené à servir d’hôte dans des soirées, souvent au bras de riches héritières ou de leur mère. Il dut donc apprendre à faire la conversation et à se rendre désirable par l’esprit, chose qu’il n’arrive plus à entreprendre aujourd’hui. Il apprit beaucoup, la culture étant une arme redoutable mêlée à la beauté. Là encore, il a presque tout oublié lorsqu’il a été transformé en Vampire ; car son succès attira sa créatrice, une femme d’une grande beauté et avec des manières exquises qu’il accompagna plusieurs fois. Là où, normalement, il était celui qui fascinait, la tendance s’inversa, au point qu’elle devint une obsession. Lui qui n’avait jamais ressenti de désir sexuel fit la découverte de ce dernier. Cette femme perturba ses nuits. Il lui arriva de ne plus dormir à cause du fantôme de sa silhouette. Petit à petit, il devint un objet entre ses mains, au point que le Lien en devint presque fade. Lorsqu’elle lui demanda s’il voulait la rejoindre dans l’éternité – une demande inutile puisqu’il aurait tout accepté – il acquiesça. C’est ainsi qu’il fut transformé. Il y perdit beaucoup et n’y gagna presque rien puisqu’elle lui ordonna de partir étudier à Basphel. Il y alla donc, blessé du désintérêt soudain de sa Créatrice. Il ne parle presque jamais d’elle.

Code:

<div id="wrappper"><div class="titreprez cellule">Chô Yèwǎn</div>
<div class="cellule"><img src="https://www.zupimages.net/up/21/49/oymw.bmp" style="float:right;padding-left:5px" />[b]Nom[/b] : Yèwǎn
[b]Prénom[/b] : Chô
[b]Surnom[/b] : Pieris
[b]Sexe[/b] : Masculin
[b]Taille[/b] : 1m70
[b]Âge apparent[/b] : Dix-sept ans
[b]Ère de naissance[/b] : L'Ère de la Conciliation
[b]Race[/b] : Vampire
[b]Lignée[/b] : Evgeniya
[b]Métier[/b] : X

[b]Niveau[/b] : I (Niveau I à partir de 600 points)

[b]Armes[/b] :  
- Non, il est pacifique

[b]Spécialités[/b] :
- Agilité : 5
- Force : 4
- Charisme : 7
- Intelligence : 5
- Magie : 4

[b]Pouvoirs[/b] :
- Aliénation
- Contemple ton ombre
- Le lien du sang
-  Obsession : Lorsque Pieris boit le sang d'un individu, il peut laisser une marque dans l'organisme de ce dernier qui le pousse à penser à lui durant un temps.
- Égérie : En utilisant ce pouvoir, reste de son ancienne race, Pieris peut inspirer les artistes qui désireront créer à partir de lui. À haut niveau de magie, ce don lui permet donc de devenir une véritable muse.  

[b]Gain de niveau 2[/b]
- X

[b]Gain de niveau 3[/b]
- X

[b]POUVOIRS[/b]
- X

[b]ARMES[/b]
- X

[b]ARTEFACTS[/b]
- X

[b]~ Formes de magie[/b]
- La Magie des Ténèbres
- La Magie du Sang

[b]~ Patrimoine et réputation[/b]
- X

[b]Particularité[/b] : Pieris est une ancienne Orine qui a été transformée en Vampire. Il était modèle auparavant (son Aisuru l'exploitait en ce sens). Il ressemble vraiment à une fille.

[b]Physionomie[/b] : La première chose à relever à propos de Pieris, c’est qu’il semble être une fille. Ses traits sont fins, tout comme ses articulations. Ses muscles – peu développés – sont longilignes, tout comme ses jambes qui semblent s’étendre à n’en plus finir. Sa chevelure s’étend jusqu’à ses reins. Naturellement d’ébène, il lui arrive de la teindre en châtain. Ses yeux sont noisette. S’il ne peut plus s’admirer dans les miroirs, le Vampire a un goût prononcé pour tout ce qui peut magnifier son apparence. Souvent habillé comme une Orine, il lui arrive néanmoins de tester d’autres vêtements. Il aime décorer ses cheveux et porter des bijoux. Il lui arrive également de se maquiller légèrement, même si la chose reste plus rare. Il a du goût pour ce qui est beau et a tendance à être plus lascif qu’il ne le faudrait dans ses mouvements. Finalement, seules son absence de poitrine, la faible bosse au niveau de son bassin et sa voix rauque et rocailleuse – il roule les r aussi – peuvent trahir sa condition d’homme. Cependant, il ne cache pas en être un, même s’il a tendance à ne pas contredire ceux qui pensent qu’il est une fille.

[b]Psychologie[/b] : Avant sa transformation en Vampire, Pieris servait de modèle pour différents artistes. Doué d’un grand charisme – que sa transformation a réduit à néant – il obéissait à son Aisuru et émouvait les foules en jouant sur sa beauté. Pour plaire au plus grand nombre, il a appris à mentir mais également à aller dans le sens de ses fans. Il a donc plutôt tendance à être d’accord avec autrui ; ce qui le rend particulièrement peu fiable puisqu’il change son fusil d’épaule en fonction de son interlocuteur pour éviter de le contredire. Néanmoins, il possède une pensée propre, qu’il dissimule le plus souvent. Particulièrement maniable et malléable, le Vampire peut sembler être un jouet entre les mains de celui qui le tient. Il n’a aucun amour propre mais aime tout de même être beau et recevoir des compliments. Parfois, du fait de sa condition, un petit côté sauvage émerge de son être. C’est particulièrement le cas au réveil où il peut être ronchon, voire sarcastique et ironique. Là est peut-être l’illustration d’une nature plus profonde qu’il cache. Pieris aime les arts et pratique la danse, le tricot et le chant. Il aimerait continuer de poser pour des artistes, même s’il n’est plus aussi magnétique que par le passé. Il a une obsession pour Læn, son odeur et ses affaires.

[b]Histoire [/b]: Pieris n’est pas le vrai prénom du Vampire. Il s’agit du pseudonyme qu’il a pris lorsqu’il a commencé à poser afin de préserver sa vie privée. Enfant, il était connu sous le nom de Chô Yèwǎn. C’est toujours ainsi qu’on le connaît chez les Orines, bien qu’il n’y soit pas retourné depuis longtemps. Il a vécu une vie plutôt standard pour son peuple, jusqu’à la formation du lien avec son Aisuru. Ce dernier, aujourd’hui porté disparu, a vu, en posant les yeux sur le garçon qu’il était alors, un réel potentiel et a décidé de l’introduire dans des salons, dont certains particulièrement douteux. Plusieurs adultes eurent pour lui des fantasmes inavouables, même si son Aisuru et son peuple d’appartenance le préservèrent de toutes dérives. De ces fantasmes, l’homme tira un énorme profit. En peu de temps, l’adolescent gravit les marches d’un monde fait d’illusions et de faux semblants. Il devint désirable, jouant la comédie pour émoustiller la masse. Il posa, parfois de manière chaste, parfois de façon plus lascive mais jamais vulgaire. Son rôle était de vendre du rêve, de tremper les sous-vêtements des filles et de tendre ceux des garçons pour faire toujours plus de profits. Son Aisuru lui interdit d’avoir une petite-amie. Il devait rester libre, pour que dans l’esprit de la foule, tout fût possible. Il fut également amené à servir d’hôte dans des soirées, souvent au bras de riches héritières ou de leur mère. Il dut donc apprendre à faire la conversation et à se rendre désirable par l’esprit, chose qu’il n’arrive plus à entreprendre aujourd’hui. Il apprit beaucoup, la culture étant une arme redoutable mêlée à la beauté. Là encore, il a presque tout oublié lorsqu’il a été transformé en Vampire ; car son succès attira sa créatrice, une femme d’une grande beauté et avec des manières exquises qu’il accompagna plusieurs fois. Là où, normalement, il était celui qui fascinait, la tendance s’inversa, au point qu’elle devint une obsession. Lui qui n’avait jamais ressenti de désir sexuel fit la découverte de ce dernier. Cette femme perturba ses nuits. Il lui arriva de ne plus dormir à cause du fantôme de sa silhouette. Petit à petit, il devint un objet entre ses mains, au point que le Lien en devint presque fade. Lorsqu’elle lui demanda s’il voulait la rejoindre dans l’éternité – une demande inutile puisqu’il aurait tout accepté – il acquiesça. C’est ainsi qu’il fut transformé. Il y perdit beaucoup et n’y gagna presque rien puisqu’elle lui ordonna de partir étudier à Basphel. Il y alla donc, blessé du désintérêt soudain de sa Créatrice. Il ne parle presque jamais d’elle.

<!-- NE PAS SUPPRIMER CETTE BALISE DIV A DROITE --></div></div>

Hey o/
J'avais oublié de poster cette décla /sbam

Lien des sujets :
- Le bal d'encens - post 1
- Le bal d'encens - post 2

Gains : 1 compagnon
Lien vers sa fiche : Ici en attendant de ranger ma fiche

Souleman

Prénom : Souleman
Sexe : Mâle
Race : Zhēnguì de Shítou

Pouvoirs :
- L'Éternité
- Vitesse Accrue
- Création de l'Eau
- Fu-Zang Long | lui permet de créer une petite pierre précieuse par mois, si le personnage est mauvais avec lui, ce sera du charbon

Particularité - Créature résidant sur les Terres d'Émeraude, le Zhēnguì de Shítou est un animal de compagnie des plus énergiques. C'est une race qui est signe de luxe, puisque des légendes disent qu'ils vivent près des filons de gemmes précieuses exploitées par les Orines ; ils y seraient très sensibles. Lié à Kyra.

Physique - Chien de petite taille, élégant au port de tête fier, son garrot est d'environ trente centimètres, avec un poids variant de trois à cinq kilos. De grands yeux aux couleurs variées. Queue retombante et poilue, sans ondulation. Son pelage comporte des couleurs variables, mais ses coussinets restent strictement blanc. Du fait de son apparence physique particulière et de son visage barbu, il a souvent très chaud, ce qui fait que sa langue pendille. Il doit boire souvent.

Psychologie - Très joueur, il aime aussi voyager, surtout sur des navires. L'on dit que si son partenaire est bon avec lui, il le récompensera en lui donnant une pierre précieuse, dans le cas inverse, ce sera du charbon, jusqu'à ce que l'offense soit levée. Ils sont très faciles à vivre, mais ils ne sont pas très obéissant pour autant.

---

Lien des sujets :
- Le bal d'encens - post 1
Lien vers sa fiche : Meli

M'Tala

Prénom : M'Tala
Sexe : Femelle
Race | Zhēnguì de Shítou

Pouvoirs :
- L'Éternité
- Vitesse Accrue
- Création de l'Eau
- Fu-Zang Long | lui permet de créer une petite pierre précieuse par mois, si le personnage est mauvais avec lui, ce sera du charbon

Particularité : Créature résidant sur les Terres d'Émeraude, le Zhēnguì de Shítou est un animal de compagnie des plus énergiques. C'est une race qui est signe de luxe, puisque des légendes disent qu'ils vivent près des filons de gemmes précieuses exploitées par les Orines ; ils y seraient très sensibles. Liée à Melissandre.

Physique : Chien de petite taille, élégant au port de tête fier, son garrot est d'environ trente centimètres, avec un poids variant de trois à cinq kilos. De grands yeux aux couleurs variées. Queue retombante et poilue, sans ondulation. Son pelage comporte des couleurs variables, mais ses coussinets restent strictement blanc. Du fait de son apparence physique particulière et de son visage barbu, il a souvent très chaud, ce qui fait que sa langue pendille. Il doit boire souvent.

Psychologie : Très joueur, il aime aussi voyager, surtout sur des navires. L'on dit que si son partenaire est bon avec lui, il le récompensera en lui donnant une pierre précieuse, dans le cas inverse, ce sera du charbon, jusqu'à ce que l'offense soit levée. Ils sont très faciles à vivre, mais ils ne sont pas très obéissant pour autant.

Statut : Ok par moi-même