-21%
Le deal à ne pas rater :
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, Collection Botanique
39.59 € 49.99 €
Voir le deal

Partagez
 

 | Déclarations de compagnons |

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Aller à la page : Précédent  1, 2
AuteurMessage
Dorian Lang
~ Vampire ~ Niveau II ~

~ Vampire ~ Niveau II ~
◈ Parchemins usagés : 235
◈ YinYanisé(e) le : 22/08/2022
◈ Activité : Chômeur grincheux
Dorian Lang
Ven 26 Avr 2024, 21:34


Bonjour | Déclarations de compagnons | - Page 2 1266825537

Lien du ou des sujets : Gains de quête du RD
Sur Dorian (Ezidor) : XVII - VIII : Reste IX
Gains :

Code:
<div id="wrappper"><div class="titreprez cellule">Valéandre Hanove</div>
<div class="cellule"><img src="https://zupimages.net/up/24/17/8yqk.jpg" style="float:right;padding-left:5px" />[b]Nom[/b] : Hanove
[b]Prénom[/b] : Valéandre
[b]Surnom[/b] : Val'
[b]Sexe[/b] : Masculin
[b]Taille[/b] :  168 cm
[b]Âge apparent[/b] : Environ 18 ans
[b]Ère de naissance[/b] : Ère de la conciliation
[b]Race[/b] : Déchu
[b]Péché :[/b] Envie et un soupçon de Colère et de Gourmandise
[b]Métier[/b] : X
[b]Thème[/b] : [url=https://youtu.be/RKuWvzxwPQM?list=PLi5LI2Z5eALSNxRkhNK6kw6OoP6IbW_bY]Loïc Nottet - Addictocrate (tout l'album)[/url]
[b]Niveau[/b] : I

[b]Armes[/b] :  
- Aucune, pour éviter que l'envie de tuer le prenne

[b]Spécialités[/b] :
- Agilité : 5
- Force : 5
- Charisme : 5
- Intelligence : 5
- Magie : 5

[b]Pouvoirs[/b] :
- La Peau des Grigori
- Le Souffle du Nephilim
- Les Artifices de Lucifer
- Le soupir : Il arrive qu'en soupirant, Valéandre provoque chez les autres l'envie de satisfaire ses caprices (en fonction des spécialités et en accord avec le joueur)
- Peau de Chagrin : À trop vouloir, Valéandre en subit les effets physiquement. Son corps va s'user plus rapidement, comme une croissance trop accélérée. Son système immunitaire va s'affaiblir exponentiellement jusqu'à sa Mue annuelle où il retrouvera entièrement sa santé et sa vitalité.

[b]Gain de niveau 2[/b]
- X

[b]Gain de niveau 3[/b]
- X

[b]POUVOIRS[/b]
- X

[b]ARMES[/b]
- X

[b]ARTEFACTS[/b]
- X

[b]~ Formes de magie[/b]
- La Magie de Jade
- La Magie Pourpre

[b]~ Patrimoine et réputation[/b]
- X

[b]Particularité[/b] : De père Déchu et de mère Magicienne, il a grandi du côté maternel. Il est cousin avec Philomena. C'est à l'adolescence que ses Péchés ont commencé à compliquer sa vie et celle de sa mère jusqu'à ce qu'il soit décidé de l'envoyer à Avalon afin qu'il y apprenne à gérer ses péchés qui prennent de plus en plus de place. Il y suit des cours d'arts dramatiques, de danse et de chant. Il est cleptomane.

[b]Roleplay[/b] :
Sous les mouvements de son locataire, le lit étroit protesta dans un concert de grincements, comme si ses silencieux griefs ajoutaient du poids à sa silhouette malingre. La frustration s'inscrivit en plis disgracieux entre ses sourcils alors qu'il cherchait une position où il ne sentait pas la dureté des lattes sur sa colonne vertébrale. Ces draps qui grattaient n'en étaient pas à leur premier étudiant. D'un seul coup, il ne supporta plus leur contact ; il les repoussa au sol d'un mouvement brusque. Son agacement couvait, prêt à exploser. Il avait rêvé la liberté, une vie où il ne subissait plus les réprimandes quotidiennes de sa mère qui trouvait toujours à redire, où il n'entendrait plus parler d'étiquette. Désormais, Valéandre regrettait son ancienne chambre. Ses murs en lambris aux teintes chaudes comme du miel, son lit spacieux, les vestiges de ses jouets délaissés débordant de malles qui ne fermaient plus depuis longtemps, les baisers de sa mère sur son front pour le réveiller. Il n'avait peut-être jamais été assez Magicien pour elle, surtout quand il se montrait exécrable et qu'il les fatiguait tous les deux, mais elle l'aimait. Lui trouvait qu'il n'était pas assez tout court. Il n'y avait rien qu'il aimât chez lui. Il se voyait tantôt comme une coquille vide et fragile, tantôt comme un gouffre sans fond, sans rien. Quand ce sentiment persistait, il hurlait en continu pour vérifier qu'il existait quelqu'un pour l'entendre, ou il se gavait de ce qu'il trouvait sous la main, à la recherche d'une satiété sans l'avoir jamais éprouvée. C'était ainsi qu'il s'était enivré de vin dans la cave à onze ans ou qu'un médecin avait dû lui faire une potion pour soulager son estomac étouffant sous les excès. Il détestait cette potion, qu'il trouvait trop radicale et qui nécessitait de se trouver proche de sanitaires. Il nourrissait à l'encontre des potions une haine toute particulière. Il y en avait trop et pourtant pas assez pour tous ses maux, et aucune pour lui offrir ce qu'il voulait vraiment, il ne savait pas quoi encore, mais il le voulait avec tant d'ardeur qu'il en pleurait parfois. Il y avait les potions pour l'aider à faire disparaître ses ailes quand sa magie le boudait, celles pour chasser les ombres de ses yeux lors de ses épisodes dépressifs, celles pour les éternels rhumes qu'il attrapait quelle que soit la saison, celles pour les infections, et d'autres encore car la vie avait décidé de lui en faire baver en lui offrant la santé d'un vieil homme ayant trop fréquenté des Sorciers.

Il souffla et, en voulant poser son bras sur son visage, se cogna le coude sur le coin de son bureau. La réaction fut immédiate. Il se redressa à demi et empoigna le meuble pour le secouer comme un chien enragé avec un morceau de corde qui lui résiste. Quand il eut fini de s'épuiser sur le mobilier, qui avait daigné bouger de quelques centimètres pour sauver sa dignité, Valéandre se laissa retomber. [color=#0095B6]« Je déteste cette foutue chambre et cette foutue ville. »[/color] cracha-t-il pour chasser la boule obstruant sa gorge. Puis, comme il lui prenait souvent, il se mit à dresser l'inventaire de tout ce qu'il maudissait dans ce monde qui ne lui offrait rien. Il y avait cette chambre, ou plutôt ce trou de souris, si petite qu'il pouvait s'y tenir debout et toucher trois des murs rien qu'en se penchant légèrement. Il y avait sa mère qui avait jugé bon de l'envoyer vivre parmi ces "cinglés" comme il aimait à les qualifier dans ses moments fréquents de mauvaise foi. Il y avait son mentor, un Avare trop sévère  qui n'articulait jamais bien les mots, ce qu'il trouvait exaspérant car il avait lui-même été forcé pendant une éternité à suivre des cours d'élocution lorsqu'il était enfant. Il y avait ses cours qui ne lui laissaient pas assez de temps libre et dans lesquels son talent refusait de germer. Il y avait tous ces escaliers à devoir monter et descendre inlassablement parce qu'il était incapable de maîtriser ses ailes pour le hisser avec facilité comme les autres Déchus. Et il y avait lui. À chaque Mue, il espérait être autre chose, quelque chose de mieux, il espérait se découvrir une personnalité qui lui plairait, un corps qui lui donnerait les moyens de réaliser ses vœux. Il était déçu à chaque fois. Qu'il soit blond ou roux, ou même bleu pour ressembler aux Magiciens, rien n'allait. Il avait même été fille une fois, et l'expérience avait traumatisé sa mère. Il n'avait pas trop aimé non plus.

Il se leva et vint coller son front contre la fenêtre, son regard noir prêt à absorber tout ce qui aurait la malchance de tomber sous son emprise. Avalon exposait ses trésors sous ses yeux aussi émerveillés qu'effrayés. Il se sentait étourdi par tout ce qu'il voyait, sentait, touchait depuis le premier jour. Il ne l'oublierait jamais. Il avait cru qu'on lui enlevait un bandeau cachant sa vue et les gants couvrant ses mains. Son cœur battait fort ici, intensément. Il y avait tant ici qu'il ne savait pas par quoi commencer et qu'il croyait à une illusion car tout devenait fade dès qu'il y avait accès. Quand il goûtait à un bonbon sur lequel il salivait, c'était au bracelet en argent derrière la vitrine du magasin qu'il pensait, et ainsi de suite. Il désirait tout vivre, connaître tout le monde, se rendre à tous ces lieux animés de chants et de rires le soir, passer ses nuits aux maisons de plaisir tant il en avait entendu parler, puis enchaîner à l'aube sans dormir pour aller au marché mordre dans une brioche aux pralines et voir le soleil se lever sur les tours crénelées. Il s'opposait farouchement à toute forme d'ennui. Sa mère avait pour usage de lui dire qu'il était bénéfique de s'ennuyer. À ces moments, il avait pour elle des pensées d'une vulgarité qui lui auraient valu une punition dont il se serait souvenu. Il écarta son passé de ses pensées et enfila un haut et un pantalon fluide. Par la fenêtre, Avalon l'attirait. Les rais des lumières nocturnes filtrant à travers sa fenêtre étaient des mains qui attrapèrent le Déchu pour le capturer dans ses merveilles. Les yeux clos, il inspira l'air de la nuit et laissa les bruits de la cité se déverser dans ses oreilles comme des chants de Sirènes. Il se hissa sur le rebord de la fenêtre et se laissa basculer de l'autre côté, suspendu par les mains. Là, il se balança dans le vide et se sentit vivre plus que jamais. Un sourire flamboyait sur ses lèvres. Ses ailes jaillirent dans son dos et il se laissa tomber jusqu'au balcon en contrebas. Les couleurs vives des vêtements et des flammes colorées illuminant la cité, les voix chaudes aux milles intonations le guidèrent et il trébucha, s'emmêlant les pieds tant il voulait suivre toutes les directions. Il ne voulait pas choisir, il voulait tout.

<!-- NE PAS SUPPRIMER CETTE BALISE DIV A DROITE --></div></div>

Valéandre Hanove

Nom : Hanove
Prénom : Valéandre
Surnom : Val'
Sexe : Masculin
Taille :  168 cm
Âge apparent : Environ 18 ans
Ère de naissance : Ère de la conciliation
Race : Déchu
Péché : Envie et un soupçon de Colère et de Gourmandise
Métier : X
Thème : Loïc Nottet - Addictocrate (tout l'album)
Niveau : I

Armes :  
- Aucune, pour éviter que l'envie de tuer le prenne

Spécialités :
- Agilité : 5
- Force : 5
- Charisme : 5
- Intelligence : 5
- Magie : 5

Pouvoirs :
- La Peau des Grigori
- Le Souffle du Nephilim
- Les Artifices de Lucifer
- Le soupir : Il arrive qu'en soupirant, Valéandre provoque chez les autres l'envie de satisfaire ses caprices (en fonction des spécialités et en accord avec le joueur)
- Peau de Chagrin : À trop vouloir, Valéandre en subit les effets physiquement. Son corps va s'user plus rapidement, comme une croissance trop accélérée. Son système immunitaire va s'affaiblir exponentiellement jusqu'à sa Mue annuelle où il retrouvera entièrement sa santé et sa vitalité.

Gain de niveau 2
- X

Gain de niveau 3
- X

POUVOIRS
- X

ARMES
- X

ARTEFACTS
- X

~ Formes de magie
- La Magie de Jade
- La Magie Pourpre

~ Patrimoine et réputation
- X

Particularité : De père Déchu et de mère Magicienne, il a grandi du côté maternel. Il est cousin avec Philomena. C'est à l'adolescence que ses Péchés ont commencé à compliquer sa vie et celle de sa mère jusqu'à ce qu'il soit décidé de l'envoyer à Avalon afin qu'il y apprenne à gérer ses péchés qui prennent de plus en plus de place. Il y suit des cours d'arts dramatiques, de danse et de chant. Il est cleptomane.

Roleplay :
Sous les mouvements de son locataire, le lit étroit protesta dans un concert de grincements, comme si ses silencieux griefs ajoutaient du poids à sa silhouette malingre. La frustration s'inscrivit en plis disgracieux entre ses sourcils alors qu'il cherchait une position où il ne sentait pas la dureté des lattes sur sa colonne vertébrale. Ces draps qui grattaient n'en étaient pas à leur premier étudiant. D'un seul coup, il ne supporta plus leur contact ; il les repoussa au sol d'un mouvement brusque. Son agacement couvait, prêt à exploser. Il avait rêvé la liberté, une vie où il ne subissait plus les réprimandes quotidiennes de sa mère qui trouvait toujours à redire, où il n'entendrait plus parler d'étiquette. Désormais, Valéandre regrettait son ancienne chambre. Ses murs en lambris aux teintes chaudes comme du miel, son lit spacieux, les vestiges de ses jouets délaissés débordant de malles qui ne fermaient plus depuis longtemps, les baisers de sa mère sur son front pour le réveiller. Il n'avait peut-être jamais été assez Magicien pour elle, surtout quand il se montrait exécrable et qu'il les fatiguait tous les deux, mais elle l'aimait. Lui trouvait qu'il n'était pas assez tout court. Il n'y avait rien qu'il aimât chez lui. Il se voyait tantôt comme une coquille vide et fragile, tantôt comme un gouffre sans fond, sans rien. Quand ce sentiment persistait, il hurlait en continu pour vérifier qu'il existait quelqu'un pour l'entendre, ou il se gavait de ce qu'il trouvait sous la main, à la recherche d'une satiété sans l'avoir jamais éprouvée. C'était ainsi qu'il s'était enivré de vin dans la cave à onze ans ou qu'un médecin avait dû lui faire une potion pour soulager son estomac étouffant sous les excès. Il détestait cette potion, qu'il trouvait trop radicale et qui nécessitait de se trouver proche de sanitaires. Il nourrissait à l'encontre des potions une haine toute particulière. Il y en avait trop et pourtant pas assez pour tous ses maux, et aucune pour lui offrir ce qu'il voulait vraiment, il ne savait pas quoi encore, mais il le voulait avec tant d'ardeur qu'il en pleurait parfois. Il y avait les potions pour l'aider à faire disparaître ses ailes quand sa magie le boudait, celles pour chasser les ombres de ses yeux lors de ses épisodes dépressifs, celles pour les éternels rhumes qu'il attrapait quelle que soit la saison, celles pour les infections, et d'autres encore car la vie avait décidé de lui en faire baver en lui offrant la santé d'un vieil homme ayant trop fréquenté des Sorciers.

Il souffla et, en voulant poser son bras sur son visage, se cogna le coude sur le coin de son bureau. La réaction fut immédiate. Il se redressa à demi et empoigna le meuble pour le secouer comme un chien enragé avec un morceau de corde qui lui résiste. Quand il eut fini de s'épuiser sur le mobilier, qui avait daigné bouger de quelques centimètres pour sauver sa dignité, Valéandre se laissa retomber. « Je déteste cette foutue chambre et cette foutue ville. » cracha-t-il pour chasser la boule obstruant sa gorge. Puis, comme il lui prenait souvent, il se mit à dresser l'inventaire de tout ce qu'il maudissait dans ce monde qui ne lui offrait rien. Il y avait cette chambre, ou plutôt ce trou de souris, si petite qu'il pouvait s'y tenir debout et toucher trois des murs rien qu'en se penchant légèrement. Il y avait sa mère qui avait jugé bon de l'envoyer vivre parmi ces "cinglés" comme il aimait à les qualifier dans ses moments fréquents de mauvaise foi. Il y avait son mentor, un Avare trop sévère  qui n'articulait jamais bien les mots, ce qu'il trouvait exaspérant car il avait lui-même été forcé pendant une éternité à suivre des cours d'élocution lorsqu'il était enfant. Il y avait ses cours qui ne lui laissaient pas assez de temps libre et dans lesquels son talent refusait de germer. Il y avait tous ces escaliers à devoir monter et descendre inlassablement parce qu'il était incapable de maîtriser ses ailes pour le hisser avec facilité comme les autres Déchus. Et il y avait lui. À chaque Mue, il espérait être autre chose, quelque chose de mieux, il espérait se découvrir une personnalité qui lui plairait, un corps qui lui donnerait les moyens de réaliser ses vœux. Il était déçu à chaque fois. Qu'il soit blond ou roux, ou même bleu pour ressembler aux Magiciens, rien n'allait. Il avait même été fille une fois, et l'expérience avait traumatisé sa mère. Il n'avait pas trop aimé non plus.

Il se leva et vint coller son front contre la fenêtre, son regard noir prêt à absorber tout ce qui aurait la malchance de tomber sous son emprise. Avalon exposait ses trésors sous ses yeux aussi émerveillés qu'effrayés. Il se sentait étourdi par tout ce qu'il voyait, sentait, touchait depuis le premier jour. Il ne l'oublierait jamais. Il avait cru qu'on lui enlevait un bandeau cachant sa vue et les gants couvrant ses mains. Son cœur battait fort ici, intensément. Il y avait tant ici qu'il ne savait pas par quoi commencer et qu'il croyait à une illusion car tout devenait fade dès qu'il y avait accès. Quand il goûtait à un bonbon sur lequel il salivait, c'était au bracelet en argent derrière la vitrine du magasin qu'il pensait, et ainsi de suite. Il désirait tout vivre, connaître tout le monde, se rendre à tous ces lieux animés de chants et de rires le soir, passer ses nuits aux maisons de plaisir tant il en avait entendu parler, puis enchaîner à l'aube sans dormir pour aller au marché mordre dans une brioche aux pralines et voir le soleil se lever sur les tours crénelées. Il s'opposait farouchement à toute forme d'ennui. Sa mère avait pour usage de lui dire qu'il était bénéfique de s'ennuyer. À ces moments, il avait pour elle des pensées d'une vulgarité qui lui auraient valu une punition dont il se serait souvenu. Il écarta son passé de ses pensées et enfila un haut et un pantalon fluide. Par la fenêtre, Avalon l'attirait. Les rais des lumières nocturnes filtrant à travers sa fenêtre étaient des mains qui attrapèrent le Déchu pour le capturer dans ses merveilles. Les yeux clos, il inspira l'air de la nuit et laissa les bruits de la cité se déverser dans ses oreilles comme des chants de Sirènes. Il se hissa sur le rebord de la fenêtre et se laissa basculer de l'autre côté, suspendu par les mains. Là, il se balança dans le vide et se sentit vivre plus que jamais. Un sourire flamboyait sur ses lèvres. Ses ailes jaillirent dans son dos et il se laissa tomber jusqu'au balcon en contrebas. Les couleurs vives des vêtements et des flammes colorées illuminant la cité, les voix chaudes aux milles intonations le guidèrent et il trébucha, s'emmêlant les pieds tant il voulait suivre toutes les directions. Il ne voulait pas choisir, il voulait tout.




Lien vers sa fiche : Ici svp nastae

Statut : Oki By Mitsu 8D

Merci beaucoup | Déclarations de compagnons | - Page 2 1266825537


| Déclarations de compagnons | - Page 2 O5u6
Revenir en haut Aller en bas
http://yinandyangpower.forumactif.com/t39670-dorian-lang#752639
Persée
~ Génie ~ Niveau I ~

~ Génie ~ Niveau I ~
◈ Parchemins usagés : 188
◈ YinYanisé(e) le : 04/11/2022
Persée
Ven 03 Mai 2024, 18:27


Bonsoir | Déclarations de compagnons | - Page 2 1266825537

Tout pareil, mais sur ce compte  | Déclarations de compagnons | - Page 2 950593777

Lien du ou des sujets : Gains de quête du RD
Sur Perséphone (Ezémone) : XII - VIII : Reste IV
Gains :

Code:
<div id="wrappper"><div class="titreprez cellule">Pandora Verhoeven</div>
<div class="cellule"><img src="https://zupimages.net/up/24/18/gt68.jpg" style="float:right;padding-left:5px" />[b]Nom[/b] : Verhoeven
[b]Prénom[/b] : Pandora
[b]Surnom[/b] : Dora
[b]Sexe[/b] : Féminin
[b]Taille[/b] :  130 cm enfant ; 169 cm adulte
[b]Âge apparent[/b] : 7 ans
[b]Ère de naissance[/b] : Ère de la conciliation
[b]Race[/b] : Magicienne
[b]Métier[/b] : X
[b]Thème[/b] : [url=https://youtu.be/Dx7EsKTD56c]Brigitte - Cœur de chewing-gum[/url]
[b]Niveau[/b] : I

[b]Armes[/b] :  
- Un doudou rapiécé
- Ses poches pleines de cailloux qu'elle collectionne

[b]Spécialités[/b] :
- Agilité : 5
- Force : 5
- Charisme : 5
- Intelligence : 5
- Magie : 5

[b]Pouvoirs[/b] :
- Umbra in Lucem (Benedictio)
- La Valse Créatrice
- La Magie des Pentacles
- Invocation de pots de peinture
- La vie cachée des tableaux : Ce pouvoir se manifeste lorsque Pandora touche une toile. À faible niveau de magie, elle n'en tirera que de brèves sensations, comme des odeurs diffuses, un très léger courant d'air, l'écho d'un rire. À mesure que croîtra sa magie, Pandora sera en mesure de vivre pleinement la scène représentée par le tableau et même, en apprenant à maîtriser le pouvoir, à y entrer pour un temps limité et d'y inviter d'autres personnes avec elles.

[b]Gain de niveau 2[/b]
- X

[b]Gain de niveau 3[/b]
- X

[b]POUVOIRS[/b]
- X

[b]ARMES[/b]
- X

[b]ARTEFACTS[/b]
- X

[b]~ Formes de magie[/b]
- La Magie de la Lumière
- La Magie Bleue

[b]~ Patrimoine et réputation[/b]
- X

[b]Particularité[/b] : Cousine de Pulsar Verhoeven. Ses parents sont séparés depuis peu, sa mère ayant quitté son père pour un Sorcier. Ils se partagent la garde de Pandora, même si sa mère compte bien obtenir la garde complète.

[b]Roleplay[/b] :

 [color=#C4698F]« Dora ? »[/color] Je ne réponds pas, bien que ce soit la troisième fois que mon nom est appelé. Je ne fais pas exprès de l'ignorer. Quand je suis concentrée, je n'entends plus rien et je ne vois plus rien. Papa dit que je suis dans ma bulle, et quand il dit ça, il prend un air soucieux qui lui donne l'air très vieux. Il me regarde tout le temps comme ça depuis que maman est partie, comme s'il avait peur que je l'abandonne moi aussi. C'est stupide, jamais je ne quitterai papa, sauf s'il ne veut plus de moi. Il n'a pas beaucoup de sous alors peut-être qu'il m'échangera contre des sous pour retourner vivre où on habitait avant, là où c'était grand. Il y avait même un jardin avec une petite fontaine et j'y avais ma propre salle de bain. Ma chambre ici est plus petite, mais j'ai rassuré papa en lui disant que ce n'était pas grave, que ça donnait moins de cachettes aux monstres. Tant qu'on a la place pour prendre le thé avec doudou, ça me suffit. [color=#C4698F]« Dora, pourquoi tu ne viens pas quand je t'appelle ? Le repas est prêt, tu viens ? Oh mais... »[/color] Il y a de la lassitude dans son soupir. Ça aussi, il le fait tout le temps depuis le départ de maman. Au bout de quelques secondes, il me rejoint et imite ma position en s'allongeant à même le parquet, la tête orientée vers le mur. [color=#007FFF]« Ce sont des zazalées. »[/color] Je le lui dis, parce que je vois bien que ce que je peins ne ressemble pas vraiment aux fleurs que j'ai en tête, les préférées de maman. Il ne me corrige pas sur la prononciation et son silence dure, un de ces silences qui n'en sont pas car je l'entends réfléchir. Au bout d'un moment, je me relève, je pose mon pinceau et je pars me laver les mains.

Plus tard, à table, je lui raconte avec animation ce que j'ai appris à ma nouvelle école, je lui parle de mon nouveau meilleur ami et de son intérêt obsessionnel pour les insectes, qu'il collectionne une fois morts, ce que je trouve répugnant. Comme ça le fait sourire, je décide d'ajouter à mon récit de fausses anecdotes pour le prolonger en parlant de Louison qui s'est fait pipi dessus de rire en classe, et d'un chat voleur de gomme. Lors d'une de mes pauses pour boire d'un trait mon verre d'eau, il m'interroge, soudain sérieux. [color=#C4698F]« Ta chambre ne te plaît pas ? »[/color] Je le regarde sans comprendre. [color=#C4698F]« Comme tu peins sur les murs... Je croyais que tu aimais bien le papier peint qui y était, avec les nuages ? »[/color] [color=#007FFF]« Si, je l'aime. C'est juste que notre jardin me manque. Maman aimait bien lire à côté des zazalées. »[/color] Elle m'avait dit que papa les avait plantées pour elle. Est-ce que c'était ça l'amour ? Peut-être pas, sinon elle ne serait pas partie. Ou alors, le Sorcier qu'elle aime maintenant lui en a offert encore plus, un champ entier ? De ce que j'ai vu, il a plus l'air du genre à brûler les fleurs qu'à en faire pousser. Je le déteste, et je sais que c'est réciproque.

[color=#C4698F]« On ira au parc après manger, si tu veux. »[/color] [color=#007FFF]« Avec plaisir. »[/color] répondis-je en prenant une expression distinguée et la position qui va avec. Papa rigole et je l'accompagne. [color=#007FFF]« J'ai appris cette expression aujourd'hui, on m'a dit que c'était plus joli que de dire "D'accord". »[/color] Il me complimente sur mes manières et nous continuons le repas en silence. Au dessert, je relève le nez de ma salade de fruits. Il y a une question qui me turlupine. [color=#007FFF]« Papa ? Est-ce que je peux me marier avec toi, maintenant ? »[/color] Il s'étouffe sur son morceau de pêche et je grimace en voyant les postillons sur la nappe. Je range mes mains sous la table pour échapper à cette salve et présente mes arguments. [color=#007FFF]« Tu es encore beau, même si tu es vieux. Et de toute façon, je t'aimerai même si tu es moche et plein de rides. Même si tu n'arrives pas à vendre tes livres, ce n'est pas grave. On vendra mes peintures quand je serai célèbre et riche. Ou on déménagera dans un endroit encore plus petit. Ce doit être drôle de vivre dans une cabane ! On vendra la jolie vaisselle et on utilisera ma dinette à la place ; et puis ce seront les écureuils qui viendront nous réveiller ! Tu crois que les Ygdraë dorment dans des cabanes dans les arbres ? La chance... »[/color] Remis de ses émotions, papa me regarde avec des yeux brillants. [color=#007FFF]« Tu pleures ? »[/color] Il tousse, sous mon air ahuri. [color=#C4698F]« Un morceau de fruit s'était coincée dans ma gorge, c'est tout. »[/color] Maman a raison quand elle dit que papa ne sait pas mentir. Elle a toujours raison, sauf quand elle a décidé qu'elle n'aimait plus papa. Là, elle se trompe. On ne peut pas rêver mieux que lui, sinon je ne voudrais pas me marier avec lui. Je le préfère même aux chevaliers ou aux dragonniers. Papa l'ignore, mais j'essaie de convaincre maman de revenir quand c'est à son tour de me garder.

<!-- NE PAS SUPPRIMER CETTE BALISE DIV A DROITE --></div></div>

Pandora Verhoeven

Nom : Verhoeven
Prénom : Pandora
Surnom : Dora
Sexe : Féminin
Taille :  130 cm enfant ; 169 cm adulte
Âge apparent : 7 ans
Ère de naissance : Ère de la conciliation
Race : Magicienne
Métier : X
Thème : Brigitte - Cœur de chewing-gum
Niveau : I

Armes :  
- Un doudou rapiécé
- Ses poches pleines de cailloux qu'elle collectionne

Spécialités :
- Agilité : 5
- Force : 5
- Charisme : 5
- Intelligence : 5
- Magie : 5

Pouvoirs :
- Umbra in Lucem (Benedictio)
- La Valse Créatrice
- La Magie des Pentacles
- Invocation de pots de peinture
- La vie cachée des tableaux : Ce pouvoir se manifeste lorsque Pandora touche une toile. À faible niveau de magie, elle n'en tirera que de brèves sensations, comme des odeurs diffuses, un très léger courant d'air, l'écho d'un rire. À mesure que croîtra sa magie, Pandora sera en mesure de vivre pleinement la scène représentée par le tableau et même, en apprenant à maîtriser le pouvoir, à y entrer pour un temps limité et d'y inviter d'autres personnes avec elles.

Gain de niveau 2
- X

Gain de niveau 3
- X

POUVOIRS
- X

ARMES
- X

ARTEFACTS
- X

~ Formes de magie
- La Magie de la Lumière
- La Magie Bleue

~ Patrimoine et réputation
- X

Particularité : Cousine de Pulsar Verhoeven. Ses parents sont séparés depuis peu, sa mère ayant quitté son père pour un Sorcier. Ils se partagent la garde de Pandora, même si sa mère compte bien obtenir la garde complète.

Roleplay :

« Dora ? » Je ne réponds pas, bien que ce soit la troisième fois que mon nom est appelé. Je ne fais pas exprès de l'ignorer. Quand je suis concentrée, je n'entends plus rien et je ne vois plus rien. Papa dit que je suis dans ma bulle, et quand il dit ça, il prend un air soucieux qui lui donne l'air très vieux. Il me regarde tout le temps comme ça depuis que maman est partie, comme s'il avait peur que je l'abandonne moi aussi. C'est stupide, jamais je ne quitterai papa, sauf s'il ne veut plus de moi. Il n'a pas beaucoup de sous alors peut-être qu'il m'échangera contre des sous pour retourner vivre où on habitait avant, là où c'était grand. Il y avait même un jardin avec une petite fontaine et j'y avais ma propre salle de bain. Ma chambre ici est plus petite, mais j'ai rassuré papa en lui disant que ce n'était pas grave, que ça donnait moins de cachettes aux monstres. Tant qu'on a la place pour prendre le thé avec doudou, ça me suffit. « Dora, pourquoi tu ne viens pas quand je t'appelle ? Le repas est prêt, tu viens ? Oh mais... » Il y a de la lassitude dans son soupir. Ça aussi, il le fait tout le temps depuis le départ de maman. Au bout de quelques secondes, il me rejoint et imite ma position en s'allongeant à même le parquet, la tête orientée vers le mur. « Ce sont des zazalées. » Je le lui dis, parce que je vois bien que ce que je peins ne ressemble pas vraiment aux fleurs que j'ai en tête, les préférées de maman. Il ne me corrige pas sur la prononciation et son silence dure, un de ces silences qui n'en sont pas car je l'entends réfléchir. Au bout d'un moment, je me relève, je pose mon pinceau et je pars me laver les mains.

Plus tard, à table, je lui raconte avec animation ce que j'ai appris à ma nouvelle école, je lui parle de mon nouveau meilleur ami et de son intérêt obsessionnel pour les insectes, qu'il collectionne une fois morts, ce que je trouve répugnant. Comme ça le fait sourire, je décide d'ajouter à mon récit de fausses anecdotes pour le prolonger en parlant de Louison qui s'est fait pipi dessus de rire en classe, et d'un chat voleur de gomme. Lors d'une de mes pauses pour boire d'un trait mon verre d'eau, il m'interroge, soudain sérieux. « Ta chambre ne te plaît pas ? » Je le regarde sans comprendre. « Comme tu peins sur les murs... Je croyais que tu aimais bien le papier peint qui y était, avec les nuages ? » « Si, je l'aime. C'est juste que notre jardin me manque. Maman aimait bien lire à côté des zazalées. » Elle m'avait dit que papa les avait plantées pour elle. Est-ce que c'était ça l'amour ? Peut-être pas, sinon elle ne serait pas partie. Ou alors, le Sorcier qu'elle aime maintenant lui en a offert encore plus, un champ entier ? De ce que j'ai vu, il a plus l'air du genre à brûler les fleurs qu'à en faire pousser. Je le déteste, et je sais que c'est réciproque.

« On ira au parc après manger, si tu veux. » « Avec plaisir. » répondis-je en prenant une expression distinguée et la position qui va avec. Papa rigole et je l'accompagne. « J'ai appris cette expression aujourd'hui, on m'a dit que c'était plus joli que de dire "D'accord". » Il me complimente sur mes manières et nous continuons le repas en silence. Au dessert, je relève le nez de ma salade de fruits. Il y a une question qui me turlupine. « Papa ? Est-ce que je peux me marier avec toi, maintenant ? » Il s'étouffe sur son morceau de pêche et je grimace en voyant les postillons sur la nappe. Je range mes mains sous la table pour échapper à cette salve et présente mes arguments. « Tu es encore beau, même si tu es vieux. Et de toute façon, je t'aimerai même si tu es moche et plein de rides. Même si tu n'arrives pas à vendre tes livres, ce n'est pas grave. On vendra mes peintures quand je serai célèbre et riche. Ou on déménagera dans un endroit encore plus petit. Ce doit être drôle de vivre dans une cabane ! On vendra la jolie vaisselle et on utilisera ma dinette à la place ; et puis ce seront les écureuils qui viendront nous réveiller ! Tu crois que les Ygdraë dorment dans des cabanes dans les arbres ? La chance... » Remis de ses émotions, papa me regarde avec des yeux brillants. « Tu pleures ? » Il tousse, sous mon air ahuri. « Un morceau de fruit s'était coincée dans ma gorge, c'est tout. » Maman a raison quand elle dit que papa ne sait pas mentir. Elle a toujours raison, sauf quand elle a décidé qu'elle n'aimait plus papa. Là, elle se trompe. On ne peut pas rêver mieux que lui, sinon je ne voudrais pas me marier avec lui. Je le préfère même aux chevaliers ou aux dragonniers. Papa l'ignore, mais j'essaie de convaincre maman de revenir quand c'est à son tour de me garder.



Lien vers sa fiche : Ici svp nastae

Statut : Oky by Mancy 8D

Merci beaucoup | Déclarations de compagnons | - Page 2 1266825537


Merci Jil  | Déclarations de compagnons | - Page 2 009 :
Revenir en haut Aller en bas
http://yinandyangpower.forumactif.com/t39778-persee-persephone
Aubépine Percefeuille
~ Magicien ~ Niveau I ~

~ Magicien ~ Niveau I ~
◈ Parchemins usagés : 88
◈ YinYanisé(e) le : 23/04/2023
◈ Activité : Étudiante à Basphel
Aubépine Percefeuille
Lun 06 Mai 2024, 12:48

Coucou  | Déclarations de compagnons | - Page 2 47

Lien du ou des sujets : Gains de quête du RD - 8x720 mots (donc 11-8, il reste III)
Gains :

Code:
<div id="wrappper"><div class="titreprez cellule">Phlébite</div>
<div class="cellule"><img src="https://www.zupimages.net/up/24/19/cjlr.jpg" style="float:right;padding-left:5px" />[b]Prénom[/b] : Phlébite
[b]Surnom[/b] : Bibi
[b]Sexe[/b] : Féminin
[b]Race[/b] : Araignée tissecœur

[b]Pouvoirs[/b] :
- Super Tisserande : Cette araignée peut enchanter sa soie afin de lui donner les propriétés de n’importe quelle matière textile. Elle peut ainsi repriser et confectionner toute sorte de vêtements.
- Super-Saut : Il lui est possible d’effectuer des bonds d’une dizaine de mètres dans toutes les directions.
- Miniaturisation : Ce pouvoir lui permet de changer la taille des objets afin de pouvoir les manipuler avec ses pattes et ses pédipalpes plus facilement. Ils retrouveront leur taille initiale après quelques heures.
- Coup de cœur : Les phéromones magiques produites par l’araignée agissent sur un grand nombre d’êtres vivants et leur fait ressentir un attendrissement démesuré à son égard. Elles neutralisent même la plupart des arachnophobies. Pratique pour attirer ses proies et échapper aux prédateurs.
- Crochets crève-cœur : Lorsqu’on est mordu par l’araignée, on ressent une souffrance similaire à celle d’un gros chagrin d’amour. L’effet peut durer de quelques heures jusqu’à une journée entière.
- Toile attrape-cœur : Lorsque cette araignée tisse une toile, elle peut décider de l’ensorceler afin qu’elle absorbe les sentiments amoureux des personnes à proximité. Le sort est brisé une fois la toile détruite.
- Cocon baume-au-cœur : Les cocons fabriqués par cette araignée ont des vertus curatrices. Ils peuvent aider à guérir les petits bobos physiques et psychiques lorsqu’on en garde quelques-uns au contact de sa peau.

[b]Particularité[/b] : Tient dans le creux de la main. Habile en couture. Un grand cœur rose arbore la fourrure verte de son abdomen dorsale.


[b]Mon Histoire :[/b]
[color=#ff00ff]« Ma chérie, je te présente Jolicœur ! N’est-elle pas adorable ? »
[/color]Dans la main de son père, l’araignée jouait timidement des chélicères et dardait sur elle ses huit yeux brillants. Aubépine la fixa un moment, interdite. Elle venait de vivre un véritable moment d’escalier magique émotionnel.
Lorsqu’elle avait appris que ses parents accédaient enfin à sa demande d’adopter une araignée, elle avait d’abord été extatique ; ces créatures jouaient un rôle important dans l’idée qu’elle se faisait du monde des Sorciers, et puisque son Familier était un vieux hibou mal luné et peu enclin aux mauvais tours, il lui avait semblé dans son bon droit de réclamer à ses parents un autre compagnon de jeu. Ils avaient toujours refusé.
Jusqu’à aujourd’hui. Son père lui avait fait part dans ses lettres précédentes de son acquisition d’œufs, qui venaient d’éclore. Pour une fois, la Magicienne ne fit pas mine de traîner des pieds lorsqu’il fut temps d’aller rendre visite à sa famille.
Son esprit avait essayé de se figurer quelle créature son père avait choisi : s’agissait-il d’une mygale venimeuse ? Une tarentule géante ? À moins qu’il ne s’agisse d’une de ces veuves noires qui peuvent se rendre invisibles, ou bien une araignée chien-de-garde, aussi grosse et féroce qu’un mâtin ? En tout cas, elle s’attendait à tout sauf à la petite boule de fourrure verte attifée d’un gros cœur rose qui lui faisait du charme et ressemblait plus à une petite peluche qu’à un être vivant.
[color=#ff00ff]« C’est une araignée tissecœur, [/color]enchaîna son père sans réaliser la déception de sa fille. [color=#ff00ff]Elles sont réputées pour leur intelligence, leur robustesse et leur talent de couturière. Des qualités essentielles pour survivre à la petite Magicienne. Elle se chargera de ton linge pour toi, désormais. »[/color]
Si Fleurentin Percefeuille avait pris le pli de raccommoder les vêtements de sa fille depuis qu’elle était toute petite et s’acquittait de cette tâche avec plaisir, tout était devenu plus compliqué lorsqu’elle avait été acceptée à Basphel : elle les abîmait plus vite qu’il n’avait le temps de les rapiécer et de les lui renvoyer, et se retrouvait à chaque livraison avec une pile de linge plus haute que la dernière ainsi que l’angoisse de s’imaginer sa pauvre petite fille sans rien à se mettre.
Aubépine aurait voulu bouder un peu plus longtemps pour la forme, mais plus elle regardait l’araignée, plus sa contrariété se dissipait. Avant même de réaliser ce qu’elle faisait, elle avait avancé un doigt pour caresser son abdomen velu. L’araignée en profita pour courir le long de son bras et s’accrocha à une boucle qui pendait le long de son épaule. La jeune fille déclara forfait.
[color=#228B22]« Bon, eh bien, je suppose que tu viens avec moi. Jolicœur, c’est ça ? »[/color] Elle grimaça. [color=#228B22]« Ça ne sonne pas très… hm… que dirais-tu de Phlébite, plutôt ? »[/color]

<!-- NE PAS SUPPRIMER CETTE BALISE DIV A DROITE --></div></div>

Phlébite

Prénom : Phlébite
Surnom : Bibi
Sexe : Féminin
Race : Araignée tissecœur

Pouvoirs :
- Super Tisserande : Cette araignée peut enchanter sa soie afin de lui donner les propriétés de n’importe quelle matière textile. Elle peut ainsi repriser et confectionner toute sorte de vêtements.
- Super-Saut : Il lui est possible d’effectuer des bonds d’une dizaine de mètres dans toutes les directions.
- Miniaturisation : Ce pouvoir lui permet de changer la taille des objets afin de pouvoir les manipuler avec ses pattes et ses pédipalpes plus facilement. Ils retrouveront leur taille initiale après quelques heures.
- Coup de cœur : Les phéromones magiques produites par l’araignée agissent sur un grand nombre d’êtres vivants et leur fait ressentir un attendrissement démesuré à son égard. Elles neutralisent même la plupart des arachnophobies. Pratique pour attirer ses proies et échapper aux prédateurs.
- Crochets crève-cœur : Lorsqu’on est mordu par l’araignée, on ressent une souffrance similaire à celle d’un gros chagrin d’amour. L’effet peut durer de quelques heures jusqu’à une journée entière.
- Toile attrape-cœur : Lorsque cette araignée tisse une toile, elle peut décider de l’ensorceler afin qu’elle absorbe les sentiments amoureux des personnes à proximité. Le sort est brisé une fois la toile détruite.
- Cocon baume-au-cœur : Les cocons fabriqués par cette araignée ont des vertus curatrices. Ils peuvent aider à guérir les petits bobos physiques et psychiques lorsqu’on en garde quelques-uns au contact de sa peau.

Particularité : Tient dans le creux de la main. Habile en couture. Un grand cœur rose arbore la fourrure verte de son abdomen dorsale.


Mon Histoire :
« Ma chérie, je te présente Jolicœur ! N’est-elle pas adorable ? »
Dans la main de son père, l’araignée jouait timidement des chélicères et dardait sur elle ses huit yeux brillants. Aubépine la fixa un moment, interdite. Elle venait de vivre un véritable moment d’escalier magique émotionnel.
Lorsqu’elle avait appris que ses parents accédaient enfin à sa demande d’adopter une araignée, elle avait d’abord été extatique ; ces créatures jouaient un rôle important dans l’idée qu’elle se faisait du monde des Sorciers, et puisque son Familier était un vieux hibou mal luné et peu enclin aux mauvais tours, il lui avait semblé dans son bon droit de réclamer à ses parents un autre compagnon de jeu. Ils avaient toujours refusé.
Jusqu’à aujourd’hui. Son père lui avait fait part dans ses lettres précédentes de son acquisition d’œufs, qui venaient d’éclore. Pour une fois, la Magicienne ne fit pas mine de traîner des pieds lorsqu’il fut temps d’aller rendre visite à sa famille.
Son esprit avait essayé de se figurer quelle créature son père avait choisi : s’agissait-il d’une mygale venimeuse ? Une tarentule géante ? À moins qu’il ne s’agisse d’une de ces veuves noires qui peuvent se rendre invisibles, ou bien une araignée chien-de-garde, aussi grosse et féroce qu’un mâtin ? En tout cas, elle s’attendait à tout sauf à la petite boule de fourrure verte attifée d’un gros cœur rose qui lui faisait du charme et ressemblait plus à une petite peluche qu’à un être vivant.
« C’est une araignée tissecœur, enchaîna son père sans réaliser la déception de sa fille. Elles sont réputées pour leur intelligence, leur robustesse et leur talent de couturière. Des qualités essentielles pour survivre à la petite Magicienne. Elle se chargera de ton linge pour toi, désormais. »
Si Fleurentin Percefeuille avait pris le pli de raccommoder les vêtements de sa fille depuis qu’elle était toute petite et s’acquittait de cette tâche avec plaisir, tout était devenu plus compliqué lorsqu’elle avait été acceptée à Basphel : elle les abîmait plus vite qu’il n’avait le temps de les rapiécer et de les lui renvoyer, et se retrouvait à chaque livraison avec une pile de linge plus haute que la dernière ainsi que l’angoisse de s’imaginer sa pauvre petite fille sans rien à se mettre.
Aubépine aurait voulu bouder un peu plus longtemps pour la forme, mais plus elle regardait l’araignée, plus sa contrariété se dissipait. Avant même de réaliser ce qu’elle faisait, elle avait avancé un doigt pour caresser son abdomen velu. L’araignée en profita pour courir le long de son bras et s’accrocha à une boucle qui pendait le long de son épaule. La jeune fille déclara forfait.
« Bon, eh bien, je suppose que tu viens avec moi. Jolicœur, c’est ça ? » Elle grimaça. « Ça ne sonne pas très… hm… que dirais-tu de Phlébite, plutôt ? »



Lien vers sa fiche : Aubépine

Statut :

Merci beaucoup  | Déclarations de compagnons | - Page 2 3194863828



| Déclarations de compagnons | - Page 2 Ziy3

"Ivy" par cho
"Witch and Owl" par tono
Revenir en haut Aller en bas
http://yinandyangpower.forumactif.com/t40057-aubepine-percefeuil
Contenu sponsorisé


Revenir en haut Aller en bas
 

| Déclarations de compagnons |

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 2 sur 2Aller à la page : Précédent  1, 2

 Sujets similaires

-
» | Déclarations de Couronnes |
» | Déclarations de titres |
» | Déclarations de gains HRP |
» | Déclarations de métiers |
» | Déclarations de quêtes |
Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Le pouvoir du Yin et du Yang :: Votre personnage :: Gestion du personnage :: Déclarations de gains-