Nocturne à Basphel

Musique

Sympan nota avec étonnement que serrer la peau de Dastan entre ses dents ne lui apporta pas beaucoup d’informations. La zone était salée, sans doute à cause de la sueur du Réprouvé, ou de sa crasse. Ce n’était pas très bon, même s’il se réjouit d’avoir fait quelque chose pour la première fois : mordre le cou de quelqu’un d’autre. Il était certain qu’Érasme n’avait jamais osé s’accrocher au garçon ainsi. Il avait donc volé la virginité du cou du Réprouvé. Néanmoins, une autre première fois se manifesta : la première fois que le Bipolaire rejeta son ire sur lui. Il ne faisait, bien entendu, pas le poids. « Aïe Aïe Aïe !! » hurla-t-il. « Laisse-moi tranquille ! » continua-t-il de se défendre, en essayant de placer ses mains de façon stratégique. Il avait déjà lâché le roux. Il n’était pas suicidaire, ni même têtu. S’il refusait l’expérience, il n’allait pas la lui faire subir de force. Enfin… Pour l’instant. Il trouverait bien un moyen de continuer à mâchonner Dastan, jusqu’à comprendre ce que la brunette avait voulu trouver contre sa peau. « C’est bon, ça va là ! J’ai compris ! Arrête de prendre ton rôle de Goled trop à cœur ! De toute façon, t’as même pas de bite, je ne vois pas à qui tu ferais peur ! » Il n’avait pas eu peur mais, bon sang, il avait eu mal. L’autre ne l’avait pas épargné.  

Plus tard, lorsqu’Érasme fit sa blague, Sympan décida de se venger en rigolant allégrement. « C’est vrai qu’il est salé. » Il se décala quand même, des fois que le Réprouvé ne décidât de lui en remettre une. Comme Lucius s’interposait pour empêcher le Sorcier de parler, l’Ygdraë termina ses explications pour le groupe. « Dastan doit appeler Érasme maître jusqu’à ce qu’il soit plus grand que lui. » Il les examina. « Ce qui ne semble pas encore être le cas. » Peut-être pourrait-il utiliser le Bipolaire comme cobaye ? En lui promettant de le faire grandir, il aurait la possibilité de lui faire ingérer tout un tas de potions… Il sourit, sa lèvre supérieure ayant gonflé à cause de la bagarre unilatérale. Elle ressemblait à présent à une petite saucisse.  « Oui, Lucius, montre-nous ton papier. » répéta Sym. Il aimait bien profiter de chaque situation pour appuyer sur les endroits potentiellement générateurs de troubles. Il s’était pris des coups et il trouvait qu’il serait injuste d’être le seul dans ce cas-là.

Son attention fut accaparée par un blondinet. Il pencha la tête sur le côté. « Alcide… Hum. Ça ressemble à acide. » Il jeta un coup d’œil à Tekoa puis s’approcha du Magicien. Il se baissa, sortit sa langue et lui lécha la joue, sans quitter le Chaman des yeux. « Pas très acide. » dit-il, après avoir ouvert la bouche plusieurs fois pour en apprécier le goût. « Tu viens ? » lui proposa-t-il, quand il constata que le brun était parti avec la fille. « Avant que Lucius ne décide de nous manger. » Il ricana. « Je suis Sympan, au fait. »

508 mots
Sympan est avec Alcide 8D

Nocturne à Basphel

Læn observa Adriæn et Lana s’éloigner, chacun avec une personne différente. Puis, il tourna ses yeux vers Kiara. Il la regarda un instant et s’approcha d’elle. Pourquoi est-ce qu’il avait l’impression qu’il se passait un truc entre elle et l’Ondin ? Il n’aborda pas la question. « Comment tu peux supporter Lana, hein ? Non vraiment, j’aimerais comprendre. Pourtant, t’as pas l’air d’être débile. » Il était plus grand qu’elle. Ses yeux n’étaient pas compatissants ni même engageants. Il aurait dû être gentil mais l’espèce de harpie lui tapait sur le système, assez pour qu’il restât bougon. Sa colère semblait se nourrir de chacune de leurs rencontres, d’une façon exponentielle. Plus il la contemplait, plus des images déplacées s’emparaient de lui. Elle lui faisait envie et il détestait ça. Il finit néanmoins par soupirer et par relâcher un peu la tension qui habitait sa cage thoracique. Il ne détourna pourtant pas les yeux. Ils n’en avaient pas fini. Si elle voulait faire équipe, il devait être fixé. « Tu crois que je protège ma faible virilité en insultant les femmes, toi aussi ? » lui demanda-t-il, en penchant la tête vers elle. Il lui attrapa le menton. « Alors ? C’est ce que tu crois ? Que j’ai que ça à foutre de mater l’entre-jambe des connards pour savoir si oui ou non je les insulte ? » Parce qu’il s’en fichait. Qu’elle fût une femme, un homme ou un hareng, il frappait ceux qui le faisaient chier et c’était tout. Qu’en avait-il à faire qu’elle eût des seins ou des couilles ?  Ça n’avait rien à voir. « Non, vraiment. Je comprends pas ce que tu glandes avec elle. Tu ferais mieux de te trouver des amies plus sympas… Des filles un peu comme toi je veux dire. » Il la fixa. « Et arrête de baver sur Adriæn, c’est gênant. »

Le concerné fixait le garçon en le suivant, irrité. Il n’aimait pas savoir sa sœur seule avec le Prince Noir. Il s’arrêta soudainement. « Attends. » dit-il. « Je reviens. Il est hors de question que je parte sans ma sœur. » Hors de question qu’il laissât un sale Sorcier poser ses doigts sur elle. Il ressentait, pour une raison inconnue, une jalousie vive à l’égard d’Érasme. Il l’avait aperçu qu’un court instant mais il avait le pressentiment qu’il profiterait de Lana dès qu’il en aurait l'occasion. Il ne pouvait pas prendre ce risque. Il serait le seul à profiter de sa jumelle. Son corps était à lui, son esprit aussi. Elle était sa moitié et il s’emploierait, méthodiquement, à faire souffrir tous ceux qui la toucheraient. Il opéra donc un demi-tour et se planta devant le duo. « Prince Noir. » murmura-t-il, en inclinant la tête et en jetant une œillade à la jeune fille qui accompagnait les deux liés. Il décida de ne pas y prêter plus attention. Elle était seule et ne l’intéressait pas, même si son visage lui disait vaguement quelque chose. « Mon binôme, Faust, désire que nous fassions équipe. Il a beaucoup entendu parler de vous et vous admire. » Il mentait car il ne désirait pas que Lana pensât qu’elle possédait une quelconque emprise sur lui. « Venez. » murmura-t-il, en attrapant la main de l’Ondine pour obliger le Sorcier à suivre.

Une fois de nouveau devant le Démon, dont il ignorait jusqu’à la race, il lui envoya un petit sourire complice. « Je suis Adriæn et voici Lana, ma jumelle. Quant à Érasme Salvatore, inutile de te le présenter. » L’objectif tenait à la brièveté des présentations. Il changea donc de sujet rapidement, tout en marchant. « Allons nous cacher dans cette salle, d’accord ? » proposa-t-il, tout en tenant Lana éloigné d’Érasme et proche de lui. Son pouce caressa le dos de sa main l’air de rien. Il s'imaginait sans mal profiter de son rôle de Vampire pour exiger d'avoir accès à son cou, pour faire « semblant ». Elle pourrait faire la même chose, elle aussi... Hum.

596 mots
On va dans la salle 5 si ça vous va ^^

Lucius m’échappa lorsqu’un abruti de blond se présenta. Mes yeux se posèrent sur Alcide. L’envie de lui arracher les siens fit frémir mes lèvres mais je pensai avec délices que je prendrais bien plus de plaisir à torturer le Réprouvé. Maintenant que le Magicien était intervenu en sa faveur, je pourrais appuyer sur ce fait, le narguer, lui faire remarquer qu’il n’était qu’un enfant sous les jupons de Lucius. Un homme, un vrai, n’avait pas besoin d’un autre pour le défendre. Cette pensée me satisfît, assez pour que l’arrivée d’une jeune fille des eaux ne ternît pas mon humeur. J’en ronronnai presque, imaginant notre future alliance. J’étais passé maître dans l’art d’insérer certains objets dans l’appareil génital des femmes. Réta en subissait les frais. Une Sirène, une sous-race, ne pouvait servir qu’à ça : expérimenter toute sorte de tortures. Elle n’était pas laide et j'eus envie de la briser. « Oui, faire équipe. » répétai-je, ravi. Nous allions faire équipe. Elle serait la victime et moi le bourreau. Elle serait la proie et moi le chasseur. Et si elle ne voulait pas perdre, elle aurait intérêt à rester près de moi, tout près de moi… très près. « Oublions les différends existants entre nos deux peuples. Je suis certain que nous pourrons nous unir. » Enfoncé dans mon éducation hétérosexuelle, je pensais avoir du désir pour les femmes. En réalité, je n’en avais aucun, ou très difficilement, et pas dans ce sens-là. Je désirais simplement les faire souffrir et c’était cette souffrance qui m’excitait. Je voulais la traquer et enfoncer mes griffes dans sa chair de poiscaille puant.

L’intervention de Réta me fit détourner les yeux de Lana. Je regardai ma sœur comme si elle était stupide. Elle l’était. « Tu ne devrais pas nous le dire. » Je m’approchai d’elle et me baissai, pour délivrer un message à son oreille. « Après la Nocturne, débrouille-toi pour me rejoindre dans un coin tranquille. » Et si elle échouait, je lui ferais payer pendant les vacances, lorsqu’elle reviendrait à Amestris. « J’ai envie de jouer. » Je souris, avant de me redresser et de poser les yeux sur la Kælaria. Malheureusement, je n’eus guère le loisir de m’attarder dans ses prunelles. Il me fallut rejoindre celles de son frère. Ils se ressemblaient beaucoup. Comme je le plaignais. Il devait être traité comme le dernier des abrutis. « Ah oui ? » demandai-je, étonné. Pourquoi pas. Je le suivis, en abandonnant Réta sans aucun remord. Elle ne méritait pas ma considération en dehors de nos petits jeux pervers.

J’entrai dans la pièce proposée, après avoir attardé mon regard sur mon admirateur. L’était-il réellement ? Je tombai nez à nez avec une plante. « Une serre ? » interrogeai-je, intrigué.

441 mots

Erasme est avec Faust, Lana et Adriæn. Je sépare les deux.

Je craignais d’avoir fâché le Réprouvé. Pourtant, il m’avait paru insupportable de laisser Érasme continuer sa mascarade. À l’intérieur de mon corps, une émotion étrange pulsait. Je me sentais comme responsable de lui. Lorsque nous nous croisions, j’étais attentif à chacun de ses faits et gestes. Je ne désirais pas lui permettre d’étendre son emprise. Ses griffes, je les couperais. Ses dents, je les limerais. À chaque fois qu’il écraserait une fleur, j’en ferais pousser mille autres. Je l’épuiserais, jusqu’à ce qu’il se rendît. C’était ce sentiment qui me hantait, celui de devoir me dresser sur sa route, de l’empêcher de passer. Je l’arrêterais. Il ne nuirait plus jamais.

Sans m’en rendre compte, cet autre me hantait. Il obnubilait mon esprit, jusque dans mes rêves. Il était présent partout, comme s’il n’était que mon propre reflet maléfique. À moins qu’il ne fût le mien. Lequel de nous deux était-il le héros de l’histoire ? Est-ce que le bien triomphait toujours ? Le quotidien n’allait pas dans mon sens. Plus je prenais conscience du monde qui m’entourait, plus il me paraissait utopique de penser que je pourrais vivre heureux et avoir beaucoup d’enfants. Si je voulais le contrer, il me faudrait faire des choix et des sacrifices.

Mes pas me guidèrent jusqu’au parc. Là, je me mis à chercher, entre les buissons et les arbres. Je sentais encore les marques de notre conversation houleuse sur ma peau. Je ne pouvais pas m’empêcher de la repasser en boucle, en cherchant ce que j’aurais dû dire de plus ou de différent. Comment aurais-je pu le convaincre, le faire plier, le forcer à s’excuser ? Je n’avais pas encore l’habileté que je retrouvais chez certains. Physiquement, pourrais-je le contraindre ? Et magiquement ? Il m’avait fait plier une fois, avant le bal. J’avais eu peur qu’il se blessât. J’avais abandonné la partie pour cette unique raison. Peut-être qu’il me faudrait accepter de le laisser se détruire à l’avenir ? Gagner sans honneur, pour le bien commun ?

Alors que je me laissais gagner par les questions qui ne cesseraient de m’obséder à l’avenir, j’entendis des paroles. Les voix semblaient plutôt féminines mais je pouvais me tromper. Je me mis à avancer, aussi furtivement que je le pouvais. Je contournai un arbre et me retrouvai nez à nez avec une fille aux cheveux bleus et une autre aux cheveux bruns. Je les regardai et un sourire illumina mon visage. J’oubliai Érasme. « Vous devriez courir avant que je ne vous attrape. » dis-je, amusé, en retrouvant mon âme d’enfant. Mes mains se levèrent devant mon torse et j’arquai les doigts pour imiter un gros monstre. J'étais censé être un dragon mais si on m'avait assigné une variété, le Dragon Chat aurait gagné haut la main.

439 mots

Lucius trouve Blu et Susannah  

Nocturne à Basphel

« Pour demander pardon… » Il n’était pas certain qu’il s’agenouillerait pour demander pardon, ni qu’il s’agenouillerait tout court d’ailleurs. Et puis, il ne voyait pas le rapport. « Ma mère dit qu’il n’y a que ceux qui en ont une petite qui l’ouvrent. » Sa mère n’avait jamais dit ça, au passage. Forcément, ça l’intéressait de la voir quand même, pour ses expériences. D’ailleurs, cet épisode lui donna une idée : il n’avait qu’à calculer les mensurations de tous les garçons du groupe pour voir qui était le mieux pourvu ! Ce serait une occupation bien conne mais, comme ça, dans les conversations, ou quand ils se disputeraient tous, il pourrait sortir des phrases qui en rajouteraient une couche. Maintenant, il devait tous les convaincre… Par gage, ça pouvait passer. Pas ici cependant. Il n’avait pas envie de se faire surprendre par un professeur à genoux devant les guiboles de ses petits camarades, une règle à la main.

L’attention de Sympan fut ensuite captée par son binôme, qui lui lécha la main. Un sourire un peu vague s’installa sur son visage. Ce petit lui plaisait bien. Il ferait un parfait assistant. Comme un automatisme, il se lécha à son tour la main, pile là où la salive résidait. C’était intéressant ; tout comme la suite. Il sourit et suivit Alcide. Il semblait candide, plus que lui. L’Ygdraë avait compris que chacun avait son caractère. Le Réprouvé était un Réprouvé. Le Sorcier un Sorcier. Ensemble, le spectacle ne pouvait être que plaisant. Tekoa était une chose inconnue - un sujet d’étude délicieux - mais il avait des croyances fortes, qui pouvaient heurter celles de Dastan. Il commençait à voir les fils de quelque chose. Il n’était pas assez instruit et intelligent pour comprendre tous les tenants et les aboutissants, mais dès qu’il le serait, il serait redoutable. Les relations seraient ses meilleures expériences. La palette des émotions ressenties par les autres fournissait d’elle-même bien des possibilités. Ce qu’il ne pouvait conceptualiser, il le ressentait malgré lui, en d’autres termes : il y avait du potentiel.

« Bien sûr qu’on veut. » répondit-il à la naine. Il était déguisé en psychopathe. Bien sûr qu’il voulait entrer dans des pièces douteuses avec autrui. « Je trouve que vous allez bien ensemble. Elle et toi. » dit-il, en désignant Alcide et Anya. « Tu pourrais peut-être le manger ? Il lèche bien les mains en tout cas. Et sa salive n’est pas mauvaise. » Ils n’avaient pas vraiment le même âge mais ce n’était pas pour ça que Sym avait commencé comme ça. « Dommage que Dastan soit déjà pris. Autant te dire que son chéri risque de te tuer si tu l’approches trop. D’ailleurs, je serais toi, j’enlèverais ma mimine de sa mimine. »

460 mots
Ils sont dans la salle 2

Nocturne à Basphel

Les binômes étaient tous en train de se constituer devant mes yeux. Où était le mien ? Le papier vert que je tenais dans la main était-il seul ? Franchement, ça ne m’aurait pas étonné que l’un des étudiants ait mangé le sien.

Il y avait de tout ici : des Evershas escargots qui bavaient sur les murs et restaient accrochés au plafond jusqu’à ce qu’ils reprennent une forme plus humaine ou encore des Déchus de la Luxure aux hormones de plus en plus dérangeantes que les professeurs devaient parfois calmer avec quelques philtres. Je n’avais rien contre les gens qui se roulaient des patins dans les couloirs, tant qu’ils restaient loin de moi. Ma langue, jamais, n’entrerait dans la bouche de quelqu’un d’autre. Berk.

J’eus le temps de me faire un milliard de scénarii avant que mon binôme, enfin, ne s’approche de moi. C’était une fille. Ses cheveux laiteux avaient quelque chose d’attirant. J’eus envie de les toucher pour en éprouver la texture mais ne le fit pas. On ne se connaissait pas et, j’avais beau être tactile, elle avait un petit côté bizarre. Je devais l’être aussi, avec mon déguisement.

Lorsqu’elle me parla, je souris tout de suite. Il n’y eut aucun temps de latence. Je me pris au jeu, convaincu que c’en était un. Je posai donc un genou à terre.

« Ô grande Mort ! Je ploie devant toi ! Ne me tue pas… s’il te plaît. »

Je ris. C’était le moment de sortir le jeu que j’avais répété.

« Oh mais… Tu ne peux pas me tuer ! »

Je baissai la tête. Elle ne devait plus voir que mon large chapeau. Les breloques dans mes cheveux se heurtèrent dans un bruit de vieux osselets. Un faible son sortit d’entre mes lèvres, de plus en plus fort.

« BwahahaHAHAHAHAHA ! Je suis l’épouvantail de la Mort ! Je suis dééééjàààà mort ! Personne ne peut me tuer ! BWAHAHAHAHAHA ! »

Je me redressai, reprenant une mine tout à fait normale (en oubliant que j’avais du maquillage partout).

« Bon tu viens ? On y va ? Avant de se faire attraper par un chasseur ? »

Je lui pris la main. Je n’avais aucune gêne de ce type. Le sexe me dégoûtait, parce que je n’avais pas l’âge et qu’il ramenait inévitablement à mon père, mais je pouvais tripoter les autres sans m’en apercevoir et n’hésitais pas souvent avant de passer mes doigts ici ou là, sur les objets ou les gens que je trouvais curieux.

« Je m’appelle Ikar l’Épouvantail. Et toi ? Tu es la Mort ? Juste la Mort, ou tu as un nom de code ? »

Je lui souris. Normalement, j’aimais bien infiltrer mes phalanges dans mes cheveux mais, avec ce gros chapeau, c’était impossible.

464 mots