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Mar 18 Déc 2012, 15:33

Cela faisait quelques temps maintenant que la jeune chamane arpentait le labyrinthe en s'enfonçant de plus en plus profondément au coeur de ce dédale. Si au début elle avait prêter une grande attention à son itinéraire, marquant son chemin mentalement, elle avait finit par se laisser déborder par tout ça et était maintenant totalement perdu. Observant sa situation avec un calme olympien Niahm était en réalité très détachée de sa situation. Elle était perdu, certes, cependant elle finirait bien par trouver la sortie ou être trouvée par quelqu'un ce qui aurait pour conséquence d'être conduite vers la sortie. Si au final elle se retrouvait toujours seule et perdu, elle était certaine que l'on ferrait sortir tout le monde à la fin du jeu. Bref au finale il n'y avait pas vraiment de soucie à ce faire. Au pire du pire elle n'aurai qu'a appeler Caleb, fusionner avec lui et prendre son envol. Tout problème avait une solution.

Pour le moment Niahm n'avait croisé que quelques femmes au détour de son chemin et pas un seul homme. Elle était certainement trop profondément enfoncée dans le labyrinthe et les participants masculins, rentrés bien après elle, n'avaient pas encore atteint le centre. Au détour de son chemin, la jeune femme aperçu une inconnue blonde portant une robe noir et une broche représentant le symbole des Machiavels. De par la description qu'en avait fait Clauswitz il s'agissait certainement de la jeune mariée Edelwyn. La chamane se plaqua contre un des murs du dédale, désirant passer inaperçus. Elle n'avait aucune envie de se faire voir par la femme du régent du monde vampirique. Elle n'avait pas la puissance nécessaire pour engager un combat et n'était pas non plus stupide, tenter de tuer une telle femme dans un endroit pareil signifiait signer son arrêt de mort.

Prenant donc la fuite dans l'autre sens, Niahm se métamorphosa en chat noir pour disparaitre plus efficacement. Son seul réconfort fut que son visage et son dessein était inconnus de tous ici, sinon jamais on ne l'aurait laissé participer à un tel jeu. Quand elle se fut enfin suffisamment éloignée la jeune femme reprit forme humaine et entreprit de s'assoir sur un petit banc de pierre qui se trouvait non loin. Voila c'était parfait, elle allait rester ici jusqu'à ce qu'on la trouve ou que le jeu se finisse. Se posant donc sur le siège en pierre l'attente de la jeune femme commença. Au bout d'un petit moment le paysage autour d'elle commença à tourner. Pensant qu'elle avait fixé le même point trop longtemps et que ce qu'elle voyait était le résultat d'une illusion d'optique, Niahm ferma donc les yeux pour les réouvrir. Malheureusement pour elle le monde continuait à tourner étrangement, comme si elle se trouvait dans une sorte de manège infernale.

Inquiète mais toujours calme la chamane secoua la tête, tentant toujours de chasser la vision. Peine perdu. Elle tenta de fermer les yeux, espérant qu'une fois qu'elle n'aurait la vision de ce paysage la sensation de vertige qui l'habitait disparaitrait. Malheureusement cette solution aussi était un échec. Enfin elle finit par se lever. Tout s'arrêta. Plus de paysage défilant, plus de tournis ni de vertige. Interloquée la jeune femme se rassit alors et la sensation revient. Elle se releva tout disparut de nouveau. Et bien la situation était donc claire, le labyrinthe trouvait qu'elle s'était suffisamment reposée et qu'il était à présent temps de repartir. Et bien elle et bien elle allait se plier à la volonté du labyrinthe. Niahm reprit donc sa marche. Soudain un ombre au détour d'un croisement attira son attention, quelqu'un arrivait.


Spoiler:
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Mar 18 Déc 2012, 16:09

Le souffle froid de l’hiver s’engouffrait dans ses poumons, lui rappelant le temps dans les montagnes. Zélèph l’avait une nouvelle fois embarqué dans des fêtes de la haute société. Ce n’était pas que ça le dérangeait, ce qui irritait le sorcier en revanche était le fait que ça lui rappelle son Amy. Leur mariage n’était plus qu’un souvenir. Jusqu’à présent il avait pu se fondre dans la masse de personnes invitées et il faisait tout pour garder profil bas. Il y avait cette chasse dans le labyrinthe organisée par les jeunes mariés, il souffla de désespoir face à l’annonce. Les invités c’étaient engouffrés à l’intérieur comme une bande d’affamés. Valkan faisait la moue et pestait intérieurement. Il était loin de ses objectifs et mesurait à présent la situation sur toute sa globalité. Il avait passé un marché avec le Roi des Réprouvés, mais là où le marché devait paraître équitable, il avait la curieuse impression d’être la Bête de sortie.
Pour l’occasion il avait choisi de s’habiller en blanc, il avait cependant gardé une touche de noir. C’était sa marque de fabrique à lui. Il portait un pantalon en lin blanc, avec une coupe très fine, une chemise en flanelle noire portée dessous un gilet blanc taillé avec autant de finesse que le pantalon. Une cravate lavallière ornait le cou du sorcier, elle était noire. Le gilet portait des motifs de lys, sa chevelure avait été peignée et joint par un nœud en soie blanc. Il était aguichant certainement, mais il n’avait que faire de savoir si il était charmant ou pas. L’essentiel était qu’il se libère vite de tout ça. Il s’engagea au creux des hautes et longues haies qui servaient de mur végétal au dédale du labyrinthe. Le dit labyrinthe semblait vaste, pas qu’il n’est peur de se perdre dedans, mais il ne voulait ni être trouvé, ni trouvé qui que ce soit. Ce jeu était pour lui une pure perte de temps.

Valkan marchait quand même d’un pas lent, les mains dans les poches de son pantalon, il scrutait tout mouvement, si il avait de la chance il pourrait éviter tout débordements. Il ne connaissait personne à part Zéleph, le Roi des Réprouvés, le problème n’était pas les soucis politiques potentiellement liés à son mauvais caractère, le problème était qu’il n’avait aucune envie de se mêler au monde. Il voulait rester dans sa solitude apaisante. Au fil de ses pas, ses pensées se tournèrent vers Amy. Si il arrivait à mener à bien son plan, qu’adviendrait-il ensuite ? Il verrait le moment venu. Après tout, là était la pulsion qui le faisait vivre, la revoir une seule et dernière fois. Au détour d’un croisement, il aperçut quelques éclats de voix, tournant le dos et revenant sur ses pas immédiatement il esquiva quelques convives amusés par tout ceci. Pourquoi était-il rentré de ce labyrinthe aussi ? Certainement pour fuir. Les raisons n’étaient plus d’actualité puisqu’il était à présent à l’intérieur du jeu et ne pouvait se désister. Il avait fui, pour se retrouver coincé. Ces derniers temps il manquait de discernement, faisant face à des émotions étrangères et douloureuses. Arrêtant sa marche, il souffla profondément et se mit à masser ses tympans. Des nouveaux bruits de pas se firent entendre, Valkan tendit l’oreille et partit dans la direction opposé.

Il continua à masser ses tympans tout en marchant. Un mal de tête commençait à pointer le bout de son nez et son humeur déjà maussade, devenue colérique. Il serra les dents, et leva les yeux au ciel. Au détour d’un angle, il pencha la tête pour s’assurer que la voie était libre et vu Zéleph qui semblait complétement perdu. Bien fait pour lui, qu’il aille…Tsss…Le spectacle était tellement navrant, qu’il fit demi-tour et revenu sur ses pas. Il n’en voulait pas au Roi des réprouvés, il était juste agacé.
Il avança et pris à droite, puis à gauche, à chaque croisement il laissait son instinct le guidé. De nouveaux sons vinrent casser le silence, brisé d’habitude par ses pas. Le sorcier esquiva en tournant à gauche, puis de nouveaux bruits vinrent de nouveau se faire entendre. Il prit à droite. Ça commençait vraiment à lui faire monter la moutarde au nez. Plus les convives venaient à entrer et avancer, plus il commençait à être coincé.

Bon sang de bon soir ! On peut pas être tranquille ici…
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Mar 18 Déc 2012, 16:43

Précisions /!\:

    Black Raven devait commencer à se faire connaître doucement... La preuve en était que c'était dans ce manoir que Ruka avait reçu une invitation au château Malkavian. Dans son fauteuil en train de fumer une cigarette presque entièrement consumée, le Démn se souvient que des rumeurs alimentait pas mal le monde de l'ombre ces derniers temps. Le mariage entre le maître du clan Malkavian et une dénommée Edelwyn allait donc avoir lieu réellement ? Il n'était guère amateur de ragots, mais celui-ci l'avait plus ou moins intéressé, dans le sens où lui aussi aurait dû se marier à une jeune femme il y avait une centaine d'années.
    Comment Clauswitz connaissait-il l'existence de Ruka Tanuma ? C'était un mystère. Certes il était descendu en Enfer et avait côtoyé pendant un moment le Prince des ténèbres, mais de là à ce que même un Vampire soit au courant... C'était intriguant.

    « Tu es convié à un mariage de vampires ? Je me demande quel genre de surprises cela peut nous réserver... » dit Sho, le compagnon démoniaque de Ruka, qui avait lu la lettre par dessus son épaule. « Comptes-tu y aller ?
    - Ce n'est pas souvent que je suis invité quelque part... et surtout pas par un inconnu. Cela mérite qu'honneur lui soit fait ».

    Le soir de la date indiquée sur l'invitation, Ruka pris le chemin du Château Malkavian, accompagné de Sho qui pour plus de discrétion avait revêtit l'apparence du chat noir Harry. Et ce n'était pas du tout parce que le Démon le lui avait ordonné...
    Vêtu dans le plus simple appareil d'un dandy gentleman aux cheveux noirs un peu décoiffé, Ruka entra dans la salle où se trouvait le plus de monde -n'ayant pas la moindre idée de ce l'endroit où il devait se rendre. Au fond de la salle deux jeunes amants prononçaient un serment d'allégeance et d'amour qui se voulait éternel, unique et sincère. Sho, posé sur l'épaule de Ruka, observait la scène d'un air aussi intéressé qu'un petit garçon l'aurait été face à un jouet de petite fille. Un mariage en pleine nuit... C'était bien typique des Vampires. On avait convié Ruka à un mariage de deux personnes qu'il ne l'intéressait absolument pas, et par la même on lui faisait perdre du temps. L'intéressé ne disait rien, et regardait le lien se tisser d'un air triste et renfermé. S'il n'avait été impur, il aurait pu rendre Yuris aussi heureuse que la jeune Edelwyn...

    « Écoutes ça, Ruka... » fit Sho, au creux de son oreille, ce qui fit sursauté le Démon. Clauswitz -supposait-il- s'était avancé au devant de ses convives et prit la parole d'un air très satisfait, alors qu'Edelwyn avait disparu dieu savait où.
    Le maître des lieux annonça les activités à suivre comme s'il allait s'agir d'un petit jeu follement amusant. Tous les hommes ici présents seraient les ambassadeurs de l'amour vampirique, et devraient se rendre dans un labyrinthe magique créé pour l'occasion, afin de s'emparer d'une jeune femme, dans le but de lui voler un baiser ou bien de lui ordonner quelque chose à faire impérativement. Un ordre à donner ou un baiser...

    « Les Vampires sont sadomasochistes depuis la nuit des temps nous le savions, mais à présent c'est tout à fait comique... » chuchota Sho avec mépris, mais très enthousiaste à l'idée de faire du mal à une jeune fille. Ruka quant à lui croisa les bras et arqua l'un de ses sourcils. C'était donc cela, le véritable but de la fête... Attraper des brebis sans défense, eux qui avaient la force des loups. L'esthétisme de la situation était de mauvais goût aux yeux du Diable. Il se demanda s'il n'aurait pas mieux fait de partir à la morgue pour pratiquer une autopsie, comme le lui avait demandé le Croque-Mort. Cependant, lorsqu'il sortit il ne pu rien faire d'autre que d'entrer dans ledit labyrinthe à son tour, car aucune issue autre n'était permise. La riche idée qu'il avait eue en se rendant ici ! Certes il faisait honneur à son hôte mais de là à s'adonner à des jeux de rut... Consterné, le Démon enfonça son chapeau noir sur sa tête, et entra dans l’édifice végétal doucement, d'une démarche aérienne qui le fit disparaître dans l'obscurité. Sho jugea le moment idéal pour entamer la conversation :

    « Si tu ne veux pas d'une jeune inconnue, laisse moi reprendre ma véritable forme... J'ai follement envie de m'amuser un peu moi aussi. »

    Ruka ne répondit pas à ces mots, attentif au moindre bruit. Il lui semblait entendre des rumeurs étranges dans les feuillages, derrières lesquels brillaient parfois quelques petites lumières. Magique et certainement farceur... C'était bien dans le ton de la soirée. Ruka tourna dans une allée subitement, et se retrouva face à ce qu'il était censé chasser ce soir : une jeune femme.

    « Ah... » fit-il, doucement. Il n'avait aucune envie de lui sauter dessus. Restait simplement à savoir si elle allait s'enfuir en courant ou pas.
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Mar 18 Déc 2012, 16:57

Spoiler:


Franchement, des fois je me demandais comment elle faisait pour arrivée à m’attirée dans des choses comme celle-ci. Enfin je préférais ça que ce soit elle qui se pointe ici. Tout en marchant nonchalamment dans ce labyrinthe, je repensais à la manier ou elle avait réussi à me convaincre. Elle avait vraiment utilisé une curieuse méthode, je me demandais d’ailleurs si c’était fait esprit ou si tout simplement, elle avait vraiment eu l’intention de venir ici elle-même. On en avait discuté longuement, elle essayant de me convaincre qu’il y avait très peu de chance qui lui arrive quelque chose, moi voulant lui interdire tout simplement.

-Kahel, le clan malkavian est le plus pacifiste de tous, de plus je ne peux pas continuée à évitée les races dites maléfiques, vois plutôt un avantage. Ne dit ton pas sois proche de tes amis, mais encore plus de tes ennemis ? C’est plutôt une bonne occasion.
— je sais bien, mais il n’aura pas que les vampires, tout le monde a été invité à y participer. Je continue à croire que ce n’est pas prudent.
- Si tu continues à croire que c’est trop dangereux, pourquoi est-ce que tu n’irais pas à ma place ? j’aimerais vraiment y aller, mais je peux très bien envoyer un représentant.

J’avais bien remarqué qu’elle n’avait pas dit cela sérieusement, mais j’avais sauté sur l’occasion, comme un idiot, le plus important était qu’elle reste loin d’eux pour sa sécurité. Mais du coup, je me retrouvais en plein milieu des vampires et même si je n’étais pas capable de les reconnaitre, je me doutais bien qu’il y avait d’autres personnes qui n’aimait pas particulièrement la notre.

Le chef de clan nous avait alors parlé d’un jeu avant l’ouverture du bal. J’avais été assez étonnée, surtout quand il avait dit kCAD femme était une proie comme les autres. Oui j’avais utilisé le mot proie pour la simple et bonne raison que c’était réellement une chasse. Dans un labyrinthe, sans mort, mais une chasse quand même, je reconnaissais bien la les vampires de mailleuse.

Je n’étais vraiment pas à mon aise en plus, car quelque chose en moi me disait que ce n’était pas vraiment ma place. Du coup, quand j’étais entrée dans le labyrinthe, je m’étais contentée de marchée sans but dans le labyrinthe et actuellement, je ne cherchais pas activement une femme. L’idée de me prêter au jeu ne m’attirais pas vraiment, du coup, c’est une peu naïvement que j’espérais tombée sur une demoiselle aux hazans, ou alors que le temps aurait été écoulé avant que j’aille trouvée qui que ce soit et je pourrais ainsi passé à la suite tranquillement. Je soupirais profondément quand je pensais que je devrais quand même me prêter aux jeux, même si je n’avais pas voulu venir ici, je devais quand même représenter les anges, alors il fallait que je fasse bonne impression devant les autres.

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Mar 18 Déc 2012, 17:35

« Quoi ? »
Un type venait d’apparaitre devant lui, ce qui en soit était déjà très étrange, mais en plus celui-ci lui disait une vraie connerie qu’il ne comprit absolument pas. Il devait être fou. Ah non, si il y avait des fous qui se baladait dans ce labyrinthe en plus du reste il jeter l’éponge ! On aurait dû le prévenir qu’un asile n’était pas loin. Seulement il était hors de question de laisser cet homme lui échapper. Pourtant, alors même qu’il le suivait, au virage qu’il prit il n’y avait plu personne.
« Bordel. »
Zéleph commencé sérieusement à en avoir marre. Voilà qui était bien fait pour lui, il n’aurait jamais dû rentrer dans cet enfer. De nouveau seul il fit demi-tour pour retourner dans son carrefour dans l’espoir que quelqu’un lui tombe dessus. Au sens figuré, pas au sens propre, car il sentait cas souhaiter n’importe quoi il pouvait bien arriver la même chose dans cette endroit. On appelle ça un mariage ? Pour lui c’était une torture. Il ne voulait pas l’admettre et pensait que c’était le sort qui s’acharner sur lui. Après tout il n’allait pas admettre qu’il pouvait se perdre dans sa propre chambre ! Un roi qui n’avait aucun sens de l’orientation ce n’était pas un roi, vous imaginez que pour le vaincre il suffisait de l’enfermer dans une maison qu’il n’a jamais vue et sans porte ? Il ne se rendrait jamais compte que la maison n’avait pas de sortit et aurait tourné en rond pendant le reste de sa vie, quitte à en devenir fou. Tout cela montré bien que si personne ne venait à lui, le pauvre réprouvé finirait par décéder dans ce labyrinthe.

De plus on ne voyait rien ici. Il avait toujours l’impression que quelqu’un arriver, ou peut-être l’espérait-il tellement qu’il finissait par ce l’imaginer. Peu importe. Soudain l’apparition qui fit irruption devant lui le fit sur sauter. Bien moins agréable à regarder que l’homme qui avait disparu il y a quelque minute, ce chat était : horrible. Retenant un juron Zéleph ce demanda quand est-ce qu’on leurs avaient des que des créatures magiques ca baladaient elles aussi dans le dédalle. Ne manquer plu qu’un minotaure et l’illusion serrait parfaite. Il aurait pu réagir, oui c’était vrai. Seulement à peine eut-il ouvert la bouche qu’elle se retrouva remplit d’eau, comme tout le reste de son corps, plonger sous une vague venant juste au-dessus de lui. Sur ce coup Zéleph ne bougea pas, l’information avait du mal à monter jusqu’à son cerveau, pourtant dégoulinant d’eau. Un rire le sortit de ce moment de veille. Il aperçut alors la silhouette d’une jeune fille. La colère monta soudainement, comme ci il venait de ce réveillé.
« Hey, reviens ici ! »
Seulement quand il lui courra après il ne la trouva pas. Encore une fois on lui avait joué un mauvais tour et il commencer sérieusement à en avoir marre, le prochain qu’il croiser allé en prendre pour son grade. Tant pis, il n’avait pas pu se défouler sur les deux premier ce serait le troisième qui prendrait.
« Bon sang ! »
Il détester les enfants. Il était sûr que c’était encore un de ces mioches insupportable qui s’en était pris à lui. Sauf qu’il n’était pas du genre a joué à ce genre de jeu, surtout quand c’était lui la victime. Ce retournant, Zéleph prit une grande bouffer d’air avant de reprendre son chemin. Le roi des réprouvés fini par voir au fond d’un long corridor, ce qui semblait être le pied de quelqu’un avant que celui-ci ne disparaisse.
« Je te tiens ! »
La colère le persuader que c’était encore cette esprit malin qui en avait après lui et jouer avec ses nerfs. Il s’élança alors. Courant à toute vitesse pour rattraper cette personne, le labyrinthe en décida autrement. Un mur apparut devant lui. Le temps qu’il le réalise et ralentisse, c’était trop tard. Il se le prit de plein fouet, le traversant, soit, mais cela ne fut pas sans douleur. Etaler sur le sol, le mur en lambeau autour de lui, il ce redressa en grommelant quelque jurons contre la terre entière.
« Je hais les mariages. »

HJ:
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Mar 18 Déc 2012, 19:08

La jeune vampire du se mordre les lèvres en voyant l'air ahuri de Zéleph qui ne la voyait pas alors qu'elle était juste sous son nez, tapie dans l'ombre ! Pour le coup, Chess aussi avait un peu de mal à garder son sérieux en voyant l'homme s'éloigner. Il bouillait, il enrageait, il fulminait, tant et si bien que la jeune fille susurra à son compagnon que s'il continuait sur cette voie ci, il allait finir par faire évaporer l'eau sur lui. Elle était très fière de sa connerie, oui oui, et elle ne se retint que de justesse d'en remettre une couche pour narguer davantage ce pauvre homme qui semblait bien malchanceux. Et il n'avait visiblement pas finit d'en baver dans ce qui devait être pour lui un maudit labyrinthe ! Car il n'y avait pas que Yuli qui semblait avoir décidé ce soir de lui jouer de vilains tours. Le destin lui même se prit au jeu !

Et voilà que ce même bonhomme sembla apercevoir quelqu'un. Il se lança à toute vitesse à sa poursuite, surement animé et boosté par la rage. Curieuse, notre vampirette à poils bleus, laissa dépasser sa petite frimousse, aussi amusée que malicieuse pour tenter de voir ce qui allait se passer. Le reste de son corps demeuré à l'abri, derrière le coin du mur, et fondu dans l'ombre de ce dernier. Et le moins qu'on puisse dire c'est qu'elle vite sa peine bien récompensée. Car voilà qu'un mur émergea de nul part devant le pif du pauvre bougre qui le percuta de plein fouet. Cette fois-ci la jeune fille ne put se contenir et explosa d'un rire franc et sincère. Comment aurait-elle pu résister à cette scène comique si naturelle et spontanée ? Et le petit commentaire du malheureux par terre n'arrangea rien à son fou rire. Elle parvint tout de même à se calmer rapidement et dit.


-Pauvre homme, ce n'est vraiment pas de chance.... Je vous souhaite plus de succès pour la suite hi hi hi ! Au revoir !


Et pouf, la voilà qui file de son côté, accompagnée de Chess bien évidemment. Tout deux avancent sans se faire remarquer et assez rapidement. C'est qu'ils n'avaient pas envie de se faire rattraper par cet homme qui devait être des plus furibond à l'heure actuelle. Et puis surtout, il y avait plein d'autres victimes à tourmenter ! Les possibilités que lui offrait ce labyrinthe ne cessait d'attiser son excitation déjà débordante. Où se trouverait sa prochaine cible ? A quoi ressemblerait-elle ? Quel mauvais coups allait-elle lui faire subir ? Elle était persuadée que parmi les participants, il y avait quelques doux innocents qui étaient persuadés qu'en cette soirée, c'était les hommes les prédateurs et les "dominants". C'est bien réduire la psychologie vampirique. Car si le but des hommes est de trouver et d'attraper une femme, celui de ces dernière est de ne pas être "capturée". Et jamais personne n'a dit qu'elles ne pouvaient pas se défendre. En réalité, les hommes s'étaient lancé dans une chasse illusoire, où il se lançait à la poursuite de femme qui savaient leur présence et pouvaient tout aussi bien devenir les grandes prédatrices du jeu.

C'était là une illustration parfaite de l’ambiguïté de l'esprit vampire. Ce que l'on prend pour frêle et acquis peut en réalité être l'objet de votre perte. Enfin pour ce qui était du comportement de la plupart des femmes vampires en tout cas. Elle ne savait pas si les femmes des autres races sauraient faire la double lecture de ce jeu, ou encore si elles oseraient malmener gentiment ces messieurs. Mais au sens de Yulenka, les plus futés des hommes comprendront qu'il ne suffit pas de trouver une femme mais aussi d'obtenir son consentement, de l'apprivoiser si on pouvait s'exprimer ainsi. Cependant, pour connaître la mentalité de certains hommes, elle se dit que ce genre de subtilité passerait loiiiiiiiiiiiin au dessus de leur tête. Une fois encore, Yuli avait une haute opinion et une haute exigence des vampires. Mais assez de réflexions, et place à l'action ! Il lui fallait un autre homme pour assouvir ses besoins presque sadiques de petite peste !
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Mar 18 Déc 2012, 20:15

    « Peut-être devrais-je enfin quitter pour de bon cet endroit. » confirmai-je à Klyan qui s’était assis sur une falaise donnant vue sur le monde d’en bas. Il souriait peu mais il fit grâce de ses habitudes pour paraitre moins froid.

    « Peut-être devais-tu informer deux, trois personnes que tu n’es pas mort. » lançait-il sans en mesurer les répercutions.

    « Ici tout est si calme, tout est si beau, je sens que mon esprit est léger. » dis-je à l’homme qui ne répliqua pas. Il pensait également qu’il serait idiot de quitter trop vite pareil endroit mais il savait tout autant que quoi que je dise, je n’irai contre mon envie. Cette île était un doux rêve, il entretenait tous nos espoirs sans les déformer, elle ne faisait que les amplifier, les embellir. Seulement, je ne perdais pas la notion du temps, chaque jour était soigneusement noté comme étant passé et révolu et je le savais, un certain mariage ne pouvait s’accorder à mes idéaux de grandes escapades. Le temps était alors venu de reprendre pied à ces terres si basses dont les échos ne nous venaient jamais, pour notre plus grand bonheur, il fallait l’avouer.

    C’est au dos de Sin que j’arpentai le col de la montagne, m’enfonçant toujours plus profondément dans les hauteurs glacés que j’avais embrassé pour la dernière fois lors de ma rencontre avec l’Oracle. J’y repensai doucement sans trop m’y attarder, ce n’était pas le jour, enfin du moins je l’espérai car il s’agirait alors du dernier. Le château Malkavian était une merveille d’architecture malgré un aspect de prime plutôt de veille bastille, il revêtait de couleurs froides en accord parfait avec le lieu dont il empruntait l’importune sensation. Pourtant, il n’était pas sans rappeler que l’endroit attirait des foules, peut-être le fléau avait joué en cette faveur, les individus cherchaient de plus en plus le calme, la sécurité, le clan Malkavian était réputé pour sa dynastie aristocratique d’intellectuels, alors la pensée semblait prendre le pas sur la force, l’humain comprenait doucement que la brutalité n’était qu’un divertissement, pour appâter, amuser, lorsque tous les masquent se rompent au sol, que reste-t-il d’autre que l’esprit pour se protéger de l’assaillant ? Tout du moins, les mentalités changeaient. Il était étrange et difficile de se rendre à la forteresse vampirique. Je ne savais vraiment si je désirai revoir des Hommes se pavaner alors que là où j’étais, le malheur avait été banni dans les catacombes imaginaires du Mârid déchu. Seulement Klyan avait raison ; il était le seul au courant de mes relations épistolières avec Edelwyn, je ne savais pourquoi lui, je lui faisais confiance, il était incapable de mentir, il ne voyait pas l’intérêt, il se fichait bien de ce qu’il renvoyait quelque part, mais je l’appréciais ainsi, de confiance. Il n’avait tant adhéré à cette idée, pensant qu’il pouvait s’agir de n’importe qui, désirant un mal politique ou même personnel à ma personne, connaissant mes faiblesses intimes, en jouant pour m’attirer dans des pièges dont je ne saurai ressortir. Seulement, je ne pouvais croire la raison, il ne s’agissait pas de n’importe qui. Il était vrai que jusque-là, j’avais désiré ne pas la rencontrer, j’aimais cette idée de n’avoir d’elle que la profondeur de l’encre de sa poésie. Je ne savais si j’avais peur d’être déçu, j’imaginais tout de cette femme mais n’espérais rien, quelque part on ne pouvait séparer ces deux faits mais je tentais de verser de l’eau dans mon vin, il pouvait, comme le disait Klyan, s’agir de n’importe qui, n’importe qui, qui était une personne des plus précises à mon cœur.

    J’avais complètement modifié mon apparence pour demeurer anonyme parmi la foule. Le seigneur des lieux invita ses invités à une folle partie d’instance bourgeoise au dieu, l’on perdrait même la bonne manière de ne pas baiser que la main de sa promise. Je riais à l’idée tout en connaissant parfaitement l’identité de ma cible, son nom mais pas son visage. Je tiltai cependant aux dernières paroles de l’homme, contant à qui ne l’avait jamais vu comment cette dernière était habillée. Etrange que des invités à un mariage ne sachent à quoi ressemble la mariée. Cela ne sembla marquer personne et malgré un attrait légèrement paranoïaque, il sembla que l’on m’attendait, là-bas, quelque part dans cet immense labyrinthe. J’observai cet horizon humainement naturel de dédales fleuris, alors même sans carton d’invitation, elle savait que je viendrai. Elle était au moins l’une des celles qui croyait en ma survie pour à ce point conter sur ma ponctualité. Alors que tous les invités déambulaient dans le labyrinthe, je suivais d’abord le plus dense groupement d’invités qui se séparaient à chaque carrefour avant de prendre mon propre chemin. Il fallait avouer que je ne me sentais pas très à mon aise ici. Cet endroit me rappelait le labyrinthe des jeux de l’ombre, cette peur grandissante que l’on vienne me tuer, des fantômes que j’avais moi-même achevé me revenaient à l’esprit alors que je me perdais dans l’arborescence selon les Malkavian. Je ne savais qui je rencontrerai mais peu importe le gain de ce jeu, il ne serait partie terminée tant que je n’aurai pas pioché la bonne carte, tant que le dé n’aurait pas fait le bon numéro.

    C’est alors que de puissants maux de tête me vinrent. J’eus comme une poussière gravée dans l’œil qui ne cessait de me gêner lorsque je regardai autour de moi. Et malgré toute la force de ma conviction, je ne pouvais à présent plus le refouler : il y avait un aether dans les parages. Seulement, ce telles douleurs à la tête n’étaient pas synonymes de la seule déesse de la justice, je le savais, plus l’aether était puissant, plus le mal de mon esprit serait féroce, m’étripant les idées pour les faire saigner à blanc. Mes pas furent alors plus rapides, des ersatz de morsures de serpents grimpaient le long de mon bras, là était à présent mon nouveau fardeau depuis la plaine des aetheri : sentir leur présence dès qu’elle était proche de moi. J’embouchai là où les tournants me menaient, les yeux pratiquement fermés, je savais où j’allais, là où la douleur me conduirait aux dieux. Ils furent presque comme deux amants, se cachant des regards suspicieux mais malheureusement, sûrement l’esprit du temple ne comptait pas sur ma si rapide descente de l’île merveilleuse. Il était déjà sorti du temple pour me saluer, et le voilà à nouveau en dehors de ses fonctions. Cela ne le ressemblait vraiment pas, lui qui n’avait jamais quitté les murs de pierres froides de son temple en ruine depuis des siècles, deux fois que je constatai ses fugues en peu de temps et en total mépris des règles qu’il avait lui-même édicté pour la plupart. Un rival ? Non, évidemment, je n’étais plus dans cette course mirobolante qui me paraissait à présent lointaine et datant encore d’hier à la fois, mais il était évident que cela ne ressemblait pas à l’homme que je connaissais. Derrière un angle d’arbustes, je savais qu’il ressentait lui aussi ma présence, nous ne pouvions nous échapper, pourtant il prit de façon volontaire le chemin inverse à ma personne. Je restai un moment sur place à y réfléchir. Là était l’exact exemple de mon refus de descendre de mon île volante : voilà que mon esprit s’alourdissait de questions, à nouveau et sans grande joie. Je partais avant que quelqu’un ne passe ou que l’aether ne s’aventure par ici, je ne désirai pas la rencontrer. Je continuai ma route, bien plus pensif qu’auparavant, la présence des élevés dans ce labyrinthe gênait toujours mon regard bien que plus j’avançai, plus je m’éloignai d’eux et moins la douleur au cerveau était présente. Il était évident que l’un d’eux était de trop par ici.

    Puis, comme un hasard prédestiné à ma personne, j’entrevue la cible que j’avais pourchassé avec douceur, celle dont je n’avais crié le portrait, celle dont peu se doutait le chasseur sauf peut-être ladite cible. Et pourtant, lorsque je vis les courbes de son dos se dessiner, lorsque je compris le lien que j’avais refusé de comprendre, lorsque je me rappelai le dos de cette femme, à la tour inconnue parmi l’armée des sans-âmes, lorsque je me rappelai de son dos, au mariage de la reine des déchues, je compris qu’il ne s’agissait que d’un souvenir que j’avais refusé d’accepter jusqu’à maintenant et qui à présent me semblait d’une éclatante limpidité. Alors je m’approchai, au fil de mes pas, mon apparence naturelle repris, les cheveux bleus en moins certes mais s’il était vrai qu’elle me reconnaissait lors de mes furtives visites au manoir Taiji, alors elle ne se tromperait pas sur la sincérité maladive d’un regard mensonger. A deux pas d’elle, juste derrière elle, la tête penchée à son cou, je susurrai alors à l’oreille comme le souffle d’un fantôme : « Trouvée. » extirpant le calme de la situation de son cocon pour secouer un coup de destin sur un simple mot sans grande littérature.
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Mar 18 Déc 2012, 21:03


« Anna ! Je ne veux pas y aller seule ! » L'humaine se rapprocha de la bélua et caressa son front. Elle répondit d'un ton calme, serein et dit qu'il y aurait son amie, Sora qui s'y trouverait. Sora ? Quel drôle d'endroit pour se retrouver ! Cependant, elle accepta l'idée qu'elle irait à ce mariage même si se vêtir d'une robe n'était pas de son plus grand fort. Anna avait pensé à tout et en était très fière. Elle sortit une robe sombre aux reflets bleus de sa penderie et la montra de suite à la la bélua. Celle-ci fut émerveiller quant à l'habit magnifique qu'elle lui présentait. Toutefois, l'idée ne l'enchantait toujours pas ! Si prise de panique elle avait, elle serait alors transformer en son animal totem et serait dévêtue puis qui plus était, la robe si belle de Anna serait en morceaux. L'humaine assura la bélua en lui certifiant que c'était une robe faite pour elle car ô grand jamais elle n'arriverait à s'habiller avec puisque Ophalee était bien mince - et n'avait si on pouvait dire aucun atout féminin, elle n'était pas en chaire. Cependant, la robe assurerait le charme que la bélua n'avait pas.

Ce fut ainsi qu'elle s'habilla, d'une robe mi-longue mi-courte à la teinte bleue foncée. « En plus, tu devras te trouver un cavalier. Il y aura plein de personnalités ! » De personnalités ? Mais qu'est ce que Ophalee en avait réellement à faire ! Anna l'assit sur une chaise et se mit à la coiffer. Cela fut dur car la jeune fille ne se peigner quasiment jamais. Une aubaine pour celle-ci qui allait pour la première fois assister à un mariage - bien que les personnes lui soient inconnues - vêtue d'une robe et en plus - bien - coiffée, pour une fois. Elle retrouvera sans doute son amie, celle qu'elle n'avait pas vu depuis si longtemps ...

Ce fut alors à dos de dragon qu'elle alla au dit endroit où la magie d'un mariage désormais régnait. Ophalee y vit plusieurs voir différents personnages. Certains qui lui paraissaient familier et d'autres inconnus. Elle chercha dans la foule son amie mais elle n'y apparaissait pas. Regrouper parmi tant d'autres, elle releva la tête quand un homme fit son apparition. C'était un bel homme, il n'y avait rien à dire et toutes les personnes présentes n'étaient pas mal non plus. Elle se sentit plus petite d'un coup ... Puis le bel homme annonça la suite des événements. Il y aurait un cache-cache. Les hommes devraient rechercher les femmes qui seraient alors leur proie. Anna l'avait-elle lu sur la lettre que Sora lui avait envoyé ? Si oui, quelle fourbe ! Ophalee soupira. Elle devrait jouer le jeu bien que l'idée ne l'enchantait pas vraiment. Quelle râleuse celle-là !

Que peu importe, personne ne la trouverait ! Elle ferait en sorte de se rendre au bal seule, du moins elle essayerait. Toutefois si un homme - voire une femme si plus d'homme il y avait - la trouverait, il faudrait qu'elle lui donne soi un baiser, soi un gage ! Mais quel sorte de gage ? Rha, elle détestait vraiment ces événements surprises ! Elle ne s'y était pas préparée psychologiquement et venait de se prendre une claque. Elle regarda les autres personnages et reconnu une personne ... Enfin d'après ses souvenirs qui remontaient loin ... Loumen était là aussi ?

Soudain, le départ fut lancer ! Ses mains relevèrent les pans de sa robe et s'élança dans la fameuse course ! Être dans la peau d'une proie, elle en avait bien peu l'habitude ! Elle devait penser intelligemment. « Anna, tu me le payeras ! » Dit-elle d'un air bougon.

La coupe que son amie lui avait faite ne tint bien sûr pas très longtemps et désormais, les cheveux aux vents - ce qui était plus agréable d'ailleurs - elle se mit à courir parmi d'autres femmes et finalement toutes se dispersèrent dans cet immense jardin qui était vraisemblablement un grand labyrinthe. Voilà comme le bal de Malkavian commença ; mal ! Elle tomba au sol comme d'une surdouée ... Et se salit, bien évidemment. Cela devait lui arriver ! Elle ne s'arrêta pas pour autant malgré le sale qui s'était étalé en particulier au niveau de ses genoux et sur ses mains. Elle fit comme un vieux cochon : elle bougonna et râla. Elle n'avait pas jolie mine quand elle s'y mettait et encore plus lorsqu'elle était salie. Elle se frotta alors les mains puis d'une main étala - sans le vouloir - un peu plus la terre. Ça commençait bien !

Elle continua son chemin comme si de rien était. Quelques jurons sortaient parfois de sa si jolie bouche. Si elle continuait ainsi, sa robe devrait alors radicalement changer ... Oui, Ophalee n'était pas facile en matière d'habits. Puis de toute façon si la robe est abîmée, elle dirait à Anna qu'un mauvais esprit tournait autour d'elle durant la soirée et celle-ci la pardonnerait. Elle avait prié pour qu'il y ait peu de monde mais elle se trompa bel et bien ! Avant qu'elle ne s'élance, ils étaient bien une centaine ou plus !

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Mar 18 Déc 2012, 23:26

L'ombre se rapprochait de plus en plus et bientôt la personne à l'origine de cette masse noir passerait certainement devant elle. Une décision s'imposait donc. Rester ici, espérer qu'il s'agisse d'un homme et se faire "attraper" ou s'enfuit et tenter de trouver la sortie toute seule. Par réflexe Niahm tenta de se cacher mais trop tard, la personne venait de passer le coin et était à présent devant elle. La jeune chaman eu donc le plaisir de se retrouver nez à nez avec une autre participante qui gloussa en la voyant. Apparemment cette jeune femme appréciait beaucoup ce petit jeu car après un bref salue elle repartit en trottinant, à la rencontre d'un participant masculin certainement. Niahm cligna des yeux, lassa passer l'inconnue et reprit son chemin comme si de rien n'était. Après tout rien ne justifiait qu'elle fusse paniquer par une telle rencontre vu qu'il ne c'était strictement rien passé.

Continuant donc son chemin la jeune femme commençait à se dire qu'elle en avait marre de ce petit jeu. Si elle était venu ici en premier lieu c'était pour tenter de récolter des informations sur les vampires et autres personnalités maléfiques, pas pour jouer à être la proie d'un quelconque "chasseur". D'ailleurs pourquoi avoir conçu un jeu pareil ? Niahm ne comprenait absolument pas l'intérêt d'une telle chose. N'aillant jamais trouvé la chasse excitante elle ne pouvait comprendre l'excitation de traquer une proie ni l'exaltation lorsqu'on la trouve. Ses propres traques étaient dénuées de tels sentiments pour être remplacé par une volonté inébranlable mu par un objectif supérieur. Chaque "chasse" n'étant d'un bout du chemin qui lui fallait accomplir pour atteindre ce qu'elle cherchait à mettre en place.

Au détour d'un chemin la jeune femme croisa un petit écureuil. Interloquée de croiser un tel animal dans un endroit aussi fréquenté, Niahm ne put néanmoins s'empêcher de trouver l'animal attendrissant et surtout très beau. Que voulez-vous, on peut être une femme aillant perdu toute naïveté sur le monde et poursuivant un but impossible et quand même aimer les petits animaux non ? Hésitant à tendre la main pour caresser la petite créature au risque de lui faire peur et de le voir fuir la jeune femme finit par décider de tenter sa chance. S'accroupissant très lentement elle tendit doucement le bras vers l'écureuil pour ne pas le brusquer. S'arrêtant à une distance raisonnable pour ne pas l'effrayer la chamane tenta alors d'inciter la petite créature à se rapprocher et au miracle c'est ce qu'elle fit. Souriant intérieurement d'une telle réussite Niahm fut comblée de joie quand elle vit la créature grimper sur sa main sans méfiance. Ravie de cela la jeune femme eu alors une surprise des plus désagréables quand l'écureuil lui mordit férocement le doigt avant de disparaitre comme par magie.

Evidement cet animal était un des tours du labyrinthe ! Après tout il aurait été parfaitement illogique de voir une créature sauvage s'approcher aussi facilement d'elle. Et maintenant à cause de son manque de perspicacité elle saignait abondamment de l'index gauche. Quelle bêtise ! Saigner dans un territoire de vampire, il n'y avait rien de plus stupide. Suçant rapidement son doigt pour faire disparaitre le sang Niahm sentit un gout ferreux commencer à envahir sa bouche. Heureusement pour elle la blessure n'était pas trop profonde et elle s'arrêta bien vite de saigner. Pour en finir avec cette histoire elle sortit son mouchoir pour se bander le doigt avant de repartir à l'aventure.

Au croisement suivant la jeune femme tomba enfin sur ce qui pourrait éventuellement résoudre son problème : un homme. Les cheveux noirs et un costume de dandy, l'inconnu était accompagné d'un chat et semblait errer lui aussi dans le labyrinthe. Hésitant un moment à s'avancer ou non Niahm se dit que le mieux était de se jeter à l'eau pour sortir d'ici au plus vite. Sortant donc de l'ombre elle se mit bien en vue et tendit légèrement son poignet en avant comme une invitation, espérant que l'homme en face d'elle comprenne et l'attrape pour la sortir d'ici.


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Mar 18 Déc 2012, 23:53

    « Pardon?» Bien que Lily-Lune ait la peau naturellement blanche comme la neige, elle pâlit davantage en voyant Jun ramasser tranquillement son précieux pendentif et le faire glisser entre ses doigts, visiblement très satisfait de lui et de ses paroles. Les mots qu'il prononçait résonnaient de façon bien cyniques et acerbes aux oreilles de la jeune femme qui demeurait muette et immobile, contemplant de ces grands yeux noirs le sorcier. Elle peinait à reconnaître l'homme du bal lors du mariage d'Aya et Koal. Certes, il était vrai qu'il l'avait débarrassé du démon qui s'évertuait à la poursuivre où qu'elle aille, mais il n'avait alors demander en échange d'une danse et avait même proposé son aide, en d'autre terme, il avait été correct, poli et s'était montré plutôt gentil. Et voilà qu'aujourd'hui, il avait entre les mains un objet d'une grande valeur que ce soit parce qu'il était fait d'or et de pierres précieuse ou car il était une attache sentimentale pour la Vénus, en plus de renfermer quelque chose qui n'était pas prêt à être dévoilé. Et il semblait prendre un malin plaisir dans ce jeu malsain. Discrètement, Lily-Lune se mordit la lèvre, hésitante entre plusieurs comportements qu'elle devrait adopter, mais elle n'était pas encore décidée à agir. Les mains tremblantes jointes devant elle, elle était pensive et troublée, se demandant ce qu'il entendait pas «sauver une troisième fois». Mais elle ne posa pas la question parce qu'au fond, elle ne voulait pas connaître la réponse. Dans un espèce de rire teinté d'énervement, elle soupira tout en tournant la tête, par dédain. Jun n'était pas un idiot, et il savait partir gagnant. Lily-Lune n'était guère de celles promptes à sortir facilement de ses gonds ni à user de violence dès la première contrariété, et elle ne tenait pas particulièrement à se faire remarquer lors de cette fête en l'honneur des nouveaux mariés. Bien qu'elle soit presque horrifiée des éventuels ragots qui pourraient circuler après le geste qu'elle se devait de faire, rumeurs qui redoubleraient lorsque les badauds sauront que la Vénus est depuis peu une femme prise.

    Lily-Lune fit par faire quelques pas de sa démarche habituelle, élégante, bien qu'on sente derrière la grâce des envies félines de sauter à la gorge de l'homme qui se tenait en face d'elle, un côté plus ténu de danger, mais bien présent. A nouveau, son regard était posé sur lui, deux perles, deux poignards, et elle ne la lâchait plus de ces yeux, soutenant les siens sans faillir. D'une voix douce, elle murmura tout bas : « Je suppose que vous êtes particulièrement fier de vous ? Il est vrai que je devrais presque vous applaudir, à croire que le destin a choisis que vous serez mon sauveur pour le meilleur comme pour le pire.» Quelques passants regardaient l'étrange scène avec des gros yeux, ralentissant le pas pour mieux observer et voir ce qui pouvait bien se passer entre ces deux êtres. Lily-Lune tâchait de les ignorer même si elle redoutait plus que tout l'arrivée imminente de Caleb avec qui elle voulait parler un peu pour lui dire ce qu'elle avait sur le cœur. Un comble que d'officialiser une relation avec un homme alors qu'elle allait en embrasser un autre d'un instant à l'autre. Lily-Lune préférait vraiment que ceci ne s'ébruite pas trop. Et face à Jun, des phrases plus ou moins sarcastiques, toujours polies sur la forme et moins sur le fond caché, lui traversaient l'esprit, mais elle pouvait décemment pas les prononcer. Elle se contenta d'ajouter : « J'espère que vous ne comptez pas non plus me poursuivre dans le labyrinthe pour un nouveau round.» Et en souhaitant ne pas lui avoir donner de mauvaise idée. Ainsi, elle n'ajouta pas qu'elle était attendue, c'était le genre d'argument qui ferait surement que ce drôle de personnage chercherait à la trouver. Auquel cas, si elle n'avait pas réussis à courir assez vite pour s'enfuir, elle préférerait le service.

    « Pour information, puis-je savoir ce que vous me demanderiez la prochaine que vous me viendrez en aide, si tant est que ce jour arrive encore une fois? Étant donné que j'ai l'impression que vos tarifs sont de plus en plus chers.» Lily-Lune allait définitivement éviter les mariages. Et si la Vénus était soudainement bavarde, ce n'était pas tellement parce qu'elle avait énormément de choses à dire à cet homme, mais plutôt parce qu'elle repoussait le moment fatidique. Elle n'avait jamais aimé le contact avec les hommes. Même une poignée de mains. Et voilà qu'elle se voyait dans l'obligation d'embrasser un homme car il était entrer en possession de son médaillon dans un lieu trop exposé pour qu'elle use de force magique. Et un tel scandale serait très certainement mal vu. Même s'il risquait d'en avoir d'autres. La gorgée serrée elle finit par dire : « Montrez moi ce que je mérite.» Histoire de rire un peu. Et elle approcha son visage de celui de Jun pour déposer ses lèvres sur les siennes tout en glissant ses mains dans dans l'une de ses paumes, celle où il avait son pendentif, pour, évidemment, le récupérer. Et éventuellement mettre fin le plus rapidement possible à ce baiser. Il ne devrait pas résister, il avait ce qu'il voulait après tout, même s'il demeurait maître de la situation. Et elle répugnait cette pensée, cette position de faiblesse.
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Mer 19 Déc 2012, 17:30

Assisse sur son bureau dans le palais des Orishas à Megido, Lison regardait tout son courrier. Que des choses déplaisantes et ennuyeuses. Hélas, en tant que représentante de la liberté, elle était bien obligé de passer par là. Elle aurait put déléguer ce boulot à quelqu'un d'autre. Le problème, c'est que tout son courrier avait déjà était trié par quelqu'un d'autre justement, et que cette tonne de courrier était les choses les plus importantes à lire par elle même . Elle n'osai même pas s'imaginer tout le courrier qu'elle devait avoir en réalité.

C'était donc entre deux soupirs d'exaspérations qu'elle tomba sur un jolie carton d'invitation au mariage de Clauwitz. Une mine intrigué étira les muscles de l'orishala. Un mariage de vampires et elle était invité ? Une fois la surprise passé, un sourire la remplaça. Cette invitation lui faisait plaisir. Elle avait déjà rencontré cet homme qui ne manquait pas de classe ni de charisme, lors de la reconstruction de Megido. C'était un homme droit et juste et le voir rester célibataire toute sa vie aurait été étrange et inquiétant. Il était donc évident qu'elle viendrait. D'une part, parce qu'elle respectait largement cet homme et que ça lui ferait plaisir de le revoir. Mais aussi et avant tout parce que venir au mariage d'un haut vampire qui avait des chances d'accéder au trône des vampires était une action de réconciliation avec ce peuple. En effet, il avait quelque jour encore, elle avait du éliminer les derniers vampires survivants du gang de megido qui s'étaient établie cette fois, dans le forêt aux milles clochettes. Il était donc urgent que les relations entre vampire et Orisha se pacifient au plus vite s'ils ne voulaient pas voir un nouveau soulèvement rebelle. Un pacte d'alliance aurait pût être envisagé si cela n'était pas bien plus compliqué que ça. Orishas et vampires se détestaient depuis toujours et il y aurait toujours quelqu'un pour s'opposer à cette alliance. Pire, une potentielle alliance pourrait provoquer des soulèvements bien plus important que l'attaque de Megido. Non, Lison viendrait seulement pour prouver qu'elle et son peuple font des efforts pour prouver que malgré les conflits passés, les deux peuples pouvaient toujours se respecter.

~~

C'est ainsi que le jour J elle se rendit au château Malkavian dans son éternel et même tenue : son short à multiple poche qui aujourd'hui était vert pâle et d'un corset noir. Une fois... ou plutôt deux, elle s'était mise en robe pour un événement spécial, dont son propre mariage et elle l'avait très mal vécu. On pouvait même dire que cela l'avait traumatisé. Elle était Orisha bon sang ! Et personne n'avait intérêt à lui dire quoi que ce soit sur sa tenue ! Les robes élégantes allaient parfaitement bien aux autres femmes, mais pas à elle.

Sunny n'était pas venu. Pas parce qu'elle lui avait interdit, ni même parce qu'il n'aimait pas les fêtes, bien au contraire. Mais parce que soit disant, il avait un rendez-vous important avec Chocolat, sa meilleure amie. Lison n'était pas naïve et soupçonnait bien des choses entre les deux tous jeunes adolescents. Cette pensée la fit sourire et elle se concentra sur ce nouvel environnement. Néanmoins, l'orishala n'était pas venu seule comme à son habitude. Cocoon, son nouvel Eshu de la guerre était venu avec elle et il marchait à ses côtés. La différence de tailles était surprenante, voir comique. Lison était relativement petite et Cocoon faisait plus de deux mètres. Soit 50 cm de différence. Or cela ne les empêchaient pas de s'apprécier. Ils se jetaient des regards complices mais ne parlaient pas encore. L'orishala n'était pas vraiment d'humeur à parler, mais plus d'humeur soucieuse et observatrice.

Tous les invités étaient donc réunis tout près du labyrinthe ou Clauwitz donnait un discours. Un jeu ? L'orishala qui n'avait pas fait appel à son côté enfant depuis bien trop longtemps à son goût s'en réjouissait déjà. Les hommes devraient alors chercher les femmes dans le labyrinthe pour les embrasser. Elle trouvait cela à la fois totalement poétique et malicieux. C'était l'occasion rêvé de faire la chipie. Cela faisait bien trop longtemps qu'elle n'avait pas pris le temps de jouer avec un homme. Quand soudainement, elle pensa à Shizuo. Il avait sûrement été invité lui aussi. Cette idée l'inquiéta. Pas parce qu'elle ne voulait pas qu'il soit là...quoique. Mais parce que s'il était là et qu'il ne la trouvait pas ou qu'il trouvait quelqu'un d'autre... ou que... C'était ainsi qu'elle commença à se faire un tas de films dans la tête. Pourquoi ? Pourquoi avait elle pensée à lui ? Pour l'instant, elle ne le voyait pas et c'était temps mieux. Elle s'efforça de baisse la tête, de fermer les yeux.
*Pourvu qu'il soit pas là, pourvu qu'il soit pas là * se répétait elle. * Et puis Lison s'il est là tu l'ignores !!!! c'est claire ?!! Il y a des tas d'hommes ici et très séduisant en plus. Ce réprouvé n'est pas ta propriété. * s'auto persuada-t-elle. Ah c'est beau l’auto persuasion....

Vint enfin l'heure aux femmes de pénétrer dans le labyrinthe. Un peu inconsciemment, elle laissa toutes les autres femmes passer avant elle. Avec ce monde en moins, peut être finirait elle par apercevoir l'homme dont elle était encore amoureuse. Cependant, elle vit Cocoon lui lancer un regard interrogatif. Peut être devait il se demander à quoi elle était en train de penser ou qu'attendait elle ? Un petit rire nerveux s'échappa entre ses lèvres. Elle s'approcha ensuite au plus près de son Eshu pour qu'il soit le seul à entendre ses propos :

    « Evite de m'attraper. Toi tu pourras me voler un baiser quand tu veux... profite du jeu ! »

Sur ce, elle fila dans le labyrinthe, s'efforçant de ne pas regarder le reste des hommes de peur de tomber sur... *Ne pense plus à lui ! m*rde ! *. Elle marcha de longues minutes et ne croisa qu'une jeune fille qui semblait chercher une cachette. Puis, elle entendit enfin les hommes arriver. C'est alors qu'elle se demanda s'il elle devait se cacher, fuir, où venir embêter les hommes. Le mieux était sans doute de jouer et faire tourner en bourrique un ou plusieurs pauvres hommes. C'était tout à fait son genre après tout !

Bien vite, elle entendit des pas bourrus arriver vers elle. Un homme ! A n'en pas douter. Elle s’apprêta à aller à sa rencontre pour savoir qui s'était et éventuellement le forcer à la pourchasser. Mais elle en fut incapable. L'idée que Zélèph était peut être en train de trouver une autre fille et …bref, cela la faisait bouillonner. Sous l'effet de l'angoisse alimenter par la jalousie, Lison fuit l'homme qui n'était plus qu'à quelques pas de là.

Lison jalouse, en voilà une bien mauvaise nouvelle pour elle ! Elle avait tellement envie de se foutre des baffes et extirper ce sentiment néfaste et puéril qui la détruisait. Mais elle n'en avait pas le pouvoir. Tout ce qu'elle faisait à l'heure actuelle, était de chercher, telle une lionne affamée, sa proie. En l'occurrence Zélèph. Elle savait très bien que c'était aux hommes de faire ça, mais que voulez vous... Elle était dans un état second, comme à chaque fois qu'elle savait le réprouvé être non loin d'elle. Autant, lorsqu'il n'était pas dans les parages, elle arrivait à ne pas trop penser à lui. Autant lorsqu'il n'était pas loin... c'était une autre histoire.

Ainsi, de longues autres minutes s'écoulèrent à croiser des femmes et à éviter tous les hommes possible, lorsqu'elle entendit des voix... sa voix. Son cœur fit un bond. Comme d'habitude, le réprouvé râlait de tout saoul. Elle s'approcha le plus possible de l'endroit où elle l'avait entendu mais s'assura de ne pas se faire voir. Elle l'avait cherché pendant tout ce temps, et maintenant qu'il n'était pas loin, elle n'allait même pas le voir... En fait, c'est parce qu'elle était persuadé que s'il la voyait là, il devinerait immédiatement qu'elle avait passé son temps à le chercher. Ce qui était vrai. Mais il ne devait pas savoir. Jamais.

Visiblement, il s'était cogné à un mur, mais Lison n'en prit pas note. Elle pensait déjà à autre chose : Une jeune femme. Une jeune femme s'approchait non loin de lui et l'orishala retint son souffle, s'efforçant de calmer son cœur qui lui, tentait par tous les moyens de se faire entendre de sa moitié.
*Ne l'attrape pas, ne l'attrapa * pria-t-elle à son ami. Elle était déjà en train d'imaginer son ami poser ses lèvres si désirable sur celles de cette pauvre filles. Une torture pour elle ! Mais avant que le Zélèph n'ait le temps de faire quoi que ce soit, ce fut le jeune femme qui s'enfuit. Elle au moins, semblait s'amuser comme une folle. C'est donc en voyant le sourire malicieux sur le visage de la grande gamine que Lison réalisa ces bêtises. Elle avait déjà embrassé Shizuo et elle savait qu'elle le pourrait encore. Elle n'avait pas besoin de ce stupide jeu pour ça. Et justement ce n'était qu'un jeu, Zélèph devait certainement se retrouver chaque soir dans le lit d'une femme. Pourquoi être jalouse maintenant ?

Dépité par tous ses sentiments qui lui pourrissaient la vie. Lison enfouit son visage dans ses mains, sans pour autant pleurer et s'éloigna de son ami. Elle ne savait pas s'il l'avait vu ou s'il la voyait partir et elle ne préférait pas le savoir. Maintenant elle chercherait une cachette et attendrait qu'un homme l'attrape...

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Mer 19 Déc 2012, 19:49

Résumé des posts :

    « Il est hors de question que moi, une Bélua renard, je me fasse chasser par quelqu'un que je ne connais pas ! »

    Kitsune n'avait absolument pas peur de faire monter le ton de sa voix, de sorte qu'elle soit entendue. Évidemment, personne ne lui répondit. Les mains sur les hanches, et le regard fiché vers le ciel, elle se sentait prête à conquérir le labyrinthe tout entier, comme une guerrière des temps anciens. Kota, juste à côté d'elle, décida de prendre une taille plus grande que celle d'un simple louveteau. Il fit en sorte que la hauteur de ses pattes correspondent à son souhait, soit arriver à l'épaule de Kitsune. La jeune Reine lui gratte doucement le bout du museau, et se mit en route gaiement, dans sa longue robe banche qui malheureusement ne lui permettait pas de courir. Kitsune, fermement décidée à faire ses preuves, poursuivit la conversation :

    « C'est vrai quoi, Clauswitz est bien sympathique, mais il ne m'a pas garanti que j'allais être attrapée par un homme plus fort que moi ! Je refuse d'être la proie d'un imbécile, ou d'un faible. » Kota émit alors un petit grognement, que la jeune femme sembla comprendre parfaitement. « Mais non, je ne méprise pas les personnes qui ne sont pas très fortes. Je ne veux juste pas être entre les mains de n'importe qui, tu peux le comprendre ça, non ? »

    Kota ne répondit rien, n'en ayant pas la possibilité. Il du en revanche subir une étreinte virulente de la jeune femme, qui lui avait sauté au cou. Ils se remirent en route sur ses joyeusetés. La jeune Reine, dont la magie était très développée, et les sens affûtés, sentait que le labyrinthe regorgeait de sortilèges et pouvait offrir maintes farces. Il lui semblait d'ores et déjà sentir quelques lianes qui au sol se faufilaient derrière elle. La Renarde se retourna vivement, et d'un coup de pied valeureux rejeta vers l'arrière des bulbes qui lui fondaient dessus. Elle atterrit jambes fléchies, et poussa vivement une impulsion vers l'avant, de sorte qu'elle et Kota s'en aillent loin de ces plantes pugnaces.

    « Haha... C'est parti, Kota ! »

    Le loup parti devant, comme le lui avait demandé indirectement sa maîtresse. Il saurait trouvé un chemin sûr et direct au moins là où il n'y aurait point de saletés magiques. Kitsune quant à elle bataillait à présent avec un Hortensia fort agressif. Elle n'aimait pas vraiment ça, mais elle du faire jaillir une flammèche de ses mains pour que la plante la lâche. L'hortensia ne fut brûlé que d'une feuille, heureusement. Un Bélua se devait de respecter la nature en toute circonstance, cela allait de soi, et c'était une question d'honneur !

    Kota la mena dans des petites allées jonchées de fleurs bleues. C'était très joli, Kitsune s'arrêta pour en humer le parfum. Leur pollen avait une odeur malheureusement pestilentielle, à la grande surprise de la Bélua. Elle ne pu s'empêcher de lâcher un « beurk » assez sonore, qui lui valu de plaquer ses mains contre sa bouche. Elle devait se faire bien plus discrète maintenant, d'autant plus que bien qu'elle soit venue à un bal, elle avait trouvé le moyen de se battre. On ne perd pas ses vieilles habitudes, et ce n'était pas comme si elle détestait cela. Kota quant à lui, se tenait à bonne distance de ces gracieuses corolles grossièrement parfumées.

    Du bruit se faisait entendre. Kitsune fit vivement apparaître ses oreilles de renard sur le sommet de son crâne roux vif. Des hommes et des femmes se rencontraient, se croisaient, se titillaient. La chasse de Clauswitz était très appréciée, et la jeune Reine se demanda si elle ne devrait pas elle aussi organiser quelque événement festif à Dhitys pour la saison. Enthousiasmée par cette idée, elle reprit sa route, d'un pas vif et joyeux, mais lorsqu'elle voulut tourner dans une autre allée du labyrinthe, elle se heurta à quelqu'un, si bien qu'elle se retrouva au sol. Par terre, elle prit soin de remettre quelques mèches de cheveux qui lui bouchaient la vue en place, et leva le nez vers la personne qu'elle avait percutée. C'était un jeune homme, qui avait l'air relativement mécontent, pour une raison qui échappait encore à la jeune Reine. Bien que les fesses dans la poussière, elle s'écria comme une gamine excitée :

    « Aha !! Kota, nous en tenons un ! »

    Sur ces mots elle se redressa subitement, et s'épousseta la robe avec énergie. Une fois qu'elle parut présentable, elle posa ses mains sur ses hanches, et lança un regard de défi un tantinet malicieux à ce garçon. Kitsune semblait oublié que dans l'histoire, c'étaient les jeunes filles qui devaient être chassées, mais elle n'en avait cure. Elle voulait s'amuser un peu !
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Mer 19 Déc 2012, 20:17

« Pauvre homme, ce n'est vraiment pas de chance.... Je vous souhaite plus de succès pour la suite hi hi hi ! Au revoir ! »
Zéleph leva les yeux sur une gamine aux cheveux bleus. Son sang ne fit qu’un tour. C’était à cause d’elle qu’il était dans cet état ?! Et puis c’était quoi cette coupe ? Elle était tombée dans du colorant étant petite ?! Le réprouvé ce mit debout pour courir à sa suite, encore.
« Si je t’attrape ! »
Mais encore une fois il se fit semer. Le réprouvé jura tout son dictionnaire de mots assez violant et sanglant pour faire noircir les ailes d’un ange sans qu’aucun autre pêcher n’est à intervenir là-dedans. Très bien cette fois c’était clair, il détester les mariages et les enfants, ainsi il était certain qu’il ne fondrait jamais de famille, et heureusement car vue son vocabulaires la pauvre femme qui aurait dû élever les enfants auraient eu di fil à retordre. Tremper de la tête au pied, la poussière lui collant au vêtement et à la peau il ragea un instant en défaisant ses vêtements. Il était couvert de crasse. Ca allé faire très bien pour le bal qui devait suivre ce stupide jeu. Il verrait bientôt dans les rumeurs : « Les réprouvés son tellement pauvre que même le roi n’a plu de quoi s’habiller correctement. ». Toute cette male chance était dû à quelque chose. Son destin était mal fichu, son karma catastrophique, son horoscope lamentable, les planètes aligner dans le mauvaise axe et sa force intérieur pour combattre tout ça, proche du néant. Retirant jusqu’à sa chemise qu’il se mit à essoré en marchant, laissent derrière lui une longue trainer d’eau. Quand il la remit elle n’était plus qu’humide, mais elle était toute froisser, autant dire que c’était fichu. De toute façon il détester aussi les costume et les chemise, on était tellement serré là-dedans, il n’y avait de la place pour rien. Était-ce l’eau qui avait faire rétrécir le tissus ou la pierre qui avait fragilisé le tissu, en tout cas quand il chercha à fermer la chemise celle-ci ce craqua soudainement dans un grand bruit. Zéleph ce paralysa, stoppant brutalement a marche.
« m*rde ! »
Cette fois s’en était trop, il enleva le vêtement mit en lambeau et le jeta par terre dans une crise de rage. Le prochain qu’il croiser homme ou femme il devrait courir vite par ce qu’il lui fallait quelqu’un pour se défouler et vite ! Jeu du sort ou du destin peut importer puise qu’il Prit deux fois le même virage, tournant irrémédiablement en rond pour finir par apercevoir quelqu’un. Cette fois c’était la bonne ! Accélérant il attrapa le bras fin, qui devait surement appartenir a une femme avant de le tiré doucement. Lors ce que son regard croisa le sien toute colère s’évapora comme par enchantement.
« Lison ? »
Ce n’était pas que la voir dans ce genre de fête le surprenait après tout elle était autant souveraine que lui et donc être inviter à un mariage de cette hauteur n’était pas surprenant, non c’était plutôt le hasard de tomber sur elle après toute les épreuves incongru qu’il venait de traverser. Sans ce rendre compte le réprouvé prit dans ses bras la jeune femme pour la serré contre lui. Quel soulagement de la trouver là, elle aller le sauver, car oui à force il se disait bien quelque chose clocher et qu’on devait l’aider à sortir d’ici avant que ce labyrinthe ne finisse par le tuer. Quoi qu’il pouvait encore voler, mais vous savez quand on est comme le réprouvé on ne pense pas à ce genre de chose, tellement évidente que ça en est dérisoire.
« J’ai cru que je ne croiserait jamais personne. Heureusement tu es là. »
Ce redressant pour la laisser respirer il lui sourit. Sur tout qu’il était toujours aussi mouiller et qu’il venait d’en profiter pour lui faire partager cette refroidissante expérience. Vue l’état dans lequel il était on pouvait bien ce demander si il n‘avait pas traversé un champ de mine ou le parcoure du combattant, les bras attacher et les yeux bander.
« Je jure tous les Dieux que n’ai jamais était aussi heureux de te voir. »
Et c’était encore peut dire. Lison était la plus proche de ses amie, elle était même plus que cela pour lui, c’était très dure à définir. Elle savait tout de lui, elle connaissait tous, elle était même la seule à avoir rencontré Aaron. Ce n’était d’ailleurs pas faciles pour lui d’entretenir une relation avec elle car elle le rattacher a son passer et irrémédiablement a l’amour qu’il avait perdu. Voir Lison était toujours un immense bonheur suivit d’une douleur lancinante au niveau de la poitrine, mais il n’aurait pu lui avouer cela, il tenait trop à elle pour la faire souffrir. Après tout il n’avait plu quel et il aurait tout fait pour la protéger, absolument tout.

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Mer 19 Déc 2012, 20:54

Résumé:

« Comment peut-on aimer se faire pourchasser ? C'est absurde comme règle du jeu, absurde de chez absurde ! Rha, vraiment Anna je t'aurai ! Oui, je t'aurai ! » Elle râlait toujours et cela ne faisait pas bonne figure sur la figure de cette demoiselle. D'ailleurs elle leva les yeux vers le ciel. « Ah, Phoebe, si seulement tu pouvais m'aider ... À me sortir de là, tu serais bien clémente et dévouée pour une fidèle comme moi ! » Elle continuait de marcher tout de même, ne courant plus. « Je n'ai plus envie de courir, c'est ... Embêtant, si ce n'est plus. » Alors elle déambulait désormais dans le labyrinthe. À de nombreuses reprises elle croisa des couples qui se formaient, du moins l'homme les avait juste trouvées. Chose étonnante, elle croisa à un détour une femme rousse qui attrapa d'elle-même un homme. Ah ! Quelle bêtise !

L'irritée bélua fit des tours et détours sans cesse. Il y avait des indications partout, des flèches, des traces, des peintures. Néanmoins, cela menait toujours au même trou ! C'est à dire, rien. Il n'y avait pas la sortie. Toutefois, si une des femmes arrivaient à sortir du labyrinthe, y aurait-il une récompense bien plus importante que le baiser d'un homme ? En parlant de baiser, Ophalee n'était pas pour. Elle rejetait cette idée de devoir poser ses fines lèvres sur celles d'un autre, si en plus elle ne le connaissait pas ! Au mieux, elle lui devrait quelque chose, autre chose qu'un baiser et autres choses que l'homme pourrait penser ...

Le labyrinthe était marrant. Il y avait des animaux qui apparaissaient parfois et s'approchaient de Ophalee. Elle les virait à chaque fois ! Elle était d'humeur bougonne et surtout méchante. Oui, méchante ! Car ce jeu était méchamment pas marrant !

Quelqu'un était là ... Quelqu'un la suivait. Alors elle retrouva les pans de sa robe, les tenant en mains et se mit à détaler les couloirs de droite à gauche jusqu'à perdre haleine. Elle ne voulait ni donner baiser, ni donner gage. Elle ne souhaitait qu'assister au fameux mariage sans qu'on vienne l'importuner pour une danse car cela allait de soit : elle ne savait évidemment pas danser ! Et cela serait très très gênant si son cavalier venait à remarquer ce défaut, surtout lors d'un mariage. Bien sûr que Anna lui avait montré quelques pas, notamment ceux de la Valse qui étaient les plus simples, mais cela ne suffisait pas ! Du moins, c'est ce qu'elle pensait puis elle verrait bien après tout.

Devait-elle prendre forme animale pour faire fuir l'étranger ? Non, ce ne serait pas du jeu, même de l'anti-jeu !

« Je ne te conseille pas de te mesurer à moi ! » Dit-elle solennellement.

Elle s'arrêta car elle trouvait cela finalement ridicule de courir à tue-tête. Ce n'était pas elle le gibier, c'était plutôt lui. Ophalee se retourna brutalement alors, faisant face à une ombre dont le visage n'apparaissait pour l'instant pas.

Si la bélua avait voulu convaincre le rival qu'elle se faisait, sa menace ne semblait pas avoir eu d'impact ! Voyant qu'elle faisait peu d'effet, elle se remit soudainement à courir sans attendre une seconde de plus car elle en avait déjà assez perdues. C'est agaçant, agaçant, agaçant ... Rha ! La bélua reprit son rôle de gibier avec un arrière goût d'amertume.

Résumé de ce Rp:
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Jeu 20 Déc 2012, 10:17

Le sorcier avançait dans le dédale végétal tout en se massant la tempe. Le problème de ce genre de jeu, c’était qu’il ne correspondait pas au sorcier. S’amuser était à ses yeux quelque chose de peu possibles dans les circonstances qui accompagnaient son existence. Le mal de tête qui avait pointé son nez, c’était installé correctement et c’était coup de douleur vivace qu’on martelait son crâne dorénavant. Il devait réfléchir à une parade pour échapper à tout ça, mais malgré son envie, son mal de crâne empêchait toute tentative de réflexion posée. Il tournait depuis un moment et même s’il avait évité déjà pas mal d’attroupements, il allait forcément tomber sur quelqu’un. Il se souvenait de Zéleph qui le sermonnait encore avant d’arriver.

Val, cette fois ce n’est pas n’importe quoi ! Alors s’il te plait ne fais pas de conneries, ne fais pas tout cramer, ne tue personne, ne fais pas d’accidents ou je ne sais quoi encore…Avec vous, les sorciers, je m’attends toujours à qu’on m’annonce la fin du monde demain ! J’espère que tu as compris.

Il réprima un sourire. Depuis la signature de contrat, ils se suivaient comme un corps et une ombre. Son humeur n’était pas au rendez-vous, il pouvait cependant faire un effort pour le Roi des Réprouvés. Tout en passant les croisements et divers petits pièges du labyrinthe, il arriva dans une allée gigantesque, elle s’élançait sans vouloir jamais s’arrêter. Fronçant les sourcils, le sorcier grogna. Foutue magie. Il passa sa main dans l’air et ne rencontra rien. Il s’avança un peu et il ne se passa rien. Ça sentait le roussi, indirectement son instinct disait que c’était dangereux. Le sorcier ne pouvait qu’avancer, retourner sur ses pas l’amènerait forcément à une rencontre. Valkan soupira de désespoir. Pourquoi avait-il accepté l’invitation de Zéleph ?!
Il se mit en marche, avançant prudemment, scrutant avec difficulté tout le couloir, son mal de tête ne rendait pas la chose aisée. Au fil de ses pas il attendait à ce qu’il se passe quelque chose, mais rien ne vint. Il marcha comme ça pendant deux minutes alors que l’allée semblait toujours interminable, finalement en engageant son pied sur le sol, il y eut une sorte de déclic. Un branche gigantesque émergea d’un fourré, elle s’étendue si vite que le sorcier ne vu qu’un éclair vert. Elle heurta le dos du sorcier pour projeter son corps à toute vitesse dans l’allée. Perdant ses moyens il se retrouva après quelques longues secondes, le corps encastré dans la haie qui fermait l’allée sur un virage. Il se maudissait en cet instant, il se dégageait et hurla de rage tout en fixant le ciel. Pourquoi on s’acharnait contre lui ? En colère et enragé, il se mit à avancer relativement vite, ne faisant plus attention à quoique ce soit, son mal de tête le rendait encore plus irrité.

Au détour d’un passage il heurta quelqu’un. Il n’avait rien vu venir et vu son allure, il n’aurait pas eu le temps de réagir. Le choc ne fut pas trop violent, au vue de sa taille, le sorcier trouva rapidement un appui en arrière et s’évita de tomber. Il allait clairement devenir fou dans cet endroit. Se rappelant les paroles de Zéleph, il grogna avant de porter son attention sur la personne qu’il avait bousculée. Posant son regard d’or sur la pers…C’était une adolescente. Super, là c’était le pompon. Elle avait un visage gracieux, des cheveux orange-vif et un regard de braise. De plus elle paraissait assez jeune. Le sorcier prit une grande inspiration tout en se répétant mentalement comme un mantra d’être gentil.
Il en avait marre et sur le coup ça devenait ridicule. Se redressant de toute sa hauteur, il tenta de sourire, un sourire forcé qui lui donnait une tête étrange. Elle le regardait avec un air espiègle, les mains sur les hanches comme par défi. Oui ils en avaient trouvés un…Rah, malheur.

Ecoutez, je ne suis pas très calins, ni bizous, je ne vous connais et je n’embrasse pas des inconnues assez jeunes pour être ma fille. Je suis…Désolé de vous avoir bousculé, est ce que cela vous dérange si je reprends…

Il parlait dans un murmure d’une voix qu’il voulait légère, mais qui était gutturale. Le « désolé » qu’il avait lancé semblait lui avoir écorché la bouche, mais il essayait quand même de faire des efforts…Ou pas. Le sorcier ne voulait pas joué à ça. Il souffla de dépit, et arrêta de sourire en fixant avec force la jeune fille face à lui.

Bon, ça me réussit pas de jouer un rôle qui n’est pas le mien, j’ai été trainé de force ici, je ne connais pas les mariés ni qui que ce soit ici, juste le Roi des Réprouvés, sur le coup je tombe sur une adolescente et je n’aime pas les jeux. Je m’appelle Valkan et j’aimerais savoir ce qu’on fait ?

Résumé : Valkan et Kitsune sont tombés l'un sur l'autre en se rentrant dedans. Reste à savoir ce qu'il va se passer ensuite. J'espère que c'est assez fun pour toi Kitsune.
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