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 | Description des Terres d'Iyora |

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Mitsu
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◈ YinYanisé(e) le : 07/07/2005
Mitsu
Mer 13 Juin 2018, 13:07


Crédit : Environment concept art by Christian Dimitrov
Texte par I&I et Ezechyel
Les Terres d’Iyora

Ijhẹrrà en Naciaze; Arymë en Hyriël, les Terres d’Iyora sont, à l’aube de l’Ère de la Conciliation, une nouvelle terre d’accueil pour les Anges et les Elfes à la suite du départ de plusieurs individus de ces peuples des Jardins de Jhēn et de Melohorë. En effet, les gouverneurs de ces terres sont l’Aslak Aerin Elfinleth et l’Olori Nathanaël Ivanhnoé. Ce dernier, avec l’aval royal de feu l’Apakan Asriel, a initié les explorations menant à l’annexion de ce territoire vierge afin de construire une nouvelle cité pour les Ailes Blanches. Dans un objectif d’aide, de développement et de protection, les forces militaires angéliques ont obtenu le mandat de soutenir l’Archange dans son ambition, aidées par des volontaires appartenant aux peuples des Magiciens, des Humains et des Ygdraës. En échange de leur aide, les Elfes ont revendiqué une partie du territoire, qu’ils ont obtenu à la suite de leurs propres expéditions. C’est ainsi que s’est établie une communauté cosmopolite au cœur d’une région riche en ressources et vaste en espace.

~ Lien des explorations angéliques et de l’annexion des Terres d’Iyora ~

Ainsi, le territoire d’Iyora se scinde en cinq zones distinctes : les Montagnes de la Jēnne, complètement au nord; la Vallée des Croisements, qui correspond au territoire de l’ouest; la Jungle de Vinyarië, qui envahi l’intégralité de la zone est de la région. Au sud-ouest s’étendent les Champs d’Æia et sur la côte nord-ouest, en surélévation au-dessus de la mer, se tiennent les Rochers des Sept Sentinelles.

Terres aux multiples visages, les habitats du territoire sont diversifiés. Les escarpements rocheux des Montagnes de la Jēnne peuvent sembler austères en raison des pentes abruptes et des pics enneigés qui en font leur image. Cependant, une fois que l’on observe les pieds de la chaîne, il est possible de noter une richesse floristique aussi grande que variée. En effet, le territoire investi par les colons angéliques et ygdraëens est parcouru par de nombreux cours d’eau qui prennent leur origine dans les Montagnes de la Jēnne. S’entrelaçant à travers le diaporama, se faufilant entre les inégalités du relief défini par l’orographie du bassin versant de la Vallée des Croisements, ces cours d’eau sont à l’origine de l’éclosion de la végétation florissante et de l’établissement de plusieurs espèces fauniques dans la région. Ainsi, si les rivières, à l’est, convergent jusqu’au Lac Oromë, celles de l’ouest se rejoignent plutôt dans un confluent plus large au sein même de la Citadelle Doka avant de se jeter dans un affluent : l’Olēsse, littéralement traduit en langue commune sous le nom de « la Véloce. »

Affublé de cette appellation par la population locale en raison de son fort débit, ce long cours d’eau fend le territoire d’ouest en est en séparant les deux pôles de la contrée. La Véloce parcourt ainsi les Terres d’Iyora sur plusieurs kilomètres avant d’être brusquement interrompue par la Falaise des Grandes Eaux, s’altérant du même fait pour devenir une importante cascade qui se jette dans une rivière au courant impétueux.

Appelée Sōls – la Déchaînée en Naciaze –, cette rivière est reconnue à travers la région pour son fort courant et l’instabilité des galets qui forment le fond de son lit, emportant les plus imprudents qui tenteraient de la traverser sans un minimum de préparation. Cela étant dit, une fois perdue à travers la Jungle de Vinyarië, le courant de la rivière tend à diminuer et à s’affaiblir, rendant alors sa traversée bien plus aisée qu’aux pieds de la cascade. Ainsi, la Déchaînée termine son voyage à l’intérieur du Lac Oromë, dont l’eau calme permet aux embarcations et autres vaisseaux maritimes de rejoindre la Cité elfique de Fahorë depuis la Mer de Cristal.

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Mitsu
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Mitsu
Mer 13 Juin 2018, 13:09


Les Terres d’Iyora

Comme mentionné plus haut, les Terres d’Iyora comprennent cinq grandes zones, bien distinctes les unes par rapport aux autres. Pour une meilleure visualisation du territoire, voici une carte qui représente de manière plus ou moins exacte la localisation de chacun des éléments de la région (ce n’est pas à l’échelle) : ICI.


Les Montagnes de la Jēnne

Tout au nord du territoire se trouve les Montagnes de la Jēnne, une grande chaîne de monts qui sillonnent les cités angélique et elfique en plus de former une délimitation territoriale naturelle pour les Terres d’Iyora. Le plus impressionnant et haut pic de la chaîne – l’Ànemsa (« Espoir » en Naciaze), appelé également le Mont d’Albe – a été colonisé par les Anges qui en ont fait un emblème religieux, un symbole de Force, d’élévation, de piété et de dépassement. En effet, nombreux sont les croyants à participer à des pèlerinages sur le flanc de cette montagne, désireux d’en atteindre le sommet, y cherchant la paix en méditant tout en surmontant les conditions relativement dures de l’écosystème alpin. Si l’ascension n’apporte rien en soi, il s’agit néanmoins d’un important surpassement ainsi que d’un instant tout à fait intime durant lequel les mortels ont l’impression de se rapprocher des Ætheri et des Ancêtres plus ils avancent jusqu’au sommet de l’Ànemsa. Car, selon les croyances, il serait possible d’apercevoir les Ancêtres, esprits des morts, qui descendraient sur terre à l’entente des prières et des bénédictions qui leur sont faites par leurs proches et leurs descendants.

Cela étant dit, outre l’aspect religieux, le Mont d’Albe et toutes les autres montagnes composant la chaîne sont également des terrains de prédilection pour les chasseurs aguerris, qui pourront retrouver, au cœur de ces cimes enneigées, de quoi se sustenter et offrir à la population. Pour les amateurs, une auberge, aux allures de fortification, a été bâtie au cœur des montagnes pour leur offrir gîte et repos durant la nuit : cet établissement porte le nom Dōrbarío.

Le milieu est également un habitat privilégié par une multitude d’espèces, dont :
- Les bouquetins
- Une panoplie de rongeurs
- Les grands rapaces, comme les harfangs des neiges, les faucons, etc.
- Les Ienus polaires (Arrogants, sauvages, violents, vivent en groupes)
Crédit : Ninetales by Jaqueline Florencio
- Les Iwōban (Fiers, rapides, indépendants, bagarreurs)
Crédit : 2015_creature design by Qi Zhuang
- Les lézards d’Albe (Bagarreurs, gloutons, peuvent voler, vivent en groupes)
Crédit : Winter Wyrm by Luka Trkanjec

La Vallée des Croisements

Le bassin versant de la Vallée des Croisements est la base même de tout le territoire occidental d’Iyora, dans le sens où c’est dans le creux de ces vallons qu’a été développé l’écosystème de la région : aujourd’hui, la Citadelle Doka en couvre presque toute la superficie. De ce fait, le courant des cours d’eau, la topographie du paysage ainsi que le socle des Montagnes de la Jēnne ont tous été définis par le relief de la vallée, qui a su façonner, au fil des siècles et des millénaires, le diaporama que nous lui connaissons tous aujourd’hui. Mais pourquoi avoir affublé cette vallée d’un tel nom? Simplement en raison du nombre impressionnant de ruisseaux et de rivières qui en marquent le sol. En effet, à l’image d’un imposant réseau tentaculaire hydrique à travers l’écologie alpine, le bassin versant possède une faune et une flore riche et diversifiée, notamment en raison de son climat et de ses habitats favorables.

Au cœur du territoire, il est donc possible de rencontrer, entre autres :
- Des Ghimbli (Chapardeurs, inépuisables, rapides, espiègles)
Crédit : Creature Design - Griggies by Lip Comarella
- Des Koeran (Discrets, agressifs, chapardeurs. Leur pelage, habituellement noir, change de couleur selon la saison : caramel durant la saison Sisāme et gris-blanchâtre durant la saison Nyérë ei Estella)
Crédit : Foxes in winter (UE4) by Tyler Smith
- Des koalas d’Hurrile (Paresseux, curieux, discrets, vivent en groupes)
Crédit : koala by Ismael Nieto
- Des Piliums (Affectueux, hyperactifs, maladroits, ont la langue sortie presque le deux-tiers du temps)
Crédit : PORO HERDER by EsbenLash

Les Champs d’Æia

Au sud de l’Olēsse s’étend, sur plusieurs hectares, le territoire des Champs d’Æia. Vastes étendues de terre favorables à l’agriculture, notamment en raison d’un bon drainage naturel des sols, c’est également au cœur de ces plaines qu’il est possible de retrouver les célèbres arbres fruitiers d’Iyora : les Æia. Il s’agit d’un arbre fruitier aux couleurs singulières, particulièrement répandu dans les champs, dont les fruits (Æries) et les feuilles (Æraes) sont ponctuellement cueillis par les locaux afin de fabriquer du thé aussi sucré que le miel (le thé Wura), de la confiture ainsi que la boisson régionale d’Iyora : l’ambroisie. Néanmoins, la culture des Æia n’est pas l’unique source de revenue exploitée sur ces terres. Effectivement, il est possible de croiser plusieurs fermes agricoles sur le territoire, des familles cultivant des céréales, principalement le quinoa. Des pâturages ont également été aménagés de sorte à fournir la nourriture nécessaire pour les élevages de Nawele, de Miedoki zébrés ainsi que de poules de Sonoran.

Outre l’aspect ambré de ces paysages champêtres, les Champs d’Æia sont également connus pour la triste histoire qui s’est tenue en son centre. Effectivement, bien avant que les Anges et les Elfes annexent le territoire, il y avait une ville prospère, la ville Douëka, qui vivait en harmonie avec le peuple des Lesoviks de la Jungle de Vinyarië. Cependant, l’apparition soudaine et brutale des Goled sur le territoire amena destruction et désolation dans le petit village, qui fut rapidement dévasté par les assauts de la race parasite qui vivait, à l’insu de tous, dans les souterrains de la Caverne Ajanimogun. C’est pourquoi il est possible de retrouver d’anciennes ruines à travers les Champs d’Æia, vestiges d’un peuple et d’une culture orishas qui semblent être aujourd’hui perdus.

Finalement, les Champs d’Æia sont le refuge de plusieurs espèces animales, dont :
- Les Nawele (Patients, prudents, dociles, doux)
Crédit : Horned Markhor by megillakitty
- Les Miedoki zébrés (Dociles, bruyants, espiègles, vivent en groupes)
Crédit : The Okapanda by JoshuaDunlop
- Les poules de Sonoran (Territoriaux, carnivores, prétentieux, vivent en groupes)
Crédit : Chickenosaurus/ Dino chicken by Raph Herrera Lomotan
- Les Ienus (Arrogants, sauvages, violents, vivent en groupes)
Crédit : Realistic Ninetales by Jamaal Raoof
- Les Rossoe (Tranquilles, craintifs, timides, vivent en groupes)
Crédit : Muntkax Animal by Marcus Dublin
- Les Tory (Fructivores, libres, discrets, farouches)
Crédit : Dragon Horse Baby! by Tyler Smith

Le Port d’Iyora : Tranquille petit bourg côtier, le Port d’Iyora est une halte obligatoire pour tous les voyageurs débarquant sur la côte ouest des Terres d’Iyora. Là-bas, il est possible de rencontrer quelques marchands, des troubadours de passage, pendant que les militaires quadrillent la zone pour surveiller les débarquements. Pour les voyageurs nocturnes, quelques auberges seront prêtes à vous accueillir à toute heure de la nuit, afin que vous puissiez reprendre des forces pour la marche qui vous attend jusqu’aux portes de la Citadelle Doka.


La Caverne Ajanimogun : Pendant des temps immémoriaux, ce lieu s’agissait du berceau d’un regroupement de Goled qui n’avaient jamais senti le besoin de sortir de leurs souterrains pour embrasser la lumière de l’extérieur. Cependant, à l’Ère de la Conciliation, la race parasite quitta son domaine souterrain et marcha sur la ville autrefois située dans les Champs d’Æia. S’ils ont tout saccagé de la petite ville Douëka, ils ont recommencé à assouvir leurs instincts sauvages à l’arrivée du détachement des explorations angéliques.

Aujourd’hui, heureusement, les Goled ont définitivement été éradiqués des Terres d’Iyora et leur ancien domaine est désormais exploré au peigne fin par certains spécialistes pour y trouver de nouvelles ressources minières qui pourraient être exploitées par les locaux. Ces spécialistes travaillent et vivent – pour certains – à l’intérieur de la Tour Ecchun et collaborent avec les veilleurs de la tour qui surveillent consciencieusement les mers du sud.


La Falaise des Grandes Eaux : Alimentée par le fleuve de l’Olēsse, la Falaise des Grandes Eaux représente une importante cascade d’eau qui se jette dans la rivière Sōls située en aval. La chute forme une frontière naturelle entre la région alpine du territoire, majoritairement développée et exploitée par les Anges, et la région dominée par la forêt humide où vivent les Ygdraës en cohabitation avec le peuple des Lesoviks et les survivants de l’ancienne ville Douëka. S’il est tout bonnement impossible de traverser à pied cet imposant obstacle de la nature, un escalier de pierre a été construit sur la rive nord de la chute pour éliminer cette difficulté. Cet escalier mène donc de la Guérite de Súme jusqu’à la Jungle, où des militaires veillent à la circulation entre les murs de la Citadelle et la Jungle de Vinyarië. Sinon, d’un point de vue plus récréatif, les eaux de l’Olēsse sont un bel endroit pour les amateurs de pêche.

Ainsi, les animaux qui vivent à l’intérieur ou à proximité de ces zones hydrologiques sont principalement des poissons ainsi que :
- Des Azrea (Actifs, gloutons, bagarreurs, possèdent un pelage bleu)
Crédit : Water Otter! by Tyler Smith
- Des tortues de Juruka (Amicaux, curieux, tranquilles, gloutons)
Crédit : Turtle Sketch Study! by Tyler Smith
- Des Iskore (Grand oiseau pêcheur (3m d’envergure), vifs d’esprit, territoriaux, agiles)
Crédit : Crane Study by Tyler Smith

La Jungle de Vinyarië

Enfin, à l’est, le point le plus en aval des Terres d’Iyora, mais également le plus étendu en termes de superficie après les Montagnes de la Jēnne, est la Jungle de Vinyarië, où la concentration en arbres, en marais et en humidité fait de cet endroit le lieu le plus chaud et éveux de la région. Sillonnée par la rivière Sōls, dont plusieurs embranchements se séparent du lit principal, la Jungle de Vinyarië est également un endroit mystérieux et relativement inconnu pour la majorité de la population locale, notamment parce qu’elle a été volontairement boudée, un premier temps, par les éclaireurs angéliques qui, dit-on, se méfiaient de cette forêt plus qu’ils s’en interrogeaient. Les lianes et la canopée épaisse protègent et assombrissent naturellement le paysage environnant, donnant à la Jungle une allure sombre et particulièrement inquiétante.

Le soir venu, cependant, la Jungle revêtit une toute autre apparence sous des lueurs diffuses et légères d’améthyste. En effet, une fois le Soleil couché, l’ombre de la nuit étend son domaine, couvrant le territoire de son manteau obscur, et c’est à ces heures qu’un phénomène enchanteur et particulier survient : l’air et les arbres illuminent d’un doux éclat violacé qui éclaire légèrement le chemin des voyageurs. Cette lumière est produite par une particule, non-toxique, qui se trouve directement dans l’atmosphère de la Jungle et qui réagit comme des lumières fluorescentes.

De ce fait, avec la collaboration des Ygdraës au cours de la campagne d’exploration des Terres d’Iyora, il a été possible de découvrir les différents secrets que renfermaient la jungle, notamment celle de l’existence de la communauté de Lesoviks et de réfugiés orishas de l’ancienne ville Douëka. Berceau de ces hères qui ont pratiquement tout perdus, la Jungle de Vinyarië est désormais protégée par le peuple elfique qui a juré préservation et protection de la nature, mais aussi des peuples qui y vivent.

En termes de faune, il est possible de remarquer la présence :
- Des Selebÿe (Joueurs, discrets, rusés, vivent en groupes)
Crédit : Realistic Celebi by Jamaal Raoof
- Des Michö (Farceurs, insectivores, amicaux, vivent en groupes)
Crédit : Smurf Sighting by NateHallinanArt
- Des Valmorio (Tranquilles, insectivores, mesurent environ 50cm, possèdent une toxine qui cause des crises d’urticaire)
Crédit : - Léon - by Léa Gaudin
- Des Nnenverdi (Fiers, territoriaux, agressifs, vivent en harem)
Crédit : FlowerLions by Olya Bossak
- Des Sirgil (Violents, territoriaux, peuvent voler, cruels)
Crédit : Ushka by Olya Bossak
- Des Mämilhe (Carnivores, agressifs, indomptables, chasseurs nocturnes)
Crédit : Realistic Archeops by Jamaal Raoof

Le Lac Oromë : Au confluent de la rivière Sōls se trouve le grand Lac Oromë, principale source d’eau douce de la région. La végétation y pousse en abondance, notamment sur ses berges, et il s’agit de l’endroit privilégié des animaux qui désirent s’abreuver en toute quiétude. Le lac présente aussi de nombreux points de pêche pour les amateurs, qui pourront y traquer leurs poissons préférés, ainsi que des zones pour la baignade. Cela étant dit, depuis l’établissement du peuple ygdraëen sur le territoire, le Lac Oromë sert également de voie navigable pour les bateaux souhaitant rejoindre les contrées elfiques alors que, pour les visiteurs désireux de rejoindre la Citadelle Doka, les bateaux arrivent directement depuis l’Olēsse.

Ainsi, dans le premier cas, les bateaux quittent la Mer de Cristal et s’engagent dans l’exutoire d’Oromë. Par la suite, une fois à l’embouchure du lac, les navires sont inspectés et identifiés depuis l’une des forteresses de la Jungle – les Tours d’Archissiëm – avant d’avoir la permission d’entrer sur le territoire.


Les Rochers des Sept Sentinelles

Loin des terres, les Rochers des Sept Sentinelles sont d’immenses et d’imposantes structures rocheuses qui fendent la mer à plus de cinquante mètres au-dessus du niveau de l’eau. En réalité, ces grands blocs de pierre ont été sculptés finement pour qu’ils prennent les traits des seize grandes déités principales du territoire d’Iyora : Ahena; Delix; une sculpture représentant, entrelacés, les sept Dieux Vertueux; Phoebe; sa consœur Estella; Raanu; et une dernière figure à l’image de Déiopéa, Yaveäth, Babelsba ainsi qu’Hel’dra, la Déesse de la Conciliation.

Ces statues de roc font près de vingt mètres de haut et chacune des idoles présente une ouverture au pied de sa sculpture ainsi qu’une petite plateforme permettant à moins de dix personnes de s’y poster. L’ouverture fait moins d’un mètre de haut et un mètre de large. Elle est, cependant, suffisamment profonde pour que les fidèles de ces Ætheri puissent y déposer leurs offrandes sans que ces dernières risquent de s’envoler en raison des vents marins. Néanmoins, les processions pour rejoindre les Sept Sentinelles sont particulièrement rares et sont organisées uniquement pour des événements exceptionnels, comme durant l’Yndris, la fête de la Renaissance du Printemps. Autrement, les Sept Sentinelles d’Iyora font plutôt office de gardiens et de protecteurs de la nouvelle contrée angélique et ygdraëenne.



(Notes : Tous les animaux qui ont été listés dans cette fiche ne sont pas exclusifs à Iyora : les noms peuvent changer en fonction des peuples, et peuvent apparaître n’importe où ailleurs sur les terres du Yin et du Yang. Nous nous sommes seulement fait plaisir à répertorier quelques bestiaux qui nous tiennent à cœur, histoire de faire un petit bestiaire pour le territoire )


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Mitsu
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Mitsu
Mar 27 Oct 2020, 13:16



Informations

Qui peut fouler le territoire? : Tous les peuples des Terres du Yin et du Yang peuvent fouler le sol d’Iyora sans craindre quoi que ce soit du peuple en lui-même. Toutefois, les individus maléfiques, toutes races confondues, sont très peu tolérés sur le territoire et sont, pour la majorité, rapidement chassés. Quant aux Démons, c’est la mort immédiate dès qu’ils se font repérés.

Niveau de dangerosité :
■■□□□□□□□□ : Au cœur des cités angélique et elfique, personne n’a à craindre quoi que ce soit, puisque les militaires veillent à la sécurité des citoyens et des étrangers. Cela étant dit, si un individu est pris à agiter la population ou la menacer, le corps armé agit rapidement pour contrer les actions du dissident. Ce dernier sera alors jugé et, selon la gravité de son crime, le coupable subira une sanction pouvant aller de simples travaux communautaires à la peine capitale.
■■■■□□□□□□ : En règle générale, le territoire est sans danger depuis l’extermination complète des Goled, principale menace de la région. Cela étant dit, des territoires comme les Montagnes de la Jēnne ou bien la Jungle de Vinyarië ne sont pas des lieux à explorer innocemment : le climat, la faune ou la flore peuvent rapidement prendre le dessus si vous ne faîtes pas attention.
■■■■■■■■■■ : En raison du passif entre les Anges et les Démons, ces derniers ne peuvent pas s’approcher ou pénétrer les lieux sans se faire immédiatement éliminés et ce, peu importe la puissance du Démon. En ce qui concerne les individus étreint par de mauvaises intentions et/ou appartenant à d’autres races maléfiques, ils sont surveillés par les forces militaires en place et sont rapidement appréhendés, voire jetés hors du territoire, s’ils causent des problèmes : s’il y a récidive, les autorités les captureront et les élimineront sans hésitation.

Saisons : Généralement, le climat des Terres d’Iyora est frais et doux, un peu comme un automne éternel, si ce n’est les sommets, plus frisquet, des montagnes ou bien encore les forêts humides, près des principaux points d’eau en contrebas, qui s’apparentent à des jungles. Cependant, il est tout de même possible de distinguer deux périodes saisonnières sur le territoire d’Iyora :
Sisāme : saison de la fructification des arbres et du fleurissement des trentaines d’espèces végétales qui égayent le panorama de la région, Sisāme porte pourtant le surnom de « saison du Cuivre » en raison de la couleur particulière et frappante qu’arbore les fruits des Æia, un arbre fruitier particulièrement répandu à travers la région. Effectivement, lorsque les autres végétaux libèrent leurs couleurs chatoyantes et leur parfum envoûtant, les fruits et les feuilles des Æia, appelées respectivement les « Æries » et les « Æraes », portent pourtant une singulière couleur rouille qui tire sur le cuivré, donnant l’impression que les arbres sont faits de ce précieux métal. C’est à cette période que les citoyens des villes angélique et ygdraëenne sortent de leur cité-mère, en grand nombre, pour cueillir les Æries et les Æraes aux Champs, puisque c’est grâce à ces cueillettes qu’il leur est possible de fabriquer de la confiture, de la compote, de l’ambroisie, tandis que les feuilles servent principalement à la concoction du thé Wura.

Nyérë ei Estella : phénomène intermittent surnommé la « Tristesse d’Estella », Nyérë ei Estella pourrait s’apparenter à une saison des pluies, caractérisée par d’innombrables inondations des terres en raison du gonflement des rivières. Ainsi, pendant cette période de torrent et de quasi-tempête, le climat de la région se distingue par une atmosphère chaude et humide. À cette période, les vannes des canaux d’irrigation des cités, qui détournent quelques cours d’eau afin d’alimenter en eau potable la population et les parcelles agricoles, sont alors fermées afin de réduire au maximum les risques d’inondation à l’intérieur des villes et des terres.

Langues : Les langues officielles sont le Naciaze, la langue des Anges, et l'Hyriël, le dialecte elfique. Cela étant dit, considérant la nature relativement hétéroclite de la communauté vivant sur Iyora, le langage commun est plus souvent pratiqué au profit des autres dialectes raciales.

Économie : L’essor économique des Terres d’Iyora fleurit en parallèle au développement des colonies sur le territoire. S’il se fait beaucoup de commerce intérieur entre les deux cités-mères de la région, les produits sont également acheminés jusqu’aux autres villes angéliques et elfiques des terres du Yin et du Yang, l’ouverture du commerce chez les autres races étant aussi énormément valorisée par les responsables du territoire afin de relancer, notamment au mieux, l’économie du peuple des Ailes Blanches.

Ainsi, les deux villes possèdent un commerce propre à leur culture. Les Anges, par le biais des Champs d’Æia, pratiquent l’agriculture de céréales, notamment celle du quinoa, en plus d’entretenir les fruits et les feuilles des Æia pour confectionner leur thé au miel, communément appelé le thé Wura (le thé Doré), et l’ambroisie. Cette boisson pétillante commence peu à peu à faire son apparition dans les divers bâtiments et auberges du territoire, la liqueur ayant la propriété de redonner vigueur et force aux muscles fatigués. Vérité ou astuce de vente, on ne saurait le dire, mais on ne peut nier que l’ambroisie redonne un semblant de vigueur et d’énergie. Toujours dans les Champs d’Æia, trois élevages d’animaux distincts sont pratiqués : l’élevage de Nawele pour le lait et la fourrure; l’élevage de Miedoki zébrés pour la viande; et l’élevage de poules de Sonoran pour la viande et les œufs. Dans les Jardins Suspendues de la Citadelle Doka, la population cultive plutôt de la salade, des betteraves, des endives, des fèves ainsi que des myrtilles. Au sein même de la cité-mère, Nisāria, plusieurs activités économiques ont vu le jour, notamment celles sur l’exploitation de la soie et de l’argile. En plus, des religieux confectionnent et vendent des amulettes de protection, bénies à la suite de prières dédiées aux Ætheri des Vertus.

Les Ygdraës, quant à eux, cultivent les groseilles ainsi que les noisettes qu’ils récupèrent directement des arbres et arbustes de la Jungle de Vinyarië. Lors de la saison de Sisāme, ils participent également à la récolte de fruits des Æia pour confectionner de la confiture et de la compote d’Æries. Quelques éleveurs de chiens de chasse se sont également établis dans la Cité de Fahorë afin de répondre aux besoins des chasseurs qui voudraient s’attaquer à l’exploration des Montagnes de la Jēnne. Également, l’immensité du territoire forestier de la jungle a incité les Ygdraës à commencer l’industrie et le commerce du bois. Dans le respect de la pérennité de l’environnement, ils coupent et transforment le bois de la région. Si une partie de ces produits sont exportés, l’autre partie est conservée par les Elfes pour confectionner des instruments de musique, notamment des altos.

Sinon, de manière plus générale, la chasse est très prisée dans les hauteurs des Montagnes de la Jēnne afin de fournir un apport en viande et en fourrure quotidien aux habitants d’Iyora. Si l’Olēsse et la rivière Sōls sont des lieux favorables à la pêche, le Lac Oromë est néanmoins beaucoup plus apprécié par la population en raison de la tranquillité de ses eaux, qui en fait un lieu de prédilection.

Monnaies : En raison de la situation économique du peuple angélique, la monnaie utilisée est semblable à celle des Jardins de Jhēn, qui est constituée de pièces d’or et d’argent. Toutefois, entre eux, les Anges font du troc et réintroduisent, peu à peu, leur ancien système monétaire, le Ciranma, au cours de leurs échanges. Quant aux Elfes, ils utilisent leur propre monnaie, l’Ilsa, en plus de l’or et de l’argent pour leurs échanges.

Religions : Une fois de plus, la nature hétéroclite des communautés, majoritairement angélique et ygdraëenne, explique pourquoi la religion pratiquée au sein d’Iyora est aussi diversifiée. Chez les Anges, les cultes d’Ahena et des sept Ætheri des Vertus sont omniprésents. En importance moindre viennent les cultes de Delix, de Yaveäth, de Déiopéa, de Babelsba, de Cyriasa ainsi que celui d’Hel’dra qui prend, peu à peu, de l’ampleur. Pour les Ygdraës, les cultes primordiaux sont ceux de Phoebe, d’Estella, de Raanu et d’Hidenori. Plusieurs prières faîtes pour les Ætheri Dareios, Cyriasa, Yanna et Kennocha sont comptées parmi la population elfique. Si peu de temples se retrouvent sur le territoire, tous les habitants d’Iyora estiment que la pratique religieuse peut très bien se faire chez soi, avec un autel personnalisé, en tête-à-tête avec les Ætheri.

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