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 Les aventures d'une emplumée et d'un libéré[P.V Cocoonnet]

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Mar 12 Fév 2013, 22:28


Les deux jours que j'avais passés avec toute la petite famille m'avaient fait le plus grand bien, mais j'avais trouvé ça beaucoup trop court. Le lendemain, j'avais hanti du reprendre la route de la citadelle et il ne fut pas compliqué pour les autres de comprendre que je n’avais pas vraiment repris du poiles de la bête. Je commençais alors à vaguer a mes habitudes, si je peux dire, quand Kahel arrivait, visiblement avec quelque chose à me dire et son regard montrai clairement qu'il n'était pas vraiment content, je me demandais bien pourquoi d'ailleurs. J'attendis alors quelque instant, mais il restait silencieux, qu'est-ce qu'il l'avait bon sang ? Est-ce qu'il voulait m'annoncer une mauvaise nouvelle ?

-Nydelia dis moi, à quoi ça sers de prendre deux jours de repos, si quand tu reviens, tu sembles encore plus fatiguer avant ton départ. On dirait que tu à fait la faite ces deux jours, sans dormir entre temps ? Tu ne sais donc pas rester tranquillement chez toi un peu ?
-tu n'a qu'une fille, elle est en bas âge et en plus elle est relativement calme. Alors maintenant essaye d'imagine deux chipies, en pleine forme, décidant de passée un week-end a faire de la pâtisserie et à sortir dehors, alors c'est sympa et ça fait du bien, mais c'est tout sauf reposant.
-Je vois, alors je te propose quelque chose, tu pars un ou deux jours supplémentaires, après tout maintenant on est sept pour t'aider, je garde tes filles et toi tu pars avec l'Orisha faire un tour loin de la maison. Qu'est-ce que tu en penses, ce te fera réellement du bien cette fois.

Venait-il vraiment de me proposer de m'enfuir avec Cocoon pour deux jours supplémentaires ? Je n'allais pas dire non, souriant, je le remerciais et lui demandais de nous rejoindre quand tout serait prés. Je disparus alors rapidement pour rentrer à la maison. Les filles étant à l'école, je trouvais Cocoon dans le divan, plongée dans ses livres habituelles, mais totalement illisibles pour moi. Je m'approchais alors de lui pour faire passé mes mains sur son tors et lui déposer un baiser dans le cou pour lui signifier que j'étais là.

-Cocoon, est-ce que ça te dirait de passer un moment rien que tout les deux, sans les filles cette fois-ci ? Kahel va arriver pour « en occuper.

J'imaginais alors Kahel en train de gérée c'est deux furies quand elle reviendrait de l'école, je n'étais pas certaine que ce soit une bonne idée que ce soit lui qui aille les cherchés, bien au contraire. Du coup, je dis rapidement à Kahel d'attendre qu'elles aillent fini les cours avant de venir.

-Et vu que je tien à lui, il vaut mieux prévenir la nourrice, à moins que tu préfères le laissée se débrouiller tout seul bien évidément.

J'étais certaine que ça l'amuserait de le voir empêtré dans les ennuis avec les filles jusqu'au cou, submergée par leur bêtise et leurs caprices. Mais Personellement, je ne voulais pas l'épuisée non plus et du coup je préférais qu'il y aille quelqu'un d'autre pour le secondée.

-On à même pas pu profitée pleine de ces deux derniers jours et enfin, je crois que depuis que l'on est ensemble, on n'a jamais passé de réel moment rien que tous les deux.

J'avais mis toutes les chances de mon cotée pour qu'il dise oui, voix et regard qui supplie et pour couronnée le tout, j'avais utiliser mon nouveau don pour prendre la forme d'un chaton pour accentuée le regard suppléant. Si avec ça il ne craquait pas, je prenais la porte. Je m'installais alors sur ses jambes tout en baissant les oreilles et le regardant dans les yeux.


Nydelia A la fin du poste car oui elle reste comme ca sur tes jambes =>
Spoiler:
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Mer 13 Fév 2013, 07:35

La veille Cocoon rentrait de deux jours chargés et extrêmement épuisants. Il du souffler un peu et puis se rendit a l'évidence : il ne voulait pas que Nydelia se levé le matin et parte au travail à la citadelle. Mais malgré ses efforts, elle le quitta alors qu'il était dans un demi sommeil, et emmena les îles a l'école. L'orisha était clairement une feignasse et il aimait rester au lit en se réveillant paisiblement. En fin de matinée il jugea bon de se lever et Daemon aussi. Son amie était là a essayer de le tirer du lit alors qu'il ronchonnait.

-Fous moi la paix !


Cocoon se leva d'un bond, en repoussant le démon, avant de plonger dans son bain. Une fois propre et sec, il resta en petite tenue un moment avant de daigner se vêtir d'un pantalon et d'un débardeur. Le ventre remplis d'un repas, il s'allongea sur le divan, préférant tuer le temps en lisant pour aujourd'hui. Jusqu'à ce qu'il eut une visite surprise.

Nydelia passa l'encadrement de la porte et, il n'eut pas le temps de se redresser qu'elle lui déposa un baiser dans le cou, et se coucha sur lui. Posant son livre, il la regarda en souriant.

-Quelle bonne surprise ! Tu t es enfuis ?


ils s’embrassèrent jusqu'à ce qu'elle parle. Une virée en amoureux ? Oui ! Deux fois oui même !

-Tu as même prévus de qui gardera les filles ? Extra ça...


Il caressa ses cheveux avant de dire à nouveau :

-Ils ne seront pas trop de deux pour les tenir, et puis ça fera les pieds a Kahel.

La derniere phrase qu'elle prononça avait tout pour le faire plier a ses désirs. Sa voix était sensuelle, son corps charnels, ses yeux addictifs... Il agita juste un peu la tete préférant utiliser les gestes a la parole. Bien sur qu'il était d'accord !
A peine avait-il cligner des yeux qu'il trouva un petit chat sur son ventre, le regardant plein de tendresse. Ah ! Elle avait osé !

-Pas la peine de sortir le grand jeu... On va où tu veux !


Ouais enfin, il était quand même pas mal attendri. Ne sachant quand même pas vraiment comment réagir, il ne voulu pas la toucher, mais dans ses yeux, il vit clairement la lueur qui animait celle qu'il aimait. Sérieusement, comment un chat pouvait-il avoir l'air si... Humain ? Bien sur, sans se poser vraiment trop de questions il posa la tête sur l'accoudoir, en regardant le plafond, et dit :

-Tu as une idée de où tu veux aller ?
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Mer 13 Fév 2013, 10:17


En faite, j'avais vite compris que je n'avais pas besoin d'allée aussi loin pour obtenir ce que je voulais, mais dans le font ça m'amusait et surtout je voulais voir sa réaction. Bon si maintenant j'apprenais qu'il avait peur des chats, je crois que j'étais partie pour un vol planée, mais non. Il me dit alors qu'il était d'accord, je n'avais cas le dire ou je voulais allée. Je m'étais alors redressée sur mes pattes pour m'avancer un peu plus sur son tors. Puis reprenant ma forme, je me retrouvais allongée sur lui, inutile de précisée, vu la taille d'un chaton, ou était mes vêtements. Heureusement que j'avais dit à Kahel de ne pas venir tout de suite moi.

-Je n'ai jamais été à la plage de sable fin, pourtant on ma fit que c'était un endroit magnifique, alors une promenade sur la plage ça te dit ?

Je déposais alors mes lèvres sur les siennes avant de disparaitre en haut pour m'habiller et redescendre tout aussi rapidement pour m'assoir à coter de lui.

-En faite, non je ne me suis pas enfuie, juste fait remonter les bretelles, car j'étais encore fatiguée, quand j'ai expliquée, j'ai gagné deux jours supplémentaires et une nounou pour les gamines. Enfin, il va quand même falloir que l'on aille les chercher avant, car j'ai bien peur que si nous partions maintenant, la maison sous détruite à notre retour, ce que j'aimerais éviter bien sur.

On attendit alors que le temps passe, les minutes me semblaient longues et ce n'était pas facile de devoir attendre de la sorte. Pourtant, on n'avait pas vraiment le choix. Peu avant le moment où nous devions aller chercher nos filles, Kahel arriva dans la pièce après avoir frappé brièvement. Quand je disais qu'il était facile de deviner quand c'était lui qui arrivait, un jour il faudrait quand même que je lui en parle, car je ne savais même pas si ça dérangeait Cocoon après tout et vu l'entende des deux hommes, ça m'aurait beaucoup étonnée.
Sachant que l'heure approchait, je commençais alors à voyagée partout dans la maison, prenant tout ce que l'on avait besoin pour ces deux jours loin de la maison, vêtements de rechange, nourriture, car je ne contais pas allée dans une auberge, couverture pour la plage, etc. puis je jetais un coup d'oeil à Kahel, j'espérais qu'il était en pleine forme, car après ce que j'allais lui dire, il allait certainement attrapée la migraine.

-Bon, n'oublie pas que la plus petite ne voie rien, elle se débrouille dans la maison, puis Alicia l'aide, mais évite de déplacer quoi que ce soit. Alicia à un breuvage à prendre le matin, elle n'aime pas, enfin je crois que ces plus pour ennuyée son monde que pour le goût, mais dans tous les cas elle doit le prendre. Vu que les loups reste ici, ne t'étonne pas si à un moment Tali disparait, il na pas encore digérée l'épisode rubans je crois. Évite de t'endormir, surtout si elles sont en train de dessiner. Elles sont matinales, tu ne pourras pas les loupes. Hasnna mange peu, il ne faut pas la forcer. Je crois que ces tout. Pour les horaires, on a quand même demandé à la nourrice de venir te seconder, elle les connait donc ça devrait aller. Ah oui, prend garde ce son de véritable chipie et elles savent former des alliances pour faire le plus de bêtise possible. Surtout avec ielenia. Alors méfiance.

C'était une tout autre guerre qu'il allait devoir mener à ce moment-là. Je sortis alors en compagnie de Cocoon pour allée chercher nos deux filles. Nous aussi on allait devoir mener une autre guerre, leur annoncer que l'on partait deux jours, sans elle. J'étais même en train de m'imaginer que l'on pourrait leur dire que l'on n’avait pas le choix, mais je crois que ça ne servirait strictement à rien.

-Je le plain sérieusement et j'avoue avoir un peu peur de comment on va retrouvée la maison à notre retour, enfin ça devrait allée vu qu'ils vont être deux, mais quand même. Elles me semblent particulièrement agitées ces derniers jours. Je me demande bien pourquoi.

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Mer 13 Fév 2013, 20:44

Quand Cocoon leva à nouveau la tête, il fit Nydelia à moitié dénudée. Son sang ne fit qu'un tour, mais il ne vit pas grand chose, vu qu'elle était allongée sur lui. Se concentrant il dit :

-La... Plage... Oui.


Il fut perplexe. C'était là qu'il avait rencontré Oëna, là qu'ils avaient communié... C'était complexe de revenir dans un tel endroit, même si le temps avait bien passé. Malgré tout il mit sa main sur ses yeux, se frotta le front et lança :

-Ca te plaira beaucoup.


Ca, c'était certain. Ca plaisait aux femmes cet endroit, il ne savait pas vraiment pourquoi d'ailleurs, mais il s'en contentait.
Des lèvres fugaces effleura les siennes, avant de disparaitre. S'asseyant, il posa les coudes sur ses genoux, et joignit ses mains. Nydelia apparut à côté de lui, et son cœur fit un bond. Il n'était surpris que mentalement maintenant, son corps ne sursautait plus.

-Dis donc... Kahel est plutôt gentils avec toi. Des fois je me demande qui est le supérieur de qui dans ton palais.


Esquissant un sourire il rajouta :

-Oui, j'aimerai retrouver la maison en l'état... Si possible.


Déjà qu'avec l'atelier cuisine elle avait bien pris cher, là manquerait plus qu'il y ait un orage, et Hasnna détruit tout. D'ailleurs, il se demandait si cette petite n'était pas plus doué en magie que lui. En même temps ce n'était pas franchement difficile... De ce côté là, il avait tendance à admirer sa belle. C'était un cas d'or, et puis en temps que Reine, et souveraine d'un peuple, il valait mieux être puissant. Cocoon, lui, il était juste fort. Chacun ses dons naturels...

L'orisha attrapa la main de Nydelia et l'emmena dans la chambre. Il se vautra sur le lit, sur le ventre et dit :

-J'ai mal au dos...


Traduction : j'adore tes massages et... Oh ! Ca tombe bien, nous avons du temps à tuer...
Enlevant son débardeur, il rajouta :

-Je crois que je me suis accroché quelque part, tu ne vois rien ?

Ce gros abruti, en reculant, s'était accroché à on ne sait quoi, ce qui avait entamé une partie de son dos, laissant une plaie ouverte, entourée de sang séché. Effectivement, ça devait être quand même assez douloureux, quand on y pensait. Mais la signification de la douleur était totalement différente pour Cocoon, qui avait subit bien des sévices par le passé.

Dès que Nydelia posa ses mains sur son corps, il sentit sa peau, son touché, les imaginant se balader sur son torse, sans retenue. Une légèrement montée d'adrénaline le stimula, et il du contrôler sa respiration quelques secondes. C'était une épreuve de l'avoir là, sur lui, en train de le masser, alors que lui était accro. Cette situation était finalement, assez dangereuse pour elle.

Mais Kahel arriva au bout d'un moment, entrant impunément dans la maison. Pour une fois, il ne fit pas de commentaire, quand à la venu du type. Cocoon se rhabilla puis descendit, et aida l'Ange à faire quelques affaires. Cette dernière le quitta un moment pour aller briefer son bras droit... Et quel brief ! Ca rassura l'orisha qu'elle connaissait finalement Hasnna, aussi bien qu'Alicia. Après avoir assassiné Kahel avec toutes ces indications, ils partirent tous les deux chercher les filles. A la sortie de l'école, Cocoon remarqua effectivement la maitresse d'Hasnna, sur le parvis, l'observer d'un regard timide, et pourtant très flagrant. S'en fichant totalement, il prit sa fille dans ses bras, puis l'assit sur ses épaules. Tenant une de ses jambes alors qu'elle mettait les mains dans ses cheveux, il prit le seconde main d'Alicia.
Ouais, c'était une vraie famille maintenant.

Une fois rentrée, elles se mirent tout de suite à table pour dévorer un goûter qui n'allait pas tarder, vu les restes des gâteaux -et oui, encore !-, avant d'aller jouer un peu. Mais l'orisha profita de ce moment. Evidemment, il n'y alla pas par quatre chemins.

-Votre mère et moi on va partir quelques jours, donc Kahel et Bonita vont rester ici.

-Oohh...

Ouais la déception était visible dans les voix et Hasnna ne finit même pas sa part de gâteau. Non mais quel calvaire à chaque fois !

-Papa ! Papa pars PAS !


Cocoon mit sa main sur ses yeux, quand il entendit un bruit. La fillette s'était levée de sa chaise et fonçait n'importe où. Et là, le n'importe où c'était la cheminée. Ni une ni deux, l'orisha se jeta sur elle.

-Hasnna ! Arrête de faire des caprices ! Tu sais très bien que je vais revenir...


...et puis ce n'est pas la peine d'aller au feu, ça ne changera rien !
Voulait-il ajouter.

Bataillant un bon moment, ils finirent par avoir gain de cause. Les filles bouderaient pour ce soir, mais demain elles auront oublié. Soufflant un coup, il prit le sac avec les quelques affaires, et ils se mirent en route. Voyager de nuit leur plaisait, et maintenant qu'ils pouvaient voler, ça leur permettait de prendre leur envole ensemble.
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Mer 13 Fév 2013, 21:15


Il m'avait fait remarquer que Kahel était particulièrement gentil, tout en lâchant une petite pique, mais je n'avais pas encore pris le temps de répondre. Une fois que je fus prête et descendue près de lui, il m'avait alors pris la main pour me faire remonter aussi vite. Franchement, pour ça il montait avec moi non ? Ça m'aurait évité une allée retour inutile. Enfin bon, il avait peut-être décidé ça au dernier moment aussi. Il s’était alors étendu sur le lit, tout en me disant que son dos le faisait souffrir. Il n'était pas compliqué de comprendre ou il voulait en venir. Il c'était alors débarrasser de son vêtement tout en me disant qu'il c'était fait mal sur quelque chose, je regardais et vis effectivement une entaille sur celui-ci. Soupirant, en me mettant à califourchon sur dos, je commençais alors par fermer la plaie. Puis je commençais le massage qu'il m'avait réclamé. Profitant de ce moment, je lui répondis à sa question de tout à l'heure.

-En faite, pour Kahel, il faut apprendre à le connaitre c'est tout, je sais bien qu'il semble froid, moi même je ne l’appréciais pas à notre première rencontre. On s’est clairement disputé devant Adam d'ailleurs et pendant un bon moment même. Cependant, quand nous avons dû combattre ensemble, j'ai vu un homme capable de défendre la vie des autres plus que la sienne. Et c'est qu'il reste autoritaire, mais c'est sans doute, car je le considère davantage comme un ami qu'un subordonné, ainsi que tous les autres. La prochaine fois fais attention quand tu te déplaces ou je te lie a une chaise quand je m'en vais.

L'idée de le savoir blessé, je n’aimais pas ça, même si c'était très superficiel et que je savais refermer la plaie rapidement. Une fois rentrée d'avoir été cherchée les filles, toujours avec cette femme qui n'avait toujours pas compris que Cocoon n'était plus sur le marchée. Les filles allèrent alors manger leur gouter. J'avais jeté un regard inquiet dans la direction de Cocoon, il prit l'initiative de leur annoncer pendant que j'appréhendais leurs réactions. Celles-ci ne se firent pas attendre, deux petites voies désuètes s’étaient fait entendre. La petite c'était alors levé, se dirigeant dangereusement vers la cheminée, heureusement Cocoon l'intercepta à temps. Poussant un soupir de soulagement, les négociations reprirent de plus belle, sous l'oeil interloqué de Kahel. Une fois que nous avions réussi à obtenir l'autorisation de partir et qu'elles resteront calmes, même si elles allaient encore montrer leur mécontentement, je m'approchais une dernière fois de Kahel.

-Ce que tu as vu là, c'est un aperçu, je te souhaite donc bon courage Kahel. La nourrice de va pas tardé à arriver.
-Je comprend que vous n'avez pas pu vous reposer. Bonne promenade tous les deux.

Souriante, on sortit tous les deux aprèms avoir embrassé une dernière fois nos filles. J'avais eu l'impression cas peine la porte fermée, un cri menaçant c'était fait entendre dans la maison, venant des deux gamines. Sur le coup, il était clair que je plaignais Kahel et j'espérais que Bonita allait bientôt arriver pour lui prêter main forte.
Je le laissais alors passée le collier pour que l'ont puis s'envoler vers la plage, étrangement, j'avais rajeunie, ça faisait tellement longtemps que j'allais à un endroit ou je n’avais jamais mis les pieds, redevenant une enfant, j'étais excitée par l'idée d'arrivée le plus rapidement là-bas et je dus me retenir pour évitée d'allée trop vite.
Quand on arrivait, je ne pouvais détacher mon regard du spectacle qui était devant moi, la nuit étant avancée, la lune était bien visible, pleine et rayonnante de toute sa splendeur. Rapidement, j'enlevais alors mes talons pour marchée dans le sable, pas évident. M'avançant émerveiller par ce que je voyais, je finis par sentir l'eau sur mes pieds. J'aurais pu reste des heures ainsi tant j'aimais ce que je voyais. On m'avait aussi vanté les levées et couchée de soleil et étrangement, j'avais tout aussi hâte de la voir. Mais en même temps ça voudrait dire que la journée serait bien avancée et du coup, que les deux jours serais presque fini. Voulant continuer à entendre le bruit des vagues, sentir l'odeur de l'océan, je retournais près de Cocoon, pour me blottir dans ses bras. Je savourais ce moment comme jamais, on n’avait deux jours rien cas nous, dans un paysage aussi magnifique, qu'est-ce que je pouvais demandée de mieux ? J'étais loin de tous les tracas et je n'étais même pas inquiète pour les filles, d'une ils étaient deux pour veiller sur elles, mais en plus, Kahel serait me prévenir rapidement si quelque chose n'allait pas. Ielenia aussi d'ailleurs. Alors je pouvais me vider l'esprit complètement, profitant des bras de celui que j'aimais.

- Je t'aime.

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Ven 15 Fév 2013, 19:23

Cocoon écouta Nydelia parler de Kahel. Oui, il fallait le connaitre, certainement, mais malgré tout l'orisha ne pouvait s'empêcher de se laisser aller en fonction de ses pulsions mesquines quand il était là. Comment le combat avait-il commencé déjà ? Il ne s'en rappelait même plus, tout ce qu'il savait, c'était qu'il le menait depuis assez longtemps pour que ça commence à le lasser. Ce n'était pas plus mal d'un côté, et ça foutrait la paix à l'Ange. Lorsque Nydelia parla de sa blessure, il rétorqua :

« Je ne sais même pas réellement comment je me suis fait ça... ! »

Et c'était vrai. Il avait beau cherché, il ne se rappelait pas de la douleur, ni à quel moment il l'avait ressentit. Fermant les yeux, il se laissa seulement faire.

Lorsque les filles furent enfin mise au courant et que Cocoon arriva à tenir assez Hasnna pour qu'elle n'aille pas se jeter au feu, ils purent partir la conscience un peu plus tranquille. N'ayant pas parlé à Kahel une seule fois, il s'étonna de sa gentillesse en leur souhaitant une bonne ballade. D'habitude, il ne souhaitait les bonnes choses qu'à sa Reine, pas à l'orisha de bas rang qu'il était. Ce dernier le regarda du coin de l'œil, se demandant ce qu'il lui arrivait à être plein de gentillesse comme ça. Ce n'était pas normal.
Cependant il partit quand même, main dans la main avec sa douce. La nuit était tombée, et il préférait de loin voyager par un temps pareil, que de jour au vue de tous. De plus, ils arriveraient là-bas en quelques heures, et pourraient profiter du lever du soleil le lendemain matin.
Une fois sur le sable blanc, fin et froid, Cocoon enleva son collier, ne voulant pas lever la tête. Pas encore. Il rangea doucement le bijou, et vit Nydelia s'éloigner. Finissant par affronter cette étendu merveilleuse, il la vit déambuler joyeuse jusqu'à l'eau gelée, se laissant aller à respirer et sourire. Se reculant légèrement, il se dissimula dans la pénombre d'un rocher qui surplombait le sable, l'admirant évoluer dans ce paysage qui semblait idyllique.
Cette nuit là, ce serait sa Reine et il serait son Roi.
C'était elle. Elle et personne d'autre.
Les formes de son corps se détachant de la clarté de la lune, s'incrustèrent dans sa mémoire, se gravant sur la pierre incassable qu'était son cœur. Une Ange. Et la plus belle des Anges.
Mais cette ambiance lui faisait forcément penser à quelqu'un d'autre.

Oëna était morte depuis longtemps. Cocoon avait du faire son deuil, tan bien que mal, refermant les blessures qui devait l'être, et se tourna vers l'avenir. Il avait à nouveau ouvert ses bras à un certain bonheur. La chaleur d'une femme à ses côtés -et pas n'importe laquelle-, le plaisir d'une fille, la joie d'être en vie et en bonne santé... Tan de petites choses qui, accumulées, l'avaient fait sortir de sa léthargie. Mais revenir ici, de nuit, c'était difficile pour l'orisha d'y faire face.
La première fois qu'il avait rencontré sa si belle Ange aux cheveux d'acier, il faisait nuit, le vent était frais et doux à la fois, et elle se tenait debout, devant la mer, prête à l'engloutir à chacun de ses pas. Ses ailes avaient été d'une pureté sans pareille, l'émerveillant d'autant plus qu'il était jeune à l'époque.

Cocoon fut sortie de ses réflexions par un corps qui se colla au sien. Nydelia était revenu vers lui, pieds nus, et essayer de trouver une place au creux de ses bras. Instinctivement, il referma ses derniers, en même temps qu'il fit le vide dans son esprit. C'était important de profiter de l'instant présent, et non d'un passé magique qui n'existait plus. Soufflant légèrement, il appuya sa joue contre la tête de sa douce, embrassant le haut de son crâne, dans un moment d'affection.
Lorsqu'elle avança les trois mots, il se redressa doucement, avant de courber l'échine pour l'embrasser. Prenant son visage entre ses mains, il finit par les descendre, venant appuyer le creux de ses reins. Se décalant légèrement il dit :

« Viens avec moi... »


Prenant l'une de ses mains, il l'emmena le long de la plage, éclairé seulement par la lune. Son bonheur était de reconstruire des souvenirs, et ne pas être enchainé aux anciens. Arrivant juste au bord de l'arrivée de la marée, il enleva ses chaussures et dit :

« Bain de minuit, ça te tente ? »


Enlevant son débardeur, il finit par son pantalon et une fois totalement nu, il ne résista pas à offrir son corps à cette énormité marine. L'eau lui arriva jusqu'à la taille, il finit par se tourner vers l'Ange.

« Tu vas la trouver gelée, mais je te réchaufferai... »


Sa voix était grave, suave, pleine de désir. Mettant ses mains sur ses hanches, il attendit sagement qu'elle vienne dans ses bras.
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Ven 15 Fév 2013, 20:13


Qu'il fut bon de se retrouver ici, seul avec lui, profitant seulement de l'étreinte de ces bras ! Jamais nous ne nous étions retrouvés seuls et je le regrettais. Je sais bien que les circonstances, les filles, ça ne nous l'avaient pas permis, mais si vous saviez à quel point je le regrettais, j'aurais tellement voulu faire cela plutôt. J'avoue que je l'avais soupçonnée d'avoir utilisé son don tant je me sentais euphorique, bien dans ma peau et heureuse, mais c'était juste sa présence et cette envie de profiter de ce moment. Ca paysage paradisiaque, a attendre de découvrir encore d'autre merveille avec lui, attendre le prochain lever de soleil pour contemplée un ciel rosé au-dessus de cet océan bleu. Les oiseaux étaient silencieux, mais je savais que demain il me réveillerait certainement.
Après m'avoir embrassée, il m'avait alors demandé de le suivre, ce que je fis sans hésitée, me demandant ce qu'il voulait me montrer. De plus, ça signifiait qu'il était déjà venu ici, ce que j'aurais dû comprendre quand il m'avait certifié que j'aimerais cet endroit. Je me demandais alors comment, enfin pourquoi il était venu ici, mais je ne lui demandais pas, car ça avait si peu d'importance en faite, tout ce que je voulais c'était profiter du paysage, des odeurs, des sons et de lui pendant ces deux jours qui nous étaient accordés.
Après quelque instant, il finit par enlever lui même ses chaussures tout en me proposant un bain de minuit. Je regardais alors l'étendue bleu foncée essayant d'estimer la température que devait être l'eau, pas très élevée sans doute. Ce n'était pas que je n’aimais pas le froid, mais de là à me baigner dans une eau gelée... pourtant j'en avais envie, je voulais vivre chaque expérience possible, un peu comme si je venais de naitre et que je voulais tout découvrir. De toute manier, il ne m'avait pas attendue, vu qu'une fois qu'il c'était débarrassé de tous ses tissus, il partit dans l'océan, s'arrêtant quand l'eau lui arrivait déjà à la moitié du corps avant de se tournée vers moi pour confirmée mes craintes, mais comment pourrais je résister au son de sa voix ? Cela m'était compliqué.
J'avais alors laissé ma robe glissée sur moncorps, mais à peine un orteil avait frôlé une vague un peu trop pressée de m'attirée dans ses bras glacés, alors que d'autres chauds m'attendaient aussi, je ressentis un frison me parcourir l'échine. Ca devais bien le faire rire tien. Je décidais alors de triche un petit peu. La logique voulait que j'aille froid avant d'avoir chaud, ben personnellement, je voulais l'inverse et je contais bien y réussir. J'avais alors regardé l'océan avant de contrôler l'eau, me créant ainsi un passage jusque celui que j'aimais, bien sûr, j'avais veillé à la laissée complètement de l'eau, puis je m'étais dirigé vers lui, toujours au sec, avec, j'avoue, un sourire satisfait aux lèvres.

-Je préfère le feu avant la glace.

J'étais alors retournée dans ses bras, sentant le fin filet d'eau entre nos deux corps dénudés. Petit à petit, je relâchais le contrôle, enfin c'était mon intention, car j'avais levé ma tête vers ses yeux, le reflet de l'eau, combiner à celui de la lune... mon coeur fis un soubresaut devant ce spectacle, j'avais alors posé ma main sur sa joue et commençais a approchée mes lèvres des siennes, me perdant complètement dans son regard. Ayant pour effet immédiat la perte de mon contrôle. L'eau remontant alors rapidement sur mon corps, je m'entendis alors crier un cri de surpris avant de déployer mes ailes pour y sortir rapidement. J'avais agi par simple réflexe, mais je me trouvais bien stupide, je tournais alors autour de lui afin de me poser sur son dos avant de rangée ses ailes qu’il m'était inutile ce soir. Accrochés à son dos, mes pieds touchaient toujours cette eau glacée, pendant que mon visage se trouvait dans sa nuque.

— hum... va me falloir du temps avant que je m'habitue à la température de l'eau j'ai l'impression. Comment est-ce que tu fais, en plus ton corps étant plus chaud que le mien, tu devrais sentir plus rapidement et plus fort le froid que moi et ça na pas l'air d'être la cas.

D'accord, réactionne un peu stupide, mais je ne pensais pas vraiment avoir tort. Tout en continuant à profiter de la chaleur de son dos, je commençais à laisser baladée ma main sur son torse, préférant regarder son profil que le paysage qui s'offrait devant moi.

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Sam 16 Fév 2013, 09:02

Voyant Nydelia laisser tomber ses propres vêtements pour le joindre, il ne pu s'empêcher de rire quand il la vit tétanisée d'entrer dans cette étendue gelée. Ah, les femmes alors ! Il se damnerait pour elles.
La pauvre avait ses mains contre son corps, comme si elle était frigorifiée, et ne pu se résoudre à se jeter, à corps perdu, dans l'océan qui essayer de l'attraper. Elle créa alors une tranchée vidée d'eau, la repoussant sur les bords, de manière à déambuler dans l'allée qu'elle avait faite, jusqu'à Cocoon. L'orisha lui, avait toujours de l'eau autour de lui.

« Le feu avant la glace, hein... ? »

Il laissa trainer sa phrase, arquant un sourcil, avant de prendre l'Ange dans ses bras bruns. N'ayant plus besoin de parler, ils se regardèrent quelques secondes, transmettant leurs émotions à travers cette étreinte calme et pourtant charnelle. Cocoon la rapprocha encore un peu plus de lui, la collant à son corps, éloignant ainsi l'eau qui passait entre eux. Plus rien ne les séparait désormais. Sa belle rayonnait, et son aura pure et bénéfique prenait de l'ampleur sous les reflets de la lune. L'astre était round et gonflé, les gorgeant ainsi de toute sa splendeur. La petite main froide de la jeune femme vint caresser sa joue, et ils scellèrent leurs lèvres, un peu plus sensuellement. Le baiser dura un moment, et Cocoon n'hésita pas à s'enlever d'elle, pour revenir de plus belle, léchant parfois ses lèvres rosées, avant de martyriser sa langue. Mais se baiser en dérouta une, qui s'arracha de lui pour pousser un cri et s'envoler immédiatement. La lâchant, il la vie s'élever dans les airs en regardant l'eau reprendre le contrôle et former à nouveau une étendu plate et sereine.

Cocoon se mit à sourire de par la spontanéité de Nydelia, à faire ce genre de chose. Elle était tout le temps comme ça, naturelle, franche, et elle ne savait pas mentir, elle n'allait donc pas s'infliger la torture de l'eau froide dans ce cas là. Revenant à peine vers le bord de manière à faire descendre le niveau de l'eau à ses hanches à peu près, il sentit une plume se poser sur son dos, et s'enrouler autour de lui comme une liane. Tournant la tête, il devina aisément son Ange, qui elle fourra sa tête dans son cou.

« Je n'ai pas froid, je ne sais pas pourquoi, même si ta logique est censée. Mais je croyais que madame était habituée au froid, à être allé chercher la maitrise de la glace dans des endroits gelés ! »

Il ne pu s'empêcher de se coller un sourire au visage. Regardant le sable qui s'étendait devant lui, il prit conscience de la peau nue de l'Ange contre la sienne. Elle était sur son dos, accrochée à lui, et il devinait sa poitrine, son ventre, ses cuisses, ses boucles charnelles, ses bras... Et à vrai dire, ça commençait à être un supplice pour lui. Mettant ses mains sous ses cuisses pour la porter et ne pas qu'elle glisse, il dit :

« Aller, on sort de là, frileuse... »


Revenant alors sur le bord, il prit soin de remettre seulement son sous-vêtement et son pantalon, prenant seulement son sac, ses chaussures, et son débardeur à la main. De l'autre, il prit celle de Nydelia, et ensemble, marchèrent sur le bord de mer. L'écume venait caresser les pieds bruns de Cocoon, qui ne se lassait pas de cette sensation.
Trouvant sa bien-aimée encore trop loin, il lui lâcha la main pour passer son bras autour de ses épaules, et la ramener complètement contre lui.

« Regarde là bas... »

Devant eux, plus loin se détacher un bras de terre, entouré par de gros rochers. Sur la falaise qui surplombait tout cela, une maison abandonnée se dessinait, toute petite, car ils étaient en bas. Une fois les gros rocs passés, on pouvait sentir le sable beaucoup moins fin que sur la plage, la pénombre envahir un peu plus ce coin, mais on voyait toujours le ciel étoilé, et la lumière stellaire. Là, ils étaient à l'abris des regards, et dans un coin paradisiaque pour y rester quelques temps. Ils verraient levé et le couché du soleil. Mais Cocoon devina surtout que la nuit était froide sur cette plage, et qu'il allait devoir réchauffer l'Ange rapidement.
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Lun 18 Fév 2013, 11:02


Bon, je pouvais être au moins contente de l'avoir fais rire à mes dépens, mais bon, en même temps il est vrai que j'avais du paraitre risible. Par conte, n'avait il pas compris que je faisais allusion à la chaleur qui se dégageait de lui, ou alors c'était autre chose ? Je dois avouée que sur le coup je ne le savais pas, mais tant pis, je dois bien avouée que s'il n'avait pas compris je contais bien le laissée mijotée, s'il n'était pas capable de comprendre que je faisais allusion à la chaleur de son corps, qu'est-ce que je pouvais y faire moi ? Et je n'avais pas envie de commencer à expliquer maintenant, alors que tout ce que je voulais s’était profitée de ces moments que je passais avec lui, seul. C'était trop rare.
Il s’était un peu plus avancé sur le bord, libérant par la même occasion mes pieds de cette étreinte gelée. Par la même occasion, il admettait que j'avais un raisonnement logique, mais que ce n'était pas le cas, je pouffai un instant en me disant que ça devait être lui qui n'était pas logique tout simplement. Pas méchamment bien évidement, mais je gardais quand même ça pour moi. Par la même occasion, il ne me rata pas. Combien de fois ne lui avais je ne pas certifier ne pas craindre le froid à cause de mon entrainement ? J'aurais du m'en douter que ça allait me tomber dessus tien.

-Ne ne te moque pas, ce n'est pas la même chose, j'étais quand même un minimum habiller déjà et puis, j'étais pas couverte de la tête aux pieds et aussi, c'est le vent qui est glacial, c'est mon élément, l'eau je la laisse aux sirènes. Et puis, je ne cherche pas ma logique, même mes parents n'y arrivaient pas parfois.

J'avais dit ça, comme un reflex, seulement, je me souviens d'une promesse qu'ils m'avaient faite, celle qu'un jour ils m'emmèneraient dans un endroit comme celui-ci, chose qui n'avait jamais pu se faire. Je ne pouvais pas dire que j'étais triste, à force du temps, j'avais fini par faire mon deuil, même si ce n'était pas tous les jours faciles, car on n’oubliait jamais, mais une vague de nostalgie m'avait envahie et je serrais mon étreinte un peu plus fort, pendant qu'il me traitait de frileuse. J'avais alors relevé la tête pour agir comme une véritable gamine. Eh oui, je lui avais simplement répondu en lui tirant la langue, avant de descendre de son dos. Une fois sur la plage, je remis ma robe avant de commencer à marchée calmement, profitant juste de ce que nous voyions. Je voulais tant être déjà le lendemain, rien que pour voir ce même endroit, mais avec toute la beauté de la lumière du jour. Après quelque instant de marche, il me montra alors un endroit et je pus apercevoir une minuscule maison. Enfin, de l'endroit où nous étions. Je me demandais cependant pourquoi il me la montrait. Était-ce seulement pour me faire tout découvrir ou est-ce qu'il y avait quelque chose d'autre ?

-Comment est ce que tu savais que c'était là ? Enfin je suppose que tu es déjà venu, mais je dois téavouée que je t'imagine mal venir ici simplement pour profitée du paysage, le prend pas mal surtout.

Je ne voulais pas le blesser bien sûr, je savais qu'il appréciait aussi ce genre d'endroit, mais j'avais vraiment du mal à l'imaginer se dire qu'il irait bien à la plage. Ou alors il avait seulement fait une halte aussi. Enfin et puis est-ce que ça avait vraiment de l'importance ? Je jetais un dernier coup d'oeil vers la maison avant de m'assoir dans le sable. Je regardais alors l'horizon, ayant du mal à me défaire de cette nostalgie qui s’était emparée de moi, pourtant, je ne voulais pas gâcher ce moment, ils étaient tellement rares, je n'avais pas le droit.

-Ca me fait vraiment du bien de me retrouver. J'ai l'impression d'être loin de tout, de m'évader de tous les tracas du quotidien, de me soulagée.

Et en plus de tout partagée avec lui, tout ça n'avait pas de prix. Je me relevais alors, voulant continuer à marcher un peu, même si nous n'avions pas de destination particulière. Marchant ma tête sur son épaule, je sentis que le vent avait séché son dos. Un sourire apparu alors sur mon visage. Pendant qu'il regardait dans une autre direction, je pris un mince filet d'eau, le faisant volée jusque moi, je commençais alors a la laissée glissée tout au long de sa colonne vertébrale. Je redevenais vraiment mois même. Mais pas vraiment celle qu'il avait pu réellement connaitre, même si les différences étaient infimes. Je redevenais en ce moment l'humaine que j'avais été, joyeuse et de temps en temps espiègle. J'espérais seulement que ça ne créerait pas de soucis, car me libérer de la sorte me permettait réellement de me sentir mieux.
Mon comportement du moment me faisait penser à quelque chose. Quelque chose qui commençait à m'inquiétée maintenant que je m'en rendais compte. Pourtant, ça s’était fait petit à petit, comme notre relation. Qui aurait cru que nous finirions ensemble quand nous nous sommes rencontrées dans la pyramide ? Certainement pas moi, trop aveuglée sur le moment. Mais il n’y avait pas que ça qui avait changé... J'avais changé aussi et ça me faisait peur, je n'arrivais pas à comprendre pourquoi j'y pensais maintenant, surtout que tout s'ouvrai à moi pour me détendre et pourtant voilà que j'arrivais à trouvée un truc pour me torturer l'esprit. Je posais alors mon regard dans celui de Cocoon, bien consciente qu'il avait du percevoir mon changement d'humeur, si je ne lui disais pas, j'étais certaine qu'il finirait par me questionne.

-Est ce que je suis différente ? J'ai l'impression que je suis devenue beaucoup trop sérieuse, surtout comparée à notre première rencontre. J'ai peur de perdre petit à petit ma joie de vivre et tout ce qui me permet de me détendre. Je suis désolée, on est ici pour passer un moment agréable et je viens t'ennuyer avec mes soucis.

Mais j'avais besoin de savoir ce qu'il en pensait, car si je m'en étais rendu compte, ça devait être son cas. Maintenant, je m'étais peut-être fait des idées, je l'espérais en tout cas.

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Jeu 28 Fév 2013, 23:04

Quand Nydelia répondit à sa petite moquerie, il sentit un affaissement de joie et de bonne humeur. Sortant de l'eau froide, il la déposa à terre, se rhabillant que partiellement. Cocoon savait que parler de ses parents, même dans un moment de bonheur comme celui-ci, était toujours quelque chose de difficile et compliqué. Maintenant, elle pouvait les voir et leur parler, mais ça ne comblait pas le manque physique. Et puis ils étaient rattachés au lieu de leurs tombes, donc impossible pour eux de la suivre. Mais maintenant Cocoon était là, et c'était lui qui prendrait le relais. Le relais de toute une vie, qui devait à un moment se voir laissée derrière elle, pour mener la sienne de son propre chef. Le deuil était dur, il en savait quelque chose, mais rien n'était impossible.
Et ils s'aimaient.

Lorsqu'il désigna la maison, les questions qui lui posa Nydelia le surprirent. Devait-il vraiment lui dire ? Non, ce n'était pas la peine alors il sortit, détaché de tout :

« J'étais venu il y a... Un an, quelque chose comme ça. J'étais là un peu par hasard, recherchant plutôt la solitude. Et en revenant ici, je vois juste que rien n'a changé. Les mêmes choses aux mêmes endroits. »


Et la même maison. Détachant son regard de cette dernière, il s'arrêta lorsqu'il Nydelia s'assit dans le sable frais. Le vent soulevait leurs cheveux, et pouvait provoquer des frissons aux plus frileux, mais la mer était très calme, ne se mouvant que très peu. L'écume n'arriva pas jusqu'à eux. Cocoon sentait qu'elle avait besoin d'extérioriser, de parler, de décompresser, de voir qu'elle pouvait s'appuyer sur lui, de se rendre compte de l'importance qu'ils avaient l'un pour l'autre. Alors il la laissait parler, sans l'interrompre et puis dans un paysage si calme, avec son timbre féminin et angélique, il se dit que sa grosse voix aurait fait sacrément tâche. Mais quand elle se releva, il lui attrapa doucement la taille pour l'embrasser, caressant sa chute de reins. Il devait lui aussi, reconnaitre qu'il était merveilleusement bien ici, avec elle.

Et puis l'espièglerie de Nydelia était sans doute sans pareille. Elle sortait du cadre, de son statut de déesse -sauf à ses yeux-, pour pouvoir être celle qu'elle a toujours été, une grande enfant. Une jeune femme qui aimait la vie, la joie, le bonheur, le fun, sans s'heurter à des problèmes tous aussi infâmes les uns que les autres. Lorsque l'eau toucha son corps chaud et sec, il siffla, lançant un regard peu compatissant à sa belle, qui elle se mettait à rire en le voyant se tordre bêtement, comme si une araignée lui courait dans le dos.
Mais là encore, elle eu un pique de mélancolie qui la fit vite revenir les pieds sur terre. Il voulait l'attraper, la chatouiller, l'embrasser, la faire tourner en bourrique pour l'agacer, mais se réfréna totalement. Elle se posait beaucoup de questions, et après tout, elle était aussi là pour les éluder, et faire part de tous ses ressentis. Il fallait qu'elle lâche ses craintes et ses doutes.

Lorsqu'elle le regarda, il s'approcha d'elle pour prendre ses deux mains et les réunir, y déposant de légers baisers pendant qu'elle parlait. Elle changeait, c'était normal. Mais lui, il était toujours aussi franc.

« Tu as changé oui, tout comme moi, mais tu es resté la même... »


Laissant sa phrase en suspend, il s'approcha d'elle, et la serra contre lui en la regardant dans les yeux :

« Tu as évolué au sein de la hiérarchie de ton peuple, tu te dois de renvoyer une image de quelqu'un de sérieux, qui a la tête sur les épaules. Tu rencontres des chefs de races, de grands Hommes politiques... Tu es dans le monde des grands. La Nydelia intrépide, qui s'était perdu dans la pyramide n'existe plus. Mais c'est à toi de la faire ré apparaitre. Tu choisis d'être qui tu veux réellement. Tu es beaucoup plus posée, plus sage, tu sors moins des sentiers battu, mais ce n'est pas définitif. Rien n'est jamais définitif, tu le sais. »


Mais il fallait qu'elle l'entende de la bouche de quelqu'un. Surtout d'un être cher comme lui. Qu'elle fasse un point sur elle même, et c'était normal. Elle en était arrivé à un stade, où il fallait qu'elle soit parfaite, tout le temps, un stade où ça épuisait deux fois plus la femme qu'elle était, et où les moments comme celui-ci se faisaient rares malheureusement... Cocoon, homme au foyer bodybuilder, était là pour l'aider, la soutenir, pour qu'elle s'appuie réellement sur lui en soutient, moral comme physique.
Déposant ses lèvres sur les siennes, il la fit venir un peu plus encore contre lui, mettant une main sur sa joue. Il aimait cette petite femme. L'orisha caressa alors son cou, remontant dans sa chevelure, puis finissant par descendre complètement dans son dos. Une de ses mains glissa alors sur sa cuisse, pour passer sous le vêtement en voile fin, caressant alors sa peau nue, et remontant jusqu'à sa hanche.

Se tenant là au milieu de la plage, il ne voulait pas que quelqu'un passe et se risque de voir ce corps angélique. Elle était à lui, à lui seul. Lorsqu'il lui avait parlé, consciemment, en le voulant, il avait commencé à tissé de petits liens, fins, quasiment microscopique, pour enserrer son coeur à l'intérieur. Doucement, comme l'implantation d'une idée, il faisait en sorte qu'elle soit totalement relié à lui, au fur et à mesure que les minutes passaient, sans se rendre compte de rien. Il était patient, et expérimenté, ce n'était pas une épreuve pour lui de prendre son temps. Il avait toute la nuit après tout. Alors elle ressentirait plus d'attirance envers lui, presque comme un besoin qu'il soit là, qu'il la touche, qu'il lui parle. Et puis elle le désirerait tellement, qu'elle en deviendrait peut être folle, qui sait ?
Prenant une de ses mains, il se décolla d'elle, et admira son visage empreint de désir. Il savait comment la faire monter au créneau. Alors main dans sa main, il l'emmena jusqu'à la cavité rocheuse, devant le bras de terre, de manière à être à l'abris de la vue des voyeurs intempestifs. Avant de lui offrir son corps, il fallait qu'elle ouvre son cœur, et là, ça ne le dérangeait pas d'attendre.

« Tu sais que tu peux me parler, tu ne m'ennuies pas, je suis là pour toi. J'ai toujours été là pour toi. »


Pendant qu'il parlait, il prit soin de sortir une légère couverture de sa besace pratiquement vide -pour une fois- et l'étaler au sol, pour qu'ils s'y allongent dessus. Profitant du paysage, et l'un de l'autre surtout.
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Ven 01 Mar 2013, 00:08


Enfin de conte, la raison comme quoi il connaissait cet endroit était on ne peu plus simple, il avait juste voulu se retrouver seul comme ça peu arriver à n'importe qui. Mais ça me semblait tellement irréel par moment. De toute manier, je n'étais pas réellement ici pour me poser des questions, juste pour profitée d'un moment avec celui que j'aimais, juste pour vivre un week-end de pur bonheur. Je ne voulais pas gâcher ce moment par mes questions débiles et mes doutes. Car oui, ils étaient encore nombreux et surtout, je savais que certain était stupide et du coup ça me rendait un peu plus mal à l'aise quand il s'appropriait mes pensées. Deux jours pour tout évacuer et profiter, avant une tempête bien plus sombre. Si seulement j'avais eu droit à une semaine, un mois, une vie...
Je profitais de chaque geste, de chaque souffle que je pouvais sentir, chaque regard, chaque mot qui sortait de sa bouche. Tout cela m'appartenait et je ne pouvais encore m'imaginée la chance que j'avais actuellement, jamais je n'aurais cru pouvoir avoir quelque chose ainsi, de ressentir tout ça.
J'attendais la réponse de Cocoon avec une certaine appréhension. Il me connaissait depuis plus longtemps que quiconque dans mon entourage, il n'y avait que lui qui avait pu voir réellement tous les changements, mais ce n'étais pas la seule raison, car j'avais ielenia qui était au même point, mais ce que je cherchais surtout avec lui, c'était sa franchise, je savais qu'il ne me cacherait jamais rien, surtout si je lui demandais clairement. Tout comme quand je lui avais demandé ce qu'il pensait de l'histoire avec Élise, il avait été franc et j'appréciais énormément ce qu'il avait fait pour moi.
Il me le confirma donc, j'avais effectivement changée, mais alors comment pouvait il dire que j'étais restée la même dans la même phrase ? Je lui avais alors jeté un regard interrogateur tout en frôlant son dos du bout des doigts, faisant des allées et venues, légèrement stressées par la suite de sa réponse. Je dois bien avouer que quand il dit que la premier Nydelia qu'il avait connu, je ressentis un pincement au coeur, mais en même temps, je me collais de plus en plus à lui, comme si j'avais peur qu'il commence à s'enfoncer dans le sol, chose complètement impossible, mais je réagis vraiment comme ci.
Pour lui, je pouvais redevenir celle que j'étais, pourquoi pas, après tout, j'y avais pensée après avoir eu un comportement passé, comme si nous étions deux, la petite fille espiègle et intrépide et de l'autre, celle qui avait beaucoup trop de responsabilités pour s'en sortir tout seul. Ma tête enfouie sur son tors en sentant ses caresses, j'essayais, sans vraiment réussir, à garder mes esprits aussi limpides que l'eau de l'océan, mais il ne me rendait pas les choses évidentes. Je ne ressentais même plus sa chaleur, peut-être était-ce car je dégageais la même ?
Quand il c'étais décoller tout en prenant ma main, celle-ci c'était rapidement enserrée autour de la sienne, il fallait que je me calme, mais je ne le pouvais pas, je ne pouvais même pas expliquer ce besoin que j'avais de parlée de tout ce qui me travaillait, alors que nous devions passée un moment pour nous deux, pas juste pour que je commence à l'ennuyer avec mes histoires. Pourtant, si nous étions un couple, c'était ce qui devait se faire non ?
Il avait alors sorti une couverture et tout en l'installant pour que nous puissions nous y mettre, il m'avait alors demandé de lui parler, je l'avais regarder surpris, me demandant comment il avait pu deviner que j'avais besoin de parlée ? Enfin, j'avais donné le ton avec ma première question, mais quand même et puis j'oubliais qu'il y avait son empathie, mais est-ce qu'il l'utilisait encore réellement pour moi ou est-ce qu'il se contentait uniquement de lire en moi avec son coeur et non ses capacités magiques ? Une fois qu'il fut couché sur la couverture, je me dépêchais alors de m'installer auprès de lui, regardant le ciel avec bonheur, jamais je n'aurais pu rêver d'un tel moment.

-Je... Je ne sais pas vraiment comment tout te dire, mais c'est juste que... il y a deux ans environ, j'étais une simple fille de village, vivant sa vie auprès de ses parents, venant de me fiancer... Je m'arrêtais quelque instant, pas que j'étais nostalgique sur le dernier mot, mais surtout que j'avais peur de ça réaction sur ce même mot, du coup j'essayais d'enchainer rapidement. -puis tout à été si vite, je suis morte, je suis revenue en tant qu'un ange, un petit ange qui ne savait même pas volée, accompagnée d'une louve que je ne savais même pas pourquoi elle me suivait et maintenant... J'ai deux loups, un dragon, deux petites filles adorables, quelque que j'aime au plus profond de mon être. Si ça s'arrêtait là, je crois que je serais là plus heureuse des femmes. Cependant... comme tu la dis je suis montée dans la herachie, et en ça, avec tout ce qui se passe aujourd'hui, je vous mets en danger, et puis, quand je pense à tout ce qui s’est passé entre la pyramide et cette plage, ça me donne le tournis... Et puis... je ne sais pas si un jour les blessures causées par Shaolan guériront réellement.

Je n'avais pas vu les événements passés du coup j'étais mal à l'aise, ça avait été beaucoup trop vite, et comme je l'avais dit, j'aimais certain détail de ma nouvelle vie, mais il en avait d'autre qui me stressait tellement, qu'il m'avait fait changer, ou alors des moments trop noirs pour que j'en ressorte indente. Quand j'avais parlé de Shaolan, ce n'était pas pour ce qu'il m'avait fait physiquement, je n’avais plus rien. Mais se faire trahir par celui que l'on aime, ça laisse des marques et j'avoue que j'avais peur de ne jamais savoir réellement refaire confiance comme avant, pourtant, je savais que lui ne le ferait jamais, mais c'était ce que je croyais aussi pour Shaolan. Surtout avec cette instit qui lui tournait autour.

-bien sur, je ne regrette pas ce qui m'est arrivé, qui regretterait d'être tombée sur le plus merveilleux des hommes ? D'avoir deux chipies, aussi infernales qu'adorables ? Des amis, certes des animaux, mais fidèle. Et puis même ma place, ça me permet de me sentir réellement utile.

Je m'étais alors légèrement redresser, prenant appui sur mon coude pour rester stable et je le regardais quelque instant dans les yeux. Il y avait un changement que je ne regrettais pour rien au monde, c'était bien le lien qu'il y avait entre nous.

-Tu sais, il y a quelque chose que je ne regrette pas dans la Nydelia d'avant, même si j'aimerais réussir à redevenir celle que j'étais, ne fus que pour toi et les filles. C'est le petit ange timide qui se recroquevillait au bord du lit de peur de dormir avec un garçon, même si ça ne servait à rien en fin de conte.

J'avais alors rebaissé la tête, mais mes lèvres avaient effleuré les siennes avant que ma tête ne reprenne sa place sur son torse.


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Ven 01 Mar 2013, 13:18

Cocoon s'était servit de son sac comme oreiller, et avait passé ses mains derrière sa tête. Nydelia était de plus en plus mal et il était presque désolé de ne pas l'avoir vu avant. Ils ne se voyaient tellement pas souvent, que ils ne prenaient plus le temps de se parler. L'ange passait énormément de temps à la citadelle, ce qui était totalement normal, et il essayait de le faire comprendre aux filles, mais lui-même, parfois, partait en quête d'un objet ou tout autre gains, parsemant ainsi ses mois d'un peu d'aventure.
Lorsqu'elle lui expliqua tout cela, plusieurs sentiments se mélangèrent en lui. Comme si presque, il regrettait, puis finalement non, il en était heureux, et ses doutes à elle commençaient à l'envahir un peu trop. Cependant, le discours qu'elle tenait commençait un peu à l'irriter. Il voulait en savoir plus.

« Ainsi... Les blessures causées par Shaolan ne guériront jamais ? Être avec moi ou un autre était-il si similaire ? Il a brisé ton cœur, et tu t'es toi même rendu compte que finalement tu l'avais idéalisé, qu'il n'était pas l'homme que tu croyais, je ne sais pas si tu peux tomber sur pire sérieusement. Je pensais vraiment que tu avais réussi a te dire que je n'étais pas une enflure de son espèce, que je valais bien mieux... »


Sa voix était calme et posée, il avait juste une certaine amertume.

« Devoir réparer les pots cassés de ce type ne me dérange pas, parce que c'est toi et que tu as toujours été spéciale, mais je prends différemment le fait que toi, tu déprime, a cause de quelque chose que je n'ai pas fais et que je ne ferais jamais. C'était un sale type, point barre, on tourne la page. Je suis quelqu'un d'autre, avec mes défauts et mes qualités, mais ce ne sera jamais pire, et si tu n'arrives pas a te relevé de Shaolan, alors pourquoi m'as-tu avoué tes sentiments ? »


Il s'éclaircit la gorge et la regarda :

« Je ne t'engueule pas, je veux juste comprendre ta façon de penser et d'agir... »


Comment pouvait-il lui en vouloir, ou lui crier dessus de toute façon, pour des choses dont elle n'était pas responsable ? Il préférait prendre cela avec le peu de tact qu'il avait, de manière à correctement mettre la situation au clair. Pour lui ce n'était pas logique qu'elle se soit donné à lui, alors qu'elle n'était pas guérit de l'autre, ça ne collait pas avec l'ange. C'était certain qu'elle l'aimait, vu que ses ailes n'ont pas pris la sale teinte noire, mais pourquoi penser encore aux erreurs des autres, alors que l'orisha essayait de faire le plus d'efforts possible pour la mettre à l'aise, et lui donner la belle vie ? Peut être qu'il n'y arrivait pas après tout, peut être que ce qu'il lui donnait n'était pas ce qu'elle voulait, ou ce n'était pas assez ? Peut être que depuis le début, ils faisaient fausse route tous les deux ?
Voilà que les doutes en lui s'immiscèrent. Se redressant, il s'appuya à la paroi rocheuse de la falaise, une expression contrit et frustrée sur le visage. M*rde, il voulait vraiment passer un bon moment. Oui il était heureux qu'elle lui fasse par de ses doutes, mais il ne pensait pas que ça allait autant l'atteindre. Au moins, ça prouvait un certain amour qu'il éprouvait envers elle.
Il acheva :

« Tu redeviendras celle d'avant, quand tu ne sera plus accablée par la lourdeur de ton poste. Tu as trop de problèmes pour être insouciante, c'est normal. Tu n'as jamais changé au fond, tu es toujours la même, seulement tu as évolué et tu as grandit, c'est normal, tu étais jeune quand tu es... Décédée, mais tu as fais du chemin depuis. Je n'ai jamais compris pourquoi tu avais peur de dormir avec moi. Je ne t'ai jamais rien fais pourtant ? »


Cette dernière phrase était une vraie interrogation. Il ne lui avait jamais demandé, mais il ne se doutait pas vraiment non plus de la réponse. Une timidité exacerbée ? Pourtant, lorsqu'il lui avait pris la main dans le labyrinthe invisible, elle n'avait pas hésité à l'aider et le guider, en ne le lâchant pas.

Toutes les questions qu'elle se posait, finit par l'accablé lui aussi. Il ne prit même plus la peine d'admirer le paysage, où la jeune femme à côté de lui tellement ça le travaillait, et ça lui minait le moral. Si il n'était qu'un homme, parmi tan d'autres qu'elle aurait pu choisir, et qu'elle ne lui donnerait jamais tout ce qu'elle a pu donner à Shaolan, étrangement, il ne voulait plus de ça. Cocoon était du genre passionné, le genre de type qui se damnerait pour elle, il vivait les choses à fond, et ne se laissait pas démonter... Sauf si sa moitié en souffrait. Si elle, elle ne faisait pas les choses à fond, jusqu'au bout, comme lui... Cette relation valait-il réellement la peine d'être vécue ?
Ramenant un genoux vers lui, il y appuya son coude et appuya sa tête contre sa main, regardant les gros coquillages sur le sol à côté de lui.
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Ven 01 Mar 2013, 14:07


Je compris rapidement que j'avais fait une grosse erreur. Que j'aurais du garder tout pour moi au lieu de le lui dire, mais le mal était fait et je devais bien m'avouer que je ne savais plus ou me mettre. J'écoutais ce qu'il disait, j'observais ce qu'il faisait et tout ce que je voyais et entendais me faisait bien comprendre que j'aurais dû la fermer, comme je l'avais toujours fait. Je ne pouvais pas vraiment expliquer, enfin, il y avait certainement moyen. Mais comment réfléchir quand une simple question vous transperçait le coeur comme une lance ? Est-ce qu'il me reproche vraiment de lui avoir avoué ? Est-ce qu'il aurait vraiment voulu que j'attende et qu'il soit trop tard ? Que je dépérisse à la voir dans les bras d'une autre ? Je ne crois pas que l'on voyait les choses de la même façon en faite, ce n'était pas un tord, bien au contraire, on devait seulement arriver à parlée pour que j'arrive à lui faire comprendre ce que je ressentais, mais ce n'étais pas évident du coup, il c'était éloigné alors que je voulais le touchée, mais en même temps, avec ce que je venais de lui lâcher, je préférais le laisser se détendre.

-Je n'a jamais dit que tu lui ressemblais, bien au contraire. Tu es totalement différent à celui qu'il était, et enfin de conte, je me rends bien compte que c'est ce que je préfère. Mais comme tu la dis, j'ai vraiment souffert de ce qui s’était passé, même si tu n'es pas moi, tu t'en es certainement rendu compte. Oui j'ai préféré de l'avouer, je ne pensais pas que je devais attendre et je suis désolée si tu avais préféré que ce soit le cas. On ne répare pas un coeur rapidement avec un doux massage comme pour le dos.

Je n'étais pas fâcheuse loin de loin, mais j'avoue que j'avais légèrement mal, car je n’aimais pas la tournure que prenait la discussion. Pourtant il fallait continuer il fallait que je lui explique ce que je ressentais, jamais je n'avais eu à le faire, du coup, je savais que je m'y prenais très mal. Persuadée qu'il ne le remarquerait même pas, je continuais la conversation d'une autre manier, pendant que ma tête allait de fondre dans mes genoux.

*je sais bien que tu ne me feras jamais le dixième de ce qu'il m'a fait. Mais j'ai tellement souffert que j'ai peur que ça recommence, même si les chances sont nulles. Et ça va dans les deux sens, qui nous disent ce qu'il peut arriver en des siècles d'existence. Pour le moment, on s'aime d'un amour inconditionnel, jamais on ne pourra faire du mal à l'autre, même si de mon cotée c'est déjà fait, car je vois bien que tu n'aimes pas ce que je t'ai dit. Mais dans trois siècles, on ne sonnait pas notre futur et j'ai tellement peur de revivre tout ça.*

Si j'avais continué par télépathie, c'est par ce que je ne voulais pas qu'il entende ma voix tremblante qui risquerait d'attirer son regard sur les larmes qui coulaient silencieusement sur ma joue. Hypocritement, j'espérais pour une fois qu'il était trop occupé par ce que j'avais osé lui dire, pour être concentrée sur mes émotions.
Il me vais alors aussi expliquer que je ne pouvais pas redevenir celle que j'étais maintenant, à cause de tout ce que j'avais comme responsabilité. Pourtant, j'étais certaine qu'il en avait qui n'avait pas vraiment changé, devant les autres peut-être, mais pas avec leur ami et certainement pas avec leur famille. Mes bras se resserrèrent devant cette fatalité, car j'avais peur cas cause de cela, il se lasse de moi. Tout cela était complètement stupide et je le savais, mais je ne pouvais m'en empêcher.

*je, tu sais dans mon village ce n'était pas courant qu'une fille dorme ne serais dans la même maison qu'un homme avec qui elle n'était pas marier. Du coup, ça me mettais mal à l'aise, c'est tout. La timidité aidant bien évidemment, ce sai, c'est ridicule.*

J'avais poussé un léger soupir avant de relevés la tête pour regarder l'horizon, n'osant pas tournée ma tête pour voir son expression. J'avais tout gâché.

*Cocoon, je suis désolée. Je n'aurais pas du te dire tout cela, je ne sais pas ce qu'il ma prit. Mais j'aimerais que tu comprennes que j'ai confiance en toi, les aventures que l'on a vécues ensemble me l'ont bien prouvé. Tu as toujours été plus proche de moi que n'importe qui d'autre, beaucoup plus protecteur. Tu es un homme que toute fille peut rêver avoir. Je n'aurais pas dû te dire tout cela, car je sais au fond que je suis complètement stupide, pour rester polie, cette peur est complètement infondée et malheureusement, à cause de ça, je viens de gâcher notre week-end.*

Je m'en voulais vraiment de la tournure que ça avait prise. Je m'étais alors relevée, essuyant rapidement mes yeux, pour me coller contre son dos, posant ma tête sur celui-ci, ma main sur son épaule. Ce n'était pas comme si je voulais oublier ce qu'il venait de se passer, mais en tout, je ne voulais plus réellement y penser. Mes mains commencement alors a passé sur son dos le plus délicatement possible. Ce ne détendais pas que les muscles des fois, ça permettait aussi de se sentir mieux dans sa tête.

-Je ne voulait vraiment pas te blessée, je suis désolée mon Cocoon.


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Jeu 07 Mar 2013, 21:46

L'orisha fit claquer sa langue. Il n'avait aucunement envie de bousiller cette nuit qui s'annonçait si bien, mais si Nydelia était prise par les doutes, il fallait aussi qu'il l'aide. C'était dur de se croiser ces derniers temps, alors lorsqu'ils pouvaient se voir, il fallait qu'ils communiquent. C'était important pour eux, pour la durabilité de leur couple. Cocoon détesta chaque mot que l'ange prononça et qu'elle lui envoya avec le plus de tact possible en pleine figure. Pire encore, elle torture son cerveau. Alors il préféra l'arrêter directement. Se mettant debout il dit :

« Sérieusement, tu te demandes maintenant, ce qu'on sera dans deux cent ans ? Je veux dire... Pourquoi ne vis-tu pas au jour le jour ? Je ne pense pas à tout ça, à si loin. C'est en y pensant que tout se brise. C'est bien de se prémunir contre le temps qui passe, mais de là à douter de moi, de nous... Je ne sais même pas si c'est utile. »

Il lui tournait le dos, ne la regardant même pas, les bras croisés, fermé. Ce genre de questions, il les détester. D'accord, c'était bien de temps en temps de prendre du recul, mais pas en parlant de ça, en disant qu'elle allait mal et que lui de pouvait rien y faire.

« Shaolan a briser une partie de toi et tu es en train de me faire comprendre que je ne pourrais jamais la réparer, et que tu protèges l'autre partie, de manière à ce que je ne l'atteigne pas si un jour je tente quoi que ce soit. Franchement... »

Cocoon lui fit face, mais resta là où il était :

« C'est bien que tu m'en aies parlé, car de toute manière j'aurais bien vu que t'éloignerai de moi, mais je ne sais pas si je pourrais le supporter longtemps. Je ne te demande pas de faire semblant. Je ne te demande rien, tu as le droit d'avoir des doutes et des peurs, je ferai tout ce que je peux pour t'aider, dans tout tes combats, comme je l'ai toujours fait, mais ce que je ne pourrais pas, c'est me dire que je ne suis pas important pour toi. Que tu es heureuse avec moi, seulement en apparence car derrière, tu te méfies, tu te dis que je ne pourrais jamais t'aider. Moi je veux être le seul dans ta vie, celui en qui tu as confiance, sur qui tu peux te reposer. Ecoute, je ne vais pas te faire de grands discours. Je t'aiderai tan que je pourrais, jusqu'à ce que je ne puisse plus rien faire. »

Et si rien ne s'arrange d'ici là, alors ils se sépareraient, car ça ne servira à rien de continuer sur une mauvaise lancée. Si Nydelia ne faisait que croire, qu'il lui semblait juste qu'elle avait confiance en lui, qu'elle l'aimait, mais que ce n'était qu'une façade, autant s'arrêter. Cocoon ne voulait pas d'une chimère. Il était passionnel, c'était du concret, du réel.
L'orisha fit claquer sa langue. Il détestait ça. Définitivement.
S'asseyant à nouveau, il vit Nydelia venir contre lui, poser ses mains sur ses épaules. Elle s'excusait de créer ces doutes en elle, en lui, en eux, mais apparemment c'était important. Il fallait qu'elle en parle.
Il mit ses mains sur les siennes, et appuya sa tête à la sienne.

« Tu ne me l'aurais pas dit, et alors ? Il se serait passé quoi ? Tu te serai éloignée, et je t'aurais vu partir. Je ne pense pas que tu aurais aimé vivre ça, renfermée sur toi même, sans pouvoir te fier à moi. Le futur te fait si peur, mais je n'ai rien pour te l'assurer. Je ne sais pas quoi faire pour te faire comprendre de ne pas en avoir peur. Je ne peux même pas me projeter si loin, comment y arrives-tu ? Que tu sois soucieuse d'avoir changer, d'avoir grandi trop vite, je peux tenter de le comprendre, mais que tu doute de nous, non. Non, non, non, c'est impossible. Résolvons tes problèmes avant de se soucier du futur. »

C'était clair. Il fallait que Nydelia gagne se duel avec elle-même. Cocoon lui, était définitivement dégouté de se dire qu'elle avait aussi peur de lui, et de ce qu'il pourrait lui faire, que cela. Il ne savait même pas si finalement, la lier à lui, aiderait en quoi que ce soit. Elle était forte, puissante, et même si elle ne se rendait pas compte des liens qui l'enserraient, au final, étaient-ils vraiment utiles ?

Fermant les yeux, il s'appuya sur elle. Soupirant :

« Embrasse moi, dis moi que tu m'aimes, dis moi que tu ne penses qu'à moi, que tu ne rêves que de moi, que tu ne peux pas te passer de moi. Embrasse moi, aime moi, ne me mens pas... »


La voix qu'il prit, le timbre qu'il adopta, les gestes qu'il fit, même sous ses yeux clos ses pupilles étaient brûlantes, toute sa personne était en train d'attirer Nydelia vers lui, en lui, tissant et solidifiant qu'un peu plus ce lien incassable que prenait de l'ampleur. Chaque seconde comptait, chaque minutes était en fait une année de relation qui s'instaurait. Et l'Ange avait l'air d'accepter cette influence inconsciente qui s'immisçait toujours un peu plus en elle.
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Ven 08 Mar 2013, 10:56


C'étais vrai que se demander ce qui pouvait m'arriver dans si longtemps pouvait être complètement stupide, mais en même temps, je ne savais pas trop faire autrement enfin pour moi. J'avoue que je pensais peut être de trop, vivre aux jours le jour, profiter de chaque moment que la vie nous donne, car elle n'est qu'éphémère... je le sais bien pourtant, ayant déjà perdu la vie, je savais que je ne devais pas penser à si loin et pourtant... cependant ce n'était pas vraiment ça qui me faisait le plus réfléchir, je n'étais pas habituée à parler ainsi du coup je m'exprimais mal, ou peut être que ce n'était simplement pas possible de réellement expliquer ce que je ressentais tant c'était complexe. À chaque mot qu'il prononçait, je me mordais la lèvre, je voulais tellement revenir en arrière. J'avais un moyen en plus, sauf que je ne l’avais pas pris avec moi vu que je ne croyais pas en avoir besoin. Je n’avais vraiment pas de chance cette fois-ci.
Pendant qu'il avait parlé, j'avais passé mon temps à jouer avec le sable, simple manier de ne pas me téléporter loin d'ici et d'arrêter de lui faire du mal. Je me maudissais intérieurement, je ne voulais plus jamais avoir ce genre de discussion. Qu'est-ce qui m'avait pris mon sang ? Même avec mes parents je ne m'étais jamais autant ouverte. Pourquoi est ce qu'il avait fallu que ce soit avec lui, pour quoi est ce qu'il avait fallu que ce soit maintenant ? Je me jurais alors de ne plus jamais la faire, en espérant que j'en sois capable. Car malgré ce qu'il disait, pour moi ce n'était pas une bonne chose. Déjà que, même si ce n'était pas ce que ça voulait dire pour moi, je pouvais comprendre que ça avait cette signification une fois les mots prononcer.

-Je suis désolé si je n'arrive pas réellement à m'exprimer, je n’en ai pas l'habitude, je ne sais même pas pourquoi je commence ainsi, sans doute ton charme naturel. Mais je veux juste de dire que je ne doute pas de toi, j'ai peur c'est vrai, car je ne crois pas que c'est quelque chose que je peux oublier si rapidement. Il me faudra du temps, mais un jour ce sera totalement oublier, si on peut dire. Mais douter de toi ? Non, je sais bien que c'est sans doute contradictoire, mais comme je te l'ai dit tantôt, il est parfais compliquer d'essayer de suivre mes raisonnements.

Il m'avait alors attrapé les mains avant de posée sa tête contre la mienne et il continua, ses questions, ses remarques, tout me touchait et je ne savais plus vraiment comment je pouvais réagir, j'étais mal et en même temps je savourais ce contacte, mes yeux se plongeant dans les siens avec une plus grande profondeur que l'habitude. Un faible sourire apparu sur mes lèvres pendant que je l'écoutais, plus il me parlait, plus j'étais Léger. Puis il me demanda quelque chose de beaucoup plus joyeux, plus personnel, mais tellement facile à lui réaliser.
Jouant avec l'eau pour le faire trébucher, mais l'air pour lui crée des matata soyeux avant que son dos ne touche le sol, il avise déjà assez souffler le pauvre. On finit tous les deux allonger sur le sable, moi sur sur, ne quittant pas ses yeux, posant ma main sur sa joue à profiter de ce moment.

-Cocoon, jamais je ne pourrais croire que tu me feras du mal, surtout inconsciemment. J'ai été stupide et ne crois pas que tu seras impuissant face à ce que j'ai vécu. Depuis le début, c'est toi qui me permets d'avancer. Tu est la première personne que j'ai vue, après Élise quand je suis revenue ici, rapidement, j'avais vu en toi le meilleur ami, le frère que je voulais. Petit à petit, les choses ont changé, mais tu étais toujours là, toujours présent quand ça n'allait pas. Tu à toujours su m'aider me conseiller et aujourd'hui... je peux me vanter d'être avec l'homme le plus merveilleux qu'il soit. Je ne sais même pas si : Je t'aime, est assez fort pour te dire à qu'elle point j'ai envie d'être à tes cotée, si je le pouvais je figerais cette plage à jamais pour que ce moment intime nous est éternelle. Je suis stupide par moment, car je sais que jamais tu ne me trahiras, jamais je ne devrais craindre que tu partages un lit avec quelqu'un d'autre, je ferais mieux d'oublier tout ce que j'ai vécu pour ne me souvenir que de toi, car c'est toi qui est le plus important à mes yeux maintenant et à jamais.

Mes lèvres partirent alors à la recherche des siennes, les réclamants plus que te raison, puis je fini par posée ma tête sur son torse, toujours installée sur son corps, heureusement que d'après lui j'étais légère et surtout qu'il avait une assez grande carrure pour éviter que je lui face trop mal.

-Tu veux une preuve que je ne doute pas de toi, tu à deux choses que je n'ai jamais données à personne. Mon coeur, dans le sens où je ne me suis jamais confiée à quelqu'un, même à ielenia, comme je viens de la faire. Et tu m’as déjà pris la chose la plus importante pour une fille de mon âge, enfin de l'âge que j'avais. Tu à raison cependant, je dois arrêter de me projeter si loin dans le futur, je dois réussir à vivre le jour le jour, comme ce matin ou après avoir entendu une simple légende, je suis partie dans un endroit aussi mal accueillant qu'était le désert, mais qui mon permis de faire LA rencontre qui à changer ma vie. Cocoon, je t'aime plus que tout, jamais je n'aurais cru qu'un jour je puisse connaitre un tel bonheur, ce que je visais est bien mince comparée à ce que tu m'apportes. Et je suis réellement désolée de tout ce que j'ai dit, car même si c'était nécessaire, j'aurais aimé que ce soit à un autre moment que ce soir.

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Les aventures d'une emplumée et d'un libéré[P.V Cocoonnet]

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