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 Les aventures d'une emplumée et d'un libéré[P.V Cocoonnet]

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Mer 13 Mar 2013, 23:38

Nydelia perdait de plus en plus ses moyens devant l'aplomb et les sentiments de Cocoon. C'était difficile de rester indifférent devant lui, lorsqu'il mettait autant de franchise et d'émotion dans ses paroles. Surtout pour elle, qui l'aimait à en perdre la raison, et qui ne voulait pas le perdre. C'était leur moment à tous les deux, et Nydelia avait décidé de mettre ses doutes au clair. Que grand bien lui en face mais Cocoon avait une patience limité quand il s'agissait de faire un point sur leur relation. Il n'était pas vraiment venu ici dans ce but et la conversation commençait à l'agacer. Se grattant l'arrière de la tête, il eu quand même de l'écouter jusqu'au bout au lieu de faire demi-tour et de partir. Et puis ses raisonnements étaient durs à suivre et compliqués à expliquer alors ça n'était en rien la mauvaise humeur de l'orisha. Cependant il se sentait las, et un peu trop détendu à son goût, comme si tout à coup, il ne se sentait plus concerné.

L'océan devant lui était calme, plat et les remous étaient silencieux. L'environnement contrastait avec le chaos qu'il y avait dans sa tête, et qui commençait à prendre un peu trop d'ampleur. Nydelia continuait de parler, et il lui jetait un coup d'œil de temps en temps, commençant à être distrait. Il n'était pas bien, ce genre de conversation ne lui plaisait pas et là, il avait assez entendu, assez supporté. Elle ne le quitterait, mais elle se faisait du soucis pour dans deux cent ans. Non. Ce n'était pas comme ça que ça fonctionnait. Deux cent ans... Sérieusement ? Cocoon serait surement mort d'ici là, tué au combat, comme le valeureux guerrier qu'il était...
Sortant de ses pensées, il entendit quelque chse qui attira son attention. Elle était aveugle, complètement aveugle. Son amour était si puissant, qu'elle avait les yeux fermés, et qu'elle n'hésitait pas à se jeter dans ses bras à corps perdu. Il aimait ça, cette sensation de possession et de liberté.

Ainsi, il était l'homme le plus merveilleux ? Parfait, parfait... Le lien qu'il était en train de tisser était déjà en train de faire effet. Lorsqu'elle prononçait ne serait-ce qu'un seul mot, cette corde invisible se consolidait, doucement mais surement, l'empêchant de partir. Juste cette pensée, se dire qu'elle était à lui et seulement à lui, égaya un peu son teint, et il finit de l'écouter. Il était semi-allongé, l'ange posé sur lui, légère comme une plume, et l'embrassant avec avidité. Ouais le contact, le corps à corps, ça c'était son truc. Les paroles ça allait bien cinq minutes, l'heure était aux gestes doux et affectifs. Cependant, il ne perdit pas une miette de ce qu'elle dit et ne l'interrompit pas. Mais il voulait lui répondre sincèrement :

« Ecoute, n'en parlons plus. Prends le temps que tu veux, je t'aiderai du mieux que je peux je te le promet. Tu as bien fait de m'en parlé, c'était important, mais nous en reparlerons car il faut que tu avances, que tu évolues encore dans cette direction. Tu es magnifique, n'en doute pas une seule seconde... »


Posant ses lèvres sur les siennes, il l'attrapa dans un baiser romantique et sensuel, voulant lui faire oublier ses problèmes et ses doutes. Certes elle essayerait de voir moins loin dans le temps mais l'orisha ne lui interdisait pas de se projeter, seulement de ne pas se faire du soucie pour les deux cent prochaines années qui arrivaient. Alors il ne su pas réellement si ses paroles la consola, ou si elle avait réellement comprit qu'il était de son côté, mais comme il disait, ils en reparlerons de toute manière. C'était important, il fallait qu'ils communiquent mais par pitié, pas dans de tels moments.

Faisant glisser ses mains sur sa peau douce, il remonta le long de ses cuisses, soulevant sa robe en même temps que ses doigts arpentaient ses courbes, pour venir se poser sur sa taille. Doucement il caressa ses hanches, ses fesses, ses reins, son dos, léchant ses lèvres, l'embrassant passionément, pour lui retourner le cerveau. Cette nuit elle serait toute à lui, comme jamais, et il avait l'impression qu'elle appréhendait. Mais il ne douta pas que ce n'était qu'une impression. La faisant glisser sur le côté, pour qu'elle soit sur le dos, il se retrouva sur elle, fourrageant dans ses cheveux, continuant de toucher son corps, trouvant sa robe un peu trop gênante à son goût, l'embrassant dans le cou, sur le buste, sans laisser de traces... Pour le moment.
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Jeu 14 Mar 2013, 20:04


Comment est-ce que j'avais pu cacher un si merveilleux moment avec mes idées complètement ridicules ? J'espérais vraiment que ça n'allait pas enta cher ce que nous contions faire, c'est à dire passée un très bon week-end loin de tout, loin de tout ce qui nous tracassait la tête surtout. J'espérais vraiment que nous pourrions, pas oubliez, ce n'est pas possible, mais en tout cas, mettre assez les choses de cotes pour pas que je continue à faire mon idiote en continuer a parler de chose complètement ridicule. Enfin, en même temps, vu que je n'avais plus vraiment l'impression d'être moi-même pour le moment, un léger sourire apparu devant cette constatation, après tout, jamais je n'avais autant parlée, jamais je n'avais ressenti ce besoin de me confier et surtout, jamais je n’avais eu aussi peu envie qu'il s'en aille. Bien sûr, c'était tous les jours la même chose, même si c'était plutôt moi qui partais. Mais jamais je ne m'étais sentie autant attacher à cet homme, je crois que je ne m’en lasserais jamais en faite et je ne crois pas que c'était un tord en faite.

-L' avantage, c'est que juste ta présence, juste tes mots et tes gestes suffisent à me soulager et ce même si on ne parle pas de cela, je ne crois pas que je t'en reparlerais un jour, je n’en ai aucunement l'envie et puis tout ce que j'avais sur le coeur, tu le sais maintenant, ce qui est déjà pas mal, on verra pour l'avenir, mais je ne devrais plus t'ennuyer avec ca.

Je ne voulais plus l'ennuyer avec ça, cependant, je ne savais pas si je serais capable de rester silencieuse maintenant, il était devenu beaucoup trop proche et comme j'espérais qu'il partage avec moi ses craintes et ses doutes, je devais en faire de même, mais pour moi, c'était si stupide de douter de lui.
Mes yeux fixèrent les siens, montrant l'amour que j'éprouvais pour lui, la sensation de bien-être que j'avais quand il était prés de moi. Tout en ce moment était pour moi idéal. Après tout, l'endroit était magnifique, il faisait un peu froid, mais la chaleur que dégageait son corps, et la mienne s'il continuait, me suffisais largement. Même si nous avions eux un moment malheureux. En gros tout était vraiment réuni pour que je passe un moment agréable.
Ses gestes qui était encore plus sensuels qu'en temps normal, si on peu dire, ses lèvres et ce regard, rapidement je m'étais retrouvée en position inverse, mais une chose qui était certaine, c'est que je ne pouvais me détacher de ce regard qui m'avait toujours énormément envoutée, comme si j'avais peur de voir la lueur dans ces yeux, comme si j'avais peur qu'il ne m'appartienne pas. Pourtant c'était stupide, je ne pouvais parler d'appartenance, surtout pour un Orisha, mais pourtant, dans mon cas, il était clair que je lui appartenais tout entier.
Mes doigts qui voyageais sur son dos, un sourire qui ne pouvait se défaire collée au visage, je voulais vraiment profiter de ce moment, je ne voulais pas partir, je ne voulais pas qu'il me laisse, je ne voulais plus penser à rien du tout.

-comment est ce que quelqu'un comme moi a pu avoir la chance de tomber sur quelqu'un comme toi. La seule chose que je regrette avec nous, c'est que nous ayons été aveugles si longtemps, j'avais beau me croire heureuse, ce fut la plus grosse illusion dans laquelle j'étais plongée. S'il te plaît, reste toujours auprès de moi.

Le dernier demande avait été dite dans un souffle, l'exprimation du besoin immense que j'avais réussi à formuler, cette envie qu'il est a moi, tout en lui laissant sa liberté, mais sans oublier ma crainte. Je l'aimais, inconditionnellement, je crois, cas l'instant d'une orine et son maitre, je serais capable de tout faire pour lui faire pour lui, tout en sachant que je ne serais pas dans l'extrême à faire tout ses caprices quand même, mais le plus possible pour réussir à le rendre heureux.

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Mar 09 Avr 2013, 17:30

« Aime moi, pour le présent que nous sommes en train de vivre... Je t'en reparlerai au moment voulu mon amour... »

Il l'embrassa, la retourna, la couvrit de caresses et de baisers, commençant doucement son ballet de gestes sensuels, et agréables, mais l'Ange continua de parler, émettant des demandes à voix hautes. Cocoon se laissa un peu retomber sur elle en un soupir, embrassant juste doucement son cou en l'écoutant.

« Je serai toujours là pour toi, Nydelia. »

Il en avait marre qu'elle doute de lui, d'eux, de leur futur, de leur passé. Il avait l'impression qu'elle regrettait de ne pas avoir ouvert les yeux, dans la pyramide, mais lui trouvait ça logique. C'était leur première rencontre, et il avait fallu que les choses se fassent d'elles-mêmes. Et puis à l'époque il avait Oëna, alors il n'avait pas été question d'aller voir ailleurs.
Mais maintenant, tout cela, c'était terminé.
Il se rendait compte qu'il ne pouvait chasser son naturel, que quelque chose s'était brisé en son fort intérieur, et qu'il n'était plus le même. Cependant, lorsqu'il était avec Nydelia, il lui vouait sa vie sa problème, et lui donnait une affection énorme. Si quelqu'un la touchait, ce quelqu'un était définitivement mort, c'était comme ça.

Portant ses lèvres contre sa joue, contre sa peau, pour arriver à ses lèvres, il murmura doucement : « Ca va... Détends toi, je ne veux plus que tu penses à autre chose. Juste à moi. », avant de fermer a nouveau les yeux et doucement glisser ses lèvres sur son buste. Sa peau était encore salée, dû à la baignade d'il y a une heure, mais ce n'était pas désagréable. Les lèvres de Cocoon s'asséchèrent rapidement, et il du se les lécher pour les humidifier. Une fois, deux fois... Puis la troisième fois, il se servit de sa bouche mouillée à elle, pour les hydrater.
Ses mains parcouraient ses courbes voluptueuses, sous sa robe, avant d'y tirer dessus pour qu'elle la quitte, et de lui offrir la vue la plus merveilleuse. L'orisha se redressa, sourire en coin, sa stature étant à "contre-jour" par rapport à la lune, Nydelia ne devait surement voir que ses yeux vairons, sans rien distinguait de plus, alors que lui voyait toute la pâleur et le charme de son corps. Et il ne s'en séparerait pour rien au monde, tout ça était à lui. A lui, et lui seul.

Même s'il l'aimerait toujours, quoi qu'il lui arrive, il n'aimerait pas qu'elle soit déchue, sous aucun vice. C'est une Ange, un être pur. La déchéance signifiait être faible, tellement faible... Face à un pêché. Quand il la comparait à Aya, il trouvait que cette dernière n'avait rien. Pas de charme, pas d'envergure, pas même de savoir vivre. Elle faisait des manières, parce qu'elle était Reine, mais même son naturel était difficile à percevoir. Non vraiment, si un jour elle devait faire partie de ce peuple, ce serait le plus malheureux des hommes. Se baissant, il se perdit dans son cou, dans ses cheveux, mettant ses avant bras de chaque côté de son corps pour ne pas l'écraser, sentant sa poitrine sur sa peau brune et bouillante. Il essaya de ne plus penser à cela, de lui aussi profiter du moment présent, d'arrêter de penser à n'importe quoi comme ça. Elle est Ange, et mourra Ange. Point.

« Je t'aime tellement... »

Sans s'en assouvir, il revint sur ses lèvres, se prouvant qu'elle était là, bien là, blanche, pure, délicate, belle, rebelle... Elle était la Déesse de ses nuits, et il en profiterait jusqu'à la dernière goutte, il prendrait tout ce qu'il peut, et lui donnera autant.
Une main passa dans son dos, arriva à la cambrure de ses reins, et il passa complètement son bras dessous, pour la coller à lui, la surélevant légèrement au niveau de son torse. Ses lèvres y accédèrent plus facilement, sans trop d'efforts, cherchant avec toujours autant d'avidité, ses points sensibles, ses faiblesses charnelles.


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Lun 15 Avr 2013, 16:48


Il y avait quelquefois ou il me semblait contradictoire, car l'aimée pour le moment présent ? Il avait totalement raison, me lancer dans le futur était quelque chose de complètement stupide et surtout, personne ne pouvait savoir qu'est-ce qui allait réellement se passer à l'avenir. Mais alors pourquoi est-ce qu'il souhaitait m'en reparler plus tard ? Je ne trouvais pas cela logique, s’il voulait que j'évite de me projeter dans le futur, vaudrait peut être mieux évitée de continuée d'en parlée tout simplement. Je ne pus donc m'empêcher de lécher un petit rire sous la constatation de la situation. Je profitais néanmoins de chaque geste tendre qu'il pouvait m'apporter, savourant son souffle à chaque parole qu'il me disait, qui me rassurait et rendait ma réaction de plus en plus stupide, même si elle avait été complètement incontrôlée et que j'aurais aimé garder pour moi en fin de conte.
Quand a l'idée de ne penser cas lui, je n'y voyais pas vraiment d'inconviennient, en même temps, il m'était assez difficile d'y faire autrement, avec ses caresses, ces baisers dont il me recouvra littéralement, ma main passait dans ses cheveux aussi délicatement que possible, mon doigt se posant quelque sur ses lèvres avant que celle-ci rendre de nouveau en contacte avec ma peau. Après mainte et mainte geste de tendresse, je pouvais sentir le contacte du sable directement sur ma peau, un nouveau sourire étant apparu sur son visage, certainement satisfait de la suite certaine des événements.
À force de le laisser « découvrir mon être, je ne pus empêcher un frisson parcouru mon dos quand l'homme qu'il était refermait quelque peu son emprise sur mon corps. Instinctivement, mes dents lui mordillèrent quelque peu ces lèvres qui passaient leur temps sur les miennes. Mes doigts passèrent sur sa colonne vertébrale, appréciant chaque instant de ce contact sur sa peau toujours étrangement chaud. Il pouvait être étrange de s'être trouver tout les deux, car quand on y réfléchissait, même physiquement, nous étions totalement opposée tous les deux, mais peut être que c'était justement cela que j'appréciais dans notre relation, ça pouvait être ennuyeux d'être avec quelqu'un qui nous ressemblait ne fus qu'en partie. J'avais alors relevé la tête pour me permettre d'atteindre le creux de son oreille et pouvoir lui susurrer ces mots que j'aimais temps.

-Je t'aimerait pour l'éternité, étoile de mes nuits.

Une lueur quand tout était sombre, voilà ce qu'il représentait pour moi, celui qui serait toujours me guider dans mes choix, avec autant de franchise qu'il en était capable. Mes yeux fixés dans les siens, je ne pouvais défaire mon regard du sien au seul moment ou lui-même défaisait le contacte, mais pour m'offrir un contacte plus doux encore. Je devais bien avouer qu'une autre chaleur m'envahissait, mais elle était aussi agréable que les gestes eux-mêmes. J'étais vraiment contente de pouvoir passée un moment ainsi tous les deux, ce faisait trop longtemps qui rendait ce moment encore plus précieux, je contais vraiment profiter de ce moment au nous étions rien que nous deux le plus possible.

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Mer 01 Mai 2013, 21:41

Soit à moi. Soit à moi. Appartiens moi, pour le restant de tes jours, pour le restant de tes nuits. Regarde moi, savoure moi, embrasse moi, rêve de moi, pense à moi, vie moi, vie en moi, adore moi, aime moi, ne me résiste pas...

Cocoon était au Paradis. Vraiment. Sa femme, la plus belle des femmes, était devant lui, son corps entier était à lui, elle lui appartenait, et pas seulement pour une nuit non... Pour toute la vie.
Quand il colla son joli corps contre le sien, et qu'il l'embrassa, il sentit les mains de l'Ange parcourir son dos musclé, et ses dents mordiller ses lèvres, jouer avec ses sens. La peau brune et chaude de l'orisha, touchait en permanence celle plus fraîche de sa belle amie, ce qui lui procurait quelques frissons bénéfiques et sensuels. Mais alors qu'il se perdit en caresses, il entendit l'Ange lui murmurer des paroles, qui le firent vibrer. S'il écoutait ses instinct masculins, il ne se ferait pas prier, et se ruerai sur elle, enlevant ses propres vêtements, et la mangeant sur le champs, sans l'once d'un répit, et jusqu'à ce que le cœur lâche, cependant... Il était tout de même assez civilisé pour ne pas faire n'importe quoi, n'importe comment, alors il fut patient, et prit sur lui, montrant simplement un dixième de sa fougue en se couchant sur elle, et en l'embrassant frénétiquement. Oui, oui encore, encore !

Le bronzé ne décolla plus ses lèvres de sa peau les laissant parcourir cette fois ci son corps entier. Il voulait lui donner tout l'amour qu'il avait pour elle, tout ce qu'il ressentait, toute l'affection qu'il éprouvait, sans la laisser respirer une seule seconde, sans qu'elle ne puisse dire ouf, sans qu'elle ne puisse souffler... Il voulait l'épuiser. Et pour ça, il fit attention de s'y prendre doucement, avec une certaine langueur, pour qu'elle le désire un peu plus à chaque fois. Ses mains glissèrent sur sa taille, sur ses hanches, serrant ses cuisses dans ses paumes, embrassant sa machoire, pour aller mordiller son lobe d'oreille. Son souffle chaud envahit son cou, sa peau, son corps, l'enivrant de son odeur virile et masculine, mélangée à la brise marine venant de l'eau. L'Océan était calme, doux, même si quelques vagues venaient lécher les rochers des falaises, ils n'étaient que touché par l'air humide et salé.

Cocoon avait l'impression de rêver à chaque fois qu'il la possédait. Une Ange, la Déesse, juste pour lui, et à qui il avait volé le cœur... Irréel. Sa bouche avide descendit encore, pour atteindre sa poitrine, dont il prit soin comme si c'était aussi fragile que du cristal -en tout cas, pour lui, ça l'était tout autant- et martyrisa ses sens de sa langue mouillée. Le début de plaisir que Nydelia pouvait éprouver, se vit grandement au travers de son corps, et ses moindres pensées étaient maintenant devenues transparentes pour l'orisha. Mais son corps à lui réagissait aussi, tout autant que le sien, et ce fut assez rapidement, qu'il se départit du reste de ses vêtements, avant de l'attaquer à nouveau. Cocoon contempla son visage embué des prémisses du plaisir qu'il lui infligeait, et lécha ses lèvres, dans un sourire carnassier, se délectant de cette vision. Mais le désir ne devait pas se faire attendre trop longtemps, alors il reprit son petit délice, là où il s'était arrêté, maintenant bien plus à l'aise.

Quand il se concentrait, il pouvait sentir son odeur florale, presque bénéfique, toucher le grain doux de sa peau. C'est horriblement addictif...
Il ne lui parlait pas, car les paroles n'étaient pas nécessaires dans ce genre de situation, seuls leurs mains et leurs corps parlaient, et c'était suffisant. Les doigts fins de l'Ange parcouraient son corps nu et musclé, qui en demandait toujours plus, maintenant plus gourmand que jamais en tendresse, affection, attention, et en caresses.

La nuit devenait de plus en plus chaude pour eux et ils allaient se perdre l'un dans l'autre, comme ils l'avaient fait plusieurs fois, même si cette fois ci, c'était en extérieur. Nydelia était sa seule, à cet instant là, et plus rien d'autre ne comptait, mis à part savourer l'instant présent.
Le lendemain était loin, et le soleil attendra avant de se lever. Il attendra que leur nuit s'achève, il attendra que, d'eux même, ils mettent fin à leur nuit d'amour. Si seulement il n'était pas un Orisha, si seulement il n'avait pas ça dans le sang, la Liberté, il se serait certainement marié avec elle, et rapidement. Mais il tut ses pensées, préférant réfléchir à ses actes charnels qu'à un futur qui n'existera jamais.

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