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 Masterchef [P.V. L'emplumée]

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Lun 11 Fév 2013, 13:06

Seulement une semaine s'était écoulée depuis le drame de la centrale électrique. La vie avait doucement repris son court. Hasnna avait dormi pendant deux jours, et, alors qu'Alicia allait à l'école, la gamine était resté à la maison. Une fois cette fatigue physique et mentale passée, Cocoon essaya de la faire aller en cours. Lorsqu'il allait la chercher le soir, elle avait toujours ses habitudes telles que se vautrer dans les bras de son père à la sortie de l'école, arriver fatiguée à la maison, manger, se laver, dormir... La routine mais en pire. L'orisha avait pris le temps de couper les mèches de cheveux qui avaient brûlé, de lui racheter des vêtements, et de prendre soin d'elle à son réveil définitif.
Mais voilà qu'elle était déprimée, elle pleurait souvent quand il la couchait, ou même en classe, ne faisait pas les dessins joyeux d'autre fois, et ça commencer à bouffer Cocoon. Même Alicia n'arrivait que peu à la distraire.

La fin de semaine arriva, et la veille, le père perçu un sembla de sourire sur le visage de sa fille, lorsqu'il alla la chercher à l'école. Sérieusement ? Était-elle heureuse à nouveau ?
La journée se finissant, en vient l'heure où il fallait qu'elle se couche. Elle ne pleura pas et alla gentiment au lit. Pendant la semaine, le bronzé avait mis des barreaux à la fenêtre de sa chambre, pour qu'aucun incidents ne ré arrive. Ayant demandé à Alicia et Nydelia, celles-ci n'y virent aucun inconvénients, vu que Alicia n'allait dans la chambre que pour y dormir, donc elle ne verra pas franchement si les fenêtres avaient des barreaux ou non.
Montant dans la chambre, il dit en enlevant son débardeur :

-Je crois qu'elle commence à aller mieux... Ça m'énerve de ne pouvoir rien faire... C'est dans ces moments là où je me sens tellement inutile !

Il était en colère contre lui-même. La pauvre devait se sentir relativement seule dans ce combat et Cocoon commençait à s'impatienter. Il Voulait lui insuffler de l'espoir, du courage, mais malheureusement elle devait faire son expérience, et lui, ne sera pas toujours là pour la porter à bout de bras comme cela.
Éteignant les lampes à huile, seule la lumière de la lune éclairait la pièce.
Ainsi, dans la pénombre, il se débarrassa de ses derniers vêtements, se glissant sous les draps près de l'ange, et l'enssevelit sous son corps musclé, pour la bercer de caresses langoureuses, et de baisers passionnés.

Le lendemain, toute la maison dormait à point fermée. Sauf deux chipies. Et ça faisait longtemps !
Courant dans tout le salon, personne n'était là pour les arrêter, vu que Daemon était partis de son côté et le couple dormait. Cocoon, allongé sur le ventre la tête dans le cou de l'ange, et un bras par dessus son corps, la tenant serré contre lui -il adorait la sentir, même dans son sommeil-, commença à entendre le raffut en bas. Bougeant légèrement, laissant sortir un gémissement rauque, il entendit les petits pas se précipiter dans la chambre.

-Papa ! Papa !

-Maman ! Maman !


Allons bon. L'orisha ne doutait pas une seule seconde que Nydelia allait être bien plus réactive que lui et, avec un effort surhumain, décala son bras de son corps, sans bouger de position. Alors il sentit le drap se poser sur ses fesses nues et la moitié de son dos. Ah oui, Alicia avait les pleins pouvoirs de sa vue. Bordel. Les fillettes montèrent sur le lit et alors qu'Hasnna s'aventurait, debout, sur le dos de son père, l'autre dit pleine de conviction :

-Aujourd'hui, on va faire la CUISINE !


Cuisine ? Quoi ?

-Ouiiii ! Des gâteaux ! Papa ! Papa ! Des gâteaux !


-Les filles... Hmm... Vous faites ch...


Il du se taire rapidement, sentant, sous ses yeux clos, le regard de l'ange. Ouais. Pas de gros mots. Bordel.
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Lun 11 Fév 2013, 13:35


La vie essayait de reprendre son cours, difficilement, mais surement. Il était difficile d'être comme avant quand on savait qu'une enfant souffrait à ce point, mais nous ne pouvions rien faire si ce n'est que lui apporter le réconfort qu'elle avait besoin. Ça ne changeait rien à ce sentiment d'impuissance. Hasnna avait dormi longtemps, mais elle en avait besoin, et même quand on l'estima assez reveiller pour reprendre les cours, surtout pour lui changer les idées, elle était encore fort affaiblie. Mais on pouvait y arriver. Elle allait remonter la pente, j'en étais certaine. Ce qui m'était tout aussi douloureux, c'était de voir Cocoon dans cet état, il se sentait aussi impuissant que moi et cela rendais malade. On avait juste pris une ultime mesure pour la chambre, des barreaux. Si j'avais donné mon accord pour leur sécurité, au fond de moi je n'étais pas réellement pour, mais c'était pour elles, pour leur sécurité.
Le soir, il finit par me dire qu'elle devait commencer à se sentir mieux, il était vrai qu'il était resté moins longtemps dans la chambre ce soir. Je priais pour qu'il aille raison, tout en m'installant dans ses bras.

-J' espère que tu as raison. J'aimerais tant la revoir joyeuse et entendre de nouveau ses rires se joindrent à ceux d'Alicia. La maison est trop calme.

Beaucoup trop calme à mon gout pour le moment, mais bon, ça ne cessait de me dire que c'était passager, que ce serait bientôt fini et qu'elle retrouverait vite son joli sourire. Complètement plaquer à lui, je me laissais bercer avant de finir par plongée dans un sommeil un peu plus calme, baignée de l'espoir que la petite irait de mieux en mieux au fil des jours.
Mais jamais je n'aurais cru que ce serait aussi radical, le lendemain, alors que nous étions encore endormis, des bruits commençaient à ce faire entendre à l'étage du bas, chose qui n'était plus arrivée depuis longtemps. J'ouvris alors les yeux attentifs au son. J'entendis alors la porte s'ouvrir et les gamines nous appeler à tour de rôle. Cocon avait alors décalée son bras et j'en avais vite profité pour remettre le drap sur son corps, a temps avant que les gamines montent sur le lit, Hasnna utilisant un ton plus joyeux que ces derniers jours. Je tenais alors la main de la petite qui grimpait sur son père, pendant que l'autre décrétait le programme de la journée. Cuisine ? Pourquoi pas, mais cuisiner des pâtisseries avec ces deux-là... heureusement que l'on était bien reposée. J'entendis alors Cocoon marmonnée, son fils était aveugle, mais pas sourde. Heureusement il ne finit pas sa phrase.
Je fis descendre les deux gamines du lit, les regardant tour à tour, si ça pouvait leur faire plaisir, pourquoi pas, ça leur changerait les idées et puis surtout, ça nous donnerait l'occasion de passée un bon moment tous ensemble.

-Les filles, vous allée descendre calmement, Alicia, tu va prendre le livre de recettes et vous allée réfléchir toutes les deux aux gâteaux que vous voulez faire d'accord.

Elles sortirent alors rapidement de la pièce, pendant ce temps je m'étais rallongée sur le corps de l'Orisha, la tirée de son confort qu'étais le lit était cruelle tant je le trouvais adorable dans cette position.

-J' espère que tu as bien dormis, car on va en avoir besoin pour aujourd'hui. Tu estime à combien nos chances d'avoir la cuisine entière à la fin de la journée ?

Je déposais alors mes lèvres sur les siennes avant de me lever et me préparer, je ne voulais pas les laissée trop longtemps toute seul, s’il leur venait à l'idée de commencée ce serait la catastrophe, quoi que, il fallait sans doute allée faire des cours alors bon. Je descendis rapidement, voyant une liste de gâteau faramineuse. On allait réellement y passée la journée, surtout qu'elles s'attaquaient aux biscuits, j'espérais que Cocoon était motivée, car là on allait avoir besoin e beaucoup de courage pour survie à cette journée. Je commençais alors à regarder ce qu'il fallait, tout en regardant ce que l'on avait, poussant un soupir, je me tournais alors vers Cocoon qui venait d'arrivée.

-Bon, ben une déjeunée copieux, puis en route pour le marcher.
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Lun 11 Fév 2013, 20:21

Nydelia fit descendre les filles, et Cocoon la sentit s'allonger sur son dos. Il ouvrit les yeux, poussant de légers râles, en voulant encore.

Citation :
-J' espère que tu as bien dormis, car on va en avoir besoin pour aujourd'hui. Tu estime à combien nos chances d'avoir la cuisine entière à la fin de la journée ?

Trop peu de chance. Malgré tout il émit un petit rire, imaginant la fin de la journée, avec la cuisine à l'envers. Mais la séance câlins fut bien trop courte pour lui.

-Reste... Non...

Il grinça des dents, triste de devoir se lever.

Après s'être correctement lavé et habillé, il descendit les escaliers pour rejoindre les filles au rez-de-chaussée. Laissant échappé un baillement, il tourna son bassin faisant craquer son dos. Devinant les pensées de sa belle il dit :

-Je vais beaucoup mieux depuis que tu me masses...

S'approchant, il passa ses bras autour d'elle, puis l'embrassa en lui disant :

-...j'ai déjà hâte le prochain d'ailleurs.


Sa phrase sous entendait bien des choses, mais Alicia les rappela à l'ordre :

-On a choisiiii !


Hum... L'orisha lâcha l'ange pour qu'elle aille voir tous les gâteaux et soupira en disant quelques mots. Effectivement, la liste semblait être plus que longue, et la journée aussi.

-Hasnna ! Il faut que tu dises a ton papa d'arrêter de faire des bisous à ma maman !


-Papa... ?


Sérieusement ? Ne me dites pas que Alicia était encore jalouse et possessive au point de râler quand elle les voit se donner amour et tendresse ? Et si...
Cocoon prit sa fille dans ses bras :

-Il est l'heure de manger les filles, on partira au marché après comme l'a dit votre mère.

Reposant la sienne par terre, elles allèrent toutes les deux s'asseoir à la table, attendant que les parents leur préparent le petit-déjeuné. Voyant Nydelia faire des aller-retour de la table à la cuisine, essayant de tout gérer, il la vit trébucher. Tendant le bras il la rattrapa, sous un coup de stress, et finit par la serrer contre elle.

-Tu tiens tan que cela à finir à terre ? Ca peut s'arranger tu sais...

La dissimulant par sa carrure, il la colla doucement au mur derrière elle, posant son avant bras dessus, et se courbant pour l'embrasser. Il l'emprisonna entre l'étreinte de ses bras, l'affectionnant plus que de raison, voulant toucher son corps, et aventurant une main sous sa robe, remontant au niveau de sa cuisse. Entendant les filles ronchonner, il se plaqua de plus belle à elle, collant son corps au sien, continuant l'ascension de cette main baladeuse. Cocoon ne voulait pas qu'Alicia les voit, planqué derrière les plans de travail, mais en même temps, il avait tellement de Nydelia. Malgré tout, il du s'arrêter, posant sa tête sur son épaule. Il en voulait plus. Beaucoup plus.
Prenant quelques secondes, il se redressa complètement et se détourna d'elle, pour sa sécurité.

Une fois le petit monde nourrit, et eux aussi, ils sortirent pour faire les courses nécessaires pour la préparation de tous ces gâteaux.
Le marché leur présentait des ingrédient frais, à foison, et le panier en osier que tenait Cocoon commençait à peser son poids. Le posant à un moment, il fit attention que Nydelia n'essaye pas de le soulever, certain qu'elle allait se déboiter une épaule -quand bien même elle serait arrivé à le soulever-. Mais voilà qu'il s'éloigna un moment, laissant les filles avec l'ange pour s'occuper d'autres ingrédients ailleurs, une femme vint l'aborder.

-Bonjour ! Vous êtes Cocoon ?


Les sourcils froncés, le visage fermé, le regard froid et dur, il balaya la place rapidement. Reposant ses yeux acérés sur la femme il dit :

-C'est pour... ?


Comment se faisait-il qu'elle connaissait son nom ?

-Enchanté, de suis Iria, la maitresse d'Hasnna. Quelle bonne surprise de vous rencontrer ici !


L'orisha trouvait qu'elle insistait un peu trop sur certains mots mais leva la tête, regardant par dessus son épaule, silencieusement. Devant ce blanc de conversation affligeant, l'institutrice reprit :

-J'aurais grandement aimé vous parler du comportement de votre fille en cours...


-Papa t'es où ?


Se retournant dès qu'il entendit sa gamine, il lui fraya un chemin dans la foule, se baissant pour la porter sur son bras. Tenant toujours ses achats de l'autre il dit :

-J'aimerai que vous me parlez de tout cela plus tard, car je suis un peu occupé.

Montrant d'un coup d'œil son bras dont les muscles étaient bandés, sous le poids du panier, la femme se mit tout à coup à compatir.

-Oh oui bien sur. Peut être puis-je vous raccompagner ?


Non mais elle était sérieuse ?
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Lun 11 Fév 2013, 21:10


Un craquement, suivi d'un bâillement se fis alors entendre, tournant mon regard vers Cocoon, il me dit rapidement qu'il avait hâte du prochain massage. Je le regardais sourire aux lèvres, comprenant rapidement où il voulait en venir. À force de laisser parler ses hormones, c'est les miennes qu'il allait réveiller. Me prenant dans ses bras, je sentis a nouveau ses lèvres, mais comme une phrase placer au bon moment juste pour nous héritée, j'entendis la voix de nos filles, la première disant rapidement qu'elle avait trouvé, puis faisant une demande particulière. Je lâchais alors un léger rire a l'entende de l'unique mot prononcer par Hasnna. Elles n'étaient pas possibles.
Mais heureusement Cocoon ne se laissait pas démontée pour autant, alors qu'il leur avait dit qu'il fallait déjeuner, je commençais à toute préparée pour les gamines, mais je fus interrompue par une nouvelle chute, il fallait vraiment que je retrouve l'équilibre, mais heureusement, pour le moment cocoon savait me rattraper, ses paroles, ses gestes... tout me faisait comprendre que ses hormones étaient en ébullition. Rapidement, je m'étais retrouver plaquer sur le mur qui était dernier moi, ses gestes réveillant les miennes et ma main finies par agripper les cheveux derrière sa nuque. Lui rendant ses baisées aussi passionnément que je le pouvais, oubliant presque la présence des gamines, même que ce dernier m'avait rapprochée de lui pour cacher ses gestes aux gamines. Mais âpres quelque temps, alors que j'avais l'impression que mon corps était aussi chaud que le sien, il s'interrompe et on du se rendre à l'évidence que ce n'était pas le moment. Vous n'aviez plus cas imaginez un ange avec la tête de quelqu'un à qui on avait privée de cadeau de noël.
On sorti alors pour allée faire les cours une fois que tu le mondes eu manger, le panier se remplissait copieusement, le vendeur de farine nous avait regardé étrangement quand il avait vu la quantité que nous lui avions pris. Mais vu la liste, il valait mieux ne pas en prendre trop peu et puis au pire, on trouverait un moyen d'utiliser le trop. Après quelque instant, alors que je voulut demander quelque chose à Cocoon, je le vis un peu plus loin en train de parlée avec une autre femme, le regard un peu trop évocateur. Je sentis alors quelque chose naitre en moi, comme une envie d'en savoir beaucoup plus, mais surtout que cette jeune femme s'en aille d'ici.

-Mais qu'est-ce qui...
-C' est la madame d'Hasnna maman.

Je les regardais un instant avant de m'approcher, juste au moment au Cocoon lui disait qu'il n'avait pas le temps, celle-ci lui proposa alors de le raccompagner. Sans comprendre réellement ce qui m'arrivait, j'arrivais rapidement près de Cocoon, mon bras s'enroulant autour de sa taille, enfin autour... et je jetais un regard à cette fille.

-Escusez nous, mais aujourd'hui c'est journée exclusive en famille. Je sais très bien raccompagner mon homme à notre demeur.

C'était quoi ces signes de possession dans mes termes ? Je ne savais vraiment pas ce qu'il m'arrivait, mais en tout cas, je l'entrainais rapidement vers la suite des cours, voulant simplement l'éloigner le plus loin possible. Puis je regardais le panier, comprenant qu'il valait mieux que nous nous en tenions à ce que nous avions. Je continuais notre chemin vers la maison. Une fois arrivée, je regardais les gamines pendant que Cocoon posait le panier sur la table.

-Bon, vous allée allez vous changer, mettre de vieux vêtement que vous n'avez pas peur d'abimée. et que je n’aurais pas besoin de laver s'ils étaient en trop mauvais état. -Puis vous allée vous lavée les mains et plus vite que ca.

Les regardant se diriger dans la chambre, je retournais prés de cocoon pour posée mes mains sur son dos, déposant un doux baisé entre ses omoplates, bon d'accord, j'avais du me mettre sur la pointe des pieds, mais bon. Puis je commençais alors à séparer les choses pour préparer le premier gâteau en attendant les gamines.
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Lun 11 Fév 2013, 21:44

Alors que la typesse s'accrochait à ses basque, il sentit de petits bras féroces s'enrouler autour de son corps, et Nydelia prit rapidement les devant. Quel caractère ! Bon sang, si ça n'avait tenu qu'à lui, il l'aurait tripoter en public, ne pouvant attendre d'être rentré ! Il regretta presque d'avoir des responsabilités de père, voulant rentrer le plus vite possible pour se laisser aller. Mais réfrénant ses ardeurs, il passa un bras autour des épaules de l'Ange et lança un regard de mépris à la femme.

Une fois rentrée, il sentit la jeune femme caresser son dos et l'embrasser, avant de s'attaquer plus sérieusement au cas des filles et des courses. Mais elle n'allait pas se débarrasser de l'orisha comme cela. Se retournant, il la souleva pour l'asseoir sur la table de la cuisine, pendant que les filles étaient dans la chambre, et mit les mains sous ses cuisses, la tenant fermement contre lui. Ses lèvres capturèrent une nouvelle fois les siennes, et l'adrénaline fut telle, qu'il ne pu retenir son désir. La martyrisant de baisers dans le cou, il dit de sa voix rauque et suave :

-Madame est possessive ? Quelle belle surprise...

Il en était tellement heureux qu'il serait prêt à recommencer. Après tout, il savait que sur ce terrain là, les femmes pouvaient mener de vrais combat de coqs, jusqu'à l'humiliation. La plupart du temps d'ailleurs, il les laissait faire. Et puis, dans son égo, il se sentait flatté. Il avait bien sentit l'espèce d'agacement qu'elle avait ressentis, mais il avait préféré resté muet sur le trajet. Cocoon savait Nydelia passionné. Ils n'avaient pas eu l'occasion d'avoir beaucoup de relations entre eux, mais les deux fois où ça avait eu lieu, la jeune femme avait été un peu moins timide à chaque fois. Maintenant, ça avait même l'air d'être une toute autre personne dont le désir rongeait le système nerveux même. Le fait qu'elle fasse glisser ses ongles sur sa peau, qu'elle passe la main dans ses cheveux... C'était, pour lui, des détails qui étaient tels, qu'il ne pouvait résister très longtemps à ses charmes. Là aussi, une de ses mains glissa le long de sa cuisse, remontant son vêtement pas la même occasion, mais la porte de la chambre des filles claqua, et cela signala la fin des ébats.
Prenant juste Nydelia dans ses bras, il dit en chuchotant :

-C'est un vrai calvaire de devoir vivre avec nos filles... Ca aurait pourtant été tellement plus simple sur cette table...


Même si à première vu ses paroles n'avaient pas vraiment de sens, au final on se rendait compte qu'il pensait à le faire dans la cuisine, transpirant de désir pour la belle. Les filles se ruèrent dans la pièce où ils étaient, commençant à vider le panier par terre, mais le père se décolla de la mère, pour se retourner et les arrêter.

-Les filles, il y a des œufs, c'est très fragiles. Il ne faut pas que vous soyez brusques avec tout ça...


Sa voix était calme rassurante, mais autoritaire et elles s'arrêtèrent immédiatement de bouger. Comme pour essayer de se vider l'esprit il dit :

-La femme qui m'a abordé était soi disant l'institutrice d'Hasnna. Elle est énervant à me lorgner de la sorte... J'ai l'impression d'être un monstre !


Non, pas un monstre, bien au contraire.

-Je n'ai pas envie d'aller lui parler en plus, même si je ne doute pas que ce qu'elle ait à me dire soit important...


Il soupira. Commençant à lire la recette d'un des gâteaux, il réunit les éléments sur la table et les gamines montèrent sur des chaises pour mieux voir. Enfin seulement l'une d'elle. Cocoon avait peur que le sienne ne tombe, même si il avait confiance. C'était compliqué pour lui de gérer cette cécité.
Eventrant des paquets de farine, cassant des œufs, secouant du sucre, faisant fondre du chocolat... la maison se mettait aux fourneaux plutôt dans la pagaille, mais avec joie et bonne humeur, car la journée était loin d'être finie.
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Lun 11 Fév 2013, 22:56


Alors que je tenais un paquet de sucre dans les mains, je remarquais que mes pieds ne touchaient plus le sol et après quelque instant, j'étais assise sur la table, face à l'Orisha, enfin face... mes jambes finirent quand même par enrouler ses hanches pendant que je me laissais à ses baisées. Je l'entendis alors me dire que j'étais possessive, immédiatement, je me sentis troublée. D'une par moi même, car je n'avais pas l'habitude de ce comportement et de l'autre, car je ne savais pas si je n'avais pas été trop loin et j'avais peur qu'il estime que j'aille été trop loin. Rougissant et plongeant rapidement mon visage dans sa nuque, j'essayais de calmer ma respiration avant de lui répondre.

-Elle n'avait cas pas commencer à te draguer...

D'accord, bon la phrase que je voulais dire c'était je suis désolée, mais quelque chose avait eu un rater là. J'avais vraiment l'esprit embrouiller sur le coup, en même temps, il ne me rendait pas les choses plus faciles. Il avait commencé à remonter mes vêtements, au même moment, les gamines sortir de la chambre ayant fini de changer de vêtement. Pendant que je poussais un soupir las, je l'entendis me dire que nos filles étaient un calvaire. Je souris et avant de descendre de la table je déposais un dernier baiser sur ses lèvres avant de lui murmurer.

-Les choses que nous devons attendre patiemment d'obtenir ne son que plus esquive quand on les a dans ses mains. et à voix haute cette fois-ci. -Et je te mets au défi de leur répéter ça tien, je suis sure qu'elles seront contente.

Elles avaient commencer à tout déballer sur le sol, mais cocon était vite intervenu, ramassant les affaires, il me parlait de cette femme alors que je n’en avais pas envie, ce qui me contraria un tant est peu. Sauvant les oeufs avant qu'ils ne finissent en omelette Pluto qu'en gâteau, j'appelais ielenia. Je lui demandais alors si elle savait ce que m'arrivais. Celle-ci eu alors un léger rire quand j'eu fini de lui racontée ce qui c'était passée.

*qu’est-ce que tu à ? Tu es amoureuse, de ce fait, tu es jalouse, je plein ces pauvres femmes qui oseront l'approcher maintenant.*

Je devais me rendre à l'évidence, je ne voulais pas qu'une autre femme ne puisse partager les moments que j'avais avec lui, je poussais alors un soupir me disant que de toute manier tant que j'essayais de rester maitre de moi même ça ne devrait pas posée de soucis, même si c'était déjà rater.
On commençait alors les différentes préparations, on en voyait une plus souriante et son sourire était communicatif. Alors qu'elles étaient toutes deux en train de réfléchir comment nous aidée, je me glissais derrière Hasnna, lui prenant la main pour lui mettre l'ustensile dans la sienne et enfin de l'aider à mélangée la pâte. Je n’avais pas la même occasion, donnée à Alicia, la première cuiller de chocolat, qu'elle s’était rapidement empressée de lécher. Après je lui demandais de rajouter le chocolat fondu pendant que l'on continuait à mélanger. Une fois finie, je laissais alors le plat de chocolat à la plus petite pendant que je m'entais le premier gâteau à cuire. Plus que deux d'après ce que j'avais vu, mais s'en suivait la liste des biscuits beaucoup plus longue. J'entendis alors Hasnna appeler son père, tournant la tête, je vis la gamine, les doigts remplis de chocolat l'essayer sur la joue de son père.

-Le brun te vas si bien.

Je m'étais approchée de lui pendant qu'elle terminait le plat à elle deux, posant ma main sur la joue propre, je posais mes lèvres à l'endroit où était le chocolat avant de lui enlever sensuellement. Il avait vraiment réussi à réveiller mes hormones, le jour où les gamines nous accaparaient.

-Maman, ne fait le coockis maintenant, puis ceux en forme d'animaux, d'accord ? Et puis on ferait celui aux pommes et ensuite...
-Et ensuite on verra, car on risque d'en faire pour toute la ville comprise. Va chercher les pépites de chocolat.

Je posais alors mes yeux sur Cocoon pendant qu'elle était partie, comprenant rapidement que nous devions nous calmer, mais ce n'était pas facile. La maison allait réellement finir dans un mauvais état si ça continuait, on ne surveillait que d'un oeil les gamines qui du coup en profitais. La preuve quand je prie le sachet il était ouvert et je compris qu'il en manquait certainement.

-gourmande.

Pour le coup, je l'étais tout autant, mais pas de la même chose par conte
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Mar 12 Fév 2013, 09:58

L'orisha accueillit sont étreinte avec passion et sourit lorsqu'elle parla. Elle était adorable.

-Me draguer, à ce point ?


Bon, c'était horriblement visible qu'elle lui faisait du charme maladroitement mais il répliqua :

-Je préfère quand c'est toi qui te déshabille...

De ses doigts, il joua avec l'une des bretelles de sa robe, la faisant doucement tomber sur son épaule, avant de la retenir pour ne pas qu'elle tombe plus bas. Et puis la phrase qu'elle sortit frappa Cocoon qui se redressa :

-Eh bien, tu es pleine de sagesse...


Il la regarda suspicieuse avant de dire :

-...ou pleine de phéromones.


Puis il pouffa légèrement, avant de se décaler pour aller vers le panier où les filles s'éclater à tout déballer.

-Non, elles ne comprendraient même pas la moitié des mots... Mais ceci n'est que partie remise. *Attends toi à une nuit blanche*

Oui. Il n'avait pas pu s'en empêcher.

Les différentes pâtes à gâteaux commencèrent à prendre forme. Mais les sacs de farines n'avaient pas survécu et la cuisine était recouverte d'une fine poussière blanche. Cocoon aussi d'ailleurs. Hasnna eu la bonne idée d'éclater un oeuf, de s'en mettre sur les mains et de toucher ses cheveux. Elle avait du blanc, mélanger à un peu de jaune, qui apportait un peu plus de couleur à sa tignasse déjà bien attaquée. Son père s'approcha d'elle, et dit :

-Tu t'en met partout, ne met pas tes mains dans tes cheveux.


Il essaya d'enlever cette mixture collante avant de laisser tomber.

-Ce soir c'est le bain, et toutes les deux !

Car il savait que si Alicia faisait quelque chose, elle allait forcément le montrer à Hasnna parce que "c'était rigolo". Humpf, tu parles. L'atelier pâtisserie commençait plus à se transformer en atelier coiffure et beauté. Le maquillage arriva rapidement sur la tronche de Cocoon d'ailleurs. La blondinette monta vers son père en l'appelant et voilà qu'il se retourna, une petite main se colla à sa joue. Fronçant les sourcils il se recula :

-Hasnna !


Elle riait à en perdre le souffle, alors que Nydelia lui faisait une petite réflexion et non des moindres.

-Ah bordel...


Il prit de l'eau, un torchon, mais le reposa rapidement quand il vit sa douce faire le travail. Hum... Sérieusement ?

-Tu prends des risques...


La gamine tourna la tête vers lui, s'arrêtant de fourrer ses mains dans la pâte, sachant pertinemment que la voix de son père prenait un ton bien différent de celui habituel. Lui aussi le savait. Il était aussi sensuel que l'ange, commençant à dévorer son cou, baladant ses mains farineuse sur sa robe. Alicia intervint encore au moment opportun. Se décalant d'elle, il finit de nettoyer sa joue, et attacha les cheveux de sa fille. Les cookies ? Punaise, combien de choses bonnes allaient-ils faire ? Ça allait durer des heures à ce train là !
Mais quand elle revint, la moitié des pépites avaient disparut. La chipie.

Cocoon se mit à sourire et commença à râler en voyant l'état de son débardeur noir. L'enlevant au milieu de la cuisine, il voulu le passer sous l'eau, mais farine plus eau est égale mauvaise idée. Il pouvait définitivement le jeter, sauf si Nydelia avait la solution miracle. Cependant, quelqu'un frappa à la porte.

-Tu as appelé Kahel ?


Allant de ce pas ouvrir, il tomba nez à nez avec l'institutrice.

-Hum ! Ca sent bon ici !


Elle prit le temps de le regarder. Cet andouille s'était pointé torse nu, croyant que en ce jour de repos, ce serait Kahel ou quelqu'un d'autre, mais pas elle.

-Je n'ai pas vraiment de temps à vous accorder, cela peut attendre le début de la semaine, à la reprise de l'école non ?


-Euh... Oui... Enfin...


Non, elle ne voulait pas lâcher l'affaire.

*Je crois que tu vas devoir lui faire comprendre à ta manière… Elle ne veut pas partir*

Il préférait faire appel à Nydelia ne sachant absolument pas comment repousser les femmes-sangsues
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Mar 12 Fév 2013, 10:44


J'avais été prévenue que je ne dormirais pas beaucoup cette nuit, étrangement, non seulement ça ne m'étonnait pas, mais en plus, ça ne me dérangeait pas, au contraire, j'attendais ce moment avec impatience. Mais j'allais encore devoir attendre longtemps, trop longtemps à mon gout. Je regardais alors les gamines et la cuisine. Je lui jetais alors un coup d'oeil amusé et je ne pus m'empêcher de lui répondre.

*je ne sais pas si avec tout ce nettoyage j'aurais encore assez d'énergie, en plus c'est à nettoyer que l'on risque de passée notre nuit*

Il avait alors décrété le bain, comme si elles allaient s'en plaindre, seulement, ce serait pour tous les quatre et non rien qu'elle d'eux, car même si ce n'était pas aussi catastrophique qu'elle, à force de devoir les retenir on en avait nous aussi partout. Alors qu'il avait plus que répondu a mon geste, j'avais vu sa tête changée quand Alicia avait fait la liste de ce qu'il y avait à faire, le pauvre, il devait être a bout et ne voyais pas la cuisine finir. C'était donc souriant que je regardais ce qui restait en pépite tout en disant à Alicia qu'elle devait choisir entre moins de coockis ou moins de pépites dans ceux-ci. Celle ci avait essayer de nous convaincre d'allée en chercher d'autre, mais je lui avais rapidement fait comprendre que c'était hors de question vue notre état, puis je m'étais tournée vers Cocoon.

*de tout manier, j'ai bien peur que le lit nous soit indisponible tant qu'elles sont réveillées et vu leur énergie, on va en avoir pour un moment.*

Je regardais alors son torse, tellement obnubilé par le spectacle, je n'eut pas le réflexe quand ce dernier voulu rincer son débardeur avec de l'eau, ce qui donna alors un résulta assez prévisible pourtant. Je lui pris alors des mains et je regardais alors les gamines.

-Les filles, vous penser quoi d'un débardeur comme gâteau ? Ca dois être un peut trop compliquée à mangée je crois.

On s’était alors mise à rire quand on entendit quelqu'un frapper à la porte. Cocoon me demanda alors si j'avais appelé Kahel, ce qui n'était pas le cas, en plus si c'était lui il serait déjà entré sans attendre que l'on lui ouvre la porte. Je gardais alors un oeil sur les filles pendant qu'il allait ouvrir la porte. Quand j'entendis alors la voix de la jeune femme, je me téléportais à l'étage, prenant un débardeur propre pour redescendre de la même manier, réapparaissant à cotée de lui, lui tendant le vêtement. Cette fille était quelque peu collante, encore plus que la pâte qui se trouvait dans mes cheveux.

-Vous voulez quoi à propos de notre fille ? Vous voulez parler de son état, je suppose ? Vous n'avez cas tendre l'oreille pour entendre deux rires dans la cuisine. Son père et moi somme en train de cuisinée avec nos filles justement pour l'aidée à allée mieux, de plus il n'y a pas qu'elle qui a besoin d'oubliée ce qui lui est arrivé, mais pour cela, il faudrait que vous compreniez quand nous parlons de sortie familiale. Donc, on a des gâteaux sur le feu, des gamines dans une cuisine, alors si vous n'y voyer pas d'inconviennient, je vais vous demander de partir pour que nous puissions continuée.
— je... Bonne journée Cocoon...

Je la regardais alors s'éloigner tout en fermant la porte avant de retourner dans la cuisine. C'est là que je crus que j'allais en trucider quatre. Pendant notre absence, Alicia et Hasnna avaient appelé Ielenia et talith, ceux-ci était donc entrée dans la cuisine et les filles s'amusais avec. Même Tallin était blanc maintenant.

-Je savait que l'on ne survivrait pas à cette journée.

M'entendent, les deux loups commencèrent à quittée la cuisine rapidement, laissant de belles traces de patte derrieur eux.
Quand Cocoon revient dans la cuisine, je le regardais à nouveau, enfin surtout son torse maintenant recouvert. J'avais alors passé mes mains dans son dos, en dessous du vêtement. -Il en a déjà un de fichu, ça suffit non... Je lui avais alors enlevé, tout en faisant glisser mes mains sur son dos. Si le texte était correct, le ton ne l'était pas et devant le regard interrogateur des enfants, je me jurais de continuer à n'utiliser que la télépathie si je n'arrivais pas à me calmer.
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Mar 12 Fév 2013, 11:58

Cocoon ouvrit grand les yeux quand Nydelia apparut à côté de lui.

*Tu sors ça d'où ? Tu m'as fait peur !*


Oui. Quelqu'un a réussi à faire peur à cette machine de guerre. Une première n'est ce pas ? Pendant qu'il mettait son débardeur, sollicitant certain muscles qui roulèrent sous sa peau, il cru entendre la femme défaillir. Mais l'Ange l'arrêta tout de suite dans ses fantasme en la renvoyant chez elle en express. Souriant lorsqu'elle ferma la prote, il se retenu de la plaquer contre cette dernière, maintenant qu'ils étaient à l'abri des regards des filles. Revenant dans la cuisine il vit l'état déplorable, et des invités surprises. Plongeant sa tête dans ses mains, il voulu hurler de désespoir en voyant de la pâte un peu partout, des traces dans la farine au sol et sur les plans de travail, l'odeur des gâteaux au four qu'il fallait sortir bientôt...
En entendant Nydelia parler, les loups partirent en galopant, glissant à moitié sur le sol. Cette dernière arriva vers lui, et passa ses mains sous son débardeur, lui disant qu'un seul mort suffisait. Un sourire en coin s'afficha sur ses lèvres et il dit :

-La bonne excuse...

L'entraînant à nouveau vers la porte d'entrer, il finit par s'y coller, la prenant contre lui pour l'embrasser. *Je ne vais pas tenir jusqu'à la fin de la journée. On nettoiera tout ça demain !* dit-il, empli tout à coup de désir. C'était de pire en pire et la journée commençait à être trop longue pour son corps qui se tendait bien trop par moment, dépassant le supportable.
Mais quelque chose l'alerta :

-Maman ! Maman ! Les gâteaux !

-Mairde.

Cocoon jura silencieusement et laissa l'ange partir pour sortir tout ce bordel du four. Arrivant vers elle, il préféra prendre le chiffon qu'elle tenait.

-Je vais le faire je ne veux pas que tu te brûle...


Ouais, on ne savait jamais. L'orisha les posa sur la table, bien en hauteur, pour ne pas que les fillettes se brûlent.

-Ne touchez à rien, on va le démouler.


Prenant un autre plat, avec l'aide de l'Ange, ils transférèrent les premiers gâteaux pour que les filles puissent en profiter. Au moins, avec ça elles se tenaient tranquille.
Cocoon finit par se diriger vers l'évier de manière à commencer à laver les saladiers et ustensiles utilisés. Les autres gâteaux étaient dans les plats, il ne manquait plus qu'à retenir les filles de manger la pâte déjà très bonne, et ranger tout ça.
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Mar 12 Fév 2013, 12:59


Je l'avais alors entendu me demander comment j'étais arriver à cotée de lui, je ne put m'empêcher de sourire quand je pensais à ce qu'il ignorait encore sur mes deux nouveaux dons récemment acquis, celui de la téléportation qu'il venait d'en faire les frais, et celui qui me permettais de prendre l'apparence de ce que je voulais quand je voulais. Ne lui répondant pas de suite, voulant le laisser réfléchir, et surtout savourant ce moment. Je me contentais alors de lui faire un léger sourire avant de partir. Sa remarque à ce que j'avais dit me fit sourire, après tout, les excuses étaient faites pour s'en servir et actuellement c'était bien mon intention. Cependant, a force de tous ces petits gestes, aussi bien l'un que l'autre, on devenait indéciplinée. Il m'avait entrainée à l'abri des regards, me disant clairement son désir devenu beaucoup trop intense, en parfait reflet du mien. Pendant que ma main se baladait sur son corps, on fut rapidement rappelé à l'ordre par la gamine qui voulait que l'on sorte les gâteaux du four. La cuisine étant déjà en assez mauvais état pour rajouter le feu, quoique ce serait plus rapidement nettoyer, on ne trainait pas à les rejoindre pour sortir le premier. Alors que j'allais le faire, il m'avait pris le torchon des mains pour le faire lui même, trop prévenant. Pendant ce temps, je préparais les autres pour que l'on aille plus cas les démouler. On leur donna une part de celui qui venait de finir et on mit les autres au four. Normalement, sauf cas particulier, ça devrait être fini pour aujourd'hui et je crois que ça valait miteux pour Cocoon si je ne voulais pas qu'il me fasse une crise.
Elles venaient de finir leur morceau quand revivent deux museaux près de la porte. Leur apportant à eux aussi un bout, j'en mis un autre de coté.

-Suis pas certaine que Daemon apprécie que l'on ne lui en garde pas un bout et avec c'est deux gourmandes. Alicia, vu que vous avez emmené les loups dans la pièce, tu vas gentiment aller leur enlever tous les soleperie qu'ils ont dans leurs pelages en attendant que le reste cuise.

Je savais que la petite pouvait aussi donner un coup de main si Alicia l'aidait donc ça ira plus vite. Elles partirent alors dans l'autre pièce, brosse en main pour leur donner un petit coup de nettoyage. Pendant ce temps, Cocoon nettoyait les ustensiles, Personellement, j'allais prendre de l'eau et ne voulant pas commencer à frotter comme un malade, je la fis voyager sur le sol et les meubles, ramassant par la même occasion le plus gros de la saleté. Quand la cuisine fut finie, je fis le même dans les autres pièces ou les loups avaient voyagé, avant d'aller lâcher l'eau dans l'évier. Le plus gros était fait, j'aurais cas terminer demain.

-Maman, c'est fini, on peut avoir un biscuit maintenant.

Vu qu'ils venaient de finir, on leur demanda alors d'attendre un peu, puis je regardais Tali et ielenia et je du me retenir de rire, les filles leurs avaient mis un ruban rose à tout les deux autour du coup et un autre autour de la queue. Si pour ielenia c'était mignon, pour Tali...

- Merci Nydelia, j'apprécie ton soutien...

Je regardais alors l'état des filles, leurs vêtements allaient rejoindre le débardeur mort un peu plus tôt. Je pris alors Hasnna dans mes bras et je fis signe à Alicia de me suivre.

- allée les filles au bain, vous aurez les biscuits âpres, mais pour ça, je ne veux pas d'inondation dans la salle d'eau comprise ?

Je les aidais alors à se déshabiller avant des mètres dans l'eau, espérant que la salle de bain ne serait pas à rajouter aux choses à nettoyer. Leur laver les cheveux fus un vrai calvaire tant la pâte était collante. Mais quand je fus enfin fini, je leur tressais avant qu'elles ne descendent manger les biscuits tant promis pendant que je poussais un soupir de soulagement que je voyais que la salle de bain avait survécu.
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Mar 12 Fév 2013, 13:52

-Ouais, car lui aussi niveau gourmandise il en tient une sacrée couche !

Effectivement, son ami était un grand épicurien, alors avoir fait tout ces gâteaux, et ne rien lui laisser... Il allait tuer tout le monde.
Cependant, Nydelia envoya les filles nettoyer les loups qui avaient bien besoin d'un coup de brosse. Mais celles-ci n'en firent qu'à leurs têtes et les coiffèrent de rubans, d'un rose totalement sublime. Il pouffa de rire en les voyant arriver peu content de ce qui leur était arrivé.
En attendant, la cuisine fut nettoyée rapidement, du moins bien dégrossi, le temps qu'il finisse de laver la plupart de la vaisselle. Soupirant, il remercia la magie de sa belle, car seul, il aurait dû y aller à la main et au balais. Finalement, ça avait pris bien toute l'après midi, même la soirée, car une fois que les filles sortirent du bain, Cocoon monta dans la salle d'eau pour se laver à son tour.

Nydelia ramena les filles en bas, les laissant jouer dans des vêtements propres et chauds. En boxer, Cocoon prit le temps de changer l'eau du bain, avant de le remplir à nouveau. Une fois plein, il appela l'ange et prit ses mains pour la tirer vers la baignoire. Lui était assez barbouillé de chocolat et elle de pâte à biscuit. Que de dommages collatéraux !
L'embrassant, il passa ses mains dans ses cheveux, se courbant pour arriver à sa taille, et les descendit vers sa robe pour la faire tomber sur le sol. Dès que le tissu toucha le sol, il tressailli, ayant hâte de s'être laver pour finir ce moment sensuel sur le lit. Mais la soirée n'était pas fini.

Se détachant du corps de l'ange, il enleva le dernier vêtement qui lui restait sur le corps, pour plonger dans l'eau chaude. Ouvrant ses bras, avec un grand sourire, il attendit avec impatience qu'elle entre à son tour. Écartant ses bras pour les poser le long du rebord, il dit :

-Cette journée m'a épuisée.


Il réfléchit à la venue de l'institutrice.

-Au fait, depuis quand tu peux te téléporter ?


Son étonnement et sa surprise était visible. Après tout, il était curieux des gens qu'il aimait, alors il voulait tout savoir.
Mais au bout d'un moment il dit :

-Je sais que tu n'as pas envie d'en parler, mais vraiment, je me demande pourquoi la maitresse d'Hasnna tenait tan à me voir. Ca ne fait même pas une semaine qu'elle est retourné à l'école, c'est normal qu'elle soit triste et déprimée. Et ne me dit pas que c'est pour m'aguicher, je ne la vois jamais cette femme.


Et pourtant c'était réel. Depuis que l'ancienne avait trouvé la mort dans son appartement -cf test LVL 4, mais je suppose que tu t'en souviens- la nouvelle restait loin de l'orisha. Elle ne lui avait même jamais parlé, mais là, cette fois ci, ce jour là au lieu de l'admirer de loin, elle était venu faire sa belle. Aux yeux de Cocoon, sur le coup, elle était apparut plus comme une gêne qu'autre chose, mais aux yeux de l'ange ça avait l'air d'être pire. En souriant il dit :

-Maintenant je vais avoir peur d'emmener Hasnna à l'école...


Ah, ah ah ah.
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Mar 12 Fév 2013, 14:37


Alors que j'étais en train de m'occuper des gamines en bas, je l'entendis m'appeler, comprenant qu'il était temps pour nous aussi de se débarrasser de toute les impunités de la journée. Je jetais un coup d'oeil aux loups pour qu'ils gardent un oeil sur elles. Même si ce n'était pas évident, il fallait faire avec eux vu que l'on n’avait pas le démon avec nous aujourd'hui. Je montais alors rapidement à l'étage, sentant les vapeurs du bain, j'avais déjà hâte d'y plonger.
Je n'eus pas vraiment à faire grand-chose, il se chargea lui même d'enlever ma robe, tout aussi délicatement que possible. Profitant de ce moment, je ne pouvais détacher mes yeux des siens, qui me faisaient fondre pour l'éternité, au sens propre du terme vu que je recommençais à avoir trop chaud, les vapeurs du bain sans doute. J'avais cru qu'il ne savait plus tenir, mais enfin de conte, il fini par ce mettre dans l'eau, décidant de restée sage, j'y plongeais à mon tour, m'installant le plus confortablement dans ses bras que j'avais attrapés pour qu'ils les referment sur moi.

-Dit toi qu'elle n'est pas finie et puis, maintenant que j'y pense, elle son presque seul en bas, je me demande si ce que l'on a fait va survivre. En plus, qui nous dit qu'elles ne voudront pas recommencer bientot.

Même si je me doutais de sa réponse maintenant, sur le fait, je suis certaine qui craquerais tant que ces pour leur faire plaisir et que c'est faisable, moi aussi d'ailleurs. Profitant du moment, fermant les yeux pour me laisser aller, je l'entendis alors me demander depuis quand j'étais capable de me téléporter. J'aurais du me douter qu'il allait posée cette question tôt au tard.

-As tu déjà entendu parlée du temple des esprits ? Un endroit proteger par les Aetheris ? En se rendant le bas, on a possibilité de suivre un teste et entrée en possession d'une arme, si on y retourne une deuxième fois, il vérifie nos progrès pour enfin nous permettent d'apprendre à mieux la maitriser, c'est ce que me permet la mienne, ainsi que me faire passée pour n'importe qui ou n'importe quoi.

Je n'étais pas certaine que mes explications étaient claires, mais bonnes, ça on verra plus tard, car je n'avais pas envie de repenser a ces Teste, surtout les premiers qui avait été particulièrement cruels. Je l'entendis alors me poser une autre question. Pourquoi est ce qu'aéré une journée ou tout n'avais été qu'amusement, rigolade et plaisir enfoui, il fallait qu'il me parle d'elle, est ce que c'était exprès pour me tester ou juste de l'inconscience ?

-Les hommes ce a toujours été pareil, il ne comprennent qu'une femme les dragues seulement quand ils tombent dans leurs filets. Quand c'est trop tard autrement dit. Ce n'est pas, car tu ne la vois pas qu'elle en fait de même, la preuve vue qu'elle a débarqué ici et qu'elle te collait tout autant que la pâte dans mes cheveux. Franchement Cocoon, je te conseille d'ouvrir les yeux, ou tu n'auras plus à t'inquiéter d'allée conduit Hasnna à l'école, car je m'en occuperais tout seul.

Je savais pourquoi j'étais irritée, j'avais déjà connu ce genre de problème une fois et si j'avais réussi à le surmonter, c'était grâce à lui, mais si maintenant, il avait le malheur de me faire subir le même traitement... je crois que je rejoindrais vite Aya.
On se lava alors rapidement afin d'éviter que les gamines fassent un capharnaüm, quand je descendis, je fus soulagée de voir qu'elle était simplement en train de s'amuser avec ielenia, continuant avec les rubans. Tali lui était introuvable.

-Allée les filles, au lit maintenant.
-nos biscuits maman.

Je poussais alors un soupir en allant chercher deux biscuits et deux verres de lait pour les filles, j'attendis qu'elles le finissent calmement avant de les mettre enfin aux lits. Les deux se couchèrent gentiment, apparemment ravies de leur journée. Je sortis rapidement quand je vis qu'elles s’étaient endormies rapidement et je regagnais alors le lit, aussi rapidement que possible, c'est-à-dire deux secondes après. Bien décidée à me reposer de cette journée complètement folle.
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Mar 12 Fév 2013, 15:56

-Ca va forcément survivre, sinon Daemon va tout péter. Il est impulsif à ses heures tu sais…

Il sourit s’imaginant la réaction de son ami face aux plans de gâteaux vidés.

-Recommencer ? Ooh…

Portant une main devant ses yeux, il caressa le dos de l’ange de l’autre.

-Je suis rassuré qu’Hasnna aille mieux, mais de là à vivre ça dans pas très longtemps… Ca va être critique.


Il écouta ensuite Nydelia lui parler du lieu magique dans lequel elle était allée pour apprendre de nouveaux dons.
Sérieusement, il pourrait surement y aller lui aussi non ? Mais il n’en connaissait que trop peu sur les Aethers, et cette race était bien trop abstraite pour lui. Quand il lui apprit qu’elle pouvait prendre n’importe qu’elle apparence il dit :

-Tu peux te transformer en moi ? Vraiment ?


Il était curieux de voir ça, mais espérait qu’elle ne l’utilisera jamais avec lui. Intérieurement il se dit que de toute façon, c’était impossible vu qu’il la reconnaissait par ses émotions, à des kilomètres. Sans même la voir, il savait qu’elle était là. Malgré tout ce pouvoir de téléportation était très utile, et pouvait sauver de certaines situations dangereuses.

Ce qu’il dit après énerva l’ange au point que ses paroles fut sèches, son discours bref et quelle sortie plus rapidement du bain que prévus.

-Attends…


Mais ses paroles moururent et il se retrouva seul dans la baignoire. Déçu d’avoir autant plombé l’ambiance pour quelque chose qu’il n’avait pas remarqué, il sortit de là, prenant le temps de s’essuyer, se martelant qu’il n’était qu’un idiot car il n’avait pas anticipé le fait qu’elle puis être agacer par ce genre de femme. Oui, c’était chiant les sangsues comme ça, mais non, il s’en rendait compte avant parfois. Parfois. Ou pas en fait. Nydelia était chef d’un peuple entier, elle ne pourrait pas se permettre bien longtemps de jouer à la maman au foyer. Cocoon portait à merveille le rôle de papa poule, sauf quand il se mettait à reluquer d’un peu trop près le corps de certaines. De son Ange bien sur, évidemment.

Lorsqu’elle remonta, ça le tira de ses pensées et il s’aperçut qu’il n’avait même pas vidé la baignoire. Encore une fois elle « apparut » à côté de lui, et il sursauta.

-Bon sang ! Je m’y habituerai jamais.


Après le vertige, les sursauts de l’apparition soudaine. Drôle de phobie pour un type de sa stature.

Le problème était que maintenant il ne savait pas vraiment comment le prendre. Se couchant près d’elle, il fit comme l’instinct le lui dictait. Il se colla à elle, passa un bras autour de sa taille et fourrant sa tête dans son cou.
Sa grosse voix retentit et il dit :

-Tu m’en veux encore ?


Cocoon boudeur. Nouvelle version. Il ne savait pas comment agir envers elle, et clairement, il se laissait soumettre par cette femme. Elle était de toute façon assez charismatique pour l’intimider. Enfin quelque fois seulement. Car toutes les fois où il du la rattraper, lui éviter de mourir, etc… Ca commençait à un peu décrédibiliser la personne.

L’embrassant il finit balader ses lèvres sur son corps avant d’arriver à l’évidence ultime : il était cuit, archi cuit. Posant sa tête sur son ventre il dit :

-Fausse alerte. Je suis trop fatigué pour garder ne serait-ce que les yeux ouverts…


Remontant près d’elle, il voulu se faire pardonner de cette baisse de performance, et glissa sa main sur la peau de son buste, collant ses lèvres aux siennes, forçant le passage de temps en temps, et se laissant déborder par son désir. Malheureusement, il n’était pas à son paroxysme et le couple du s’endormir dans les bras l’un de l’autre, trop épuisé de gérer des petits monstres toute la journée.

Mais le lendemain, le reste des gâteaux les attendait, et ils pourraient aller les manger dehors, au parc, en pique nique. Et puis l’orisha en profitera pour garder son énergie pour le soir et honorer les envies de madame. C’était important de combler son monde.
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Mar 12 Fév 2013, 16:55


Si je n'avais jamais été témoin, ça ne m'étonnait pas quand il me dit que le démon pouvait être impulsif, après tout ça faisait partie de leur nature, enfin, ce n'était là qu'un apriori que j'avais sur sa race, je m'en déferais jamais, ni même de cette rancune que je pouvais avoir contre eux, comment pourrais je oublier que c'était l'un d'entre eux qui m'avait enlevé tout ce que j'aimais ? Même si je n'avais pas vraiment à me plaindre de ma vie actuelle, je devais bien admettre que mes parents me manquaient. — , j'aurais aimée qu'il partager mon bonheur.
Enfin de conte, je n'avais pas complètement eu la réponse que j'attendais, mais le faite que ça ne lui faisait pas vraiment plaisir était visible. Après tout mois même ce n'était pas certain de bien survivre à une deuxième journée comme nous venions de faire. Espront que les gamines étaient assez fatiguées pour au moins, disons, les trois semaines à venir. Minimum.
Par conte, je ne m'étais pas attendue à ce qu'il me demande si je pouvais prendre son apparence, je le regardais alors un peu surprise avant de lui répondre.

-Oui, je suppose que c'est possible, mais je préfère éviter. Tu as déjà assez avec Daemon qui te ressemble assez fort pour que j'en rajoute non ?

Et puis l'idée de prendre l'apparence d'un homme avait quelque chose... d'étrange.
Quand je remontai auprès de lui, il avait de nouveau sursauté, je ne comprenais pas vraiment, mais en même temps il devait être étrange de voir quelqu'un apparaitre a cotée de lui ainsi, personnellement, ça rendait la situation assez marrante et je ne put m'empêcher de sourire, faire peur à un homme comme lui alors que j'étais si frêle, c'était presque du domaine du rêve quand on y réfléchissait. Mais au moins j'étais beaucoup plus détendue soudainement, oubliant presque ce qui s’était passé quelques minutes auparavant. Mais la phrase qu'il me dit après m'avoir prise dans ses bras me surprise, je tournais alors la tête vers lui avait d'attraper quelque seconde ses lèvres.

-T' en vouloir ? Non, je suis désolée de t'en avoir donné l'impression. C'est juste que je n’aime pas te savoir convoitée c'est tout. Va juste falloir que je m'habitue c'est tout.

Et puis je lui faisais surtout confiance, je ne voyais pas comment il pourrait me vouloir du mal de cette façon, c'était ce qui me rassurait, même si je n’étais pas sur de supporter longtemps les harpies, mais bon, le contrôle de sois est quelque chose que nous nous devons de maitriser, alors j'allais bien réussir une nouvelle fois. J'espère.
Vous savez ce qui peut être frustrant dans une vie, même ultra feutrant ? C'est quand le désir est là, mais pas l'énergie, pourtant c'était bien ce qui nous arrivait. La tentative ne fut pas fructueuse et je me demandais si la prochaine fois je ne me contenterais pas d'appeler la nourrice, ou Kahel, au moindre signe. Ses donc dans ses bras que je m'étais endormie, avant de nous faire réveiller beaucoup trop tôt par les gamines. Infatigable à cet âge-là décidément.
Je me levais alors pour tout préparer, mais alors que je venais de finir le panier, je pensais à quelque chose. Il en avait un qui se faisait toujours aussi discret, je ne l'avais pas vu de toute la journée hier, bah, je supposais qu'il viendrait rapidement dès qu'il serait appelé, surtout si Cocoon prononçait le mot gâteau dans l'équation.
J'habillais alors les filles chaudement, ne voulant pas qu'elles attrapent froid, puis je commençais à me préparer plus chaudement aussi, une journée au parc nous ferait le plus grand bien et puis normalement se serais beaucoup plus calme cette fois-ci. J'avais même convié Astra, ça faisait longtemps que l'on ne l'avait plus vue non plus. C'est ainsi que l'ont se retrouva tous les dix dans le parc, il était clair qu'avec deux enfants, deux hommes qui se rassemblait fort, une dragonne et deux gamines, on formait un groupe assez particulier, mais j'aimais cela et puis l'important était que l'on passe une bonne journée, enfin surtout une journée reposante ou nous pourrions finir tout ce que nous avions fait la vieille. Assise sur la couverture, j'étais dans les bras de celui que j'aimais, pendant que les filles s'amusaient tranquillement. Il y avait encore un peu de réserve, mais ça partirait vite, en plus c'était vrai que Daemon avait un bon appétit pour les sucreries.
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Mar 12 Fév 2013, 19:30

Le lendemain, le réveil fut rude, car levé par les filles. Cocoon trouva juste étrange le fait qu'Hasnna ne monte que mollement sur le lit, puis vienne tout de suite chercher l'étreinte de ses bras. La prenant contre lui, en la câlinant, il embrassa son visage, attendant qu'elle aille mieux par ce contact.

-Tu me manques papa...


Sa voix n'était qu'un petit chuchotement, mais Cocoon l'observa quand elle dit ça. Il lui répondit le plus doucement possible :

-Je suis là pourtant...


-On ne sort plus papa.


Oui c'était vrai, ils ne sortaient plus du tout. Ni tous ensemble, ni eux deux seulement. Rien ne se passait plus comme avant entre eux. Alors elle rajouta :

-Pourtant j'aime ma nouvelle maman... mais...

...mais ce n'était plus comme avant où ils ne vivaient que seulement l'un pour l'autre. Alors il la serra contre lui en disant :

-On va sortir ma Reine aujourd'hui. Il te reste pleins de gâteaux à manger, ça nous fera une excuse pour pique-niquer.


Elle sourit faiblement, puis se colla contre le torse de son père.

-Mon papa !


-Tu vas mieux... ?


-Oui papa ! Oui !


Il savait que ses paroles n'étaient qu'à moitié juste. Elle n'irait réellement mieux que quand il lui prouvera que rien n'avait changé. Mais il ne pouvait pas partir, comme ça, le soir en laissant les autres dedans... Si ? Et puis aussi ouverte d'esprit que soit Nydelia, elle trouverait ça bien trop louche.

Rejoignant l'ange en bas, il l'embrassa, alors qu'il était en petite tenue, et se prépara à manger.

-Alors les filles, ça vous dit le parc pour ce midi ?

Apparemment oui. Toutes étaient d'accord. Nydelia fit en sorte de bien habiller et préparer les filles, et d'emballer la nourriture du futur repas. Une fois tout le monde près la bande sortit de la maison. Bon sang, depuis quand étaient-ils autant ? Dans la rue, Cocoon regardé en l'air.

-Dæ...


-Oui ?


-Tu lis dans mon esprit ?


-Pas loin. Snif, snif. Ca sent le gâteau tout ça !

Cocoon haussa les épaules, et Dæmon s'appuya sur son épaule, lorgnant le panier.

-Les filles t'en on laissé hier, mais comme tu n'es pas venu, maintenant ce sera à toi de partager tout à l'heure.

Ensemble, ils se dirigèrent vers la grande étendue verte, où les filles avaient hâte d'être.
Une fois le tout installé, et la bonne place choisie -ce qui a prit à peu près vingt bonnes minutes- ils se posèrent et commencèrent à manger. Alors l'orisha s'adressa à son ami :

-Nydelia peut prendre mon apparence. Même la tienne ! Ca te fera pas bizarre d'avoir deux moi ?


Il disait ça comme un gosse à un copain de classe. Mais Dæmon lui regarda l'ange avec un petit sourire du genre "tiens tiens... Quelle bonne surprise... !", mais Cocoon croqua dans un bout de pain en imaginant son clone. Bien sur il fut rapidement arrêté dans ses pensées se doutant fortement que Nydelia ne devait utiliser ce pouvoir seulement en cas de besoin. Humpf... Il entendit Hasnna :

-Non ! Rends le moi !


-Dæmon !


Oui, il avait osé piquer une part de gâteau à la gosse. Raaah... Incorrigible !
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Masterchef [P.V. L'emplumée]

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