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  Une cité à sauver (-18 violence) [PV Fayt]

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Ven 25 Jan 2013, 17:02

Océan – Le Ghost Pandore

Zéleph avait raison. Il ne fallait pas que nous nous fassions remarquer. Les pirates semblaient trop nombreux et nous n’étions que trois. Il nous faudrait user de stratégie pour réussir à nous emparer du navire. Ceci dit, il fallait que nous puissions nous déplacer librement pour agir. Le Seigneur des deux rives jeta un œil dehors avant de nous suggérer une merveilleuse idée : nous allions nous déguiser en pirate. Associant l’idée à l’acte, le réprouvé utilisa la porte pour assommer trois pirates qui passaient par là. Après un combat assez rapide, nous les tirâmes à l’intérieur, les déshabillâmes, les bâillonnâmes et les ligotâmes. Mes deux compagnons prirent les vêtements de ces corsaires. Moi, je préférais user de magie pour devenir une copie conforme de l’un des hommes. L’apparence que j’épousai me dégoutait au plus haut point mais cela était nécessaire : cheveux clairsemés bruns, yeux noirs, barbe mal rasée, dentition mal entretenue et, comble du comble, un ventre gonflé par la nourriture et la bière. Les vêtements que j’avais copiés n’étaient pas non plus d’une grande beauté. Ils étaient larges, d’un teint mat et troué çà et là. Enfin, c’était nécessaire et je me consolais en me disant que cela me rapprocherais de Zéleph…peut-être.

Imiter la démarche et le langage d’un pirate n’était pas une chose aisée pour moi. Je n’étais pas habitué à cet environnement et, la plupart des termes marins m’étaient inconnus. Aussi, je faisais preuve d’une grande vigilance vis-à-vis des autres et j’essayais d’observer au maximum. Observer pour apprendre.

Après quelques petites piques entre le roi et son homme lige, nous nous mîmes en route vers le pont. Zéleph avait préféré éviter, dans un premier temps, de nous frotter à la majorité des corsaires. Je me détournai difficilement des cris de la jeune femme. Certes, je haïssais les rêveurs mais il y a des actes que j’abhorrais toujours. Sans doute était-ce un reliquat de mon âme humaine ? Lorsque nous arrivâmes sur les lieux, il y avait un brouillard assez dense pour nous camoufler. Là, il y avait quelques hommes somnolent – sans doute à cause d’une consommation excessive d’alcool – et nous nous les distribuèrent. Celui qui était ma cible dormait contre un parapet à tribord. Je supposais que tuer quelqu’un durant son sommeil n’était pas une chose bien difficile seulement je ne savais pas réellement comment m’y prendre pour qu’il ne fasse pas trop de bruit. Je n’étais pas capable – contrairement à certains de mes confrères – d’agir sur les rêves, auquel cas cela m’aurait bien aidé. Aussi, j’optai pour la strangulation. Utilisant la chaîne de l’arme que j’avais reçue au temple, je l’étranglai sans difficulté. Le plus dur était de le jeter à la mer pour ne laisser aucune trace. Je le hissais tant bien que mal par-dessus le parapet et il alla rejoindre les profondeurs abyssales.

Une fois le navire immobilité, nous retournâmes à l’intérieur. Il était temps de se débarrasser de ces gêneurs. Le roi nous mis cependant en garde : il fallait que nous fassions illusions. Je savais qu’il me serait dur de supporter le supplice qu’on allait faire à cette pauvre femme mais je hochai la tête en signe de compréhension.

Nous suivîmes les rires qui émanaient des pirates et arrivâmes bientôt dans une très grande pièce. Là, les hommes étaient en cercle autour de la captive. Je l’entendais crier et je ressentis un nœud dans l’estomac. Entrant dans la foule, nos regards se croisèrent. Je ressentais ses larmes. Je voyais sa détresse. Je comprenais ses envies meurtrières. C’était dur de la voir traité ainsi. Un par un, les hommes de l’équipage passèrent sur elle, libérant leur semence, les uns sur son visage, d’autres sur son corps entièrement nu, d’autre enfin à l’intérieur de son corps.

Soudain, je fus interpellé par quelqu’un.


« Hé le requin, c’est à toi ! »

Les yeux – ou plutôt l’œil – de l’homme me transperça de part en part. Ainsi, je devais prendre part à cette orgie libertine ? A cette idée, j’eus un haut-le-cœur. Il était temps que j’intervienne. Cela ne pouvait pas se passer ainsi. Ma haine et mon dégoût renforcèrent la magie des illusions que je créai ainsi que le son que je leur conférai.

Des bruits de pas retentirent dans le couloir. Un homme surgit, copie identique d’un des hommes que nous avions assommés, à bout de souffle. Son air grave laissait supposer qu’il s’était passé quelque chose d’important. Il n’attendit pas de se faire prier et hurla.


« DES INTRUS… DES INTRUS SUR LE NAVIRE »

Des bruits montèrent la foule. Soudain, un autre cri retentit.

« ON S’EST FAIT REPERER, COURREZ ! »

Un tumulte se créa au sein des pirates. Bientôt, on put discerner cinq hommes tous différents les uns des autres. Ils n’avaient aucune ressemblance avec qui que ce soit que j’ai rencontré avant. Ils coururent vers une sortie libre et firent mine de se séparer.

L’homme qui m’avait interpellé – qui semblait être le capitaine – était fou de rage.


« SEPAREZ-VOUS ! JE VEUX LEUR TETE POUR DECORER MES APPARTEMENTS ! »

Pris de cours, ceux qui martyrisaient la jeune femme arrêtèrent sur le champ. Je me rassurai. Elle serait tranquille pendant quelques temps ou tout du moins je l’espérais. Je m’adressais au chef des pirates d’une voix sûre.

« Peut-être faudrait-il enfermer la femme et la surveiller. Ces intrus doivent être ses amis. »

Le chef des pirates fronça les sourcils.

« REQUIN ! »

Son cri me glaça le sang. Avais-je fait une erreur ? Il était vrai que je ne connaissais rien aux pirates et à leurs mœurs. J’aurai préféré que Zéleph m’aide mais je n’avais aucun moyen de communiquer avec lui. Mon cœur – ou tout du moins ce qui me servait de cœur – battait la chamade.

« Je te pensais plus idiot que ça… VOUS TROIS !»

Il désigna trois personnes : Zéleph et deux inconnus. Nous allions être séparés. Ce n’était pas la meilleure chose qui puisse arriver mais c’était ainsi.

« Allez avec le requin et enfermez là dans la cale ! Surveillez-là ! Elle est à nous ! »

J’avais envie de soupirer d’apaisement mais je me retins : nous n’étions pas à la fin de nos surprises. J’ouvrai la marche jusqu’à la cale. Là-bas, nous nous débarrasserons des deux pirates qui nous accompagnaient. Et Zéleph pourrait me faire part de ses remarques… Car je n’étais pas sûr d’avoir fait ce qu’il fallait.
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Ven 25 Jan 2013, 22:47

Le plan avait marché, du moins ils étaient toujours en vie et puise que tout le navire courait après d’autre intrus ils passeraient inaperçu pour encore un bon moment. Seul avec Fayt et la demoiselle qui avait l’air à moitié morte, couverte de bleu et de beaucoup d’autre chose qui le dégouter. Le roi devait trouver une solution et vite. Au moins ils étaient tranquille ici, le temps que les pirates cours de l’autre coter du bateau. Cette femme devait être soignée sinon cela finirait certainement très mal pour elle. Voulant s’approcher d’elle pour la soigner un minimum, il comprit a son regard terrifier et à la façon dont elle trembler que c’était peine perdu, il ne valait mieux pas la toucher. « Tout vas bien, on ne vous fera rien. On est là pour prendre le navire. » Vue la façon dont elle le regarder, il n’était même pas sûr qu’elle était encore réellement consciente. Cherchant dans sa besace, le roi en sortit son kimono et la couvrit avec. Il sortit aussi une petite gourde d’eau qu’il garder toujours, il la posa à coter d’elle. C’était au moins ça, le temps qu’elle reprenne ses ésprit et sorte de son état de choc. Ce redressant pour regarder Fayt, ou du moins ce qui devait être Fayt, le roi soupira. « J’espère qu'Adam s’en sort. » Car si eux étaient resté ensemble, le sorcier, lui, avait était emmener avec les autres à la poursuite des "intrus." Jetant un regard a la jeune femme encore tremblante, le roi réalisa qu’ils serraient forcer de la laisser là, mais pour peu que d’autre repasse et lui face encore du mal, cette fois il ne le supporterait pas, il l’avait déjà assez laissé souffrir comme cela. Ce penchant discrètement sur le génie pour ne pas qu’elle entende il lui murmura alors. « On vas devoir l’enfermer et là laisser là le temps qu’on s’occupe du bateau. » Ne pensant pas que Fayt aurait une meilleur idée, si ce n’est de rester avec elle, mais dans ce cas là il serrait seul face à tous ces hommes et bien que ça ne le déranger pas, si c’était le cas il n’attester pas de l’état du navire après coup. Sortant de la pièce, il ferma à clef et la garda avec lui. Il était temps d’aller sur le pont voir ce qui s’y passer.

Marchant dans les couloirs on pouvait déjà entendre que tous les marins ce hâtaient à chercher les hommes qui c’était enfuit un peu plus tôt. Zéleph n’avait pas de plan dans l’immédiat, en réalité il ne savait d’ailleurs pas du tout comment ils allaient bien pouvoir s’en sortir sans que cela ne finisse en bain de sang, car a un moment où un autre il faudrait bien tous les supprimer. En effet il n’y avait rien de pire pour un équipage que de se faire prendre son navire, cela ne serait que signer leur arrêt de mort qu’en laisser un en vie. Maudit jusqu’en enfer pour avoir brisé les lois de la piraterie. Ce tournant vers Fayt sur le chemin, le réprouvé ne voyait qu’une seul solution. « On vas d’abord s’occuper de ceux qui cherche dans les cales. Dans un lieu réduit en cachant un peut les corps on aura plus de chance d’en éliminer un grand nombre sans qu’ils ne s’aperçoivent de rien. » Ainsi quand ils retourneraient sur le pont il ne resterait qu’un peu moins ou un peu plus de la moitié des hommes de ce bâtiment, et ce serait bien plus simple pour eux de prendre définitivement le contrôle. « On se sépare on en aura plus, plus vite. On se retrouve sur le pont. »

Zéleph partie alors de son coter à la recherche du plus grand nombre. A peine avait-il tourné dans le coin du couloir qu’il croisa un groupe de trois cherchant activement le groupe de paria. « Ah t’tombe’ien, viens nous aides, y’en a un là, mais il ce planque dans cette piaule. » Zéleph s’approcha et alors qu’ils étaient tous occupés à chercher un moyen de défoncer la porte, il ce glissa derrière eux. Après avoir vérifié que personne n’arriver il sortit discrètement son sabre, puis les égorgea un à un. Leurs corps tombèrent les uns sur les autres. Là la porte s’ouvrit, l’homme derrière ce demandant ce qui ce passer. Quand il vit le massacre, puis le réprouvé lui sourire il voulut fermer la porte mais c’était déjà trop tard. Une fois les corps cacher Zéleph ferma la porte derrière lui et continua son chemin vers d’autres bruits. Il navigua ainsi à l’intérieur du navire en quêtes du plus grand nombre de pirates possible. Il en supprima beaucoup, une vingtaine en tout peut être. Si Fayt avait autant de chance que lui, cela voudrait dire qu’il ne rester plu qu’une petite moitié de l’équipage sur le pont. C’était une très bonne chose pour eux.

Rejoignant les marche qui monter vers le pont, Zéleph vit un pirate le monter, il ce glissa sournoisement derrière lui, puis brusquement il lui posa la main sur la bouche et sa lame sur son cou. C’est à ce moment qu’il se rendit compte que c’était Fayt. Le lâchant un peu perturbé, il finit par rire. « Tu fais réellement illusion ! Bien on y va. Adam doit être en haut. » En effet une fois en haut il vit Adam entrain d’attacher un homme sous les yeux du capitaine qui riait, a gorge déployer, montrant son manque d’hygiène buccale flagrant. Ils les avaient apparemment trouver, et était prêt à les jeter par-dessus bord. Zéleph vit un homme jeter de la viande par-dessus bords et vue le bruit étrange des vagues, il en déduit que des créatures pas très recommandable attendait leur repas. Zéleph eu alors une idée. Et si quand tous les pirates serraient en cercle autour de la planche à attendre que les intrus sautes, ils en profiter pour tous les pousser par-dessus bord ? « Ils faut qu’on trouve un moyen pour tous les pousser en même temps dans l’eau. » Mais il nu pas le temps d’en discuter plus avec Fayt qu’un homme vin leur taper dans le dos. « Alors vous vous êtes bien occuper de notre invité ? V’nez on va encre faire la fête. » Et il les poussa vers la planche déjà installer pour la mise à mort des intrus.
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Dim 27 Jan 2013, 16:17

Océan – Le Ghost Pandore

Se débarrasser des deux gêneurs pris moins de temps que prévu. Nous nous retrouvâmes à trois : Zéleph, l’inconnue et moi. Son état était déplorable et je regrettais de ne pas être intervenu avant. Le Seigneur des deux rives lui parla d’une voix calme et posée mais elle était trop apeurée pour réussir à nous parler. Nous devions la protéger. Pour son bien, nous l’enfermâmes dans une pièce que je recouvris d’un mur illusoire. J’espérais que mon subterfuge fonctionnerai jusqu’à notre retour.

Un fois la fille en sécurité, nous décidâmes de rejoindre le pont. Je savais qu’il fallait que je change d’apparence rapidement : ma mission était de rester protéger la jeune femme. Si l’on m’apercevait en dehors de mon poste, on se poserait des questions. J’avançais donc prudemment, lançant des regards autour de moi. A mi-chemin, le roi changea d’avis. Il préférait que nous débarrassions les cales. Ce n’était pas une mauvaise idée. Si l’on arrivait à se débarrasser des corsaires par petits groupes, il n’y aurait pas de soucis.

Rapidement, Zéleph décida de se séparer. Je n’eus pas le temps de protester qu’il était déjà loin. C’était bien ma veine ! Je n’avais pas réellement de moyen de me débarrasser de tous ces gêneurs… Du moins, je n’en étais pas capable directement. Il fallait que j’use encore et toujours de stratégie.

Premièrement, je décidais de récupérer la jeune martyre. Elle était une rêveuse potentielle si cela tournai mal. Arrivé devant la porte dérobée, je repris mon apparence habituelle. Quand elle remarqua la porte s’ouvrir, la jeune femme fit un sursaut. Mais, à ma vue, elle fronça les sourcils. Elle ne devait pas tout comprendre alors je décidais de lui expliquer. Lentement, calmement et avec des mots simple, je lui fis par de la situation et de mon plan.


« Bonjour madame. Sachez que nous ne voulons aucun mal. Notre objectif est de prendre le contrôle de ce navire et de vaincre les pirates. Nous nous sommes infiltrés pour ne pas nous faire repérer. C’est moi qui ai créé ces illusions pour qu’ils arrêtent de vous maltraiter. En retour, je voudrais que vous me rendiez un service, si cela se trouve nécessaire. »

Je l’observais. Elle avait l’air inquiet. Je voyais bien qu’elle s’interrogeait sur la nature de ce service.

« Ne vous inquiétez pas, ce n’est rien de bien méchant. Je voudrais que vous souhaitiez. Pas maintenant, bien entendu. Vous serez mon atout en cas de force majeur. En fonction de la situation, voyez les souhaits les plus importants à faire dans l’ordre. Seriez-vous d’accord ? »

Elle hocha timidement la tête mais, à travers ses yeux, je voyais bien qu’elle brûlait d’envie de détruire ces corsaires. Je souris et repris la parole.

« Pour se faire, j’aimerais vous proposer quelque chose. Au lieu d’être enfermé ici, je peux soit vous envoyer dans une autre dimension dont personne ne peut ouvrir l’accès excepté moi. Vous serez en sécurité et, dès que ce sera nécessaire ou quand tout sera terminé, je vous rejoindrais pour vous ramener chez vous. »

Elle secoua violemment sa tête de gauche à droite. Elle ne voulait pas de cette solution et je pensais savoir pourquoi : elle avait encore peur d’être séquestrée. Elle ne me connaissait pas. C’était légitime après tout. Je décidai de lui proposer une autre solution qui pourrait peut-être nous contenter chacun.

« J’ai un autre moyen. Je peux vous envoyer dans un lieu sécurisé au fond de l’océan. Vous verrez tout ce que je fais. Cependant, au bout d’une vingtaine de minutes, vous reviendrez automatiquement à mes côtés. Cette solution vous convient-elle ? Parce que je n’ai nulle envie de vous laisser ici à leur merci… »

Elle réfléchit un instant avant d’acquiescer timidement. Je lui souris. J’avais donc un atout non négligeable dans ma manche. Je fis apparaître mon trident et l’approcha de la jeune femme. Suivant mon souhait, la martyre disparue dans un nuage de fumée.

« Bon ! Et une bonne chose de faite ! »

Je sortis dans le couloir et ne pris pas la peine de revêtir une forme de pirate. Je n’étais pas capable de tuer quelqu’un : je n’en avais ni la force ni les pouvoirs. Cependant, je connaissais des personnes capables de m’aider. Je n’étais pas sûr qu’ils accepteraient mais pourquoi ne pas essayer ? J’ouvris une porte dimensionnelle et me retrouvai bientôt dans la caverne secrète des pirates.

Continent dévasté – Grotte secrète des pirates

Je pense qu’ils furent surpris de me voir apparaitre si soudainement. Cela faisait deux fois que je dérangeais leur réunion aujourd’hui. Je ne les laissais pas parler, j’étais trop pressé.

« Nous avons trouvé votre Ghost Pandore. Nous essayons d’en prendre le contrôle. Accepteriez-vous de nous donner un coup de pouce pour éliminer l’équipage ? »

J’oubliais un instant que les corsaires fonctionnaient à l'honneur et aux éloges.

« Vous pourrez dire que vous êtes les fiers pirates à avoir vaincu l’équipage du Ghost Pandore. »

Ils mirent un certain temps avant de se décider. Je n’étais même pas sûr qu’ils acceptent. Après tout, ils n’avaient pas grand-chose à y gagner. Cependant, ils acceptèrent de nous prêter main forte. Flynt s’exprima au nom de tous les siens.

« Nous acceptons de vous aider. Mais nous voulons que ce soit nous qui ayons tout le mérite de la capture du Ghost Pandore. Nous voulons que dans le récit de ses aventures, vous ne fassiez aucune apparition. »

Personnellement, je n’en avais cure. Concernant Zéleph et Adam, je dus prendre la décision pour eux. J’espérais qu’ils ne m’en tiendraient pas rigueur. Mais je savais que l’aide que ces pirates nous seraient d’une grande aide.

« D’accord. L’histoire omettra de nous citer. Mais… Sommes-nous toujours d’accord pour l’échange ? »

Ma question sembla irriter le vieux pirate.

« Oui le Ghost Pandore contre notre ville... »

« Bien. Que ceux qui veulent venir se prépare. Nous partons dans quelques instants vers le Ghost Pandore. »

Je ne m’attendais pas à ce qu’il y ait autant d’effectif. Dès que Flynt me donna son approbation, de nombreux groupes de corsaires avaient suivi. Ils devaient être cent ou deux cent pirates à nous prêter main forte. J’étais plutôt fier de moi. Je repris l’apparence du Requin pour leur montrer à quoi je ressemblerais avant d’ouvrir un portail vers notre destination : le Ghost Pandore.

Océan – Le Ghost Pandore

Une fois tous nos alliés débarqué, je fermai la porte dimensionnelle. Ensuite, je me dirigeai vers le pont pour retrouver Zéleph. J’avais beaucoup de chose à lui dire. Ce dernier me surprit par derrière. Avant que je n’aie le temps de lui annoncer ce que j’avais fait, nous aperçûmes un homme se faire attacher par Adam. Je ne donnais pas cher de sa peau. Je ne comprenais pas qui ça pouvait être : ce n’était apparemment pas un homme de Flynt et mes illusions s’étaient dissipées depuis un moment. Soudain, un homme surgit derrière nous et nous poussa vers la planche. Je rapprochai de Zéleph et lui soufflai quelques mots à l’oreille.

« Il faut qu’on parle. C’est capital »

Je mis en retrait de la foule et attendit qu’il me rejoigne. Dès qu’il fut près de moi, je lui donnai des nouvelles.

« La jeune femme est en sécurité avec moi. Cependant, elle risque de réapparaitre d’ici une vingtaine de minutes. Je l’ai gardée comme atout. C’est une rêveuse. »

Je marquai une pause avant de reprendre.

« J’ai aussi été cherché les hommes de Flynt. Ils font du ménage à la cale et ne devraient pas tarder à arriver. »



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Lun 28 Jan 2013, 16:53

Flynt ? La jeune femme ? Fayt n’avait pas perdu son temps. Ce n’était pas plus mal, se serrait ben mieux. Une fois coincer au bord du navire, si les hommes de Flynt arriver, l’équipage du Ghost Pandore serrait prit au piège une bonne fois pour toute et le galion serrait enfin à eux. Enfin, du moins aux pirates de la citée. Quoi qu’il se demander quel équipage de quel chef l’aurait. Oui Zéleph était curieux de voir comment si la allaient se départager en sachant que c’était lui, Fayt et Adam qui avaient fait le plus gros du travail. Le roi acquiesça simplement pour signifier au génie qu’il avait bien comprit et que cela lui allait. Il faudrait donc sagement attendre que Flynt débarque et les aides, car a cette instant ils ne pouvaient rien faire à part peut-être avoir l’air d’apprécier les cris de terreur des hommes sur la planche, vouer a une mort certaine manger par il ne savait quel sorte de créature marine. Au moins tout c’était dérouler d’une bonne façon au final. Bien sur ce n’était pas encore fini, mais cela ne tarderait pas à l’être, et malgré les embuches il ne pensait pas qu’ils puissent encore rencontrer plus de problèmes que ce qui était arrivé. Les pirates regardant les intrus mourir de peur avaient tous l’air de bien apprécier, lui était indifférent a tout ceux-ci. Il ne savait pas qui était ces hommes, ni ce qu’ils faisaient là, mais cela lui importait peut. Zéleph avait la capacité à être totalement insensible aux malheurs des autres et a cette instant c’était bien le cas. Soudain, entres les champs et les cris de joie qui faisait un bruit monstre, d’autres son tout à fait diffèrent ce firent entendre. Des coups, de grand fracas, jusqu’à ce que les planches du navire ne se mette légèrement a vibré sous les pas de course des hommes de Flynt qui foncèrent vers eux dans un cries de guerres. C’était impressionnant de les voir brandissant leur sabre, le visage tortue par la rage, leurs crie déchirant la nuit.

Ce fut la folie quand les hommes du navire les virent arriver. D’abord l’incompréhension, puis la panique. Personne ne c’était attendu à voir autant d’intrus en même temps leur foncer dessus avec le désir de tous les tuer. Zéleph sourit, c’était le moment de faire ce qu’il faisait de mieux : ce battre. Sortant ses sabres de sa ceinture, il se jeta lui aussi dans le combat, oubliant Fayt. Après tout à cet instant c’était chacun pour soi. « Tuez les les tous ! » « Défendez le navire ! » Plus personne ne savait où donner de la tête. C’était un vrai bordel. Il y avait du sang qui gicler de tous les coter, les coups de sabre et d’épées, fuser, parfois même de poings. Il n’y avait aucun ordre, aucune règles, juste celle de survivre. C’était dans cette cohue que certain pirates ce battirent même contre les hommes de leurs propres camps, incapable de distinguer qui était qui. Quand le sabre de Zéleph frappa celui de Flynt, ils ce rapprochèrent, le même regard féroce, et le sourire véloce. « Alors capitaine, il vous plait mon rafiot ? » « Ne prend pas tés rêve pour des réalités ma jolie reine. » Ce séparent dans un éclat de rires ils continuèrent le combat chacun de leurs coter. Les pirates étaient les seuls hommes que Zéleph n’avait jamais vus, capable de ce battre avec la même hargne que des chiens enrager. Comme si chaque coup était donné pour survivre, sans se soucier plus outre mesure des nobles règles et lois du combat. Alors que Zéleph enfoncer son sabre dans la poitrine d’un homme, un tonneau lui fonça dessus, roulant si vite qu’il fit tomber quelques hommes avant qu’il ne-ce le prenne de plein fouet, ne l’ayant pas vue à temps pour l’éviter. Zéleph ce rattrapa au bord du bateau, s’agrippant a la barrière. Alors qu’il se redresser, le roi ce crispa quand il sentit le froid de l’acier d’une lame sur son cou. Il leva les yeux et croisa le regard furieux du capitaine du Ghost Pandore.

« Toi! Sale rat. » Zéleph chercha une solution pour s’en sortir, mais quand sa main chercha son dernier sabre, le capitaine enfonça un peu plu la lame. La pression du fer sur sa peau la déchira, coupant trait fin ce mettant à saigner abondamment, piquant a mesure que le sabre glisser sur sa peau. « J’espère que sa majesté à fait un agréable voyage. » Le réprouvé soutenait le regard de cet homme infect à l’haleine fétide et le visage balafré de temps de cicatrice qu’il n’avait plu réellement l’air humain. « Oui, je vous remercie. » son arrogance n’eut pas l’air de plaire au vieille homme qui grogna, en changent de degré la position de la lame, la mettant de telle façon qu’en un seul coup il pourrait lui trancher la tête. « On se rêvera en enfer Zéleph. » La main du réprouvé ce serra sur un morceau de bois de la barrière surement assez pointu pour le planter dans le bras du pirates, et alors que le capitaine était prêt à l’achever et lui a ce défendre, l’homme s’écroula soudain dans un bruit de verre casser. Zéleph regarda l’homme s’étendre sur le sol inconscient, surprit de ce revirement de situation, puis son regard ce releva. Il vit alors la femme captive, fixer le pirate les yeux rond, tenant d’une main tremblante le reste d’une bouteille de rhum. Elle là lâcha brusquement, levant un regard terrifier, et pourtant au fond Zéleph y vue un éclaire de soulagement. Elle lui avait surement sauvé la vie. Ho il pensait qu’il s’en serrait sortit, mais un tel acte de courage après tout ce qui lui était arrivé, c’était la preuve d’une grande force. Avant de se faire attaquer à nouveau, il lui attrapa la main et l’entraina avec lui. « Venez. » Elle ne devait pas rester au centre de la bataille, avec tous les coups qui se perdaient elle aller finir mort, un couteau planté dans l’œil. Il chercha alors Fayt, la protègent pendant qu’ils s’enfuyaient du combat. Il aperçut Adam en proie avec deux hommes, mais ne s’arrêter pas, le sorcier était capable de s’en sortir seul.
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Ven 01 Fév 2013, 19:09

Océan – Le Ghost Pandore

Nos alliés ne tardèrent pas à surgir. Encouragé par leur chef, ils ne tardèrent pas à foncer sur l’équipage du Ghost Pandore avec une seule envie : tuer le plus de monde possible. Ce milieu m’était fort inconnu. Habituellement, j’étais beaucoup plus en retrait, occuper à tirer les ficelles derrière le décor. J’aurai pu comparer ma situation à celle d’un joueur d’échec : si c’est moi qui envoyais les pions là où je le désirais, je n’étais pas directement sur la zone de jeu. A voir cet assaut, je pris conscience de la réalité du terrain. Je voyais les violents coups que s’assénait ces guerriers, le sang qui giclait dans tous les sens et les blessures plus béantes les unes que les autres. Ce n’était vraiment pas fait pour moi. Ma présence sur ce navire me dérangeait : j’aurai préféré rester à Sceptrelinôst et donner des ordres et des conseils à distance mais, maintenant que j’étais là, il fallait que je me débrouille au mieux. Car, en effet, même si je ne pouvais pas mourir, les douleurs des blessures étaient beaucoup plus violentes. En plus, en tant que génie, j’avais tendance à les ressentir beaucoup trop de temps à mon goût.

Je n’avais pas réellement de compétences pour le combat. Mon domaine n’était que celui de l’art de la tromperie, des illusions et des pièges. Aussi, même les armes que je possédais ne me servaient pas à me battre. Néanmoins, dans ce cas d’urgence, j’utiliser la chaine accrochée à l’arme des Esprits pour frapper les ennemis qui s’approchaient un peu trop près de moi. En outre, je faisais apparaître des ronciers tout autour de moi. C’était plus pour dissuader que pour leur réel effet : je doutais fortement que désespérer une horde d’ennemi puisse garantir ma survie. Aussi, j’attendais que le combat s’estompe.

Soudain, je ressentis un tressaillement à l’intérieur de moi : ma rêveuse captive était sortie. Je la cherchais du regard dans la cohue et l’aperçue. Elle était juste à côté du capitaine, une bouteille de rhum à la main. Derrière eux, Zéleph semblait être dans une mauvaise posture. Je n’avais pas le temps d’agir et, avec grand étonnement, je n’en n’eus pas besoin. Par peur ou peut-être par vengeance, la jeune femme brisa la bouteille sur la tête d’un homme adjacent à elle avant de la plonger dans le capitaine du navire. Le Seigneur des deux rives était sauf mais je n’en étais pas aussi sûre de la santé mentale déjà fragile de ma Rêveuse. Ce n’était encore qu’une gamine de 17 ou 18 ans et, déjà, elle avait été confrontée à la mort. Je ne la plaignis qu’un temps avant de me débrouiller pour la rejoindre.

Le roi la traîna à travers la bataille, sans doute pour la mettre en lieu sûr. Prenant bien des précautions, je me métamorphosai en mouche pour éviter les coups et les suivre plus facilement. Arrivé à leur hauteur, je ne tardai pas à reprendre forme humaine. Je n’aimais vraiment pas me transformer en ces choses immondes qu’étaient les insectes. Ces bestioles répugnantes avaient un aspect si hideux. Je frémis en imaginant la forme que j’arborais précédemment. Bien que j’en use de temps à autre dans des situations dangereuses, je préférais de loin le luxe et la beauté. Cependant, contrairement aux mortels, je n’étais ni avare, ni cupide, ni envieux, ni dilapidateur : je n’avais besoin de rien pour créer le luxe, la beauté et la richesse. Rien, hormis le Rêve. C’était la matière première spécifique à mon art. Matière première en quoi tout ce que j’étais était composé.


« Bienvenue parmi nous, Rêveuse. Comme vous pouvez le constater, je doute avoir besoin de vos services. »

Je lui adressais un sourire charmeur comme j’en avais l’habitude. La séduction et le charisme étaient également deux de mes envoûtements préférés. Ils n’avaient besoin d’aucune magie pour fonctionner. Je continuais de regarder la jeune femme, tout en m’adressant également à Zéleph.

« Laissons les pirates à leurs pirateries. Après tout, cela ne nous concerne plus. »

J’ouvris la marche vers les appartements du capitaine plus par curiosité que par réelle nécessité. Je poussai la porte de bois et entrai dans la pièce bien aménagée. Il y avait une table sur laquelle reposaient des instruments de navigation adossée à un mur décoré de diverses cartes maritimes et fluviales. Certaines zones étaient entourées en rouge : sans doute les endroits où accoster. Plus loin, un grand lit pour deux personnes à l’aspect moelleux reposait sur un tapis en peau d’ours blanc tâchée. Non loin de là, on retrouvait une cage recouverte d’un épais tissu noir. Lorsque je l’enlevais, je remarquais qu’un perroquet jaune jonchait le sol de sa prison. Cela devait faire pas mal de temps qu’il était là car déjà les asticots dévoraient ses entrailles putréfiées. Je reposais rapidement l’étoffe plus pour l’odeur pestilentielle que l’animal dégageait que pour la vue peu ragoûtante de ce spectacle. En continuant ma visite, je remarquai une grande garde-robe en chêne massif sculptée à la main, un miroir – plus grand que moi – fendu sur un bord, une bibliothèque remplies de livres de géographie et un râtelier où pendaient de nombreuses armes. Néanmoins, malgré tout ce mobilier, la pièce me semblait bien vide ; elle était vraiment très grande.

Je m’installai sur le lit et, faisant fi de la captive, interpella le Seigneur des deux rives.



« Nous ne sommes jamais venu sur ce navire. Nous n’avons rien fait. Nous n’étions pas là. »

Je parlai sur un ton sérieux avant de reprendre d’une voix plus amusée pour expliquer au roi qui ne semblait pas comprendre.

« C’est le marché que j’ai passé avec Flynt. Nous leur donnons le bateau et le prestige de l’avoir conquis en échange de quoi Sceptrelinôst est à vous. Et donc, par la présente, je vous annonce que, quoi qu’il arrive la ville vous est acquise. »

Je souris. Alors que la bataille faisait rage à l’extérieur, alors que les pirates combattaient de toutes leurs forces, nous avions déjà gagné. Je n’avais cure du résultat de cette bataille. Qu’importe quel équipage vaincrait, nous étions gagnant. Je décidais de l’expliquer au roi.

« Si nos pirates capturent le navire, vous serez propriétaire de Sceptrelinôst. S’ils échouent… vous le serez aussi. Il n’y aura plus personne pour se dresser entre vous et votre volonté. Les habitants vous adorent et vous acclament. Qui ira à l’encontre de votre souhait de vous occuper de la ville ? Personne. Et, s’il y en a, ils seront trop peu nombreux pour faire quoi que ce soit. »

Je me réjouissais de plus en plus au fil de mes paroles. Jouer avec les gens, les manipuler comme de simples marionnettes : voilà ce qui me plaisait plus que tout.

« Nous n’avons plus qu’à attendre. Attendre de déclarer le camp victorieux. Mais, peut-être pourrions-nous aller rechercher votre homme lige ? »
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Sam 02 Fév 2013, 14:15

Courant à travers la bataille, ce fut un vrai choque quand Fayt apparut de nulle part devant eux. En réalité il avait vu une mouche, mais il n’en était pas sure et comme l’idée dégouter assez le roi, il préféra ne pas y penser. Zéleph fixa le génie faire du charme a la jeune femme, en faisant la grimace. Il plaisantait ? Dans une autre situation et a un autre moment le réprouvé aurait bien rit, mais vu qu’il dut se baisser pour éviter une bouteille, il n’était pas sûr que ce soit le moment de se moquer du génie. « Laissons les pirates à leurs pirateries. Après tout, cela ne nous concerne plus. » Comment ça ? Lui ça le concerner ! A quoi ça servait d’user tant d’énergie à capturé ce navire si c’était pour en rater la meilleur partie ? Pourtant on ne lui donna pas réellement le choix. Il était peut être vrais et plus raisonnable que pour la sécurité de la jeune femme et même de Fayt, ils quittent le navire. Ce résignant, le roi les suivit jusqu’aux appartements du capitaine. En regardant autour de lui, Zéleph réalisa qu’il ce serait bien fait capitaine de galion dans une autre vie, et que Flynt aller être heureux avec une cabine pareille. En passionner, le réprouvé s’intéressa à deux trois armes accrocher sur le mur, disposer comme des œuvres, et ce n’était pas tout a fait faux, seulement les lames étaient émousser. Malgré la qualité des forges, cela gâcher tout, c’était dommage de ne pas en avoir pris plus soins. « Nous ne sommes jamais venu sur ce navire. Nous n’avons rien fait. Nous n’étions pas là. » Zéleph, remit le sabre a sa place avant de se tourner vers Fayt, un peu prit au dépourvue. Qu’est-ce qu’il raconter au juste ? « Quoi ? » « C’est le marché que j’ai passé avec Flynt. Nous leur donnons le bateau et le prestige de l’avoir conquis en échange de quoi Sceptrelinôst est à vous. Et donc, par la présente, je vous annonce que, quoi qu’il arrive la ville vous est acquise. » D’un coter le réprouvé était contrarier. Une si belle légende ne verrait jamais leurs nom être cité, de l’autre il était satisfait. Cela voulait donc dire que la cité était à lui. Enfin, du moins à son peuple. C’était une bonne chose, une très bonne chose. Même si un jour il n’était plu roi, cette ville serrait toujours à lui car il en aurait pris le contrôle trop longtemps pour qu’il y est un autre maitre à bord, par ce que les habitant lui était redevable et par ce que le Circus Brothel étaient enraciner ici et c’était propager comme un virus incurable dans la cité. C’était une très bonne chose pour l’avenir de son organisation et ses hommes. Oui, une très bonne chose. Egalement pour son peuple bien sûr. Ils pourraient venir se réfugier ici. Zéleph condamnerait l’accès terrestre à la ville, pour des questions de sécurité, car de toute façon personne ne passer par là sans perdre un membre, et il renforcerait le port et l’entré maritime. Cette cité serrait la plu protéger de ces terres, et il en serait le maitre. C’était une idée qui le faisait doucement sourire.

Fayt avait raison, Zéleph le savait et il s’en sentait que plus satisfait encore. Le génie avait très bien joué, cela avait était une bonne chose de le faire venir, à présent il n’avait plu aucune doute sur ses capacité, et peut être bien qu’il le garderait avec lui. Oui, c’était une bonne chose. « Parfait » fini-t-il par dire, souriant, en voyant déjà tous les changements qu’il aller apporter à la cité. Voyant déjà les constructions, les stratégies économiques, militaire. Zéleph n’était pas doué en beaucoup de chose, mais ça c’était son rayon. Il pouvait rendre un endroit sans importance, sans richesse particulière et le transformer en mine d’or et de diamant. C’était son truc. Ce pourquoi il était fait, et ce qui faisait de lui un roi pas si mauvais. « Nous n’avons plus qu’à attendre. Attendre de déclarer le camp victorieux. Mais, peut-être pourrions-nous aller rechercher votre homme lige ? » Adam ! Zéleph réalisa qu’il avait totalement oublié son camarade, qui devait encore ce battre, il ne savait dans quel camp. La dernière fois qu’il l’avait vu, il paraissait simplement sauver sa vie, mais rien n’était moins sûr. Oui aller le chercher paraissait être le plu sur. Seulement ils n’allaient pas faire monter la jeune femme sur le pont ou encore l’enfermer. Non, il allait devoir y aller seul. « Très bien, reste avec elle, je vais le chercher. » Zéleph était de toute façon persuader que le génie se sentirait mieux si il rester là, et pour être honnête il n’avait besoin de personne pour s‘en sortir. Sortant de la pièce il les laissa, puis remonta pour rentrer à nouveau dans la bataille, sabre à la main.

Adam était là, entrain d’éviter les boule de feu d’un élémental, qui ne devait pas comprendre qu’un navire c’était fait de bois, et donc extrêmement inflammable. Le réprouvé fonça donc, pour aller sortir le sorcier de cette mauvaise passe. C’était un peu sournois, et pas réellement honnête, mais il élimina la menace dans le dos, laissant le temps à Adam d’étendre le feu qui avait pris sur son bras, puis de le suivre. « Heureusement que tu es arrivé, j’ai bien cru qu’il aller tout cramer. » Ils rejoignirent à nouveau Fayt et la jeune femme, après un long périple au milieu des hommes qui paraissant vouloir s’entre tuer jusqu’au dernier sans faire attention au reste. Une fois dans la pièce, le sorcier ce mit à regarder la pièce, surement près à voler deux trois chose, vue comme le réprouvé le connaissait. « Bien, il faut partir maintenant. On va devoir prendre une barque sans qu’on nous vois. Il nous faut donc une diversion. Je propose qu’Adam et moi on détache le bateau, pendant que mademoiselle monte dedans et que toi, Fayt, tu fais tes truc de génie. » Zéleph fit des signe dans l’air qui ne voulait rien dire, mais donner une idée. « Illusion, magie, peu importe, tu y arriveras. Il faut simplement qu’on ne nous voit pas détacher la barque. » Il les regarda tous, un par un. Ils faisaient une drôle d’équipe. « D’accord ? »

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Lun 04 Fév 2013, 21:43

Océan – Le Ghost Pandore


Partir à la recherche de son ami intéressa fortement le roi des réprouvés. Aussi, il me demanda de tenir compagnie à la charmante demoiselle le temps de son escapade. La captive semblait chercher quelque chose dans la pièce. Elle fit plusieurs fois le tour avant que je l’interrompe dans sa quête.

« Vous cherchez quelque chose ? »

Elle ne prit pas tout de suite le temps de me répondre. Elle tourna encore un peu avant de prendre le temps de m’expliquer.

« Un ancien poignard elfique. »

Malgré le temps que j’avais passé en sa compagnie, je n’avais pas encore remarqué ses petites oreilles pointues. C’était une elfe ! Je ne comprenais pas du tout ce qu’elle faisait ici mais une chose était sûre : son arme n’était pas ici.

« Je doute que vous le trouviez ici. C’est important ? »

Le silence régna trop longtemps à mon goût. Son regard perdu dans le vide, elle était perdue dans ses songes. Quand elle reprit ses esprits, les larmes lui montaient aux yeux.

« C’était un souvenir de mon défunt mari… »

Je comprenais parfaitement l’attachement qu’on pouvait avoir pour un objet ; je ressentais ce lien particulier vis-à-vis de mon habitacle. Cependant, il était souvent plus dur d’oublier et de passer à autre chose quand on restait accroché à une relique. C’était sans doute mieux ainsi.

Zéleph revint accompagné de son homme lige. Ils avaient fait vite. Je voyais les traces du combat acharné qui se déroulait à l’extérieur sur leurs vêtements ensanglantés. Il fallait que nous partions ce à quoi le Seigneur des Deux Rives avait déjà songé.

Se déplacer en bateau n’était pas une mauvaise chose. Bien que je connaisse déjà des lieux où nous téléporter, je n’avais pas la capacité de le faire. Utiliser les portails pour transporter les pirates de Flynt à des kilomètres de distance n’était pas une chose aisée et, mine de rien, cela m’avait énormément épuisé. Même si la magie était une chose courant chez moi, je n’avais pas l’habitude – ci ce n’était par le lien du rêve – d’user de tant de pouvoir. Le plan que proposé le réprouvé était bien mais je n’étais pas sûr de pouvoir tenir bien longtemps en usant de magie. Je serai sans nul doute capable de faire diversion le temps qu’ils détachent la barque mais je ne savais s’ils en auraient plus. Aussi, il fallait que je prenne mes dispositions.


« Je pense en être capable en tirant sur mes dernières forces mais il va falloir que vous vous dépêchiez mais avant… »

J’arrêtai de parler et fis le tour de la pièce. Enfin, je trouvai ce que je cherchais et me dirigea vers l’objet. C’était un petit coffre de bois mal facturé. Je vidais son contenu et déposa mon amulette à l’intérieur. Tant que personne ne touchait directement mon habitacle, je n’étais tenu par aucun lien du rêve. Aussi, je comptais bien que cela reste ainsi. Je repris place face au Seigneur des Deux Rives et continuai.

« … je voudrais que tu gardes cela précieusement. Personne ne doit toucher à ce qui se trouve à l’intérieur, en aucun cas ! Je t’autorise uniquement à l’utiliser en cas de force majeure mais cela doit être ton dernier recours. »

En me débarrassant de ce poids, je faisais un double bénéfice : aucun pirate ne serait capable de m’asservir et, au cas où les choses tourneraient mal, j’étais toujours capable de rejoindre mon habitacle. Je souriais à cette idée. Pour une fois, je voyais des avantages à être un génie.

« Bon, allons y ! Nous n’avons pas que ça à faire. Vous n’allez pas être déçu du spectacle !»

J’attendis que tout le monde sorte et me dirigeait vers le point culminant du bateau. Grimpant aux cordages, je voulais atteindre la grand mât le plus rapidement et le plus discrètement possible.

Une fois à destination, je lançai un coup d’œil à mes compagnons. Ils semblaient attendre que je me mette au travail. Quoi de plus amusant pour un génie que de jouer avec la réalité ? C’est avec un sourire aux lèvres que j’artisai.

Le ciel s’assombrit tout à coup. De gros nuages noires décoraient les cieux auparavant grisâtre. On se serait cru en pleine nuit tellement il faisait obscur. J’aimais assez l’effet que cela donnait à la scène. Associant la magie des illusions et celles des sons, je créai un orage plus réel que nature à la différence que les éclairs qui déchiraient le voile nébuleux étaient teintés de verts. Cette particularité ne tarda pas à faire son effet parmi les deux équipages : personne n’avait jamais vu pareil spectacle. J’étais assez fier d’attirer ainsi l’attention mais ce n’était pas tout : j’avais promis un spectacle à mes compagnons.

Les arcs électriques se condensèrent en une masse de plus en plus importante. L’intensité de la foudre ne cessait de s’accroître au fil des coups de tonnerre. La masse prit peu à peu une forme humanoïde. Un chevalier de flammes vertes fit son apparition dans le voute céleste, surplombant le navire. Il tenait entre ses mains une faux d’à peu près sa taille qui irradiait d’un même éclat. Tel un fantôme revenant hanter un lieu bien connu, il se posa sur la proue ce qui ne fut pas sans attirer tous les regards de mes spectateurs.

Pour lui donner une voix, j’émis un son grave et rauque qui fut porté par l’air.


« Qui a troublé mon repos si paisible ? Est-ce vous, mortels ?! »

Ma chimère survola les deux équipages quand un pirate osa me faire affront.

« T’es qui toi encore ? Tu te prends pour un dieu »

Un rictus sonore sortit de la bouche de la créature. Cela dura un bon moment avant que je reprenne.

« Je suis Arkharas, l’Aether Oublié. Autrefois Seigneur des Tourments, je fus condamné à l’exil dans le temple de la justice ici-même, sous vos pieds. Grrr…. Cette Mitsuko !»

Je m’étais renseigné et je connaissais le lien particulier qu’avait le roi des réprouvés avec cette entité. C’était en quelque sorte un spectacle en son honneur. Cependant, je sentais que je tiendrais plus très longtemps : déjà je ressentais des tremblements dans les flux magiques qui me parcourraient.

« Ouai et alors ? »

« Alors, insignifiants mortels, je vous ordonne de vous pliez à ma volonté sans quoi je vous ferez sombrer vous et ce navire dans ces eaux maudites. »

Là, je modifiais mon illusion pour que l’eau se mette à bouillonner, laissant s’échapper des fumées brunâtres. Ils avaient l’impression de se faire submerger alors qu’en fait je ne faisais qu’insinuer à leurs esprits captifs que l’eau montait de plus en plus haut. Si Zéleph et les autres étaient déjà dans la barque, ils passeraient inaperçus sous cette illusion.

Comme je m’en doutais, les pirates n’étaient pas impressionnés par une divinité mais je m’amusais à interpréter ce rôle. Ils commencèrent néanmoins à paniquer lorsque l’eau fictive commença à border les parapets de leur navire.

Tout disparu dans une explosion couleur émeraude. On aurait dit les feux d’artifices qui annoncent la fin de l’année. La magie cessa d’opérer et, bientôt, tout redevint normal. Quant à moi, épuisé, je m’évaporai dans un nuage de fumée à l’instar de ma création.

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Mar 05 Fév 2013, 15:32

« Impressionnant. » Souffla Adam en regardant ce qui ce passer à coter de Zéleph ainsi que de la jeune femme. La maitrise des illusions était quelque chose d’appréciable en effet et Fayt se débrouiller exclamant dans ce domaine. Pour un homme comme le roi qui avait à peine créer un clone et ce soigner, c’était impressionnant, et puis si ça l’était pour un sorcier, ça pouvait l’être pour n’importe qui. Seulement ils n’avaient pas le temps de s’émerveiller devant les créations du génie, il fallait faire vite avant qu’il ne puisse plu y arriver. « Allez ! Mademoiselle monté dans la barque. » L’aidant en lui donnant la main, Zéleph rejoignit Adam aux cordes. Il fallait détacher le bateau, puis le descendre, le plus vite possible. Ce n’était pas chose facile, vu qu’il ne fallait pas aller trop vite pour éviter de retourner la barque dans sa chute, ou de la couler, et puis il y avait une femme dedans, alors autant ne pas la mettre à l’eau. Etait-ce seulement si facile ? Non, pas réellement. Car par deux fois la barque faillit bien ce retourner à cause de lui ou de Adam qui donner trop de corde ou pas assez. Quand enfin, la barque tomba dans l’eau dans un grand fracas. La femme leur cria que c’était bon, et Zéleph se pencha pour voir en effet qu’elle était sur l’eau. Il aida alors Adam à descendre en bas, pour aller plus vite ils ne prirent pas l’échelle, faisant apparaitre ses ailes, le roi posa le sorcier à coter de la jeune femme, puis se posa à son tour. La diversion de Fayt avait marché à la perfection, ne manquer plu que fuir, s’éloigner assez du bateau pour que le brouillard les fasse disparaitre et qu’on ne puisse plu les voir. Prenant les rames le roi commença à avancer vers la cote. « On attend pas le génie ? » « Ne t’inquiète pas pour lui, il nous retrouvera. » Le sorcier acquiesça simplement, laissant faire le réprouvé. Le plus urgent à cette instant était de fuir cette bataille, et de retourner dans la cité. Cette cité maintenant à eux, enfin, à son peuple. Quand il y penser cela le soulager. Zéleph était enfin maitre de Sceptelinôst, il pourrait protéger la cité et les sien. Oui ce serait une parfaite ville de retraite au cas où Stenfek était envahi. Car même si il ne voulait pas y penser, il valait mieux ce préparé à toutes les éventualités.

« Vous ne trouvez pas que quelque chose cloche ? » Maintenant qu’il le disait, l’eau était étrange. C’était comme si l’eau était soumise à une température extrême. Elle était en train de bouillir. C’était extrêmement troublant, voir carrément inquiétant. Seulement cela ne devait être qu’une illusion, Fayt surement. Ce fut quand l’eau déborda dans la barque, puis monta au-dessus de leur tête sans les bruler, sans même les couler ou étouffer, que cela devin évidant. « Fait moi pensé lui envoyer des chocolats quand tout sera fini. » Adam sourit cette plaisanterie, soulager de voir les rochers de la cotes apparaitre à mesure que le Ghost Pandore disparaissait dans la brume, l’illusion du génie ce dissipent également, le chevalier si impressionnant voyant sa fin arriver. Pourtant le sorcier commencer à être inquiet de ce voir passer si près des falaises. « Zéleph, tu es sur de ce que tu fais ? » C’était que l’océan le repousser vers la terre, et il n’y avait rien de facile à diriger une barque soumise à la force marine. Pourtant ce n’était pas l’océan qui aller gagner contre le seigneur des deux rives, ça c’était mal le connaitre. Zigzaguant entre les roches, ils se rapprochèrent de l’entrée de la grotte, l’entrée du port de la ville. « Calmez-vous, nous y sommes presque. » Et une fois à l’intérieur ce fut effectivement plus calme. Ramant plus calmement, Zéleph soupira soulager. Accostant la barque à un ponton, le roi monta sur le bois, puis invita la femme à le suivre, Adam en fit autant. Ce tournant vers la cité, le roi sourît. « Nous voilà à la maison. »

Amenant la demoiselle au Circus, dans un lieu où elle serrait protéger et où les ses filles serraient ravis de s’occuper d’elle. S’asseyant à son bureau, Zéleph posa ce que lui avait donné Fayt devant lui avant de soupirer. Il était maintenant temps de pendre à aller expliquer aux habitants de la cité qui diriger Sceptelinôst à présent. Oui, il devait faire un discours, chose qu’il détesterait mais qui serrait dés plus utiles. « Adam, tente de rassembler les habitants, fait en sorte qu’ils ce retrouves sur la grande place. Fait appelle à nos mercenaires, nos informateurs et même nos prostituer pour rependre la nouvelles. Les citoyens doivent savoir, ils doivent connaitre le changement. Cette cité est aux réprouvés à présent, et il risque d’y avoir une vague très importante de migration à présent. » Le sorcier ne discuta pas, ce contentant d’acquiescer avant de sortir faire ce que son patron lui avait ordonné. Ce changent pour retrouver ses propres vêtement, le roi reprit avec lui le petit coffre de Fayt, et le mit dans sa besace, là il serait plus en sécurité que nul part ailleurs à l’intérieur de son kimono. Il ne savait pas pourquoi ce coffre était si important pour le génie, et il ne préféra pas savoir, faisant simplement ce qu’il lui avait demandé sans se poser de question.

Partant vers le centre de la ville, volant entre les habitations, il vit la foule se rassembler sous lui, pour finir tout le monde avaient l’air intriguer par ce qui arriver. Devant la cohue, Zéleph se posa sur le toit plat d’une maison, surplombant le publique, qui parut intriguer de voir le patron du Circus, leur bienfaiteur et aussi le roi des réprouvé, vouloir rassembler toute la cité pour faire une annonce. Soufflant, il devait faire face à son agacement, détestant faire ce genre de chose. « Peuple de Sceptelinôst, vous me connaissaient. Je suis Zéleph, Seigneur des deux Rives, et il y a longtemps je vous ai aidée à reconstruire la ville, et j’ai pris possession d’une partie de la cité. J’ai toujours désiré vous protéger, j’ai toujours eu beaucoup d’affection pour votre cité, et aujourd’hui je suis prêt à faire de cette ville un endroit prospère. » Ce n’était pas simple de parlait quand on était loin d’être bon dans l’art de la formule et du discours. « Les pirates mon offert les clefs de la cité, me confiant votre protection et je suis près dès aujourd’hui à tout mettre en œuvre pour donner à Sceptelinôst le vent d’une nouvelle aire ! » Zéleph grimaça ce trouvant ridicule, mais ça plu apparemment. De toute façon, il avait déjà le peuple dans sa poche, ces gens lui étaient tous redevable pour avoir énormément donné après la guerre contre les morts-vivant, après que la cité est était détruite, il avait donné l’argent, de sa propre poche, pour recréer Sceptelinôst. « A présent vous êtes sous ma protection, et celle de mon peuple ! »

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Lun 11 Fév 2013, 15:02

Continent dévasté – Sceptrelinôst

Pour un génie, résider dans l’habitacle avait beau être ennuyeux mais c’était la manière de « vivre » la plus reposante. Je me retrouvai à l’intérieur de l’amulette. Comme toujours, l’agencement et la décoration des lieux s’étaient adapté à ce que j’attendais. Cette fois-ci, la pièce ressemblait à une suite royale. Les murs blancs et or étaient décorés çà et là par des chandeliers, des draperies ou encore des tableaux qui ne faisaient que donner un aspect plus élégant à l’endroit. Je ne fis pas réellement attention au mobilier. J’étais bien trop épuisé pour cela. Il fallait que je me repose. Je m’allongeai sur le lit à baldaquin, regardant le plafond.

« Les génies ne dorment pas. Ils ne rêvent plus »

C’est ce que l’on m’avait appris et l’expérience le confirma. Cependant, pour la première fois depuis bien des années, mon esprit divagua et fut emporté par le rêve. Je ne sais combien de temps je me perdis ainsi dans mon subconscient mais, lorsque je revins à moi, j’étais en forme. Je me levai, toujours sous le charme de la chimère qui m’avait emportée. J’appréciais de plus en plus l’échange que j’avais fait avec Sora. Ce qu’elle n’avait plus, je l’avais récupéré.

Il était tant que je rejoigne le monde des vivants. Zéleph avait bien joué son rôle : personne n’avait eu accès à mon habitacle car je n’avais pas encore été dérangé. J’entrepris de sortir mais une force m’en empêchait. Que se passait-t-il ? J’essayais à nouveau mais j’étais dans l’impossibilité de me rendre dans l’univers des rêveurs par la voie normale. Conscient que c’était ma dernière sortie, je créai un portail qui m’amena dans le bureau de Zéleph à Sceptrelinôst.

A mon arrivée, la pièce était vide. Je me demandai s’ils étaient bien arrivés ou s’ils naviguaient encore dans ma direction. J’avais hâte de retrouver le Seigneur des Deux Rives. C’était le seul qui, je pense, pourrait me donner des indices sur ce qui s’était passé avec mon habitacle. Je m’asseyais attendant son retour.

Soudain, j’entendis des cris dans la rue. Intrigué, je passai ma tête par la fenêtre. Là, j’aperçu le roi des réprouvés sur un toit, s’adressant à la foule. Je ne savais pas bien combien de temps il s’était écoulé mais il me semblait que tout cela allait bien vite. Je sortis du bureau et descendis les escaliers, bien déterminé à aller à sa rencontre.

J’avançais dans le dédale des rues, cherchant à me rapprocher de la maison sur laquelle il s’était posé. Me repérant avec le son de sa voix, il arriva plusieurs fois que je me retrouve face à une impasse. Quand enfin je me retrouvai en bas du bâtiment, le Seigneur des Deux Rives avait terminé son discours. J’usai d’un portail de téléportation pour apparaitre aux côtés de Zéleph avant qu’il s’en aille.


« Beau discours ! J’ai bien aimé quand tu as parlé des pirates qui t’ont « offert » la cité. C’était un euphémisme non ? »

J’avais parlé d’un ton amusé, la voix à moitié couverte par le bruit de la foule. Plus sérieusement, je lui posais la question qui me taraudait.

« Il va falloir qu’on parle. Où est-ce que tu as bien pu mettre mon habitacle pour que je ne puisse plus revenir dans le monde des rêveurs sans user de ma propre magie ? !?»


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Sam 02 Mar 2013, 12:33

Zéleph sursauta légèrement. Il détester quand les gens doté du pouvoir de téléportation, ou de ce qui s’en approcher apparaissaient comme ça devant lui sans prévenir. C’était très impoli. Bien que de la part d’un homme comme lui faire appel aux savoir vivre était un peu ce moquer du monde. C’était en tout cas très agacent, et le réprouvé ne si habituerait jamais. Il resta quelque seconde interdit devant la question du génie, ne comprenant pas, son cerveau fit le vide durant quelques secondes, passant d’une chose à une autre, et la parut soudain évidant. Le coffre, il lui parlait du coffre. Son habitacle ? C’était idiot mais le réprouvé n’avait même pas fait le rapprochement, il s’en fichait en réalité et comme il avait compris que Fayt y tenait beaucoup, il n’avait pas cherché plus loin. « Ce doit être par ce qu’il est là. » Sortant sa besace de sous son manteau, il y plongeant la main et il n’eut cas penser au coffre pour que celui-ci soit dans sa main pour qu’il le sorte. « Je suppose que la magie n’opère pas dans cette besace. » Il tendit le petit coffre au génie sans rien a jouté, rendant ce qui était à César, à César sans opposé de résistance. Avoir entre ses mains la seule faiblesse d’un être pouvait être quelque chose de grisant pour beaucoup d’homme, avoir mains mise sur l’essence d’une vie, juste là, au creux de la paume, mais pour le réprouvé c’était futile. Le pouvoir d’un homme sur un autre n’avait aucun sens. Drôle de philosophie pour un roi qui venait d’asservir toute une ville. Seulement voilà l’erreur de ceux qui pensait que c’était par soif de pouvoir où besoin de gouverné, d’avoir des gens sous ses ordres. Non, Zéleph chercher juste à protéger ceux qu’il pouvait encore protéger, ceux qui en avait besoin, et cette ville laisser à l’abandon depuis trop longtemps, lassé par le temps, bordé par le mal, et brodé d’une criminalité qui n’en finissait pas, avait bien besoin d’un coup de balai pour être sauvé. Zéleph ne changerait pas la cité, elle sera toujours profondément mauvaise, qu’on la transforme ou non, mais il ferait en sorte que ce soit contrôlé, sous son contrôle. De plus se serrait l’endroit parfait pour créer loin des regard indiscret de quoi protéger tout son peuple, et le faire grandir encore jusqu’à ce que plus personne n’ose s’en prendre a eu. Oui, c’était son but ultime, faire des réprouvé une race respecter et crainte de tous, pour qu’enfin on les laisse vivre en paix sans plus jamais être oppresser ou chasser comme de la vermine.

« Je ne crois plus avoir besoin de toi Fayt. Merci pour ton aide. Bien sûr tu peux rester, je ne te chasse pas. Au contraire tu es le bienvenu. » C’était juste que maintenant qu’il avait les clefs de la ville, arracher des mains des pirates, le génie avait fini son travail et il en était satisfait. Il se demandé juste comment s’en sortait le capitaine Flynt et les autres, les imaginant encore entrant de ce battre, mettant à feu et à sang le navire si durement gagner. Voilà qui l’amuserait beaucoup si au final il ne resté plu rien de ce rafiot. Les pirates sans rien, plu maitre de cette ville et lui sortant vainqueur de ce combat au fond inutile et puéril. Adam s’approcha. « Il faudrait organiser la cité maintenant. Je suis allé cherchez les plans de la ville. » Il baissa les yeux sur ses bras charger de roules de parchemins et de cartes. Zéleph soupira en se retournant vers Fayt. « Qui a dit qu’être roi était facile ? » Non, il ne faisait, les trois quart du temps, que des choses qui le rebuté et le fatigué profondément. Au moins l’attaque du bateau l’avait amusé, pour le reste, rien n’aller être simple. Maintenant qu’il y pensait. « La fille que tu à prit sous ton aile. » dit-il au génie « T’attend au Circus. Je pense que les filles ce son occuper d’elle. » Quand il parlait des filles, il désignait naturellement les prostitués, mais c’était toujours plus élégant de parlaient d’elles ainsi, et puis ça les faisant rire et Zéleph préférait voir de la joie dans sa maison, que de la frustration de n’être désigner que comme des objets et non comme l’âme de l’organisation, car soyons honnête, c’étaient-elles qui donnaient le ton et insufflé cette joie féminine au Circus. Zéleph invita donc Fayt à les suivre là-bas.

Une fois dans son bureau, il lui indiqua la chambre ou cette jeune femme devait encore être avec les filles de la maison. Adam posa tout son bazar sur le bureau du roi ce fichant pas mal du désordre qu’il engendré commencent à en avoir marre de tout ce porté. « Par où commençons-nous ? » Zéleph s’assit sur son fauteuil dépliant une carte devant lui. C’était une bonne question. « La protection que la ville, je veux que Sceptelinôst soit la cité la plus dur a attaquer de ces terres, personne n’osera l’assiégé, je veux qu’elle soit imprenable. » finit-il, un sourire aux coins des lèvres. Comme un enfant, il était impatient de voir ces grand travaux ce mettre en route et imaginer déjà comme on parlerait de la cité comme de la cité imprenable. « Comment comptes-tu faire ? » « Il n’y a que deux moyen de gagner la ville. » Son doigt parcouru la carte. « L’océan. », il glissa à nouveau sur le papier. « Et ce tunnel. » « Personne ne passe par là, c’est trop dangereux. » Le réprouvé sourit. « Justement, si l’arriver par l’océan devient impossible, il ne restera plus qu’un seul accès a la cité, seulement comment une armé peut-être se déplacer dans un endroit aussi pourrie que ce tunnel ? » Adam commencé à comprendre. En réalité ce n’était pas par ce que le Circus était encré ici, ou que le peuple l’apprécier ici qu’il avait autant désirait prendre le contrôle de cette ville, amis par ce qu’il serrait d‘une simplicité enfantine d’en interdire l’axé, d’en faire une citadelle. « Je vais créer un port si puissant, qu’aucun navire de ce monde ne pourra y entré. Trop de force les attendront dans un espace trop restreint pour qu’ils pensent pouvoir nous atteindre. Et ce tunnel serra leurs dernier recourt, mais il ce bouchera des cadavres de nos ennemies, créant leurs propre pertes. » C’était diabolique, mais nécessaire. Le sorcier souri, aimant cette idée. Zéleph avait l’intelligence de la guerre et savait si prendre pour créer autour de lui des puissances étonnante. « J’ai aussi pensé à ce que nous a dit Fayt, sur une protection magique, nous n’avons pas besoin d’englobé la cité, elle est déjà protégé par la roche, mais juste les deux entré de cette cavité. » « Il serait donc possible de créer cette magie. » « A petite échelle cela est tout à fait possible. » sourit-il. Ne manquer plu que le savoir du génie.

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Dim 07 Avr 2013, 17:18

Continent dévasté – Sceptrelinôst

Zéleph mit un moment avec de comprendre ce que je lui avais dit. Un instant j’eus peur qu’il use de son autorité sur mon esprit mais il n’en fut rien. Il sortit le coffret en bois de saule d’une besace apparemment magique et me le tendit. La magie du sac devait sans nul doute interférer avec la mienne et je fus assez content de ne pas être apparut dans le néant de cette bourse. Je récupérai le coffre hâtivement et l’ouvrit. A l’intérieur, je retrouvai l’amulette d’or sertie de rubis que j’y avais déposé. Je ne tardai pas à la revêtir ; d’après moi, le meilleur moyen d’empêcher quiconque de le possédait était de le porter en permanence. Après avoir récupérer ma liberté, je n’avais plus grand-chose à faire dans cette ville. A vrai dire, j’avais rempli ma part du contrat en aidant le Seigneur des Deux Rives à obtenir la ville de Sceptrelinôst. Cependant, quelque chose m’interdisait de partir tout de suite. Il fallait d’abord que je m’occupe de cette femme que nous avions trouvée. Je savais que le réprouvé avait dû s’en occuper mais, connaissant les pratiques louches dans lesquelles il trempait, je préférais gérer moi-même l’avenir de cette jeune fille. Après s’être faite violée et battre, je ne comptais pas à ce qu’elle vive en tant que prostituée ou serveuse dans un endroit aussi mal fréquenté que le Circus.

L’homme lige du roi fit son entrée. Il était pressé de reprendre la ville en main et de s’occuper de sa protection. Aussi, il était encombré d’un tas de documents futiles. Pendant un moment, je me dis que je ne comprendrais jamais ces sorciers qui s’encombrer de frivolités. Pourquoi avait-il besoin d’autant de chose ? Alors qu’un exemplaire des lois édictées et une carte de la ville aurait été largement suffisante. Je souriais en imaginant ce pauvre mortel feuilletant durant une bonne partie de sa vie tous ces ouvrages. C’était pathétique. Zéleph se retournai vers moi. Il ne semblait pas très comblé par ses devoirs royaux. Pourtant, s’il le voulait réellement, il pouvait très bien déléguer nombre des aspects du travail royal à ses conseillers. Mais cela ne semblait pas être dans sa personnalité. Soudain, il m’indiqua que la rêveuse était en compagnie des filles du Circus. J’avais vu juste. Si je ne m’occupais de rien, la captive finirait certainement par travailler pour l’organisation. Je suivis donc Zéleph jusqu’à celle qui devint ma protégée.

Continent dévasté – Circus, Bureau de Zéleph

Nous mîmes peu de temps avant d’arriver à destination. Alors que je m’attendais à un accueil triomphant, il n’en fut rien. Je supposai que cet accueil avait eu lieu lors de mon inconscience. Tout en grimpant les escaliers, le Seigneur des Deux Rives m’indiqua la chambre de la Rêveuse. Je voulu m’y rendre sur le champ mais je songeai que la jeune femme devait auparavant se ressourcer. Rester en compagnie des femmes de joies était sans doute la meilleure chose pour elle dans l’immédiat. Je suivis donc mes deux camarades de combat jusqu’au bureau de Zéleph. Là, chacun prit sa place habituelle ; le roi s’assit derrière son fauteuil et Adam se mit debout derrière lui après avoir déposé sa pile de documents sur le bureau. Quant à moi, je marchais dans la pièce, regardant les objets qui la décorait. Je songeai un instant à la somme que représentait tout le mobilier. Il y en avait pour un sacré paquet d’or !

J’écoutais d’une oreille évasive les dires des deux hommes. Cela ne m’étonna guère quand j’entendis le réprouvé s’exclamer qu’il préférait s’occuper des défenses de la ville. C’était sans doute la meilleure chose à faire car bons nombres de ses ennemis ne tarderaient pas à tenter de l’assaillir. Il voulait faire une cité imprenable mais, malheureusement, il y avait toujours une faille. Sans doute l’apprendrait-il bien assez tôt. Il n’y avait que deux entrées connues pour se rendre à Sceptrelinôst, c’était une évidence mais je ne me leurrai pas : d’autres se créeront dans l’avenir. Soudain, j’entendis mon nom. Je prêtai donc davantage mon attention à ce qu’ils se disaient. Ils désiraient protéger les entrées de la ville avec la magie élaborée par les Gardiens Eternels. Je me permis d’intervenir.


« Je pourrais certes vous apprendre les bases de cette magie qui camoufle les choses aux yeux de ceux qui ne correspondent pas aux attentes. Néanmoins, j’aurai plusieurs remarques à faire. Quel est l’intérêt de camoufler uniquement ces deux entrées ? On apercevrait quand bien même la ville par derrière. De plus, vous ne vous êtes intéressez qu’à deux entrées : l’océan et le tunnel. Je peux néanmoins vous en citer d’autres : les airs et la magie. Comment pensez-vous que je me suis rendu ici ? Croyez-vous réellement que j’ai emprunté un bateau ou que j’ai marché durant des jours ? Non, j’ai créé un portail qui m’a directement amené dans la ville. Il existe aussi d’autres manières de se rendre ici par magie comme ceux qui peuvent rejoindre un lieu en le dessinant ou en l’imaginant. Il vous faut également prendre cela en compte. Et puis, les êtres volants peuvent très bien surgir du ciel. Si vous voulez protéger votre cité, il faut penser à tout… Camoufler l’entièreté de la ville, même si cela semble plus difficile à mettre en œuvre est tout point meilleur que de se limiter aux entrées. En outre, vous pourriez peut-être demander à vos scientifiques qu’ils créent une bulle magique qui recouvrirait la ville et qui repousserait les gens non-admis dans la cité. Une telle bulle pourrait permettre de protéger toutes les entrées en même temps. Cette bulle pourrait également avoir une capacité à repousser la magie tout comme la besace m’a empêchée de me téléporter. Enfin, ce sont toutes des pistes à explorer. Mais, permettez-moi de vous dire que vos idées premières me semblent manquer cruellement d’envergure. »


[HJ : Toujours beaucoup de boulot mais comme j'ai eu un peu de temps libre je suis venu te répondre ^^]
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Sam 27 Avr 2013, 13:59

Zéleph n’apprécié pas les critiques, la plu part du temps il ne les écouté même pas, paradoxalement il aimer la franchise, mais quand bien même il souriait déjà de ce que rectifier Fayt a ses idées. Il avait pensé à cela, sans conteste. Seulement une armé entière ne peut pas ce téléporté dans une ville, ou sinon celui qui en as le pouvoir serrait d‘une puissance magique légendaire. Ainsi, il était bien évidant que la priorité était de protéger la cité des attaques les plus dangereuse, ils s’occuperaient plus tard du reste. De plus volé pour venir ici ? Impossible. « Je ne me dis pas expert en vol, mais je me débrouille bien malgré mes années de retard sur mes pères, et crois-moi Fayt les roché qui couvre la cité son si coupant que passer par les hauteurs c’est un suicide. Au contraire si je peux pousser une armé à passer par là car c’est le seul point d’accès, ceux serra un atout. » Qu’importe, pour cela il y penserait avec ses sentinelles. La réel urgence était le port, le lieu le plus fréquenter et le plus facile d’accès, si l’on en oublier les falaises le bordent. D’un point de vue naturel Sceptelinôst était une cité déjà bien difficile d’accès, il fallait réellement faire preuve d’ingéniosité pour l’attaqué, plus que de force. Le roi se pencha sur son bureau pensif. L’idée d’une bulle magique n’était pas une mauvaise idée. Un dôme qui les protégerait, plutôt que du camouflage. Il supposa que dans l’absolu c’était possible. Attrapent une plume, puis un parchemin qu’il jugea apte à être souiller d’encre, il commença à gribouiller en laissant ses idées prendre forme. Il ne fit alors pas attention a Adam qui dans sa grande curiosité était déjà penché sur le croquis. Zéleph n’était pas un grand artiste, mais ses schémas étaient compréhensibles et simple. Il dessina grossièrement la ville entouré des falaises, laissant une ouverture pour le port, seul accès vers l’extérieur et le tunnel. Prenant quelque seconde il réfléchit à une solution pour ce dôme. Ils n’auraient jamais assez d’énergie pour le faire fonctionner, et cela leurs coterait bien trop chère, les réprouvés n’était pas un peuple riche d’origine, et plus maintenant une annexion de faite cela n’aller pas arranger les choses. « Est-ce possible de construire, non pas un dôme englobant la cité, mais simplement ses entrés. » Ce n’était pas une question, mais plutôt un murmure, posant cette colle à sa personne, tout en gribouillant sur son bout de papier une sorte de muraille devant le port. Il était déjà évidant qu’il allait devoir falloir faire de grand aménagement, rendre ce port mieux organisé et plus propre. Une fois cela fait il serait possible de créer des champs énergétique qui couvrirait la zone et empêcherait quiconque d’entré lors ce que cette protection est activé. Adam regarda le dessin puis sans un mot il le prit, et sortit du bureau pour en disparaitre. Zéleph savait qu’il était déjà partie dans les sous-sols intimer leurs chercheurs de cette idée. Après ceux serraient eux qui trouveraient les moyens pour l’amélioré, peut-être la changer, mais surtout la créer.

Le roi posa son regard sur le génie. Il n’avait pas vraiment besoin de lui. « Je pense que ton travaille s’achève, Fayt. Tu peux partir si tu le souhaite, ou encore resté, peu importe, mais je ne vais plu avoir beaucoup de temps a t’accordé. » Ce retirant de son fauteuil il s’approcha du génie et lui tendit amicalement la main, pour le remercier de son aide. Il était vrais qu’il avait était dubitatif au début, sur l’utilité d’un diplomate a ses cotée, mais il c’était avéré que Fayt avait était un atout pour lui dans la conquête de la cité. « Peut-être nous rêverons nous vite. » Il ne savait pas très bien ce que faisait l’échiquier en ce moment, et avait bien d‘autre chose à s’occuper. Masha lui avait envoyé ce génie, il l’avait reçu, maintenant il aller devoir ce penché sur le remaniement d’une cité qui avaient bien besoin d’un ménage de printemps, bien qu’il aimer cette cité comme elle était, dépraver et en fête presque toute l’année. Il faudrait pourtant bien la rendre un peu plus propre et accueillante, et sur tout lui construire une économie basé sur autre chose que le vol et la piraterie. Zéleph se retourna vers son bureau et prit de quoi fumer, avant d’allumer sa cigarette. « Au faite, pour cette jeune fille, je ne pense pas la gardé avec moi, je pense l’envoyé a Bouton d’or, après tout je ne m’occupe pas de ça ici. » Il se retourna vers Fayt, il avait l’air de s’intéresser à elle, plus qu’il n’avait l’air de s’intéresser a autre chose, il supposé donc que son sort lui était important. « Ou peut être veux-tu l’emmener ? Peu importe où, elle sera mieux que dans cette ville. » Il finit en soupirant un « enfin » montrant qu'il s'en laver les mains, s’en allant de nouveau de l’autre coter de son bureau pour préparer les choses à faire. Et des choses à faire il en avait, qui malheureusement n’attendrait pas une minutes de plus. D’une certaine façon Zéleph jubilais d’avoir à présent à lui la ville de tous les vices et les plaisir, un terrain de jeu comme nul autre ne pourrait en avoir. Il était certain qu’il ne transformerait pas cette endroit en petite île paisible où il fait bon vivre avec sa famille, il aimer trop l’alcool, le jeu et les femmes pour détruire son paradis, mais il la rendrait encore plus belle à ses yeux, et fleurissante pour son peuple.

[hj: merci, moi aussi j'ai eut mes ralentissement ^^"
Je te propose de finir les derniers post un peut a faire chacun nos truc de notre coté, juste histoire de bouclé et de blablaté pour que ça ce termine. Il te reste 2 post je crois.]
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Dim 28 Avr 2013, 18:36

D’après le réprouvé, l’accès par les airs n’était pas une chose aisée. N’ayant aucune expérience en ce domaine, je le crus sur parole. Après tout, pour l’avoir vu à l’œuvre, il ne semblait pas être à son premier envol. De plus, il paraissait sous-estimer le fait qu’une armée puisse ouvrir un portail vers Sceptrelinôst. Soit, c’était sa cité, ses décisions. Néanmoins, il retint quand même l’idée de la bulle même s’il l’a modifia néanmoins. Je le vis griffonner un schéma doté de quelques annotations sur un parchemin tandis qu’Adam se penchait au-dessus du dessin. Quant à moi, on me fit comprendre qu’il était temps que je parte. Mon travail était désormais plus que terminé. Je quittai la pièce en saluant brièvement Zéleph et son homme lige. J’étais plutôt fier d’avoir réussir à accomplir ma mission. Cela m’avait permis de me rapprocher quelque peu du Seigneur des Deux Rives tout en donnant une fausse preuve de ma loyauté envers l’Echiquier. J’avais bien joué. Il était maintenant temps que je fasse une pause, analysant la situation favorable dans laquelle je me trouvais. Qu’allais-je dire à qui ? J’étais les deux faces d’un même puzzle. Je connaissais les desseins des uns et des autres. J’étais la clé permettant d’ouvrir ou non la porte des conflits. Tel un marionnettiste, je possédais assez d’élément pour tirer mes ficelles. Mais que voulais-je réellement ? Aider Zéleph ? Masha ? Qu’ils entrent conflits ? Qu’ils s’allient ? Je ruminais, me dirigeant vers la chambre de la Rêveuse. Si le roi des réprouvés désirait l’amener à Bouton d’Or, je préférais m’occuper moi-même de sa vie future. Je ne savais pourquoi mais j’aimais bien cette petite.

Lorsque j’entrai dans sa chambre, je tombai nez à nez avec cinq demoiselles douteuses. C’étaient sans nul doute des prostituées du Circus. Je n’arrivais vraiment pas à comprendre comment des femmes pouvaient accepter de faire don de leurs corps contre de l’argent. C’était tellement indécent.


« Je suis venu chercher la fille. »

« Elle est sous la douche pour l’instant. »

« Je vais l’attendre dehors. Prévenez-moi quand elle sera prête à partir. »

Je me postai dans le couloir, attendant patiemment qu’elle soit propre et habillée. Qui aurait-cru qu’elle mettrait tant de temps ? Enfin, après presque une demi-heure, l’une des femmes de joie vint me chercher.

« Elle est prête. »


Spoiler:
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Sam 04 Mai 2013, 17:13

Zéleph soupira. Il était temps de faire le ménage ici, dans cette cité, ou bien au contraire de la laisser comme elle était. Plus il y pensait et plus il se disait qu’il ne voulait rien y changer. Il aimer cette endroit, c’était sa ville, sa cité, non pas seulement par ce qu’ici il était respecté et craints comme un dieu, mais plutôt par ce qu’il aimer cette ambiance festive et ténébreuse. A la fois mauvais et doux. Il n’existait pas de limite dans la recherche du plaisir ici. La fête était faite tout le jour et toute la nuit, peut importer qu’elle excuse ou occasion ils trouvaient, ils trouvaient toujours de quoi s’amuser et oublier la réalité si rude. Le roi désirait préservait cette aspect. Il voulait garder cette folie et la protéger. Sortant dans la rue, il fut bientôt rejoint par Adam et un certain nombre d’hommes. Il fallait réfléchir et penser. Les rues étaient malfamées, des taudis crasseux où personne de sensé n’aurait envient de vivre. Ce cartier était clairement l’un des moins accueillants, mais il ne ferait pas le ménage pour autant. Il avait promis de gardé cette cité comme elle était, le refuge des vermines de toutes les terres du yin et du yang, mais il ne voulait pas non plus que cette endroit reste vulnérable aux attaques, ceux qui suscité un problème de taille.

En marchant dans les rue, le petit groupe, et certainement à cause de Zéleph, étaient légèrement éviter. Dans ce genre d’endroit on n’osait pas réellement regarder le roi du crime, certaine rumeur disait qu’il était capable de faire exploser la cervelle simplement par la pensé et cela effrayait autant que ça fasciné. Soudain il se stoppa en plein ruelle. « Et si le Circus s’occuper de ça. » « Pardon ? » Zéleph se tourne vers Adam. « Nous avons déjà la main mise sur la cité, elle aura beau être aux réprouvés, elle restera pourtant mondial, c’est donc à une organisation relient pratiquement toute les races qu’il revient de droit de s’en occuper. » A sa tête un réprouvé naturellement. Le roi souri, il était maitre des lieux dans sa totalité et il ne cacher pas que c’était jouissif comme situation, oui il aimer beaucoup être maitre de la situation. A cette instant Zéleph était tout puissant à Sceptelinôst, même en vers les races étrangères. Tout lui appartenait, par une puissance qu’il avait acquise avec beaucoup de mal. C’était légitime et personne ne pourrait lui enlever ça. Zéleph reprit le chemin vers le port, traversant des quartiers différent, et toujours plein de vie, les gens à la fois craintif et admiratif ce retourné vers lui pour saluer leurs nouveau roi, puise qu’il était certain maintenant que Zéleph régner de manière officiel sur ces terre, bien qu’avant c’était également le cas.


[hj: Nan mais t'inquiète, c'est no problèmo c'est pour moi pareille, tant qu'on le boucle après c'est pas grave xD
Et désoler je n'avait pas vue ta réponse >w<]
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Dim 05 Mai 2013, 11:16

J’entrai dans la chambre. Ma rêveuse avait déjà meilleure mine de la sorte. Elle portait une robe noire qui, bien que trop légère à mon goût, lui convenait parfaitement. Les femmes de Zéleph avaient également tressé ses longs cheveux noirs avant d’ériger un chignon haut. Son teint laiteux avait été maquillé pour lui donner un aspect hâlé qui contrastait davantage avec ses grands yeux émeraude. Elle était très jolie ainsi. Je dévisageai rapidement les cinq autres demoiselles.

« Vous pouvez disposer. Je m’occupe du reste. Merci à vous. »

Elles sortirent en file indienne sans protester. J’attendis que la dernière ferme la porte pour converser avec ma protégée.

« Bien. Il serait peut-être temps que nous nous tutoyons et présentions. Ne croyez-vous pas ? »

Elle hocha la tête et s’exécuta.

« Je m’appelle Oriana, enchanté de te connaître. »

« Je suis Fayt, moi de même. Ceci étant fait, je vais m’en aller. Voudrais-tu que je te dépose quelque part ? Chez toi peut-être ? »

« Hélas, il n’y a plus de chez moi. J’habitais un petit village au bord de la mer mais les pirates l’ont brûlé en me capturant… »

Ses yeux s’emplirent de tristesse. Cette pauvre jeune fille… Je ne savais que faire d’elle.

« Mes condoléances… Cependant, je refuse de te laisser dans cet endroit. N’y a-t-il pas un lieu où tu désirerais te rendre ? »

Elle réfléchit un long moment. Je me doutais que cette décision allait être difficile pour elle mais il fallait qu’elle choisisse rapidement. Quelques minutes plus tard, elle m’annonça sa préférence.

« Lorsque j’étais enfant, ma mère me racontait souvent des histoires sur cette cité traversée par une rivière. Elle vantait sa beauté. L’Art s’épanouit dans cette ville. On y trouve des musiciens et des peintres ambulants tandis que le théâtre propose chaque jour des pièces magnifiques… »

Alors qu’elle marquait une pause, j’en profitai.

« C’est là-bas que tu veux te rendre ? »

« Oui. »

« Quel est le nom de cet endroit ? »

« Avalon. »

J’aurai aimé l’y téléporter mais je n’avais aucune idée d’où se trouvait cette ville. J’aurai pu l’amener à Somnium, elle y aurait été en sécurité et, en plus, elle aurait eu ce qu’elle voulait… Soit, c’était son choix et je me devais de le respecter.

« Allons-y ! »

Nous descendîmes les escaliers jusqu’au rez-de-chaussée. Là, je m’adressai à la dame de l’accueil.

« Excusez-moi, auriez-vous une carte du monde ? »

« Vous en trouverez-une sur le mur du fond, à gauche »

« Merci bien. »

Nous suivîmes ses indications et arrivèrent bien devant une mappemonde. Je cherchais la ville d’Avalon. Enfin ! Elle était là. Ce n’était pas très loin de Stenfek. C’est d’ailleurs là-bas que nous allions nous rendre. Nous ferions le reste à pied. J’ouvris une brèche devant moi et attrapai la main d’Oriana.

« Suis-moi. »

Alors que nous entrions, le portail se referma derrière nous.
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Une cité à sauver (-18 violence) [PV Fayt]

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