Coucou
En fait je vais déclarer maintenant parce que sinon j'aurai tout le temps la flemme /sbaf/

Lien du ou des sujets : Calendrier de Noël - Jour III
Gains : Un Dragon Lotus

Aego

Prénom : Aego
Surnom : /
Sexe : Mâle
Race : Dragon Lotus

Pouvoirs :
- Identité : Le Dragon Lotus copie l'identité de Styvan. La réplique est surtout physique mais peut également devenir psychologique, au point d'en être particulièrement troublant.
- Décor caméléon : Si les caméléons ont la capacité de se fondre dans le décor, le Dragon Lotus adapte le décor à lui, en le rendant rose.
- Création de fleurs de lotus : Les fleurs de lotus agissent sur le Dragon Lotus comme de l'herbe à chat sur un chat. Il les adore et adore également se rouler dedans.
- Pluie de fleurs : Lorsqu'il pleut, le Dragon Lotus peut changer les gouttes de pluie en pétales de fleurs.
- Paroles : Le Dragon Lotus est capable de discuter à la façon des humanoïdes
- Traverser la matière
- Boules arc-en-ciel : Le Dragon Lotus crache parfois des boules mélangeant plusieurs matières dont des poils de son pelage et des fleurs de lotus. Ces boules peuvent être tricotées et sont d'une douceur sans égale. De plus, lorsqu'il pleut et qu'il y a du soleil, elles forment des arc-en-ciel.

Particularité : Cette espèce de dragon ne vit qu'aux alentours de Basphel à l'état naturel. La plupart niche sur les bases des îles suspendues. On en trouve également à Adraha.

Physique : Environ un mètre cinquante de haut à quatre pattes et trois mètres de long. Pelage rose. Pas d'écailles. Yeux bleus. Cornes mauves.

Psychologie : Cela dépend du spécimen. Adore les fleurs de lotus.

Code:

<div id="wrappper"><div class="titreprez cellule">Aego</div>
<div class="cellule"><img src="https://zupimages.net/up/22/48/g9b2.bmp" style="float:right;padding-left:5px" />[b]Prénom[/b] : Aego
[b]Surnom[/b] : /
[b]Sexe[/b] : Mâle
[b]Race[/b] : Dragon Lotus

[b]Pouvoirs[/b] :
- Identité : Le Dragon Lotus copie l'identité de Styvan. La réplique est surtout physique mais peut également devenir psychologique, au point d'en être particulièrement troublant.
- Décor caméléon : Si les caméléons ont la capacité de se fondre dans le décor, le Dragon Lotus adapte le décor à lui, en le rendant rose.
- Création de fleurs de lotus : Les fleurs de lotus agissent sur le Dragon Lotus comme de l'herbe à chat sur un chat. Il les adore et adore également se rouler dedans.
- Pluie de fleurs : Lorsqu'il pleut, le Dragon Lotus peut changer les gouttes de pluie en pétales de fleurs.
- Paroles : Le Dragon Lotus est capable de discuter à la façon des humanoïdes
- Traverser la matière
- Boules arc-en-ciel : Le Dragon Lotus crache parfois des boules mélangeant plusieurs matières dont des poils de son pelage et des fleurs de lotus. Ces boules peuvent être tricotées et sont d'une douceur sans égale. De plus, lorsqu'il pleut et qu'il y a du soleil, elles forment des arc-en-ciel.

[b]Particularité[/b] : Cette espèce de dragon ne vit qu'aux alentours de Basphel à l'état naturel. La plupart niche sur les bases des îles suspendues. On en trouve également à Adraha.

[b]Physique[/b] : Environ un mètre cinquante de haut à quatre pattes et trois mètres de long. Pelage rose. Pas d'écailles. Yeux bleus. Cornes mauves.

[b]Psychologie[/b] : Cela dépend du spécimen. Adore les fleurs de lotus.

<!-- NE PAS SUPPRIMER CETTE BALISE DIV A DROITE --></div></div>

Lien vers sa fiche : Kitoe

Statut : Oky by Mancy.

Merci !

Coucou
Je fais comme les copines.  

TOUT EST OK by Mancy.

Lien du ou des sujets : Calendrier de Noël - Jour III
Gains : Un Dragon Lotus

Taeyang

Prénom : Taeyang
Sexe : Mâle
Race : Dragon Lotus

Pouvoirs :
- Identité : Le Dragon Lotus copie l'identité d'Aurel. La réplique est surtout physique mais peut également devenir psychologique, au point d'en être particulièrement troublant.
- Décor caméléon : Si les caméléons ont la capacité de se fondre dans le décor, le Dragon Lotus adapte le décor à lui, en le rendant rose.
- Création de fleurs de lotus : Les fleurs de lotus agissent sur le Dragon Lotus comme de l'herbe à chat sur un chat. Il les adore et adore également se rouler dedans.
- Pluie de fleurs : Lorsqu'il pleut, le Dragon Lotus peut changer les gouttes de pluie en pétales de fleurs.
- Paroles : Le Dragon Lotus est capable de discuter à la façon des humanoïdes
- Traverser la matière
- Boules arc-en-ciel : Le Dragon Lotus crache parfois des boules mélangeant plusieurs matières dont des poils de son pelage et des fleurs de lotus. Ces boules peuvent être tricotées et sont d'une douceur sans égale. De plus, lorsqu'il pleut et qu'il y a du soleil, elles forment des arc-en-ciel.

Particularité : Cette espèce de dragon ne vit qu'aux alentours de Basphel à l'état naturel. La plupart niche sur les bases des îles suspendues. On en trouve également à Adraha.

Physique : Environ un mètre cinquante de haut à quatre pattes et trois mètres de long. Pelage rose. Pas d'écailles. Yeux bleus. Cornes mauves.

Psychologie : Cela dépend du spécimen. Adore les fleurs de lotus.

Code:

<div id="wrappper"><div class="titreprez cellule">Taeyang</div>
<div class="cellule"><img src="https://zupimages.net/up/22/48/g9b2.bmp" style="float:right;padding-left:5px" />[b]Prénom[/b] : Taeyang
[b]Sexe[/b] : Mâle
[b]Race[/b] : Dragon Lotus

[b]Pouvoirs[/b] :
- Identité : Le Dragon Lotus copie l'identité d'Aurel. La réplique est surtout physique mais peut également devenir psychologique, au point d'en être particulièrement troublant.
- Décor caméléon : Si les caméléons ont la capacité de se fondre dans le décor, le Dragon Lotus adapte le décor à lui, en le rendant rose.
- Création de fleurs de lotus : Les fleurs de lotus agissent sur le Dragon Lotus comme de l'herbe à chat sur un chat. Il les adore et adore également se rouler dedans.
- Pluie de fleurs : Lorsqu'il pleut, le Dragon Lotus peut changer les gouttes de pluie en pétales de fleurs.
- Paroles : Le Dragon Lotus est capable de discuter à la façon des humanoïdes
- Traverser la matière
- Boules arc-en-ciel : Le Dragon Lotus crache parfois des boules mélangeant plusieurs matières dont des poils de son pelage et des fleurs de lotus. Ces boules peuvent être tricotées et sont d'une douceur sans égale. De plus, lorsqu'il pleut et qu'il y a du soleil, elles forment des arc-en-ciel.

[b]Particularité[/b] : Cette espèce de dragon ne vit qu'aux alentours de Basphel à l'état naturel. La plupart niche sur les bases des îles suspendues. On en trouve également à Adraha.

[b]Physique[/b] : Environ un mètre cinquante de haut à quatre pattes et trois mètres de long. Pelage rose. Pas d'écailles. Yeux bleus. Cornes mauves.

[b]Psychologie[/b] : Cela dépend du spécimen. Adore les fleurs de lotus.

<!-- NE PAS SUPPRIMER CETTE BALISE DIV A DROITE --></div></div>

Lien vers sa fiche : Eiko

Asgard

Prénom : Asgard
Sexe : Mâle
Race : Dragon Lotus

Pouvoirs :
- Identité : Le Dragon Lotus copie l'identité de Persée. La réplique est surtout physique mais peut également devenir psychologique, au point d'en être particulièrement troublant.
- Décor caméléon : Si les caméléons ont la capacité de se fondre dans le décor, le Dragon Lotus adapte le décor à lui, en le rendant rose.
- Création de fleurs de lotus : Les fleurs de lotus agissent sur le Dragon Lotus comme de l'herbe à chat sur un chat. Il les adore et adore également se rouler dedans.
- Pluie de fleurs : Lorsqu'il pleut, le Dragon Lotus peut changer les gouttes de pluie en pétales de fleurs.
- Paroles : Le Dragon Lotus est capable de discuter à la façon des humanoïdes
- Traverser la matière
- Boules arc-en-ciel : Le Dragon Lotus crache parfois des boules mélangeant plusieurs matières dont des poils de son pelage et des fleurs de lotus. Ces boules peuvent être tricotées et sont d'une douceur sans égale. De plus, lorsqu'il pleut et qu'il y a du soleil, elles forment des arc-en-ciel.

Particularité : Cette espèce de dragon ne vit qu'aux alentours de Basphel à l'état naturel. La plupart niche sur les bases des îles suspendues. On en trouve également à Adraha.

Physique : Environ un mètre cinquante de haut à quatre pattes et trois mètres de long. Pelage rose. Pas d'écailles. Yeux bleus. Cornes mauves.

Psychologie : Cela dépend du spécimen. Adore les fleurs de lotus.

Code:

<div id="wrappper"><div class="titreprez cellule">Asgard</div>
<div class="cellule"><img src="https://zupimages.net/up/22/48/g9b2.bmp" style="float:right;padding-left:5px" />[b]Prénom[/b] : Asgard
[b]Sexe[/b] : Mâle
[b]Race[/b] : Dragon Lotus

[b]Pouvoirs[/b] :
- Identité : Le Dragon Lotus copie l'identité de Persée. La réplique est surtout physique mais peut également devenir psychologique, au point d'en être particulièrement troublant.
- Décor caméléon : Si les caméléons ont la capacité de se fondre dans le décor, le Dragon Lotus adapte le décor à lui, en le rendant rose.
- Création de fleurs de lotus : Les fleurs de lotus agissent sur le Dragon Lotus comme de l'herbe à chat sur un chat. Il les adore et adore également se rouler dedans.
- Pluie de fleurs : Lorsqu'il pleut, le Dragon Lotus peut changer les gouttes de pluie en pétales de fleurs.
- Paroles : Le Dragon Lotus est capable de discuter à la façon des humanoïdes
- Traverser la matière
- Boules arc-en-ciel : Le Dragon Lotus crache parfois des boules mélangeant plusieurs matières dont des poils de son pelage et des fleurs de lotus. Ces boules peuvent être tricotées et sont d'une douceur sans égale. De plus, lorsqu'il pleut et qu'il y a du soleil, elles forment des arc-en-ciel.

[b]Particularité[/b] : Cette espèce de dragon ne vit qu'aux alentours de Basphel à l'état naturel. La plupart niche sur les bases des îles suspendues. On en trouve également à Adraha.

[b]Physique[/b] : Environ un mètre cinquante de haut à quatre pattes et trois mètres de long. Pelage rose. Pas d'écailles. Yeux bleus. Cornes mauves.

[b]Psychologie[/b] : Cela dépend du spécimen. Adore les fleurs de lotus.

<!-- NE PAS SUPPRIMER CETTE BALISE DIV A DROITE --></div></div>

Fiche : Phobos

Statut :

Merci !

Väkan

✭ Prénom - Väkan
✭ Sexe - Masculin
✭ Race - Dragon Lotus
✭ Partenaire - Valysteria Kaesra
✭ Capacités
- Identité - Le Dragon Lotus copie l'identité d'un individu. La réplique est surtout physique mais peut également devenir psychologique, au point d'en être particulièrement troublant. | Le Dragon prend l'identité d'Erkan Jāmanī.
- Décor Caméléon - Si les caméléons ont la capacité de se fondre dans le décor, le Dragon Lotus adapte le décor à lui, en le rendant rose.
- Création de Fleurs de Lotus - Les fleurs de lotus agissent sur le Dragon Lotus comme de l'herbe à chat sur un chat. Il les adore et adore également se rouler dedans.
- Pluie de Fleurs - Lorsqu'il pleut, le Dragon Lotus peut changer les gouttes de pluie en pétales de fleurs.
- Paroles - Le Dragon Lotus est capable de discuter à la façon des humanoïdes.
- Traverser la Matière
- Boules Arc-en-Ciel - Le Dragon Lotus crache parfois des boules mélangeant plusieurs matières dont des poils de son pelage et des fleurs de lotus. Ces boules peuvent être tricotées et sont d'une douceur sans égale. De plus, lorsqu'il pleut et qu'il y a du soleil, elles forment des arc-en-ciel.

Particularité - Cette espèce de dragon ne vit qu'aux alentours de Basphel à l'état naturel. La plupart niche sur les bases des îles suspendues. On en trouve également à Adraha.

Physique - Environ un mètre cinquante de haut à quatre pattes et trois mètres de long. Pelage rose. Pas d'écailles. Yeux bleus. Cornes mauves.

Psychologie - Cela dépend du spécimen. Adore les fleurs de lotus.

Code:

<div id="wrappper"><div class="titreprez cellule">Väkan</div>
<div class="cellule"><img src="https://zupimages.net/up/22/48/g9b2.bmp" style="float:right;padding-left:5px" />✭ [b]Prénom[/b] - Väkan
✭ [b]Sexe[/b] - Masculin
✭ [b]Race[/b] - Dragon Lotus
✭ [b]Partenaire[/b] - Valysteria Kaesra
✭ [b]Capacités[/b]
- Identité - [size=10]Le Dragon Lotus copie l'identité d'un individu. La réplique est surtout physique mais peut également devenir psychologique, au point d'en être particulièrement troublant. | Le Dragon prend l'identité d'Erkan Jāmanī.[/size]
- Décor Caméléon - [size=10]Si les caméléons ont la capacité de se fondre dans le décor, le Dragon Lotus adapte le décor à lui, en le rendant rose.[/size]
- Création de Fleurs de Lotus - [size=10]Les fleurs de lotus agissent sur le Dragon Lotus comme de l'herbe à chat sur un chat. Il les adore et adore également se rouler dedans.[/size]
- Pluie de Fleurs - [size=10]Lorsqu'il pleut, le Dragon Lotus peut changer les gouttes de pluie en pétales de fleurs.[/size]
- Paroles - [size=10]Le Dragon Lotus est capable de discuter à la façon des humanoïdes.[/size]
- Traverser la Matière
- Boules Arc-en-Ciel - [size=10]Le Dragon Lotus crache parfois des boules mélangeant plusieurs matières dont des poils de son pelage et des fleurs de lotus. Ces boules peuvent être tricotées et sont d'une douceur sans égale. De plus, lorsqu'il pleut et qu'il y a du soleil, elles forment des arc-en-ciel.[/size]

[b]Particularité[/b] - Cette espèce de dragon ne vit qu'aux alentours de Basphel à l'état naturel. La plupart niche sur les bases des îles suspendues. On en trouve également à Adraha.

[b]Physique[/b] - Environ un mètre cinquante de haut à quatre pattes et trois mètres de long. Pelage rose. Pas d'écailles. Yeux bleus. Cornes mauves.

[b]Psychologie[/b] - Cela dépend du spécimen. Adore les fleurs de lotus.

</div></div>

Lucypella

✭ Prénom - Lucypella
✭ Sexe - Féminin
✭ Race - Dragon Lotus
✭ Partenaire - Jeanne Euskara
✭ Capacités
- Identité - Le Dragon Lotus copie l'identité d'un individu. La réplique est surtout physique mais peut également devenir psychologique, au point d'en être particulièrement troublant. | Le Dragon prend l'identité de Perséphone.
- Décor Caméléon - Si les caméléons ont la capacité de se fondre dans le décor, le Dragon Lotus adapte le décor à lui, en le rendant rose.
- Création de Fleurs de Lotus - Les fleurs de lotus agissent sur le Dragon Lotus comme de l'herbe à chat sur un chat. Il les adore et adore également se rouler dedans.
- Pluie de Fleurs - Lorsqu'il pleut, le Dragon Lotus peut changer les gouttes de pluie en pétales de fleurs.
- Paroles - Le Dragon Lotus est capable de discuter à la façon des humanoïdes.
- Traverser la Matière
- Boules Arc-en-Ciel - Le Dragon Lotus crache parfois des boules mélangeant plusieurs matières dont des poils de son pelage et des fleurs de lotus. Ces boules peuvent être tricotées et sont d'une douceur sans égale. De plus, lorsqu'il pleut et qu'il y a du soleil, elles forment des arc-en-ciel.

Particularité - Cette espèce de dragon ne vit qu'aux alentours de Basphel à l'état naturel. La plupart niche sur les bases des îles suspendues. On en trouve également à Adraha.

Physique - Environ un mètre cinquante de haut à quatre pattes et trois mètres de long. Pelage rose. Pas d'écailles. Yeux bleus. Cornes mauves.

Psychologie - Cela dépend du spécimen. Adore les fleurs de lotus.

Code:

<div id="wrappper"><div class="titreprez cellule">Lucypella</div>
<div class="cellule"><img src="https://zupimages.net/up/22/48/g9b2.bmp" style="float:right;padding-left:5px" />✭ [b]Prénom[/b] - Lucypella
✭ [b]Sexe[/b] - Féminin
✭ [b]Race[/b] - Dragon Lotus
✭ [b]Partenaire[/b] - Jeanne Euskara
✭ [b]Capacités[/b]
- Identité - [size=10]Le Dragon Lotus copie l'identité d'un individu. La réplique est surtout physique mais peut également devenir psychologique, au point d'en être particulièrement troublant. | Le Dragon prend l'identité de Perséphone.[/size]
- Décor Caméléon - [size=10]Si les caméléons ont la capacité de se fondre dans le décor, le Dragon Lotus adapte le décor à lui, en le rendant rose.[/size]
- Création de Fleurs de Lotus - [size=10]Les fleurs de lotus agissent sur le Dragon Lotus comme de l'herbe à chat sur un chat. Il les adore et adore également se rouler dedans.[/size]
- Pluie de Fleurs - [size=10]Lorsqu'il pleut, le Dragon Lotus peut changer les gouttes de pluie en pétales de fleurs.[/size]
- Paroles - [size=10]Le Dragon Lotus est capable de discuter à la façon des humanoïdes.[/size]
- Traverser la Matière
- Boules Arc-en-Ciel - [size=10]Le Dragon Lotus crache parfois des boules mélangeant plusieurs matières dont des poils de son pelage et des fleurs de lotus. Ces boules peuvent être tricotées et sont d'une douceur sans égale. De plus, lorsqu'il pleut et qu'il y a du soleil, elles forment des arc-en-ciel.[/size]

[b]Particularité[/b] - Cette espèce de dragon ne vit qu'aux alentours de Basphel à l'état naturel. La plupart niche sur les bases des îles suspendues. On en trouve également à Adraha.

[b]Physique[/b] - Environ un mètre cinquante de haut à quatre pattes et trois mètres de long. Pelage rose. Pas d'écailles. Yeux bleus. Cornes mauves.

[b]Psychologie[/b] - Cela dépend du spécimen. Adore les fleurs de lotus.

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Je viens d'ores et déjà dégainer ma carte COMPAGNON GRATUIT bwahahahahahaaaa (désolée la fiche est un peu longue)

TOUT EST OK by Mancy. Tu sais que j'aime quand c'est long !

Amphytria Dogma

Nom : Dogma
Prénom : Amphytria
Surnom : Amphy ou Fifi.
Sexe : F
Taille : 1.65 m
Age apparent : 17 ans
Ère de naissance : Ère de la Conciliation
Race : Lyrienn (Fybb/Nature)
Métier : X

Niveau : I (Niveau I à partir de 3 points)

Armes :  
- Une boîte d’allumettes

Spécialités :
- Agilité : 6
- Force : 6
- Charisme : 7
- Intelligence : 4
- Magie : 2

Pouvoirs :
- Qyndily Mantris (Fybb/Nature)
- Qyndily Aenör (Fybb/Nature)
- Kölge Nazaret
- Changer d’apparence
- Création d’insectes

Gain de niveau 2
- X

Gain de niveau 3
- X

POUVOIRS
- X

ARMES
- X

ARTEFACTS
- X

~ Formes de magie
- Magie de Jade
- Magie Élémentaire

~ Patrimoine et réputation
- X

Particularité : Ses cheveux changent régulièrement de couleur. Elle n’arrive pas à le contrôler.

Role-play : Cours. Cours. Cours ! Ne t’arrête pas. Mon cerveau pouvait être rassuré : courir, je ne faisais que ça. A en perdre haleine. Je n’avais jamais autant couru de toute ma vie, et j'espérais sincèrement que ce serait la première comme la dernière fois. J’avais mal partout. Je haletais comme un bœuf, ma gorge était en feu et j’avais un goût métallique dans la bouche. J’avais un point de côté. J’avais l’impression que les muscles de mes jambes allaient se déliter tant je les mettais à rude épreuve. L’air glacé et humide de la nuit fouettait mon visage. Mes yeux larmoyaient et mon nez coulait. Une partie de mon visage était en sang. Je me sentais sale. Moite. J’avais la certitude que j’allais mourir là, ce soir, au crépuscule, et pourtant j’avais aussi la conviction que ça n’arriverait pas. Je ne pouvais pas. Pas maintenant ; j’étais trop jeune. Je n’avais encore rien fait de ma vie. Je ne savais même pas qui j’étais. A quoi aurait servi mon existence si c’était pour disparaître maintenant ?

-AMPHYTRIA !

J’accélérai ma course au-delà de ce que je pensais être possible. M’éloigner de la voix, cette voix déchirante de vieille Sorcière hystérique, cette voix qui me terrifiait autant qu’elle me déchirait le cœur. Ce n’était pas le moment de se remettre à pleurer.

-Reviens ici ! Amphytria !

*

-Amphytria.

Je levai des yeux las vers celle qui venait de prononcer mon nom.

-Hm ?

Même assise sur ma chaise, je vacillai encore. En plus d’avoir une mine de déterrée, il était probable que mes pupilles fussent encore dilatées. Je me demandais si mes yeux étaient rouges.

-Qu’as-tu consommé ?

Je clignai plusieurs fois des yeux pour rendre ma vue plus nette et me concentrer sur le visage grave de ma mère. Ses traits étaient tirés. Je considérai un moment ses cheveux, noirs et grisonnants. Elle se faisait vieille.

-Rien.

J’avais fumé une ou deux heures avant. C’était important, si je voulais rester calme toute la journée. C’était le seul remède que j’avais trouvé contre les crises de panique. C’était cher mais au moins, je pouvais évoluer dans cette société de merde en paraissant à peu près normale. J’entendis ma mère soupirer et se reculer contre son dossier. Sa main droite lâcha sa cuillère à soupe et elle se tourna vers mon père.

-Et toi. Dis quelque chose, à la fin !

Mon père leva à peine les yeux et il marmonna des mots à mon insu que je ne compris pas. Il avait toujours été ainsi, complètement effacé face à l’écrasant tyran qu’était ma mère. Je me demandais parfois si c’était ça, sa clef pour accéder au bonheur : l’effacement. Personnellement, je n’en étais pas capable. Si je ressemblais plutôt à mon père sur le plan physique - pas très grande, le visage arrondi - j’avais malheureusement hérité du caractère trempé de ma génitrice. Avec ma condition, cela faisait de moi une véritable plaie. Je passai une main dans mes cheveux, comme je le faisais très souvent. Ils étaient longs et lisses, en revanche je ne maîtrisais pas leur couleur. Cela me rendait d’autant plus détestable. J’avais longtemps teint mes cheveux en brun, sous les injonctions de ma mère, mais j’avais décidé d’arrêter depuis quelques temps. J’en avais eu marre. La dictatrice claqua sa langue contre son palais. Sa cuillère plongea dans le bouillon.

-Il va falloir s’attendre à un nouveau renvoi avec une pauvre fille comme toi.

Je retins de justesse un pouffement. Ce qui me faisait rire était qu’elle avait raison. La drogue me donnait un sens de l’humour terrible. C’était au moins la cinquième école que je fréquentais. Il y avait tout un tas de raisons qui justifiaient mes expulsions répétées. Dernièrement, c’était parce que mes notes étaient catastrophiques, mais je pensais que c’était avant tout un prétexte. La vérité était que je dérangeais. J’aimais me faire remarquer, faire “mon intéressante” et j’étais apparemment vulgaire. Toute mon enfance, mes camarades s’étaient moqués de moi, sous prétexte je n’étais pas une Sorcière. Cela m’avait fait pleurer plus petite, mais ce n’était plus le cas. En plus d’avoir trouvé refuge dans la drogue, j’avais fini par admettre qu’ils avaient raison. J’étais coincée sur des terres croupies qui n’étaient pas les miennes.

*

Je tournai brusquement au coin d’une rue. Je glissai sur le pavé humide et me rétamai par terre, sauvant ma mâchoire de justesse. Aussitôt, je repris appui sur mes pieds. Je n’avais pas de temps à perdre. J’ignorai si elle savait où j’allais. Il n’y avait pas trente-mille solutions. J’aurais peut-être dû effectuer un détour pour m’assurer de la semer, mais je ne réfléchissai plus. Je fonçai tout droit vers ma destination.

*

-Madame Dogma.

Ma mère se leva et je l’imitai. Nous nous installâmes dans le bureau du proviseur. Ma mère était nerveuse : lorsque nous étions convoquées, ce n’était jamais bon signe.

-Naturellement, vous avez pris connaissance de toutes les lettres d’avertissement que nous vous avons envoyées. Commença le directeur en apposant ses coudes sur son bureau. Il joignit ses mains devant son visage. Propos vulgaires, répond à ses professeurs, tenues et apparence indécente…

-Je ne fais pas exprès ! Protestai-je.

-Vous ai-je donné la parole, mademoiselle Dogma ? Tonna le vieil homme. Sa manière de me scruter à travers ses lunettes me cloua sur place. Je disais : tenues et apparence indécentes. Je ne parle pas des résultats scolaires, dont vous avez connaissance. Oh, et savez-vous qu’elle se drogue, également ?

Je baissai les yeux et rougis. J’étais dans la merde.

-De plus, sauf quand il s’agit de ses cheveux, il semble que votre fille soit incapable d’utiliser sa magie. Il fit une pause. J’ose espérer que vous êtes attentive à cette problématique en particulier, madame Dogma. A son âge, Amphytria devrait déjà manifester des caractéristiques magiques d’ici. Ce que j’observe actuellement est davantage relatif à de la Magie Bleue.

J’étais vraiment dans la merde.

Le trajet du retour fut l’un des plus terrifiants que je n’eus jamais à faire. Ce renvoi-là avait marqué le franchissement d’un seuil. D’usuelle, ma mère me faisait deux ou trois reproches acerbes sur le chemin. Cette fois-ci, elle était silencieuse. Ses mains refermées l’une contre l’autre ne décrispaient pas.

-Monte dans ta chambre, veux-tu ? Me dit-elle une fois à la maison.

Je m’exécutai, pressée de retrouver les herbes qui attendaient sagement sous mon matelas. Derrière moi, je l’entendais verrouiller la porte puis emboîter mon pas dans les escaliers. A peine eus-je atteint le palier que je sentais une force me tirer vers l’arrière.

-Petite garce !

Je poussai un cri de surprise. La prise de ma mère arracha la poignée de cheveux par laquelle elle m’avait tiré. Je dégringolais à l’étage inférieur. J’étais sonnée. A la sensation liquide sur mon crâne, je compris que je saignais. En compte à rebours, les pas sourds de ma mère redescendaient lentement les marches.

-Une idiote toxicomane doublée d’une Magicienne ! C’est ça que tu veux être ? S’écria-t-elle. Tu es une honte ! Tu fais honte à la famille !

Elle me saisit par l’épaule et me releva avec une force surhumaine. D’un même geste, elle m’envoyait valdinguer dans la salle à manger, où je me pris la commode en pleine tête. Je m’y accrochais.

-Tu es irrattrapable !

Adrénaline. Je me retournai vivement et parai son prochain coup. Je poussai un cri de rage. J’utilisai tout mon poids pour la pousser, jusqu’à l’allonger sur la table à manger.

-Laisse-moi tranquille ! Hurlai-je.

Je ne sais pas ce qui me prenait. Elle avait réveillé la folle en moi et j’avais réveillé la folle en elle. Nous étions deux furies qui éclataient après toutes ces années de tension. J’abattis mon poing sur son visage. La douleur comprima mes phalanges. Elle se débattit et je la frappai encore, jusqu’à ce que je la sentît faiblir. Là, je fondis vers la porte d’entrée, déverrouillai le loquet, et m’enfuis.

-AMPHYTRIA !

*

J’étais entrée en trombe dans le bâtiment alors que celui-ci s’apprêtait à fermer. J’avais bousculé les gardes sans me préoccuper des convenances. A l’intérieur, je fus assaillie par la chaleur étouffante. Mes yeux étaient devenus des radars et j’entendais à peine les protestations de la sécurité derrière moi. Merde. Il n’y avait plus personne à cette heure-ci. Je continuais toutefois d’avancer. Si je devais remonter jusqu’au dernier bureau pour trouver mon graal, je le ferai. J’étais folle et capable de n’importe quoi à ce stade. Soudain, dans un couloir, je repérai un homme. Je le hélai. A peine eut-il le temps de se retourner que j’étais déjà à ses pieds. Je m’étais littéralement effondrée.

-S’il-vous-plait. Je réalisai que je pleurais à torrents. Avec mon sang qui s’écoulait de mon crâne, j’allais saloper la moquette de l’ambassade. S’il-vous-plait… Je demande l’asile aux Magiciens.

Là, je levai mes mains jointes vers lui et collai mon front contre le sol. Je tremblais en soubresauts violents - en plus d’avoir peur, j’étais en manque. J’en étais là. J’en étais à supplier comme une misérable mendiante. Mais cet homme, qui qu’il fut, était mon seul espoir de survie.

Code:

<div id="wrappper"><div class="titreprez cellule">Amphytria Dogma</div>
<div class="cellule"><img src="https://i.servimg.com/u/f75/20/47/86/98/amphyt10.png" style="height:400px;float:right;padding-left:5px" />[b]Nom[/b] : Dogma
[b]Prénom[/b] : Amphytria
[b]Surnom[/b] : Amphy ou Fifi.
[b]Sexe[/b] : F
[b]Taille[/b] : 1.65 m
[b]Age apparent[/b] : 17 ans
[b]Ère de naissance[/b] : Ère de la Conciliation
[b]Race[/b] : Lyrienn (Fybb/Nature)
[b]Métier[/b] : X

[b]Niveau[/b] : I (Niveau I à partir de 3 points)

[b]Armes[/b] :  
- Une boîte d’allumettes

[b]Spécialités[/b] :
- Agilité : 6
- Force : 6
- Charisme : 7
- Intelligence : 4
- Magie : 2

[b]Pouvoirs[/b] :
- Qyndily Mantris (Fybb/Nature)
- Qyndily Aenör (Fybb/Nature)
- Kölge Nazaret
- Changer d’apparence
- Création d’insectes

[b]Gain de niveau 2[/b]
- X

[b]Gain de niveau 3[/b]
- X

[b]POUVOIRS[/b]
- X

[b]ARMES[/b]
- X

[b]ARTEFACTS[/b]
- X

[b]~ Formes de magie[/b]
- Magie de Jade
- Magie Élémentaire

[b]~ Patrimoine et réputation[/b]
- X

[b]Particularité[/b] : Ses cheveux changent régulièrement de couleur. Elle n’arrive pas à le contrôler.

[b]Role-play[/b] : [i]Cours. Cours. Cours ! Ne t’arrête pas.[/i] Mon cerveau pouvait être rassuré : courir, je ne faisais que ça. A en perdre haleine. Je n’avais jamais autant couru de toute ma vie, et j'espérais sincèrement que ce serait la première comme la dernière fois. J’avais mal partout. Je haletais comme un bœuf, ma gorge était en feu et j’avais un goût métallique dans la bouche. J’avais un point de côté. J’avais l’impression que les muscles de mes jambes allaient se déliter tant je les mettais à rude épreuve. L’air glacé et humide de la nuit fouettait mon visage. Mes yeux larmoyaient et mon nez coulait. Une partie de mon visage était en sang. Je me sentais sale. Moite. J’avais la certitude que j’allais mourir là, ce soir, au crépuscule, et pourtant j’avais aussi la conviction que ça n’arriverait pas. Je ne pouvais pas. Pas maintenant ; j’étais trop jeune. Je n’avais encore rien fait de ma vie. Je ne savais même pas qui j’étais. A quoi aurait servi mon existence si c’était pour disparaître maintenant ?

[color=#663366]-AMPHYTRIA ![/color]

J’accélérai ma course au-delà de ce que je pensais être possible. M’éloigner de la voix, cette voix déchirante de vieille Sorcière hystérique, cette voix qui me terrifiait autant qu’elle me déchirait le cœur. Ce n’était pas le moment de se remettre à pleurer.

[color=#663366]-Reviens ici ! Amphytria ![/color]

<center>*</center>

[i][color=#663366]-Amphytria.[/color]

Je levai des yeux las vers celle qui venait de prononcer mon nom.

[color=#99cc00]-Hm ?[/color]

Même assise sur ma chaise, je vacillai encore. En plus d’avoir une mine de déterrée, il était probable que mes pupilles fussent encore dilatées. Je me demandais si mes yeux étaient rouges.

[color=#663366]-Qu’as-tu consommé ?[/color]

Je clignai plusieurs fois des yeux pour rendre ma vue plus nette et me concentrer sur le visage grave de ma mère. Ses traits étaient tirés. Je considérai un moment ses cheveux, noirs et grisonnants. Elle se faisait vieille.

[color=#99cc00]-Rien.[/color]

J’avais fumé une ou deux heures avant. C’était important, si je voulais rester calme toute la journée. C’était le seul remède que j’avais trouvé contre les crises de panique. C’était cher mais au moins, je pouvais évoluer dans cette société de merde en paraissant à peu près normale. J’entendis ma mère soupirer et se reculer contre son dossier. Sa main droite lâcha sa cuillère à soupe et elle se tourna vers mon père.

[color=#663366]-Et toi. Dis quelque chose, à la fin ![/color]

Mon père leva à peine les yeux et il marmonna des mots à mon insu que je ne compris pas. Il avait toujours été ainsi, complètement effacé face à l’écrasant tyran qu’était ma mère. Je me demandais parfois si c’était ça, sa clef pour accéder au bonheur : l’effacement. Personnellement, je n’en étais pas capable. Si je ressemblais plutôt à mon père sur le plan physique - pas très grande, le visage arrondi - j’avais malheureusement hérité du caractère trempé de ma génitrice. Avec ma condition, cela faisait de moi une véritable plaie. Je passai une main dans mes cheveux, comme je le faisais très souvent. Ils étaient longs et lisses, en revanche je ne maîtrisais pas leur couleur. Cela me rendait d’autant plus détestable. J’avais longtemps teint mes cheveux en brun, sous les injonctions de ma mère, mais j’avais décidé d’arrêter depuis quelques temps. J’en avais eu marre. La dictatrice claqua sa langue contre son palais. Sa cuillère plongea dans le bouillon.

[color=#663366]-Il va falloir s’attendre à un nouveau renvoi avec une pauvre fille comme toi.[/color]

Je retins de justesse un pouffement. Ce qui me faisait rire était qu’elle avait raison. La drogue me donnait un sens de l’humour terrible. C’était au moins la cinquième école que je fréquentais. Il y avait tout un tas de raisons qui justifiaient mes expulsions répétées. Dernièrement, c’était parce que mes notes étaient catastrophiques, mais je pensais que c’était avant tout un prétexte. La vérité était que je dérangeais. J’aimais me faire remarquer, faire “mon intéressante” et j’étais apparemment vulgaire. Toute mon enfance, mes camarades s’étaient moqués de moi, sous prétexte je n’étais pas une Sorcière. Cela m’avait fait pleurer plus petite, mais ce n’était plus le cas. En plus d’avoir trouvé refuge dans la drogue, j’avais fini par admettre qu’ils avaient raison. J’étais coincée sur des terres croupies qui n’étaient pas les miennes.[/i]

<center>*</center>

Je tournai brusquement au coin d’une rue. Je glissai sur le pavé humide et me rétamai par terre, sauvant ma mâchoire de justesse. Aussitôt, je repris appui sur mes pieds. Je n’avais pas de temps à perdre. J’ignorai si elle savait où j’allais. Il n’y avait pas trente-mille solutions. J’aurais peut-être dû effectuer un détour pour m’assurer de la semer, mais je ne réfléchissai plus. Je fonçai tout droit vers ma destination.

<center>*</center>

[i][color=#003366]-Madame Dogma.[/color]

Ma mère se leva et je l’imitai. Nous nous installâmes dans le bureau du proviseur. Ma mère était nerveuse : lorsque nous étions convoquées, ce n’était jamais bon signe.

[color=#003366]-Naturellement, vous avez pris connaissance de toutes les lettres d’avertissement que nous vous avons envoyées.[/color] Commença le directeur en apposant ses coudes sur son bureau. Il joignit ses mains devant son visage. [color=#003366]Propos vulgaires, répond à ses professeurs, tenues et apparence indécente…[/color]

[color=#99cc00]-Je ne fais pas exprès ! [/color]Protestai-je.

[color=#003366]-Vous ai-je donné la parole, mademoiselle Dogma ? [/color]Tonna le vieil homme. Sa manière de me scruter à travers ses lunettes me cloua sur place. [color=#003366]Je disais : tenues et apparence indécentes. Je ne parle pas des résultats scolaires, dont vous avez connaissance. Oh, et savez-vous qu’elle se drogue, également ? [/color]

Je baissai les yeux et rougis. J’étais dans la merde.

[color=#003366]-De plus, sauf quand il s’agit de ses cheveux, il semble que votre fille soit incapable d’utiliser sa magie.[/color] Il fit une pause. [color=#003366]J’ose espérer que vous êtes attentive à cette problématique en particulier, madame Dogma. A son âge, Amphytria devrait déjà manifester des caractéristiques magiques d’ici. Ce que j’observe actuellement est davantage relatif à de la Magie Bleue.[/color]

J’étais vraiment dans la merde.

Le trajet du retour fut l’un des plus terrifiants que je n’eus jamais à faire. Ce renvoi-là avait marqué le franchissement d’un seuil. D’usuelle, ma mère me faisait deux ou trois reproches acerbes sur le chemin. Cette fois-ci, elle était silencieuse. Ses mains refermées l’une contre l’autre ne décrispaient pas.

[color=#663366]-Monte dans ta chambre, veux-tu ? [/color]Me dit-elle une fois à la maison.

Je m’exécutai, pressée de retrouver les herbes qui attendaient sagement sous mon matelas. Derrière moi, je l’entendais verrouiller la porte puis emboîter mon pas dans les escaliers. A peine eus-je atteint le palier que je sentais une force me tirer vers l’arrière.

[color=#663366]-Petite garce ![/color]

Je poussai un cri de surprise. La prise de ma mère arracha la poignée de cheveux par laquelle elle m’avait tiré. Je dégringolais à l’étage inférieur. J’étais sonnée. A la sensation liquide sur mon crâne, je compris que je saignais. En compte à rebours, les pas sourds de ma mère redescendaient lentement les marches.

[color=#663366]-Une idiote toxicomane doublée d’une Magicienne ! C’est ça que tu veux être ? [/color]S’écria-t-elle. [color=#663366]Tu es une honte ! Tu fais honte à la famille ![/color]

Elle me saisit par l’épaule et me releva avec une force surhumaine. D’un même geste, elle m’envoyait valdinguer dans la salle à manger, où je me pris la commode en pleine tête. Je m’y accrochais.

[color=#663366]-Tu es irrattrapable ![/color]

Adrénaline. Je me retournai vivement et parai son prochain coup. Je poussai un cri de rage. J’utilisai tout mon poids pour la pousser, jusqu’à l’allonger sur la table à manger.

[color=#99cc00]-Laisse-moi tranquille ! [/color]Hurlai-je.

Je ne sais pas ce qui me prenait. Elle avait réveillé la folle en moi et j’avais réveillé la folle en elle. Nous étions deux furies qui éclataient après toutes ces années de tension. J’abattis mon poing sur son visage. La douleur comprima mes phalanges. Elle se débattit et je la frappai encore, jusqu’à ce que je la sentît faiblir. Là, je fondis vers la porte d’entrée, déverrouillai le loquet, et m’enfuis.

[color=#663366]-AMPHYTRIA ![/color][/i]

<center>*</center>

J’étais entrée en trombe dans le bâtiment alors que celui-ci s’apprêtait à fermer. J’avais bousculé les gardes sans me préoccuper des convenances. A l’intérieur, je fus assaillie par la chaleur étouffante. Mes yeux étaient devenus des radars et j’entendais à peine les protestations de la sécurité derrière moi. [i]Merde[/i]. Il n’y avait plus personne à cette heure-ci. Je continuais toutefois d’avancer. Si je devais remonter jusqu’au dernier bureau pour trouver mon graal, je le ferai. J’étais folle et capable de n’importe quoi à ce stade. Soudain, dans un couloir, je repérai un homme. Je le hélai. A peine eut-il le temps de se retourner que j’étais déjà à ses pieds. Je m’étais littéralement effondrée.

[color=#99cc00]-S’il-vous-plait.[/color] Je réalisai que je pleurais à torrents. Avec mon sang qui s’écoulait de mon crâne, j’allais saloper la moquette de l’ambassade. [color=#99cc00]S’il-vous-plait… Je demande l’asile aux Magiciens.[/color]

Là, je levai mes mains jointes vers lui et collai mon front contre le sol. Je tremblais en soubresauts violents - en plus d’avoir peur, j’étais en manque. J’en étais là. J’en étais à supplier comme une misérable mendiante. Mais cet homme, qui qu’il fut, était mon seul espoir de survie.
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Lien vers sa fiche : Ici !

Statut : Ne pas remplir. Réservé à l'administration.

Merciiii

Coucou, je viens aussi déclarer mon compagnon gratuit sur ce compte  

TOUT EST OK by Mancy. Et un Alfar pour le Reprouvé !

Lorcán Belvarrian - Eraishah

Nom : Belvarrian - Eraishah
Prénom : Lorcán
Surnom : X
Sexe : Masculin
Taille : 190 cm
Âge apparent : Entre 18 et 20
Ère de naissance : Ère de la conciliation
Race : Alfar
Métier : X

Niveau : I (Niveau I à partir de 13 point)

Armes :  
- Un sabre d'escrime
- X

Spécialités :
- Agilité : 5
- Force : 4
- Charisme : 6
- Intelligence : 7
- Magie : 3

Pouvoirs :
- Envoûtement
- Le Souffle
- Parfum Sulfureux
- Vitesse accrue
- Lire dans les pensées

Gain de niveau 2
- X

Gain de niveau 3
- X

POUVOIRS
- X

ARMES
- X

ARTEFACTS
- X

~ Formes de magie
- Magie des Ténèbres
- Magie de Perle

~ Patrimoine et réputation
- X

Particularité : Elève de Basphel [Acier] ; Membre du club d'escrime

Roleplay :

Lorcán repoussa délicatement les boucles carmines afin de leur imprimer un mouvement naturel qu'il avait étudié longuement pour qu'il apparaisse juste assez négligé pour ne pas avoir l'air d'être un fainéant ni d'un type trop coincé. Le mouvement n'échappa pas à l'attention de la brune à ses côtés. Elle agita sa plume vers son faciès. « Pourquoi tu fais aussi attention à toi ? Tu es toujours impeccable, pas un cheveux qui dépasse... » Un sourire qu'il voulait charmeur redessina la teinte sombre de ses lèvres. « C'est parce que l'apparence est importante. Elle régit tout. » Et ceux qui ne l'avaient pas compris ne se feraient jamais une place dans le monde. Il leva une main pour effleurer la frange de la fille, ce qui la fit ciller. Il ne se lassait pas de constater qu'un simple contact physique suffisait à troubler à peu près n'importe quel interlocuteur. Il suffisait de leur donner un minimum d'intérêt pour qu'ils envisagent de s'agenouiller. Ces petites découvertes l'ennivraient, il voulait découvrir toutes les astuces qui enchaîneraient ses camarades à ses pieds.

« Le succès ne passe par des qualités telles que la force ou la droiture. Il n'y a que la capacité à séduire, à enrober l'autre dans le miel des mensonges pour le convaincre qui possède une réelle efficacité. Même si j'attache de l'importance à la beauté, je suis conscient que ça ne suffit pas. Certains y arrivent sans, leur présence s'impose naturellement. Mais ce n'est pas une raison pour la dénigrer non plus, tu ne crois pas ? » À cet effet, chaque matin, il appliquait à ses cheveux une huile pour forcer les mèches raides à s'onduler et à s'enrouler sur sa nuque et ses tempes. Après s'être lié d'amitié avec des Orines à Basphel, il avait suivi leurs conseils et nourrissait sa peau sombre de crèmes pour lui donner un aspect satiné et agréable au toucher. Il aimait aussi se maquiller, soulignant ses paupières d'un trait doré qui réchauffait la noisette de ses iris.

Elle balaya sa main sèchement. « Mouais. Je crois surtout que ça te donne un côté arrogant et agacant. C'est comme tes vêtements. Dès qu'on sort en ville, on dirait que tu profites de ne pas avoir besoin de porter l'uniforme pour exhiber que tu es riche. » Sans se montrer vexé d'avoir été repoussé, il fit tourner l'une de ses bagues sur ses doigts, un tic qu'il avait développé quand la discussion prenait un tour qui lui déplaisait. « J'ai la chance de puiser dans la fortune de ma famille pour m'offrir les plus belles étoffes, qu'elles soient coupées sur mesure. Je suis grand et maigre, j'aurai l'air d'un épouvantail si je ne porte pas de vêtements bien taillés. Mais si mes vêtements te gênent, je peux aussi les enlever. » Elle haussa un sourcil et préféra ne pas relever sa dernière suggestion. « On s'en fiche, non ? » Il se retint de ne pas lever les yeux au ciel. Elle n'avait donc rien écouté ?

Ignorant sa question, il poursuivit. Il aimait parler, et surtout, il aimait s'écouter parler. Ses jambes se croisèrent sous la table. « En vérité, ma chance s'arrête là vis-à-vis de ma famille. Déçus de mon manque d'aptitudes et de mes résultats scolaires trop moyens, ils m'ont envoyé ici comme si j'étais une tâche sur un vêtement qu'on cherche à faire partir. Sans doute ont-ils oublié mon existence. » Son regard s'était chargé de glace. Les lettres qu'ils s'échangeaient étaient d'une nette froideur et leur irrégularité avait fini de convaincre Lorcán qu'ils se concentraient sur des héritiers davantage prometteurs au sein des prestigieuses écoles de Drosera. Après d'intenses séances de questionnements, l'Alfar exclus avait décidé de ne plus s'en préoccuper, de prendre une distance émotionnelle avec eux. Pragmatique, il refusait de laisser le doute s'infiltrer dans son esprit et le détourner de son véritable objectif en se morfondant sur l'absence d'intérêt et d'amour dont il était victime. Le concept de victime en lui-même l'horripilait. Ce détachement rendrait aussi les choses plus simples lorsqu'il reviendrait pour leur voler tout ce qu'ils lui avaient refusé en le rejetant. Il détruirait leur fierté sans s'occuper de leurs larmes ou leurs supplications, à supposer qu'ils en soient capables et ne soient pas des marionnettes creuses aux exigences absurdes. En attendant, il usait de leur argent et de la notoriété de leurs noms sans honte ni retenue. Il ne crachait sur aucune arme à sa disposition. La loyauté avait viré de bord pour pointer sur lui-même et lui-seul. Son château de cartes dressé pour tromper son petit monde était si bien rôdé qu'il réussissait à se convaincre lui-même lui-même de sa supériorité. Et elle était indéniable mais bien qu'il dénigrât profondément chacun de ses camarades, ce n'était pas pour autant qu'il ne s'entourait pas volontiers d'eux. Il les voyait un peu comme des Nägs, des sous-êtres à sa disposition dans la mesure de leur utilité, comme cette fille rencontrée au club d'escrime qui s'était proposée pour l'aider à remonter ses notes en magie.

Code:

<div id="wrappper"><div class="titreprez cellule">Lorcán Belvarrian - Eraishah</div>
<div class="cellule"><img src="https://zupimages.net/up/23/07/62tw.jpg" style="float:right;padding-left:5px" />[b]Nom[/b] : Belvarrian - Eraishah
[b]Prénom[/b] : Lorcán
[b]Surnom[/b] : X
[b]Sexe[/b] : Masculin
[b]Taille[/b] : 190 cm
[b]Âge apparent[/b] : Entre 18 et 20
[b]Ère de naissance[/b] : Ère de la conciliation
[b]Race[/b] : Alfar
[b]Métier[/b] : X

[b]Niveau[/b] : I (Niveau I à partir de 13 point)

[b]Armes[/b] :  
- Un sabre d'escrime
- X

[b]Spécialités[/b] :
- Agilité : 5
- Force : 4
- Charisme : 6
- Intelligence : 7
- Magie : 3

[b]Pouvoirs[/b] :
- Envoûtement
- Le Souffle
- Parfum Sulfureux
- Vitesse accrue
- Lire dans les pensées

[b]Gain de niveau 2[/b]
- X

[b]Gain de niveau 3[/b]
- X

[b]POUVOIRS[/b]
- X

[b]ARMES[/b]
- X

[b]ARTEFACTS[/b]
- X

[b]~ Formes de magie[/b]
- Magie des Ténèbres
- Magie de Perle

[b]~ Patrimoine et réputation[/b]
- X

[b]Particularité[/b] : Elève de Basphel [Acier] ; Membre du club d'escrime

[b]Roleplay[/b] :

Lorcán repoussa délicatement les boucles carmines afin de leur imprimer un mouvement naturel qu'il avait étudié longuement pour qu'il apparaisse juste assez négligé pour ne pas avoir l'air d'être un fainéant ni d'un type trop coincé. Le mouvement n'échappa pas à l'attention de la brune à ses côtés. Elle agita sa plume vers son faciès. [color=#F88E55]« Pourquoi tu fais aussi attention à toi ? Tu es toujours impeccable, pas un cheveux qui dépasse... »[/color] Un sourire qu'il voulait charmeur redessina la teinte sombre de ses lèvres. [color=#811453]« C'est parce que l'apparence est importante. Elle régit tout. »[/color] Et ceux qui ne l'avaient pas compris ne se feraient jamais une place dans le monde. Il leva une main pour effleurer la frange de la fille, ce qui la fit ciller. Il ne se lassait pas de constater qu'un simple contact physique suffisait à troubler à peu près n'importe quel interlocuteur. Il suffisait de leur donner un minimum d'intérêt pour qu'ils envisagent de s'agenouiller. Ces petites découvertes l'ennivraient, il voulait découvrir toutes les astuces qui enchaîneraient ses camarades à ses pieds.

[color=#811453]« Le succès ne passe par des qualités telles que la force ou la droiture. Il n'y a que la capacité à séduire, à enrober l'autre dans le miel des mensonges pour le convaincre qui possède une réelle efficacité. Même si j'attache de l'importance à la beauté, je suis conscient que ça ne suffit pas. Certains y arrivent sans, leur présence s'impose naturellement. Mais ce n'est pas une raison pour la dénigrer non plus, tu ne crois pas ? »[/color] À cet effet, chaque matin, il appliquait à ses cheveux une huile pour forcer les mèches raides à s'onduler et à s'enrouler sur sa nuque et ses tempes. Après s'être lié d'amitié avec des Orines à Basphel, il avait suivi leurs conseils et nourrissait sa peau sombre de crèmes pour lui donner un aspect satiné et agréable au toucher. Il aimait aussi se maquiller, soulignant ses paupières d'un trait doré qui réchauffait la noisette de ses iris.

Elle balaya sa main sèchement. [color=#F88E55]« Mouais. Je crois surtout que ça te donne un côté arrogant et agacant. C'est comme tes vêtements. Dès qu'on sort en ville, on dirait que tu profites de ne pas avoir besoin de porter l'uniforme pour exhiber que tu es riche. »[/color] Sans se montrer vexé d'avoir été repoussé, il fit tourner l'une de ses bagues sur ses doigts, un tic qu'il avait développé quand la discussion prenait un tour qui lui déplaisait. [color=#811453]« J'ai la chance de puiser dans la fortune de ma famille pour m'offrir les plus belles étoffes, qu'elles soient coupées sur mesure. Je suis grand et maigre, j'aurai l'air d'un épouvantail si je ne porte pas de vêtements bien taillés. Mais si mes vêtements te gênent, je peux aussi les enlever. »[/color] Elle haussa un sourcil et préféra ne pas relever sa dernière suggestion. [color=#F88E55]« On s'en fiche, non ? »[/color] Il se retint de ne pas lever les yeux au ciel. Elle n'avait donc rien écouté ?

Ignorant sa question, il poursuivit. Il aimait parler, et surtout, il aimait s'écouter parler. Ses jambes se croisèrent sous la table. [color=#811453]« En vérité, ma chance s'arrête là vis-à-vis de ma famille. Déçus de mon manque d'aptitudes et de mes résultats scolaires trop moyens, ils m'ont envoyé ici comme si j'étais une tâche sur un vêtement qu'on cherche à faire partir. Sans doute ont-ils oublié mon existence. »[/color] Son regard s'était chargé de glace. Les lettres qu'ils s'échangeaient étaient d'une nette froideur et leur irrégularité avait fini de convaincre Lorcán qu'ils se concentraient sur des héritiers davantage prometteurs au sein des prestigieuses écoles de Drosera. Après d'intenses séances de questionnements, l'Alfar exclus avait décidé de ne plus s'en préoccuper, de prendre une distance émotionnelle avec eux. Pragmatique, il refusait de laisser le doute s'infiltrer dans son esprit et le détourner de son véritable objectif en se morfondant sur l'absence d'intérêt et d'amour dont il était victime. Le concept de victime en lui-même l'horripilait. Ce détachement rendrait aussi les choses plus simples lorsqu'il reviendrait pour leur voler tout ce qu'ils lui avaient refusé en le rejetant. Il détruirait leur fierté sans s'occuper de leurs larmes ou leurs supplications, à supposer qu'ils en soient capables et ne soient pas des marionnettes creuses aux exigences absurdes. En attendant, il usait de leur argent et de la notoriété de leurs noms sans honte ni retenue. Il ne crachait sur aucune arme à sa disposition. La loyauté avait viré de bord pour pointer sur lui-même et lui-seul. Son château de cartes dressé pour tromper son petit monde était si bien rôdé qu'il réussissait à se convaincre lui-même lui-même de sa supériorité. Et elle était indéniable mais bien qu'il dénigrât profondément chacun de ses camarades, ce n'était pas pour autant qu'il ne s'entourait pas volontiers d'eux. Il les voyait un peu comme des Nägs, des sous-êtres à sa disposition dans la mesure de leur utilité, comme cette fille rencontrée au club d'escrime qui s'était proposée pour l'aider à remonter ses notes en magie.

<!-- NE PAS SUPPRIMER CETTE BALISE DIV A DROITE --></div></div>

Lien vers sa fiche : Ici 8D

Statut : Ne pas remplir. Réservé à l'administration.

Merci  

BONJOUR JE SUIS DE RETOUR (je le mets sur Taj pour écrire à la première personne et rendre l'immersion d'autant plus palpitante)

TOUT EST OK by Mancy. L'Élite, hein. Basphel se déchois progressivement !

Lien du ou des sujets : Les Portes V
Gains :

Gustavo

Nom : de la Torpilla
Prénom : Gustavo-Paolo-Giorgio-Vanni, mais appelez-le Gustavo
Surnom : Il tolère Gus’, mais pas Gugus.
Sexe : M
Taille : 1.62m actuellement, 1.69m adulte
ge apparent : une quinzaine d’années
Ère de naissance : Ère de la Conciliation
Race : Déchu
Péché : Orgueil (doublé de Luxure)
Métier : X

Niveau : I (Niveau I à partir de 12 points)

Armes : /

Spécialités :
- Agilité : 3
- Force : 7
- Charisme : 9
- Intelligence : 3
- Magie : 3

Pouvoirs :
- La Peau des Grigori
- Le Souffle du Nephilim
- Les Artifices de Lucifer
- Charme
- Clonage

Gain de niveau 2
- X

Gain de niveau 3
- X

POUVOIRS
- X

ARMES
- X

ARTEFACTS
- X

~ Formes de magie
- La Magie de Jade
- La Magie Pourpre

~ Patrimoine et réputation
- X

Particularité : Élève à Basphel (Acier). Il est macho, sexiste et homophobe.

Role-play : Je criai mon plaisir sans retenue, alors que celui-ci accélérait, puis paralysait mes derniers mouvements de bassin dans une danse archaïque et sauvage. Enfin, j’exultai un ultime soupir, tandis que je me pressai complètement et littéralement contre et dans ma partenaire. Je m’affaissai sur elle, le temps pour moi de reprendre mon souffle. J’estimais avoir tenu cinquante-sept virgule cinq unités de temps, ce qui était, j’en étais conscient, absolument considérable. Je roulai sur le côté du lit.

-Alors ? Tu as aimé ?

-Euh… ouais…

Pas peu fier de ma - première - performance, je me levai et me dirigeai vers la fenêtre, les poings sur les hanches. J’étais nu comme un ver, mais j’avais confiance en deux choses en ce monde : ma beauté légendaire et la petite jardinière de fleurs suspendue au rebord de la fenêtre, qui cachait mon intimité. J’étais relativement petit pour mon âge, mais ma taille était largement compensée par - et je vous arrête tout de suite, bien que vous ayez raison - mon charme naturel : mon corps svelte, sans être maigrichon, était destiné à développer une musculature élégante. Mon visage anguleux était couronné d’une chevelure brune et mes yeux foncés envoûtaient aisément quiconque sur qui je les posais.

Je pris une grande inspiration, visant à gonfler mon buste. Aujourd’hui était le premier jour du reste de ma vie. Je n’étais plus vierge et j’avais décidé en cet instant de prendre mon destin en main. Je n’étais pas seulement devenu un homme ; j’étais devenu un homme nouveau, un homme qui courait à présent tout droit vers l’excellence, l’apogée de ce qu’un être humain pouvait atteindre, le Nirvana.

-Malheureusement, j’ai peur que tu ne me revoies plus de sitôt, Titine.

Elle s’appelait Tatiana, d’où ce petit surnom affectueux que je venais d’inventer. Si nous n’étions pas sortis ensemble depuis une semaine, je n’aurais pas pris la peine de me souvenir de son identité. Cela n’avait pas d’importance : elle était belle et elle couchait avec moi. C’était tout ce qui comptait à mes yeux. Quant à moi, je m’étais montré insistant pour qu’elle se souvînt de mon nom ainsi que de mon prénom. Cela risquait de lui être utile si jamais, un beau soir, la belle en détresse ressentait le besoin de retrouver les bras musclés d’un étalon tel que moi. J’espérais qu’elle était consciente du privilège qu’elle avait eu, d’accueillir ma virilité et ma semence la première.

-D’accord.

Elle cachait son deuil terrible derrière un rideau d’indifférence. Ce n’était pas plus mal : cela m’évitait de la ramasser à la petite cuillère alors qu’elle s’effondrait en pleurs sur le sol. Je devais avouer qu’elle était très douée, toutefois ; je croyais presque au marbre qui teintait sa voix. Malheureusement, je ne pouvais rien faire pour elle. Une mission bien plus grande m’attendait, et cette mission se prénommait Faust Slyther. Lorsque j’avais aperçu mon sosie dans les rues d’Avalon, j’avais immédiatement eu un coup de foudre. Ne me prenez pas pour un pédé, cela n’avait rien d’amoureux. J’avais simplement su, à ce moment-là, qu’il était celui que je cherchais depuis que j’avais commencé d’exister. Celui que je voulais admirer, le seul et unique être que mon péché ne pouvait dépasser. J’avais décidé que je souhaitais connaître cet individu par tous les moyens, afin de me perfectionner en tant qu’homme. Après de nombreuses recherches, j’avais fini par tomber sur son nom, avant de découvrir qu’il étudiait à Basphel. J’avais tout fait pour suivre sa voie. Une fois les procédures d’inscription effectuées et les sélections passées, j’avais intégré mon département : l’Acier. Là avait été mon unique déception, car Faust n’en faisait pas partie. Pire, j’avais appris à mes dépens qu’il était membre du Charbon, ce qui était un peu la honte. Cependant, cette découverte ne m’avait pas fait baisser les bras, au contraire. Je voyais en ces imprévus les débattements du destin qui s’opposait pitoyablement à la voie que j’avais choisie. Mais j’étais plus fort que cela. Rien ni personne ne pouvait m’arrêter, car je savais que je n’étais voué qu’à un avenir fantastique.

Code:

<div id="wrappper"><div class="titreprez cellule">Gustavo</div>
<div class="cellule"><img src="https://i.servimg.com/u/f75/20/47/86/98/gustav10.jpg" style="float:right;padding-left:5px;height:400px;" />[b]Nom[/b] : de la Torpilla
[b]Prénom[/b] : Gustavo-Paolo-Giorgio-Vanni, mais appelez-le Gustavo
[b]Surnom[/b] : Il tolère Gus’, mais pas Gugus.
[b]Sexe[/b] : M
[b]Taille[/b] : 1.62m actuellement, 1.69m adulte
[b]ge apparent[/b] : une quinzaine d’années
[b]Ère de naissance[/b] : Ère de la Conciliation
[b]Race[/b] : Déchu
[b]Péché[/b] : Orgueil (doublé de Luxure)
[b]Métier[/b] : X

[b]Niveau[/b] : I (Niveau I à partir de 12 points)

[b]Armes[/b] : /

[b]Spécialités[/b] :
- Agilité : 3
- Force : 7
- Charisme : 9
- Intelligence : 3
- Magie : 3

[b]Pouvoirs[/b] :
- La Peau des Grigori
- Le Souffle du Nephilim
- Les Artifices de Lucifer
- Charme
- Clonage

[b]Gain de niveau 2[/b]
- X

[b]Gain de niveau 3[/b]
- X

[b]POUVOIRS[/b]
- X

[b]ARMES[/b]
- X

[b]ARTEFACTS[/b]
- X

[b]~ Formes de magie[/b]
- La Magie de Jade
- La Magie Pourpre

[b]~ Patrimoine et réputation[/b]
- X

[b]Particularité[/b] : Élève à Basphel (Acier). Il est macho, sexiste et homophobe.

[b]Role-play [/b]: Je criai mon plaisir sans retenue, alors que celui-ci accélérait, puis paralysait mes derniers mouvements de bassin dans une danse archaïque et sauvage. Enfin, j’exultai un ultime soupir, tandis que je me pressai complètement et littéralement contre et dans ma partenaire. Je m’affaissai sur elle, le temps pour moi de reprendre mon souffle. J’estimais avoir tenu cinquante-sept virgule cinq unités de temps, ce qui était, j’en étais conscient, absolument considérable. Je roulai sur le côté du lit.

[color=#cc0033]-Alors ? Tu as aimé ?[/color]

[color=#cc9999]-Euh… ouais…[/color]

Pas peu fier de ma - première - performance, je me levai et me dirigeai vers la fenêtre, les poings sur les hanches. J’étais nu comme un ver, mais j’avais confiance en deux choses en ce monde : ma beauté légendaire et la petite jardinière de fleurs suspendue au rebord de la fenêtre, qui cachait mon intimité. J’étais relativement petit pour mon âge, mais ma taille était largement compensée par - et je vous arrête tout de suite, bien que vous ayez raison - mon charme naturel : mon corps svelte, sans être maigrichon, était destiné à développer une musculature élégante. Mon visage anguleux était couronné d’une chevelure brune et mes yeux foncés envoûtaient aisément quiconque sur qui je les posais.

Je pris une grande inspiration, visant à gonfler mon buste. Aujourd’hui était le premier jour du reste de ma vie. Je n’étais plus vierge et j’avais décidé en cet instant de prendre mon destin en main. Je n’étais pas seulement devenu un homme ; j’étais devenu un homme nouveau, un homme qui courait à présent tout droit vers l’excellence, l’apogée de ce qu’un être humain pouvait atteindre, le Nirvana.

[color=#cc0033]-Malheureusement, j’ai peur que tu ne me revoies plus de sitôt, Titine.[/color]

Elle s’appelait Tatiana, d’où ce petit surnom affectueux que je venais d’inventer. Si nous n’étions pas sortis ensemble depuis une semaine, je n’aurais pas pris la peine de me souvenir de son identité. Cela n’avait pas d’importance : elle était belle et elle couchait avec moi. C’était tout ce qui comptait à mes yeux. Quant à moi, je m’étais montré insistant pour qu’elle se souvînt de mon nom ainsi que de mon prénom. Cela risquait de lui être utile si jamais, un beau soir, la belle en détresse ressentait le besoin de retrouver les bras musclés d’un étalon tel que moi. J’espérais qu’elle était consciente du privilège qu’elle avait eu, d’accueillir ma virilité et ma semence la première.

[color=#cc9999]-D’accord.[/color]

Elle cachait son deuil terrible derrière un rideau d’indifférence. Ce n’était pas plus mal : cela m’évitait de la ramasser à la petite cuillère alors qu’elle s’effondrait en pleurs sur le sol. Je devais avouer qu’elle était très douée, toutefois ; je croyais presque au marbre qui teintait sa voix. Malheureusement, je ne pouvais rien faire pour elle. Une mission bien plus grande m’attendait, et cette mission se prénommait Faust Slyther. Lorsque j’avais aperçu mon sosie dans les rues d’Avalon, j’avais immédiatement eu un coup de foudre. Ne me prenez pas pour un pédé, cela n’avait rien d’amoureux. J’avais simplement su, à ce moment-là, qu’il était celui que je cherchais depuis que j’avais commencé d’exister. Celui que je voulais admirer, le seul et unique être que mon péché ne pouvait dépasser. J’avais décidé que je souhaitais connaître cet individu par tous les moyens, afin de me perfectionner en tant qu’homme. Après de nombreuses recherches, j’avais fini par tomber sur son nom, avant de découvrir qu’il étudiait à Basphel. J’avais tout fait pour suivre sa voie. Une fois les procédures d’inscription effectuées et les sélections passées, j’avais intégré mon département : l’Acier. Là avait été mon unique déception, car Faust n’en faisait pas partie. Pire, j’avais appris à mes dépens qu’il était membre du Charbon, ce qui était un peu la honte. Cependant, cette découverte ne m’avait pas fait baisser les bras, au contraire. Je voyais en ces imprévus les débattements du destin qui s’opposait pitoyablement à la voie que j’avais choisie. Mais j’étais plus fort que cela. Rien ni personne ne pouvait m’arrêter, car je savais que je n’étais voué qu’à un avenir fantastique.
<!-- NE PAS SUPPRIMER CETTE BALISE DIV A DROITE --></div></div>

Lien vers sa fiche : Ici !!

Statut : Ne pas remplir. Réservé à l'administration.

MERCI BEAUCOUP

Coucou   Je viens déclarer le compagnon obtenu aux Portes V : Descriptif du compagnon ici - Le poste ici 8D

Zelphaba Drageon

Nom : Drageon
Prénom : Zelphaba
Surnom : Zelphie
Sexe : Féminin
Taille : 152 cm adolescente - 156 adulte
Âge apparent : 11 - 12 ans
Ère de naissance : Ère de la conciliation
Race : Réprouvée
Métier : X
Apparence plus tard : (ง •̀_•́)ง

Niveau : I (Niveau I à partir de 241 point)

Armes :  
- Un couteau
- Un casque

Spécialités :
- Agilité : 6
- Force : 9
- Charisme : 4
- Intelligence : 4
- Magie : 3

Pouvoirs :
- L'Invocation du Divin Chaos
- Sul Vulon
- Pruzah Aus
- Superforce
- Vitesse accrue

Gain de niveau 2
- X

Gain de niveau 3
- X

POUVOIRS
- X

ARMES
- X

ARTEFACTS
- X

~ Formes de magie
- La Magie de la Lumière
- La Magie des Ténèbres

~ Patrimoine et réputation
- X

Particularité : Ses parents étant des Dragonniers, elle en fait également partie mais n'a pas encore de dragon

Roleplay :
« Mout' ! » S'abandonnant à un équilibre précaire sur l'éperon rocheux érigé au dessus du vide, Zelphaba leva haut ses deux bras, aussi haut que possible pour saluer la massive silhouette à l'horizon. Le vrombissement familier de ses ailes frottant dans l'air emplit ses oreilles et elle éclata de rire, inconsciente d'être à un coup de vent de dégringoler en bas. « Descend, espèce de casse-cou ! » Beugla son père en contrebas. Elle lui jeta un coup d'oeil. « C'est maman ! Elle est revenue ! » « Evidemment qu'elle est revenue. » Marmonna-t-il, étouffant le juron traditionnel de fin de phrase dans sa barbe. « Ça aurait été trop beau de se débarrasser d'elle aussi facilement. » « Hein ? » « J'ai dit descend avant que je te chope par le col pour te nettoyer les oreilles au sable. » Relâchant une exclamation de peur à la promesse qui n'avait rien de creux, la bleue descendit de son perchoir improvisé pour revenir auprès de l'homme en essayant d'avoir l'air aussi piteux que possible, mais ses yeux étincelants ne trompaient personne. Il lui colla une taloche sur l'arrière de la tête, emmêlant un peu plus si possible ce qui avait été deux longues tresses il y a encore une semaine. « C'était pour quoi ça ?! » Protesta Zelphaba, outrée, et un peu sonnée aussi. Il ne mesurait pas toujours sa force. « Te fourre pas le doigt dans le nez quand ta mère arrive. » « Tu le fais bien toi ! » « Justement ! Je ne veux pas que ta mère sache que tu récupères tous mes défauts. » Drand prit alors son menton et l'examina sous toutes les coutures, ignorant son regard de bête blessée. Puis il fourra son pouce dans sa bouche et entreprit de lui passer la phalange humide sur les joues dans une tentative douteuse pour chasser le plus gros de la crasse. « Ah mais beurk ! Mais papa ! » Acculée, elle mordit sauvagement le doigt dès qu'il eut l'imprudence de passer trop près de sa bouche. Il jura et se retint de justesse pour ne pas lui donner une gifle qui l'aurait faite tourner sur elle-même. « C'est pas vrai, depuis quand t'es pas passée aux bains ? Tu pourrais au moins te laver le visage le matin, espèce de petite gueuse ! Que va dire ta mère ? » « Je m'en fiche ! » Rétorqua spirituellement l'adolescente, les poings sur les hanches dans une attitude de défi empruntée à ses amis. Il n'eut pas l'occasion de répliquer quoi que ce soit ; l'arrivée du dragon interdisait à tout autre son de se manifester. Il décrivait des cercles concentriques au dessus de leurs têtes, de plus en plus bas. Zelphaba, qui ne voyait pas le danger, le nez en l'air et un air extatique sur le visage, fut repoussée brusquement sur le côté juste à temps pour éviter les énormes pattes arquées qui soulevèrent un nuage de poussière en se déposant. « Mouuuuut' ! » Sans attendre qu'il ait replié ses ailes, la bleue passa sous ces dernières au risque de s'assommer sur l'une des excroissances pointues et couru pour se placer face à l'animal dont elle criait le nom jusqu'à obtenir son attention. Enfin, il daigna arquer son cou dans sa direction, dardant son oeil d'or fondu sur la fillette. Avec un petit cri surexcité, Zelphaba fonça sur lui, courba la nuque et dans une imitation peu réussie d'un combat de bicorne, elle donna un grand coup de front sur la joue du dragon. À peine cilla-t-il mais la bleue rebondit en arrière sous la force du choc et atterrit sur ses fesses, à moitié hilare, à moitié groggy. Elle se releva après avoir chassé les étoiles qui dansaient sur ses rétines et vint enlacer autant que possible le nez busqué.

« Eh bien. Je vais finir par croire que tu l'aimes plus que moi. » Commenta d'une voix aigre la cavalière qui venait de descendre de sa monture. « C'est le cas ! » Assura Zelphaba sans hésiter une seconde. Elle déposa un baiser bruyant sur le nez du dragon. « Humf. Tant que tu m'aimes plus que ton père. » « Hé ! » S'insurgea le concerné. « Papa ne veut pas me laisser monter sur Xerxys. » Bouda Zelphaba comme si ça expliquait tout. « Il a raison. Cette sale bête est aussi désagréable qu'un Goled, je t'interdis de l'approcher. » « Mais - » « Non. » « Alors je veux que tu m'emmènes faire une promenade avec Mout' ! » « On rentre de plusieurs mois de voyage, laissons-le se reposer. Et appelle-le par son nom entier, c'est le minimum de respect. » « Mais il est trop long son nom ! Et il s'en fiche, tout ce qu'il veut c'est que je lui gratouille entre les écailles sur sa tête. » « Il te l'a dit ? » S'amusa Mrin en haussant un sourcil. « Non, mais je le sais. » Confiante, Zelphaba joignit le geste au mot et gratta énergiquement les fines écailles sur l'arcade sourcilière de la bête dont les yeux se fermèrent. Puis, se souvenant subitement d'une chose, Mout' passa au second plan de ses préoccupations et elle vint entourer la taille de sa mère. « Mamaaaaan ? » Roucoula-t-elle d'un ton melliflu. « Est-ce que je peux aller à Basphel ? » « Quoi ? » Incrédule, elle tourna des yeux ronds vers son compagnon qui haussa les épaules, l'air de dire qu'il avait déjà tenté de l'en dissuader. « Mais pour quoi faire ? » « En fait, c'est au Fessetival, j'ai vu - » « Vous êtes allés au Fessetival ? » Elle lança un regard acéré à Drand qui trouva soudainement le sol très fascinant. Ses lèvres se pincèrent mais sa fille reprit avant qu'elle ne puisse émettre le moindre commentaire. « Oui, et là-bas, il y avait des Basphéliens, et il y avait cette fille qui a fait le marathon à la fin. » Des paillettes envahissaient ses iris. « J'ai pas pu lui parler. Papa n'a pas voulu parce qu'il avait mal à la tête d'avoir trop bu. Mais elle était trop cool ! Alors, je peux ? S'il te plaît ? » Sa mère garda le silence, puis toussa de rire. « Mais ma pauvre, tu es bien trop bête pour Basphel ! »

Code:

<div id="wrappper"><div class="titreprez cellule">Zelphaba Drageon</div>
<div class="cellule"><img src="https://zupimages.net/up/23/09/t26d.jpg" style="float:right;padding-left:5px" />[b]Nom[/b] : Drageon
[b]Prénom[/b] : Zelphaba
[b]Surnom[/b] : Zelphie
[b]Sexe[/b] : Féminin
[b]Taille[/b] : 152 cm adolescente - 156 adulte
[b]Âge apparent[/b] : 11 - 12 ans
[b]Ère de naissance[/b] : Ère de la conciliation
[b]Race[/b] : Réprouvée
[b]Métier[/b] : X
[b]Apparence plus tard[/b] : [url=https://zupimages.net/up/23/09/uexr.jpg](ง •̀_•́)ง[/url]

[b]Niveau[/b] : I (Niveau I à partir de 241 point)

[b]Armes[/b] :  
- Un couteau
- Un casque

[b]Spécialités[/b] :
- Agilité : 6
- Force : 9
- Charisme : 4
- Intelligence : 4
- Magie : 3

[b]Pouvoirs[/b] :
- L'Invocation du Divin Chaos
- Sul Vulon
- Pruzah Aus
- Superforce
- Vitesse accrue

[b]Gain de niveau 2[/b]
- X

[b]Gain de niveau 3[/b]
- X

[b]POUVOIRS[/b]
- X

[b]ARMES[/b]
- X

[b]ARTEFACTS[/b]
- X

[b]~ Formes de magie[/b]
- La Magie de la Lumière
- La Magie des Ténèbres

[b]~ Patrimoine et réputation[/b]
- X

[b]Particularité[/b] : Ses parents étant des Dragonniers, elle en fait également partie mais n'a pas encore de dragon

[b]Roleplay[/b] :
[color=#0095B6]« Mout' ! »[/color] S'abandonnant à un équilibre précaire sur l'éperon rocheux érigé au dessus du vide, Zelphaba leva haut ses deux bras, aussi haut que possible pour saluer la massive silhouette à l'horizon. Le vrombissement familier de ses ailes frottant dans l'air emplit ses oreilles et elle éclata de rire, inconsciente d'être à un coup de vent de dégringoler en bas. [color=#AD4F09]« Descend, espèce de casse-cou ! »[/color] Beugla son père en contrebas. Elle lui jeta un coup d'oeil. [color=#0095B6]« C'est maman ! Elle est revenue ! »[/color] [color=#AD4F09]« Evidemment qu'elle est revenue. »[/color] Marmonna-t-il, étouffant le juron traditionnel de fin de phrase dans sa barbe. [color=#0095B6]« Ça aurait été trop beau de se débarrasser d'elle aussi facilement. »[/color] [color=#0095B6]« Hein ? »[/color] [color=#AD4F09]« J'ai dit descend avant que je te chope par le col pour te nettoyer les oreilles au sable. »[/color] Relâchant une exclamation de peur à la promesse qui n'avait rien de creux, la bleue descendit de son perchoir improvisé pour revenir auprès de l'homme en essayant d'avoir l'air aussi piteux que possible, mais ses yeux étincelants ne trompaient personne. Il lui colla une taloche sur l'arrière de la tête, emmêlant un peu plus si possible ce qui avait été deux longues tresses il y a encore une semaine. [color=#0095B6]« C'était pour quoi ça ?! »[/color] Protesta Zelphaba, outrée, et un peu sonnée aussi. Il ne mesurait pas toujours sa force. [color=#AD4F09]« Te fourre pas le doigt dans le nez quand ta mère arrive. »[/color] [color=#0095B6]« Tu le fais bien toi ! »[/color] [color=#AD4F09]« Justement ! Je ne veux pas que ta mère sache que tu récupères tous mes défauts. »[/color] Drand prit alors son menton et l'examina sous toutes les coutures, ignorant son regard de bête blessée. Puis il fourra son pouce dans sa bouche et entreprit de lui passer la phalange humide sur les joues dans une tentative douteuse pour chasser le plus gros de la crasse. [color=#0095B6]« Ah mais beurk ! Mais papa ! »[/color] Acculée, elle mordit sauvagement le doigt dès qu'il eut l'imprudence de passer trop près de sa bouche. Il jura et se retint de justesse pour ne pas lui donner une gifle qui l'aurait faite tourner sur elle-même. [color=#AD4F09]« C'est pas vrai, depuis quand t'es pas passée aux bains ? Tu pourrais au moins te laver le visage le matin, espèce de petite gueuse ! Que va dire ta mère ? »[/color] [color=#0095B6]« Je m'en fiche ! »[/color] Rétorqua spirituellement l'adolescente, les poings sur les hanches dans une attitude de défi empruntée à ses amis. Il n'eut pas l'occasion de répliquer quoi que ce soit ; l'arrivée du dragon interdisait à tout autre son de se manifester. Il décrivait des cercles concentriques au dessus de leurs têtes, de plus en plus bas. Zelphaba, qui ne voyait pas le danger, le nez en l'air et un air extatique sur le visage, fut repoussée brusquement sur le côté juste à temps pour éviter les énormes pattes arquées qui soulevèrent un nuage de poussière en se déposant. [color=#0095B6]« Mouuuuut' ! »[/color] Sans attendre qu'il ait replié ses ailes, la bleue passa sous ces dernières au risque de s'assommer sur l'une des excroissances pointues et couru pour se placer face à l'animal dont elle criait le nom jusqu'à obtenir son attention. Enfin, il daigna arquer son cou dans sa direction, dardant son oeil d'or fondu sur la fillette. Avec un petit cri surexcité, Zelphaba fonça sur lui, courba la nuque et dans une imitation peu réussie d'un combat de bicorne, elle donna un grand coup de front sur la joue du dragon. À peine cilla-t-il mais la bleue rebondit en arrière sous la force du choc et atterrit sur ses fesses, à moitié hilare, à moitié groggy. Elle se releva après avoir chassé les étoiles qui dansaient sur ses rétines et vint enlacer autant que possible le nez busqué.

[color=#1FA055]« Eh bien. Je vais finir par croire que tu l'aimes plus que moi. »[/color] Commenta d'une voix aigre la cavalière qui venait de descendre de sa monture. [color=#0095B6]« C'est le cas ! »[/color] Assura Zelphaba sans hésiter une seconde. Elle déposa un baiser bruyant sur le nez du dragon. [color=#1FA055]« Humf. Tant que tu m'aimes plus que ton père. »[/color] [color=#AD4F09]« Hé ! »[/color] S'insurgea le concerné. [color=#0095B6]« Papa ne veut pas me laisser monter sur Xerxys. »[/color] Bouda Zelphaba comme si ça expliquait tout. [color=#1FA055]« Il a raison. Cette sale bête est aussi désagréable qu'un Goled, je t'interdis de l'approcher. »[/color] [color=#0095B6]« Mais - »[/color] [color=#1FA055]« Non. »[/color] [color=#0095B6]« Alors je veux que tu m'emmènes faire une promenade avec Mout' ! »[/color] [color=#1FA055]« On rentre de plusieurs mois de voyage, laissons-le se reposer. Et appelle-le par son nom entier, c'est le minimum de respect. »[/color] [color=#0095B6]« Mais il est trop long son nom ! Et il s'en fiche, tout ce qu'il veut c'est que je lui gratouille entre les écailles sur sa tête. »[/color] [color=#1FA055]« Il te l'a dit ? »[/color] S'amusa Mrin en haussant un sourcil. [color=#0095B6]« Non, mais je le sais. »[/color] Confiante, Zelphaba joignit le geste au mot et gratta énergiquement les fines écailles sur l'arcade sourcilière de la bête dont les yeux se fermèrent. Puis, se souvenant subitement d'une chose, Mout' passa au second plan de ses préoccupations et elle vint entourer la taille de sa mère. [color=#0095B6]« Mamaaaaan ? »[/color] Roucoula-t-elle d'un ton melliflu. [color=#0095B6]« Est-ce que je peux aller à Basphel ? »[/color] [color=#1FA055]« Quoi ? »[/color] Incrédule, elle tourna des yeux ronds vers son compagnon qui haussa les épaules, l'air de dire qu'il avait déjà tenté de l'en dissuader. [color=#1FA055]« Mais pour quoi faire ? »[/color] [color=#0095B6]« En fait, c'est au Fessetival, j'ai vu - »[/color] [color=#1FA055]« Vous êtes allés au Fessetival ? »[/color] Elle lança un regard acéré à Drand qui trouva soudainement le sol très fascinant. Ses lèvres se pincèrent mais sa fille reprit avant qu'elle ne puisse émettre le moindre commentaire. [color=#0095B6]« Oui, et là-bas, il y avait des Basphéliens, et il y avait cette fille qui a fait le marathon à la fin. »[/color] Des paillettes envahissaient ses iris. [color=#0095B6]« J'ai pas pu lui parler. Papa n'a pas voulu parce qu'il avait mal à la tête d'avoir trop bu. Mais elle était trop cool ! Alors, je peux ? S'il te plaît ? »[/color] Sa mère garda le silence, puis toussa de rire. [color=#1FA055]« Mais ma pauvre, tu es bien trop bête pour Basphel ! »[/color]

<!-- NE PAS SUPPRIMER CETTE BALISE DIV A DROITE --></div></div>

Lien vers sa fiche : Ici 8D

Statut : Oky by Mancy. Tu vas avoir dix compas en trois mois xD

Merci  

Myrddhin

Nom : Mayfair
Prénom : Myrddhin
Sexe : Masculin
Âge : Treize ans
Taille : 1m48 (adulte: 1m82)
Ère de naissance : Ere de la Conciliation
Race : Orine
Maître :  N/A
Métier : N/A
Niveau : I [Niveau I à 9 points de RP]
Particularité : C'est un personnage de Conte (Merlin d'Uobmab) généré dans la réalité.

Armes :
- Son couteau, Jeannette
- Son aiguille, Jean

Spécialités :
- Agilité : 4
- Force : 4
- Charisme : 5
- Intelligence : 6
- Magie : 6

Pouvoirs :
- Le Lien
- Art Divin [Torture]
- Fabriquer des potions
- Contrôle de la magie noire

Niveau II : N/A
Niveau III : N/A
Niveau IV : N/A
Niveau V : N/A

~ Pouvoirs
- N/A

~ Artefacts
- N/A

~ Intrigues
- N/A

~ Formes de magie
- Magie d'Argent
- Magie de Perle

~ Couronnes
- N/A

~ Doubles nationalités
- N/A

~ Patrimoine et réputation
- N/A

~ Autres
- N/A

Physionomie : L'apparence de Myrddhin ressemble en tous points à l'ancienne Orine Altan en plus jeune, qui a joué le rôle de Merlin d'Uobmab dans le Conte de Fae d'où il est issu. Les traits de son visage sont fins, encadrés par une chevelure de jais. A son âge, le garçon est un gringalet peu musclé qui fait partie des plus petits de son groupe. Il attend sa poussée de croissance avec impatience ; à Amestris, il est la victime privilégiée des autres Orines de la ville. Néanmoins, sa nature lui épargne bien des écueils auprès des Sorciers. Ses origines se remarquent à sa démarche gracieuse, avant même de remarquer ses yeux bridés ou son teint particulier. Pourtant, il ne porte pas les vêtements typiques de sa race, mais se conforme à la culture des Mages Noirs, chez qui il a vécu toute son enfance.
Ses mains sont fines et délicates, faites pour appuyer sur des touches de piano --ou manier des ciseaux à la perfection. Myrddhin ne s'embarrasse pas de sales besognes. Il ne plonge pas les mains dans les tripes de ses victimes, mais les manipule avec des gants ou les outils appropriés. L'Orine a le geste sûr et précis quand il est concentré.

Psychologie : La vision de la beauté de Myrddhin diverge de celle de ses consœurs. Il n'éprouve aucun intérêt pour les paysages qu'il estime niais. Les cerisiers en fleurs, les champs de blé et les plages de sable fin sont autant de visions qu'il juge insipides. L'Orine est, en revanche, fasciné par la beauté macabre. La mort est impénétrable. La destruction est une oeuvre puissante pourvue de sa propre conscience, ignorant les lois de son créateur.
Myrddhin est un adolescent en proie à des émotions violentes qu'il ne cherche pas à contrôler. Il laisse le chaos le transcender et oeuvrer à travers lui, pour insuffler la Beauté telle qu'elle devrait être dans le monde. S'il aime lâcher sa bride, il trouve jouissif d'appliquer son propre contrôle sur les autres. L'Orine ne supporte pas que l'on n'aille pas dans sa direction. Il mettra tous les moyens en oeuvre pour le lui imposer, dont supprimer l'obstacle s'il ne ploie pas. Le garçon n'a pas l'impression d'être sadique : il n'agit que pour se défendre. La souffrance d'autrui le renforce et l'élève, elle lui donne les moyens de survivre. Le compromis ne fait pas partie de son vocabulaire. Il est capricieux et tyrannique comme Merlin, le personnage dont il est tiré.

Histoire : Il était une fois un Prince cruel anobli et couronné par son père. Merlin D'Uobmab était un Roi cruel qui semait la souffrance et la mort sur son passage. Ce personnage de Conte de Fae a donné naissance à un double dans la réalité. Les souvenirs de l'enfance de Myrddhin se sont ancrés dans la mémoire de ses nouveaux parents, le Sorcier Thaddaeus Mayfair et la Gāisǐ Fumihiko Sans Nom. Cet enfant naquit de leur union maléfique. Sa mère se détourna de son peuple en même temps que son premier Aisuru, né Magicien. Après sa mort, elle resta à Amestris et trouva un second Maître, qui officiait dans la traite d'êtres humains. Myrddhin fut le cadet de la famille et le seul à naître Orine. Fumihiko le choya et tint à lui prodiguer une éducation Orine, afin de lui laisser la chance de s'intégrer à son peuple s'il le souhaitait.

Cela instaura un déséquilibre qui divisa la fratrie. Son premier meutre fut son grand-frère ; son second, sa grande soeur. Il tua le premier pour se défendre au cours d'une crise de jalousie et le second pour son plaisir personnel. Sa soeur fut torturée et érigée au statut d'oeuvre d'Art au moment de perdre la vie. Myrddhin la considéra comme son premier ouvrage. Aujourd'hui encore, il garde son hyoïde entouré de résine en guise de talisman. L'Orine aime garder des souvenirs de chaque oeuvre digne de ce nom. Les brouillons, eux, partent au cimetière.

Depuis, la liste s'est allongée. Il n'y a que la mort qui intéresse l'Orine. C'est en marchant sur son fil qu'il se sent vivant. Ce dernier aime faire souffrir les autres, mais il n'est pas non plus étranger au masochisme. La souffrance est salvatrice. La destruction est Reine. Ce dernier n'a jamais su utiliser le pouvoir des Invocations Célestes. Dans un dernier espoir de lui insuffler l'amour de la nature et de ses créations, sa mère l'a envoyé à Drosera pour rencontrer sa première Aisuru potentielle, Fawëlysa En Auraushnee. Il y découvrira l'Art de l'Orine Wao Ming (maintenant appelée Altan), qui deviendra un modèle pour lui et l'inspirera à s'initier à la peinture. Il quittera Fawëlysa, obnubilé par celui qui devint Vampire.

Code:

<div id="wrapperSER"><br><center><div id="titreSER">Myrddhin</div><br /><img src="https://i.imgur.com/JAYrrUp.jpg" class="imgSER"></center>
<div class="cadreHIS">[b]Nom[/b] : Mayfair
[b]Prénom[/b] : Myrddhin
[b]Sexe[/b] : Masculin
<strong>Âge : </strong> Treize ans
<strong>Taille : </strong>1m48 ([url=https://i.imgur.com/WM9TNEL.jpg]adulte[/url]: 1m82)
<strong>Ère de naissance :</strong> Ere de la Conciliation
<strong>Race : </strong>Orine
[b]Maître[/b] :  N/A
[b]Métier[/b] : N/A
[b]Niveau[/b] : I [Niveau I à 9 points de RP]
[b]Particularité[/b] : C'est un personnage de Conte (Merlin d'Uobmab) généré dans la réalité.

<strong>Armes : </strong>
- Son couteau, Jeannette
- Son aiguille, Jean

[b]Spécialités : [/b]
- Agilité : 4
- Force : 4
- Charisme : 5
- Intelligence : 6
- Magie : 6

<strong>Pouvoirs : </strong>
- Le Lien
- Art Divin [Torture]
- Fabriquer des potions
- Contrôle de la magie noire

<i>Niveau II :</i> N/A
<i>Niveau III :</i> N/A
<i>Niveau IV :</i> N/A
<i>Niveau V :</i> N/A

<strong>~ Pouvoirs</strong>
- N/A

<strong>~ Artefacts</strong>
- N/A

<strong>~ Intrigues</strong>
- N/A

<strong>~ Formes de magie</strong>
- Magie d'Argent
- Magie de Perle

<strong>~ Couronnes</strong>
- N/A

<strong>~ Doubles nationalités</strong>
- N/A

<strong>~ Patrimoine et réputation</strong>
- N/A

<strong>~ Autres</strong>
- N/A

<strong>Physionomie</strong> : L'apparence de Myrddhin ressemble en tous points à l'ancienne Orine Wao Ming en plus jeune, qui a joué le rôle de Merlin d'Uobmab dans le Conte de Fae d'où il est issu. Les traits de son visage sont fins, encadrés par une chevelure de jais. A son âge, le garçon est un gringalet peu musclé qui fait partie des plus petits de son groupe. Il attend sa poussée de croissance avec impatience ; à Amestris, il est la victime privilégiée des autres Orines de la ville. Néanmoins, sa nature lui épargne bien des écueils auprès des Sorciers. Ses origines se remarquent à sa démarche gracieuse, avant même de remarquer ses yeux bridés ou son teint particulier. Pourtant, il ne porte pas les vêtements typiques de sa race, mais se conforme à la culture des Mages Noirs, chez qui il a vécu toute son enfance.
Ses mains sont fines et délicates, faites pour appuyer sur des touches de piano --ou manier des ciseaux à la perfection. Myrddhin ne s'embarrasse pas de sales besognes. Il ne plonge pas les mains dans les tripes de ses victimes, mais les manipule avec des gants ou les outils appropriés. L'Orine a le geste sûr et précis quand il est concentré. .

<strong>Psychologie</strong> : La vision de la beauté de Myrddhin diverge de celle de ses consœurs. Il n'éprouve aucun intérêt pour les paysages qu'il estime niais. Les cerisiers en fleurs, les champs de blé et les plages de sable fin sont autant de visions qu'il juge insipides. L'Orine est, en revanche, fasciné par la beauté macabre. La mort est impénétrable. La destruction est une oeuvre puissante pourvue de sa propre conscience, ignorant les lois de son créateur.
Myrddhin est un adolescent en proie à des émotions violentes qu'il ne cherche pas à contrôler. Il laisse le chaos le transcender et œuvrer à travers lui, pour insuffler la Beauté telle qu'elle devrait être dans le monde. S'il aime lâcher sa bride, il trouve jouissif d'appliquer son propre contrôle sur les autres. L'Orine ne supporte pas que l'on n'aille pas dans sa direction. Il mettra tous les moyens en oeuvre pour le lui imposer, dont supprimer l'obstacle s'il ne ploie pas. Le garçon n'a pas l'impression d'être sadique : il n'agit que pour se défendre. La souffrance d'autrui le renforce et l'élève, elle lui donne les moyens de survivre. Le compromis ne fait pas partie de son vocabulaire. Il est capricieux et tyrannique comme Merlin, le personnage dont il est tiré.

<strong>Histoire </strong>: Il était une fois un Prince cruel anobli et couronné par son père. Merlin D'Uobmab était un Roi cruel qui semait la souffrance et la mort sur son passage. Ce personnage de Conte de Fae a donné naissance à un double dans la réalité. Les souvenirs de l'enfance de Myrddhin se sont ancrés dans la mémoire de ses nouveaux parents, le Sorcier Thaddaeus Mayfair et la Gāisǐ Fumihiko Sans Nom. Cet enfant naquit de leur union maléfique. Sa mère se détourna de son peuple en même temps que son premier Aisuru, né Magicien. Après sa mort, elle resta à Amestris et trouva un second Maître, qui officiait dans la traite d'êtres humains. Myrddhin fut le cadet de la famille et le seul à naître Orine. Fumihiko le choya et tint à lui prodiguer une éducation Orine, afin de lui laisser la chance de s'intégrer à son peuple s'il le souhaitait.

Cela instaura un déséquilibre qui divisa la fratrie. Son premier meurtre fut son grand-frère ; son second, sa grande sœur. Il tua le premier pour se défendre au cours d'une crise de jalousie et le second pour son plaisir personnel. Sa sœur fut torturée et érigée au statut d'oeuvre d'Art au moment de perdre la vie. Myrddhin la considéra comme son premier ouvrage. Aujourd'hui encore, il garde son [url=https://fr.wikipedia.org/wiki/Os_hyoïde]hyoïde[/url] entouré de résine en guise de talisman. L'Orine aime garder des souvenirs de chaque oeuvre digne de ce nom. Les brouillons, eux, partent au cimetière.

Depuis, la liste s'est allongée. Il n'y a que la mort qui intéresse l'Orine. C'est en marchant sur son fil qu'il se sent vivant. Ce dernier aime faire souffrir les autres, mais il n'est pas non plus étranger au masochisme. La souffrance est salvatrice. La destruction est Reine. Ce dernier n'a jamais su utiliser le pouvoir des Invocations Célestes. Dans un dernier espoir de lui insuffler l'amour de la nature et de ses créations, sa mère l'a envoyé à Drosera pour rencontrer sa première Aisuru potentielle, Fawëlysa En Auraushnee. Il y découvrira l'Art de l'Orine Wao Ming (ensuite Altan), qui deviendra un modèle pour lui et l'inspirera à s'initier à la peinture. Il quittera Fawëlysa, obnubilé par celui qui devint Vampire.

<!-- NE PAS SUPPRIMER CETTE BALISE DIV A DROITE --></div><br /></div>

Jude Paiberym

Nom : Paiberym
Prénom : Jude
Surnom : Juju
Sexe : Masculin
Taille : 1m20
Âge apparent : Environ sept ans
Ère de naissance : Ère de la Conciliation
Race : Déchu (Péché principal : Avarice. Péchés secondaires : Gourmandise et Envie)
Métier : X

Niveau : I (Niveau I à partir de 2947 points)

Armes :  
- Sa bouille
- Un pieu

Spécialités :
- Agilité : 4
- Force : 4
- Charisme : 6
- Intelligence : 6
- Magie : 5

Pouvoirs :
- La Peau des Gregori
- Le Souffle des Nephilim
- Les Artifices de Lucifer
- Téléportation
- Boussole : Permet de trouver ce qu'il cherche

Gain de niveau 2
- X

Gain de niveau 3
- X

POUVOIRS
- X

ARMES
- X

ARTEFACTS
- X

~ Formes de magie
- La Magie Pourpre
- La Magie de Jade

~ Patrimoine et réputation
- X

Particularité : Pour le moment, ses Péchés sont en sommeil. Alya sera probablement sa mentor. Il est la transposition du personnage de Judas. Il voue une admiration à Gyzyl et Kaahl. Il ne veut s'habiller qu'en pyjama pilou-pilou chouette et cerfeuil. Ses colères sont légendaires et il finit souvent par s'endormir d'avoir trop pleuré, criée et gesticulé.

Role Play : Je me retournai. Mon regard chercha la source de mon pressentiment à hauteur d’homme. Il me fallut baisser les yeux pour la trouver. « Tu me suis ? » demandai-je au gamin. Kaahl aimait les enfants. Dans son histoire, ils étaient ceux qu’il n’avait jamais cessé d’épargner. Du moins, autant qu’il l’avait pu. J’avais un avis quelque peu différent sur la question. Un trou est un trou, après tout. Quant au reste, un nombre incalculable d’enfants étaient plutôt faits pour garnir du hachis parmentier. Leurs incapacités étaient parfois bien trop nombreuses pour être pardonnées. Certains tardaient à parler ou à acquérir la permanence des objets. D’autres n’avaient aucune ambition hormis celle de chouiner. Ma patience à leur égard était néanmoins plus élevée qu’avec les adultes. Leur nullité n’était pas de leur faute, même si je doutais également que les idiots le fussent de leur propre fait. Néanmoins, une fois la croissance achevée, il n’y avait plus rien à faire. L’élimination devenait la seule méthode curative. Comme l’enfant ne répondait pas, j’éliminai la distance entre nous. Planté devant lui, je lui reposai la question, en le regardant de haut. « Est-ce que tu me suis ? » Il releva ses yeux dorés vers moi. La crainte se lisait dans son regard mais quelques détails de son anatomie ne manquèrent pas d’attirer mon attention. Outre ses iris, ses cheveux ressemblaient aux miens. Majoritairement bruns, des mèches blanches venaient éclaircir les ténèbres. « Tu viens d’où ? » Il n’y avait rien, là où nous nous trouvions. Je l’observai. Ses lèvres étaient serrées, comme s’il cherchait à garder ses secrets pour lui. Il avait baissé la tête, probablement parce que tant mon aura que ma magie l’effrayaient. « Tu vas parler, oui ? » exigeai-je, en l’attrapant par le col. Il fut facile à soulever. Suspendu dans les airs, l’enfant reposa ses yeux sur moi. Mes ailes étaient ouvertes de chaque côté de ma silhouette. Un petit bruit retentit sur le sol. Je baissai mes prunelles et souris, soudainement amusé. « T’es une pisseuse à ce que je vois. » Il serra encore plus ses lèvres. Sa peau devint écarlate. J’eus un instant l’impression qu’il allait exploser. Finalement, les mots sortirent comme crachés depuis l’intérieur de son cœur. « Je m'appelle Jude et je veux être le plus fort du monde ! » Il y eut un silence entre nous, ponctué uniquement par les quelques gouttes d’urine qui s’échappaient encore de son petit corps. Je haussai un sourcil et le considérai. D’un coup je le lançai en l’air et le rattrapai par la cheville. Le gamin retomba vers le sol sans le toucher, la tête en bas et maintenu ainsi par mon unique main. À retardement, un cri s’échappa de sa gorge. « Tais-toi, sinon je t’encule et je te mange. » Je le soupçonnai de ne pas avoir tout compris mais il se tut, de rares sanglots désespérés coincés dans la gorge. « Je vais te garder. Où sont tes parents ? » Une sorte de « je ne sais pas » pratiquement incompréhensible sortit de la bouche du garçon. « Tant mieux. S’ils te réclament, je les tuerai. Sache que je n’aime pas qu’on piaille à mes oreilles. Si t’as quelque chose à dire, tu feras comme toute personne intelligente : des phrases utiles et courtes. Vu ? » Il n’y avait que les idiots qui désiraient paraître instruits qui se perdaient dans des palabres de masturbation intellectuelle de six kilomètres de long. « Je suis Judas et c’est comme ça que tu m’appelleras. Ton père, ce sera Kaahl. Compris ? »

Code:

<div id="wrappper"><div class="titreprez cellule">Jude Paiberym</div>
<div class="cellule"><img src="https://zupimages.net/up/23/10/m70s.bmp" style="float:right;padding-left:5px" />[b]Nom[/b] : Paiberym
[b]Prénom[/b] : Jude
[b]Surnom[/b] : Juju
[b]Sexe[/b] : Masculin
[b]Taille[/b] : 1m20
[b]Âge apparent[/b] : Environ sept ans
[b]Ère de naissance[/b] : Ère de la Conciliation
[b]Race[/b] : Déchu (Péché principal : Avarice. Péchés secondaires : Gourmandise et Envie)
[b]Métier[/b] : X

[b]Niveau[/b] : I (Niveau I à partir de 2947 points)

[b]Armes[/b] :  
- Sa bouille
- Un pieu

[b]Spécialités[/b] :
- Agilité : 4
- Force : 4
- Charisme : 6
- Intelligence : 6
- Magie : 5

[b]Pouvoirs[/b] :
- La Peau des Gregori
- Le Souffle des Nephilim
- Les Artifices de Lucifer
- Téléportation
- Boussole : Permet de trouver ce qu'il cherche

[b]Gain de niveau 2[/b]
- X

[b]Gain de niveau 3[/b]
- X

[b]POUVOIRS[/b]
- X

[b]ARMES[/b]
- X

[b]ARTEFACTS[/b]
- X

[b]~ Formes de magie[/b]
- La Magie Pourpre
- La Magie de Jade

[b]~ Patrimoine et réputation[/b]
- X

[b]Particularité[/b] : Pour le moment, ses Péchés sont en sommeil. Alya sera probablement sa mentor. Il est la transposition du personnage de Judas. Il voue une admiration à Gyzyl et Kaahl. Il ne veut s'habiller qu'en pyjama pilou-pilou chouette et cerfeuil. Ses colères sont légendaires et il finit souvent par s'endormir d'avoir trop pleuré, criée et gesticulé.

[b]Role Play[/b] : Je me retournai. Mon regard chercha la source de mon pressentiment à hauteur d’homme. Il me fallut baisser les yeux pour la trouver. « [color=#3300cc]Tu me suis ?[/color] » demandai-je au gamin. Kaahl aimait les enfants. Dans son histoire, ils étaient ceux qu’il n’avait jamais cessé d’épargner. Du moins, autant qu’il l’avait pu. J’avais un avis quelque peu différent sur la question. Un trou est un trou, après tout. Quant au reste, un nombre incalculable d’enfants étaient plutôt faits pour garnir du hachis parmentier. Leurs incapacités étaient parfois bien trop nombreuses pour être pardonnées. Certains tardaient à parler ou à acquérir la permanence des objets. D’autres n’avaient aucune ambition hormis celle de chouiner. Ma patience à leur égard était néanmoins plus élevée qu’avec les adultes. Leur nullité n’était pas de leur faute, même si je doutais également que les idiots le fussent de leur propre fait. Néanmoins, une fois la croissance achevée, il n’y avait plus rien à faire. L’élimination devenait la seule méthode curative. Comme l’enfant ne répondait pas, j’éliminai la distance entre nous. Planté devant lui, je lui reposai la question, en le regardant de haut. « [color=#3300cc]Est-ce que tu me suis ?[/color] » Il releva ses yeux dorés vers moi. La crainte se lisait dans son regard mais quelques détails de son anatomie ne manquèrent pas d’attirer mon attention. Outre ses iris, ses cheveux ressemblaient aux miens. Majoritairement bruns, des mèches blanches venaient éclaircir les ténèbres. « [color=#3300cc]Tu viens d’où ?[/color] » Il n’y avait rien, là où nous nous trouvions. Je l’observai. Ses lèvres étaient serrées, comme s’il cherchait à garder ses secrets pour lui. Il avait baissé la tête, probablement parce que tant mon aura que ma magie l’effrayaient. « [color=#3300cc]Tu vas parler, oui ?[/color] » exigeai-je, en l’attrapant par le col. Il fut facile à soulever. Suspendu dans les airs, l’enfant reposa ses yeux sur moi. Mes ailes étaient ouvertes de chaque côté de ma silhouette. Un petit bruit retentit sur le sol. Je baissai mes prunelles et souris, soudainement amusé. « [color=#3300cc]T’es une pisseuse à ce que je vois.[/color] » Il serra encore plus ses lèvres. Sa peau devint écarlate. J’eus un instant l’impression qu’il allait exploser. Finalement, les mots sortirent comme crachés depuis l’intérieur de son cœur. « [color=#660000]Je m'appelle Jude et je veux être le plus fort du monde ![/color] » Il y eut un silence entre nous, ponctué uniquement par les quelques gouttes d’urine qui s’échappaient encore de son petit corps. Je haussai un sourcil et le considérai. D’un coup je le lançai en l’air et le rattrapai par la cheville. Le gamin retomba vers le sol sans le toucher, la tête en bas et maintenu ainsi par mon unique main. À retardement, un cri s’échappa de sa gorge. « [color=#3300cc]Tais-toi, sinon je t’encule et je te mange.[/color] » Je le soupçonnai de ne pas avoir tout compris mais il se tut, de rares sanglots désespérés coincés dans la gorge. « [color=#3300cc]Je vais te garder. Où sont tes parents ?[/color] » Une sorte de « je ne sais pas » pratiquement incompréhensible sortit de la bouche du garçon. « [color=#3300cc]Tant mieux. S’ils te réclament, je les tuerai. Sache que je n’aime pas qu’on piaille à mes oreilles. Si t’as quelque chose à dire, tu feras comme toute personne intelligente : des phrases utiles et courtes. Vu ?[/color] » Il n’y avait que les idiots qui désiraient paraître instruits qui se perdaient dans des palabres de masturbation intellectuelle de six kilomètres de long. « [color=#3300cc]Je suis Judas et c’est comme ça que tu m’appelleras. Ton père, ce sera Kaahl. Compris ?[/color] »

<!-- NE PAS SUPPRIMER CETTE BALISE DIV A DROITE --></div></div>

Il a une place rien que pour lui  

Bonsoiiir  

C'est re-moi pour le compagnon obtenu aux Portes V : Descriptif du compagnon ici - Le poste ici 8D

Eutropius Dogma

Nom : Dogma
Prénom : Eutropius
Surnom : X
Sexe : Masculin
Taille : 175 cm adolescent - 185 cm adulte
Âge apparent :  15 ans
Ère de naissance : Ère de la conciliation
Race : Sorcier
Métier : X
Apparence plus tard : Avatar

Niveau : I (Niveau I à partir de 115 points)

Armes :  
- Un poignard
- X

Spécialités :
- Agilité : 4
- Force : 4
- Charisme : 5
- Intelligence : 8
- Magie : 5

Pouvoirs :
- Lux in Tenebris [Necromentia]
- La Valse Destructrice
- La Magie des Runes
- Fabriquer des potions
- Hypnose

Gain de niveau 2
- X

Gain de niveau 3
- X

POUVOIRS
- X

ARMES
- X

ARTEFACTS
- X

~ Formes de magie
- La Magie des Ténèbres
- La Magie du Sang

~ Patrimoine et réputation
- X

Particularité : Elève de Basphel [Acier]

Roleplay :

« Beurk, ça sent mauvais ici ! » Eutropius fit taire son amie d'un regard noir. Leurs voix portaient dans le cagibi désaffecté et il ne tenait pas à être renvoyé dans son lit avec une punition en prime. Ils violaient le couvre-feu de quelques heures mais le brun le faisait si souvent que c'était devenu une seconde nature. Il n'avait jamais été grand dormeur et les heures des étoiles étaient celles où il arrivait le mieux à réfléchir. « Ferme la porte. » Grommelant, elle s'exécuta. « Il fait noir comme dans un four. » « J'ai amené des bougies, tiens, allume-les. » Lui ordonna-t-il d'un ton distrait, lui passant les chandelles glissées sous sa cape. Bientôt, le halo circulaire jaunâtre éclaira l'espace exigu. « Ce n'est peut-être pas une bonne idée. On risque de foutre le feu. » Commenta la Sorcière. « Je ne sais pas voir dans le noir, et toi ? » « Non, mais ça s'apprend. » Rétorqua-t-elle en prenant un air pincé. « Pas la peine. » Maugréa-t-il, plus pour lui-même que pour la fille. Il comptait bien quitter sa condition de mortel dès que possible. Mille années ne suffiraient pas pour les ambitions qu'il nourrissait et devenir un membre des Enfants de la Nuit lui paraissait une alternative intéressante s'il échouait à trouver une autre manière de vivre éternellement. De toute façon, il n'était pas amoureux du soleil et fourrer ses doigts dans le sang ne le dérangeait pas outre mesure.

La blonde pinça son nez avec deux doigts. « Pouah, ça me rappelle la soupe de ragondins de mon arrière grand-mère, mais en pire. » Eutropius ne répondit pas. Douce était un peu idiote, c'était ce qui faisait son charme autant qu'il s'agissait d'un trait de caractère irritant quand elle se mettait à geindre. Née Magicienne, elle avait très jeune démenti le nom qui lui avait été donné et avait tout fait pour être envoyée à Amestris dans la branche Sorcière d'une famille de Mages indécis qui ne savaient jamais trop de quel côté pencher. Parfois, ses manières héritées de son enfance ressortaient, tout comme une certaine propension à croire tout ce qu'Eutropius pouvait lui raconter. Il la soupçonnait aussi de le coller pour faire taire les moqueries à son encontre. Il était le compagnon Sorcier qui légitimait le fait qu'elle en soit une, ou quelque chose dans ce goût là, Eutropius ne s'en préoccupait pas. « C'est parce que je suis allé déterrer le lapin de Becca. » Annonça-t-il tranquillement. « Tu - quoi ? » Il ne répondit pas, se contentant de récupérer une boule de couvertures sur une étagère poussiéreuse. Douce grimaça en comprenant ce qui y était blotti. « C'est répugnant. » Eutropius leva les yeux sur elle. « Tu trouves ? » « Euh... Ben un peu, non ? Je ne veux pas le toucher en tout cas. » Il l'ignora et libéra de l'espace à leurs pieds pour dessiner un pentacle au sol à l'aide d'une craie. Enfin, il disposa les bougies à chaque extrémités sous le regard incrédule de la fille. « Qu'est-ce que tu essaies de faire ? » Le brun prit la dépouille du lagomorphe et la déposa au centre. « Nous allons essayer de ressusciter cette bête en y insufflant un esprit. » Expliqua-t-il très sérieusement. Interdite, la blonde le fixa avant d'éclater de rire. Agacé, il claqua sa langue contre son palais. « L'ésotérisme n'est pas une plaisanterie. J'ai piqué un ou deux livres à ce sujet dans la bibliothèque chez mes parents et tu n'as pas idée de ce qu'il est possible de faire. » « Oh non, tu ne comprends pas. Je ne rigole pas de ce que tu fais, je rigole de toi ! » Il fronça les sourcils. « Quoi, moi ? » « Mais tu sais à peine faire léviter une carotte, alors ressusciter cette pauvre bête ? » « Il faut bien essayer pour y arriver. » Répliqua-t-il d'un ton blessé. « Ouais bah sans moi, c'est irrespirable ici, je sais pas comment tu fais. » « Attends. » Le Sorcier glissa une main dans sa cape pour en sortir une flasque en cuivre. Son amie ouvrit des yeux ronds. « T'as ramené de l'alcool ? » « Je me suis douté que tu n'aimerais pas ce qu'on allait faire. » Se justifia-t-il en haussant les épaules. On trouvait de tout à Basphel ville, il suffisait juste d'être assez discret pour ne pas se faire attraper avec en revenant à l'école. « Bon d'accord... » Elle s'agenouilla et but une gorgée. Un long frisson lui secoua les épaules. « Bouh, c'est amer ! » Plongé dans la lecture du processus qu'il comptait exécuter, Eutropius ne fit que grogner une vague réponse. « Tu n'en veux pas ? » « Non merci. J'aimerai rester éveillé pour la suite. » « Comment ça ? » Fit-elle d'une voix un peu pâteuse. Il leva enfin les yeux pour la regarder et cette fois, une sincère lueur d'intérêt y était logée. « Je ne suis peut-être pas encore doué pour ça, mais je m'y connais un peu sur une ou deux potions. » Dit-il, dans le vide car Douce venait de fermer les yeux, désormais appuyée mollement contre le mur. Il s'occuperait d'elle après son expérience.

Code:

<div id="wrappper"><div class="titreprez cellule">Eutropius Dogma</div>
<div class="cellule"><img src="https://zupimages.net/up/23/10/udw1.jpg" style="float:right;padding-left:5px" />[b]Nom[/b] : Dogma
[b]Prénom[/b] : Eutropius
[b]Surnom[/b] : X
[b]Sexe[/b] : Masculin
[b]Taille[/b] : 175 cm adolescent - 185 cm adulte
[b]Âge apparent[/b] :  15 ans
[b]Ère de naissance[/b] : Ère de la conciliation
[b]Race[/b] : Sorcier
[b]Métier[/b] : X
[b]Apparence plus tard[/b] : [url=https://zupimages.net/up/23/10/c9i8.jpg]Avatar[/url]

[b]Niveau[/b] : I (Niveau I à partir de 115 points)

[b]Armes[/b] :  
- Un poignard
- X

[b]Spécialités[/b] :
- Agilité : 4
- Force : 4
- Charisme : 5
- Intelligence : 8
- Magie : 5

[b]Pouvoirs[/b] :
- Lux in Tenebris [Necromentia]
- La Valse Destructrice
- La Magie des Runes
- Fabriquer des potions
- Hypnose

[b]Gain de niveau 2[/b]
- X

[b]Gain de niveau 3[/b]
- X

[b]POUVOIRS[/b]
- X

[b]ARMES[/b]
- X

[b]ARTEFACTS[/b]
- X

[b]~ Formes de magie[/b]
- La Magie des Ténèbres
- La Magie du Sang

[b]~ Patrimoine et réputation[/b]
- X

[b]Particularité[/b] : Elève de Basphel [Acier]

[b]Roleplay[/b] :

[color=#0095B6]« Beurk, ça sent mauvais ici ! »[/color] Eutropius fit taire son amie d'un regard noir. Leurs voix portaient dans le cagibi désaffecté et il ne tenait pas à être renvoyé dans son lit avec une punition en prime. Ils violaient le couvre-feu de quelques heures mais le brun le faisait si souvent que c'était devenu une seconde nature. Il n'avait jamais été grand dormeur et les heures des étoiles étaient celles où il arrivait le mieux à réfléchir. [color=#CF0A1D]« Ferme la porte. »[/color] Grommelant, elle s'exécuta. [color=#0095B6]« Il fait noir comme dans un four. »[/color] [color=#CF0A1D]« J'ai amené des bougies, tiens, allume-les. »[/color] Lui ordonna-t-il d'un ton distrait, lui passant les chandelles glissées sous sa cape. Bientôt, le halo circulaire jaunâtre éclaira l'espace exigu. [color=#0095B6]« Ce n'est peut-être pas une bonne idée. On risque de foutre le feu. »[/color] Commenta la Sorcière. [color=#CF0A1D]« Je ne sais pas voir dans le noir, et toi ? »[/color] [color=#0095B6]« Non, mais ça s'apprend. »[/color] Rétorqua-t-elle en prenant un air pincé. [color=#CF0A1D]« Pas la peine. »[/color] Maugréa-t-il, plus pour lui-même que pour la fille. Il comptait bien quitter sa condition de mortel dès que possible. Mille années ne suffiraient pas pour les ambitions qu'il nourrissait et devenir un membre des Enfants de la Nuit lui paraissait une alternative intéressante s'il échouait à trouver une autre manière de vivre éternellement. De toute façon, il n'était pas amoureux du soleil et fourrer ses doigts dans le sang ne le dérangeait pas outre mesure.

La blonde pinça son nez avec deux doigts. [color=#0095B6]« Pouah, ça me rappelle la soupe de ragondins de mon arrière grand-mère, mais en pire. »[/color] Eutropius ne répondit pas. Douce était un peu idiote, c'était ce qui faisait son charme autant qu'il s'agissait d'un trait de caractère irritant quand elle se mettait à geindre. Née Magicienne, elle avait très jeune démenti le nom qui lui avait été donné et avait tout fait pour être envoyée à Amestris dans la branche Sorcière d'une famille de Mages indécis qui ne savaient jamais trop de quel côté pencher. Parfois, ses manières héritées de son enfance ressortaient, tout comme une certaine propension à croire tout ce qu'Eutropius pouvait lui raconter. Il la soupçonnait aussi de le coller pour faire taire les moqueries à son encontre. Il était le compagnon Sorcier qui légitimait le fait qu'elle en soit une, ou quelque chose dans ce goût là, Eutropius ne s'en préoccupait pas. [color=#CF0A1D]« C'est parce que je suis allé déterrer le lapin de Becca. »[/color] Annonça-t-il tranquillement. [color=#0095B6]« Tu - quoi ? »[/color] Il ne répondit pas, se contentant de récupérer une boule de couvertures sur une étagère poussiéreuse. Douce grimaça en comprenant ce qui y était blotti. [color=#0095B6]« C'est répugnant. »[/color] Eutropius leva les yeux sur elle. [color=#CF0A1D]« Tu trouves ? »[/color] [color=#0095B6]« Euh... Ben un peu, non ? Je ne veux pas le toucher en tout cas. »[/color] Il l'ignora et libéra de l'espace à leurs pieds pour dessiner un pentacle au sol à l'aide d'une craie. Enfin, il disposa les bougies à chaque extrémités sous le regard incrédule de la fille. [color=#0095B6]« Qu'est-ce que tu essaies de faire ? »[/color] Le brun prit la dépouille du lagomorphe et la déposa au centre. [color=#CF0A1D]« Nous allons essayer de ressusciter cette bête en y insufflant un esprit. »[/color] Expliqua-t-il très sérieusement. Interdite, la blonde le fixa avant d'éclater de rire. Agacé, il claqua sa langue contre son palais. [color=#CF0A1D]« L'ésotérisme n'est pas une plaisanterie. J'ai piqué un ou deux livres à ce sujet dans la bibliothèque chez mes parents et tu n'as pas idée de ce qu'il est possible de faire. »[/color] [color=#0095B6]« Oh non, tu ne comprends pas. Je ne rigole pas de ce que tu fais, je rigole de toi ! »[/color] Il fronça les sourcils. [color=#CF0A1D]« Quoi, moi ? »[/color] [color=#0095B6]« Mais tu sais à peine faire léviter une carotte, alors ressusciter cette pauvre bête ? »[/color] [color=#CF0A1D]« Il faut bien essayer pour y arriver. »[/color] Répliqua-t-il d'un ton blessé. [color=#0095B6]« Ouais bah sans moi, c'est irrespirable ici, je sais pas comment tu fais. »[/color] [color=#CF0A1D]« Attends. »[/color] Le Sorcier glissa une main dans sa cape pour en sortir une flasque en cuivre. Son amie ouvrit des yeux ronds. [color=#0095B6]« T'as ramené de l'alcool ? »[/color] [color=#CF0A1D]« Je me suis douté que tu n'aimerais pas ce qu'on allait faire. »[/color] Se justifia-t-il en haussant les épaules. On trouvait de tout à Basphel ville, il suffisait juste d'être assez discret pour ne pas se faire attraper avec en revenant à l'école. [color=#0095B6]« Bon d'accord... »[/color] Elle s'agenouilla et but une gorgée. Un long frisson lui secoua les épaules. [color=#0095B6]« Bouh, c'est amer ! »[/color] Plongé dans la lecture du processus qu'il comptait exécuter, Eutropius ne fit que grogner une vague réponse. [color=#0095B6]« Tu n'en veux pas ? »[/color] [color=#CF0A1D]« Non merci. J'aimerai rester éveillé pour la suite. »[/color] [color=#0095B6]« Comment ça ? »[/color] Fit-elle d'une voix un peu pâteuse. Il leva enfin les yeux pour la regarder et cette fois, une sincère lueur d'intérêt y était logée. [color=#CF0A1D]« Je ne suis peut-être pas encore doué pour ça, mais je m'y connais un peu sur une ou deux potions. »[/color] Dit-il, dans le vide car Douce venait de fermer les yeux, désormais appuyée mollement contre le mur. Il s'occuperait d'elle après son expérience.

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Lien vers sa fiche : Ici 8D

Statut : Oky by Mancy.

Merciiiii 

Hello  

Lien du ou des sujets : RD - Tour 6
Gains : Un compagnon animal en lien avec votre personnage et la vision que vous avez de lui / la vision que d'autres en ont
Lien vers sa fiche : Après Mooæ, merci

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<div id="wrappper"><div class="titreprez cellule">Nagra</div>
<div class="cellule"><img src="https://zupimages.net/up/23/23/hckt.jpg" style="float:right;padding-left:5px" />[b]Prénom[/b] : Nagra [size=9](Dragon en Valærian)[/size]
[b]Surnom[/b] : X
[b]Sexe[/b] : Masculin
[b]Race[/b] : Chien (Loulou de Poméranie)

[b]Pouvoirs[/b] :
- L'éternité du Phénix
- Localisation
- Superforce
- Super aboiement : Nagra aboie tout le temps, pour peu qu'un papillon frôle ses moustaches ou qu'une mouche le regarde de travers ou que la météo lui déplaise, ou encore pour réclamer de l'attention. Mais en certaines occasions, lors de fortes émotions, son aboiement devient si aigu qu'il assourdit tout l'entourage à la ronde.
- Super saut : Pour pallier à sa petite taille, Nagra a développé une incroyable capacité à sauter, pouvant aller jusqu'à deux mètres.
- Super peur : Pour chasser les indésirables, Nagra peut donner l'illusion d'être un chien plus dangereux, plus grand, avec des dents plus longues et globalement beaucoup plus impressionnable que sa véritable apparence. [l'illusion ne fonctionne que quelques minutes et n'a pas d'effet sur des personnages ayant une bonne résistance à la magie]
- Super loyal : À l'instar des principes de Zébella, Nagra porte à Susannah une loyauté infaillible, telle qu'il refuse de la quitter d'une seule semelle. Il estime que chacun devrait lui être aussi obéissant et peut rendre malade quiconque refuserait de faire ce que Susannah lui demande. [maladie à définir en fonction de la magie du personnage en face et en accord avec le joueur]

[b]Particularité[/b] : X

[b]Mon Histoire :[/b]

« Crasse, je te présente Nagra ! » Le poney releva brusquement sa tête quand Susannah porta à son niveau le petit chiot. Ce dernier s'agita, retroussa les babines et aboya à deux reprises et Crasse disparut au fond de son box, les oreilles couchées en arrière. « J'espère que vous serez bons amis car ce rat ne semble pas vouloir me lâcher les basques. » Elle lui jeta un regard écœuré. Son poil soyeux se déclinait en caramel sur le dos et le haut de sa tête tandis que son museau, le bout de ses oreilles, son ventre et ses pattes adoptait la légèreté poudreuse de la neige. La Sirène grimaça. Il pesait à peine plus lourd qu'une pomme. Elle n'avait aucune affinité avec les bestioles vivant sur terre et celui-ci était atrocement adorable, et si minuscule qu'elle était certaine qu'il serait écrasé. Elle estimait sa longévité à une semaine. « Je l'ai appelé Nagra pour essayer de lui donner un peu d'envergure. »Aylidis savait que cette pauvre bête en aurait besoin s'il ne grossissait pas davantage. « Ça signifie dragon dans ma langue. » Informa-t-elle l'équidé qui n'en parut pas aussi enchanté que le chiot qui aboya, cette fois de contentement. Il se tordit pour tenter de lécher les doigts de la Bleue qui le lâcha aussitôt en poussant une exclamation de dégoût. Presque aussitôt, il se mit à sauter autour d'elle, de plus en plus haut, provoquant l'agitation des chevaux les plus proches. En réponse aux regards noirs des autres personnes, Susannah leva le menton en l'air comme pour les défier de lui dire quoi que ce soit. Quelqu'un marmonna qu'elle devrait mettre en laisse son animal et elle se nota mentalement de faire en sorte que son cheval s'échappe accidentellement, ou qu'elle tombe lorsqu'elle serait à cheval, en envoyant Nagra sur eux par exemple. Quand il s'agissait de faire de la vie des Gælyan un enfer, les idées foisonnaient toujours plus que pour les dissertations à rendre.

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Nagra

Prénom : Nagra (Dragon en Valærian)
Surnom : X
Sexe : Masculin
Race : Chien (Loulou de Poméranie)

Pouvoirs :
- L'éternité du Phénix
- Localisation
- Superforce
- Super aboiement : Nagra aboie tout le temps, pour peu qu'un papillon frôle ses moustaches ou qu'une mouche le regarde de travers ou que la météo lui déplaise, ou encore pour réclamer de l'attention. Mais en certaines occasions, lors de fortes émotions, son aboiement devient si aigu qu'il assourdit tout l'entourage à la ronde.
- Super saut : Pour pallier à sa petite taille, Nagra a développé une incroyable capacité à sauter, pouvant aller jusqu'à deux mètres.
- Super peur : Pour chasser les indésirables, Nagra peut donner l'illusion d'être un chien plus dangereux, plus grand, avec des dents plus longues et globalement beaucoup plus impressionnable que sa véritable apparence. [l'illusion ne fonctionne que quelques minutes et n'a pas d'effet sur des personnages ayant une bonne résistance à la magie]
- Super loyal : À l'instar des principes de Zébella, Nagra porte à Susannah une loyauté infaillible, telle qu'il refuse de la quitter d'une seule semelle. Il estime que chacun devrait lui être aussi obéissant et peut rendre malade quiconque refuserait de faire ce que Susannah lui demande. [maladie à définir en fonction de la magie du personnage en face et en accord avec le joueur]

Particularité : X

Mon Histoire :

« Crasse, je te présente Nagra ! » Le poney releva brusquement sa tête quand Susannah porta à son niveau le petit chiot. Ce dernier s'agita, retroussa les babines et aboya à deux reprises et Crasse disparut au fond de son box, les oreilles couchées en arrière. « J'espère que vous serez bons amis car ce rat ne semble pas vouloir me lâcher les basques. » Elle lui jeta un regard écœuré. Son poil soyeux se déclinait en caramel sur le dos et le haut de sa tête tandis que son museau, le bout de ses oreilles, son ventre et ses pattes adoptait la légèreté poudreuse de la neige. La Sirène grimaça. Il pesait à peine plus lourd qu'une pomme. Elle n'avait aucune affinité avec les bestioles vivant sur terre et celui-ci était atrocement adorable, et si minuscule qu'elle était certaine qu'il serait écrasé. Elle estimait sa longévité à une semaine. « Je l'ai appelé Nagra pour essayer de lui donner un peu d'envergure. »Aylidis savait que cette pauvre bête en aurait besoin s'il ne grossissait pas davantage. « Ça signifie dragon dans ma langue. » Informa-t-elle l'équidé qui n'en parut pas aussi enchanté que le chiot qui aboya, cette fois de contentement. Il se tordit pour tenter de lécher les doigts de la Bleue qui le lâcha aussitôt en poussant une exclamation de dégoût. Presque aussitôt, il se mit à sauter autour d'elle, de plus en plus haut, provoquant l'agitation des chevaux les plus proches. En réponse aux regards noirs des autres personnes, Susannah leva le menton en l'air comme pour les défier de lui dire quoi que ce soit. Quelqu'un marmonna qu'elle devrait mettre en laisse son animal et elle se nota mentalement de faire en sorte que son cheval s'échappe accidentellement, ou qu'elle tombe lorsqu'elle serait à cheval, en envoyant Nagra sur eux par exemple. Quand il s'agissait de faire de la vie des Gælyan un enfer, les idées foisonnaient toujours plus que pour les dissertations à rendre.

Merci beaucoup   [/justify]

Et re 

Lien du ou des sujets : RD - Tour 6 [Lorcán]
Gains : Un compagnon animal en lien avec votre personnage et la vision que vous avez de lui / la vision que d'autres en ont
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<div id="wrappper"><div class="titreprez cellule">Míril</div>
<div class="cellule"><img src="https://zupimages.net/up/23/23/5io2.jpg" style="float:right;padding-left:5px" />[b]Prénom[/b] : Míril
[b]Surnom[/b] : Mimi
[b]Sexe[/b] : Hermaphrodite
[b]Race[/b] : Serpent noir à collier rouge

[b]Pouvoirs[/b] :
- L'éternité du Phénix
- Hypnose
- Traverser la matière
- Transformation en corde
- Mue : La peau que Míril laisse derrière au temps propice devient un tissu très fin et résistant, d'une qualité indéniable et que les couturiers s'arracheront.
- Echange de corps avec Lorcán [non contrôlé, le pouvoir se déclenche de façon aléatoire et ne dure jamais plus de quelques heures]
- Fusion avec Lorcán : De nature assez discrète, Míril préfère se fondre directement sous la peau de Lorcán.

[b]Particularité[/b] : Comme les serpents de cette espèce, son venin provoque de graves malaises, mais pas de décès.

[b]Mon Histoire :[/b]

[color=#811453]« Petit petit ! »[/color] Susurra Lorcán d'une voix douce en agitant une plume près de ses clavicules. Il y ajouta un petit claquement de langue, souvent utilisé pour convaincre un chat de se laisser approcher pour être caressé. Zeryel passa dans son dos et croisa le regard de l'Alfar. Il haussa un sourcil interrogateur. Malgré toutes les étranges manies du roux, comme celle d'appliquer des masques en tissus imbibés de crème importés de Maëlith chaque soir, son colocataire parvenait toujours à le surprendre. [color=#56739A]« Qu'est-ce que tu fabriques ? »[/color] [color=#811453]« J'essaie de convaincre mon serpent de sortir. »[/color] Expliqua patiemment Lorcán. [color=#56739A]« Ton - »[/color] Zeryel rougit et prit un air furieux. [color=#56739A]« T'es vraiment pas possible ! »[/color] Lorcán cligna des yeux avec surprise avant qu'un sourire de compréhension n'étire ses lèvres sombres. [color=#811453]« Mais quel esprit mal placé pour un Ange... Mais c'est vrai que tous les Belegad filent du mauvais coton, tu suis le chemin tracé dans tes gènes. »[/color] De rouge, l'Ange devint coquelicot. [color=#56739A]« N'importe quoi ! Et arrête de me comparer à eux ! En plus, il faut pas croire tout ce qui se dit dans les journaux ! Alcide les connaît et les journaux ne font que déformer la réalité. »[/color] [color=#811453]« Oui oui. Allez pousse-toi, tu fais peur à mon serpent avec tes pensées impures. »[/color] Sur une insulte grommelée entre ses dents, Zeryel quitta leur chambre en claquant la porte, suivi par l'écho du rire de son colocataire. Lorcán se reconcentra ensuite sur le miroir, fixant l'endroit où il avait vu sa peau se gondoler plus tôt. Finalement, à force de tendres exhortations, une langue fourchue émergea sous sa pomme d'Adam, suivie d'un museau bicolore et d'une tête minuscule. À peine plus long qu'un avant-bras, il s'extirpa dans un bruissement d'écailles sur l'épiderme de l'Alfar et s'enroula autour de son cou, épiant son environnement avant de braquer son regard doré sur le miroir. [color=#811453]« Te voilà. »[/color] Il leva un index prudent qu'il passa sur le dessus de la tête du serpent, qui se contenta de le fixer de ses yeux inexpressifs, fendus à la verticale. Son dos luisait d'écailles couleur d'encre tandis que de son menton et courant sur tout son ventre s'alignaient des écailles d'une vive teinte vermeille. [color=#811453]« Magnifique. On dirait un joyau. Un joyau dangereux. Tu es du plus bel effet sur moi. Je me demande si tu es venimeux. On va aller faire un tour à la bibliothèque pour répondre à cette question, ou bien te glisser dans l'uniforme de quelqu'un au hasard. Oui, je crois que nous allons plutôt faire ça. »[/color]

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Míril

Prénom : Míril
Surnom : Mimi
Sexe : Hermaphrodite
Race : Serpent noir à collier rouge

Pouvoirs :
- L'éternité du Phénix
- Hypnose
- Traverser la matière
- Transformation en corde
- Mue : La peau que Míril laisse derrière au temps propice devient un tissu très fin et résistant, d'une qualité indéniable et que les couturiers s'arracheront.
- Echange de corps avec Lorcán [non contrôlé, le pouvoir se déclenche de façon aléatoire et ne dure jamais plus de quelques heures]
- Fusion avec Lorcán : De nature assez discrète, Míril préfère se fondre directement sous la peau de Lorcán.

Particularité : Comme les serpents de cette espèce, son venin provoque de graves malaises, mais pas de décès.

Mon Histoire :

« Petit petit ! » Susurra Lorcán d'une voix douce en agitant une plume près de ses clavicules. Il y ajouta un petit claquement de langue, souvent utilisé pour convaincre un chat de se laisser approcher pour être caressé. Zeryel passa dans son dos et croisa le regard de l'Alfar. Il haussa un sourcil interrogateur. Malgré toutes les étranges manies du roux, comme celle d'appliquer des masques en tissus imbibés de crème importés de Maëlith chaque soir, son colocataire parvenait toujours à le surprendre. « Qu'est-ce que tu fabriques ? » « J'essaie de convaincre mon serpent de sortir. » Expliqua patiemment Lorcán. « Ton - » Zeryel rougit et prit un air furieux. « T'es vraiment pas possible ! » Lorcán cligna des yeux avec surprise avant qu'un sourire de compréhension n'étire ses lèvres sombres. « Mais quel esprit mal placé pour un Ange... Mais c'est vrai que tous les Belegad filent du mauvais coton, tu suis le chemin tracé dans tes gènes. » De rouge, l'Ange devint coquelicot. « N'importe quoi ! Et arrête de me comparer à eux ! En plus, il faut pas croire tout ce qui se dit dans les journaux ! Alcide les connaît et les journaux ne font que déformer la réalité. » « Oui oui. Allez pousse-toi, tu fais peur à mon serpent avec tes pensées impures. » Sur une insulte grommelée entre ses dents, Zeryel quitta leur chambre en claquant la porte, suivi par l'écho du rire de son colocataire. Lorcán se reconcentra ensuite sur le miroir, fixant l'endroit où il avait vu sa peau se gondoler plus tôt. Finalement, à force de tendres exhortations, une langue fourchue émergea sous sa pomme d'Adam, suivie d'un museau bicolore et d'une tête minuscule. À peine plus long qu'un avant-bras, il s'extirpa dans un bruissement d'écailles sur l'épiderme de l'Alfar et s'enroula autour de son cou, épiant son environnement avant de braquer son regard doré sur le miroir. « Te voilà. » Il leva un index prudent qu'il passa sur le dessus de la tête du serpent, qui se contenta de le fixer de ses yeux inexpressifs, fendus à la verticale. Son dos luisait d'écailles couleur d'encre tandis que de son menton et courant sur tout son ventre s'alignaient des écailles d'une vive teinte vermeille. « Magnifique. On dirait un joyau. Un joyau dangereux. Tu es du plus bel effet sur moi. Je me demande si tu es venimeux. On va aller faire un tour à la bibliothèque pour répondre à cette question, ou bien te glisser dans l'uniforme de quelqu'un au hasard. Oui, je crois que nous allons plutôt faire ça. »

Merci beaucoup  

Hola, je viens déclarer ma Vampire qui s'est fait éradiquer sa lignée !

Lien du ou des sujets : [Quête] Le vilain petit canard
Gains : 3 x 1800 mots = un compagnon, Kaldra Luceat
Lien vers sa fiche : Après Erkan s'il-vous-plaît.

Statut : Ne pas remplir. Réservé à l'administration.

Kaldra Luceat

Nom : Luceat
Prénom : Kaldra
Surnom : X
Sexe : Féminin
Taille : 1m72
Âge apparent : 25 ans
Ère de naissance : Ère de la Conciliation
Race : Vampire
Lignée : Ksenia
Créateur : Dragan Luceat
Métier : X

Niveau : I (Niveau I à partir de 113 points)

Armes :  
- Une trousse de scalpels
- Une bague-poison

Spécialités :
- Agilité : 4
- Force : 3
- Charisme : 6
- Intelligence : 6
- Magie : 6

Pouvoirs :
- Aliénation
- Contemple ton ombre
- Le lien du sang
- Contrôle du sang
- Absorber l'énergie d'autrui

Gain de niveau 2
- X

Gain de niveau 3
- X

POUVOIRS
- X

ARMES
- X

ARTEFACTS
- X

~ Formes de magie
- La Magie des Ténèbres
- La Magie du Sang

~ Patrimoine et réputation
- X

Particularité : De fines cicatrices aux formes parfois artistiques un peu partout sur le corps (sauf le visage et le cou) réalisées au scalpel. Le squelette blanchi d'un rat fixé quelque part sur sa tenue vestimentaire.

Physionomie : Kaldra ne se sent ni grande ni petite, cependant on lui fait régulièrement remarquer sa maigreur et son visage émacié et peu avenant. Il faut dire qu’avec son teint pale et ses longs cheveux noirs qui lui encadrent la figure en ondulations rarement organisés elle a toujours l'air maladive. Ses yeux d'un bleu glacé n'apportent aucune lueur de vie à son visage creusé et souvent ils se voilent sans raison apparente. Certains diraient qu'à ces moments-là Kaldra converse avec des entités qui n'appartiennent qu'à elle... Si jamais ses lèvres s’étirent en un fin rictus dévoilant la pointe de ses crocs – parodie de sourire – en vous regardant, c'est qu'elle sait enfin quoi faire de vous, et ce n'est pas forcément toujours une bonne chose.
Kaldra s'habille principalement avec des robes noires à dentelles toujours très couvrantes, peut-être un héritage inconscient de sa précédente condition de Sorcière ? Néanmoins, sur chacune de ses tenues on peut retrouver fixé quelque part le squelette blanchi d'un rat, son premier animal de compagnie qui ne la quitte jamais. Sous ses vêtements, des centaines de cicatrices effilées parcourent son corps, y dessinant des arabesques macabres.

Psychologie : Kaldra est étrange, c'est un fait indéniable qui pousse les gens à la fuir. Du temps où elle était Sorcière elle n'avait pas d'amis ; elle n'en a pas plus maintenant qu'elle est devenue Vampire. Ses yeux se perdent régulièrement dans le vague et elle marmonne toute seule. Parfois même elle rigole, comme si une entité invisible aux yeux du reste du monde lui avait raconté une bonne blague... Sa fascination depuis toute petite pour la mort en putréfaction et le sang coagulant mettait mal à l'aise sa famille, alors réputée pour ses poisons et ses malédictions de qualité. Elle faisait tâche... Kaldra s'est construite ainsi, en se sentant différente et rejetée. Cela l'a beaucoup affectée, au point qu'elle s'enfonce de plus en plus dans son monde morbide, sans espoir de pouvoir en ressortir un jour. Pour se détendre et se calmer, elle aime voir le sang couler – que ce soit le sien ou celui d'autrui – ce qui explique les nombreuses cicatrices sur son corps.

Histoire : Kaldra Luceat est d'abord née sous le nom de Kaldra Krämer, dans une famille de Sorciers au commerce florissant de poisons. Elle dénotait étrangement dans cette famille, comme le vilain petit canard qu'elle s'imaginait être. Tandis que son grand frère et ses deux jeunes sœurs excellaient dans les malédictions et la confection de philtres toxiques – comme leurs parents l'exigeaient – Kaldra, elle, ne s’épanouissait que dans la nécromancie et la magie runique à base de sang ; deux disciplines qui dégoûtaient grandement le reste de sa famille. Elle avait essayé pourtant de se conformer au modèle tant attendu de ses parents, de s’intéresser aux poisons pour étendre l'influence des Krämer... mais rien ni fit, malgré tous ses efforts elle ne parvint jamais à les satisfaire pleinement, et les sévices corporels et moraux pleuvaient sur elle régulièrement. C'est à peu près à cette époque que Kaldra commença à se réfugier dans son monde imaginaire et à se scarifier, laissant ainsi sa peine s’écouler avec son sang. Ressentir une douleur qu'elle s’était elle même infligée, et non par quelqu'un d'autre, l'apaisait, cela lui donnait un sentiment de liberté et de contrôle. Le résultat aussi lui plaisait, les cicatrices qui s’entremêlaient formant ainsi une toile artistique et macabre sur sa peau.
Lorsqu'elle avait neuf ans, Kaldra tua par mégarde son rat de compagnie Druv. Elle en fut tellement attristée que sans réfléchir elle essaya de le ramener à la vie grâce à la nécromancie, mais cela ne se passa pas comme prévu et elle fut obligé de lui ôter la vie une nouvelle fois. Ce traumatisme lui laissa des séquelles et pour éviter d'autres erreurs de ce genre, Kaldra se plongea dans l’étude de tous les livres qu'elle pouvait trouver sur le sujet, n’hésitant pas parfois à les voler si cela s’avérait nécessaire. Elle se répétait en boucle une phrase entendu de ses parents, seul héritage qu'elle acceptait d'eux : le savoir c'est le pouvoir. Néanmoins, les mois passant, Kaldra ne parvenait toujours pas à faire son deuil, alors elle alla discrètement déterrer Druv et le nettoya si bien que seul les os lui restaient. Elle les renforça ensuite grâce à des onguents et les articula avec des fils de fer. C'est depuis ce jour que Kaldra le fixe à ses vêtements afin que son petit rat l'accompagne partout. Elle est ainsi jamais seule.
Ce ne fut que bien des années plus tard, lorsqu'elle rencontra Dragan Luceat, que Kaldra comprit qu'elle n'était en fin de compte pas un vilain petit canard mais un cygne majestueux. Ce Vampire lui avait promis la vie éternelle et le moyen de surpasser sa famille en puissance, il lui avait également promis qu'elle ne serait plus jamais moquée pour ses passions et qu'elle pourrait leur laisser libre cours. Kaldra fut charmée par son discours et elle accepta le Baiser...

Code:

<div id="wrappper"><div class="titreprez cellule">Kaldra Luceat</div>
<div class="cellule"><img src="https://zupimages.net/up/23/32/rtv2.png" style="float:right;padding-left:5px" />[b]Nom[/b] : Luceat
[b]Prénom[/b] : Kaldra
[b]Surnom[/b] : X
[b]Sexe[/b] : Féminin
[b]Taille[/b] : 1m72
[b]Âge apparent[/b] : 25 ans
[b]Ère de naissance[/b] : Ère de la Conciliation
[b]Race[/b] : Vampire
[b]Lignée[/b] : Ksenia
[b]Créateur[/b] : Dragan Luceat
[b]Métier[/b] : X

[b]Niveau[/b] : I (Niveau I à partir de 113 points)

[b]Armes[/b] :  
- Une trousse de scalpels
- Une bague-poison

[b]Spécialités[/b] :
- Agilité : 4
- Force : 3
- Charisme : 6
- Intelligence : 6
- Magie : 6

[b]Pouvoirs[/b] :
- Aliénation
- Contemple ton ombre
- Le lien du sang
- Contrôle du sang
- Absorber l'énergie d'autrui

[b]Gain de niveau 2[/b]
- X

[b]Gain de niveau 3[/b]
- X

[b]POUVOIRS[/b]
- X

[b]ARMES[/b]
- X

[b]ARTEFACTS[/b]
- X

[b]~ Formes de magie[/b]
- La Magie des Ténèbres
- La Magie du Sang

[b]~ Patrimoine et réputation[/b]
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[b]Particularité[/b] : De fines cicatrices aux formes parfois artistiques un peu partout sur le corps (sauf le visage et le cou) réalisées au scalpel. Le squelette blanchi d'un rat fixé quelque part sur sa tenue vestimentaire.

[b]Physionomie[/b] : Kaldra ne se sent ni grande ni petite, cependant on lui fait régulièrement remarquer sa maigreur et son visage émacié et peu avenant. Il faut dire qu’avec son teint pale et ses longs cheveux noirs qui lui encadrent la figure en ondulations rarement organisés elle a toujours l'air maladive. Ses yeux d'un bleu glacé n'apportent aucune lueur de vie à son visage creusé et souvent ils se voilent sans raison apparente. Certains diraient qu'à ces moments-là Kaldra converse avec des entités qui n'appartiennent qu'à elle... Si jamais ses lèvres s’étirent en un fin rictus dévoilant la pointe de ses crocs – parodie de sourire – en vous regardant, c'est qu'elle sait enfin quoi faire de vous, et ce n'est pas forcément toujours une bonne chose.
Kaldra s'habille principalement avec des robes noires à dentelles toujours très couvrantes, peut-être un héritage inconscient de sa précédente condition de Sorcière ? Néanmoins, sur chacune de ses tenues on peut retrouver fixé quelque part le squelette blanchi d'un rat, son premier animal de compagnie qui ne la quitte jamais. Sous ses vêtements, des centaines de cicatrices effilées parcourent son corps, y dessinant des arabesques macabres.

[b]Psychologie[/b] : Kaldra est étrange, c'est un fait indéniable qui pousse les gens à la fuir. Du temps où elle était Sorcière elle n'avait pas d'amis ; elle n'en a pas plus maintenant qu'elle est devenue Vampire. Ses yeux se perdent régulièrement dans le vague et elle marmonne toute seule. Parfois même elle rigole, comme si une entité invisible aux yeux du reste du monde lui avait raconté une bonne blague... Sa fascination depuis toute petite pour la mort en putréfaction et le sang coagulant mettait mal à l'aise sa famille, alors réputée pour ses poisons et ses malédictions de qualité. Elle faisait tâche... Kaldra s'est construite ainsi, en se sentant différente et rejetée. Cela l'a beaucoup affectée, au point qu'elle s'enfonce de plus en plus dans son monde morbide, sans espoir de pouvoir en ressortir un jour. Pour se détendre et se calmer, elle aime voir le sang couler – que ce soit le sien ou celui d'autrui – ce qui explique les nombreuses cicatrices sur son corps.

[b]Histoire [/b]: Kaldra Luceat est d'abord née sous le nom de Kaldra Krämer, dans une famille de Sorciers au commerce florissant de poisons. Elle dénotait étrangement dans cette famille, comme le vilain petit canard qu'elle s'imaginait être. Tandis que son grand frère et ses deux jeunes sœurs excellaient dans les malédictions et la confection de philtres toxiques – comme leurs parents l'exigeaient – Kaldra, elle, ne s’épanouissait que dans la nécromancie et la magie runique à base de sang ; deux disciplines qui dégoûtaient grandement le reste de sa famille. Elle avait essayé pourtant de se conformer au modèle tant attendu de ses parents, de s’intéresser aux poisons pour étendre l'influence des Krämer... mais rien ni fit, malgré tous ses efforts elle ne parvint jamais à les satisfaire pleinement, et les sévices corporels et moraux pleuvaient sur elle régulièrement. C'est à peu près à cette époque que Kaldra commença à se réfugier dans son monde imaginaire et à se scarifier, laissant ainsi sa peine s’écouler avec son sang. Ressentir une douleur qu'elle s’était elle même infligée, et non par quelqu'un d'autre, l'apaisait, cela lui donnait un sentiment de liberté et de contrôle. Le résultat aussi lui plaisait, les cicatrices qui s’entremêlaient formant ainsi une toile artistique et macabre sur sa peau.
Lorsqu'elle avait neuf ans, Kaldra tua par mégarde son rat de compagnie Druv. Elle en fut tellement attristée que sans réfléchir elle essaya de le ramener à la vie grâce à la nécromancie, mais cela ne se passa pas comme prévu et elle fut obligé de lui ôter la vie une nouvelle fois. Ce traumatisme lui laissa des séquelles et pour éviter d'autres erreurs de ce genre, Kaldra se plongea dans l’étude de tous les livres qu'elle pouvait trouver sur le sujet, n’hésitant pas parfois à les voler si cela s’avérait nécessaire. Elle se répétait en boucle une phrase entendu de ses parents, seul héritage qu'elle acceptait d'eux : le savoir c'est le pouvoir. Néanmoins, les mois passant, Kaldra ne parvenait toujours pas à faire son deuil, alors elle alla discrètement déterrer Druv et le nettoya si bien que seul les os lui restaient. Elle les renforça ensuite grâce à des onguents et les articula avec des fils de fer. C'est depuis ce jour que Kaldra le fixe à ses vêtements afin que son petit rat l'accompagne partout. Elle est ainsi jamais seule.
Ce ne fut que bien des années plus tard, lorsqu'elle rencontra Dragan Luceat, que Kaldra comprit qu'elle n'était en fin de compte pas un vilain petit canard mais un cygne majestueux. Ce Vampire lui avait promis la vie éternelle et le moyen de surpasser sa famille en puissance, il lui avait également promis qu'elle ne serait plus jamais moquée pour ses passions et qu'elle pourrait leur laisser libre cours. Kaldra fut charmée par son discours et elle accepta le Baiser...
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