L’ange resta silencieux pendant un bon moment, mais je voyais bien qu’elle était en train de réfléchir à quelque chose. Ce qui m’énervait le plus, c’était le fait qu’elle possédait ce que je voulais, j’avais l’occasion de l’acquérir, mais à qu’elle prix ? M’abaisser à demander pardon à un ange sans doute, quelque chose que le seigneur ne me pardonnerait jamais. Après quelque instant, elle demanda simplement à ce qu’il me lâche et que je parte, me précisant seulement que je devais maintenant me tenir tranquille. J’avais qu’une envie, lui dire ce que je pensais de sa mise en garde à deux balles. Mais ça allait ruiner mes chances, devoir resté calme, un vrai défi. Surtout que l’autre ne semblait pas vraiment d’accord par cette idée, mais il finit par me lâcher, même si je prenais très mal la façon qu’elle l’avait convaincu. Comme si je n’étais pas digne que mademoiselle s’occupe de moi franchement. Mais en la voyant se faire entrainé par l’Orissa, je compris que celle-ci devait juste avoir envie d’être tranquille avec lui. Une vraie petite famille on diraient. Mais je n’aimais pas le faite d’avoir été graciée par madame, il allait falloir que je trouve un moyen pour lui faire comprendre que je n’en avais pas besoin, mais lequel et surtout, quand ? Car avec ces deux-là dans les environs, elle était certainement intouchable, je ne doutais pas de leur réflexe à l’un ou l’autre. N’ayant pas vraiment d’autre choix, je finis par sortir de cette maison, j’aperçus alors Kiata un peu plus loin, regardant en l’air assez frénétiquement.

*sa louve est partie, mais franchement tu a vraiment été inconsciente sur le coup, ça aurais très bien pu finir si elle… *
*ose dire qu’elle ma épargnée et je vends ta fourrure à un marchand ! mais je n’en ai pas fini avec elle, je conte bien réussir à obtenir ce que je souhaite, le seul problème, c’est que je ne sais pas vraiment comment m’y prendre.*

Je marchais alors en direction de l’auberge, j’allais bien trouver un moyen de lui parlé et surtout d’arrivée à le faire calmement, ce qui n’allait vraiment pas être évident pour le moment. J’allais devoir attendre pour l’approchée de nouveau. Mais encore, est-ce que j’aurais encore l’occasion, car à mon avis, elle n’allait pas vraiment rester seule encore longtemps.

Il m'avait alors demandé pourquoi je disais qu'elle allait revenir. Mais je ne savais pas comment lui expliquer, car ce n'était qu'une impression que j'avais eue, comme le dernier regard qu'elle avait eu dans ma direction et puis il n'y avait pas que ça. Il y avait le faite que c'était une démone et ça je ne l'oubliais pas, comme le faite qu'elle n'allait peut n’être pas oubliée rapidement ce qui venait de se passée aujourd'hui, j'en entendrais encore parlée, j'en étais certaine, mais comment je pourrais lui expliquée ça ? Déjà que l'on avait passé une après-midi bien mouvementée. Je n'allais pas rajouter un questionnement.
Bien évidemment, il me rappela rapidement qu'il était là, précisant que je l'aurais pour toute la nuit bien évidemment. Je sentis mon vissage rougir sur ces paroles. Ou peut-être à son regard qu'il avait plongé dans le mien, me perdre dans ses yeux était tellement facile. Son doux baisé me réchauffait et surtout, moi qui avait été tendue à cause de cette fille, ça avait eu l'effet totalement inverse et je me retrouvais totalement apaisée. Sa présence m'apportait tellement, comment avais je pu ne pas m'en rendre compte pendant un aussi long moment ? J'avais été stupide et aveugle en faite.
Ses gestes étaient tendres, voire sensuels, mais il finit quand même par me reposer la question et j'allais bien devoir lui répondre.

- Je ne sais pas, ce n'est pas une certitude, mais ce serais beaucoup trop beau j'avais comme l'impression qu'elle devait demandée quelque chose. Enfin le reste est qu'elle est mon opposée, je doute qu'elle oublie ce qui c'est passé aujourd'hui. N'empêche, je n'ose pas m'imaginée de comment j'aurais réagi si je t'avais vu dans ma situation.

Alicia revient près de moi maintenant qu'elle savait que l'autre femme n'était plus dans les environs, elle semblait soucieuse. Je connaissais son regard, elle était persuadée que c'était de sa faute et je fini alors par lui sourire avant qu'elle ne parle je ne voulais pas qu'elle commence à culpabilisé. Je lui demandai alors gentiment de retourner dans sa chambre. Puis je me retournais alors vers l'homme que j'aimais pour y déposer à mon tour un doux baisé, décidément, je devenais complètement accro moi. Mais bon, j'avais beaucoup de manque d'affection à combler, même si je crois que ça n'arrivera jamais en faite.

-En faite, comment ça, c'est passée avec Hasnna ? Ça a dû lui faire du bien aussi non ?

Depuis que l'on vivait ensemble, Hasnna avait du apprendre à partagée son père et je n'avais pas envie qu'elle commence à me voir comme une rivale, c'était la raison principale au fait que j'avais voulu que l'on passe une journée avec nos filles respectives et puis je crois que l'on ne pouvait pas décemment restée tout le temps ensemble, j'étais déjà assez accro de la sorte pour en plus en rajoutée. Enfin actuellement j'en profitais le plus possible, surtout que je savais qu'il y avait un nuage noir dans mon ciel bleu actuellement.
Devais je parler du faite que je commençais clairement en avoir marre ? J'avais eu l'impression que l'on ne me laisserait jamais tranquille, enfin pour le moment, je me contentais près celui que j'aime. Mes lèvres effleurèrent son cou pendant que ma main parcourait son torse. Nous qui n'avions pas été aussi physiques quand nous croyons naïvement qu'il n'y avait que des sentiments amicaux et ben j'avais bien l'intention d'en profitée maintenant. Bon d'accord, il devait avoir quelque chose qui commençait à dérailler là. Mais j'appréciais celle que j'étais quand j'étais avec lui et je ne voudrais pas changer pour rien au monde.

Je commençais à remarquée une étrange manie chez Cocoon, pas qu'elle me dérangeait, bien au contraire. Mais j'avais remarquée qu'il avait tendant à jouée avec mes cheveux. Maintenant que j'y pensais, ça lui était arrivé aussi avant, même si c'était beaucoup plus rare. Enfin, je n'allais pas commencer à me plaindre, car je n'avais aucune raison. De plus, je devais bien avouer que me poser sur son torse par ce temps effroyablement froid de l'hiver, ben, je trouvais que ça faisait partie des nombreux avantages que j'avais en étant avec lui. Qu'est ce que je pouvais de demandé de plus franchement ?
Il me dit alors qu'il trouvait Gaïa rancunière, lui qui avait voulu laisser mourir de faim trois hommes simplement pour une simple revanche. C'était assez ironique sur le coup, mais en même temps, mais si je n'aimais pas ce sentiment, je ne peux pas dire que je ne le comprenais pas. Ça aurait été hypocrite, car quelque part et bien malgré moi, j'en avais contre celui qui m'avait tant trahi. Contrairement à Élise, je n'aurais jamais l'occasion de lui parlée, mais je ne la chercherais pas non plus. D'une part, car je n’en avais pas l'envie et de l'autre, ben je crois qu'il ne m'aurait pas laissée faire tout simplement.

-Ca t'étonne vraiment d'une démone ? Personnellement non, je crois que ça aurait pu mal finir dans le manoir de Kuro si nous n'avions pas été privées de notre magie et de nos armes.

Je ne suis même pas sure que je serais encore vivante en faite, mais bon c'était du passée et ça n'avais aucune importance en faite.
Par conte, il n'avait pas besoin de me le dire pour que je sache que la sortie extra scolaire monoparentale était annulée. Bah, elle allait être déçue, mais je le comprenais, de plus, la savoir dans les parages ne me rassurait pas réellement.
Bon, j'étais rassurée que la gamine n'aille rien de grave, même si je ne savais toujours pas ce qu'elle avait exactement. Par conte, la suite était assez étrange.
Si sa voix restait normale, était-ce de l'inquiétude que je percevais dans le sens de ses paroles ? Pourquoi est-ce qu'il me parlait des yeux des autres ? En faite, même si je les avais regardées quand je m'y étais rendue, j'étais tellement pressée de le retrouver que je n'avais pas fait spécialement attention. Mais ce fut la fin de sa phrase qui me choquait. Enfin non, c'était pire, je dois bien avouer que sur le coup j'étais blessée. J'avais perdu celui que je croyais aimé à cause de la jalousie, est-ce qu'il allait s'y mettre aussi ? Est-ce qu'il avait lui aussi un manque de confiance en moi, pour croire que j'allais me fixer sur quelque chose d'aussi superficiel que la couleur des yeux ? Je restais un moment silencieuse, regardant fixement la cheminée, comme si les cendres avait un quelconque interet. J'essayais de comprendre, pourquoi il commençait à douter ainsi de moi ? Enfin ça n'avait peut-être rien à voir avec moi. Il m'avait parlé de lui, mais pas de ses anciennes conquêtes. Combien de fois un homme peut être dupé et blessé ! Mais ça ne me rassurait pas, car ça voudrait dire qu'il me croit capable d'être comme elles.
J'avais du mal à garder mes larmes, je ne lui en voulais pas, il avait le droit de se poser ce genre de question et même si ça faisait mal, je devais bien avouer que j'étais contente qu'il m'en parle, au lieu de garder ses inquiétudes enfermer dans un tiroir de sa mémoire.

-Je ne suis pas superficielle, s'il est vrai que j'aime la particularité de ton regard, c'est l'homme que tu es que j'aime, je ne pourrais jamais me baser sur quelque chose d'aussi futile que le physique, surtout qu'il est si facile de contrôlé son apparence chez nous. Me crois tu réellement capable de laissé guider mon coeur pour ce genre de détail ? Je ne resterais pas à mon poste bien longtemps alors.

Ma voix était légèrement éteinte, même si le faite d'avoir pris le temps m'empêchais de l'avoir tremblante. Je ne contais pas parlée plus longtemps de ça, du coup, je m'écartais pour m'enlevée, je devais trouvée quelque chose pour m'occuper, pour m'enlever ce que je venais d'entendre de la tête.

Sans que ça ne m'étonne réellement, je sentis sa main se refermer sur mon poignet. Me ramenant de nouveau vers lui, il se blotti rapidement dans mon cou, il allait finir par se Peter le dos à devoir ce baisée ainsi. Enfin, en même temps c'était son choix. Le souci, c'est que j'avais toujours cette boule au creux de ma gorge, je sentais que les larmes risquaient de se montrer à tout moment et je ne voulais pas le lui montrer. Du coup, si je ne le repoussais pas, je devais bien avouée que j'avais envie de me libérer de son étreinte, avec le doux paradoxe de vouloir restée prés de lui au même moment.
Il fini alors par s'excuse, il était étrange de voir qu'un homme pouvait montrée de tel faiblesse quelquefois, comme s'il était une tout autre personne, mais qu’en même temps, il restait lui même, je n'allais cependant pas le regrettée. Car ça nous rapprochait encore plus, enfin je croise.

-C' est tout ce que je demande, ainsi que de ne pas oublier que j'ai été trop blessée avec Shaolan, pour osé prétendre vouloir faire la même chose à qui que c’est, surtout pas à toi Cocoon. On a été trop aveugle, pour que je gâche tout. Mais si tu à encore ce genre de peur, il voudrait mieux que tu m'en parles, j'avoue, j'aime pas, mais crois moi, la franchise sera ce qui nous permettra de mieux avancer.

Il voulut allez prendre un bain, s'éloignant de moi, me laissant un léger manque que je ne comprenais pas. Cependant, Hasnna l'avait devancée, demandant elle même d'allée prendre un bain, m'étant bien évidement Alicia dans la combine. Elles finirent donc par remporter la bataille et il aillait devoir attendre sont tour. Enfin au moins j'avais pu voir un sourire sur ses lèvres, même si ça avait été bref.
Pendant qu'il montait à l'étage, Ielenia qui était restée sagement de son cotée, fini par venir me rejoindre, me regardant avec compassion et elle fini par posé ses deux pattes sur moi pour réussi à plongé ses yeux dans les miens.

*il est en haut, laisse-toi allée, ça ira beaucoup mieux après. Tu peux peut être arrivée à le trompé, mais pas moi et tu le sais bien.*

Sans réellement me laisser aller comme elle le disait, je laissais les larmes coulées silencieusement, caressant Ielenia dans le cou. C'est vrai que ça soulageait, mais je ne pus pas vraiment prendre le temps de tout lâché. Car je commençais à entendre pas mal de bruit au niveau de l'étage. Mais qu'est ce qu'ils foutaient tous les trois ? Je commençais alors à monter les escaliers, croyant retrouvée Cocoon dans la baignoire avec les filles. Surtout qu'en arrivant dans la chambre, je remarquais qu'il y avait de l'eau aussi.
Pour fini, il était sec, enfin si on peut dire, car les filles avaient clairement foutu le bordel dans la salle d'eau, d'ailleurs, j'avais même l'impression qu’étions bon pour allée racheter des produits dés demain. Je commençais alors à aider Cocoon et m’occuper de nos filles, non seulement ça irait plus vite, mais en plus ça nous permettrait de faire quelque chose ensemble, ce que j'appréciais tout particulièrement.
Une fois les filles propres, essuyées et mises en tenue pour le soir, je leur demandai de descendre pendant que je rangeais ce qu'elles avaient fait, aidée par Cocoon. Je fini par commencée à faire coulée son bain et je voulut sortir de la pièce pour laissé Cocoon tranquille profitée de son bain tranquillement.
Cependant, il restait un coin de mousse que je n'avais pas encore ramassée, je finis donc par glisser et je voyais le sol se rapprocher, ainsi qu'un bras bronzé et musclé me rattrapant.

- Merci.

Tout en le remerciant, j'avais de nouveau plongé mes yeux dans les siens, choses que je n’avais pas faites depuis tantôt, du coup, je finis par me coller à lui, embrassant en premier lieu son torse, pour finir par remontée petit à petit vers ses lèvres que les miennes réclamaient tant.

Pendant que nous avions épongé le sol, il avait dit que nos deux gamines étaient une véritable tornade, il n'avait pas vraiment tort quand je voyais le travail que nous avions après un bain. Il faudrait peut-être arrêter d'acheter le produit moussant. Non, ce serait pire de voir la crise qu'elles seront capables de nous faire la prochaine fois qu'elle prendre un bain. Elles jouent tellement avec.

- L'avantage, c'est qu'une fois fini, la salle d'eau est complètement propre et on a plus besoin de s'en occuper.

Bon, je préférais encore m'en occuper normalement, mais déjà ainsi c'était pas mal, bon je sais que personnellement, je vois toujours le bon coté, mais ce n'étais peut pas son avis. Car ça prenais beaucoup plus de temps et ça augmentais le cotée forcée de la tâche à accomplir.
Il m'avait souri, oh pour n'importe qui ça ne devait ne pas être exceptionnelle, mais pour moi qui jadis, m'étais juré de voir ne musque qu'un sourire sur son visage fermé, c'était à chaque fois un réel plaisir et je ne m'en lassais vraiment pas.
J'avais senti son doigt glissé sur mon épaule, pour y faire glisse délicatement la bretelle qui s'y trouvait. Il m'avait alors proposé de prendre un bain en même temps que lui. Je ois avouer que sur le coup, je ne savais pas trop quoi faire, d'une nos deux filles était en bas, tout seul, si pour le moment elles semblaient tranquilles, ça pouvait ne pas durée. Et e l'autre, ben... Je ne l’avais jamais fait et je ne savais pas trop, je savais que ça pouvait paraitre étrange, mais bon, un rien me stressait par moment. Ses gestes tendres montraient clairement l'envie que je l'accompagne dans l'eau cette fois-ci.

*ma belle, est ce que tu sais garder un oeil sur les filles pendantes quelques minutes. Je vais essayer de ne pas être trop longue.*

Même si elle avait accepté, j'avais l'impression d'avoir entendu un gémissement, comme un soupir. En même temps, je lui demandais réellement l'impossible, mais je savais que je pouvais compter sur elle. Je laissais donc tombé la deuxième bretelle afin de laisse ma robe finir sur le sol. On finit tous deux dans l'eau chaude du bain. Ça faisait vraiment du bien. L'eau chaude me réchauffait, j'étais avec celui que j'aimais, plus amoureuse que jamais. Je dois bien avouée que jamais je n'avais connu ça, même avec l'autre et c'était ça que je ne comprenais pas vraiment, car du coup je me demandais ce que j'avais éprouvé avant. Enfin ça n'avait aucune importance, je profitais, je me détendais, c'était ce qu'il avait de plus important pour le moment, j'étais heureuse et je voulais le rendre heureux, c'était ce qui était le plus important pour le moment.
Pendant le bain, je n'avais pas été avare de gestes tendres et de baisé, je ne voulais pas sortir de l'eau, je voulais restée auprès de lui, oubliant tout ce qui pouvait me tracasser, comme si mes problèmes étaient en bas, loin de moi.

- Y a vraiment des moments où j'aimerais figée le temps, pour que l'instant dans lequel je suis soit éternel.

Éternelle... ce que je suis, mais... je n'avais jamais réellement pensée à ça auparavant, mais maintenant que j'avais prononcé ce mot... cette instant que je profitais, que je me disais que je pourrais en avoir tous les jours si l'envie me prenait. C'était un mensonge, il allait veiller, comme nos filles et un jour, j'allais me retrouver toute seule. Jamais je n'avais vu se coter de ma race, mais l'immortalité pouvait être quelque chose de tellement douloureux en fin de conte. J'étais condamnée à voir ceux que j'aimais mourir les uns après les autres. Je ne savais même pas si je serais capable de le supporter. Bien sûr, surtout pour lui, on pouvait mourir tant de fois lors de nos aventures, il était déjà mort d'ailleurs. Mais je doute que si c'est par vieillesse Daemon puisse faire quoi que c’est.
J'avais alors commencé à jouer avec le mousse, me perdant quelque peu dans mes pensées. J'aurais aimé ne pas comprendre ça de suite, car savoir que le temps de ce bonheur m'était conté, ça me faisait mal.

Quand sa robe tomba sur le sol. Cocoon se jeta sur elle pour l'embrasser comme jamais. De prime abord, il cru qu'elle ne voulait pas et n'en n'avait pas envie, mais au final, elle se perdit dans ses bras.
Comme avec Hasnna, il entra dans le bain en premier, puis Nydelia entra à son tour, se couchant sur lui, torse contre torse, et la tête sur son épaule. L'orisha avait les bras écartés, posés le long du rebord en céramique. Parfois, il laissa ses doigts se balader sur la colonne vertébrale de l'ange, dans l'eau chaude, avant de revenir contre la baignoire. Le poids de son corps, sa nudité, sa peau blanche contre la sienne mat... Tout cela le faisait apprécier ce contact, cette relation, cet ange. Il sentait le désir monter, et ne faisait pas vraiment attention à ce que ressentait la jeune femme sur le coup. Bien qu'il ne fit rien de particuliers, il ne pu s'empêcher de laisser ses pensés se faire une idée de la suite des évènements. Il trouva ingénieux que la salle d'eau soit si proche du lit tout à coup. L'homme qu'il était ne pouvait pas faire taire ses hormones, surtout pas avec elle dans les parages, et encore moins nue sur lui. Mais ce qu'elle dit l'intrigua. Passant sa main dans ses cheveux longs, la caressant, il dit :

-Pourquoi cette mélancolie tout à coup ? Nous pouvons prendre un bain tous les soirs si tu veux, tu sais...

Il ne comprenait pas ce sentiment qu'elle ressentait. N'était-elle pas bien là, avec lui ? Et puis tout cela se transforma en tristesse. Il reçu cette émotion en pleine figure, tellement elle fut grande sur le coup. Alors il se redressa un peu, sans la bouger de sur lui, juste pour lui prendre le visage. Plantant son regard dans le sien il essaya de décrypter ses pensées, en vain :

-Dis moi ce qu'il y a. As-tu oublié que je ressentais les émotions ? Mon empathie ne t'épargne pas, dis moi ce qu'il ne va pas, au point que tu en déprime de la sorte. Je ne pensais pas qu'un bain te mettrait dans cet état.

Il avait les sourcils froncés, inquiet et pourtant bien avec elle, ici. La suite allait être compliquée s'ils devaient passer la nuit à parler. Mais au moins, elle, ça lui ferait le plus grand bien. Alors il renchérit :

-Quand tu es rentré tout à l'heure dans la salle d'eau, j'avais parfaitement vu que tu avais pleuré, même si je n'ai pas abordé le sujet devant les filles. Dis moi ce qu'il y a. Tu n'as pas besoin de te retenir devant moi. Je t'ai déjà vu pleuré pour bien moins que ça.

Cocoon finit par l'embrasser, ne pouvant résister à ses lèvres roses et si attirantes. Il ne pu s'empêcher de jouer avec ses lèvres, sa langue, ses dents en la mordillant, puis la prit dans ses bras.

-J'm'emballe un peu là...

Il ne savait pas vraiment s'il devait bouger ou rester comme ça mais ses baisers avait fait naitre en lui, un désir bien plus prononcé que dans le bain. Il se maudissait de ressentir de telles choses, alors qu'elle allait mal.

Il m'avait alors demandé pourquoi j'étais mélancolique, me disant d'abord que nous pouvions le faire tous les soirs si j'en avais réellement envie. Je dois avoue que l'idée ne me déplaisait pas, même si ce n'était pas ce qui m'avait mise dans cet état. J'essayais alors de reprendre le contrôle de moi même, mais ce n'était pas facile, si j'avais déjà aussi mal rien qu'en y pensant, qu'est-ce qui se passait quand ça arriverait réellement ? Je voulais soudainement redevenir mortelle.
Quelque instant après, il avait planté son regard dans le mien, comme s'il voulait voir quelque chose qui lui était impossible. Il fini par me rappelles une de ses particularités. Quand nous étions en couple, il était difficile de cachée ce que l'on ressentait à la personne que l'on aimait, mais avec un orisha c'est carrément de la triche en faite. De plus, vu la tristesse que je ressentais, ça ne devait pas être facile pour lui de la ressentir, il allait falloir que je trouve un moyen, mais je ne voyais pas lequel, d'arriver à lui cacher mes sentiments par moment, car ça ne pouvait pas continuer, je ne voulais pas qu'il la ressente, pas que je ne voulais pas qu'il le sache, mais plutôt, car je ne voulais pas que ça lui fasse mal.
Il avait remarqué les larmes tout à l'heure, c'était stupide de croire que j'avais pu lui cacher. J'avais cru pouvoir échappera l'interrogatoire quand ses lèvres entrèrent de nouveau en contacte avec les miennes. Mais c'était peine perdue, j'avais vu l'inquiétude sur son visage. Mais comment pouvais je lui expliqué ce que je ressentais et surtout comment lui expliqué que je pensais déjà a cela alors que nous avions de belles années devant nous.

- Je suis condamnée Cocoon, condamnée à voir tous ceux que j'aime me quitter les uns après les autres. Pas à cause d'un départ ou d'une trahison. Mais à cause du temps. Quand nous sommes mortelles, nous pensons que l'immortalité est quelque chose de fabuleux, mais maintenant que je le suis, je ne pense plus cela. Les filles grandisse veillise et un jour partiront, toi aussi... Les larmes commençaient à se montrer beaucoup plus abondamment qu'avant, ma voix s'étranglait dans ma gorge. -Un beau jour, je me réveillerais, mais je serais seule, certes je serais toujours figée dans mes dix-sept ans, la sagesse me gagnera avec les années. Mais à quoi bon si ce n'est pas pour restée avec celui que j'aime ? Y a vraiment des moments ou je ne regrette ma vie d'humaine, c'est tellement plus simple, moi cruel...

Posant ma tête sur son torse, je laissais alors les larmes coulées, profitant de son étreinte le plus que je pouvais, savoir que tous ces moments m'étaient contés était simplement horrible. Si je n'avais jamais réellement accepté d'avoir eux cette chance et pas les autres de mon village, je n'avais jamais rejeté ma nature, mais maintenant que je connaissais un bonheur sans nom, je ne pouvais pas faire autrement, savoir que tous ceux que j'aime allaient me quitter, que j'allais finir seul, c'était beaucoup trop douloureux.
Le pire, c'était de savoir qu'il n'y avait aucune échappatoire. Quoi que. Est ce que attaque une ville de démon ou en tout cas d'ennemi, seul, sachant très bien que je n’avais aucune chance de victoire pouvait être considérée comme du suicide ? Car oui l'idée de devenir une ombre ne me plaisait pas vraiment, surtout que ça ne réglerait pas mon problème. Enfin si ça cette tombe, Aya me ferait cette faveur, je n’avais même pas besoin de la provoqué en faite.
Blotti dans ses bras, j'avais peur de l'avenir, peur de cette douleur de perdre ceux que j'aimais, peur que ces instants se finissent. Le mieux était de ne plus m'attacher à personne sans doute, peut être devait je me contentée des miens. Je ne voulais pas continuée à y penser, mais je n'arrivais pas à faire autrement, c'était trop compliqué. Je voulais que tout finasse, je voulais que l'on me dise que ma vie pouvait finir sans que je doive me faire tuée.

-Je sait bien que j'ai le temps, mais c'est tellement douloureux de se rendre compte de quelque chose ainsi. J'aurais aimé de ne pas y penser, excuse-moi. Ça ne doit pas être évident pour toi de devoir gérer toute les émotions de la maison. Ces égoïstes de te faire ressentir les miennes en plus. Mais je ne sais même pas comment l'en empêcher.

Mes chances que s'il le sait, il me l'apprenne, je dirais proche de zéro, j'étais rétaise à parié que même si ça lui faisait mal, il préférait savoir ce que je ressentais, ainsi il pourrait savoir quand je n'allais pas bien. Je savais pourtant ce qu'il pouvait ressentir. J'avais l'impression de devenir folle quand je ressentais l'inquiétude de mon peuple avec ce qui se prépare.

Plus elle parlait, plus Cocoon sentait un poids se former dans son ventre, pour l'écraser contre la baignoire. Même s'il avait voulu, il n'aurait pas pu se lever de là, trop écrasé par les émotions de Nydelia. Alors il entoura son corps de ses bras, pour la serrer contre lui, pendant qu'elle parlait et qu'elle pleurait.

-Arrête... Calme toi...

Il appuya sa bouche contre le haut de sa tête, sentant le parfum de ses cheveux mouillés. La pièce commençait à être trop petite pour lui, et s'il avait pu, il aurait sauté par la fenêtre, voulant plus d'espace. Mais déjà, il ne pouvait même pas se lever. Ton son corps était comprimé psychiquement. Alors les mots sortaient, sans s'arrêter, et Cocoon cru que sa tête, allait exploser. Pourtant, il savait parfaitement gérer les émotions d'autrui, et les manipuler, mais celles là non. C'était son ange, Nydelia, il ne pouvait pas la manipuler, il n'y arrivait plus, et il était obligé de se prendre ses émotions comme elle venait. Même en se concentrant, il ne pouvait ignorer ce qu'elle ressentait.

-Attend je...

Non, non il fallait qu'elle arrête, ça n'allait pas aller, il allait se passer quelque chose qu'il ne voulait pas qu'elle voit une seconde fois. Pour lui c'était important. En plus de ses sentiments, tous les mots qu'elle prononçait allaient droit au cœur de l'orisha, et elle parla d'égoïsme il dit, autoritairement :

-Arrête !

Il sentait que Nydelia le regardait, et quand Cocoon redressa la tête, de fines traînées d'eau coulèrent de ses yeux. Son visage n'était pas déformé, juste des larmes tombaient de ses yeux bicolores, comme si elles étaient artificielles.

-Il... Il faut que tu te calmes... Excuse moi...

Il ne voulait pas lui crier dessus, mais il ne fallait plus qu'elle parle, il ne pouvait pas supporter plus. En négligeant trop ce pouvoir, il savait que ça pouvait lui porter du tort, mais il n'en n'avait jamais pris cas. Là, c'était la preuve de sa négligence. Il n'a même pas su se protéger lui même. Laissant ses yeux verser autant d'eau qu'ils voulaient, il dit calmement, la gorge serrée :

-Je ne vais pas mourir. Pour les filles, je suis en train de trouver une solution, mais ce n'est pas évident. De toute façon, je ne pense pas qu'il faudrait les enfermer dans cette condition de petite fille. Je n'arrive pas à gérer tes émotions. Tu as prit trop d'importance pour moi, pour que mes boucliers mentaux résistent à ce que tu ressens.

Soupirant, il sentit ses yeux sécher, et ses joues de même. Ce n'était pas un torrent, mais quatre ou cinq gouttes qui perlèrent du coin de ses yeux, pour atterrir sur sa mâchoire. Tout son corps était serrer dans un étau, comprimé par la tristesse de l'ange, et son désespoir temporaire.

-Je ne regrette pas que tu sois morte, car j'ai pu te rencontrer. Ca m'étonne que tu te soucis de ça maintenant, j'aime juste vivre sans me soucier du reste...

Il soupira à nouveau :

-Tu ne peux rien faire pour que je ne ressente pas ce que tu ressens. La seule personne que je connais, dont je ne ressens rien, c'est Dæmon. Quand il est à côté de moi, je ne le détecte pas, et je ne détecte pas ses émotions. Mais je ne sais pas comment il fait. Peut être est-il... Déshinibé ?

A vrai dire, Cocoon n'en savait rien, et sur le moment, il s'en fichait. Nydelia était dans la détresse la plus totale, et il ne pouvait même pas l'aider. Malgré tous ses pouvoirs, sa puissance, et sa force, il lui était inutile. Il ne pouvait ni l'apaiser, ni même empêcher ses émotions de le frapper.

Au bout de quelques minutes il cria :

-DÆMON !

Une ombre passa dans la chambre, avant d'atterrir à l'entrée de la salle d'eau.

-Oui ?

-Va dans la coiffeuse le chercher.

Vu que la salle d'eau était une pièce ouverte, sans porte, on voyait la chambre depuis la baignoire. Alors ils virent le démon bouger jusqu'à la coiffeuse et sortir un miroir du tiroir. Il le leva et se tourna vers eux. Cocoon le montra du geste de la main :

-Ca, c'est l'objet de mon immortalité. S'il est brisé, je meurs. Comment on l'a trouvé déjà ?

Il rangea l'ouvrage et ferma le tiroir :

-En voulant aller en Enfer.

-Ah oui, Dæmon voulait aller en Enfer, mais sur la route, on a trouvé un morceau de ce miroir. Quand je l'ai pris et que je l'ai levé dans les airs pour l'observer... Un faisceau lumineux m'a indiqué un autre morceau plus loin. Alors je me suis laissé guider, puis au final on a du déchiqueter une horde d'Ombres. Puis on a rencontré un type un peu bizarre. Il s'appelait comment ?

-J'sais pas, il l'a pas dit.

-C'était un fils du temps, ou quelque chose comme ça. Il a reconstitué le miroir, m'a dit que ce truc ferait de moi un immortel, pour une guerre dans le futur, où les terres du Y&Y seront déchiré par les Enfers. Je l'ai pris je suis partit.

-Papa !?

-J'y vais.

Dæmon descendit à cet appel, laissant à nouveau les deux amoureux tranquillement dans leur bain.

-Mais pour les filles, je n'ai pas encore trouvé de solutions, car comme toi, j'y pense...

Je l'avais vaguement entendu me demander d'arrêter, mais j'avais besoin de me décharger, maintenant que j'avais commencé, ça aurait été trop compliqué de m'arrêter. Trop dur surtout. Cependant, âpres quelque instant, sa voix se montra beaucoup plus ferme et je me tu immédiatement, tout en levant mes yeux vers son visage. Jamais je ne l'aurais cru capable d'élever ainsi la voix, pourquoi ?
C'est alors que je compris, ayant ressenti ma tristesse, elle l'avait beaucoup trop atteinte, deux larmes avaient perlé sur son visage, en réponse au sentiment que je ressentais. J'avais alors posé ma main sur sa joue, m'en voulant terriblement de ce que je venais de faire. J'allais vraiment devoir apprendre à contrôler mes émotions, car ce genre de tristesse m'envahissait quelquefois, quand j'avais l'impression que tout s'effondrait autour de moi par exemple et je ne voulais vraiment pas qu'il souffre par ma faute.
De plus je ne comprenais pas trop ce qu'il me disait, comment ça il n'allait ne pas mourir, comment ça il était en train de chercher une solution ? Mais qu'est ce qu'il me racontait là ? Et puis s'il cherchait une solution, s'il en avait trouve rune pour lui, pourquoi est-ce qu'il ne m'en avait pas parlée ? Certes il n'avait peut être simplement plus pensé à ça, mais il aurait du.

- qu’est ce que tu racontes ?

En plus il avait dit que mes sentiments l'affectaient encore plus qu'avant, ce qui me fit me sentir encore plus mal en faite. Je restais sur le coup silencieuse, voulant en savoir plus sur ce qu'il me disait. Je voulais comprendre, pourquoi est-ce qu'il ne semblait plus craindre la mort tout à coup. Est-ce que son ami serait réellement capable de déjouer la mort à ce point ? C'était impossible.
D'ailleurs, il en parla disant que lui avait la chance de savoir garder ses émotions pour lui, il en avait de la chance, cependant, il avait oublié un petit détail, je crois. Car après quelque instant où j'essayais de me calmer, je finis par l'entendre l'appeler. Mais il était malade ma parole, je ne prenais pas mon bain habiller à ce que je sache, c'était bien malin ça, oubliée que j'étais complètement nue pour appelée son démon. Génial. Je plongeais le plus possible dans l'eau voulant essayer qu'elle me cache avec l'aide de son amie la mousse. Il n'était pas possible des fois quand même, avoir oublié s’a...
Il lui avait alors demandé d'aller chercher quelque chose, je ne comprenais pas trop, pour finir, il m'avait montré un miroir, je ne compris pas jusqu'au moment ou il finit par m'expliquer. Je dois bien avouer que les explications, ben je m'en fichais, je ne retenais qu'une seule et unique chose, il était immortel, tout comme moi, il verrait le temps passé comme moi, je pourrais restée avec lui sans pensée au futur. Comme pouvais je êtes plus soulagée, car l'heure actuelle. On avait encore le souci de nos filles, mais comme il l'avait dit, elles devraient grandirent d'une part et puis je ne voulais pas leur imposé, certainement pas avec la détresse que je venais de ressentir, mais oui nous pouvions y réfléchir avec le temps.

-Je suis désolé que tu ailles a supportée mes émotions, j'aimerais bien pouvoir les gardes pour moi. Mais je suis contente, que dis je, vraiment heureuse de savoir que l'on pourra restée ensemble, enfin, si je ne t'énerve pas après quelque siècle, voir année bien évidement.

Car oui, je savais que j'avais malgré tout pas un caractère évident, peut-être trop pacifiste pour le sien. Mais en tout cas, savoir ça me permettait de me détendre, d'oublier ce désespoir qui m'avait envahie, même si j'étais toujours touchée par ce que j'avais vu. Hasnna ayant appelé Cocoon, Daemon sortit de nouveau de la chambre ce qui me rassurait, car je pus me mettre plus confortablement dans les bras de celui que j'aime.

-En faite, je sais bien que tu as l'habitude de ne pas trop y faire attention, tu as d'ailleurs fait d'énormes progrès là-dessus, mais comment dire, si tu pouvais attendre que j'aille quelque chose sur le dos pour appeler Daemon, ça m'arrangerait la prochaine fois.

C'était taquin, car je me doutais bien qu'il n'avait pas fait esprit, enfin, je crois. Du coup, je ne pouvais pas lui en vouloir cette fois-ci. J'espérais juste qu'il n'allait plus oublier à l'avenir.

Bon, ben la question de l'avenir ne se posait plus vraiment. Et puis il avait raison, je devais profitée de l'instant présent, même si je savais que ça pourrait durée autant de temps que je le voudrais désormais. Je n'avais pas vraiment à me poser de genre de question, mais ça me permettais de soufflée un peu d'avoir eu les réponses. Il ne me restait un nuage noir bien sûr, mais ça, je ne pouvais rien y faire malheureusement. Alors autant en profitée, surtout que je n’en connaissais pas l'issue.
Il m'avait alors embrassée en me disant que j'étais bien une femme pour avoir pensé à cela, mais en même temps, ce n'était pas vraiment à cause de ça, j'avais toujours eux la fâcheuse tendance a pensée à ce qui me faisait mal, mauvaise manie que je n'étais pas prête de perdre. Et heureusement, il finit par me dire qu'il ferait attention la prochaine fois.

- super, j'en en rivalité avec un démon pour celui que j'aime, c'est très... logique.

Je n’avais jamais compris la relation qu'ils avaient tous les deux et bien sûr je savais que je n'avais pas à m'en faire. Mais en tout cas, ça me faisait un beau petit sujet de plaisanterie si une humeur espiègle se présentait à moi. Encore heureux, ça n'arrivait pas trop souvent.
On avait été directement se couchée, Cocoon m'avait dit que son ami c'était occupée des filles, du coup, je ne devais pas descendre, on on avait directement et dans le lit. La nuit fut paisible, mais je l'avais senti se lever étrangement tôt. Ne voulant pas encore me lever vu l'heur matinal, j'avais rapidement replongé dans le sommeil. Cependant, après quelque instant, je l'entendis m'appeler, le son de sa voix me fit descendre le plus rapidement possible près de lui, enquête.
Il me demandait alors ou été sa fille, mais je n’en savais rien, regardant Alicia, quoi qu’endormie, elle nous dit qu'elle n'avait rien entendu, avant de venir près de moi.
Il avait appelé le démon, avant de lui expliqué, puis épais parti en haut. Personnellement, j'avais appelé Kahel et alla a la suite de Cocoon pour me vêtir.

-Cocoon, je vais confier Alicia à Kahel, il est en chemin, puis je parcourais les airs pour essayer de la repérer de là-haut. Sois prudent s'il te plaît, et surtout, essaye de ne pas perdre ton sang froid. On va la retrouver.

J'étais enquête, d'une part car je ne savais pas ou elle pouvait être et de l'autre, car j'avais peur que toutes les personnes qui auraient le malheur de n’avoir rien vu subissent un mauvais moment. J'avoue que si ça ne m'était pas destiné cette fois-ci, j'avais bien l'impression de revoir celui de la cabane, si pas pire.
J'étais alors descendue rapidement, sentant que Kahel était près de la porte, je lui avais alors expliqué vite fait ce qui se passait avant de lui confier ma fille et partir dans les airs. Il connaissait les émotions de sa fille, j'étais certaine qu'il pouvait très bien la sentir, c'était ça qui me faisait dire que nous le retrouverions.
Parcourant les airs, j'essayais de trouver des traces, un sac porté qui serait suspect, ou encore quelque chose qui pourrait attirer mon intention, après tout les rues étaient encore calmes. J'avais même demandé à certains oiseaux, mais ils n'avaient rien vu, mais ils avaient dit que s'ils voyaient quelque chose, ils viendraient me le dire. Situation quelque peu étrange.
Je finis alors par rentrée, bredouille, mais j'avais parcouru toute la ville, sans rien trouver de concluant. J'étais vraiment inquiète et j'espérais qu'il avait eu plus de chance de que moi.
Cependant, après quelque minute, il revient aussi bredouille que moi, visiblement hors de lui, je ne s'avais pas quoi faire pour le calmé et surtout qu'est ce que l'on pouvait faire pour la retrouvée. Mais alors que j'allais repartir, car on ne pouvait PTA abandonnées, une ombre apparue a la fenêtre et ouvrir la porte sans même frapper, une jeune femme que je connaissais était en train de nous regarder souriante, elle n'avait pas intérêt d'être responsable de tout cas.

- D'une on se calme, je ne suis pas responsable de tout ça, de l'autre, si je n'ai rien fait, j'ai quand même vu quelque chose d'intéressant. Je vous dirais ce que je sais, mais ce ne serait pas gratuit, est-ce que je me suis bien fait comprendre ?

Je regardais alors la démone, comment osait-elle marchandé de la sorte ? Mais pourtant, elle avait l'air de savoir quelque chose qui pourrait nous aidé à retrouver notre fille.