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 Les enseignements d'un maître [PV Younes]

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Mer 25 Mai 2016, 19:06

Eh , tête de crapaud ! T'as oublié des crottins dans le coin de l'enclos ! Juste - là ! AH AH AH AH

Toble attent....

Et m*rde ! Je me suis encore fait avoir ! Pourtant, j'aurai du m'en douter, j'aurai du m'en méfier. Depuis que je suis arrivée dans cette ville, et que j'ai trouvé cet emploi, ils n'ont pas arrêté de me faire de mauvaises blagues et de me donner des surnoms débiles. J'aurai du faire plus attention. C'est pourtant pas la première fois que l'un d'eux profite que je me baisse pour ramasser et nettoyer pour me pousser droit dans la saleté et la tête la première s'ils le peuvent … Je vais encore passer des plombes à tenter de remettre mes affaires propres avec ça … Et j'ai encore devoir payer un baquet d'eau … Et encore, ils m'ont déjà fait le coup de me donner de l'eau croupie … Qu'est ce que je suis venu faire dans cette ville, déjà moi ? Pourquoi j'ai pas continué mon chemin ? J'ai juste besoin d'argent .. J'suis poli, j'travaille comme je peux en essayant de faire au mieux et tout … Qu'est ce que je leur ai fait, à ses gens ?

Je .. euh … mais … je vais nettoyer …

Qu'est ce que je peux faire d'autre ? La dernière fois que j'ai dis quelque chose, c'était limite encore pire. Il m'faut ses sous moi. Si j'dis rien et que je continue à faire mon boulot et tout, au bout d'un moment, ils vont certainement se lasser et me laisser tranquille. Après tout, c'est ce que les gens font généralement. J'suis pas intéressant ni rien. J'ai déjà de la chance qu'ils ne me demandent pas d'aller faire l'enclos des Cerfeuils ou même de m'occuper des cochons. Avec la boue qu'il y a là-bas c'est quasi assuré que si je rentre dedans, ils vont en profiter pour me faire tomber, d'une façon ou d'une autre. Et même sans cela, je suis tellement maladroit que je serai capable de m'étaler tout seul de tout mon long … Bon, de toute façon, ça va être bientôt fini la journée. Ils ne vont pas me donner une nouvelle tâche à faire juste avant que tout le monde rentre chez soi …. ça serait un peu idiot.

Mais bon, au moins, d'un côté, même s'ils m'embêtent un peu, ça fait quand même plusieurs jours qu'ils me donnent du travail … C'est pour ça que je dois continuer de m'appliquer. Je ne sais toujours pas combien de temps je compte rester ici, mais si je peux me faire un petit pécule avant de repartir, c'est pas plus mal. Puis à part ses gens, le boulot est pas trop désagréable. Bon, c'est pas toujours chouette de nettoyer le caca des animaux, mais sinon, les bestioles sont plutôt agréables … Enfin, les Cerfeuils me font un peu peur, avec leurs caractères étranges, mais sans cela, les autres animaux sont plutôt chouettes. Et au moins, eux, ils s'amusent pas à mes dépends.


Hé ! Tête de crapaud ! La journée est finie ! Vient par là, y'a un bac d'eau pour te débarbouiller si tu veux!

Oh merci, c'est gentil!

Toble, si j'étais toi, je n'irai pas … Je ne sais pas ce qu'ils mijotent mais assurément un mauvais coup ...

Un mauvais coup ? Mais non … Il me propose juste de me nettoyer un peu … C'est plutôt gentil … J'vais pas refuser quand même ..

Ca va aller …

Qu'est ce que tu dis?

Hein ? Oh non rien, j'arrive …

Aller .. Il était par là si j'ai bien entendu d'où provenait sa voix …

Et voilà ta douche tête de crapaud ! AH AH AH AH

Aaaaaaah !!!

Il … il m'a vidé le bac tout entier sur la tête … Et … Ca pue … C'est … C'est du purin ! C'est du pipi d'animaux !! Il m'a vidé du pipi d'animaux sur la tête et il est parti !!!!

AAAAAAAAAHHHHH !!!

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Mer 29 Juin 2016, 20:39



Aus tapota sur l'épaule de l'Orine avec un sourire. « C'est plutôt pas mal ! » fit-il en Zul'Dov. Younes se releva tout en souriant à son tour. Ils avaient réussi à planter la moitié du champ en une journée, ce qui était au dessus de tout ce qu'ils avaient fait précédemment. « C'est vrai. ». Les mains pleines de terre, si certains Réprouvés usaient de leur magie, ici, à Bouton d'Or, celle-ci n'avait pas réellement sa place ou, du moins, ceux qui l'utilisaient se faisaient souvent traiter de mauviettes ou de lâches. Les hommes et les femmes suaient chaque jour pour planter, entretenir et cultiver les champs. Ils s'entraînaient également à combattre des ennemis potentiels. Les Réprouvés n'aimaient pas les membres des autres peuples mais, du moment que ces derniers ne marchaient pas sur leurs terres, ils ne s'en occupaient pas. Younes avait connu le racisme ambiant à son arrivée ici. Seuls certains Réprouvés étaient exempts de craintes ou de préjugés. Ils avaient été torturés jadis par bien des peuples et, à présent qu'ils avaient quelque chose à défendre, ils ne reculeraient devant rien pour le faire. Heureusement, il faisait partie de la race Orine et un accord de protection envers ce dernier existait entre les deux nations. Cela dit, le fait qu'il soit un homme en avait surpris plus d'un et plus d'un aussi avaient souhaité vérifier son sexe, peu enclins à le croire. A son arrivée, il lui était arrivé toutes les mésaventures du monde. Entre les blagues salaces et les coups bas, il avait dû faire ses preuves. A présent, il était des leurs, vivaient ici et ne subissait plus aucune brimade. « Tu viens boire à la taverne ? » fit Aus en s'essuyant le front avec son avant-bras. La journée de beaucoup s'arrêterait bientôt. Les agriculteurs finissaient un peu plus tôt parce qu'ils étaient les premiers levés. Le soleil était en quelque sorte leur ennemi ; il tapait sur les dos et provoquait des brûlures douloureuses si les vêtements étaient ôtés. En revanche, sans se déshabiller un peu, le travail devenait insupportable. Il valait mieux commencer pendant la nuit. « Pas ce soir, je vais continuer un peu. J'ai prévu d'aller à la rivière. ». « Tu vas retrouver ta blonde ? ». « Ma blonde ? ». « Ouais, cette fille qui était là y a quelques temps. ». Younes sourit à l'évocation de Tomoe. Elle n'était pas revenue depuis. « Nan, je vais simplement me baigner. ». « Ouais, ces trucs d'Orine, je comprends ! ». De manière générale, les Réprouvés ne s'embêtait pas à marcher jusqu'à la rivière pour se baigner. Il  y avait bien de petits cours d'eau qui passaient entre les champs mais ceux-ci servaient surtout à l'irrigation. Ils se lavaient le plus souvent avec l'eau qu'ils tiraient dans les puits et qu'ils ne prenaient même pas la peine de faire chauffer. Younes, lui, passait du temps à maintenir son hygiène correcte ; un truc d'Orine selon Aus.

Younes continua donc à planter quelques graines puis, une fois qu'il eut finis, déposa ses outils dans la cabane faite pour. Il ne savait que penser du nouveau Mars. Certains trouvaient qu'il lui ressemblait et la chose se terminait toujours en plaisanteries. L'Orine secoua la tête, chassant ses doutes et idées de son esprit. Il y avait trop de mystères qui pesaient sur son existence et il doutait que les résoudre maintenant soit une bonne chose.

Alors qu'il passait devant un groupe pour rejoindre la rivière, il entendit des rires gras. Fixant un moment la scène, un petit sourire apparut sur son visage à la vue de l'étranger. Cela se voyait qu'il n'était pas ici. Il n'avait pas la carrure d'un Réprouvé. Au moins, il ne semblait pas être un Sorcier ou un Démon, les autres seraient déjà en train de jouer à la balle avec sa tête après avoir envoyé un colis à Lord. Petit à petit, Younes s'intéressait à la politique du Monde. Il adorait se trouver à Bouton d'Or mais il y avait eu ces gens, qui lui étaient apparus comme par enchantement, visiblement décidés à lui faire comprendre quelque chose. Il passa l'une de ses mains dans ses cheveux, se rendant compte que pendant sa réflexion, les Réprouvés avaient finis l'étranger en beauté en lui balançant du purin dessus. L'homme soupira, se frayant un chemin jusqu'à ce dernier, à présent seul. « Je ne sais pas si tu comptes rester ici longtemps mais ils ne te lâcheront pas avant que tu ais fait tes preuves. Si tu continues de crier, ils y mettront beaucoup plus d'entrain. Je suis passé par là, je le sais. Plus tu restes silencieux et digne tout en continuant le travail, plus tu acquerras leur respect. ». Il marqua une pause. « Je m'appelle Younes. J'allais à la rivière pour me laver. Tu devrais venir avec moi. Est-ce que tu as un endroit pour passer la nuit ? ». A vrai dire, l'homme aurait bien réconforté l'étranger mais il ne pouvait pas le faire ici. Il aggraverait son cas, et peut-être même que certains riraient de lui également.

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Sam 09 Juil 2016, 19:03

Pourquoi faut-il toujours que ce genre de chose m'arrive ? Qu'ai-je bien pu faire pour mériter ça ? Je suis pourtant fidèle aux Aetheri … Quels peuvent bien être leurs missions ou leurs enseignements à mon égard, et surtout nécessitant de telles pratiques ? Je devrais pas les remettre en cause … Mais me faire recouvrir de purin, c'est pas top … Comment je vais ravoir mes vêtements ? Ils vont même pas me laisser rentrer dans ma chambre … J'en suis sur, je vais être obligé de dormir dehors tant que je pue. A devoir toujours me racheter des affaires, ou me payer un bain, je vais jamais réellement pouvoir économiser …

Haaaaaa !!!!

Y'a encore quelqu'un ! On va encore me jouer une mauvaise blague, c'est ça. Le type en fait, il s'est dis que c'était pas assez marrant pour lui de finir sa jouer sur avoir vidé du fumier liquide sur la tête d'un gamin et qu'il fallait rajouter autre chose pour finir en beauté ! … Pourtant … C'est pas la même voix … Un copain de l'autre ? Ils se passent la balle, ils me refilent de l'un à l'autre pour s'amuser ?

Faire … Faire mes preuves ? Mais …. J'ai rien fait … je fais juste le travail qu'ils me demandent .. J'suis gentil pourtant …

Mais qu'est ce qu'il raconte ? Ils font tout ça parce que je crie ? C'est … C'est idiot … Pourtant, au début, je criais pas … J'étais même poli, souriant et aimable avec eux … Enfin, comme P'pa et M'ma m'ont appris à l'être et comme ils m'ont élevé ainsi … Le comportement qui devrait être normalement commun à tout le monde. Alors pourquoi, quant il parle, il me donne l'impression que c'est moi en fait qui ait fait une bêtise et qui me comporte mal. C'est pas juste et logique tout ça. C'est moi la victime, pas eux. Je vais quand même pas les plaindre ! On me reproche déjà assez de me plaindre moi même, c'est suffisant je pense. J'arrive pas à déterminer s'il veut m'aider ou pas … Si c'est le cas, pourquoi il ne leur demande pas tout simplement d'arrêter tout ça ? Il a l'être de les connaître en plus.

J'y comprends rien … Je dois juste me taire ? Mais je leur ai jamais rien fait de mal pourtant … En plus, je fais tout plein d'effort pour que mon travail soit nickel et qu'ils aient rien à redire là dessus et qu'ils soient d'accord pour m'embaucher de nouveau dès qu'ils ont un petit boulot à faire faire. Je les ai jamais embêté …. Pourquoi ils font ça ? Vous aussi, ils vous l'ont fait ? Et ça a vraiment marché, votre truc de ne plus rien dire et de faire comme s'ils n'étaient pas là à se moquer de vous et tout, pour qu'ils arrêtent ?

Eest-ce que je peux vraiment lui faire confiance ? Après tout, le gars tout à l'heure, il avait semblé présenter un peu de sympathie pour moi avant de me vider ce seau sur la tête. Qui me dit que lui, ce Younes, il est pas en train de me jouer un coup du même genre que l'autre tout à l'heure ? Qu'il va pas me pousser dans la rivière ou faire je ne sais quoi d'autre … Surtout qu'en plus, je ne sais pas nager. Ils iraient quand même pas à manigancer quelque chose qui puisse me tuer ?!

La rivière ? … Qui me dit que c'est pas un piège ? Je sais que je pue mais … Un simple bacquet d'eau, c'est suffisant non ? Puis … La rivière, c'est dangereux … Si je tombe dedans et que je me fais emporté par le courant .. Je ne sais pas nager moi …. Sinon, mon nom, c'est Toble. Normalement, j'avais un cagibi dans l'auberge du coin, mais vu comment je sens mauvais … J'suis pas sûr qu'ils veuillent encore de moi … S'ils ont pas mis les cochons à place comme ils l'ont déjà fait une fois. Vous habitez ici ? Vous les connaissez bien ses gens là ? Pourquoi vous dites qu'il faut que je fasse mes preuves vis-à-vis d'eux ? Parce que je suis un étranger ? Je voulais juste aider et gagner un peu d'argent moi … Je compte même pas m'installer définitivement ici en plus. Je suis juste de passage pour quelques jours ou un peu plus … Je voulais remplir un petit peu ma bourse pour ne pas me retrouver totalement sans le sous ...

Oh non, je vais quand même pas me mettre à pleurer ?! Vite … Faire comme si j'avais une poussière dans l'oeil. Avec tout le purin dont je suis recouvert, il verra rien Et détourner son attention pour qu'il ne se focalise pas sur moi.

Bon …. bin .. Allons à la rivière … Par contre, j'sais pas où elle est … Vous allez devoir me guider, je suis désolé.

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Lun 28 Nov 2016, 00:08

- « Oui allons-y. »

Younes n'était pas l'homme le plus bavard du monde mais ce n'était pas la raison pour laquelle il se contentait de répondre le plus brièvement possible. Ce Toble était bien trop émotif et rester ici pour discuter ne ferait que lui porter davantage préjudice. Les Réprouvés n'étaient pas de ceux qui protégeaient les faibles ou leur passaient de la pommade dans le dos ; surtout pas à Bouton d'Or. Stenfek était une ville plus ouverte, plus compréhensive, mais la campagne des Enfants des Deux Rives était tout sauf accueillante. L'Orine se demandait comment ce jeune homme avait pu tomber aussi mal. La malchance lui souriait sans doute bien plus que la chance. En attendant, mieux valait ne pas rester ici. Lui-même avait acquis, à travers les années, le respect des habitants de ce lieu mais ça ne voulait pas dire que ceux qu'ils côtoyaient l'avaient. Aussi, les Réprouvés ne seraient sans doute pas ravis de l'entendre évoquer leurs mœurs d'une façon légèrement négative. À vrai dire, Younes aimait habiter ici, il aimait les Réprouvés et leur culture. Néanmoins, il devait reconnaître qu'ils étaient rudes envers autrui. « Marche ou crève », voilà ce qui aurait pu être leur devise, ici. Néanmoins, une fois intégré, les choses changeaient et c'était ceux qui voulaient du mal à celui qui avait su s'attirer leur respect qui crevaient.

Younes se mit donc en route, vérifiant que Toble le suivait bel et bien. En passant devant deux Réprouvés qui s'occupaient encore de leurs dernières plantations du jour, ils reçurent quelques regards moqueurs mais l'Orine n'en tint pas compte, se contentant de sourire, confiant. Ça n'avait pas été tous les jours facile mais il avait su persévérer. Il ne craignait à présent plus de mauvais traitement de la part des habitants de Bouton d'Or. Il était ici chez lui.

Lorsqu'il aperçut la rivière, et pas avant, il lâcha quelques mots pour prévenir son compagnon de route qu'ils étaient arrivés. Il avait noté ses peurs et trouva qu'il était opportun de le rassurer dès à présent.

- « Ne t'inquiètes pas, je ne te pousserai pas. L'eau n'est pas très profonde à cet endroit et si tu ne t'éloignes pas du bord, tu n'as rien à craindre hormis le frôlement de quelques petits poissons inoffensifs. Je viens souvent ici. Les Réprouvés moins. »

L'hygiène chez les Réprouvés était une affaire de quelques secondes par jour. Une bassine d'eau froide, quelques gestes par ci par là et le tour était joué. Younes avait une politique très différente. Il enleva ses vêtements sans trop de pudeur vis à vis de Toble. Il ne voyait pas, certes, mais il avait appris, à Bouton d'Or, que la pudeur était un vague concept très éloigné de la culture du peuple aux ailes bicolores. Tout en se déshabillant, Younes réfléchit un instant à ce qu'il pourrait dire et qui pourrait aider ce jeune homme.

- « Les Réprouvés n'aiment ni la faiblesse ni les étrangers. Ils ont été traqués et torturés longtemps. Certains diront que c'est un moyen de se venger que de bizuter qui vient vivre ici mais moi je pense qu'ils attendent une certaine force de caractère et de la dignité. Si tu fais ton travail, jour après jour, sans crier ou pleurer, ils se lasseront et commenceront à te respecter. Mais ça prend du temps, ils sont coriaces et têtus. Comme je t'ai dit, je suis passé par là. Je suis étranger aussi donc je connais tes difficultés. ».

Il sourit, passant l'une de ses mains dans ses cheveux en s'avançant vers l'eau.

- « Maintenant, si quelqu'un essaye de me faire quoi que ce soit, il se retrouvera avec quarante Réprouvés sur le dos. Ils sont comme ça. Méfiants au début puis, une fois qu'ils ont vu ce qu'ils voulaient voir, ils deviennent comme une seconde famille. Après, il ne faut pas oublier qu'ils restent instables. ».

C'était là le principal problème de la race, un mélange d'Ange et de Démons qui ne pouvait être qu'explosif. Younes soupira d'aise en entrant entièrement dans l'eau. Après une journée de travail, c'était plaisant.

- « Pourquoi es-tu ici au juste ? C'est rare de voir des étrangers dans la région. Beaucoup savent à quoi s'attendre en venant à Bouton d'Or, c'est pour ça que la plupart évite le coin soigneusement. Tu n'as pas de la famille ou des amis qui pourraient t'héberger ? Ce serait sans doute plus simple que de travailler ici, surtout si c'est uniquement pour quelques jours. Ça ne sera pas assez pour qu'ils te lâchent et tu risques de te retrouver plein de purin une nouvelle fois. ».

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