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 Le Vice de l'âme [PV Nydoudou]

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Dim 06 Juil 2014, 00:54

Cocoon se frotta le visage. Inspirant fortement, il se tourna dans le lit de son Palais. Ce serait les derniers jours de paix pour lui, et il profitait de tous les instants de repos. A côté de lui, Viktorya dormait, comme une Princesse fine et délicate, que l'on aurait doucement posée à ses côtés. Depuis que Lilith était partie, il refuser d'admettre qu'il était capable de dormir seul, sans plus aucune présence. Son Orine s'en fichait. Si le rendre heureux c'était de coucher à ses côtés, alors elle le faisait sans crainte, ayant une totale confiance en son maitre. Ainsi, jamais il ne la toucherait, car ses Orines était, pour lui, un précieux très sacré.
L'Orishala entoura son corps fin de son bras, pour l'emmener vers lui, se collant ainsi à son dos courbé. Il était agréable de sentir quelqu'un à ses côtés... Jusqu'à ce qu'un crétin d'intendant vint réveiller la maisonnée. Jupiter, gros lourd de service, ouvrit les portes en parlant audiblement, et à voix haute, avant d'ouvrir les rideaux. Le soleil pointa immédiatement sur Cocoon, qui s'enfouit sous ses draps, fuyant le jour pour profiter de la nuit. Obéissante, Viktorya ouvrit les yeux, bailla, puis se leva. Elle attrapa une veste à son maitre, pour s'y blottir dedans, le temps de filer à sa chambre finir sa nuit. Car oui, elle, elle pouvait dormir toute la journée si ça lui chantait, elle n'avait pas d'obligations. Cocoon, lui...

« Bonjour Monsieur. Je vois que Monsieur est particulièrement de bonne humeur, c'est très agréable à constaté. Vous avez une journée chargée. Je vous fait coulé un bain le temps que vous vous réveillez. » Cocoon ouvrit les yeux, attrapa son oreiller et le balança, d'énervement, contre l'humain qui, pour sa part, n'était déjà plus là. Entendant l'eau couler, il soupira, disant de sa voix rauque « Tu peux pas me laisser tranquille même, ne serait-ce, qu'un jour. Pfff... » Il râlait, il pestait, puis finit par se lever de son lit pour se plonger directement dans le bain.
Jupiter lui annonça un emploie du temps plutôt chargé, que le roi n'écouta pas. Il se remémorait les évènements précédents. Les malaises du peuple, le Conseil, tout était flou et étrange. La Prophétesse elle-même était quelqu'un de particulier, il ne savait pas qui croire, ni que croire. Il ne réalisait d'ailleurs toujours pas que Svana se soit suicidée. Malgré tout il du s'y faire... Cette femme était folle, ses lettres le prouvaient. En parlant de femme, il se rappela de quelque chose concernant Nydelia. Elle lui avait parlé avant qu'il parte, et que le raffut se fasse avec Lily-Lune. Ah... Belle Lily-Lune... Non... Nydelia, que lui avait-elle dit ?
Il fallait qu'elle le voit, s'il tardait trop elle viendrait à Mégido et il ne préférait autant pas « Te casse pas le bol, aujourd'hui je vais voir Nydelia. », « Vous ne me l'avez pas dit », « Et alors ? T'es pas ma mère à ce que je sache. Aller, bouge de là. » Cocoon sortit du bain, attrapant son linge pour se sécher le corps.

L'Orisha arriva prudemment à la Citadelle. Depuis la dernière fois, il préférait être sur ses gardes, que se faire arracher les vêtements, à défaut de ses membres, par une bande d'anges en crise d'adolescence. Cependant, cette fois-ci, ce fut comme si tous l'ignorèrent. Quelques salutations, sans plus. Valait mieux cela, que pire.
Le Titan, vêtu de la même façon, inlassablement, depuis des années, s'avança jusqu'à dépasser l'immense fontaine. De là, il entra dans le grand bâtiment, sentant ses mains moites. Les frottant à son pantalon noir, il pénétra dans le bureau de l'Elue des Cieux. Elle était en compagnie d'une inconnue. N'ayant pas l'air en rendez-vous diplomatique, il se permis de s'approcher d'elles. Adressant un signe de tête à la femme, il la salua d'un Bonjour poli, avant de se tourner vers Nydelia. Passant un bras autour de son cou, il la fit venir vers lui pour embrasser son front « Hey... » Sa voix était douce, bien qu'un peu gêné. Il la relâcha avant de se frotter la nuque « Tu voulais me voir ? Ca avait l'air urgent. » Seulement, en s'éloignant d'elle, il vit son corps. Sous sa robe, son ventre rond se voyait, formé presque entièrement. Ecarquillant les yeux, il mit une main sur sa bouche avant de détourner la tête « Hum... Je... N'avais pas fais attention. Je ne savais pas que tu avais trouvé quelqu'un, désolé. » Etrangement, il fut triste et blessé de se dire que Nydelia refaisait sa vie. Faute à qui si celle-ci fut brisée ? Le bronzé était parfois débile. Débile de ne pas se rendre compte des choses lorsqu'il les avait en face. C'était de lui ces progénitures, pas du voisin, ni de l'Aether du savoir ! Quel idiot !
Comme pour paraitre plus détendu, il la regarda à nouveau, et croisa les bras. Elle avait l'air assez fatiguée. Sa voix rauque résonna dans le bureau et il dit « Ta envoyé en vacances ton chien de garde ? » Jetant un coup d'oeil sur le côté malgré tout pour vérifier, il ne vit personne.
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Dim 06 Juil 2014, 02:07


Ca avait quelque chose de surréaliste de l'avoir là a mes cotée. Ma mère regardait l'état de tout ce qui se trouvait autour de moi sans vraiment se soucier des autres. J'avais limite envie de dire que je n’aurais jamais du lui permettre de rentrée ici tellement elle avait son mot a dire. Alors certes je retrouvais ma mère douce et aimante, mais en même temps, j'avais l'impression de redevenir une petite fille. En même temps je l'avais presque quitté comme telle et certes beaucoup de choses avaient changé pour moi pendant ce temps là, mais pour elle c'était totalement différent. En plus je savais qu'elle se posait la même question que moi. Est-ce qu'il reviendrait aussi ? En tout cas, c'était quelque chose que je pouvais espérer.

— tu devrais quand même te reposer, au vu de ton état il serait peut être mieux que tu arrêtes quelque temps. Pas définitivement, mais juste le temps que tu arrives à terme tu comprends ?

— Maman s'il te plaît arrête. Je ne fais rien de superflu et je crois que tu as déjà assez mis tout le monde au pas pour le moment en plus je ne peux ne pas laisser les choses ainsi, pas avec tout ce qu'il ce passe actuellement. Tu peux le comprendre quand même ?
— Oui, mais bon, je sais bien ce que c'est une grossesse alors je n'ose pas m'imaginer ce que c'est qu’ils sont deux tu doit être épuisée?
— deux ?
— Ninie, tu ne crois quand même pas qu'il est tout seul ? Je veux bien que tu n'en ai pas qu'au début, mais en même temps, soit tu attends des jumeaux, soit il serait temps que tu commences a faire attention a ta ligne est ce que tu voie ou je veux en venir?

Je la regardais abasourdie. Non je la comprenais pas, ou plutôt j'avais peur de la comprendre. J'avais eu peur de vivre ma grossesse tout seul et l'avoir a mes cotée était un véritable plus, j'avais quelqu'un qui pouvait répondre a mes questions aussi stupides soit elle.
Mais je n'eus pas vraiment le temps de lui répondre, car après quelque instant la voix de Kahel retentit et me préviens que Cocoon venait d'arriver a la citadelle. Je m'étais alors figée. Je sais que c'était moi qui lui avais demandé de venir me voir, car il devait être au courant, mais en même temps j'avais une peur bleue de sa réaction. Notre situation n'était pas simple, vraiment, mais en même temps elle n'allait pas aller en s'arrangeant. Même si j'étais vraiment contente de ce qu'il se passait, ça n'enlevait rien au fait que j'étais morte de trouille. Ma mère m'avait alors demandé ce qu'il se passait, mais c'était pour être certaine, j'étais certaine qu'elle avait déjà compris.
Et effectivement, alors que je regardais la porte en silence, elle s'ouvrit et laissait passer l'énorme carrure qu'avait l'orishala. C'était étrange comme sentiment, quelque part j'étais vraiment contente de le voir, soulager même qu'il aille accepter de venir jusqu'ici avec tout ce qu'il se passait en ce moment. Et a ça ce mélangeais la peur et l'angoisse. Pour peu qu'il avait encore son don d'activer, j'étais presque certaine qu'il devait recevoir un étrange mélange qu'il ne comprendrait peut être même pas l'origine en plus, enfin pas tout de suite.
Il salua ma mère avant de me rejoindre pour me saluer à sa manière. Il me demandait alors ce que je lui voulais, seulement je vis son magnifique regard se posée sur mon ventre. Pour quoi me semblait-il mal à l'aise soudainement ? Puis il me parla, mais je devais bien avouer que je restais un moment silencieuse, car je ne comprenais pas vraiment ce qu'il voulait dire. Avoir quelqu'un ? Bon visiblement il avait compris de quoi il s'agissait, enfin pas totalement, il devait croire que je voulais le voir pour quelqu'un d'autre. Quelque part, j'étais peinée qu'il croie que j'avais quelqu'un d'autre. Mais ne pas voir la vérité en face, c'était un peu devenu une habitude chez nous alors pour lequel est ce que ça changerait aujourd'hui ?

— Bon les enfants je vais vous laisser. A tantot ninie.

Ma mère s'en alla alors pendant que Cocoon me demandait ou était Kahel, enfin c'est ce que je comprenais en faite.

-Plutot en fuite je dois dire. Tu te souviens de ce qu'a dit le shaman au conseil ? Au sujet des morts ? La femme qui était là est ma mère. Elle me fait limite plus peur que Kahel quand il veut me faire une leçon de morale ou autre. Et elle ne les épargne pas. Du coup ils fuyent un peut le bureau. Enfin ils ont autre chose à faire de toute manier.

Bon par compte je ne pouvais pas tournée autour du pot pendant une heure non plus et vu qu'il avait déjà remarqué, il me fallait maintenant trouver un moyen de lui parler.

— quant à... ce à, est-ce que tu n'as vraiment pas une idée de celui qui a pu en être le père ? Même un simple doute ?

C'était tout moi ça, incapable de lui dire ce qui me tenait vraiment a coeur. Mais en même temps, j'avais un peu envie de savoir ce qu'il pensait. À qui plutôt. Je croyais avoir été claire la dernière fois que l'on s’était parlé, je croyais qu'il avait compris que plus personne n'aurait ce qui lui a eux. Du coup avec ce qu'il s’était passée ce jour-là, il devrait bien comprendre non ? Du coup j'attendis assez simplement, retenant un peu mon souffle sur sa réaction. Maintenant soit il comprendrait, soit il partirait dans quelque chose de totalement farfelu en faite, il ne me restait qu'à attendre.

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Dim 06 Juil 2014, 11:21

Bon... Cocoon devait l'avouer, il était con, mais que jusqu'à midi moins le quart. S'il avait eu la superbe idée de dire que ce ventre naissant, était à quelqu'un d'autre, les paroles de l'Ange le firent percuter. Il comprit effectivement que tout cela venait de lui. Lui et lui seul. Nydelia avait été claire et formelle : c'était lui, et personne d'autre. Il était partit, alors ce ne serait personne d'autre. L'Ange était dans le bureau avec une femme qu'il ne reconnu pas, et qui les laissa rapidement. Autour d'eux, une aura étrange se créa, et il sentit Nydelia angoissée comme jamais. Elle était anxieuse, stressée, et à la fois rassurée... Les femmes, ce que ça pouvait être compliquée bon sang ! A ressentir dix choses à la fois !
Cependant, il culpabilisait un peu de son côté. Elle était enceinte jusqu'aux yeux, et ses enfants étaient aussi les siens. Cocoon fut incapable de le remarquer, et pire encore, il n'était pas là pour elle, lorsqu'elle avait besoin de lui. Quant bien même aurait-elle besoin de lui.

Se laissant choir dans le fauteuil à côté, il soupira en disant « Je suis désolé. » Bien sur qu'il savait que ces progénitures étaient de lui. Il ne pouvait en être autrement. Vu à combien de temps elle était de sa grossesse, et vu la dernière fois qu'ils l'avaient fait... Fallait pas être professeur Nilsson pour le savoir. Seulement, c'était un homme coupable qui était assis là. Un homme qui se sentait coupable « Je suis désolé de te mettre dans une telle situation. Les temps deviennent instables et... Je n'ai pas eu la bonne idée de réfléchir un temps soit peu. » Se levant légèrement, il la prit par les hanches pour la rapprocher de lui. Alors qu'elle se tenait debout et qu'il se soit rassit, il posa sa joue contre son ventre « Mais je suis tellement heureux. », « Je n'ai pas fais attention au Conseil, je ne sais pas pourquoi. Les choses changent, il y a des catastrophes partout, et il est impossible de mettre le doigt sur les causes exactes... Mais la population ne se meurt pas, elle perdure. Jun est con, mais il a eu la lucidité de vouloir un monde meilleur pour ses gosses. Je désire la même choses pour les nôtres. » Cocoon lâcha la jeune femme, et s'appuya au dossier du fauteuil, pour la regarder. Il ressentait beaucoup de choses venant d'elle « Est-ce que tu veux que je reste avec toi ? Je veux dire, le temps de la grossesse... » Arrêtant de fénéanter sur ce fauteuil, il se leva, déplaçant sa carrure massive, pour se rapprocher d'elle. Se baissant, il mit sa tête dans son cou.

A chaque fois qu'il la touchait, il s'enfonçait une dague dans le coeur, et à chaque fois qu'il la sentait, il sautait sur cette même dague. C'était blessant, il n'arrivait qu'à moitié à faire le deuil. Il le faisait, lorsqu'elle n'était pas là, n'ayant un esprit de culpabilité que très erroné, seulement quand il se retrouvait en face d'elle, il aurait voulu s'étouffer lui-même, tant il lui a fait du mal. Mal qu'elle ne méritait pas.
Passant ses mains sur ses reins, alors qu'il avait le corps voûté, il sentit sa cambrure, sentit son ventre, ce qui lui fit prendre conscience des choses. Se redressant il la garda dans ses bras « Je peux rester ici si tu as besoin de moi. »
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Dim 06 Juil 2014, 15:30


Je voyais a son visage qu'il commençait à comprendre ou j'avais voulu en venir. Je n'étais pas plus rassurée pour autant, car ce n'était pas par ce qu'il comprenait qu'il accepterait. J'avais pendant de longues soirées essayer de m'imaginer toute sorte de situations, enfin de réaction Pluton. Tantôt content, tantôt perdu. J'avais même à un moment pensé qu'il se mettrait peut-être en colère à cause de ça. Même s'il n'y avait pas vraiment de raison, les événements passés m'avaient fait penser à cette éventualité. Mais sa réaction ne faisait pas vraiment partie de celle que j'attendais, en même temps, ça n'avait pas quelque chose d'étonnant.
Il s’était laissé tomber sur un fauteuil tout en s'excusant. Je l'avais alors regardé un moment, ayant fait un petit sourire, même s'il ne dura pas longtemps.

— désoler de quoi ? Ce n'est pas comme si c'était quelque chose que tu pouvais contrôle. Ça aurait très bien pu arriver plus tôt finalement. Tu n'as pas a t'en excusez. Je dois admettre que quand je me suis rendu compte j'étais un peu paniquée et je ne savais pas quoi faire. Mais franchement maintenant j'en suis contente, même heureuse. Alors, ne te flagelle pas comme tu peux en avoir l'habitude d'accord ?

Je ne voulais pas qu'il commence à se culpabiliser davantage, je le voyais bien qu'il s'en voulait, comme il l'avait dit la situation n'était pas simple et en plus, même si j'avais encore un peu difficile à l'admettre c'était fini. Rien n'était vraiment là pour dire d'accueillir cet enfant de les meilleures conditions. Mais il était là, il me resterait quelque chose de l'homme que j'aimais avec moi et à jamais. Je contais bien en profiter un maximum et prendre cela comme un nouveau cadeau du ciel, même si ça nous mettait dans une situation quelque peu embarrassante.
Il avait alors fini par m'attirée a lui, laissant sa tête allée contre mon ventre, contre son enfant finalement, si quelqu'un rentrait a ce moment-là, il se demanderait certaine quoi. Je n'avais d'ailleurs m'empêcher de posée ma main au niveau de sa nuque, sans aucune pensée bien sûre, un geste qui était presque un réflexe après autant de temps, comme quelque chose de tout à fait normal au vu de la situation.
Visiblement il était quand même heureux lui aussi de ce qu'il se passait, ce qui me soulageait vraiment, car si c'était le cas, ça voudrait certainement dire que je ne serais pas seule et c'était ce qui me faisait le plus peur. Car d'accord ma mère était là, pour l'instant. J'avais des amis, mais ça ne remplacerait pas le père bien évidemment.
Il m'avait alors parlé du conseil, du faite qu'il n'avait pas vraiment fait attention. En même temps ça m'avait arrangé sur le coup et puis on avait d'autres choses a penser, même si j'étais plus que d'accord en ce qui concernait Jun, mis à part certain souverain, je croyais pas me tromper en disant qu'il ne ce n’était pas fait beaucoup d'alliées.

— en même temps comment aurais-tu pu remarquer quoi que ce soit ce jour-là? On était tous tellement préoccuper, on l'est encore d'ailleurs. Ce n'était pas le moment de t'en parler. J'aurais aimé que tout ce soit calmé avant de te l'annoncer, pour que l'on aille l'esprit plus serein tout les deux au lieu de rajouter une préoccupation supplémentaire. Mais je crois que ça n'aurait pas été juste envers toi. Tu as le droit de savoir le plus tôt possible, surtout quand on ne sait pas ce que l'avenir nous réserve.

Cependant je comprenais ce qu'il voulait dire en parlant de Jun. En temps normal, j'aurais dit que ce n'était pas vraiment le moment pour mettre au monde des enfants, surtout pas avec les morts qui revenait a la vie.

— j’espère vraiment que tout sera arrangé pour quand il arrivera, car comme tu le dis, la situation ne s'y prête absolument pas, mais ça doit être le seul point ou je peux être d'accord avec ce crétin tout comme toi.

Mais sa dernière question me laissait quelque peu perplexe. Je ne m'étais vraiment pas attendue à ça, à vrai dire. Du coup je l'avais regardé un moment avant de lui répondre, temps qu'il avait mis pour se lever et me prendre dans ses bras avant de me reposer la question.

— qui serais je pour tenir l'orishala en personne coincer entre mes murs ? Cocoon je suis contente que tu le prennes ainsi, je dois avoue que j'avais peur de me retrouver tout seul au vu des situations. Mais jamais je ne te demanderais de rester. Tu es le bienvenu bien évidemment. Ça me soulage même de t'avoir auprès de moi dans un moment pareil. Mais nous savons tous deux qu'il y a des choses à faire. Je crois que la seule chose que je peux te demander c'est d'être disponible si je venais à t'appeler, tu comprends ? Je sais que nous ne somme plus ensemble, mais y a certaine chose que j'aimerais avoir ton avis ou s'il bouge j'aimerais que tu puisses le sentir toi aussi.

Et l'avantage, c'était qu'avec notre lien mental et sa téléportation, c'était quelque chose qui était tout à fait faisable, vu qu'en quelque seconde il pouvait être auprès de moi. Mais comme je lui avais dit, je ne voulais pas le tenir enfermer ici, je ne voulais pas non plus qu'il se sente obliger de quoi que ce soit.

— ce n'est pas quelque chose que l'on avait prévu, bien au contraire. Du coup j'aimerais que tu saches que ce que je te dis ne sont que des demandes et en aucun cas des obligations.

Je préférais le lui dire, car c'était quelque chose qui me tenait à coeur.

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