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 L'entre-deux-tours [Libre]

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Dim 06 Juil 2014, 13:28

"Un bon ami est difficile à trouver, difficile à perdre, et impossible à oublier"


Dans le fond j’en aurais fait autant, mais je suis faible, et encore plus quand je suis fatigué et qu’il fait jour, je n’allais donc pas intervenir. Après tout, la fuite que préconisait le gamin enflammé ne me semblait pas être une bonne idée, je n’avais rien fait de mal donc je n’allais pas partir comme un voleur. Sans compter que les Orishas et les Vampires étaient alliés si ma mémoire ne me faisait pas défaut. Mais depuis peu, elle a tendance à me jouer des tours. Bon d’accord, c’est surtout parce que je ne me renseigne plus vraiment. Bref, je continu de penser que je devais rester avec Kumiko et Lumi, Kumiko semble d’ailleurs avoir un problème avec sa voix, mais peu importe. La foule fuit d’abord dans un sens, puis dans l’autre. Une démone s’amuse avec un humain, je soupire un peu, encore une idiote pensant être puissante.

Je soupire avant de remarquer l’action de Lumi, action qui m’intéresse au plus haut point, ça m’a donné envie de la suivre pour être sûr d’être protégé. Le problème, c’est que j’étais intimement convaincu que les anges allaient pas laisser la démone partir sans la sanctionner pour sa visite surprise, d’un autre coté ce sont des anges donc peut-être que… attends, c’est pas impossible qu’ils soient déchus. Tout ce merdier me prend la tête, faudra vraiment que des gens rétablissent la situation, parce que même si je déteste mon état, mes pouvoirs je les trouve juste classe. Bon, je reconnais que si je reste ici… j’ai toutes mes chances de mourir :

« Attends une seconde… même mourir je vais avoir du mal à le faire… euh… j’ai dis ça à voix haute… mince… bah tant pis, personne comprendra l’allusion. Ce n’est pas comme si des gens comme moi parcouraient le monde… oh… mince. »

Je m’approche de Lumi et l’attrape par le bras, avec de lui susurrer une phrase symbolique et pourtant emplie du peu de sagesse qu’il me reste :

« Laisse la s’en sortir seule, avant qu’elle ne te blesse, avoue que ce serait idiot. Surtout que tu es si belle, non franchement, laisse la se sortir de ce guêpier toute seule. Après tout, elle s’est mise dedans toute seule, autant qu’elle s’en sorte seule. »

Et je commence à essayer de la tirer des potentielles emmerde que je vois poindre à l’horizon, en remarquant que ma capuche est plus autant tirée qu’avant, et qu’elle laisse voir mes yeux, plein de peine et de compassion pour la douce humaine, mais pas que…
HRP:
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Dim 06 Juil 2014, 14:48

Le vendeur se montre insistant et est prêt à en découdre avec l'emplumé et l'emplumée.
Cette fois-ci, malgré mes élans héroïques du passé, je n'ai vraiment pas envie de m'en mêler. Mieux vaut que je descende dans l'estime de ce fou à tigre pour qu'il arrête tout de suite de me suivre. J'ai déjà bien assez à faire à me supporter tout seul pour avoir un type dans son genre dans les pattes...
L'emplumé se relève en portant l'ange déchu. Le vendeur le regarde toujours du même air. Pourtant je crois voir dans son regard une lueur d'inquiétude se faufiler lorsqu'il voit comment il la porte avec facilité.
L'emplumé nous parle d'une voix étrange. Jamais je n'aurai pu penser qu'il avait un si joli grain de voix quand il en a envie. Même si ça lui rajoute un certain charme, c'est toujours niet balayette, il ne faut pas qu'il s'approche de moi à nouveau.
Je ne suis pas surpris de le voir faire capoter son attaque. Vu les circonstances, c'est un miracle qu'il puisse produire un truc. Et quand je croyais qu'il ne pouvait pas être plus instable, il se met à prendre totalement feu. Là, je suis sur le cul. Ce mec est un véritable danger vivant et je suis sur qu'il est capable de faire bien pire que ça...
Une grosse sueur froide envahit le vendeur qui, clairement, abandonne l'envie de démarrer une rixe avec lui. Son visage se décompose et au même titre que le reste de la foule qu'il essayait de se mettre dans la poche, il prend ses jambes à son cou et s'enfuit dans une couarde précipitation.
Pour couronner le tout, histoire de s'enlever le peu de classe qui l'enveloppait, l'emplumé se roule sur le sol pour faire disparaître les flammes. Il ne maîtrise vraiment rien...

Je soupire et me tourne vers Lumi qui, avant de se faire interrompre par tout ce remue ménage, m'a avoué que c'est son premier séjour à Megido. J'aurai aimé lui dire que cette ville a toujours eu cette ambiance étrange de liberté et de bordel assumé. Cependant, cette fois-ci, les rues sont particulièrement agitées et c'est encore loin d'être terminé.
Je revois le vendeur passer dans l'autre direction suivi par une masse non négligeable de gens apeurés. Ca ne finira donc jamais... Je reste adossé au mur et observe, Hashi, invisible sur mes épaules, grignote un morceau de fruit. J'entame la moitié de ma pomme.
Voilà que la furie arrive. C'est la première fois que je vois un démon de mes yeux.

Vêtue de flammes aux lueurs étranges, ses cornes dressées sur sa tête, la femme démon s'avance en maintenant un homme entre ses griffes.
Je vois cet homme me ficher son poignard dans l'épaule, je lui plante ma dague dans le front, faisant craquer sous la force de ma percée ses os durs. Encore une vision monstrueuse...
C'est donc à ça que ça ressemble un démon bien vénère ? J'aimerai pas la croiser dans une ruelle sombre... Son aura m'impressionne et sa démarche totalement destructrice force le respect. Pas que j'aime les gens qui cassent tout sur leur passage- j'ai du mal à comprendre pourquoi le Mal- mais étrangement, j'admire les gens qui arrivent à trouver une finalité dans la destruction. Le bien me va, voir le sourire des autres me procure un bonheur non négligeable. Mais réussir à prendre plaisir du malheur et de la douleur des autres, cette chose qui m'est totalement inconcevable... J'aimerai au fond de moi comprendre cette démarche...
Lumi veut s'en mêler. Je suis sceptique à la voir comme ça, humaine qu'elle est comme moi. Elle s'approche et rien qu'en la touchant, il est presque possible de sentir l'aspiration des flammes.
Je suis vraiment bouche bée, je n'arrive pas à en revenir. En un geste, elle réussit à annihiler totalement la menace. Même les gardes venant arrêter la démone s'arrête un instant pour observer l'événement... Quelle est cette drôle de capacité ? Est-ce que moi aussi je peux faire ça ?
Lexi la rejoint et lui attrape le poignet lui aussi pour lui dire qu'il n'est pas nécessaire de faire ce qu'elle fait, que cette démone doit se débrouiller et qu'elle n'a pas besoin d'assistance car c'est son propre problème.
Je suis partagé sur la question. A la fois je comprend l'envie de Lumi de calmer le jeu et que tout se passe bien, autant le côté libéral de Lexi me parait juste. Cette démone s'est mis en tête de zigouiller tout le monde, quand même ! C'est pas rien !

Les anges appellent des renforts. L'un d'eux tend son arme vers la démone et hurle à qui veut l'entendre:
"Messieurs, Dames, vous êtes priés de quitter cette grande rue et de reprendre une activité normale !!! Tout acte douteux à l'égard des principes de bonne conduite à Megido sera sévèrement réprimé !!!"
Je pense que ces gardes en ont plein le slip de subir ce merdier constant. Les graines de la discorde ne s'arrêteront pas de germer.
Une explosion résonne au loin.
Trois autres gardes arrivent de l'autre côté de la rue avec un regard plus que sévère, nous sommes encerclés, le groupe et la démone. Le plus haut gradé ordonne:
"Vous tous !!! Vous êtes en état d'arrestation pour troubles de l'ordre publique !!! Veuillez vous rendre sans opposer la moindre résistance !!!
Ils nous parlent à nous tous de nous rendre. Quelques suées me parcourent le dos. Je n'ai rien à me reprocher mais je stresse à mort. Je déteste quand ça me fait ça.
Un garde s'approche de l'emplumé, le haut gradé va vers l'ange qui est tombée sur l'emplumé, le dernier des renforts s'amène vers moi. Les deux anges gardes restent au côté de Lexi, Lumi et la démone, les gardant en joue avec leurs armes.

Le garde s'approche beaucoup de moi. J'aime pas ça du tout...
Il m'ordonne de m'approcher et de me rendre pour qu'il m'amène à leur quartier général. Je fais non de la tête car je n'ai rien à me reprocher. Il m'hurle dessus et me dit de venir, il me dit que c'est un ordre. Je le regarde dans le blanc des yeux et finis de croquer dans le dernier morceau de pomme que je jette. Je me penche comme pour prendre mon sac, me saisis de ma lance et lui envoie d'un geste violent le bout en bois de ma lance en pleine figure. Ce mouvement me fait mal à mon épaule blessée mais je ne m'y attarde pas.
Ni une, ni deux, j'attrape la lanière de mon sac, profite que le garde se ressaisisse pour lui remettre un coup dans l'estomac et tente une percée pour me casser d'ici. Par réflexe, j'entame un geste signifiant "qui m'aime me suive". J'espère que l'emplumé ne le verra pas...

Résumé:
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Jeu 10 Juil 2014, 09:20



Andariel arborait un sourire des plus radieux, la situation lui plaisait énormément.

*Ahah rien de mieux qu'un petit combat, surtout contre des personnes n'ayant que les mots vertu et moral à la bouche.*


Mais ce sourire s’effaça quand une humaine s'approcha d'elle, et surtout lors qu’à cause d'un contact elle perdu ses pouvoirs. Elle sentit son flux magique interrompue et cela la terrifiait.

* C'est quoi ce bordel. J'ai déjà eue affaire à un psycopathe me torturant nuit et jour, mais jamais on m'avait encore volé ma fierté, ma magie et donc ma nature de démon. Il n'y a pour moi pas de pouvoir plus terrifiant, je ne comprend pas pourquoi les démons les pensent si inférieur.*


Après un temps elle resta tétanisé, l'intervention d'un homme vêtu de noir lui fit retrouvé ses esprits. Sans attendre un moment de plus elle rompit le contact entre eux et s'éloigna d'elle. Ouvrant et refermant la main comme pour vérifier qu'elle avait bien retrouvé toutes ses capacités.

Pendant ce temps, Aldor lui jubilait.

* Qu'elle spectacle merveilleux, une femme arrivant à dompter ma maîtresse, comme c'est rafraîchissant. Autant que sa beauté d'ailleurs, vu de prêt elle est envoûtante, quand à l'autre ..*


Aldor pris son plus beau sourire et s'approcha de la dite dame, pris délicatement la main blanche que la démone avait repoussé avec véhémence et la tira vers lui, l'éloignant à la fois d'Andariel et du vampire.

«  Mademoiselle vous ne devriez pas vous mettre en danger ainsi, entre une démone folle et un suceur de sang, vous devriez vous en écarter. Bien qu'ici, je pense que ce sont vos yeux magnifique qui sont la chose la plus dangereuse. »


« Et Don Juan, tu devrais te calmer tu va encore te faire jeter... enfin au moins tu n'est pas sur mon dos. »


Pendant ce temps d'autres gardes avait fait leur entrée mettant en état d'arrestation tous le groupe sans distinction.

* Commence à y avoir un peu de monde tout de même, faudrait peut être que je pense à filer d'ici, surtout que cette humaine ne me plaît pas trop ...*


Andariel s'approcha un peu du garde qu'y se trouvait le plus près d'elle, retrouvant son sourire joueur.

«  Et le pigeon j'espère que tu sais voler, amusons nous un peu »


Et pendant qu'elle parlait ses ailes noirs apparurent dans son dos. Sans attendre un seul instant elle pris de l'élan et tenta de s'envoler, sa montée fut très difficile elle semblait peinait et sa direction instable.

* C'est quoi encore se merdier, même pas possible de voler normalement ? C'est vraiment la m*rde en se moment … *


Son poursuivant ne se fit pas attendre et s'envola aussi à son tour, avec difficulté mais semblait plus rapide, il rattrapa Andariel rapidement mais ses ailes battait l'air frénétiquement et semblait commencer à fatiguer. Et en effet alors qu'il était sur le point d'attraper Andariel ses ailes ne purent plus le porter et chuta sur le sol avec force, ce qui le cloua sur place. Andariel quand à elle, dévia de sa trajectoire et chuta sur le côté, mais heureusement elle était proche d'un bâtiment et put s’agripper à sa façade. Après un sourire vainqueur face à l'ange, elle se mit à grimper pour atteindre le toit du bâtiment. D'ici elle cria :

«  Bonne chance Aldor, je pars devant »


Et disparue sur les toits.

* Cette sal*pe me laisse dans la m*rde après avoir foutue le bordel … Pourquoi ça ne m'étonne même pas. J'ai plus la force de me battre depuis mon pacte, il va falloir que je trouve autre chose.*


Un petit regard vers le vampire lui décrocha un sourire. Il se déplaça discrètement derrière le vampire, entraînant toujours la femme dont il ignorait le nom, et posa une main sur son épaule.

« Je vais mettre cette dame en lieu sur, occupe le quelque temps et je promet de venir t'aider une fois qu'elle sera en sécurité. »


Sans attendre son approbation, Aldor se mit à suivre l'homme qui avait déjà fuit la zone, attirant la femme avec lui, espérant qu'elle le suivrait elle qu'elle ne romprait pas le contact qui lui était si agréable.

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Jeu 10 Juil 2014, 13:35

La situation prenait une tournure inattendue. Contre toute attente la démone ne m’avait pas rejetée en arrière. Elle n’avait même pas tentée de se soustraire à mon étreinte. La disparition de sa magie l’avait tout simplement tétanisée de surprise. Je réfléchissais à ce que j’allais pouvoir faire désormais quand je sentis Lexi me saisir le bras. Ce contact me surpris et je desserras un instant ma main ce qui suffit à la démone pour s’éloigner de quelques mètres. Elle semblait ne pas parvenir à comprendre ce qui lui arrivait, chose que je pouvais concevoir. Les rencontres avec les humains n’étaient en sois pas fréquente mais que l’un d’entre nous utilise sont anti-magie au milieu d’une foule était une chose encore plus rare. Je planta mes yeux dans ceux de Lexi attendant de voir ce qui l’avait poussé à venir avec moi. Sa déclaration me fit légèrement monter le rouge aux joues et je détournas le regards quelque peu gênée. Au même moment l’homme que j’avais vu en compagnie de la démone se rapprocha de moi et à son tour me pris la main m’éloignant de Lexi. Il me fit le même avertissement et clôturas lui aussi sa phrase par un compliment. Je n’aimais pas être le centre d’intérêt des gens et je trouvais cela légèrement gênant que deux hommes ai un tel comportement envers moi. Pourtant bien que gênant la sensation que cela procurait n’était pas désagréable.

Durant ce temps d’autres garde était intervenus et alors que la démone peinait à s’envoler tout en provocant l’ange je pus apercevoir du coin de l’œil Kumiko s’enfuyant dans une ruelle nous faisant signe de le suivre. La situation était épineuse. Lexi était venus m’aider et je ne voulais pas le laisser seul cependant si un combat se déclenchait je serais uniquement une gène pour les autres. Je laissa l’inconnu me guider ou bon lui semblait et âpres qu’il ai murmuré quelques chose à Lexi nous primes la fuite à la suite de Kumiko. Lui adressant un pauvre sourire désolé je cria « Fais attention à toi et rejoint nous au plus vite. On t’attendra dans les environs. »

J’eus à peine le temps de finir ma phrase que nous tournions au coin d’une rue m’empêchant de distinguer quoique se soit de l’agitation qui se passait sur la place. Et qui n’allait surement pas tarder à empirer. Les gardes devaient être tout sauf satisfait que quatre de leurs cibles leurs échappe sans qu’il ne puisse rien faire. Je reportas mon attention devant moi. Je pouvais au loin distinguer Kumiko qui courait toujours se retournant de temps à autres surement afin de vérifier que nous n’étions pas suivis par les gardes. Après un bref instant je le vis tourner dans une ruelle et quand nous arrivèrent à sa hauteur il nous attendez assis sur un caisse soufflant légerement surement à cause de la course qu’il venait de faire. Cette course n’avait guère était longue mais elle m’avait épuisée. Pliée en deux je reprenais péniblement mon souffle, réfléchissant comme je le pouvais à la situation. Après un bref instant je me relevas et plaça mes yeux dans ceux de l’homme qui m’avait entrainé à sa suite à la poursuite de Kumiko. « Vous m’excuserez mais nous n’avons eu le temps de faire les présentations. Je vais donc être clair et concise. Qui êtes-vous et que faites vous avec une démone ? Je vous conseille d’être convaincant et rapide car je sais me montrer patiente mais les événements actuels ne vont pas vraiment dans ce sens. Je vous préviens donc que si vos explications ne me conviennent pas je vous laisse retourner chercher seul cette folle. »

Je me tus mes yeux toujours solidement ancré aux siens. J’avais déjà une idée assez précise de ce qui avait pu l’amener à accompagner une démone cependant si c’était le cas il n’y avait presque aucune chance que j’accepte qu’il reste avec nous. Je ne voulais plus avoir aucun contact avec les sorciers et se pendant quelques temps. Soupirant à cette pensée je rajoutai « Bon je vais quand même faire preuve d’un minimum de politesse. Je m’appelle Lumi et l’homme ici présent se nomme Kumiko. A votre tout maintenant mais n’oubliez pas ce que je vous ai dit tout à l’heure. »

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Ven 11 Juil 2014, 16:10


… Je suis... mouillé... de l'eau... AAAAADLSGUHSDGKUIH !!

Je suis trempé, quelqu'un m'a jeté de l'eau ! Je vois mal ce que je pourrais haïr de plus !! L'eau, c'est affreux ! Ça éteint les flammes, c'est une raison plus que suffisante pour que je haïsse cet élément. Bon, comment ce fait-il qu'on m'ait envoyé de l'eau ? Ah oui, j'étais en feu, quelqu'un a dû croire que j'allais brûler. Comme si c'était possible. Au moins, ça m'a permit de ne pas me retrouver à poil. La jolie femme ailée jette un seau qu'elle tenait dans ses mains, c'est sûrement elle qui m'a jeté de l'eau dessus... bah, si c'est elle c'est pas grave. Elle me fait encore des reproches... elle est mignonne quand elle s'énerve. Tiens, apparemment, me voir dans cet état la fait rougir... ouais, mon pantalon me colle un peu. Ma température corporelle étant... assez élevée, il sèche rapidement.

L'ange au ailes d'ébène m'invite à fuir... au moment où la foule déboule à nouveau devant nous. Elle ne semble cependant pas s'attarder sur notre groupe, suivie par une étrange dame... Celle-ci est entourée de flammes noires... comment peut-on souiller la belle couleur des flammes qui me font vivre ?! Celle-là elle m'énerve déjà. Elle est accompagnée par un homme semblant reluquer la moindre femme à portée de vue. Il pourrait être sympa. Bref, là n'est pas la question, des gardes ailés arrivent et semblent vouloir s'en prendre à tout le monde.

Hm... Pommoustache fuit... Je veux le suivre, mais je ne veux pas abandonner la belle angelotte... Que faire... Je reprends ma voix normal quelques instants :

-  Fuyez, je vous rejoindrai ! Je m'occupe d'eux.

Je me tourne alors et hurle, souhaitant projeter une immense gerbe de flammes. Après les trois sorts que j'ai foiré, je vais peut-être enfin en réussir un, non ? Apparemment non. Quelques gouttes de feu liquide s'échappent de ma main, coulant à mes pieds. Bon. Plan B. FUITE. Je me met à courir, tentant de rattraper Pommoustache lui-même déjà suivi de Voyeur et Madame Neige. Au passage, je fais signe à Ailes Noires et Cape Volante de me suivre. Après tout, Flammes Souillées a foutu la m*rde, elle peut s'en sortir seule, non ? Dans ma course, je me tourne vers où elle se trouvait... Mais elle s'est envolée l'abrutie ! Un garde la pourchasse, mais les autres sont encore face à Cape Volante... Je ne vais pas le laisser seul, si ? Je ne fais pas gaffe à où je marche et je trébuche sur un pavé, m'étalant face contre terre... Alors c'est ça un faceplant ? Je me relève et fait demi-tour, me mettant entre Cape Volante et les gardes. Je vais le protéger, comme Anastasi, l'a toujours fait pour moi. Anastasi... ANASTASI ! MAIS OUI ! Lui, il ne rate pas son sort ! Pourquoi je l'ai oublié ? Ah, peut-être parce qu'il est un peu moins « précis » que moi...

Je cherche mon ami félin. Le lion s'est endormi près du mur où je l'ai laissé. C'EST PAS LE MOMENT ABRUTI ! Je me rue près de lui et le secoue rapidement !

- Eh mon vieux, il est temps pour toi de t'éclater !! Au sens propre du terme !

À peine réveillé, il titube vers les gardes qui ne comprennent pas ce qu'un put*i* de lion fait ici. Dommage pour eux, ils auraient dû réagir plus tôt... Anastasi explose à leurs pieds, répandant lumière, flammes et fumée aux alentours. C'est notre chance de fuir, Anastasi nous rejoindra quand il renaîtra de ses cendres. Je me remet donc à chercher Pommoustache, empruntant la rue par laquelle il s'est faufilé avec les autres.

Résumé:

Voilà une illustration rapide et pourrie de ce qui s'est à peu près passé : lsdfgyqhl
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Dim 13 Juil 2014, 16:24

Je commence à me perdre dans l'étendue de cette misère qui semble prendre un malin plaisir à nous noyer. Voilà qu'une démone débarque et décide de mettre la place à feu et à sang. Elle est accompagnée d'un drôle d'énergumène qui lorgne un peu trop les femmes, surtout l'humaine. La situation nous échappe littéralement lorsque des gardes d'une magnificence inégalables arrivent. Ils nous ordonnent de nous rendre et je ressens presque l'envie de le suivre tant il est à croquer. Heureusement, mon instinct de survie persiste encore au fond de mon âme. Mon estomac se serre lorsque je vois l'humaine approcher à la démone et je lui aurais bien transférer un peu d'instinct pour le coup. Mais elle parvient à faire quelque chose d'inattendu, comme si elle avait vampiriser l'énergie de la démone. Il ne manquait plus que ça...

Je sais que je ressemble à une ange tombée du ciel avec toute cette poussière. Mais les gardes en n'ont que faire ! Je jouerais bien la carte de la demoiselle en détresse mais il faut avouer que ce serait assez lâche... Bon, après tout, je ne connaissais pas du tout le petit groupe qui semblait de mon côté.
La démone s'envole rapidement vers les toits et je suis tentée de la suivre lorsque mon emplumé m'invite à fuir. Lumi et les autres partent en direction des ruelles pour fuir, l'encapuchonné et le croque-femmes partent avec elle.

Encore une fois, mon emplumé nous fait une démonstration de force légendaire en se foirant littéralement. Ce mec a VRAIMENT un problème ! Je décide alors de courir afin d'échapper aux gardes et... d'échapper à sa folie par la même occasion.
J'entends une énorme détonation. Si puissante, que je fais l'erreur de stopper ma course pour me retourner. J'aperçois alors une sorte de champignon de fumée et reste littéralement estomaquée. Quelle erreur...

Je suis alors propulser vers le sol et écrasé par un poids conséquent. Je croise un regard azur où brule une haine profonde. Si tu bouges, tu ne passeras pas par la case cellule. Un garde m'est tombée dessus et je retiens un cri de douleur lorsqu'il me broie littéralement les côtes. Soudain, je le sens vaciller et s'énerver contre quelque chose sur son dos : Grimm. Le garde détourne son intention et j'en profite pour lui en coller une entre les jambes *pardon*. Je le bascule sur le côté avant qu'il me vrille définitivement les tympans et opte pour la même solution que la démone. Mais, au moment où je souhaite m'envoler, il me retient fermement par les ailes et me les arrache pratiquement pour me clouer au sol. Cette fois, je ne peux pas retenir la souffrance qui déferle entre mes lèvres. Cet ange a complètement perdu la raison !

Ma vue est totalement brouillée et je peine à trouver un échappatoire. Jusqu'à ce que Grimm lui saute littéralement à la gorge et face naître un geyser rouge sang. *Eurk*
— C'est pas le moment de faire bronzette, mon ange.
Il se lèche les babines et les pattes de plaisir, de quoi me donner la nausée.
Je me lève, haletante et déboussolée. L'une de mes ailes traîne par terre, certainement déboitée... J'activerai la guérison une fois sortie de ce guêpier.
— Les autres sont partis par là, suis-moi, m'ordonna sans complexe Grimm.
Il me fit prendre des chemins biscornus, tournant à droite, puis à gauche. Mais je fus soulagée d'apercevoir au loin les cheveux neige de l'humaine...

Résumé:
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Mar 15 Juil 2014, 19:22

J'ai du mal à reprendre mon souffle.
Cette course de dératé m'a fait muscler le palpitant. Après ma léthargie de la journée, cette remise à l'effort m'est étrangère. Je sens les veines de mon cerveau palpiter au rythme de mon pouls, c'est à la fois désagréable et rassurant. Je n'ai pas perdu de ma réactivité avec la dépression.
Je suis adossé au mur d'une rue perpendiculaire au champs de bataille. Il y fait plus frais.
Lumi me rejoint avec le gars qui traînait avec la démone. Ca ne me rassure pas des masses de le voir dans les parages. Je fais un total délit de faciès et de fréquentation mais ça ne me choque pas plus que ça. L'humaine pose quelques questions que j'avais en tête en voyant la tête de son accompagnateur. Elle enjolive énormément ses phrases alors que nous n'avons pas le temps.
J'ai envie de lui dire : Mais c'est pas ça qu'il faut faire. Impose toi !
J'ai envie de lui dire : Dis lui : « C'est quoi votre foutue problème avec l'autre encornée ?! »
J'ai envie de lui dire : Dis lui : « Sinon ta mère ne te reconnaîtra plus quand tu iras chercher ton goûter ! »
Mais c'est fait à sa manière...

Ca explose fort pas loin. Cet emplumé est un pur psychopathe. Je l'admire pas mal en fait. Il n'a l'air d'avoir vraiment rien à perdre. J'y réfléchis mais en fait, moi non plus je n'ai rien à perdre. Enfin non... Je perdrai ma finalité, mon besoin d'atteindre mon but. Et je crois que rien que cette volonté fait que j'ai la peur de mourir, de me sacrifier quitte à ne pas crever.
L'ange déchue nous rejoint, pleine de poussières et l'emplumé aussi. Tout le monde est là, enfin, je crois.
Je m'empresse de prendre mon ardoise. Je claque dans mes doigts pour avoir leur attention.
J'écris : Il va falloir que vous me suiviez. Ils ne vont pas nous lâcher.
J'efface puis écris rapidement dans une écriture bâclée : On va s'enfuir par les égouts.
Je range mon ardoise, empacte mes affaires et les mets sur mon dos. On entend déjà le bruit de la course des anges à nos trousses, leurs gorges hurlant à l'unisson de nous arrêter.

Je me mets en course, Hashi, invisible, sur mon épaule.
On court. On prend une ruelle.
Puis un autre.
On arrive sur un boulevard.
On prend une autre ruelle, plutôt longue.
On court.
Je sens mes tempes pulser sous l'afflux sanguin. Cette adrénaline qui me parcourt mes sens aux aguets.
On prend une ruelle qui débouche sur une impasse.
Je connais ces lieux. Me viennent en flash les souvenirs des hommes que j'ai senti lorsque je me faisais femme.
Je pousse deux caisses qui bloquent un accès à un petit tunnel pas plus large qu'une grosse chatière. Je pointe du doigt l'accès au groupe qui me suit.
Oui, on va passer par là.

Je prend mon sac, le fourre dans le trou, donne un coup de pied dedans pour le faire glisser et tomber. Hashi s'y faufile et je le suis, m'y insérant péniblement.
J'atterris avec une réception mal faite.
Il y fait totalement noir. Hashi me passe mon allume feu et une petite torche. J'y mets le feu. Un halo de lumière éclaire les lieux. Une pièce obscure se dessine, avec un bureau poussiéreux, quelques livrets administratifs et pas mal de matériel de nettoyage.
Une office reliée à la gestion des égouts.
Je jette un regard à mes compagnons peinant à me suivre par l'embouchure.
J'ai envie de leur dire de se bouger le fion. Il faut qu'on se magne. Les anges sont sans doute tout proche.
Ca vient doucement mais je n'ai vraiment pas envie de traîner ici.
J'ouvre la porte du bureau et fais un geste à ceux arrivés qu'il faut me suivre par là.
Ca débouche sur un escalier que je descend à toute vitesse. Le plafond est bas à l'arrivé. J'ouvre la porte au bout et arrive dans un tunnel qui doit faire un mètre soixante de haut. Une eau sale coule en ruisseau , exhalant une odeur pestilentielle. Ca et là, des traits de lumière éclairent les égouts mais il y règne une obscurité palpable.
Je vois un groupe de mes compagnons arriver, je leur fais un geste pour se magner les fesses.
Je commence à me mettre en chemin quand j’entends un hurlement à me déchirer l'âme.
Une ombre se distingue des ténèbres. Comme un cheval gigantesque.
C'est un banjee au pelage très sombre. Il est bien plus grand que la moyenne et ses pupilles sont blanches comme de la craie. Il hurle, avançant la mâchoire, bavant de long fil de salive.
Il veut me bouffer. Je sors ma dague mais je suis paralysé par la grandeur de cette bête. Son cri m'a renversé l'esprit, l'adrénaline de tout à l'heure s'est changé en sueurs froides.

résumé et détails:
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Mer 16 Juil 2014, 17:32



Andariel courait sur les toits, s'éloignant peu à peu de l'endroit qu'elle avait plongé dans le chaos. Andariel bouillonnait intérieurement.

* Devoir fuir un tel combat qui s’annonçait des plus distrayant, une honte ! Cependant entre l'autre pimbêche qui m’ôtais mes pouvoirs et ceux ci qui sont déjà bien instable, je suis incapable de me déchaîné sereinement, rien de plus frustrant.*


Pendant qu'elle fulminait elle ressentit peu à peu la douleur venant de sa peau carbonisé, douleur jusqu'à maintenant atténuée par l’adrénaline.

* Bon, faut que je soigne ça, et que je me planque le temps que ça ce calme, ça sert à rien de s'attirer des ennuies si j’éprouve aucun plaisir à me battre.*


En observant les environs elle aperçut une fenêtre à l'étage grande ouverte, elle décida d'y sauter pour se cacher dans le bâtiment. Un simple bond et une roulade et le tour était joué. Elle resta cependant quelques instants immobile pour entendre si il y avait une quel qu'on que présence dans la maison ou si on l'avait repéré depuis la rue. Rien. Elle se releva alors détendu et se précipita vers un seau d'eau qui traînait dans la pièce. Sans perdre un instant elle y plongea sa main douloureuse pour l'apaiser un peu. Elle profita de l'instant pour se contempler dans l'eau miroitante, une brûlure enlaidissait son visage, elle passa ses doigts valide sur sa peau calciner pour évaluer les dégâts.

* Si seulement je pouvais utiliser mon pouvoir pour masquer ça … Ma beauté restait ma dernière fierté après cette perte de pouvoir … *


Perdu dans sa contemplation, elle ne s'aperçut pas tout de suite qu'un jeune garçon d'une dizaine d'année venait de rentre dans la pièce, et s'était immobilisé de stupeur et de terreur...

***********************************************************************

Aldor jubilait de plaisir. Il avait enfin un nom à apposer sur les yeux intenses qui se perdaient dans les siens, enfin c'était plutôt son regard qui se perdait dans le bleu océan de ses yeux.

* l'intensité de son regard me fait littéralement fondre, ce n'est certes pas de l'amour et voir même de la haine, mais cela reste d'une intimité savoureuse que chéris particulièrement. Dernièrement je n'avais pu jouir de tel plaisir. *


Aldor admirait chaque reflet, chaque nuance, chaque lueur des perles qu'il avait sous ses yeux. Rien ne pouvait le détourner de ce spectacle qu'il faisait intentionnellement duré. Même l'arrivée haletante des autres fugitifs ne lui pu le détourner une seconde de ce trésor.

* Vu le ton qu'elle à prise elle n'a pas l'air très enjoué. Elle avait dit « convainquant » ? De quoi diable devais-je la convaincre pour continuer à l'admirer ? A être du bon côté de la barrière ? Mon passé de criminel me place irrémédiablement de l'autre côté, mais la situation actuelle pouvait être à mon avantage. Il fallait que j'attise sa pitié ou du moins un peu de sa compassion. Je ne demandais pas grand chose, juste un peu de douceur et de charme, dans mon existence chaotique.*


Aldor sentait qu'il fallait qu'il répondent, il avait déjà que trop fait duré le silence. Il rompit donc le contact visuel en mettant sa main devant ses yeux. Il pris une grande inspiration et releva la tête pour plonger son regard dans le bleu azur céleste tout en passant une main dans ses cheveux. Son monologue allait commencer, allait-il avoir l'effet escompté ?

«  Vous semblez vous méprendre jeune Lumi. Je « n'accompagne » pas cette démone. Laisser moi d'abords me présenter, je suis Aldor Gwaine au service de la maison Alastor. Et cette folle furieuse n'est autre que ma maîtresse, Andariel Alastor. Je suis son jouet, son esclave, son souffre douleur, son cuisinier, son porteur et autre tâche des plus dégradante et surtout pénible. Vous êtes exaspérer de sa présence en seulement cinq minutes, comment croyais vous que je me sente après six longues années à son service ? Et bien qu'Andariel soit la cause de notre situation, je pense qu'il faut, vous comme moi, que nous fuyons ces gardes et que nous trouvons une solution à cette pénible situation. »


Le fameux Kumiko mit fin à l' échange, après avoir claquer des doigts. Il fut d'accords avec Aldor et décida qu'il fallait fuir, il les guida jusqu'aux égouts. Aldor se mit à la fin du cortège, son sac le ralentissait mais surtout la vue était toujours meilleure de dos … Quand il dû faire passer son sac dans les égouts, il vérifia que personne n'était en dessous et lâcha la charge. Un grand bruit métallique emplis les souterrains, faut dire que l'arme d'Andariel pèse lourd. Une fois rejoins en bas il suivit le cortège jusqu’à qu'à une sorte de petit tunnel qui l'obligeait à prendre une posture inconfortable, sans compter l'eau nauséabonde dans laquelle il pataugeait. Un hurlement transperça l'air. Le cortège s’arrêta. Il fut content de pas être vers la tête, ses capacité de combat était proche du zéro, et puis si fuir il devait, fuir il ferait !

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Dim 20 Juil 2014, 16:06

De longue seconde s'écoulèrent avant que l'inconnu qui m'avait fait courir à la suite de Kumiko ne prenne la parole. Il m'expliqua rapidement être au service de cette furie depuis environ six ans. Ces paroles n'étaient pas explicite sur ce point mais je ne connaissais qu'une raison qui pouvait pousser quelqu'un à suivre un démon pendant aussi longtemps. Soudainement Kumiko mit fin à notre discussion en claquant  des doigts. Il veut que nous prenions la fuite par les égouts. Je ne suis pas spécialement enthousiaste à cette idée mais nous n'avons pas vraiment d'autre solution viable. Reportant mon attention sur Aldor je soupire et dit avant de partir à la suite de Kumiko. « je ne connais qu'une raison qui peut justifier le fait que vous êtes avec elle depuis si longtemps et manque de chance pour vous je déteste les gens de vôtres espèces. Je ne vais pas vous empêcher de nous suivre mais rester loin de moi à l'avenir. »

Sans lui laisser le temps de répondre quoique se soit je me détourne de lui et par à la suite de Kumiko dans le dédale de ruelle de la citée. Nôtres course dure quelques minutes puis nous arrivons enfin dans une ruelle. Il nous montre un petit passage puis sans attendre de réflexion de notre part il s'engouffre à intérieurs. Je laisse lexis passer devant moi et je m'engouffre à ce suite. Une fois à l'intérieur Kumiko allume une torche nous offrant un petit peu de visibilités. Nous somme dans une petite salle apparemment oublier depuis plusieurs années. Sûrement une salle en rapport avec l'entretien des égouts. Je n'ai pas le temps de regarder plus en détail qu'il nous fait de nouveaux signe de le suivre. Je m’apprêtais à avancer  quand soudain quelque-chose m'agrippa le bras. J'eus un mouvement de surprise craignant un instant que les anges ne nous ai rattrapé. La surprise se fit plus forte quand je vit que je devait l'origine de ce contact à l'emplumé. Il était plié en deux et semblait avoir du mal à respirer. Il était évident que dans son état il ne pourrait pas continuer de courir longtemps. Cependant si les anges nous rattrapaient il serait incapable de se défendre si il restait seul ici en attendant que la situation aille mieux. Et je ne pouvais pas le laisser comme ça, même si il nous avait amené bon nombre de problèmes il nous avez aussi aidé.

« Kumiko, il a l'air de ne vraiment pas aller bien. Se n'est pas très prudent mais je vais rester avec lui le temps qu'il aille mieux. Continuez d'avancer on vous rejoindras. » Il me fit un petit signe affirmatif de la tête et s'enfonça dans les égout accompagné des autres. Me laissant seule avec lui à un endroit ou je pouvais potentiellement être attaqué à toute instant. Faisant un petit peu de place au fond de l'office je l'aide à s'allonger et m'assoie à côté de lui sans rien dire. Au bout d'un moment je me tourne vers lui et constatant qu'il ne dors pas encore je lui parle, faisant attention à ne pas élever la voix afin d'éviter de me faire remarquer. « Au fait il me semble que je n'ai guère eu le temps de me présenter au par avant, je vais donc pallier à ce détail. Je m'appelle Lumi et... » Je n'ai pas le temps de finir ma phrase qu'un raclement se fait entendre dans le chemin que nous avions emprunté. Quelques secondes plus tard un ange se tient devant moi un épée à la main. Néanmoins il à l'air différent des autres, il semble plus sauvage et guidé par ses pulsions. Et le sourire carnassier qu'il arbore ne m'aide pas à penser le contraire.

« Hin hin il semblerait que j'ai touché le jackpot en descendant ici. Je me doutais que vous fuiriez par les égouts mais pas certain d'entre vous allez gentiment attendre ici. La garde va être très heureuse quand je vais vous conduire à eux. Mais bon comme ils criaient mort ou vif dans les rues de la ville je pense que l'état dans lequel vous serez leur importeras peux. » ses propos me font froid dans le dos. Il ressemble peut être à un ange avec ses ailes blanches mais il ne fait aucun doute qu'il s'agit en réalité d'un ange déchus tournant la situation actuelle à son avantage. Je n'ai pas envie de me battre mais si je me laisse faire je ne sais pas dans quel état je vais finir et surtout je ne veux pas que cela handicape Kumiko et les autres. Je le regarde dans les yeux, décidée a ne pas le laisser passer quoiqu'il arrive. Cette réaction le fait rigoler un instant avant de se jeter sur moi. Sachant que je n'ai aucune chance de pouvoir parer son attaque je me jette par terre regardant son épée s'enfoncer dans la table ou je me tenais quelques seconde plus tôt. Me voyant sur le sol il me décoche un coup de pied m'envoyant quelques mètres plus loin.

Je le vois lentement se rapprocher de moi, arborant toujours son sourire carnassier. Je ne sais pas quoi faire, Je n'ai pas envie de le combattre et encore moins de le tuer mais je ne peux pas rester sans rien faire non plus. Finalement se sont ses paroles qui me font changer d'avis. « Allez laisse toi faire gamine je suis un ange déchu de la luxure, laisse moi te montrer plus en détail mon péché. » je me relèves avec la ferme intention de me défendre et de lui laisser le plus de souvenir possible de notre rencontre. Alors qu'il lève le bras dans le but de me coller un gifle je m'abaisse et lui plante ma dague sous l'épaule. Il pousse un cris de douleur qui se termine en un gargouillis sanguin quand ma dague vint transpercer sa gorge. Il me regarde un instant d'un regard chargé de haine et de respect avant de s'écrouler lourdement par terre. Je reste un instant immobile regardant le sang sur ma main et mes vêtement puis lentement je tombe à genoux et me m'est à pleurer.

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Mer 06 Aoû 2014, 11:47

Tout ça finira mal.
Je suis paralysé, à nouveau. Il va vraiment falloir que je fasse quelque chose contre ces choses qui me bloquent totalement. Je doute que mon courage soit à toute épreuve comme j'ai l'habitude de me répéter dans ma tête. Tout ce qui change me tétanise littéralement.
Mais mince, j'ai une véritable raison d'être complètement figé ! Si j'avais su que je croiserai l'incroisable, j'aurai pu peut-être m'y préparer en amont pour affronter l'inconnu. Mais là, une bête aussi grosse au regard si terrifiant... Rien n'aurait pu m'y préparer.

Il me hurle dessus, un frisson me parcourt tout le corps, faisant vibrer mon échine. Je sens Hashi sur mon épaule trembler de peur. Je dois faire quelque chose.
Comme dans un geste de déglutissement, j'avale cette frayeur.
Mon regard se fait plus brutal, je ne peux pas laisser Hashi tomber. On a toujours besoin d'un plus petit que soi mais parfois avoir un grand pote qui pète les dents, ça sauve la vie. Et je veux être ce mec là pour Hashi.
Je me mets en garde, ma dague à la main.
Les autres sont en train d'arriver.
Le Banjee me hurle dessus et élance ses crocs dans ma direction avec une précision plus que douteuse. Il est aveugle. Je l'esquive facilement.
Je fais rapidement le tour de la bête avec des pas bruyants pour attirer son attention et l'éloigner du groupe.
J'indique avec de grands gestes que la prochaine direction à prendre se fait tout droit tandis que j'emprunte un chemin sur la gauche.

Le banjee me suit.
Je connais pas mal ces égouts mais m'y aventurer dans cet instant de panique ne me parait pas une idée viable. Cependant, je n'ai pas le choix si l'on veut éviter de se faire bouffer tout cru.
La bête pousse un nouvel hurlement, terriblement aigu, qui provoque un puissant écho dans tous les couloirs.
Je continue le chemin, avançant en arrière, lui faisant constamment face. Je ne peux pas faire autrement sinon il me bouffera.

J'arrive au bout du tunnel, je prend à droite.
Si je continue ce chemin, je pourrai trouver une échappatoire qui mène hors de la ville. Une sortie d'égouts sans barreau qui me permettra de filer beaucoup plus rapidement. Et peut-être que je pourrai au passage débarrasser cette bestiole des égouts de Megido.
Je jette un coup d'oeil derrière moi.
Au moment où je tourne la tête, j'entends son pas se montrer plus insistant.
Il me charge et me bouscule, me projetant contre le mur.
Je ne peux rien faire pendant quelques secondes, mes yeux se remplissent de petits points blancs et j'ai du mal à rester debout. Je gémis à mon tour un râle très grave.
Je ne pensais pas pouvoir émettre ce genre de son.
Il me charge de nouveau. Je l'esquive et lui plante ma dague que je n'arrive pas à récupérer.
Le Banjee hurle à m'en faire vriller le tympan. Il court dans tous les sens et se cogne contre les murs à les faire trembler.

Tout d'un coup, un bruit fort et sourd résonne dans les canalisations et les murs tremblent un court instant, me faisant sursauter.
Le Banjee a l'air perturbé et s'agite d'un coup, ne me portant plus attention.
Il se met à courir, me dépassant.
D'un geste, j'en profite pour retirer ma dague, faisant jaillir un trait de sang de l'animal qui se retourne vers et élance sa mâchoire pour me bouffer.
Je ne sais pas si c'est la chance ou mes réflexes de survie qui font que je brandis ma dague qui vient se loger dans sa gueule, mais je les remercie.
Je retire ma dague et me mets à courir comme un dératé quand je prend conscience du son grave qui provient des canalisations plus loin.
Je jette un oeil derrière.
Une vague d'eau énorme dévale vers l'animal et moi.
Je ne cherche pas à comprendre et emprunte le chemin que j'avais entrepris. Sortir par l'embouchure qui mène à un petit lac d'eau croupie.
Je n'entend plus le bruit de ma course, juste l'infernal bourdon de l'eau qui me poursuit.
Je cours, glisse dans un virage, me rattrape.
L'animal me dépasse et lorsque je prend le dernier virage, je me vois piégé.
La sortie. Elle est bouchée par des barreaux.
C'était pas là avant.
Et l'animal ne le voit pas.
La bête fonce et se rue tête la première contre les barreaux, défonçant le métal avec la vitesse de sa course, créant une ouverture.
Tout mon être remercie le banjee.
L'eau me rattrape et m'emporte, me faisant passer à toute allure par le trou.
Je ne comprend pas.
Je finis tête la première dans le lac d'eau sale.

Je rejoins le rivage, vomissant mes quelques fruits dans une bile acide qui me racle la gorge.
Tout mon être empeste l'eau sale, je me sens mal mais aussi libéré.
Je jette un regard vers le lac d'eau sale. Le Banjee y flotte, mort sur le coup.
Hashi me rejoint.
Il va falloir que les autres se débrouillent sans moi car je ne veux vraiment pas remettre les pieds à Megido de si tôt.
Je tousse un peu et soupire, sonné par tout ce bazar.
J'attends une bonne minute pour retrouver mes esprits et me mets en chemin pour trouver un point d'eau où je pourrai me décrasser.

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Mer 06 Aoû 2014, 14:41

Alors que je suis le groupe dans les égouts, je sens mes jambes trembler. Je me sens très lourd, le sang bout dans mon crâne, j'ai les tempes qui battent. Ma vue s'embrouille alors et je pique en avant. Sur le point de m'effondrer, la dame aux cheveux de neige m'attrape, dis des mots qui me sont impossibles à comprendre dans mon état actuel et commence à me traîner vers la petite salle par laquelle nous sommes entrés dans ces sous-sols. Avant d'y pénétrer, j'entends un hurlement déchirant. Non... les autres doivent être en danger... Mes paupières tombent, ma tête se fait lourde et ainsi je m'évanouis.

Foutue syncope, ça m'arrive de plus en plus fréquemment en complément de mes sorts qui foirent. Je me réveille peu à peu, alerté par des bruits sourds. Je suis encore un peu sonné et e me lève lentement, pour voir que la salle dans laquelle je suis installé est inondé. La porte vers les égouts semble sur le point de céder. Je sais pas comment m'y prendre dans des situations comme ça... Et l'eau, c'est franchement pas mon truc. Au fait... où sont les autres ?!! m*rde ! Le trou vers la surface est toujours presque bouché, il semblerait qu'aucun garde n'est venu pendant mon sommeil. Et la femme qui m'a porté ici... Où est-elle ? Et les autres ? Ils étaient tous dans les souterrains... Non... Ils sont probablement tous morts... Pourquoi, pourquoi me suis-je évanoui, j'aurai peut-être pu les aider... Je respire bruyamment, puis je me calme peu à peu. Je décide de ressortir par le trou avant que l'eau ne fasse exploser la porte.

En sortant, je suis accueilli par Anastasi qui était apparemment trop gros pour descendre. Je ne vois aucun garde, je ne sais pas combien de temps je suis resté évanoui mais probablement suffisamment longtemps pour qu'ils cessent leurs recherches dans ce coin.

Les autres... je voulais être pote avec eux... Je n'ai rien pu faire pour leur venir en aide. Je dois devenir plus fort, et ce ne sont pas mes flammes incontrôlables qui protégeront quoi que ce soit. Je m'assois sur une caisse qui traîne et me mets à réfléchir. Que vais-je faire ? Je me suis contenté de vivoter, passant à droite à gauche pour chaparder de quoi me nourrir... mais à quoi bon ? Anastasi peut se débrouiller seul, et les personnes à qui je commence à m'intéresser disparaissent. Je vais partir et m'entraîner. On m'a un jour parlé des élémentals. À la vue de mes flammes, la personne les ayant mentionné a dit que j'en étais un aussi.. avant de détaler. Je devrais peut être me mettre à rechercher ce peuple, ils doivent savoir comment faire grandir ma puissance...

Sur ces pensées, j'attrape le drap qui recouvre la caisse où je suis installé et le met sur mes épaules tel une cape. Je fais signe à Anastasi de se dépêcher et je détale hors de la ville... dont j'ai déjà oublié le nom.

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Mer 06 Aoû 2014, 17:14

J'ignore combien de temps j'ai passé la à pleurer. J'ignore même pourquoi je me suis mise à pleurer. Après tout ce n'est pas la première personne que je tue quelqu'un alors pourquoi me suis-je mis à pleurer cet homme. Je jette un coup d’œil à l'homme couché à côté de moi. Il ne c'est pas encore réveiller, j'espère qu'il va bien et que ce qui le lui arrive n'est pas trop grave. J'aimerais bien rester à son chevet mais je ne peux pas. Je n'ai pas envie de rester immobile dans une pièce ou un homme et mort et ou la garde risque de débarquer à tout moment. J'ouvre la porte donnant sur les égout et déplace le cadavre dedans. Quand il se réveillera il n'y a aucune raison que la première chose qu'il voit soit un corps. Une fois celui-ci poussé en contre-bas je commence à refermer la porte. Soudainement un bruit me fait m’arrêter. Il s'agit d'un long cris aiguë. Que peut-il bien leur arriver plus bas. Je commence à descendre la première marche quand j'entends un grondement sourd. Dans le même temps l'eau en bas des marche commence à sa retirer petit à petit. J'ignore comment ils ont encore fait mais ils ont réussi à déclencher un raz de marée dans les égout de la ville. Comme si elle n'était pas déjà assez en désordre comme ça. Je refermer précipitamment la porte et m'appuyant dessus je réfléchis à une solution. S'ils ont bien fait ce que je pense descendre avec eux et la pire chose à faire. Je m'écarte de quelques pas et regarde la porte. Elle a l'air solide et de toute évidence avant que l'eau ne passe il y a de la marge. Mon regard se pose de nouveau sur l'homme inconscient. Je suis désolée pour lui mais je vais devoir le laisser ici. Je ne pourrais pas faire le chemin en sens inverse avec lui et même si c'était possible je n'aurait pas la force nécessaire pour le faire. Je peux uniquement prier le fait qu'il ai de la chance et que les dieux soit avec lui.

Descendre dans ce trous à rat n'avait pas été une chose spécialement évidente et agréable mais le remonter est pire. Au terme de ce que je prend pour une éternités je parvins de nouveaux à la surface. Je fait voguer mon regard sur les environs soucieuse de croiser un des gardes nous ayant poursuivis un petit peu plus tôt. Après quelques seconde je me détend et m'assois sur une des caisse qu'a poussé Kumiko un petit peu plus tôt. Que vais-je faire maintenant. Je n'ai pas la moindre idée de l'état dans lequel est le monde et quelques chose me dis que ce n'est que le prélude de quelque-chose de plus grave encore. Mes pensez vagabondes et me font remonter le temps. Je pense aux montagne de l’edelweiss enneigé. cela fait combien de temps que je n'y suis pas retournée? Ce n'est peut être pas le bon moment pour ça cependant j'ai l'impression que je dois m'y rendre. Que quelque chose d'important m'attend la bas.

Je me lève et me dirige vers le coin de la ruelle. Il y a toujours de l'agitation dans les rues mais aucun signe d'un quelconque ange en armure voulant m'envoyer en prison. Il ne vaut de toute façon mieux pas car avec mes cheveux blanc je passe difficilement inaperçue dans la foule. Je me dirige vers l'artère principal et traverse la ville. Évidement la fuite nous a fait partir à l'opposée de la porte que je souhaite emprunter. Je marche quelques instant, mêlée à la foule quand j’entends un cris derrière moi. Il s'agit d'un des anges qui nous a interpellé. Sans perdre plus de temps je rentre la tête dans les épaules et me m'est à courir. Au bout de quelques minutes j’atteins enfin les porte de la ville mais ne m’arrête pas pour autant. Ce n'est que loin de la ville et sure qu'il ne m'a pas suivit que je reprend enfin mon souffle. Sans jeter un regard à la ville que je viens de quitter, et ou je ne compte pas revenir de suite, je porte mon regard vers l'horizon au loin. Quelques chose m'attend la-bas, j'ignore quoi mais je le sens. Fermant les yeux je respire profondément et pars en direction de mon objectifs.

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Jeu 28 Aoû 2014, 11:24

Ne confond pas justice et vérité ; car la justice se rend au nom de la vérité et la vérité se cherche.
Edmond Jabès
Je ne les avais pas suivis, aucun intérêt j’avais rien fait de mal. Je soupirais et j’allais dire aux deux être céleste que j’étais au mauvais endroit au mauvais moment quand, l’emplumé a décidé de m’embarquer avec lui… Bon tant pis j’assume, je cours à travers les rues en suivant l’emplumé, on rejoint le reste du groupe et lorsque je vois l’autre créature désirant me couper l’herbe sous le pied j’eu du mal à me contenir, mais la violence ne m’avancerai à rien. Je les suis silencieusement, on arrive dans les égouts sans trop d’encombre lorsque l’emplumé ne sait plus marcher, tant pis pour lui. Hein ? Lumi décide de rester avec lui ? Elle se met en danger là… bon tant pis, je préfère avancer avec mon homonyme, j’ai pas envie de m’attarder là, comme on est dans la pénombre je décide de dévoiler mon visage, et je constate que les égouts… c’est un dédale. Je pousse un soupire discret, avant de constater que Kumiko sert de diversion à la créature tout en indiquant que l’étape suivante c’est droit devant. Je m’apprête à avancer lorsque l’odeur forte et entêtante du sang m’attire en arrière. Lumi n’est pas en sûreté, ainsi ni une ni deux je fais demi-tour indiquant aux filles que je ne serai probablement pas de retour.

Je remets ma capuche et cache au maximum tout mes traits pour éviter d’avoir des problèmes une fois dehors. Je suis Lumi qui commence à partir, dans ma cape je ne suis pas discret mais qu’importe, une fois dans la foule on se fait repérer, et je la suis, j’ignore pourquoi, mais je la suis. Je suis désolé Mère, mais je ne serai pas à Megido ce soir, non je serai avec une ravissante personne. Une fois à la porte je la vois partir plus en avant, mon instinct m’ordonne de ne pas la suivre, j’entends les garde juste derrière moi et une idée lâche mais probablement capable de sortir Lumi et moi de tout ces ennuis. Je me retourne et dit aux gardes :

« La femme aux cheveux blancs et moi-même avons été attiré dans tout ça contre notre volonté. Nous avons réussit à nous enfuir quand les fous ayant déclenché le chaos sont arrivés dans les égouts. »

Ils me font signe de les suivre pour que j’explique plus clairement les évènements, j’obtempère. Une fois arrivé là-bas je commence à raconter tous les évènements en détail. J’ai raconté toute la vérité sauf pour Lumi où j’ai prétendu que c’était le larbin de la démone qui la tiré au loin. Ça m’a pris longtemps de convaincre le garde que je disais vrai, lorsque j’en ai fini la nuit était tombée et ils m’ont dit de ne pas quitter la ville avant trois jours histoire qu’ils confirment mon histoire, ça m’allait étant le seul témoin encore en ville ils allaient avoir quelques difficultés. Je suis allé dans l’auberge où j’ai pris une chambre ce matin. Et j’ai dévoilé mon visage au clair de lune. Une fois arrivé là-bas j’ai séduit une demoiselle avec qui j’ai passé ma nuit et j’ai fait profil bas, avec cette demoiselle jusqu’à la fin du décompte et je l’ai laissée, elle et la ville derrière moi, avec la promesse que je reviendrai un jour.
Yolo:
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L'entre-deux-tours [Libre]

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