Franchement, je ne croyais pas que j’allais retourner là-bas avant bien longtemps. Mais en même temps j’avais entendu parler d’un détail qui avait attiré mon intention et qui aurait cru que c’était un simple humain qui allait m’en parler ? Alors que j’étais en train de marchée tranquillement dans une ruelle, j’avais entendu parlée un homme d’un manoir maintenant abandonné dans le foret des murmures. Je n’aurais pas vraiment fait attention si ce n’est qu’il avait parlé d’une récompense. Du coup, je m’étais mise à le suivre discrètement et quand il fut enfin seul, je me montrais finalement à lui. Il avait alors reculé et avait fini sur le sol alors que je ne l’avais même pas encore touché, ils étaient tellement insignifiants.

-Franchement, comme de faibles créatures telles que vous, avez pu tombé sur la protection de notre seigneur ? enfin, dit moi ce que tu sais sur le manoir du foret et ne train pas j’ai pas toute la journée.    

Sur sa protection oui, mais il n’avait pas encore interdit la meute, heureusement d’ailleurs. Mais sérieusement, comment notre monarque avait pu tombé aussi bas en les prenants sous son aile ? Les shamans, c’était normal, ils les avaient crées, mais eux. Enfin, je n’avais pas en m’en mêlée et tant que je pouvais encore faire ce que je voulais, je n’y prêterais pas vraiment attention. Je m’accroupis devant le jeune homme sourire, purement mauvais aux lèvres, il avait intérêt à faire vite s’il tenait à la vie.

-C’ est la manoir deKuro, il y a plein de trucs la devant et quelqu’un aimerait s’en débarrasse, il a promis une belle récompense pour ceux qui iront là-bas pour lui donné un coup de main. C’est tout ce que je sais, je vous le jure, madame.      

Tremblant, il me regardait complètement paniqué, faudrait peut être que j’apprenne à me montrer courtoise, bah une autre fois.
Le laissant en plan je me mis en direction du foret, kiata qui me suivait m’avait demandée pourquoi je voulais retournée là-bas.

* — La dernière fois des crétins se son permis de m’enfermée et ces toi qui à du tout faire pendant que j’étais enfermée avec cette femme, je ne peu le supportée, alors si j’ai moyen de prendre ma revanche.*    

Peu de chance que ce soit encore les mêmes, mais bonne, c’était une bonne excuse pour partir faire quelque chose. Cette femme, si pure, si écoeurante, j’en avais entendu parlée vaguement il y a peu. Ce petit ange avait réussi à bien montée en grade, vu qu’elle avait atteint le sommet de sa race. Si j’avais su, je l’aurais tuée avant.
J’allais continuer ma route vers le manoir, quand j’entendis quelqu’un arriver derrière moi.
     

La matinée était passée bien vite, légèrement déçue de cela, j'attendis encore et encore que la journée passe. Je ne voulais pas qu'elle passe, mais je n'avais pas vraiment le choix ; je n'avais aucune occupation, aucun compagnon pour voyager. Je remarquais deux hommes qui se postèrent non loin de moi, l'un d'eux était contre un mûr, l'autre se tenait debout face à lui. Mon oreille se baladait légèrement, entendant sans le vouloir leur conversation. Ils parlaient du manoir Kuro – Un manoir dont j'avais entendu parler plus d'une fois et qui attisait sérieusement ma curiosité. Ils parlaient d'envahisseur et d'une certaine récompense à la clé... J'étais tentée d'y aller, mais sans compagnon de route, j'allais fortement m'ennuyais et cela ne m'étais pas permis. Je m'étais ennuyer tellement d'années que la pire chose qui pouvais m'arriver c'était cela.

Je les approcher un sourire aux lèvres, ils me regardaient gentiment ; j'avais toujours cette apparence de jeune fille propre sur elle. Je m'arrêtais, mettant mes mains dans mes poches et les regardant timidement ; je prenais l'apparence mentale la plus fragile que je possédais.

« - De quoi parliez-vous à l'instant ? »

Demandais-je en souriant à l'un d'eux, un grand blond, qui me faisait étrangement penser à Mickael, ce qui me fit rougir.

« - Salut beauté. Ce dont on parlait à l'instant ? Du manoir du bon vieux Kuro bien sûr ! Il paraît qu'il y a des envahisseur. Il lâcha un franc rire puis continua. Mais, je me doute d'une fille comme toi sois tenté par une telle aventure. »

Il passa grossièrement sa main sur ma joue, cela m'énervai intérieurement mais je gardais ce sourire. Je le remerciais d'un simple sourire puis m'en allais vers le fameux manoir que j'avais déjà – heureusement pour moi – rencontrer. Je marchais rapidement et, une fois éloignée d'eux, je me mise à courir. Rapidement, je courais entre les passants, entre les fières, les nobles, les pauvres, les riches et autres classe sociale peuplant notre grand monde. Je me remettais à marcher, totalement essoufflée, remarquant une jeune femme aux allures différentes de celles que j'avais pu voir jusqu'ici. Elle attisa ma curiosité et j'osais l'abordé avec une pointe de timidité que je ne me connaissais pas.

« - Bonjour, mademoiselle. Êtes vous disposez à une aventure ? »

J'allais droit au but, ce n'était pas mon genre de passer par quatre chemins lorsque je savais ce que je voulais.

Me retournant, je put voir une jeune fille arrivée près de moi, elle se semblait légèrement essoufflée, mais sans plus. Avait-elle couru pour venir dans cet endroit, quelle idée ? Alors que je ne contais pas vraiment y prêter attention, la jeune femme c’était alors approchée de moi, me demandant clairement si j’étais tentée par une aventure. Au moins, je ne pouvais pas lui reprocher de faire trainer les choses, mais j’étais quand même assez surprise.

- Il est assez rare que quelqu’un demande de partir en aventure avant de demander quoique ce soit d’autre.

Sa voix m’avait semblé étrange, mais je n’y prêtais pas vraiment attention, du coup je me contentais de regarder la jeune femme, elle semblait jeune et je devais bien l’avouée, elle était assez jolie. Mais elle me semblait assez jeune.

-mais voyez, je suis déjà occupée, je dois me rendre dans un manoir quelque part dans ce foret, il y aurait besoin d’un videur. Alors si vous n’y voyez aucun incoviennient, je vais me remettre en route.

Kiata avait regardé la jeune fille assez attentivement et alors que je pensais à continuer mon chemin, elle m’arrêtait.

* il y a quelque chose qui m’intrigue, son odeur, elle me fait légèrement penné à toi, mais je ne sais pas pourquoi. De plus, pourquoi est-ce qu’elle ne pourrait pas venir avec nous, on pourrait s’aider mutuellement.

Aider ? Elle est tombée sur la tête ? mais le faite qu’elle avait dit qu’elle avait quelque chose en commun avec moi. Même si elle se trompait peut-être, ça pourrait être intéressant d’en savoir plus sur cette femme. Mais l’aider, ça allait être compliqué.

-Mais peut être est-ce que nous pourrions nous rendre service toutes les deux, vous m’aider dans le manoir et je vous aide par après. Ce serait plutôt une bonne idée non ? Enfin si vous avez du temps à perdre.

Car peut importe ce qu’elle devait faire ici, j’avais bien l’attention de commencer par mon but et non le sien.

Je la regardais un sourire satisfait aux lèvres ; si elle ne m'avait pas parler de manoir, je n'aurais jamais oser lui dire que je me rendais également dans un manoir. Enfin, je ne le fis pas directement, je la suivais à pas de loup tandis qu'elle s'éloignait de moi, reprenant peu à peu mon souffle jusqu'à qu'elle me propose de nous rendre mutuellement service. Franchement, l'idée n'était pas déplaisante, loin de là, même... Mais, pourquoi aiderais-je une personne comme cette femme ? Elle était certes belle, mais elle avait cette allure provocante qui ne me plaisait pas du tout. Je hochais la tête pour lui répondre par l'affirmatif.

« - Mon aventure se passera au manoir kuro où je dois aller chasser quelques êtres in voulue. »

Peut-être que lui parler directement de ce qui m'amenait au manoir Kuro n'était pas une bonne idée, mais peut-être que si, finalement. Elle avait parler de videur et de manoir et après mûre réflexion ; y a-t-il des indésirable dans tous les manoirs de la ville ou est-ce une étrange coïncidence si je viens de trouver quelqu'un qui était motivé par les mêmes raisons que les miennes ? Il était certes stupide que je m'attarde sur le sujet, mais son corps ne me faisait pas penser d'elle une aventurière. Elle avait l'air, au contraire, d'une fille assez faible et aimant attiré l'attention des hommes ; c'était mon avis et il était peut-être désagréable et même méchant – si je puis dire ainsi – mais c'était mon avis.

Je me mise à marcher tandis que ma renarde, Neige, bondissait sur mon épaule ; pour une fois, j'avais invité la renarde à participer à l'une de mes aventures. Dénué de tous talents de combat et de magie, je voulais bien lui faire comprendre à quel point c'était dangereux ; néanmoins, s'il sagissait de fantômes à faire partir, elle me serait d'une grande aide.

« - Je ne me suis pas présentée, qu'elle impolie fais-je ? Je suis Yami Nezeryä. »

Pourquoi m'embêterais-je à donner mon second prénom ? Je ne vois là aucune raison à cela. J'attendis, impatiente, qu'elle me donne le sien mais ne m'attendais certainement pas à ce qu'elle dévoile son identité aussi facilement que je l'avais fais ; c'était, en soit, compréhensible.

Elle m’avait alors suivie un peu discrètement, même si je voyais bien que son intention était de se faire oublier. Du coup j’avançais calmement en attendant qu’elle me réponde. Après quelque instant elle me dit alors qu’elle aussi devait se rendre dans le manoir que je voulais, en plus, elle devait y faire la même chose que moi. C’était plutôt bien tombé quand même. Je me demandais pourquoi elle voulait s’y rendre. Est-ce qu’elle voulait simplement aider quelqu’un ou est-ce que comme moi, c’était la récompense qui l’attirait ? En tout cas l’important c’est que je ne serais pas seul en fin de conte. Alors que je regardais la jeune fille, l’attendant pour qu’elle puisse me rattraper, je vis alors qu’elle avait en sa compagnie une jolie renarde blanche. Je dois bien avouer qu’elle était jolie, mais je me demandais aussi si elle était capable de quelque chose en particulier. J’avais appris à me méfier des compagnons, car certains possédaient des pouvoirs assez puissants. Elle finit par mon dire son prénom, c’est vrai que je n’y avais même pas songé à faire les présentations, mais bon, en même temps ce n’était pas dans mon habitude.

- Je m’appelle Gaïa et ma panthère c’est Kiata. Mais dites-moi, mademoiselle, qu’est-ce qui vous intéresse dans cet endroit. personnellement, j’ai un petit conte à réglée avec certaine personne qui s’y trouvais et j’aimerais voir s’ils sont encore la et si c’est le cas, j’avoue que je serais ravie des foutres dehors si je le peux.
*tu deviens bavarde tout à coup*

Je ne lui répondis pas, car en faite je me disais simplement que je ne pouvais pas continué à caché toutes les informations que j’avais et surtout, si nous devions le faire ensemble, autant qu’elle en sache le plus possible après tout.
La dernière fois que je m’étais aventurée dans ce foret, je m’étais trouvée enfermée et je contais bien à ce que ça n’arrive pas de nouveau, du coup j’étais un peu plus prudente par tout ce dont il m’entourait. Kiata, elle s’avançait un peu plus loin pour voir s’il n’avait rien de particulier sur notre chemin. Mais j’étais beaucoup plus forte que la dernière fois, du coup, j’étais persuadé que tout ce qui m’était arrivé n’arriverait pas de nouveau.

-Par conte, j’avoue que je ne suis pas tout à fait certaine de la direction qu’il faut prendre, la dernière fois que je m’y suis rendu, j’étais un peu pressé et c’était par hasard.

Mes yeux se tournèrent vers la panthère qui se trouvait tout près de la jeune femme ; Gaïa, puisque c'était le nom qu'elle m'avait donner. Mon but  n'était autre que la récompense à la clé ; je n'allais tout de même pas aider quelqu'un sans récompense au bout, l'idée seule d'aider gratuitement et en toute conscience une personne dont le besoin y est me fit sourire, j'étouffais un rire puis repris un visage sérieux, pensant à lui répondre.

« - Pour ma part, si je vais là-bas, c'est simplement pour la récompense qu'il y a à la clé. »

Je n'en dis pas plus, laissant tout de même un doute peser sur ma réponse ; c'était le genre de jeu, certes puéril, mais qui m'amusait sincèrement ; ça, et la souffrance. Je laissais croire à mon amie que j'étais une simple humaine, après tout, je n'avais pas à justifier mon identité et ma race, nous nous aidions et ça s'arrêter là. Nous avancions lentement mais sûrement, soudainement elle vint remettre en cause son sens de l'orientation, c'était sans doute autant pour la rassurer qu'elle que moi même que je m'entendis dire à voix haute :

« -Oh, tu sais, j'ai déjà eu l'occasion d'y aller plus d'une fois et je suis sûre que nous sommes sur le bon chemin. »

Nous avançâmes donc à un rythme régulier, chaque pas soutenu par le froid hivernal et les coups de vent incessant qui s'était abattue sur le continent depuis quelques temps. Ce temps, d'ailleurs, était absolument détestable et réellement insoutenable, moi, par exemple, qui n'avais jamais était habituée aux périodes de grand froid était totalement déstabilisé. Ensuite, neige, elle qui avait toujours était habituée à l'hiver ( et qui d'ailleurs est une renarde polaire ) ne craint nullement le froid de l'hiver et aime la neige comme sa seconde famille. Vous savez, ces cristaux blanc qui décorent vos cheveux et vos vêtements l'hiver, glaçant au passage vôtre peau et vôtre sang ?

Le chemin qu'on avait pris était sans doute le bon car je reconnu plusieurs éléments du décor qui m'avait accompagner durant mes précédents voyages.

Juste la récompense, ça tombait plutôt bien, car j’avais un peu peur. C’est vrai après tout, elle pouvait très bien vouloir s’y rendre pacifiquement et ce a, je ne suis pas certaine que j’aurais appréciée, mais bon. Elle me certifia aussi que nous étions sur le bon chemin, temps miteux, car je n’avais vraiment pas envie de commencer à chercher pendant des heures mon chemin dans cette forêt. Et dire qu’il y avait un peuple qui y vivait, je dois bien avouer que j’avais du mal à la croire, cet endroit était vraiment sinistre et peu accueillant. Bon d’accord, c’était le genre d’endroit ou je ne trouvais pas mal de chose aussi intéressante qu’effrayante, mais j’avais le droit de ne pas aimer, n’est-ce pas ? On continuait alors à avancer, marchant dans ce froid glacial. J’espérais vraiment que nous n’allions pas tardé à arrivée, car je ne voulais continuée à gelée ainsi, en plus, Kiata devait être du même avis, pour une panthère capable de crée le feu, le froid ne devait pas être son élément préféré. De plus, pendant un moment de silence, j’entendis un drôle de hurlement, animal et non humain. Je me doutais bien que les prédateurs devaient avoir du mal à trouver leur proie avec ce froid et on risquait certainement de figurer au menu si nous ne faisions pas assez attention.

-En faite, qu’est ce que tu serais sur ceux qui vivent dans le manoir actuellement ? Car personnellement, je sais qu’il y a des vampires, mais c’est tout. Pourtant, j’ai entendu dire qu’il n’y avait pas que ça.

Et encore, est-ce qu’il restait encore des vampires ? Si oui, ce n’était certainement plus ceux qui j’avais déjà eu l’occasion de rencontrée, en quelque sorte c’était dommage, car je ne pourrais pas prendre la revanche que j’attendais avec impatience depuis longtemps. Mais dans un sens, ça n’avait pas vraiment d’importance. En faite ce qui l’était un peu plus, c’était les bruits qui se rapprochait, regardant autour de nous, j’essayais de voir qu’est-ce qui s’approchait.

— *c’est des animaux, des prédateurs sans doute.*

Comme je m’y étais attendu, quand il n’y a plus de proie, on s’en prend à tout ce qui passe, même s’il s’agit d’humain.