À la chute avait succédé les ténèbres. Un océan de ténèbres et de douleurs ou aucune sortis n'était possible et envisageable. Je sentis vaguement quelqu'un déplacer mon corps mais quand je tentas de parler ou d’émettre le moindre son rien ne sortis de ma bouche, si bien que replongea dans cet océan. Je repris conscience quand une pointe de douleur, plus forte que les autres m'arrachas un faible gémissement. Cependant j'entendis une voix répondre à ce bruit. Elle semblait lointaine, comme venant d'un autre monde et il me fallut ce que je pris pour une éternités pour comprendre ce qu'elle me disait. « Ne bougez pas, je finis votre oreille ! » j'avais beau comprendre ces paroles je n'arrivais pas à leur trouver un sens. Que voulait 'il dire ? Je resta quelques seconde à chercher la signification de ces paroles puis, ne parvenant pas à me concentrer à cause de la douleur présente sous mon crane j'ouvris les yeux.

La pièce ou j'étais allongée était, de ce que je pouvais voir, assez spacieuse. Néanmoins L’obscurité présente m’empêchais de voir grand chose. J'entendis vaguement le clapotis de l'eau à côté de moi et un faible bruit plus indistinct qui semblait provenir du fond de la pièce. Je restas quelques instant par terre sans rien regarder d'autres que devant moi puis je cherchas à promener un petit peu plus mon regard dans la pièce afin d'essayer de glaner de rares détails au milieu de cette obscurités.

La première chose que je vis et qui eu pour effet de me tirer un nouveau gémissement, d'horreur cette fois, était ce que j'avais entre les bras. La personnes qui m'avait amenée ici avait crus, pour je ne sais qu'elle raison, bon de me donner une tête humaine à moitiés dévorée me regardant de ces orbites vides. Enfin cela n'était réellement le mots juste. Si l'un des yeux était vide mon agitation avait fait se réveiller un rat qui en sortit précipitamment et s’enfuit en me courant sur la jambes. Effrayée par cette soudaine apparition je jetas comme je le pus la tête au loin. Je tentas d'essuyer mes mains à ma robe mais le seul contact que je ressentis au niveau de mes jambes fut le contact de ma propre peaux, froide et moite. Pour la premières fois depuis mon réveil jarretas de promener mon regard dans la pièce pour me regarder moi.

Mon hôte avait décidé de m’ôter certain parties de mes vêtements me laissant partiellement nue. Mon torse était presque encore entièrement couvert de tissus, à l’exception d'une partie de mon ventre, mais mes jambes était elle dénuée de tout morceau de vêtement. Je me replia un petit peu sur moi à la vue de cette tenues. J'étais d'un naturel assez pudique et la situation n'avait vraiment rien pour arranger les choses. Je ne pus m’empêcher de sentir le rouge me monter aux joues en imaginant la personnes qui m'avait amenée ici me regarder dans cette tenue, qui en soit n'avait pourtant rien de réellement choquant.

Ma gorge sèche et le clapotis proche de l'eau me firent revenir à la raison. Je me tournas comme je pus vers l'eau et tendis la mains afin de boire. Alors que j'allais toucher la surface de l'eau ma main rentras en contact avec un objet dur. Je me penchas sur le bord du bassin afin de voir de quoi il s'agissait et je me jetas aussitôt en hurlant en arrière reculant temps bien que mal. Ma main venait de toucher de nouveau un crane et avec lui était présent au milieu du bassin de nombreux morceau de cadavres. Certains était partiellement dévoré, d'autres n'était plus que des os et certains, comme le crane que je venais de toucher, était encore entier. Je ne pus réprimer un haut le cœur à cette idée et je dus tout m'être en œuvre afin de ne pas vomir. Mon estomac se réveillas d’ailleurs à cette occasion me rappelant que je n'avais pas mangée depuis plusieurs jours.

J'avais reculée jusqu'à toucher l'un des murs de la salle et ce n'est qu'après un certains temps que je me rendis compte que j'étais à côté de mon hôte. Ces traits étaient indistinct à cause de l’obscurité ambiante mais il était indéniable qu'il se moquait de moi. Prenant péniblement appuis sur le mur je me levas pour être à sa hauteur et me dirigeant vers lui je dit d'une voix tremblante que je tentais de rendre la plus sure possible « Je peux savoir qui vous êtes pour avoir osé faire ça ? Vous voyez quelqu'un d'évanouie et vous.. » je n’eus pas le temps de finir ma phrase que de nouveau j'étais en proie aux vertiges qui m'avait terrassée auparavant. Cette fois ci je parvins à ne pas m'évanouir mais je perdis mon appuis contre le mur et tombas à genoux devant lui en cherchant vainement à recouvrer mes esprits.

La pièce entière tournait autour de moi dans une valse macabre et il me fallut plusieurs seconde avant de parvenir à retrouver mes esprits. J'étais par terre, haletante et cherchant à retrouver un semblant de raison quand je le vis s'agenouiller devant moi et me tendre un main que je jugeait, à ce moment la, libératrice. Je n'hésita pas une seconde à la saisir et ce n'est qu'une fois relevée et collée contre lui que les premières bouffées de peur et d'angoisse firent leurs apparition. Il me parlant un instant non sans regarder de manière appuyée mon torse. Je tentas un instant de me défaire de son étreinte mais elle se fit plus fort et alors qu'il plongeait son visage dans mes cheveux le désir et l'envie vinrent se rajouter à la peur et l’angoisse lorsqu'il me susurra à l'oreille«  Et ce qui me plaît, je le prend... »

Mon rythme cardiaque commença à s'emballer à ce contact et aux mots qu'il m'avait susurrée. Je levas la tête afin de placer mon regard dans le sien et ne put retenir que de justesse un nouveau gémissement de peur face à la révélation qui venait de s'imposer à moi. Les yeux de mon hôte était rouge. C'était un signe distinctif entre mille autres que la personnes appartenait au peuples vampirique. Je tentas de nouveau de m'arracher de cette étreinte mais la faim, la soif et les éléments récents avait annihilé toute trace de force en moi. Je fut arrachée à la contemplation de ces yeux quand il se mit en route vers le centre de la pièce et, surtout, du bassin qui m'avait quelques instant au par avant effrayée.

Une fois à côté je regardas de nouveau la surface du bassin et réprimas de justesse un nouveau haut le cœur. Je détournas les yeux attendant de voir ce qu'il avait à me dire mais mes yeux rencontrèrent de nouveau la tête que je tenais quelques minutes plus tôt et je décidas de porter mon regards sur mes pieds attendant patiemment qu'il dise quelque choses. Après un bref instant je sentis de nouveaux son regard se poser sur moi et la surprise et le dégoût me frappèrent quand il me fit par de ce qu'il voulait que je fasse. Finissant sa phrase il me saisit le menton et me forçant à le regarder il me fit comprendre à quoi j'étais destinée si je n'acceptais pas.

Je soutins son regards quelques instant tout en réfléchissant à la situations dans laquelle j'étais. Je n'étais qu'un jouet pour lui. Un jouet dont il pouvait décider de se débarrasser n'importe quand. Et pourtant il ne l'avait pas encore fait. Je secoua faiblement la tête dans un signe de négation. Peut de temps au par avant j'avais souhaitée de tout mon être qu'on m'ôte la vie et la que j'avais opportunité qu'on le fasse je ne parvenais pas à m'y résigner. Je regardas de nouveau le bassin plus en détail cette fois. Contrairement à ce que j'avais vu au début il n'était pas très large de sorte que je pouvait, avec de la chance, la pièce assez facilement. Après un bref instant je reportas mon regards sur lui et arrachas les derniers lambeaux de tissus qui cachaient ma poitrine. Afin qu'il évite d'entraver ma recherche qui s'avérait déjà difficile. Un instant après je fermais les yeux et rentrais dans le bassin.

L'eau était froide et moite. Les morceaux de corps venaient se coller à moi sans interruption et je devais faire preuve d'une immense concentration pour réussir à les repousser sans défaillir. Je me plaças au centre du bassin et prenant une grande inspiration je plongea la tête dans l'eau cherchant à taton la pièce. Je ne savais pas jusqu'à quel point il m'avait mentis et si la pièce était ou non un bien réellement précieux mais ma survies dépendait d'elle. Plusieurs fois je crus réussir à mettre la main dessus et à chaque fois l'excitation de la réussite laissait la place à la désillusion de la défaite. Je faillis abandonner mes recherche quand sortant quelques chose que j'avais touchée du bout des doigts, je me rendit compte qu'il s'agissait en réalités de la dernières phalange d'un pouce. Je le jetas au loin dans la pièces en poussant un cris de surprise et de dégoût et tentas de retrouver mon calme avant de reprendre les recherches. Aux termes de longue minutes je repartis chercher la pièce

Cette fois-ci la chance fut avec moi car je trouvas la pièces dans les secondes qui suivirent la reprise de mes recherche. Je m'extirpas temps bien que mal du bassin, l'eau ruisselant sur mon corps. Je cachas, comme je pus ma poitrine à l'aide ma main gauche et de l'autre je lui jetas la pièce. Elle vint le frapper à l'épaules avant de tomber à ces pieds avec un bruit aiguë qui se répercutas quelques instant dans la salle. l'instant d’après c'était ma voie qui raisonnais dans ce lieux « Tenez la voici votre pièce comme vous me l'aviez demander. Alors maintenant serait-ce trop vous demander de m'aider ? Je n'ai de toute façons pas mangée depuis plusieurs jours et je ne pense pas pouvoir vous être d'une quelconque utilités dans mon états. Sauf si bien sur vous me comptez me tuer maintenant. Mais je sais que vous ne le ferez pas. Si vous vouliez le faire vous ne m'auriez pas demandé d'aller chercher cette maudite pièce. » Je joignis avec mes derniers mots un coup de pied dans la pièce qui partie frapper le mur en face de moi.Ce faisant je replaças mon regards dans le sien et attendit de voir sa réaction.

J'étais sorties du bassin avec la ferme intention d'obtenir ce que je voulais de sa part néanmoins maintenant que j'avais finis mon discours et que je le voyais bouger, toute détermination, tout fragment de courage avait quitté mon corps pour faire place à la peur primaire que j'avais déjà ressentis quelques instants au par avant. Je suivis du regard sa lente descente vers la pièce et quand il se relevas en plaçant son regards dans le mien j’eus un mouvement de recul. Qui s'ensuivit d'une multitude d'autre quand, tout aussi lentement que quand il avait ramassé la pièce il s’approcha de moi. Après un bref instant je sentis le contact du mur froid et poisseux dans mon dos, cependant il ne s'arrétas pas la et continuas à se rapprocher de moi, jusqu'à se retrouver à seulement une quinzaine de centimètres.

Je l'entendis murmurer quelques choses au sujet de la pièce mais je ne pus saisir quoi. Tout mon être était concentré dans le seul but de trouver une solution à la situation dans laquelle j'étais. J'haletais. La peur s'emparait de plus en plus de moi et je ne sais pas grâce à quel miracle j'avais pu ne pas succomber à la folie. Soudainement il plaque sa main libre sur ma gorge, et tout en me caressant la peau je le vis me regarder avec envie. Bien que déplacée sa caresse n'était, en soi, pas désagréable cependant son emprise se fit soudainement plus brutale. L'air n'arrivait plus, ou difficilement, à mes poumons et je tentais de prendre de grande gorgée d'air qui ne pouvait pas descendre plus bas que ma bouche. Soudainement il me jetas au sol et alors que je prenais un grande gorgée d'air je le sentis s'abattre sur moi de tout son poids. Je me plia en deux sous la douleur éjectant le peu d'air que j'avais pu récupérer. A sa chute avait suivit un craquement sonore au niveau de mes côté et la douleurs m'indiquait qu'il devait avoir réussi à m'en cassée une ou deux.

Le manque d'air m'avait rendus à moitiés inconsciente et c'est sans aucune résistance que je le laissa soulever ma tête et la guider ou bon lui semblait. Je buvais l'air à petite gorgée et si je soutenais son regards c'était uniquement car je n'avais pas la force de faire quoi que se soit d'autre. Soudainement il repris ces caresses sur ma peau. À la différence que cette fois ci il les faisaient avec le pouce que j'avais sortit de l'eau et que j’espérais ne jamais revoir. Je me retins le plus possible de ne pas régurgiter quoi que se soit mais ce contact morbide eux vite fait de faire tomber mes faibles barrières mentales. J'exultat une mixture composée de salive et de sang et sans que je pus réagir d'une quelconque manière il colla ces lèvres aux miennes. Je sentis sa langue dans ma bouche chercher à récupérer le moindre fragment de cette mixture que je venais d'éjecter. Il m’empêchait de nouveau de respirer et pour une raison que je ne compris pas immédiatement je le sentis me mordre avec sauvageries ma langue qui se mit à saigner abondamment. Je le sentais aspirer mon sang hors de moi et alors que je tentais de le repousser vainement le manque d’oxygène commença à se faire ressentir et ma force commença une énièmes fois à fuir mon corps, en même temps que ma force vitale.

Néanmoins il n'avait pas oublié que j'étais un jouet dont il pouvait faire ce dont il voulait et c'est pour cette raison qu'il me laissa de nouveau choir au sol, crachant mon sang et reprenant péniblement mon souffle. Je restas ainsi de longue seconde et quand j'entendis son pied fendre l'air je ne compris pas immédiatement ce qui se passait. Jusqu’à ce qu'il rentre en contact avec mes côté finissant de briser celle qu'il avait au préalable fêlée en tombant sur moi. Ce contact me fie pousser un cris de douleur, et expulsant par la même occasion le sang qu'il me restait dans la bouche. J’étais étendus, haletante sur la pierre froide du sol et quand il se baissa me tendant de nouveau la main je resta sans rien faire, incapable de faire quoique se soit à cause de la douleur qui irradiait mon corps.

Je n'eus pas à bouger, il se contentas de me saisir à l'épaule et de me lever sans aucun ménagement. Il me mit alors la pièce devant les yeux et m'expliqua que c'était d'elle qu'allait dépendre la suite des événement. Je n'avais jamais eu beaucoup de chance dans ma vie mais si il devait y avoir un jour c'était aujourd'hui.« Pile, j’accède à vos désirs… Face, j’accède aux miens d’abord… » Il tendis la mains devant lui et attendit quelques seconde avant de l'ouvrir. Sur le côté visible de la pièce était visible la tête d'une femme qui avait du vivre jadis. J'étais donc à ce point maudite par les dieux ? Je le regardas un instant et me dégagea d'un mouvement sec d'épaule . Tenir seules debout était presque impossible à cause de la douleur qui irradiait dans mes côté néanmoins je voulais faire une chose avant qu'il ne se livre à ces 'désirs'. Ma main fouettas l'air à deux reprise. A l'aller elle frappas sa main envoyant la pièce valser au loin et au retour c'est sa joues que je frappas je pris une profonde inspirations qui me tira une grimace de douleur et dit d'une voix tremblante à cause de la douleur et de la peur. « Et bien allez y. Faites ce que vous avez à faire. Si vous continuez comme sa vous me tuerez avant d'avoir pus accéder à la totalités de vos désir de toute façons. Par contre je vous préviens. Vous avez peut être réussis à me dérober mon premier baiser mais vous ne prendrez pas ma première fois en toute impunités. »

Ce n'est qu'au moment ou ma main rentra en contact avec sa joue et qu'il la saisit que je compris que je venais de faire une erreur. Je décidas néanmoins de quand même finir ma tirade et attendis sa réaction qui, je le savais, n'allait pas tarder à arriver et ne me plairais pas. Profitant de tenir mon bras il m'attiras de nouveau à lui et colla ces hanches aux miennes me révélant pour la première fois l'effet que je lui faisais vraiment. Ces bras m'enserrèrent et alors que ces lèvres se baladaient sur mon épaules ces doigts massaient douloureusement les côte qu'il m'avait au préalable brisée. Cependant ce contact et cette douleur commencèrent à éveiller un moi un début de désir que je ne réussi à dissimuler que péniblement.

Il me poussa doucement dans le dos et je me retrouvas de nouveau dans le bassin que j'avais quittée quelques secondes au par avant. Je le regardas un instant se déshabiller et quand il arrivas sur la parties basse de son anatomies je détournas les yeux rougissant légèrement et me remettant à chercher la pièce. Je fut tirée de mes recherches songeuse par la voix de mon hôte énumérant les éléments actuel de la situation. Une fois finis il se rapprochas de moi me bloquant au bord du bassin me faisant m'incliner et m'extrayant un faible cri de douleur. Mon torse était collé au sien et je ne pris attention que ces mains bloquaient de nouveau les miennes. Bloquer dans cette position, mes cuisse entourant les siennes je pus de nouveau constater l'effet qu'avait ma présence et la situation sur lui. Cette situation eut pour effet d’accroître le début de désir que j'avais ressentis quelques minutes plus tôt. Nous restâmes un instant dans cette position et quand il eut finis de parler de ma manières d'être son visage pris un air sérieux alors qu'il me proposait un nouveaux choix.

Ces lèvres vinrent de nouveaux chercher les miennes sans que je ne puisse rien y faire mais cette fois-ci le baiser fut plus doux, plus délicat que le premiers et c'est presque à regret que je le sentis s'éloigner après quelques seconde. Ces mains quittèrent mes poignets et il enserra mon corps dans une douce étreinte. Je l'écoutas un instant et réfléchis à la ce qu'il venait de me dire. je souhaitais ardemment quitter cet endroit sans que d'autres problème ne surviennent mais il était indéniable que cela ne pourrait ce passer aussi simplement. Je le laissas me bercer un instant au grée de l'eau etc'est presque à regret que je me recula au bout de quelques minutes.

Ce que j'allais faire me dégouttais et je savais que ce n'étais pas la seules solutions néanmoins je souhaitais voir quel effet cela allez avoir sur lui. Il avait réussi à faire naître du désir en moi et même si de ce que je voyais et sentais la situation ne le laissait pas indifférent je voulais lui rendre la pareille. et voir ou cela allez nous mener. Et m'importais les conséquences, j'étais prête à les supporter Je lui offrit un faible sourire et dit d'une voix similaire " Vous avez raison mon comportement était déplacée et je n'aurais pas du réagir ainsi. " Je finis de détacher mes cheveux et les faisant passer devant moi je les pressa faisant perler sur mon torse les dernières goutte de la mixture qui, quelques instant au par avant, remplissait le bassin. Je regardas un instant ma main recouverte de ce liquide et m'en répandit délicatement sur les lèvres. Je m'approchas de lui et déposant un baiser volage au coin des siennes je continuas mon discours " Très bien comme vous me l'avez demandée nous allons repartir sur des bases plus correct " me collant à lui je fis se balader ma mains sur le haut de son torse décrivant de lège cercle. " je m’appelle Lumi et je suit une Humaine. Je devais, avec un groupe de personnes, vérifier quelques chose au sein du marais mais les choses ne se sont pas passée comme prévus. Tous les autres membres sont morts les un après les autres et après quelques jours d'errances sans rien pouvoir manger ou boire je suis arrivée devant chez vous."

Ma main quittas son torse afin de récupérer de nouveau quelques perles de sang dans mes cheveux que je déposa un nouvelles fois au coin de ces lèvres. Une fois cela fait je lui fit reprendre son parcours sur le torse de mon hôte mais cette fois-ci je faisais des allez retour entre son ventre et son torse. " Ce sont, je pense les principaux points que vous avez besoin de savoir à mon sujet et si vous avez d'autres questions alors dites les moi et je verrais si je peux y répondre ou non. Néanmoins maintenant j'aimerais avoir de plus amples informations sur vous, si vous le voulez bien, bien entendus."

Ma déclaration est accueillie par un petit rire moqueur et une phrase sarcastique. Plaçant mon regard dans le sien j’attends de voir quel relief il compte donner à la suite des événements. La surprise s’empare de moi quand je le vois poser deux de ses doigts sur ma bouche. J’hésite un bref instant ne sachant pas ce qu’il souhaite réellement me voir faire puis, hésitante, je me mets à les lécher. Sa deuxième main vint frotter longuement ma jambe reposant sur son épaule. Un frisson de plaisir parcourt mon corps à ce contact. Lentement il descend la main qu’il a amenée à ma bouche à l’orée de ce que je désire le voir plus que tout passer. Il se contente d’un frôlement sur ce lieu mais cela suffit à m’extirper un nouveau gémissement de plaisir. Puis soudainement je sens l’un de ces doigts s’inviter à l’intérieur de moi. Le frisson de plaisir qui à parcourut mon corps quelques instant au par avant réapparait, avec une amplitude plus forte. Je me sens me resserrer instinctivement à ce contact alors que dans le même temps un léger cri passe mes lèvres se propageant un instant dans la pièce. Durant quelques instants il fait coulisser son majeur à l’intérieur de moi. De faible secousse parcourt mon corps et quand je le sens sortir je porte sur lui un regard ou pointe un soupçon de tristesse.

Il passa sa main sous moi m’amenant à sa hauteur mon regard toujours rivé sur le sien. Une pointe de peur perce en moi quand je le vois se vouter et fondre de ma gorge et c’est, impuissante, que je le sens transpercer ma peau à cet endroit. La douleur est similaire à une piqure et je le sens extirper goulument mon fluide vital en dehors de moi. Très vite la douleur et la surprise font place au plaisir et de faibles gémissements passent mes lèvres au fur et à mesure que je le sens boire en moi. Levant mes yeux sur le plafond de la salle je ferme mon esprit et m’ouvre à se nouveau sentiment de bonheur qu’il instille en moi. Encore une fois c’est à regret que je le sens arrêter ce qu’il à entrepris, néanmoins je sais qu’il serait dangereux pour moi qu’il continu cela plus longtemps et c’est ainsi que je le laisse faire. Il De nouveau il se penche vers moi, dans le but cette fois de m’expliquer que une fois que je ne serais plus chaste mon sang aura changé de gout. J’avais déjà entendus dire que pour les vampires chaque race avait un sang différent mais j’ignorais que ce changement corporel pouvait avoir une telle conséquence. Cependant bien qu’elle soit intéressante je ne formalise pas de cette nouvelle. Mon esprit est presque totalement anesthésier par le désir qui brule en moi et même si je parviens encore à raisonner à peut prés convenablement je ne fais aucun effort pour.

A peine eut ’il fini sa phrase que ma bouche accueille un nouveau baiser auxquels cette fois ci est joint le gout de mon sang. Un sang de vierge voué à disparaitre dans un futur proche. Je réponds à son baiser du mieux que je le pus pertinemment consciente de mon inexpérience et légèrement honteuse à ce sujet. Quand il le clôtura il exprima l’une de ses pensées à voix haute et je me contentas d’un petit sourire en guise de réponse. C’est ce moment qu’il choisit pour entamer ce que j’attends depuis quelques minutes maintenant. Bien que je me sois attendu à ce résultat et que je l’ai souhaité de tout mon cœur, ayant même cherché à le déclencher, je sens la peur qui commence à poindre en moi alors qu’il se présente aux portes de ma féminité. Pour la premières fois je prends conscience que c’est lui qui va me faire devenir une femme à par entière.

C’est en prenant conscience de cela que je le sens s’immiscer en moi. Lentement, petit à petit comme si il ne désirait pas me faire souffrir je le sens rentrer. L’écartement de mes chairs et cette présence en moi m’extirpe un long et langoureux râle de plaisir. Une fois entièrement en moi il semble s’en désintéresser un instant. Sa langue cherche de nouveau la courbe de mes seins, s’y attardant un bref instant. Cependant une fois ce bref arrêt fait je senti de nouveaux ses dents transpercer ma chair pompant mon sang hors de moi. Je le laissa faire ne cherchant nullement a précipiter les choses qui allaient avoir lieux plus bas. Je savais que si je désirais que tout se passe pour le mieux je devais lui vouer une confiance aveugle, et son insertion m’avais fait comprendre que je pouvais le faire. Apres quelques instants il cessât de boire et commençât lentement la danse de ses reins.

Il faisait preuve d’une extrême douceur, comme ci il avait désiré plus que tout que de cette expérience je ne garde aucune séquelle. Je fermas les yeux, m’ouvrant à cette explosions de plaisir brute que je sentais naitre en mon bas ventre à chacun de ces allez retours. Laissant les cris que j’avais prévus de retenir franchir mes lèvres sans chercher à les retenir. Je ne m’étais pas attendus à ce qu’il fasse attention à moi dans cet acte cependant il était indéniable que c’était ce qu’il était en train de faire. Retenant un énièmes gémissement je dis entre deux souffles « Les derniers événements… ne m’avais pas laissée penser… Que vous pouviez être aussi attentionné. Je peux me tromper… Mais vous ne semblez pas… décidé à faire… de ma première fois un enfer. Et pour cela… je vous remercie. » Je m’interrompis un instant poussant un cri de plaisir déclenché par un allez un petit peu plus fort et profond que les autres. Un faible sourire naquit sur mes lèvres que je posa délicatement sur le siennes cherchant un nouveaux baiser. Une fois celui-ci obtenu, reprenant péniblement le contrôle de moi même je lui posa une question qui me brulais les lèvres depuis toute à l’heure. En réalité, la seule question à laquelle je souhaitais une réponse. « Vous allez… Encore me trouver impertinente… pour vous demander cela… Dans la position ou je suis… Mais… puis-je au moins savoir votre nom ? Et en échange... Faites de moi votre jouet » Ma voix se tut dans un long gémissement de plaisir et c’est, dodelinant de la tête que je plaça mes yeux dans les siens, mon corps toujours soumis au soubresaut de ses allez venues et mêlée à mes propres frisson de plaisir chacun me faisant tressaillir et m’arrachant, pour la pluparts de légers cris.