Si tout avait plus ou moins commencé avec douceur cela ne dura guère longtemps. Je sentis ces coup de reins gagner en puissance à chaque aller-retour et rapidement mes faible gémissement de plaisir se transformèrent en cris ou cette fois-ci la douleur ce mêla au plaisir. Soudainement en même temps que je jouissais de ce mélange de douleur et de plaisir entremêler je sentis quelques choses se déchirer douleuresement en moi. Je partis en arrière chutant lourdement sur le dos, haletante et paniquée face à la suite des événements. Je sentais du sang et sa semence couler au niveau de mon bas ventre et c’est terrifiée que je le regardas dans les yeux. Chacun des mots, chacune des syllabes qu’il prononçait tombaient avec la violence d’un coup de couteau. Alors qu’il sortait lentement de l’eau je reculas tant bien que mal. Je n’eu guère le temps d’aller bien loin, sa main s’emparant soudainement de mon coup ou, par les morsure dont il m’avait gratifiée, s’écoulait encore faiblement mon sang qui avait commencé son travail de coagulation. Il continuait de parler, de son ton neutre et blessant. Un instant je sentis les larmes me monter aux yeux mais je les stoppas immédiatement. Je lui avait donné la satisfaction de me prendre pour la premières fois et celle de me voir désemparée. Je ne rajouterais pas à cela celle de me voir en pleur et suppliante.

Plus que ces paroles se qui me laissa inerte sur le sol, à la recherche de n’importe quoi susceptible de me servir de motivation pour oser me relever et lui tenir, fut son rire. Le rire d’un dément qui avait réussi à atteindre ce qu’il voulait et qui ce moquait éperdument de ce qu’allait devenir son jouet. Même si il disait que je ne pouvais pas être appelée ainsi il fallait voir les choses comme elles étaient. C’est ce que j’avais été pour lui, un jouet incapable de se révolter et attendant patiemment qu’il ai fini ce qu’il avait à faire. Me relevant péniblement à cette pensée je vis qu’il avait repris sa place dans le coin de la pièce ou je l’avais vu à mon réveil. Je plaça mon regard dans le sien et attendit patiemment de voir ce qu’il avait à me dire. Il passa quelques minutes à parler de ce qu’il pouvait faire de moi, et des solutions s’offrant à lui. Apres quelques seconde il s’arrêta en face de moi, les bras croisés sur son torse et me disant que je disposé de trois essais pour le convaincre de me laisser partir. Les solutions pour arriver à ce résultat ne se pressaient pas dans me tête et je dus réfléchir longuement afin de trouver les mots nécessaire pour atteindre le résultat voulu. Quand je les prononça c’était d’une voix dure ou ne transparaissait aucun signe de peur.

« Vous savez aussi bien que moi que à l’heure actuelle je n’ai rien à vous offrir en échange de ma liberté. Cependant je peux vous proposer l’un de ces paris que vous semblez tant apprécier. Vous dites que je ne m’hérite même pas d’être appeler jouet n’est-ce pas. Et bien dans ce cas laissez moi partir, laissez moi murir et un jour je viendrais de nouveaux vous rendre visite dans cette… Demeure si elle peut être appelée ainsi. La principale différence entre le jour ou je reviendrais et aujourd’hui et que cette fois-ci je serais préparée, et non pas à moitié morte de faim. Ce jours la je saurais à quoi m’attendre et ces vous, rampant me supplierez de devenir mon jouet. Je me doute que vous avez peu de considération pour ces paroles que vous prenez surement pour les divagations d’une folle. Cependant vous n’avez qu’une chose à faire pour savoir si elles sont vraies ou non. Me laisser partir. Et même si je préférerais éviter de le faire nue et affamée je suis prête à prendre le risque. Cependant si je meurs dans le marais vous n’aurez pas la satisfaction de savoir si je vous ai mentis ou non. » Je me tus le regard toujours fiché dans le sien. Une dernière pensée vint me frapper et j’hésitas un court instant avant de l’exécuter. Cela allez surement décider de mon destin, et pas en bien, mais je voulais lui rendre la monnaies de sa pièce au moins une fois.

M’avançant d’un pas afin d’être plus proche de lui je fis de nouveau fuser ma main à travers l’air. Cependant cette fois ci la surprise eut raison de lui et il ne put l’arrêter, se contentant de subir l'impact. « Considérez cela comme une monnaies d’échange. Si vous me laissez partir je vous fais la promesse que je reviendrai et alors ce jours la vous pourrez me faire payer ce que vous devez juger pour de l’impertinence. Enfin vous pourrez essayer de me faire payer cela car rien ne garantit que vous y arriveriez. »