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 Chute Céleste [Pv. Zéleph]

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Jeu 10 Jan 2013, 14:49

La traversée du continent avait été longue et bien que Valkan se soit remis partiellement de sa visite au temple, il n’en demeurait pas moins que quelque chose en lui avait changé. Son amusement continuel et sa moquerie du monde n’était plus aussi vivace. Il n’avait pas questionné son ami sur les mots que lui avait confié l’Esprit. Shizuo…Etais-ce le véritable nom de Zéleph ? Et cette histoire à propos de son destin maudit similaire à celui du Sorcier…
En tous les cas le voyage fut long et avait été animé par peu de discussion. Il échangeait des banalités, mais aucun des deux hommes n’avaient cherchés à entrer dans certains détails. L’épisode du Temple les avait rapprochés dans une certaine mesure, mais de ce rapprochement ils semblaient s’éloigner paradoxalement. Valkan avait usé de certains contacts pour avoir un point d’ancrage sûr pour leur passage dans la Tour Inconnue. Le principe était une zone complétement folle dont le point d’accès n’était jamais figé. Le sorcier et le réprouvé avaient traversé pratiquement toutes les Terres du Yin et du Yang pour trouver une entrée. Finalement ils avaient fait le bond dans une dimension des plus étranges.

Le plus étrange en soit était qu’ils avaient atteint une pièce qui semblait assez proche des témoignages qu’on avait fait à Valkan. Et ça semblait trop beau pour être vrai. D’après les légendes et autres rumeurs la Tour n’offrait jamais à quelqu’un ce qu’il cherchait. Mais plutôt lui donnait quelque chose qui ne l’attendait pas. Le sorcier avait un mauvais pressentiment.

Les deux hommes avaient atterris dans une vaste salle. Le plafond se perdait dans une pénombre tellement épaisse qu’on n’en distinguait rien. La salle devait faire une longueur d’une centaine de mètre et une largeur d’une cinquantaine de mètres. Elle était immense, la hauteur paraissait sans fin. Il n’y avait ni portes, ni fenêtres et tout était couvert de dalle noire. Une mousse luminescente courait sur le sol et montait sur la hauteur des murs pour diffuser une lumière blanche au sein de toute la pièce. Malgré la pénombre, grâce à la mousse, on pouvait deviner toutes la pièce. Les deux hommes étaient tout au fond. Derrière eux un mur et devant eux un espace vide qui courait jusqu’au fond de la salle. Tout au fond cependant il y avait une ouverture qui surplombait trois marches. Juché de chaque côté des marches, deux statues représentant deux guerriers en armure noire d’une hauteur de trois mètres semblaient gardés les lieux pour l’éternité. Tout était noir. Les marches et les statues étaient couvertes du même matériau que le reste de la pièce. L’ouverture rectangulaire qui était au milieu des deux êtres de pierre avait été creusée sur le mur, ni porte ni quelconque mécanisme ne la bloquait.
Il y avait de la poussière de partout comme si les deux hommes bravaient un lieu qui n’avait eu personne pour braver son sol depuis des siècles. Les affres du temps avait figé cet endroit lugubre. Une odeur rance et forte de moisie subsistait dans l’air. C’était désagréable, fortement désagréable mais supportable. Valkan jeta un coup d’œil en coin à Zéleph.

Hum…Ce n’est pas forcément à quoi je m’attendais. Et ça me parait beaucoup trop simple.

La méfiance transpirait dans sa voix. Il avait été habitué à ne jamais croire que la vie vous apportait les choses que vous demandiez de manière aussi simple. Le sorcier entame de marcher, c’était lent et il jeta des regards de partout s’attendant à tout et n’importe quoi. Zéleph sur les talons, les deux êtres atteignirent bientôt le fond de la pièce sans encombre. Valkan c’était attendu à tout, mais rien ne c’était produit, mettant plusieurs minutes à atteindre les marches dominée par les statues, ils étaient entier.

Là je suis encore plus inquiet.

Le sorcier observa les statues de plus prés. Elles étaient immenses. Chacun des socles avaient une inscription. Celui de gauche possédait l’inscription suivante : « L’Ame du Barbare Noir est ici. ». Celle de droite complétait la première : « Seuls l’esprit vertueux pourra marcher sur ses traces. »

On dirait que c’est un genre d’avertissement. Cela dit je doute que des charmes ou quelconques magie défensive est réussi à survivre au fil des temps.

Finissant sa phrase, il s’engagea sur la première marche. Se figeant, attendant que la foudre s’abatte sur lui, rien ne se passa pourtant.

Tu vois, comme quoi souvent on surestime la magie dans le temps de plus –

Il fut interrompu par le bruit d’une voix féminine qui émanait de nulle part.

VOUS N’ÊTES PAS UNE PERSONNE AUTORISEE

La voix résonna dans toutes la pièce, forte, impérieuse. Les deux statues s’animèrent de vie, commençant à bouger dans un bruit qui se mit à résonner lui aussi dans la pièce. Celle de gauche abattit son poing sur la silhouette du sorcier qui se mit à voler dans la pièce. Sois Zéleph réagissait, sois Valkan allait finir écrasé contre le mur.
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Jeu 10 Jan 2013, 17:21

« Super ambiance » Soupira Zéleph passant un doigt sur le mur derrière eux. Personne n’avait fait le ménage ici de puis une éternité. L’odeur nauséabonde en était la preuve incontestable. Il y avait plu d’un cadavre ici, c’était impossible autrement. Il fallait vraiment qu’il tienne à suivre Valkan par tout pour supporter un endroit pareil. « Hum…Ce n’est pas forcément à quoi je m’attendais. Et ça me parait beaucoup trop simple. » « Fait moi penser à demander à ce qu’on jette mon corps dans l’océan après ma mort. Il n’y a vraiment rien de glorieux a passé l’éternité dans du moisie quand personne ne viens te voir. » On ne pouvait pas en vouloir au roi de ne pas ce concentré sur le plus important. Il ne savait pas quoi faire, il était là en « accompagnant » et donc à ce titre son esprit était totalement libre de penser à ce genre de chose inutile, mais amusante, du moins lui, cela le fit sourire. Le réprouvé suivit son camarade, marchant dans la poussière. Heureusement il n’était pas allergique, imaginez un peu le seigneur des deux rives mourir affixé, vaincu par le manque de femmes de ménages dans la région. Ridicule n’est-ce pas ? Il trouva aussi, mais plus il avancer, moins il avait envie de rire. L’atmosphère ambiant n’avait rien de rassurant. L’ombre les entouré, la vision était limiter par le peu de lumière et cette pièce paraissait immense pour ce qu’elle était. Valkan avait raison, ça avait l’air trop simple et sur tout trop calme. Arrivant aux marches, ils avaient fini de l’autre coter de la salle sans aucun problème, ce qui était réellement inquiétant. Ca ne pouvait pas être aussi facile, c’était insensé, ou alors ce tombeau n’avait vraiment pas était protéger correctement, pour que les rouages de ses défense soit rouiller après tant de temps.

Valkan regarda les statue, pendant que Zéleph regarder la salle qu’ils venaient de traverser. Les yeux plisser, le visage formé par la concentration, il chercher quelque chose. Le signe qu’on les observait. Le signe qu’il y avait un piège et qu’ils foncer droit dedans, où bien simplement une issus de secours aux cas où, mais il ne put rien voir à cause des faibles lueurs. Le sorcier avait raison, c’était vraiment inquiétant. « On dirait que c’est un genre d’avertissement. Cela dit je doute que des charmes ou quelconques magie défensive est réussi à survivre au fil des temps. » « Oh tu sais, la magie est si traitre que ça ne m’étonnerait pas qu’elle se mette à marcher rien que pour nos beaux yeux. » Le roi ce tourna vers le sorcier qui prit malgré tout l’initiative de poser son pied sur la marche. La sensation d’avoir parlait dans le vide vin soudain frapper le réprouvé qui haussa les épaules, si ils mouraient il hanterait sa mort pour l’avoir entrainer là-dedans avec lui. Attendant le courroux, cela ne se produit pas et le réprouvé se sentit soulager. « Tu vois, comme quoi souvent on surestime la magie dans le temps de plus … » Soudain, une voix résonna dans la salle. « VOUS N’ÊTES PAS UNE PERSONNE AUTORISÉE » Les statues s’éveillèrent. Cela était prévisible au fond. L’une d’elle fut rapide et abattit son poing sur les marches. Si le roi avait anticipé en reculant, le sorcier ce le prit de plein fouet. Le roi, réagit au quart de tour, bondissant pour intercepter le sorcier, ses ailes apparaissent soudainement dans son dos. Valkan dans ses bras, il eut un petit sourire moqueur. « Tu disais quoi déjà ? »

Ce pausant au centre de la salle, il lâcha le sorcier, puis leva les yeux sur les deux statue qui ce défaisaient de leur socles. « Apparemment l’entré était sous invitations. » Zéleph leva les bras, sortant ses lames cachées dans ses gants. Elles étaient capables de tout couper et il sentait que ces deux statues avait beau être de pierre, elle devait être également protégé par la magie, et donc des lames magique également ne pouvait être que les biens venus. La statue de droite posséder une épée et elle ne se fit pas prier pour s’en servir l’abattant sur les deux hommes qui durent esquiver le coup, la terre tremblant sous cette masse. « Est-ce qu’on peut en discuter ? » Un second coup lui donna vite la réponse, étant à droite il se retrouver avec ce charmant chevalier, colosse de pierre. Il jeta un regard à Valkan plus loin en proie avec le second gardien. Apparemment chacun avait choisi sa crémerie. Zéleph du éviter un autre coup, qui faillit bien le faire tomber cette fois, mais il prit son envol. Il avait un avantage sur le golem, il était plus rapide et en plus il savait voler. Foncent droit sur le buste de la statue, il donna un coup de poing, supposer faire rentrer la lame dans la pierre et exploser ce rocher vivant, seulement, une sorte de champ électrique recouvra la pierre alors qu’il entré en contact avec lui, et Zéleph fut propulser a l’autre bout de la salle, le coup de jus l’aillant sonner au passage. Le roi soupira en ce massant le crane, regardant la statue s’avancer vers lui, rien ne semblant le ralentir. Il ne pouvait même pas le frapper, comme ce défendre ? « Hey le sorcier ! » Ce levant il sortit un sabre pour au moins ce défendre face à la gigantesque épée de son adversaire. « Tu me dit quand tu as une idée. Ne te gêne pas sur tout. » Zéleph n’était pas douer en magie, il était même très nul, mais les sorcier était les spécialiste non ? Alors le roi aurait bien aimé que Valkan trouve la faille de là leur pour qu’il puisse au moins avoir l’illusion d’avoir une chance. Il y avait toujours une faille, et ça rassuré le réprouvé de le savoir, en attendant sa force brute n’avait aucune utilité dans ce combat, du moins si cette armure électrique continuer de le narguer.
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Sam 12 Jan 2013, 13:36

Zéleph l’attrapa au vol. La situation se compliquait un peu, à vrai dire beaucoup. C’était des Golems, mais pas n’importe lesquelles. Valkan aurait dû se douter que ça allait être plus compliqué que prévu.

Ça va, l’espoir fait vivre non ?

Il esquissa un sourire en répondant à Zéleph. Dès que ses pieds eurent touché le sol, ils n’eurent pas le temps de pavoiser d’avantage. Les deux golems chargèrent. Zéleph voulut discuter et sa tentative fût mal accueillie. Le réprouvé dut s’éloigner sur la droite alors que le sorcier partait à gauche. La situation n’allait pas en s’arrangeant. Le sorcier se propulsa sur le côté grâce à un mouvement d’air fluide et compact pour éviter un nouveau coup de la statue qui lui faisait face. Elle n’était pas armée. Ses poings s’abattaient cependant avec fluidité ébranlant la salle à chaque assaut. Tout en courant pour remonter en amont de la salle, vers l’esplanade, Valkan se mit à crier.

Zéleph, ça ne va pas te plaire…Ce sont des Golems d’Arkan de niveau 5. Il faudrait une véritable armada pour en venir à bout. Les affronter de face c’est –

Un nouveau coup s’abattu sur le mur à quelques centimètres de son crâne, ses cheveux dansèrent légèrement sous le mouvement du poing de pierre qui heurta le mur dans un bruit assourdissant. L’avantage qu’avaient le réprouvé et le sorcier était la taille de la pièce. Les sons résonnaient énormément et l’écho que produisaient les paroles de Valkan devaient atteindre Zéleph. Il l’espérait en tout cas. Il devait trouver une solution rapidement, il n’avait pas autant d’endurance que les deux golems. A vrai dire les golems pouvait se battre pendant des années tant qu’ils étaient alimentés. Leur source d’alimentation ne se trouvait pas dans la pièce c’était certain. Il n’y avait que peu de faille les concernant. Le sorcier devait se concentrer et réfléchir, c’était impossible alors que les assauts du Golem redoublaient. Valkan commençait à être essoufflé et il perdait en vitesse. Il n’avait pas l’habitude d’être autant acculé et encore moins de courir pendant plusieurs minutes. Le poing de la statue de pierre s’approchait dangereusement de lui. L’arme du Temple autour de son cou se mit à luire d’une petite lumière, il vu l’ombre massive du poing de pierre s’approchée et il sentit le souffle produite par la masse se déplaçant dans l’air. Le poing s’écrase sur le sol faisant voler plusieurs morceaux de dalles à travers la pièce.
Le sorcier était à plusieurs mètres de l’impact, il avait utilisé sa nouvelle acquisition et ça semblait fonctionner, à vrai dire il mesurait tout le pouvoir du Temple. S’il n’avait pas eu cette arme, il serait mort. Les secondes de répit qu’il pensait à voir ne durèrent pas, le golem avait déjà armé un nouveau coup. Tout en grognant, il se remit à courir, cette fois il courrait en direction de Zéleph. Le sorcier avait un plan…Dangereux certes, mais un plan quand même. Leur plus gros problème n’était pas forcément les golems. C’était plutôt la pièce qui ne tiendrait pas longtemps sous les à-coups répétées que devait subir les murs et le sol. A chaque fois qu’un de deux golems frappaient, plusieurs dalles explosaient et à divers endroits on voyait des débris émergés de la pénombre qui couvrait le plafond. La pièce finirait pas s’effondrer sur elle-même. Ses poumons le brulaient et le sorcier pouvait sentir son cœur tambouriner dans sa poitrine. Il était à quelques mètres du réprouvé le golem sur les talons. Tout en courant, il e mit à hurler.

Zéleph, écoutes, tu vas devoir les tenir tous les deux en respect, j’ai besoin de me concentrer quelques secondes…

Il était à hors d’haleine. Il c’était arrêté à côté de Zéleph. Le golem derrière lui était presque sur eux.

Dès que tu verras des sphères blanches apparaître de partout, tu auras une ou deux secondes pour nous projeter dans l’ouverture tout au fond…Amuses toi bien !

Il avait dit ça sur un ton désinvolte tout en respirant de manière forte et appuyée. Il ne prenait pas la situation à la légère, Zéleph savait simplement que le sorcier avait une confiance totale dans le réprouvé. A vrai dire en cet instant c’était Zéleph qui allait jouer leurs vies. Le réprouvé savait aussi que Valkan ne ferait jamais ça pour rien, il avait une idée derrière la tête et n'avait pas le temps de lui en faire part. Ne faisant plus attention, le sorcier ferma les yeux et commença à se concentrer…Pourvu que ça marche sinon ils étaient perdus…
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Dim 13 Jan 2013, 01:42

« C’est trop aimable. » Zéleph du sauter pour éviter de justesse un énième coup d’épée. Cela devenait réellement dure d’arriver à esquiver les golems, du moins son golem par ce que jusque-là Valkan avait eu la bonté d’âme de s’occuper du sien, mais voilà que c’était lui qui était de corvée et si le roi prenait ça avec humour, ce n’était qu’une façade. Il avait au moins l’avantage de voler, ce qui était extrêmement pratique. Fallait-il encore que le second s’intéresse à lui pour que le sorcier puise faire ce qu’il voulait sans être déranger. La solution était simple. Zéleph, toujours en vole fonça sur le golem à main nue, plus exactement il lui tourna autour de la tête, comme un moustique le ferait avec un homme. Bien sûr cela ne plut pas beaucoup à la créature qui se mit à frapper dans les airs, son compagnon s’approchant alors dangereusement de Valkan, le réprouvé piqua vers le sol et ramassa des pierres qu’il envoyait sur lui. « Hey le gros ! Ta pris du poids pendant ton hibernation ! Tu sais aucune femme n’aime ça ! » Il n’était pas tout à fait certain que ce soit ce que disait le roi qui est vraiment énerver le golem. Il avait plus de probabilité sur le faite qu’il lui jeter des grosses pierres sur la tête et que ceux-là exploser en activant son bouclier ce qui l’empêcher de voir Valkan. C’était l’attaque secrète du jeter de cailloux, indémodable depuis des siècles. Seulement pendant qu’il faisait ça l’autre avait trouvé la bonne idée d’écraser le moustique. Le roi faillit en perdre une aile mais fort heureusement il l’évita de justesse. Je ne vous cacherais pas qu’il en eu de sacrés sueur froide sous le choc du sol à coter de lui. Soupirant soulager, il ne put pourtant pas longtemps ce réjouir de cette petite victoire car ils le réattaquèrent en concert. Déjà que géré un seul de ces deux monstre c’était difficile, alors deux en même temps ça en devenait impossible, sur tout que Zéleph n’avait pas la magie de combattre ces chose. Il avait la puissance, oui ça il en posséder une montagne et si les golems n’avaient pas était protéger par ce champ de protection, ils seraient déjà en cendre sous son poing, mais le roi supposer que c’était justement a ça que les gens avait pensé en installant des Golems d’Arkan de niveau 5 ici. Des vrais machine à tuer, des colosses destiné a détruire tout intrus. C’était très rassurant de le savoir, oui vraiment, Zéleph était heureux de passer du temps avec des amis, voyager, voir du pays, surtout quand c’était pour affronter la mort.

Les deux golems face à lui, le roi devait être très agile et vif, dans une totale attention sur leur mouvement, il devait même parfois les anticiper. C’était assez dure, mais à force dès les observer et de les fuir il avait fini par comprendre deux ou trois logique sur leurs fonctionnement et leurs attaques. Il y arrivait si bien qu’il réussit à les entremêler. Volant autour d’eux et les perturbant dans leurs mouvements Zéleph réussit à troubler leurs notions de l’espace et ils ce cognèrent l’un a l’autre avant de vaciller un peu sous le choc. Voilà qui fit rire le roi qui ne ce priva pas pour s’amuser de les voir tanguer, seulement comme si les deux golems n’appréciaient pas la plaisanterie ils devinrent bien plus virulent. Alors le roi ne regretta pas et pourtant quand il du éviter le pied du golem qui aller s’abattre sur lui, le roi sentit qu’il était à nouveau passé près du repos éternel. Ce qui aurait était bien c’est que Valkan ce dépêche d’en finir par ce que lui commencer a sérieusement fatiguer, sur tout lors ce que l’épée du colosse s’abattit sur lui. Le réprouvé para le coup de l’un de ses sabres, mais quand l’autre golem en frappa de son poing sur l’épée rajoutant une force considérable à la pression exercer sur l’homme qui avait l’air d’une fourmi à coter, le roi sentit qu’il ne tiendrait plu longtemps. « Valkan ! C’est quand tu veux ! » La fin de sa phrase fini dans un grognement étouffer sous le coup de la force qu’il devait exercer pour empêcher els deux monstre de l’écraser comme un vulgaire insecte sous une semelle de chaussure. Miracle, Zéleph vit les boule de lumière apparaitre, l’énergie d’il ne savait quel magie, et cela lui importait peu pour la simple raison que si ça les sauver, ça lui suffisait amplement.

Vue qu’il y avait es sphères, c’était maintenant qu’il était supposé els projeté hors d’ici ? Réalisant cela le roi ce déroba de l’attaque des deux golems, il du rouler sur le sol, les deux s’écrasant sous vide soudain. Le roi s’envola dans une impulsion et fonça avec une vitesse fulgurante sur le sorcier. Il l’attrapa par le col de ses vêtement en passent et puis le jeta dans l’ouverture du fon avant de si engouffré. A peine il s’écroula sur le sol, que derrière eux il entendit une explosion, puis la pièce s’écroulait. Cela fit tout trembler, plusieurs rochers vinrent même boucher la sortie. Finissant par ce redressé le roi soupira en regardant l’éboulement. Il était à la fois soulagé, mais aussi un peu inquiet. Comment ils allaient faire maintenant ? « C’est lourd comme prix à payer pour porter des fleurs à la tombe d’un ancêtre, tu ne crois pas ? » Lui pour sa part avait toujours eux son père enfermer dans son corps, ou du moins ce qui ressemblait a son père, enfin c’était trop compliquer a expliquer alors … Zéleph n’y pensait simplement pas.

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Mer 23 Jan 2013, 15:02

Les yeux fermés, le sorcier commençait à enter en transe. Et ce n’était pas facile, face au bruit de combat constant, des chocs qui faisait vibrer la salle, il fallait avoir un sacrée mental pour réussir à oblitéré le combat en action à quelques mètres de lui. Valkan commença par calmer sa respiration, il fallait qu’il se contrôle, qu’il contrôle son corps et son esprit. Il rendit sa respiration régulière par de profondes inspirations et expirations. Il ignorait si Zéleph tiendrait, mais au plus profond de lui, le sorcier avait foi en les compétences véritables du Roi des Réprouvés. Ils n’en seraient pas là, si ils n’avaient pas fait route ensemble. Chassant toutes pensées parasites de son esprit, il augmenta sa concentration d’un cran, les bruits ambiants s’éloignèrent pour devenir un léger bruit de fond, il se calmait, provoquant sa volonté, provoquant son esprit à une discipline qu’il connaissait bien. En plus d’un siècle on apprenait à appeler une concentration profonde même en cas de vie ou de mort. Bientôt son esprit était coupé d’un monde extérieur, son visage, fermé, paisible. Son corps figé dans toute sa hauteur. Le corps du sorcier avait les jambes légèrement fléchies, ses deux mains reposant sur ses hanches, il semblait totalement indifférent à ce qui se passait, il était à présent ailleurs. Plusieurs fois sa chevelure dansa face à l’impulsion des coups des deux golems que Zéleph esquivaient. Le sorcier commença à réunir toute sa volonté, il projeta ses sens métaphysique dans toute la salle, sentant chaque mouvement, chaque flux et reflux d’énergie. Il voyait à présent le monde comme un monde uniquement fait de contrastes noir et blanc. Il ne pouvait pas utiliser d’énergie extérieure, il lui fallait donc faire face avec sa propre énergie. Tout en mesurant toute sa ressource, il figea sa pensée pour ne percevoir que le relief de la pièce. S’il faisait la moindre erreur Zéleph n’aurait pas le temps de les projeter vers la sortie et ils se retrouveraient tous deux vaporisés ou encore écrasés par les décombre. La magie quel que soit sa forme ou encore son origine était quand même lié à paramètres d’ordre physique et là était la cause d’expérience ratée.

Valkan entendu en arrière-plan, dans le bruit de fond crée, les suppliques de Zéleph, il fallait qu’il agisse à présent. Tout en bloquant sa respiration, le sorcier projeta son énergie dans la pièce, elle prit la forme de petites sphères lumineuses qui commencèrent à apparaître de toutes parts. Une sphère, puis deux, puis trois et bientôt une dizaine firent leurs apparitions. Le sorcier commença son compte à rebours.
10…Les sphères commencèrent à entamer une lente montée dans la pièce.
9…Les premières sphères créent se mirent à scintillés et à devenir instable.
8…Valkan mesurait tous les paramètres, il lui fallait encore quelques secondes, il devait se dépêcher.
7...Le sorcier expira lentement, tout en visualisant les mouvements autour de lui.
6…Il sentit le Roi des Réprouvés faire un piquer tout en volant pour se rapprocher de lui.
5…Zéleph attrapa Valkan pour les projeter avec rapidité et force vers leurs sorties.


Dès que Valkan perdu sa concentration les sphères commencèrent à vaciller, sortit de sa transe, Valkan voyait le sol défilé sous ses yeux à toute allure, 4, ils étaient à la moitié de la pièce, les golems étaient déjà en train de les rejoindre, 3, les sphères commencèrent à vacillées de manière irrégulière et au fond de la pièce, la première explosion se produisit, il y eut un bruit sec et une boule feu se forma,2 , toutes les sphères commençaient à exploser, ils y étaient presque. Toutes les sphères se mirent à exploser en même temps alors que Zéleph et Valkan atteignaient la petite ouverture. L’air se vida d’un coup et le souffle les projetaient plus en avant, le bruit des multiples détonations furent rapidement couvert pour le feu se propageant, les deux hommes eurent à peine le temps de voir les golems arrivés sur l’ouverture, que la déflagration souffla toutes la pièce faisant en sorte d’ensevelir les deux géants de pierre. De la poussière et un souffle d’air chaud suivirent l’éboulement dans un bruit lourd et puissant. Le sorcier les pieds sur le sol tituba légèrement et s’appuya sur le mur.

Là-dessus je suis d’accords, un peu excessif, mais tu dois avouer que c’est cool non ?

Il sourit légèrement, Valkan paraissait un peu diminué, il avait puisé dans son énergie et ça se voyait, il était pâle comme un linge. Alors que les deux êtres se croyaient sortis d’affaire, un son d’alarme résonna tout autour d’eux.
VOUS N’ETES PAS DES PERSONNES AUTORISEES AUGMENTATION DE SECURITE ECHELON NIVEAU 2

Valkan arqua les sourcils tout en s’attendant à une quelconque attaque qui ne vint pas.

C’est une blague ? A croire que ce système date d’hier…Je crois qu’on aurait peut-être pas dû venir.

Tout en parlant, plusieurs torches s’allumèrent, elles étaient postées contre les murs d’un couloir qui paraissait interminable. Zéleph et Valkan étaient sur le seuil. Le sorcier observa les lumières s’allumant tour à tour pour finir hors de portée du regard, le couloir devait faire à vue d’œil plusieurs kilomètres…Malheureusement, il y avait de fortes chances qu’il soit piégé.

Hum…Est-ce que tu cours vite Zéleph ?
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Ven 25 Jan 2013, 19:58

Comment ça échelon deux ? Par ce que ça ce n’était que le premier niveau de sécurité ? Valkan aurait pu le prévenir avant d’entré qu’il risquer de ne jamais en sortir, bien qu’au fond Zéleph savait qu’il n’y avait pas grand-chose qui pouvait lui résister, si il perdait un bras ou une jambe ici il ferait tout pour faire de la vie du sorcier, un réel enfer. « Je crois qu’on aurait peut-être pas dû venir. » Zéleph fixa étrangement Valkan. Il était coincé entre la colère et le désarroi. C’était maintenant qu’il y pensait ? Le roi avait sincèrement envie de frapper son confrère mais il ce reteint car ce n’était visiblement pas encore le moment de laver son linges sale. « Hum…Est-ce que tu cours vite Zéleph ? » Regardant le couloir qui paraissait sans fin s’illuminer petit à petit, le roi sentit ses épaules ce tasser alors qu’il laisser échapper un long soupire. « Surement plus vite que toi. » Laissa-t-il simplement entendre, déjà blasé rien qu’en voyant tout ce chemin à parcourir. C’était franchement découragent. Un peu plus encore quand on ne sait pas pourquoi on fait ça au fond. Enfaite il savait pourquoi il était là, ou plutôt pour qui, mais concrètement cela ne lui apporté rien. Au final, maintenant qu’il y était pris jusqu’au cou il était forcé de continuer, rien que pour avoir l’espoir de revoir le soleil un jour. Regardant le couloir sans fond Zéleph posa sa main sur le mur froid en pierre. Découragent. Oui, c’était belle et bien le mot au bout du compte. Courir ? Pourquoi ? Pour le moment il n’y avait aucun problème, au contraire ils étaient plutôt au calme. Bien sur ce couloir devait être emplit de pièges et d’autre ruse créer dans le but de supprimer toute intrusions, en l’occurrence c’était eux les intrus et on ne voulait apparemment pas d’eux ici. « Par fois je me demande pourquoi je suis aussi serviable. »

Le roi ce mit en marche. Doucement, prudemment. Il fallait d’abord qu’ils reprennent leurs souffles et des forces avant de penser à fuir tout de suite, et puis si ils se débrouiller bien peut être qu’avec un peu de chance peut être qu’il ne se passerait rien, que ce n’était qu’un subterfuge pour faire renoncer les intrus ou les rendre fou de peur. Ce fut peut être quand le pied de Zéleph rencontra une pierre bancale qui s’enfonça sous son poids, que le réprouvé réalisa qu’il avait beaucoup trop d’imagination. « Oups. » Dans le silence des cliquetis ce firent entendre, comme si des mécanismes ce mettaient doucement en place. Le réprouvé jeta un regard a Valkan, n’aimant pas du tout ce qu’il était en train d’entendre. « Cour ! » Le réprouvé n’attendit pas que le sorcier le face pour s’y mettre et alors qu’il entendait le son des flèches sifflet dans les aires, il courut tout droit devant, seulement dans sa course il poser les pieds n’importe où, les pièges ce déclenchant alors les uns après les autres. Après les flèches surement empoisonner à évider, ce fut des flammes qui envahirent le couloir de tous les coter rendant cette course extrêmement réchauffant. Ce fut peut être quand un piège déclencha un sort de glace qui recouvrit toute les paroi du couloir que cela devin réellement dangereux. Glissent et tombant sur le dos, avec la vitesse qu’ils avaient pris en courant, ils glissèrent jusqu’à ce qu’une part du corridor devant eux s’effondre et les fasse tomber dans un trou. La réception fut douloureuse, Zéleph se cognant le menton qui sous le choc s’ouvrit.

Ce redressant en ce massant ses membres endoloris, il chercha à reprendre son souffle. Il faisait noir ici, la seul lumière qui existé était celle qui venait du trou d’où il venait, mais le couloir était si haut au-dessus d’eux que cela n’était pas bien clair. Bien sur Zéleph pouvait voler et retourné en haut sans problème, mais à quoi bon retourné dans ce couloir pour être encore forcer de ce confronter à cette épreuve. Ce levant le réprouvé chercha à voir où ils étaient, plissent les yeux. « Val ? Rien de casser ? » Avancent les mains devant lui, le roi fini par toucher un mur, il le longea avec la sensation qu’il ne ce finirait jamais. Il était couvert de mousses et très humides. Un lieu charmant qui sentait toujours aussi bon. Ce fut quand il entendit un fort grognement animal résonner dans la salle que Zéleph ce crispa n’appréciant pas du tout cette nouvelle présence à la quel il ne c’était pas attendu. « Je crois qu’on a déranger quelqu’un. » Seulement il ne savait ni quoi, ni si c’était dans la même pièce qu’eux et si c’était réellement féroce. Avec un peu de chance ce n’était qu’un petit crocodile, pas un alligator gérant ou un dragon …
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Sam 26 Jan 2013, 16:02

Lorsque Valkan toucha le sol il y eut un bruit léger de craquement. Bien que fier, Valkan savait éperdument que Zéleph était plus fort et plus rapide que lui. Lors course folle dans le couloir n’avait pas été sans dommages surtout après avoir utilisé son pouvoir qui lui avait vidé une partie de son énergie. Il respirait de manière rauque à bout de souffle. Il commençait à croire qu’ils n’en sortiraient jamais vivants. Le bruit qui avait résonné plutôt était son poignet qui c’était brisé sur le coup de l’impact. Son bras gauche était inutilisable à présent. Il peinait à reprendre son souffle alors que le Roi des Réprouvés s’inquiétait de son état. La douleur était là, mais il pourrait faire avec.

Ne t’inquiète pas pour moi Zél.

Le sorcier dut se reprendre à trois fois avant d’arriver à se lever. Appuyant son épaule contre le mur humide recouvert de mousse, il tenta de s’accoutumer à l’obscurité. Le faible filet de lumière qui tombait par l’ouverture donnant dans le couloir était si haut que la lumière ne perçait rien de l’obscurité. Tous deux ignoraient dans quoi ils étaient encore tombés. Valkan espérait qu’il arriverait bientôt à leurs objectifs, sans quoi il allait devenir un boulet à trainer pour Zéleph et ça le faisait grincer des dents. Un bruit de grognements étranges résonna autour d’eux. Le sorcier se figea. Il ne voyait rien et il était épuisé.

On dirait oui. Cela dit on aurait besoin de lumière pour savoir ce qu’on a déranger.

Comme par magie une sphère au-dessus d’eux s’alluma projetant une lumière puissante d’un coup. Valkan ferma les yeux un instant, le brusque changement de luminosité l’aveuglant lorsqu’il ouvrit à nouveau les yeux, il vu…
Ils étaient au sein d’une pièce ronde. La sphère au-dessus d’eux culminant en hauteur diffusant sa lumière puissante et éclairant toute la pièce. Il n’y avait qu’une seule porte, le mur cyclique tournait autour d’eux pour ne laisser place qu’à une porte en bois fermée. Entre eux et la porte se trouvait un dragon…L’animal était couvert d’écailles noires qui luisaient sous la lumière. Il était massif et immense, lorsqu’il éleva son long cou, il toucha presque la sphère. Immense, massif, il paraissait indéfectible, diffusant son ombre sur le sorcier et le réprouvé. La bête grogna et scruta les deux petits êtres qui venaient de le déranger de ses yeux sombres et injectés de sang. Il y avait une lueur d’intelligence cruelle et malveillante logée dans ses deux énormes orbites. Et tout se passa très vite.
Sa tête plongea avec une rapidité folle. En cet instant Valkan sentit le temps ralentir. Ses sens étaient en éveil et l’adrénaline faisait battre ses tempes. Il comprit, tout paraissait lent mais ce n’était qu’une apparence, il arrivait parfois que cette sensation de temps s’égrenant plus lentement prenne le pas sur la réalité. L’adrénaline, les récents efforts qu’il avait dû faire avait poussé son organisme à bout. Et ce qui se passait, cette impression que tout se passe lentement était la résultante de ses sens traumatisés. Il voyait le cou du dragon se détendre et se lançant sur eux en sifflant. Le dragon était tellement rapide, Zéleph allait être touché.
Le roi des Réprouvés avait suivi Valkan dans ses plans fous, il n’avait jamais renoncé et c’était montré fidèle dans sa loyauté. Malgré leur relation des plus étranges face à tout ce qui les opposaient, ils restaient néanmoins frère d’arme sur bien des domaines. Et le Sorcier devait admettre que ces derniers temps, le seul être qu’il pouvait qualifier d’ami était Zéleph. C’était d’ailleurs Valkan qui l’avait plongé dans la tourmente de son histoire. Il devait faire quelque chose, n’importe quoi. Le dragon était si proche, ça allait se jouer d’un instant à l’autre.
Il devait agir, il le fallait. Il fit quelque chose de profondément stupide, mais utile. Son récent passage au temple lui avait appris une technique en suivant la voie du serpent. En temps normal c’était lui qui devait esquiver une attaque. Mais il n’avait plus que ça. Son pendentif autour du cou se mit à scintiller de plus en plus fort et les pieds du Sorcier décolèrent du sol. Son corps se projeta en avant, le sorcier était en train de se mouvoir comme un serpent, il fit une accélération sur plusieurs mètres usant ses dernières réserves d’énergie.

Lorsque le pendentif cessa tous scintillements, Valkan ne sentait plus la douleur. Pourquoi avait-il fait ça ? Zéleph méritait-il cet élan d’héroïsme ? Il voyait flou, avait du mal à respirer. .

Ça n’avait duré que quelques secondes. Valkan avait heurté Zéleph et le claquement de la gueule du dragon avait retentit dans la pièce. Le réprouvé sous le choc était allé s’écraser dans le mur face à lui, et Valkan avait pris les dégâts. Son bras gauche avait été détaché de son corps et gisait plusieurs mètres à côté de la gueule du dragon. Une importante quantité de sang maculait le sol et continuait à couler de la déchirure de sa peau, le sorcier avait perdu son bras à la place de Zéleph et c’était un juste retour des choses. Il n’aurait jamais dû l’emmener avec lui. Il toussa, expulsant du sang par la bouche. Sa vision devenait de plus en plus flou, il tituba un peu, plissant les yeux tout en regardant Zéleph, il n’avait rien…
Le dragon arma une nouvelle fois son cou et cette fois c’était fini. Valkan allait mourir, il n’avait encore rien fait. Amy était morte et il allait mourir. Il tituba une nouvelle fois, son champ de vision se brouillant complétement.

Le cou du dragon se détendit prêt à lancer un assaut fatale et alors qu’il attaqua avec la même vélocité, il y eut un éclair aveuglant et sa tête tomba sur le sol couvrant les murs d’un liquide noirâtre qui devait être son sang. La tête du dragon était à moins d’un mètre de Valkan, la langue étendue en dehors de sa bouche, dévoilant ses crocs menaçants. La vie l’avait quittée. Une silhouette était là…

Valkan se mit à sourire bêtement, il était pâle et avant qu’il tombe il susurra des mots qui résonnèrent dans la pièce face au silence qui c’était abattu.

Tu aurais dû être à ma place, ce n’est pas du jeu Zéleee…

Une chappe de plomb tomba sur lui et il ne vu plus rien, son corps tomba en avant dans une chute lente, il heurta le sol comme un poids mort dans un chuintement étrange. Etait-il mort ?
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Lun 28 Jan 2013, 16:52

C’était très gentil de la part de Valkan d’avoir cherché à l’aider, mais le sorcier n’avait pas l’air de savoir que le réprouvé ne craignait pas de se battre seul contre un dragon. Il ne pouvait pas lui en vouloir, cela partait d’un bon sentiment, mais vue le mal de crane qu’il eut après avoir heurté le mur, il ne savait pas si un « merci » était réellement de mise. Quand il ouvrit les yeux en se frottant l’arrière du crâne, une vision d‘horreur lui apparut. Le bras du sorcier gisait seul sur le sol, le reste de son corps un peu plus loin. Peut-être faudrait-il à l’avenir qu’il lui explique qu’il n’avait pas besoin d’être sauvé. Il n’aimait pas ce vanter, mais il était extrêmement puissant, peut-être même plus que ce qu’il imaginer, et en alliant cela au pouvoir du temple il était certain qu’il pouvait se défaire seul d’une créature magique, même un dragon noire. Zéleph vit le dragon près à achever Valkan. Ce redressant difficilement sa tête lui tournant après le coup qu’il venait de prendre, il réalisa qu’il n’avait pas le temps de se soigner, il fallait agir avant que le sorcier ne vois ses derniers instant arriver. Sortant l’un de ses katana, il était prêt à bondir. Cela se joua en quelque seconde, alors qu’il prenait une impulsion, le Dragon détendit son cou, puis un éclair frappa. Zéleph fut forcer de reculer, ce cachant les yeux, ses pupille brulant sous l’illumination soudaine et trop forte. Ouvrant les yeux une fois l’éclair passé, le roi regarda la tête du dragon détacher de son corps. C’était apparemment la mode au démembrement en ce moment. Il espéré qu’il ne serait pas atteint à son tour. « Tu aurais dû être à ma place, ce n’est pas du jeu Zéleee… » Zéleph regarda le sorcier sombré et il soupira. « Abrutie. » En effet il avait raison, il n’aurait pas dû le sauver, pour la simple et bonne raison qu’il se serait très bien défendu. Il avait avec lui un homme puissant, un guerrier reconnue et il préférait ce jeter devant lui et faire une proie facile, plutôt que de se servir de cette atout majeur. A quoi cela servait qu’il l’accompagne, si c’était pour qu’il fasse ce genre d’idiotie inconsidéré ?

Le réprouvé accourra vers son compagnon à terre, il le mit dos contre terre, face à lui pour voir si il était encore en vie. Son cœur battait, sa respiration était lente, mais il était encore avec lui ce qu’il n’était déjà pas mal. Enlevant son kimono, il en déchira une partie, pour faire compresse, et l’attacher autour du torse de Valkan, cherchant à éviter le plus de perde sanguine possible. Attrapent son bras détacher, le roi grimaça. Ce n’était pas beau avoir, et puis il ne pourrait pas soigner cela il en était incapable. « Lâcheur. » Soupira-t-il. Zéleph ce redressa ce sentant observait depuis quelque instant déjà. Quand il leva les yeux il vit une ombre de l’autre côté de la pièce. Après tout si ce n’était pas lui qui avait mis hors d’état de nuire cet animal, qui était-ce ? L’intrus avança dans la lumière et Zéleph fronça les sourcils devant le golem. Encore un ? Il était bien plus petit que les deux autres celui-là, et pourquoi pas plus intelligent aussi vue qu’il leva le bras, non pas pour les attaquer, mais pour lui montrer quelque chose. Quand le réprouvé suivit le sens du doigt de la chose, il vit une ouverture, comme une porte juste derrière, dans l’ombre. Bien sur la sortie ce trouvé pile là où la lumière n’éclairait pas, c’était étrangement bien calculer. Etait-il réellement entrain de les aidés ou était-ce encore un piège ? Il ne savait trop, vue qu’il avait tué le dragon et sauver Valkan d’une mort certaine, le réprouvé supposa qu’il serait bon de le suivre. Prenant le sorcier sur son épaule pour le porter comme un sac de vivre, il emporta également on bras. Si il le gardait ils pourraient peut-être trouver un moyen de le lui rendre, du moins si il sortait d‘ici avant que le membre ne ce nécrose. « Allez, on y va. » Zéleph ce mit en marche vers la sortie qu’indiquer toujours le golem, sans ciller. Le réprouvé portait Valkan avait facilité, non pas par ce que l’homme était léger, mais par ce qu’il était terriblement fort, parfois lui-même ce surprenait toujours de voir ce qu’il était capable de faire.

Passant à coter du golem, il prit la porte et entra dans un nouveau couloir. Celui-ci était peine assez large pour que le golem arrive à les suivre. Eclairé de quelque torche, il ce fini très vite, débouchant sur une nouvelle grande pièce. Celle-ci était légèrement éclairée comme la première où ils étaient entrés, par cette mousse à lueur bleuté. Cela faisait penser aux feu-follet que le réprouvé avait croisés un jour dans la pyramide. Zéleph regarda la grande salle, ils étaient arrivés ? La pièce était immense, devant lui des escaliers descendaient pour arriver à une grande stèle, poser au centre d’un grand cercle. Autour de ce cercle, il y avait de l’eau et des bougies flottantes. Cela avait un certain charme. Le tombeau ? Ils y étaient arrivé ? Quand Zéleph sentit le Golem passer à coter de lui, un grand fracas ce fit entendre derrière lui et quand il se retourna pour regarder l’entré était fermer d’une porte de pierre surement impossible à rouvrir. Ce tournant à nouveau vers la tombe, quelqu’un était apparu. Assise sur la pierre tombale, le fixant. Zéleph prit alors garde, n’appréciant pas cette entré sournoise. « Qui êtes-vous ? » Lança-t-il, brisant le silence paisible de la pièce.
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Mer 30 Jan 2013, 14:02

Le tombeau était étrange, il y régnait une atmosphère totalement nouvelle par rapport au chemin qu’ils avaient parcouru. L’air était plus respirable et une odeur tenace de rose régnait. Plus encore l’espace était moins sombre, plongé dans la lueur des bougies qui étaient diffusées tout autour de la stèle. La silhouette assise sur le tombeau, se mit à applaudir lentement. Le claquement de ses paumes résonna dans le large espace ponctuant le silence de ce bruit sourd. L’être qui était apparu était grand et large. Lorsqu’il se laissa tomber sur le sol pour se montrer sous la lueur vacillante des bougies, il dévoila ses traits. L’individu possédait une longue chevelure blanche, les traits de son visage était soigné, beau, et son regard…Son regard était d’or comme celui de Valkan. Ses prunelles dorées dégageaient la même force que le regard du sorcier blessé. Sans répondre à la question qu’avait posée le Seigneur des Deux Rives, il s’approcha. En cet instant Zéleph pouvait sentir l’aura de puissance et de charisme qui émanait de l’individu. Ce n’était pas quelque chose de visible, mais cela se sentait, invisible mais éreintant.

Tu sais déjà qui je suis, jeune garçon. Et comme tu t’en doutes déjà, je suis mort.

Sa voix était grave, profonde et riche. Il avait un léger accent indescriptible. Il s’approchait toujours.

On dirait que mon fils à subit quelques petits désagrément pour me rejoindre. Oui, pour répondre à ta question silencieuse, je suis bel et bien mort, malheureusement un être comme moi a reçu une malédiction à la hauteur de ses actes. Je suis figé entre vie et mort, ni totalement vivant ni totalement mort et bien entendu je ne peux sortir de cette pièce. Et oui, je suis bien Ashdokan, Barbare Noir de renom.

Il s’arrêta devant lui. Le Barbare Noir était plus grand que Valkan encore, et semblait avoir été sculpté pour tenir son rang. Sa musculature était imposante, de larges mains, et ses yeux ressemblant au regard d’un Diable.

N’aie crainte je ne peux agir physiquement. Je dois te féliciter d’avoir amené mon faiblard de fils jusqu’ici sans quoi j’aurais continué à errer sans fin. Ne prends pas cet air, mon garçon, je suis ce que je suis. Emmène son corps jusqu’à la stèle.

Sans attendre de réponse ou encore mesurer ses paroles, le Barbare Noir, ou tout de moins ce qu’il en restait se retourna vivement et se mit à marcher vers la stèle. Il semblait habitué à donner des ordres puisqu’il n’attendu même pas le réprouvé étant certain qu’il ferait ce qu’il lui avait pratiquement ordonné.

Avant que tout commence, mon garçon, il est nécessaire que tu apprennes. J’entends par là que je vais devoir t’expliquer quelques petites choses avant que mon fils ne fasse n’importe quoi encore une fois.

Après quelques pas pendant lesquels il c’était exprimé, il fit volteface, et scruta le réprouvé.

Si mes souvenirs sont exacts, tu dois être Shizuo. On dirait que mon fils aussi idiot soit-il, semble savoir s’entourer.

Un sourire féroce lui étira les lèvres, il ressemblait à une vision d’horreur en cet instant, son visage exprimant ce qu’il était bien plus que des mots.

Si tel est le cas, alors c’est plus amusant que je pourrais le croire mon garçon. Vous êtes deux chiots qui ont reniez vos héritages pour devenir des lions. Ironiquement que ce soit toi ou lui, vous semblez ne pas pouvoir faire abstraction du destin. Va le poser sur la stèle avant qu’il ne meurs je te prie.
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Jeu 31 Jan 2013, 18:35

Réunion de famille. C’était parfait. Seulement Zéleph supposa qu’ils n’allaient pas prendre le thé pour parler des premier pas de Valkan en mangent des gâteaux fait par le Barbare Noir. Bien que cette idée le fit sourire. Il n’y avait que lui pour penser à cela dans une telle situation. Enfin, pour le peu de mal que pouvait lui faire cet homme, bien qu’il cherche à l’impressionner et que son aura soit très impressionnante, il était mal tomber, mais ça, il devait déjà le savoir. C’était donc à celui qui grognerait le plus fort. Bien que ce jeu puéril l’aurait amusé, il était presser, et pas là pour ça. C’était plus a Valkan de montré les sien à son père. Le roi posa son ami là où on lui avait conseillé, après avoir descendu les massives marches de pierre, puis le petit pont au-dessus de l’eau. C’était très coquet quand on y réfléchissait. Un peu terrifiant, mais trop efféminer pour lui. Il osait espérer qu’on lui ferait un tombeau un peu plus … quelque chose suis inspiré le respect, transpirant la puissance, et pas de bougie ou de fleur. Posant le bras de son ami le long de son corps, inerte, là où il devait normalement ce trouvé, il soupira. Idiot c’était sûr. Il avait avec lui un homme capable de briser le coup d’un dragon, et il ce jeter devant lui sous prétexte qu’il voulait le protéger. C’était adorable, mais stupide. Pouvait-il vraiment lui en vouloir ? Non, bien sûr que non.

Zéleph se retourna vers le barbare noir. En effet il ne devait pas être totalement mort. Sinon il serait un esprit et à part les chamans, personne ne pouvait voir les esprits. Une malédiction donc ? Allait-il seulement chercher à comprendre ? Bien sûr que non, il n’en avait que faire. Il était là en temps qu’escorte, et rien d’autre. Il était simplement irrité qu’on l’appelle par son prénom. C’était comme appuyer dans une zone douloureuse, douloureuse et extrêmement dangereuse. En tant que descendant d’une autre malédiction, d’une autre puissance, il supposer que le barbare en connaissait les termes. A sa place il ce serrait méfier, il était encore bien plus puissant que son ancêtre démon le destructeur des terres de ce monde. Enfin, cela n’était plus qu’une lointaine légende dont très peu de personne se souvenait. Heureusement pour lui sinon personne n’aurait voulu de lui comme roi. Oui quel choque pour son peuple de savoir de quel ligné il descendait. C’était drôle au fond, car ils ne seraient jamais que leurs souverains posséder un pouvoir qui avait autre fois fait trembler les os de leur peuples. Oui, amusant, mais hors sujet.

« Alors comme ça vous êtes le barbare noire. Je vous imaginez plus … moins … Pour être franc, je m’imaginer un corps dans une boite complétement défraichit. » Zéleph imaginer bien que ce n’était pas tout à fait son corps, qu’il devait être belle et bien enfermer sous cette stèle, mais, il préférait ce tête à tête là, plutôt que celle d’un corps en décomposition. Ce retournant vers Valkan il fixa le pauvre sorcier, plutôt mal en point. « Je dois faire quoi ? Si ça continue il ne retrouvera plu jamais son bras. » Il ne se l’imaginait pas. Il ne voulait pas faire sa a son ami. Perdre un bras l’empêcherait de retrouver sa femme, sa famille. C’était pire que tout. Il pourrait encore vivre, mais à quel prix ? Zéleph savait que le barbare était capable de l’aider. Peut-être que cela aurait un prix, peut-être qu’il devrait se plier à faire quelque chose, mais le sacrifice en valait la peine. Il avait un pacte avec Valkan, une alliance, et plus encore, une réel amitié, il se devait de lui venir en aide, c’était un devoir. Par ce qu’il savait que le sorcier en aurait fait autant pour lui, pacte, promesse, ou autre chose mise à part, c’était ainsi. Enfaite il se poser une question, quelque chose d’idiot et de pourtant curieusement important. « Pourquoi vous êtes près à le sauver au juste ? » La dernière fois qu’il avait vu un être d’une extraordinaire puissance et foncièrement mauvais vouloir sauver l’un de ses descendant, c’était pour lui voler son enveloppe charnel, et c’était lui, ce qui en faisait un très mauvais souvenir du quel il avait tiré certaine leçon : « ne jamais faire confiance à un être fait d’ombre et d’obscurité. » Alors si il lui demander de sauver Valkan, pour ensuite s’en servir il ne savait trop pourquoi, et non pas juste pour sauver son adorable fils, Zéleph ne savait pas trop si il ne devait pas faire appel a d’autre personne tout aussi qualifier que lui. Ca prendrait plus de temps et il risquait de perdre le bras du sorcier dans le voyage, et sur tout de s’attiré les foudres du sorcier qui ne risquer de ne pas aimer de partir d’ici après avoir donné tant d’énergie dans ce voyage.

hj:
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Ven 01 Fév 2013, 18:30

Le Barbare Noir se mit à sourire aux allusions du Roi des Réprouvés. On avait tant dit à son sujet, que finalement la vérité c’était perdu au fil des âges. Tous les mythes et les légendes, les contes et histoires qui peuplent les Terres sont écris par les vainqueurs. Et en cela la vérité est une question de point de vue et de finalité. Elle n’existe pas dans une globalité, mais au cœur des possibles.
Une fois que le corps de son fils fut posé sur la stèle, Ashdokan observa celui-ci.

Crois-tu sincèrement que les choses que tu crois sont la réalité ? Tu es bercé dans l’illusion comme beaucoup d’autres. Là n’est pas le sujet quoiqu’il arrive. Tu te poses des questions et pour que je puisse répondre, il nous faut du temps. Et de manière théâtrale, dans ton héroïsme tu viens d’accorder à mon fils du temps. Vois-tu mon corps n’est pas ici. La stèle sur laquelle repose mon rejeton ne contient qu’une chose. Une pierre d’Agandis.

Sa voix grave était tentée d’ionisme. Et il ne semblait pas prendre au sérieux ce qu’il venait de dire. Après tout la pierre d’Agandis était un objet de beaucoup de fantasmes. Une vielle légende basé sur le fait de modifier les choses, comme si l’on obtenait le pouvoir d’un Dieu. Il était dit que la pierre avait été créée à partir de rien et possédait de nombreuses propriétés. L’une de ses principales était de figé quelqu’un ou quelque chose hors du temps. Si le Barbare Noir disait vrai alors Valkan n’irait ni mieux ni plus mal, il était simplement hors du temps…Sans en dire plus, Ashdokan commença à marcher s’attendant à que le réprouvé le suivre. Il traversa une partie de l’immense salle pour rejoindre un coin de la pièce. Il y avait une large table et des chaises, lorsque le père de Valkan s’en approcha plusieurs bougies s’allumèrent dévoilant en arrière fond les immenses bibliothèques qui couraient contre les murs.
S’asseyant de manière très confortable, il scruta le réprouvé de son regard amusé, il était certain que le moment serait à la hauteur de ses espérances.

Assis toi, mon garçon, crois-moi, ce que j’ai à te dire va t’amener à voir la réalité sous un autre angle.

Attendant que Zéleph fasse preuve de réticence, il fut encore plus amusé lorsqu’il s’approcha de la table pour s’assoir, le réprouvé ne lui faisait pas confiance et c’était normal, cela étant le Barbare Noir savait que tout ce qui l’allait lui dire allait amener le réprouvé à reconsidéré beaucoup de choses et il s’en délectait d’avance. Il balaya l’air de son bras et attrapa quelque chose d’invisible. Puis l’air autour de sa main prit une forme de flammes transparente avant de faire apparaître un fil semblant tissé avec du sang.

Ce que tu vois au creux de ma main, est le lien que vous unit toi et mon fils. Au-delà de votre amitié bien sûr…Cela étant un contrat de sang est régit par trois règles. Le premier est que toutes dettes créé devront être rendues, si tel n’est pas le cas et que l’un des deux protagonistes refuse, il mourra. La deuxième est que ces dettes se poursuivent dans le temps. Tout ce qui est lié à une dette, est demandable à n’importe quel moment de la vie d’un des deux contractants. Ca tu le sais déjà bien entendu. Sais-tu seulement pourquoi on ne fait plus de tels contrats ? Tout simplement parce que la troisième règle pose souvent problème. Si l’un de deux contractants meurt au cours du contrat, peu importe la cause, et qu’il n’a pas réglé la dette, l’autre partie devra en assumer la responsabilité. Cette responsabilité conduit souvent à la mort ou la folie. Mon fils l’ignorait, et en soit ce n’est pas forcément un problème autant pour toi que pour lui. Vous vivrez assez longtemps pour combler vos dettes mutuelles, je voulais simplement t’éclairer sur ce point. Après tout, tout le monde ignore cette dernière réglé qui est tombé dans les limbes de l’oubli. Si je te dis cela, c’est simplement parce que ça va avoir un impact sur mes prochaines informations.

Il observa quelques minutes le réprouvé, ce rictus mauvais sur les lèvres. Il était vrai que Valkan ignorait cela, et à vrai dire, les contrats de sang n’était plus passé aujourd’hui. Le fils d’Ashdokan dans sa folie avait oublié bien des choses. Et se renseigner sur ce genre de contrat en faisait partit. Après tout si le Barbare Noir pouvait comprendre une chose c’était bien ce que vivait son fils.

A présent que ce point est éclairé….Nous allons pouvoir commencer.

Il relâcha le fil qu’il tenait dans sa main qui disparut aussitôt. Croisant les mots et vrillant son regard dans celui du réprouvé, il se mit à sourire agressivement.

Avant que je te dise pourquoi je désire soigner mon faiblard de fils, je vais t’expliquer quelques petites choses. Notre lignée est autant maudite que la tienne. Je ne peux pas tout dévoiler, mais saches que tu t’es engagé dans quelque chose qui te dépasse. Cela étant étrangement le destin t’a choisi toi et au vue de ton passé, mon cher Shizuo je commence à croire que le destin fait des choses censées parfois. Maintenant accroches ta ceinture réprouvé.

Ashdokan jeta un regard en coin à Valkan toujours étendu sur sa stèle avant de continuer.

Sa mère est toujours en vie. Elle aurait dû mourir car c’est le prix à payer. Malgré ce que l’on raconte, elle n’a jamais été forcée et encore moins violenter. Mon fils est née d’un amour interdit mais sincère. Afin de la protéger elle j’ai dû renoncer à mon contrôle et je suis devenue ce que je suis. Si cela peut te rassurer ça ne lui arrivera pas, il a déjà perdu ce qu’il avait à perdre. Cela dit il y a un hic dans tout ça. J’ai brisé les règles et la malédiction c’est affaiblit. Je ne peux réellement te dire ce qui va advenir, cependant tu dois amener mon fils sur le trône des Sorciers. Ne prends pas cet air accablé mon garçon, je ne le verrais pas monter sur le trône, c’est simplement une nécessité, si il devient assez puissant il pourra apprendre à maîtriser ce qui sommeille en lui. Il y a un moyen qu’il change beaucoup de choses Shizuo, et tu vas l’y aider. Si tu te demandes pourquoi, déjà parce qu’il semble être ton ami et aussi parce que si tu ne le fais pas, des choses terribles arriveront. Pour en revenir à ta question du pourquoi je l’aide alors que tout ce poids plane sur ses épaules, c’est parce qu’il y a longtemps j’ai fait une promesse à sa mère. Tout ce que je viens de te dire, garde le pour toi. Tu porteras son fardeau autant qu’il pourra porter le tiens et si tu t’avises de rompre cela, crois-moi, je t’attendrais dans l’Autre Monde. Ces détails me semblent amplement suffisants, je ne veux pas consommer le peu d’énergie qu’il reste en bavardes inutiles.

Le Barbare Noir se releva brusquement et au gré des lueurs vacillantes des bougies qui éclairaient son visage sombre, il se mit à sourire, il posa ses mains sur la table et se pencha en avant en scrutant avec intensité le réprouvé face à lui.

A présent es-tu prêt à tuer ton ami ?
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Sam 02 Fév 2013, 13:21

C’était ennuyant. Profondément fatiguant. Lui qui avait pensé que tout cela ce finirait vite était entrain de faire la conversation avec le père d’un type à moitié mort, agonisant dans la même pièce qu’eux. Il y avait bien d’autre situation, plus agréable à son sens. Le barbare noir parlé beaucoup. De chose pour la plus part qui avait un intérêt. Zéleph apprit par exemple une règle qu’il ne connaissait pas avant au sujet du contrat contracté avec Valkan. Seulement cela ne lui fit ni chaud ni froid, car il savait que ça n’arrivait pas, Ashdokan aussi d’ailleurs. Il paraissait pourtant y avoir une logique à ce qu’il perdre son temps à lui dire ce genre de chose. Peut-être pour lui mettre une sorte de pression par ce que Valkan était en piteux état ? Le problème que beaucoup de gens avait en ce monde c’était de tourné sans cesse autour du pot, de prendre des pose théâtral, des ton, et des gestes qui l’exaspéré. Il ne pouvait pas simplement lui dire ce qu’il pensait et ce qu’il en était sans toute ces ennuyeux jeux de voix et de mouvement ? Avait-il payé pour un opéra ? Zéleph était un homme, pur, brute et il détester l’air que prenaient les autres dans leurs mots. C’était fatiguant et ça le déconcentré de l’essentiel car il était exaspéré et supplier qu’on en finisse avant qu’il ne s’endorme. Pourtant ce que le barbare avait l’air de dire devait surement être très important, mais là il commencé à perdre le réprouvé avec toute ses jolies formule et son jeu de premier comédien.

Enfaite Ashdokan lui faisait de drôle de confiance. Zéleph ne comprenait pas pourquoi il user de l’énergie a cela d’ailleurs, car il s’en foutait royalement, il n’était là que pour protéger Valkan, qui devant le dragon l’avait stupidement oublié, et s’assuré cas son tour le sorcier rempliait sa part du contrat. Cela n’allait pas plus loin. Pourtant il était forcé de l’écouter, et peut être même de retenir tout ça. Si le réprouvé était accabler c’est qu’on lui parle de chose qui ne le regarder pas. Il ne connaissait rien à la malédiction de Valkan, il n’avait jamais étudié le monde, et la seule malédiction qu’il connaissait était la sienne, simplement par ce qu’il l’avait vécu. Cela était d’ailleurs aller de surprise, en surprise dans sa vie, jusqu’à ce qu’il comprenne qu’il faisait partie de cette légende qui le dépasser. Enfin, cela n’avait aucune importance. Lui avait brisé ses chaines, et à par la peur qui l’enivré encore dans certaines de ses relations, il avait dépassé tout cela. Ce n’était apparemment pas le cas du Barbare qui avait beau c’être défait de la malédiction, il n’en rester pas moins soumit. C’était plutôt bête, mais aussi absurde. Pourquoi Valkan devrait-il devenir roi ? Si il voulait son avis, i n’y arriverait jamais. Pas que Valkan n’était pas assez puissant, mais le trône des sorciers paraissait aussi maudit que lui, et il y avait des hommes plus puissant que Valkan qui viser déjà cette place. Il voulait bien l’aider, l’influencer, mais il ne pouvait promettre le résultat. Aussi était-il roi lui aussi, et de ce faite il ne pouvait pas s’avancer et risquer de montré sa préférence à un prétendant, cela mettrait son peuple en danger. Il avait fait le pacte de sang dans le but de sauver Amy, il n’avait pas promit de lui apporter le trône des sorciers, et si il était là pour l’aider à gagner en puissance, pour le reste il ce débrouillerait seul.

Pour être honnête ce fut peut être les derniers mots d’Ashdokan qui réussir réellement à le réveiller. « A présent es-tu prêt à tuer ton ami ? » Zéleph fixa le barbare les yeux rond, prit de court sur ce coup là. Il c’était attendu à beaucoup mais pas à ça. Le tuer ? Et pour quel raison ? Qu’est-ce que cela apporterait ? Une fois mort Valkan serrait emmener par les ombres, on ne pourrait plu récupérer son esprit. C’était purement et simplement impossible. « Non. » C’était hors de question, pourquoi il le ferait en plus si ça le rendrait fou ? C’était stupide, et simplement impossible qu’il en arrive à ce point extrême. « Si j’ai écouté tout votre ennuyeux discours c’était pour que vous le sauver, pas pour me demander de le tuer. Une fois mort il serra emmener au royaume des abîmes et vous ne pourrez le faire revenir. » Zéleph se leva et ce dirigea vers le corps inerte de son ami. « Je peux le sauver sans vous, je n’ai pas besoin de votre aide pour le soigner. » C’était vrai, cela dit-il Valkan perdrait son bras dans cette perspective et il aurait voulu l’éviter, mais si le Barbare voulait le tuer, il ne savait trop pourquoi vue qu’il lui avait dit de l’aider à monter sur le trône juste avant, il préférait encore que Val perde son bras, plutôt que son esprit soit à tout jamais coincer avec les ombres.
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Sam 02 Fév 2013, 15:36

Arrête de faire l’enfant Shizuo !

Sa voix avait claquée et résonnant encore dans la pièce alors que le réprouvé se dirigeait vers la stèle ou reposait le sorcier. Ashdokan fixait d’un œil mauvais Zéleph.

Sans moi, tu vas le rendre infirme. Si tu fais cela, je peux te promettre deux choses, la première tu détruiras mon fils et beaucoup de choses se passeront et la deuxième est que tu ne sortiras pas vivant d’ici. Au lieu de faire usage de gamineries, fais plutôt appel à ton intelligence et arrête de faire l’idiot.

On aurait cru un parent reprenant un enfant, mais Ashdokan semblait avoir une idée derrière la tête et malgré son ton cassant, il se dirigea vers un nouveau coin de la pièce qui était complétement envahit par la pénombre. Lorsqu’il s’en approcha deux sphères blanches s’allumèrent diffusant une lumière blanche et nacrée. Elles dévoilèrent une statue des plus étranges. Ashdokan était figé dans un élan voulant se saisir de quelque chose, une expression d’effroi sur le visage et face à sa représentation il y avait une femme qui tenait un cristal noire, comparé au reste de l’œuvre le cristal était bien réel et non fait de pierre. La femme qui tenait le cristal semblait familière… Et pour cause c’était Mitsuko qui était représentée, elle avait une allure fière et sereine.

On dirait que tu ne savais pas que c’était Mitsuko qui m’avait occis de mon vivant, et en soit elle a eu de la chance. Vu que mes discours ont un effet soporifique sur toi, prends le cristal qui tient la fabuleuse et grande Mitsuko.

On aurait dit que dire son nom lui écorchait la bouche et il parlait avec tellement de médisance dans la voix que c’en était assez spéciale. Il attendu que le réprouvé veuille bien s’exécuter et ils rejoignirent Valkan.

A présent je te demande une dernière minute d’attention. Lorsque tu seras prêt tu poseras le cristal sur lui, et tout ce fera et finira bien, il va retrouver son bras et quand je te disais que tu allais le tuer, c’est simplement qu’il va tomber dans un coma profond le temps que tout se fasse. Je t’épargne les détails, mais littéralement, il y a des chances que ça marche et autant de chances que ça ne marche pas. De toute façon tu n’as aucune inquiétude à avoir, IL ne permettra jamais à Valkan de mourir.

HRP : Désolé c'est court :s
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Dim 03 Fév 2013, 15:50

Est-ce qu’il était entrain de ce faire réprimander comme un enfant ? Non par ce cas cette instant, il en avait légèrement l’impression et c’était à la fois désagréable, et profondément surprenant. On ne lui avait pas parlé ainsi depuis qu’il avait cinq ans, et c’était sa mère à cette époque, mais alors là, ça faisait réellement bizarre au roi. De plus il commencé à en avoir marre qu’il l’appelle par son prénom, il ne pouvait pas faire un effort et l’appeler par son nom d’emprunt, par ce que ça commencer à l’agacer. Non, enfaite cela l’énervait réellement pour le coup. Plu personne ne l’appeler ainsi depuis très longtemps, à part une seul personne, une unique femme qui en avait le droit car elle l’avait connue bien avant tout les autres, bien avant qu’l ne détruise son ancêtre et ne lui prenne sa puissance. Avant qu’il ne devienne Zéleph, le redoutable, mais pas moins sympathique seigneur des deux rives. Il aurait bien p continuer à s’agacer en refusant d’obéir à Ashdokan qui ce prenait soudainement pour son père, quand la situation changea soudain. C’était qu’il ne s’attendait pas à ça. Une statue de Mitsuko ? Ici ? C’était quoi ce nouveau délire au juste ? On lui faisait une farce ? Il ne trouvait pas cela très drôle, c’était plutôt troublant pour dire vrais. Sincèrement, qu’est-ce qu’un statue de la déesse faisait perdu dans un coin pareille ? Posant son regard sur le barbare, le roi le fixer, les yeux rond, perdu. Il aurait peut-être dû être plus attentif quand Valkan lui parlait. Elle l’avait tué ? C’était elle ? Ça en l’étonner pas vraiment sur ce point, si Ashdokan parler de chance, Zéleph n’en dirait rien, mais lui parlait plutôt de puissance et d’intelligence. Est-ce que le sorcier savait quelle relation in entretenait avec la déesse ? Lui qui savait apparemment beaucoup de chose sur lui, cela ne l’aurait pas étonné, mais alors quel rapport dans tout ça ? Peut-être que là, le réprouvé aurait bien eu besoins de quelques explication, mais il n’osa rien dire, un peut désarçonner de voir le visage de Mitsuko graver dans la roche.

S’approchant comme le lui avait indiqué, voir ordonner le barbare noir, le réprouvé prit le cristal le retirant des mains de la statue. Peut-être qu’il pouvait demander à la blonde quelque explications. Elle le prendrait pour un fou qui s’intéressait de choses étranges, mais après tout, il valait mieux ça que repasser une heure à écouter Ashdokan, et puis vue son ton, Zéleph pensait que ce serait plus raisonnable. Du moins si il arrivé à avoir une discussion normal avec Mitsuko, un de ces jours. S’approchant de l’homme, le cristal en main, il posa son regard sur Valkan. Si il ne faisait pas très vite quelque chose, ça aller vite être réglé, et il n’y aurait plu de temps pour en discuter. « A présent je te demande une dernière minute d’attention. Lorsque tu seras prêt tu poseras le cristal sur lui, et tout ce fera et finira bien, il va retrouver son bras et quand je te disais que tu allais le tuer, c’est simplement qu’il va tomber dans un coma profond le temps que tout se fasse. Je t’épargne les détails, mais littéralement, il y a des chances que ça marche et autant de chances que ça ne marche pas. De toute façon tu n’as aucune inquiétude à avoir, IL ne permettra jamais à Valkan de mourir. » Il ? Qui « il » ? Zéleph posa un regard plein d‘interrogations sur le mort à coter de lui, mais il n’avait réellement plu le temps de bavarder. Regardant son ami, inconscient, il souffla. Puise que c’était la seule solution, autant si plier.

Prenant une grande bouffer d’air, le roi, un peu anxieux, vue qu’il ne savait ni ce qui aller arriver, ni si ça aller arriver, il finit par poser le cristal sur le torse du sorcier. Une lumière aveuglante envahit la pièce. Elle fut si puissante, que le réprouvé dû reculer en se cachant les yeux, ses pupilles bruler. Elle fut pourtant brève et quand le réprouvé rouvrit les yeux, des bride de lumière l’aveuglant encore, il vit le corps de Valkan envelopper dans une douce lueur blanche, qui le recouvra tout entier, avant de former une sorte de dôme, ressemblant à un cocon. La lumière devin si opaque que bientôt il ne vit plu le sorcier, ne pouvant regarder que cet étrange phénomène. Jetant un regard à Ashdokan, Zéleph se demander si cela voulait dire que c’était entrain de marcher, mais le barbare ne bouger pas fixant le processus entrain de ce faire. Le réprouvé reposa alors son regard sur la stèle et cette lumière recouvrant son ami, cherchant un quelconque signe prouvant que cela marchait et qu’il retrouverait sa forme et sur tout son bras.
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Ven 08 Fév 2013, 16:00

La lumière était intense et bientôt un bruit étrange se fit entendre, comme si la lumière chantait. Un bruit des plus étranges, cristallin indescriptible. Le son remplissait la totalité du tombeau résonnant avec force. Valkan n’était plus visible, en revanche le cristal noir c’était élevé dans les airs, et il ne cessait de prendre de la hauteur, il s’éleva mis en mouvement par une force invisible au-dessus du cocon de lumière blanche qui entourait la dépouille du sorcier.
Zéleph du coin de l’œil pouvait apercevoir Ashdokan un sourire victorieux sur les lèvres, le Barbare Noir éleva sa main devant son visage pour la voir se désagrégée et crée un nouveau flux d’une couleur noir se dirigeant vers le cristal. Le corps du père de Valkan commençait à se transformer en lambeaux, c’était un étrange processus, sa peau se séparait de son corps et était absorbée par le cristal qu’avait tenu entre ses mains Zéleph quelques minutes plutôt. Bientôt ce fut tout une partie de lui qui se transforma en vide, seul les flux de l’essence noirâtre du Barbare était visible, contrastant avec la lumière blanche qui devenait de plus en plus aveuglante. Bientôt la voix d’Ashdokan résonna autour du réprouvé.

    Je ne t’ai pas dit toute la vérité, Roi des Réprouvés, avant que je parte véritablement, je veux voir de mes yeux si tu es homme de parole. Jusqu’à que mon fils devienne ce qu’il doit être, je serais dans son om…


Il avait disparu, ses paroles eurent un dernier écho avant que toute son essence soit absorbée par le cristal noir. Le Barbare Noir n’avait pas mentit, il avait omis quelques petits détails, certes les plus importants, mais il était évident que Valkan finirait par découvrir toute la vérité et il fallait recourir à ce genre de méthodes pour qu’il puisse enfin accepter son héritage. Alors que le cristal absorbait les derniers flux d’Ashdokan, tout commença…

Le son que produisait la lumière blanche devenu assourdissant et puis d’un coup la lumière explosa se répercutant dans toute la pièce, rebondissant contre les murs et disparaissant dans un éclat aveuglant et un bruit assourdissant. Le temps que Zéleph retrouve sa vue, Valkan était là, toujours allongé sur la stèle. La lumière avait complétement disparue, malgré ça le cristal qu’il avait auparavant posé sur le sorcier continuait à être suspendu au-dessus de sa dépouille.
Il y eut un craquement sinistre qui résonna dans la pièce. Zéleph pouvait sentir la pression écrasante de la magie qui prenait forme devant lui, il se passait quelque chose d’invisible, mais il se passait quelque chose. Un courant d’air glacial se fit sentir, et puis le cristal plongea avec une vitesse ahurissante sur Valkan, ce fut tellement rapide qu’en un clignement d’œil, le cristal avait percuté le front de son ami étalé sur la stèle. Une gerbe de sang s’éleva dans les airs marbrant les alentours. Le cristal commençait à libérer de l’énergie, cela se présentait comme des vagues chaudes qui émanaient de Valkan, Zéleph pouvait les sentir lui passer au travers et elles étaient de plus en plus rapides. Le corps inerte du sorcier se mit à se soulever et s’éleva à quelques mètres de la stèle, plusieurs décharges énergétiques sortant du cristal parcourait son corps, lui donnait des soubresauts des plus étranges, et les convulsions arrivèrent, violentes, sa silhouette s’agitait en tous sens, et là ou sa blessure était béante, l’os commença à se reconstruire, ce fut lent au début et puis ça prit de la vitesse. Puis ce fut au tour des muscles, des nerfs, des tendons, son bras se reconstruisait et lorsque la peau eue totalement recouvert son nouveau bras, on aurait pu croire que c’était fini. Et pourtant ce n’était pas le cas, Zéleph le comprit à l’instant, ou suspendu dans les airs, son ami ouvrait les yeux et hurlait à ne plus en pouvoir…
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Chute Céleste [Pv. Zéleph]

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