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 Que de futilités... {Test passage niveau V; Zéleph}

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Mar 08 Jan 2013, 18:23

Zéleph fixait Yang Fang « s’amuser » avec le démon, en écoutant Maak. Au moins ils avaient la même visions des choses et en vue des choses qui ce dérouler sur les terres ces dernier jours, il fallait souder leurs rangs. Trop de choses se passer, des choses dont-ils n’avaient même pas idée et malheureusement Zéleph sentait le danger plané au-dessus d’eux. Rien de bien agréable. Heureusement si il arrivé à s’entouré de personne comme Maak, le roi ce sentirait peut être plus en confiance, mais rien n’était encore fait. Le nouveau sentinelle lui posa alors une question, une question qui le fit sourire. C’était vrais que son rôle ne paraissait pas tout à fait évidant et pourtant quand il aurait compris il verrait que son roi venait de lui faire un cadeau empoisonné.
« Eh bien en tant que Sentinelle de la révolte, tu es maitre des armée. C’est à toi que reviens la lourde responsabilité de conduire nos troupes à la victoire. »
C’était un rôle dure a porté. Il fallait avoir une confiance pleine en soit et en ses hommes. Maak devrait gérer des réprouvés prés a ce battre pour leur peuple. A présent il avait entre ses mains la vie de chacun de leurs soldats. C’était à lui que revenait la tâche de guider leurs hommes, de les rassuré, de leurs donner foie et courage, mais aussi de faire en sorte qu’il revienne vivant de leurs quêtes. Oui, Maak était à présent quelqu’un de très important pour son peuple, et si il se débrouiller bien il serrait considéré comme un héros, si au contraire il se voyait dépasser par les évènements, le peuple risquer de ne pas beaucoup l’aimer. Zéleph n’avait aucune crainte quant aux capacités du réprouvé, c’était pour cela qu’il lui confier ce rôle sans crainte de s’en voir déçu.
« Tu es celui qui sème la révolte dans le cœur des opprimés, celui qui donne aux troupes le courage de se battre pour un monde meilleur, un monde juste et rêvé. Mais ce courage et cette détermination, tu peux également l'enlever, rendant ainsi les personnes vides de conviction. »
C’était un pouvoir délicat, une dimension de son rôle puissant et destructeur, mais en donnant ce pouvoir à Maak, Zéleph savait qu’il faisait le bon choix. Il n’y avait pas meilleur partie pour tant de responsabilité. Il avait une grande confiance en lui, et bientôt tout leur peuple en ferait de même, il en était certain et jusque-là rien ne l’avait fait douter sur son choix.
« Bien sûr c’est moi qui suis le réel maitre des armés. Je déclare la guerre ou la paix, disons que tu es mon délégué. Tu pourras être là où je ne peux pas être. C’est à toi que reviens la tâche de guider nos soldats, de veiller sur eux, de promettre à leurs familles de les retrouver. C’est toi qui vas devoir surveiller leurs formations, l’âge des recrus. Géré, no tactiques, nos techniques, nos armes, nos défenses, nos attaques, bref… »
Le roi posa son regard sur Maak. Il s’avança et posa une main sur son épaule, l’air le plus sérieux du monde gravé sur le visage. Etre sentinelle de la révolte n’avait rien de facile, il fallait réellement savoir ce que l’on faisait. Comme chaque sentinelle, chaque décision peut avoir de grande répercutions.
« Tu as toute les cartes en mains. C’est à toi que reviendra notre victoire si nous sommes en guerre, et c’est sur toi que je compte pour me conseiller quand la tempête serra à nos portes. »
Entant que roi il avait tellement de chose à penser. Les bienêtre du peuple, sa protection, les rencontres diplomatique, les problèmes économiques, les maladies, alors la guerre, Zéleph n’avait pas assez de temps pour la géré à lui tout seul. Maak serrait excellant dans son nouveau travaille, et il lui serait d’autant plus utile que le roi pouvait entièrement ce reposer sur lui en sachant qu’il suivrait ses directives et prenait son poste avec sérieux. Avec les déchus qui s’en prenait sans vergogne aux Anges, la guerre n’était plus très loin, et lors ce que les réprouvés s’en retrouveraient mêler, Zéleph ne douté pas que son peuple serrait près, Maak à la tête de leurs armés.
« J’ai une total confiance en toi Maak, je sais que tu seras un meilleur leader que je l’ai était pour nos hommes. »
Le roi lui sourit avant de ce retourné une nouvelle fois vers Yang Fang. On aurait dit une petite fille jouant avec une poupée. Cette femme était folle et d’une puissance impressionnante, mais forte heureusement Zéleph arriver à la garder de son coter malgré son esprit bancale.
« Il faut que tu sache que les terres d’Emeraude appartiennes aux Orine. Nous avons conclus une sorte de pacte. Bouton d’or nous appartient, ainsi que Stenfek. Nous avons libres passage dans toute les terres d’Emeraude, en échange de cette liberté nous protégeons les frontière et ne chercheront jamais ou se trouve leurs village. C’est en quelque sorte « donnant-donnant ». Ainsi les Orines sont sous notre protection et même si les terres d’Emeraude ne nous appartienne pas, nous en somme responsable. »
Il devait rencontrer Lily-Lune, la reine de ce peuple, mais malheureusement il ne savait pas encore quand il aurait du temps a consacré à la reine des Orines. En ce moment il avait beaucoup trop de chose à faire. Pourtant cela était d’une importance capitale, après tout elles étaient leurs voisines les plus proches et donc les plus précieuses.
« Cela deviens donc ta responsabilité. La sécurité de ces terres, bouton d’or, Stenfek, les forêts cachant les Orines. Tu vas également devoir t’intéresser a nos accord diplomatiques, nos relations avec les autres peuples, c’est pour ça que nous allons devoir nous consulté souvent. J’ai conscience que ta vie vas être chamboulé, mais je pense qu’il n’y a rien de mieux que d’être utile à notre peuple. Faire avancer les choses, amélioré leurs vie pour que les futures réprouvés ne vivent jamais ce que leurs ancêtre ont subi. »
Le futur de leur race était entre leurs mains, et Zéleph avait bien l’intention de faire de ce futur quelque chose de glorieux et de bien plus beau que leur passer.
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Mer 16 Jan 2013, 21:54

Néfastes responsabilités...

Vivre en ne se souciant que de sa propre personne, sans prêter le moindre intérêt à tout ce qui pouvait se produire autours de soi. Aller de l’avant, sans regarder en arrière, ne tirer aucuns enseignements des affaires passées, par peur de ne pouvoir les supporter ; ne pas supporter ses propres agissements, de voir la bête enfouit au fond de son être qui pouvait à tout moment ressurgir dans un claquement de doigt. S’enfuir dès que la situation était mauvaise, et ainsi ne porter absolument aucunes responsabilités sur ses épaules, par hantise d’échouer à leur réalisation. Rester alors en marge de la société, ne pas s’y impliquer, mais vivre en ne se souciant que de sa propre personne, sans prêter le moindre intérêt...

Si le Réprouvé avait toujours vécu comme un paria jusqu’à maintenant, même si personne ne l’avait jamais réellement considéré comme tel ces dernières années, tout allait devoir changer de façon radicale à présent. S’étant lui-même exclu de toutes les activités ayant un lien de près ou de loin avec son peuple, ou d’une certaine forme du pouvoir, il n’avait absolument aucunes connaissances de quoi que ce soit qui puisse aider sa propre race à avancer dans un quelconque domaine. Aussi, tout cela allait devoir changer à présent, par obligation, ou par pure service rendue à sa propre race, ses intérêts devaient se porter sur bien d’autres domaines différents. Un enfant qui devrait réapprendre au fur et à mesure du temps, maîtriser des connaissances inconnues et peut-être même se découvrir des faces cachées de sa personnalité, jusque-là insoupçonnées. Mais il n’en espérait tout de même pas trop.

« Est-ce que confier la charge de toute une armée à un seul homme est la stratégie la plus intelligente ? Je ne peux pas savoir ce qui arrivera à l’avenir, et encore moins toi, et si par malheur il me venait à l’idée de déserter, ou bien, si je devais craquer pour une quelconque raison, il n’est absolument pas garanti que je veuille emmener les Réprouvés à la victoire dans une bataille. Et encore moins que je voudrais de nouveau m’appliquer dans un quelconque projet lié aux Réprouvés. À ce moment, tu devras te trouver un nouveau chef des armées. Enfin ! Toutes ces situations ne sont que des éventualités évidemment. Personne n’est indispensable ! »

Il fallait anticiper les attaques et complots de l’ennemi, mais encore plus ceux venant de la part de personnes considérées comme des alliés. Ils étaient plus promptes à trahir la confiance qu’on leur offrait généreusement, ils connaissaient mieux nos points faibles que nous pourrions jamais les connaître, ils savaient frapper là où ça faisait mal... Plus une réflexion personnelle que de véritables paroles destinées à Zéleph, Maak s’était vu trahi à de nombreuses reprises dans son existence, et toutes les trahisons avaient été perpétrées par des individus qu’il croyait être de confiances. Même si le Réprouvé doutait qu’il soit lui-même capable d’un tel acte, le Destin réservait bien des surprises.

« Être chargé d’une telle responsabilité n’est pas une mince affaire, et je n’ai absolument pas l’étoffe d’un héros, ou d’un meneur d’Hommes. Je veux dire, les seules personnes que je n’ai jamais commandé jusqu’à maintenant étaient des groupes de mercenaires qui vivaient plus pour voir couler du sang par leurs épées que pour réellement sauver une population. Alors, je veux bien me charger de tout ce que tu me donneras, mais il va me falloir un peu de temps pour pouvoir m’y faire. »

Diriger un groupe d’une poignée d’individus prêt à tuer, du moment qu’ils étaient assez bien payés, était en soit assez différent que de commander une armée de Réprouvé volontaire. Lorsqu’il était beaucoup plus jeune, l’hybride s’était déjà vu confier des tâches de ce genre, et il avait dû se montrer impitoyable envers ceux qui ne suivait pas ses ordres et en vérité, il n’avait pas aimé ce travail collectif, pas du tout, la solitude lui collait à la peau comme une ombre. Mais là, il s’agirait de centaines, voire de milliers d’Hommes qu’il faudrait mener d’une seule voix forte et autoritaire, et Maak n’aurait probablement pas le droit de prendre l’un d’entre eux pour montrer l’exemple.

« Si j’étais à ta place, je remettrais à deux fois en question mes qualités en tant que leader car, pour autant que je sache, je n’ai encore jamais eu l’occasion de te montrer de quoi que ce soit sur ce plan et pour placer autant de confiance en une personne que tu ne connais pas très bien, tu as soit une certaine naïveté, soit un flaire hors du commun. »

Devenir souverain, diriger tout un peuple, maîtriser la politique, entretenir des relations avec d’autres races, faire bonne figure auprès des autres : Maak en était pour le moment complétement incapable, il s’étonnait déjà s’être allié avec le chef des Réprouvés, alors se voir attribuer tant de pouvoir d’un claquement de doigt lui était encore plutôt irréaliste... L’hybride continuait à écouter les paroles de Zéleph en jetant quelques coups d’œil à Vergil, qui ne s’était probablement jamais retrouvé dans une si mauvaise posture ; la Sentinelle le manipulait comme un vulgaire pantin désarticulé, aux prises avec son marionnettiste.

« Je suis donc en charge avec tout ce qui a un lien de près ou de loin avec les terres des Réprouvés, les relations avec tout les autres peuples du Yin et du Yang et la sécurité de toute une communauté de personnes ? Bref, je n’aurais plus une minute à moi ! Je me demande si je ne vais pas finir par regretter d’avoir accepté un tel poste... »


Maak passa une main soucieuse dans ses cheveux avant de lâcher un petit soupir suivi d’un léger sourire sur son visage. Qu’est-ce que pouvait encore lui réserver Zéleph comme cadeau empoisonné...

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Ven 18 Jan 2013, 16:26

Zéleph haussa les épaules à sa première remarque. Il avait raison personne n’était indispensable et il pourrait se passer de ses services si cela devenait nécessaire, il pourrait même très bien s’en occuper lui-même, il était tout à fait apte à le faire, et même à l’aidée si il en avait besoin. Le roi savait bien que certaine chose pouvait ne pas se dérouler comme on l’avait prévu la première fois, et c’était d’ailleurs plus souvent ainsi que l’inverse. Pourtant il n’avait aucune crainte quand a ce futur-là, et imaginer même qu’il pourrait très bien gérer ce genre de situation, c’était bien pour cette raison uniquement qu’il n’y penser simplement pas. A la seconde remarque le roi sourit simplement. Il n’avait pas peur de ce qui pourrait arriver car Maak s’en sortirait. Bien sûr que cela prendrait du temps, mais personne n’était bon du premier coup, il fallait toujours un temps d’adaptation, un temps pour apprendre. C’était d’ailleurs en trébuchant qu’on apprend a ce redresser et à marcher à nouveau, tout était ainsi, de ses premier pas, jusqu’à arriver à courir. A la fois simple et compliquer. Maak y arriverait, Zéleph n’avait aucune inquiétude là-dessus. Il se découvrirait lui-même dans ses nouvelles responsabilité et si réellement cela ne lui convenait pas il le chargerait d’autre chose, le roi n’était pas quelqu’un de contrariant pour ce genre de chose. Après tout, il partait du prince que l’on était uniquement bon dans ceux pourquoi on était fait et ce que l’on apprécier faire, si cela devenait un fardeau pour lui alors il le ferait arrêter et le pousserait à faire autre chose, cela serait bien mieux pour tout le monde. « Si j’étais à ta place, je remettrais à deux fois en question mes qualités en tant que leader car, pour autant que je sache, je n’ai encore jamais eu l’occasion de te montrer de quoi que ce soit sur ce plan et pour placer autant de confiance en une personne que tu ne connais pas très bien, tu as soit une certaine naïveté, soit un flaire hors du commun. » Cette fois Zéleph ria, il ria par ce que Maak n’avait pas tort sur un certain point, il ne le connaissait pas assez pour juger ses qualité de chef, mais Maak n’avait pas compris une chose : il n’était pas seul. Voilà pourquoi il aller devoir lui expliquer encore plusieurs chose, car il réaliser qu’il avait était un peu floue en ce qui concerner le réalisme de la chose. Le roi fini par sourire a son camarade. « Ce n’est pas aussi compliquer que tu le pense. Tu n’es pas seul tu sais, une armé est composer d’une hiérarchie, tu es simplement au sommet de cette pyramide. » Le roi s’approcha de lui en posant une main amical sur l’épaule de Maak, amuser. « Comment crois-tu que j’y arrive ? Entre le Circus et la couronne, si je ne délégué pas, je n’aurais plu de vie. » Il le poussa vers Stenfek, qu’on pouvait voir a deux collines d’ici. « Allez, viens j’ai quelque chose à te montrer. » Faisant réapparaitre ses ailes, il prit son envole, Yang Fang stoppa alors ses jeux, et en voyant son roi s’envoler elle en fit de même pour le rejoindre. Zéleph invita Maak à le suivre, puis ils partirent dans la cité des réprouvés.

Arriver au-dessus de la ville, le roi ce dirigea vers un coin de la cité, une zone protéger de grand mur. Ils étaient dans une cour, une cour remplit d’homme s’entrainant aux armes, que ce soit au corps à corps où bien à distance. C’était plus ou moins le lieu où le débutant commencer à se familiarisé avec les armes et les technique. Zéleph se tourna alors vers Maak. « Nous sommes ici dans l’enceintée de la caserne de Stenfek. C’est ici que les jeunes recrue ce font former, c’est ici aussi que tous nos soldat vivent et s’entrainent. C’est ici aussi que tu trouveras tous nos généraux, tous ceux qui gères les armés, les armes, les soldats, les techniques, enfaite c’est ici que tout ce passe. Toi tous ceux que tu as à faire c’est t’en informer et t’occuper des plus grande instances des lieux. » Zéleph poussa Maak a rentré dans les locaux pour le faire visité. Ils tombèrent sur le cheffe chargé de s’occuper des nouvelles recrues. Il vint le saluer dans une noble révérence, le roi trouva que c’était parfait pour parler d’autre chose à Maak. « Pierce voici votre nouveau sentinelle. Maak voici Pierce, c’est lui qui géré tous les nouveau. C’est lui qui décide qui es apte à devenir solda et dans quel branche de notre armé. Nous avons deux armés, une de terre, et une des aires. Ce sont des sortes de spécialités. » Le roi remercia Pierce qui les quitta poliment. Il amena alors Maak dans une cours arrière. Dans cet endroit il y avait des machines, la plus part étant des machines de sièges, des armes gigantesques. « Voilà à quoi nous serre la moitié de notre armer de terre, à utiliser ce genre d’arme. Là encore nous avons deux chef diffèrent. Un pour diriger la légion, l’autre pour les l’armée lourde. Je pense que tu les rencontreras plus tard, mais ce sont eux qui guident nos armées au front et les fait évoluer. » Zéleph entra à nouveau faisant suivre les autres. Ils allèrent alors hors de cette zone dédier a l’armée de leur peuples et se dirigèrent vers le château de l’échiquier. « L’armé de l’air, notre dernière armé, n’évolue pas à l’intérieur de la vielle, ils s’exerce en dehors. Ils font d’ailleurs souvent des exercices avec l’armée lourde, mais peu importe tu verras ça toi-même. » Entrant dans le bâtiment dédier a l’organisation qui garder la cité. Le roi tenta de passer inaperçu, mais il ne fallut pas deux seconde pour qu’on sache qu’il était ici, seulement il n’était pas là pour parler a Masha, ou pour voir les autres sentinelles. Faisant signe a Yang de s’en charger elle comprit tout de suite et ce volatilisa. « Bien si nous somme à l’échiquier c’est par ce que c’est ici que nos décisions politiques ce prennent. Comme je suis personnellement donateur pour l’organisation et que je leur permets de rester ici et en échange ils nous prêtent les lieux pour nos réunions, et tout le tralala politique. C’est donc ici que tu pourras te renseigner pour nos relations diplomatiques, faire des réunions avec tes chefs d’unité et parler avec eux des techniques de guerre ou bien des stratégies, bref.. » Il se retourna vers Maak stoppent leur marche. « Tu as beaucoup de chose à faire c’est vrais, mais tu n’es pas seul. C’est à toi de t’organiser et de faire en sorte que tout ne pèse pas sur tes épaules. Au début ça vas être difficile de tout comprendre, et de savoir comment faire, mais très vite tu vas t’y faire, tu vas apprendre, comprendre et tu seras très bon, je n’en doute pas. » Le roi sourit alors se souvenant d’une chose assez banale à présent et qui pourtant sur le moment l’avait terrifié. « Je ne suis pas devenu roi en un jour, ça m’a pris beaucoup de temps, et même aujourd’hui j’ai encore beaucoup à apprendre, je le sais et même si quatre-vingt-dix pourcent du temps je déteste ce que je fais, j’en prend plaisir quand je vois où en est notre peuple maintenant, grâce à moi. »

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Ven 25 Jan 2013, 18:37

Et si le monde disparaissait...

Si du jour au lendemain, ce que l’on pensait indestructible venait à être détruit comme un misérable château de carte ? Si ces monuments qui faisaient la fierté et la splendeur de tout un peuple venaient à ne plus exister, à disparaître dans une souffle du vent ? Si la paix que nombreux avaient tenté de maintenir à flot pendant des années de leur règne se trouver totalement détruite en un laps de temps aussi court qu’une brève respiration ? Le chao, le désordre, l’anarchie régnerait en maître et alors, plus aucune loi ne pourrait venir rétablir l’ordre ; les belles paroles des quelques individus se considérant comme des héros n’auraient alors plus aucun sens car même eux se seraient cachés loin de tout chamboulement. Si tout disparaissait, de nombreuses personnes seraient déchargées d’un poids considérait comme trop pesant...

Le Réprouvé ne serait alors pas « obligé » de s’affairer à une tâche qui ne l’intéressait pas plus que ça. Évidemment, il était heureux de pouvoir contribuer à l’avancement de son peuple, d’une quelconque manière que ce soit puisque en étant plus jeune, cette idée ne lui avait jamais effleuré l’esprit, cependant, il était à présent lié par un fil invisible à Zéleph et serait donc forcé de suivre les consignes qu’il lui donnerait. Toute sa vie s’en trouvera chamboulé de manière inéluctable, comme jamais elle ne l’avait été et sincèrement, il doutait d’être à la hauteur de la tâche, peu importe ce que son homologue venait de lui dire. L’hybride n’avait jamais manqué de confiance en lui, ce n’était pas son genre, mais à présent que certaines de ses actions auraient des répercutions sur tous les Réprouvé, il commençait à avoir certains doutes sur lui-même.

En revanche, Maak ne comprit pas exactement pourquoi son semblable se mit à lui rire au nez. Si l’hybride n’aimait pas certain genre de comportement, celui-ci en faisait partie ; il détestait au plus haut point que quelqu’un se permette de rigoler devant sans aucune raison valable. D’abord parce qu’il trouvait cette attitude complétement idiote, ensuite parce qu’il pensait que la personne en face se moquait de lui, et c’était là encore une chose qu’il ne supportait absolument pas. Le Réprouvé se contenta simplement de rester stoïque devant Zéleph et de ne faire aucun geste ; serrant les mâchoires et plantant ses yeux dans ceux de son homologue, celui-ci lui expliqua rapidement que tout le poids ne reposerait pas sur ses épaules en définitive ; Maak rappela Vergil en lui, avant de suivre Zéleph.

Sans savoir réellement où le Réprouvé se dirigeait, il décida tout de même de suivre son semblable là où bon lui semblerait de l’emmener ; si la méfiance se mettait en place dès maintenant, leur entente n’en serait que plus entachée d’une certaine mésentente. En fendant d’avantage les cieux, une ville se découvrit aux yeux de l’hybride qui n’avait pas souvenir d’être passé par ces contrées un jour. Il ne s’attarda cependant pas à contempler cette cité, qu’il prendrait le temps de visiter un peu plus à son aise plus tard, et suivit Zéleph jusqu’à un rempart qui semblait plutôt bien gardé. Il ne lui fallut pas longtemps pour apprendre qu’il s’agissait là de camp militaire central des Réprouvés ; Maak n’avait jusqu’à lors encore jamais vu une telle concentration de ses semblables à un même endroit, c’était plutôt rassurant de voir qu’autant étaient voués aux services de leur peuple.

Le souverain ne perdit pas réellement de temps, quand aux présentations qu’il fit entre Maak et ce dénommait Pierce, mais c’était au moins rassurant pour lui de savoir qu’il n’aurait pas à se charger de si nombreuses tâches. En passant par les autres « bases » de l’armée, il était facile de remarquer que tout était extrêmement bien organisé, et que le système semblait même plutôt bien rodé, aussi bien l’armée de terre, que celle de l’air. L’hybride n’était pas vraiment un fanatique du combat dans les airs ; il aimait pouvoir utiliser les éléments autours de lui durant l’attaque et il fallait reconnaître, qu’il n’y a pas de quoi faire lorsque l’on laissait ses ailes prendre le pas sur les jambes…

« Je pense que moins j’en aurais à faire, mieux je me porterais… Je ne suis pas un incapable, ni un feignant, simplement quelqu’un qui à un peu de mal à se rapprocher des autres en temps normal. Mais je ferais mon maximum pour que tous se passe comme il le faut, je ne voudrais tout de même pas trahir la confiance que tu m’as accordé, en plaçant autant de pouvoir entre mes mains. »

« Oh, je crois que tu peux t’accorder beaucoup de mérite de faire autant de chose à toi seul, même si tu ne diriges pas tout directement, tu dois tout de même te charger des affaires politiques des Réprouvés, et rien que pour ça, tu as toute mon admiration. Je serais incapable d’en faire autant, même pour le bien de mon peuple. Mais je me débrouillerai pour t’être le plus utile possible ! »

« J’espère m’entendre aussi bien avec les autres Sentinelles que l’on peut compter parmi les Réprouvés, même s’il doit y en avoir un bon petit nombre. Mais… Je crois que je dois faire mes preuves auprès des autres de mes semblables pour prouver que je mérite la place que tu m’as offert ! »


Maak doutait que les autres Sentinelles, soldats, ou Réprouvés, mettraient en cause le jugement de leur souverain, quoi qu’il puisse être. Mais avec par une si belle journée, et un endroit qui offrait autant de possibilité d’attaque, il aurait été dommage de ne pas profiter d’un petit duel amical. L’hybride rebroussa chemin, se dirigeant dans la cours réservée à l’armée de terre, dégaina sa faux avant de la planter dans le sol et déclara d’un petit ton enjoué :

« Qui sera mon premier adversaire ? »

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Dim 27 Jan 2013, 15:38

Zéleph fixer Maak le regard neutre. Cela prendrait du temps, mais le réprouvé finirait par trouver ses marque, par laisser son empreinte et faire un très bon travaille, le roi en était persuader, et puis pour être honnête cela n’avait que peu d’importance qu’il soit à l’aise aujourd’hui ou non, car il finirait bien par si faire. Après tout il avait accepté, juré sur son honneur, il était donc impossible qu’il fasse marche arrière. Zéleph regarda Maak mettre au défit ses nouveaux hommes. Au moins il avait le sens des affaires, du moins la capacité à s’adapter à son environnement et à ceux qui l’entourait. C’était pour cela que Zéleph n’avait pas peur de son futur au saint des sentinelles. Maak était un homme intelligent, il serait ce faire obéir et respecter, et il arriverait très bien a géré tout ça. Ce n’était qu’une question de temps. Pour son lien avec les six autres sentinelles, il en connaissait déjà un autre et si Yang fang l’apprécier il pouvait être sûr que les autres ne broncherait pas, elle était un peu terrifiante et personne n’osait la contre dire, a par lui bien sûr, mais elle ne lui disait jamais rien, lui étant totalement dévouer. Laissant Maak à ses affaires, le roi s’enfonça dans les bâtiments. Il faudrait aussi lui expliquer plus clairement que l’échiquier n’était pas une institution à prendre à la légère. Il fallait même s’en méfier comme de la peste.

Saluant quelques hommes curieux des rumeurs que l’on entendait dans les couloirs de puis quelque minutes : un nouveau sentinelle avait était promus. Il sourit en leur indiquant l’endroit où il pourrait le voir, voir même l’affronter. En marchant le roi ce demanda ce qu’il pouvait dire de plus à Maak. Il n’avait plu grand-chose à lui apprendre, maintenant qu’il allait prendre en mains els institutions, ce qui rester réellement faire était de le présentait au peuple pour qu’ils voient le nouvelle homme qui allaient les protéger et s’occuper de leurs maris, leurs pères, ou leurs frères sur les champs de batailles. Zéleph retourna dans la cour, où il espéré, Maak mettait une raclé a ses hommes, mais avec douceur bien sûr, il ne fallait tout de même blesser l’égo de personne, cela aurait était ennuyeux, voir amusant, mais vexer un guerrier n’était jamais bon, surtout quand il est dans votre camp. S’avancent vers le nouveau sentinelle de la révolte, les combats stoppèrent alors qu’il tapait gentiment l’épaule de Maak. « Je crois qu’il est temps que ne peuple vois le nouveau visage de notre maitre des armés. »

Il l’invita à le suivre hors des bâtiments pour s’aventuré dans la rue. Bien sûr on le reconnaissait a tous les coins et il fut très vites accoster de tous les coter. Zéleph n’était pas un homme de publique, il était plutôt quelqu’un de réserver dans ce genre de moment. Saluant simplement d’un léger sourire ou d’un signe de tête les gens venant lui faire des révérences et lui demander comment il allait. C’était en réalité une sensation étrange que d’être aimé et connue par tant de gens alors que lui n’en connaissait aucun. Enfin arriver sur la grande place, il se tourna vers Maak avec un petit sourire. « Je pense que c’est à toi de te présenter, cela leurs montrera que tu as confiance en toi, ça les rassurera. » C’était également une épreuve. Si il était capable de se faire entendre d’une foule lambda, alors il serait capable de se faire entendre de ses hommes. C’était le but après tout, il était là aussi pour être une figure emblématique de leur force militaire. Zéleph ce fit offrir des fruits, et d’autre sucreries, il se mit à les manger en souriant as Maak d’un air malicieux. Après tout il était temps d’un peut se détendre et de s’amuser de tout ça. Etres trop sérieux c’était ennuyant et Maak ne devait pas prendre tout cela comme une punition, cela pouvait tout à fait devenir amusant et plaisant. Sur tout pour les spectateurs comme lui, il ne le cacher pas.

hj:
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Lun 04 Fév 2013, 12:13

Et pour un combat de plus...

...montrer toute sa bravoure. Honorer le poste auquel on avait été promu, sans véritablement le vouloir pour ne décevoir les attentes de personne. Avoir de la fierté dans ses gestes, ne pas se montrer trop imbu de soi-même, savoir rester humble face aux plus faibles que ça, c’était ça aussi prouver que l’on pouvait être digne de toute la charge qui pesait sur ses épaules sans pour autant « prendre la grosse tête ». Le pouvoir peut très facilement faire ouvrir un peu trop grands ses ailes à n’importe qui : riche ou pauvre, la folie ne fait pas de distinction sur ses victimes. Elle sévit, possède et annihile les pensées de n’importe qui, quelle que soit la personne et quelque que soit l’endroit d’où elle vient. Mais il fallait tout de même rester raisonnable et ne pas tomber dans ses filets en restant simplement soi-même et ne pas se laisser influencer par un individu dans son entourage, voire même les fuir si cela était nécessaire.

Il n’y avait à priori rien à craindre pour le Réprouvé, il n’était pas du genre à se faire monter la tête par n’importe qui, même pas par Vergil ; il faudrait trouver une personne capable de le manipuler complétement pour cela, et là encore, l’individu capable de cet exploit n’était pas né. Mais l’heure n’était pas à réfléchir sur ce qu’il pourrait faire ou non lorsqu’il aurait toutes les cartes en main : des personnes impatientes de l’affronter l’attendaient de pied ferme. Certains avaient un regard réellement suspicieux, ne sachant s’il pouvait faire confiance ou non à cet inconnu qui venait les défier sur leur propre terrain, dans lequel il n’avait absolument pas mis les pieds, même par simple curiosité, car tout ce brouhaha ambiant ne l’avait jamais intéressé, aussi bien aujourd’hui qu’il y avait cent cinquante ans.

Un homme se détacha du lot : un jeune Réprouvé, dont la rage de combattre pouvait se lire dans ses yeux. Il voulait en découdre, il voulait savoir ce que valait son nouveau chef des armées, mais... S’approcher d’une personne que l’on ne connaissait pas en pointant son arme sur elle, sans même s’être présenté ou salué, comme dans tout combat qui se respectait, n’était pas la meilleur des solutions à adopter.

« Tu seras donc le premier à me combattre ? Enchanté ! Maak Audrio, Sentinelle de la Révolte, déclara-t-il en ne prêtant pas attention au manque de savoir vivre de son adversaire.
- Ne porte pas un titre que tu n’es même pas capable d’endosser ! »

Ce Réprouvé devait probablement avoir dans les vingt ou trente, et il semblait bien impulsif pour son âge, peut-être un peu trop même, oubliant les rudiments qu’incluait un bon combat : ne pas se laisser emporter trop facilement par ses émotions. Au bout de quelques passes d’armes, le jeune homme semblait bien vite essoufflé, peut-être même un peu trop, ne maîtrisant pas totalement ses coups, devenant de plus en plus saccadé. L’hybride demanda à quelqu’un qu’il rappelle son homologue à eux puisque parti de cette façon, il n’irait pas bien loin, et ce petit duel tournait plutôt à la mascarade qu’à un véritable échange amical. Maak était un peu déçu qu’il était vu de cette façon, mais il se rattraperait à l’avenir ; Zéleph intervenu pile au bon moment, sa présence obligée ses soldats à se stopper net, en ne demandant aucune justification.

En descendant dans la rue, il ne fallut pas longtemps à la population pour reconnaître leur souverain qui leur avait l’honneur de descendre parmi eux. Étrangement, ce dernier gêné de se trouver au milieu de son peuple ; il ne semblait pas être un homme de foule, et Maak partageait tout autant que lui cet état d’esprit, préférant mille fois passer inaperçu aux yeux des autres, restant discret et ne se mêlant à ses semblables. Toutefois, il n’avait pas prévu qu’il devrait se mettre à parler devant toutes ces personnes qui gardèrent les yeux fixé sur lui, attendant qu’un parole ne sorte de sa bouche. Un seul regard dans la direction de Zéleph suffit à faire comprendre à la Sentinelle une seule chose : « Débrouille-toi ». Il grimpa sur une fontaine qui se trouvait à quelques mètres de lui et, prenant une voix qui pourrait se faire entendre par les personnes aux alentours, il commença à parler.

« Je suis Maak Audrio, nouveau chef des armées qui veillera sur vous, sur le moindre Réprouvé vivant sur ces terres. Vous n’aurez plus à craindre pour vos familles ou qui que ce soit qui vous soit proche. Il m’a été confié la tâche de vous garder en sécurité, et je l’honorerai jusqu’à mon dernier souffle ! »

Quelques applaudissements raisonnèrent sur la grande place, puis un peu plus, jusqu’à ce que tout le monde se mette à applaudir le Réprouvé qui avait juré sur sa vie de venir en aide à son peuple. Ce dernier demanda le calme quelques instants avant de reprendre la parole.

« Vous vous demandez probablement pourquoi moi ? Pourquoi un inconnu parmi tous les Réprouvés peuplant ce monde ? Eh bien... Je crois que c’est à celui qui est venu me chercher de s’expliquer ! Zéleph, à toi l’honneur ! »

L’hybride descendit de son piédestal avant de se diriger vers son homologue qui continuait joyeusement à manger tous les mets qui lui avaient été offerts. Maak lui donna une petite tape sur l’épaule avant de doucement le pousser vers la fontaine, en déclarant avec un grand sourire :

« Notre bon roi ne ferait-il l’honneur ? »

HRP:
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Mar 05 Fév 2013, 15:32

« Je te hais. » Souffla le roi à l’intention de Maak, lui jetant un regard noir. Lui faire ce coup, c’était bas, mais il supposer que c’était justifier. Les réclamations du peuple était clair, il voulait écouter son roi, roi qui soupira bien forcer de capituler et de monter à son tour sur la fontaine, pour vois la foule crier son nom et applaudir. Il apprécier l’amour que lui vouer son peuple, mais il ne trouver pas cela justifier, pas totalement en tout cas. Tant d’adoration pour un seul homme, c’était malsain non ? Et c’était sur tout dur à supporter. Ils lui vouer tous une confiance sans bornes, comptant sur lui chaque jour et lui pardonnant toute ses fautes sou prétexte qu’il était un « bon roi ». Il était vrais, tout le monde savait quels activité il avait eu durant sa vie, ce qu’il faisait au Circus Brothel, mais aucun de ses sujets ne lui en voulait pour cela. Comme si cela n’avait aucune importance. Levant les mains, Zéleph fit taire son peuple, et dans le silence il dû trouver les mots, chose peut simple pour lui. « Maak est votre nouveau protecteur, vous pouvez avoir confiance en lui car j’ai confiance en lui. » C’était déjà un bon début, si le roi apprécier ses hommes, le peuple aussi, du moins c’était souvent le cas, de plus cela les influencerait si il leur montré la vérité : il aurait confié sa vie à Maak. « Je le connait depuis longtemps, c’est un homme honorable, et puissant qui serra faire les meilleurs choix pour vous protégé. N’aillez jamais peur, car ici et maintenant, je vous promets sur ma vie que tout ira bien pour nous. » Le roi leur sourit. Il faisait très peut souvent ce genre de chose et pourtant il était utile de rassuré la population. C’était aussi son devoir, et il était peut être bon qu’il le fasse plus souvent, peut être que son peuple en avait besoin. « Garder confiance en l’avenir, quoi qu’il arrive, même si le futur parait sombre. Si nous nous faisons confiance, si nous restons unis alors rien ne pourra nous arriver. Maak partage ce sentiment, et il sera là pour vous guider, pour vous aider et vous soutenir même si l’ombre nous envahit. C’est à chacun de nous de nous battre pour l’avenir, pour la liberté, pour que demain soit plus beau qu’aujourd’hui. » La voix de Zéleph était forte, il paraissait fière et sûr de lui, prit dans son discours, l’étincelle de la passion brillant dans son œil. Fermant les poings, il sourit à son peuple devant leurs regards captivés. Oui, il devait être le ciment qui les unissaient, lui et tous ses sentinelles, c’était leur devoir de rassuré et d’unir les réprouvés, quoi qu’il arrive. « L’espoir est notre raison d’être. Je ne vous promets pas que nous ne chuteront jamais, que nous resterons toujours fort, debout, mais si il nous arrivera de trébucher, nous resterons fière car nous, Réprouvé, nous avons cette force que les autres peuple n’ont pas. Nous avons l’espoir. Notre force c’est de vivre en croyant en notre futur, c’est la chose la plus importante en la quel nous croyons et qui nous ont permis de nous défaire du jugement des autres races, permis de grandir et gagner leurs respect ! » Levant le poing, Zéleph souri de plus belle devant les cris de joie et de détermination de la foule qui c’était de plus en plus rassembler au fur et a mesure de son discours.

Le roi fit venir Maak à coter de lui et il le prit par les épaules devant le peuple criant par-dessus leurs cries. « C’est en ça que nous devons tous donner notre énergie, c’est cela que le sentinelle de la révolte protégera ! Notre espoir ! Notre croyance en notre futur ! N’ayez jamais peur de ce qui arrive, peu importe les nuages noirs qui se propage sur nos terres, peu importe la panique qui prendra possession de vos cœurs, vous aurez cette force qui vous guidera ! » Les cries retentissaient, faisant presque trembler le sol. C’était un réel moment de stimulation pour tous les réprouvé et pour Zéleph lui-même qui apprécia ce moment plus qu’il n’aurait pu l’imaginer. Il se sentait fière de sa race, fière des siens, et il aimer le chemin qu’il faisait prendre aux sien. Vers la prospérité, vers la force et la dignité d’être et de se battre sois même pour le meilleur. « Votre roi et tous vos sentinelles seront là pour faire en sorte que jamais notre peuple ne faiblisse dans cette voie ! Solidarité ! Courage ! Conviction ! Ce sera notre nouvelle devise ! N'oubliez jamais ça ! » Zéleph ria devant le flot de bonheurs et d’hystérie qui prit la foule, jetant leurs chapeaux, chantant, criant. Le roi serra Maak de son bras, lui tapant amicalement l’épaule avant de descendre avec lui de la fontaine, ce faisant tout de suite entrainer par les réprouvés venant lui serré la main, venant le remercier, et s’agenouiller. Il n’apprécier pas réellement tant d’allégeance, mais il aimer voir leurs entrain et cette flamme qui c’était emparé d’eux. C’était avec ça qu’ils vaincront, peu importe la force de l’armé ennemie, plus personne ne pouvait écraser les réprouvés. Ils étaient unis, tous unis et rien ni personne ne pouvait aller à l’encontre de cette cohésion.

Ce tournant vers Maak, Zéleph souri. « Je crois que le peuple t’aime déjà ! Ça fait du bien n’est-ce pas, de voir qu’ils sont près à tous ce donner à fond pour leur future ?! » Lui en tout cas ça lui donner de l’énergie, tant de vigueur, c’était bon à voir. C’était dans ce genre de moment qu’il apprécier être roi, dans ce genre de moment qu’il ce félicité d’avoir créé Bouton d‘or, d’avoir enrichit sa race, les mettant à l’abri du besoin, et leurs avoir inculqué les valeurs du travail, et de l’union pour créer une réel force.
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Dim 17 Mar 2013, 16:45

Musique d'écriture • U turn lili - AaRon
Recevoir l’amour d’un peuple...

... et le laisser s’infiltrer dans tous les pores de sa peau. Se sentir vibrer sous les acclamations que la foule en délirer lançait pour honorer un seul et même Homme : des cris de joie, des noms, la terre entière retentissant sous les hurlements de dizaines de milliers de personnes. Ne plus s’entendre penser et n’être obnubilé que par toutes les personnes ayant fait le déplacement pour honorer leur souverain que tous auront considéré comme bon envers eux. Par crainte ou par admiration, un peuple se devait d’admirer son roi et ce dernier se devait de garder la tête haute envers ces êtres sans qui il ne serait rien. Pour ne pas être en mis en marge de la société de nombreux individus préféreront suivre le mouvement populaire et comploter dans l’ombre pour renverser leur leader.

Parmi toutes les personnes présentes, est-ce que certaines souhaitaient réellement la mort de Zéleph pour voir un autre souverain monter sur le trône ? De toute évidence, non. Cette réponse était la première qui sautait évidemment aux yeux, car aucun individu n’aurait pu soupçonner le contraire ; tout le monde s’était mis à fêter la gloire de leur roi. Pas un n’échappait à la règle, tous clamaient haut et fort la fierté d’avoir un Réprouvé comme ce souverain sur le trône, s’en était même effrayant à vrai dire. Peut-être que le fait que leur roi s’était montré en personne dans la ville de Stenfek mettait la foule dans cet état, mais c’était une chose à laquelle Maak n’était absolument pas habitué et à vrai dire il regrettait presque de s’être vengé de Zéleph...

Lorsque ce dernier le fit grimper à ses côtés et qu’il avait fait son discours, un brouhaha tonitruant avait alors retentit sur toute la grande place. Les dalles de ce lieu de rassemblement semblaient vouloir se décoller sous les acclamations des individus présents, plus personnes ne tenait en place et pourtant, Zéleph parvenait à contenir cette pression ambiante, ce qui était assez admirable. Son homologue restait quant à lui coincé entre ses bras, n’osant faire un mouvement de peur de provoquer d’avantage de mouvement de foule et puis, ayant été si généreusement invité à admirer ce spectacle dantesque, il ne pouvait se permettre de partir de la fontaine quoique cette solution était très largement envisageable...

« Je crois que le peuple t’aime déjà ! Ça fait du bien n’est-ce pas, de voir qu’ils sont près à tous se donner à fond pour leur futur ?! »

Une question à laquelle Maak ne savait pas exactement quoi répondre, quoi que si, il savait en réalité, il savait parfaitement mais qu’il aurait probablement du mal à formuler. Savoir que toutes les personnes présentes, et bien plus encore, comptait sur lui pour que tous soient en sécurité lui faisait réellement prendre conscience qu’il ne pouvait désormais plus se tapir dans l’ombre comme il l’avait fait, qu’il serait obligé de s’occuper des autres. Zéleph semblait ne pas avoir de problème de ce côté puisque toutes les personnes qui l’approchaient pour le remercier en lui baisant la main, lui offrant des cadeaux et autres, il les acceptait en se montrant bon avec eux, il traitait tous avec égalité.

« Ils ont surtout une très grande confiance en toi, voilà pourquoi il m’apprécie ! Mais je ne peux pas dire le contraire, c’était assez... Impressionnant à vrai dire, et préfère mille fois ma place que la tienne parce que je ne crois pas que je pourrai supporter que l’on me vénère de cette façon. Mais au moins ils semblent confiants pour l’avenir ! »

Les deux Réprouvés furent alors interrompus par l’un de leurs qui les suppliait presque de s’asseoir une table de son établissement pour se rafraîchir. Que pouvaient-ils faire ? Refuser cette faveur au vieil homme dont les yeux semblaient emplis de larmes et lui causer par la même occasion une crise cardiaque ? Car ce vieillard semblait réellement dans un état second, probablement dû à son âge... Toujours est-il qu’au bout de quelques mètres, les deux hybrides furent attablés autour de boisson que l’ancien avait fait apporter exprès, refusant catégoriquement qu’on lui donne le moindre sou pour ça. Des passants, reconnaissant leur roi, faisaient une révérence pour le saluer et à Maak par la même occasion, pensant peut-être qu’il s’agissait d’un haut dignitaire...

« Est-ce que tu les as ensorcelé ?
Plaisanta le Réprouvé. Ça en devient presque surréaliste à force ! On dirait que tu leur as fait subir un lavage de cerveau ou je ne sais pas quoi d’autre ! »

L’hybride avisa le liquide dans son verre avant d’en boire une gorgée : sucrée et extrêmement frais, ce qui n’était pas de refus avec cette chaleur ambiante. Une personne ne cessait de faire des allés-retours entre un bout de la place et l’autre, s’arrangeant pour toujours se trouvait dans un périmètre où se trouvait le duo, comme s’il cherchait ou voulait quelque chose. D’un pas mal assuré, l’individu fini par s’avancer vers Zéleph, une bourse assez garni à la main ; il suffisait d’un coup d’œil pour comprendre que cet homme n’était pas un Réprouvé. Saisissant fébrilement la main de l’hybride pour le saluer, la personne déposa au creux de sa main le petit sac et lui demanda quelque chose d’un air assez intimidé.

« J’ai besoin que le Circus Brothel me rende un service et... je... on... on m’a dit de m’adresser à vous... Toutes les explications sont dans la bourse... Merci... »

La personne mit beaucoup moins de temps à partir qu’à venir. Maak adressa un petit regard suspect en regardant la sacoche avant de s’adresser plus directement à Zéleph.

« Le Circus ? »

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Mar 19 Mar 2013, 16:34

« Ils ont surtout une très grande confiance en toi, voilà pourquoi il m’apprécie ! Mais je ne peux pas dire le contraire, c’était assez... Impressionnant à vrai dire, et préfère mille fois ma place que la tienne parce que je ne crois pas que je pourrai supporter que l’on me vénère de cette façon. Mais au moins ils semblent confiants pour l’avenir ! » Zéleph offrit un léger sourire à son camarade. Il avait raison, son peuple avait confiance en lui, et au fond il en ressentait une grande fierté, car cette confiance il l'avait acquise avec sa propre force, en donnant, en faisant toujours plus pour eux, et parfois il se demander même comment il avait fait pour en arriver là. Tous ces gens l’aimant, comme une idole divine. Il ne mérité pas tant d’amour de tout un peuple et la pression qui pesé sur ses épaules étaient énorme. Chaque homme, femmes et enfants compté sur lui pour un futur heureux. Ils donner leurs vie, les mettaient entre ses mains. Cela lui avait longtemps fait peur, puis il avait transformé cette crainte en force. Le roi avait vue à quel point ses sujet étaient fort et comme ils c’étaient donner dans la construction de bouton d’or, dans la nouvelle optique d’un avenir meilleurs. C’était grâce à eux tout cela, pas à lui, et c’était peut-être par ce qu’il les remercier chaque fois qu’il le pouvait de leur grande humilité qu’ils l’aimer tellement, car il n’était pas un souverain qui écraser son peuple de sa puissance, non, il écouté et s’offrait à eux, car au fond c’était cela son rôle. Offrir le bonheur, a des gens qui le mérité vraiment. Zéleph avait tant travaillé pour que les réprouvés reprenne confiance, pour qu’ils trouvent cette force en eux de se battre pour cette avenir qui s’annoncer plus beau si ils se donner pour. Oui, il n’y avait pas beaucoup de façon d’arriver à vivre heureux, pour cela il fallait passer par des épreuves, de dur obstacles à franchir, mais qu’ils arriveront à affronter car à présent ils étaient unis devant le monde, devant la vie. C’était tout ce qu’il désirait, rassemblé son peuple, et il avait réussi, les voyant tous ce battre et ce soudé autour de lui. C’était là que résidé la plus grande fierté su roi.

On les incita à venir boire quelque chose à une table, Zéleph observa Maak, puis il se dit que cela n’était pas une mauvaise chose. Le voyant si tendu, il comprendrait peut être qu’avec le temps on se faisait à cela, il fallait simplement rester soit même et montré la même gratitude à ses gens si ému de les voir, du moins pour le moment, de le voir. Son nouveau sentinel plaisanta, et il lui rendit son sourire en buvant une gorger de la boisson apporté. « Je ne peux pas les empêcher de m’aimer. Ils me respectent, m’admirent, et ne savent pas comment me le dire. Ils le montre comme ils le peuvent et je leur suis reconnaissant pour ça. Je ne pourrais pas leurs dire d’arrêté, ils en serraient frustrés. » C’était leur plaisir de ce courbés, parfois même de lui baiser la main comme une prière silencieuse. Au début cela avait beaucoup irrité, voir profondément gêner Zéleph, amis quand il avait refusé qu’on le fasse il avait vue qu’il les blâmer alors que c’était de l’amour qu’ils lui voué, des sentiments bon et pur qu’ils exprimé. Ce n’était pas à lui de les réprimer pour cela, au contraire ils n’étaient pas forcer de le faire et ça ils le savaient. Il n’avait jamais demandé tout cela, ils le connaissant assez pour le savoir, au fond c’était comme si le roi devenait redevable de ses sujets qui s’agenouiller devant lui, plutôt que l’inverse qu’on a tendance à penser.

Zéleph n’y avait pas fait attention plus tôt, encore un peu troublé, comme toujours même si il s’efforcer de ne pas le montré, car tel était son rôle, être le colosse de ce peuple et le porté à la force de ses bras sans jamais cillé. Un homme s’avança vers eux. Fébrile, il lui prit la main. Le réprouvé le laissa faire, le regardant un peu surprit, dans l’attente de comprendre sa venue et a quoi rimé cette bourse. « J’ai besoin que le Circus Brothel me rende un service et... je... on... on m’a dit de m’adresser à vous... Toutes les explications sont dans la bourse... Merci... » Acquiesçant simplement, les traits soudain durci, tendu par le comportement trouble de cette homme qui fui à peine après cela. Son regard se posa sur le sac, le soupesant, elle était bien remplit, mais il n’apprécia pas trop cela. Quelque chose de grave, encore une fois, une chose qu’il devait régler en dehors de son travail de politique. « Le Circus ? » « Uhm… par fois je deviens aussi le vengeur masqué. Je crois que c’est ce qui fait de moi un souverain unique en son genre. » Sourit-il, ouvrant pourtant le sac curieux de savoir de qui il s’agissait. Il en sortit un petit bout de parchemin roulé maladroitement. Passant rapidement ses yeux dessus il soupira en le repliant. Il donnerait ça a ses mercenaires, il n’avait pas le temps de s’occuper de ça lui même. « Un vol qui a mal tourné. Un corps à faire disparaitre. Quand on ne sait pas vers qui ce tourné, on se tourne vers le Circus Brothel. » S’amusa-t-il.

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Dim 24 Mar 2013, 20:00

Musique d'écriture • The hardest of heart - Florence + The Machines
La vengeance...

Et savoir que son honneur serait lavé d’un affront que l’on avait eu à subir de la part d’un ennemi ou d’une personne que l’on n’appréciait pas d’avantage. Certains courageux s’occuperaient personnellement de rétablir leurs fiertés auprès des individus qui devaient payer pour ce qu’il avait subi, pour se prouver que l’on était capable de se débrouiller seul. Et d’autres, beaucoup moins courageux, préféreront s’adresser à des mercenaires spécialistes dans ce genre d’affaire et qui ne mettrait que quelques jours à rendre justice, en échange d’une petite somme d’argent assez conséquente. Tout devait se payer, parfois cher, surtout le prix d’une vie...

Le Réprouvé ne savait pas ce que contenait exactement ce message, mais cela devait certainement avoir un rapport avec le sale boulot qu’exerçait parfois le Circus lorsque quelqu’un en faisait la demande. Il ne dénigrait pas les actions de l’organisation car celle-ci lui avait permis de trouver un peu de lueur dans ce monde à un moment de sa vie dominait où quasiment plus rien n’avait de sens. C’était comme une seconde famille pour lui, une dans laquelle il exerçait exclusivement sa profession première et nulle part ailleurs. Il se voyait comme l’un des garçons solitaires qui avait un peu de mal à se mêler avec ses semblables, et cela ne pouvait pas être plus vrai. L’hybride ne s’était pratiquement jamais à tous les personnes qui composaient ce groupe, non pas par fierté, mais simplement parce qu’il n’y tenait pas plus que ça.

Le regard perdu entre les sujets continuant de saluer leur souverain et les paroles du souverain en question, Maak n’écoutait qu’à moitié ce qu’il racontait et se demandant ce que cela faisait d’être adulé par toute une population entière. Ça devait être grisant, de savoir que l’on pouvait compter à ce point sur toute une population et savoir qu’en retour, l’on pouvait leur accorder sa confiance. Mais aussi effrayant, car derrière tout règne se cache des comploteurs qui n’hésiteraient pas à sauter sur la première occasion venue sur la faiblesse de celui qu’ils ne considéraient pas comme leur chef. L’essentiel était surtout de montrer que l’on ne craignait pas cela et sur ce plan, Zéleph s’en sortait très bien.

Revenant assez rapidement dans la conversation, les éléments se mirent assez rapidement en place dans son esprit et l’hybride parvint à une seule conclusion. Il avait entendu des rumeurs, durant les rares moments où il avait logé au Circus, comme quoi le dirigeant était un des plus puissants souverains des terres du Yin et du Yang, mais il n’y avait pas réellement accordé d’importance. Tellement de bruits courraient sur le chef de cette organisation, qu’il était impossible de savoir où était le vrai du faux, car, il fallait bien le dire, beaucoup aimaient se faire mousser en prétendant détenir la vérité entre leur main. Et, n’étant pas vraiment d’une nature curieuse, le Réprouvé n’avait pas été cherché plus loin, mais à présent, il ne pouvait en être autrement.

« Alors les rumeurs disaient vraies, c’est bien toi le grand patron du Circus ; beaucoup de « on dit » circulaient sur ton compte, mais je n’y avais pas cru jusqu’à maintenant, question de sûreté, lança-t-il avant de boire une gorgée de sa boisson. »

Sécurité puisque, si un jour, quelqu’un viendrait à lui demander des informations sur cette organisation, il ne prendrait pas le risque de répondre aux questions, et encore moins avec des réponses erronées. Les fausses rumeurs étaient comme un cancer, elles se propageaient rapidement et finissaient par pourrir toute une branche de la population. Maak n’était de toute façon pas très bavard, et il n’était pas du genre à aller raconter à tout le monde ce qu’il faisait ou non dans le Circus, d’ailleurs, il lui semblait qu’une seule personne était au courant de ses agissements dans son entourage.

« Mais à présent je sais à qui j’aurais à faire à l’avenir au moins, mais si j’ai plutôt l’impression d’être terriblement en retard d’après ce que j’ai vu, déclara-t-il en montrant la bourse. Je suis certains, que de nombreuses personnes étaient au courant bien avant moi que tu étais le grand manitou de cette organisation. »

Le manque de curiosité pouvait être un avantage comme un défaut dans certains situations, comme celle-ci par exemple, où cela ridiculisait plus le Réprouvé qu’autre chose de ne pas savoir pour qui il travaillait et louait ses services.

« Tu dois te dire que c’est honteux de ma part de ne pas avoir su avant qui était mon patron, mais personne n’est parfait
, lança-t-il en rigolant. Je suppose que tu n'ignores pas que je suis moi-même membre du Circus, alors je veux bien me charger de cette affaire, pour me faire pardonner ! »

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Mar 26 Mar 2013, 13:41

Zéleph ricana doucement aux dire de Maak. Ce n’était pas commun qu’on ne sache pas qui était le patron du Circus, en réalité quand il était devenu roi cela avait réellement rendu célèbre l’organisation. Pensez-vous, un roi chef d’un lieu de débauches où la criminalité règne en maitre, ses détracteur eu début de son règne ne c’étaient pas gêner pour étaler ses activités et faire des propagandes contre lui. Etrangement et même à sa propre surprise, ses sujets ne s’en étaient pas scandalisés, ni cela, ni la destruction du château de leur ancien roi. Il pensait que le peuple avait loué le règne de son prédécesseur mais attendaient plus qu’un roi de paraitre, et en prenant le trône ils avaient vu un homme fait d’actions et de peu de mots. C’était peut-être quand il avait fait de Bouton d’Or la première zone agricole du continent, la première économie, que les réprouvés avaient fini de gaspillez leurs temps en rumeurs inutiles. A présent leurs peuples avaient de l’argent, étaient autonome et avaient entamé une nouvelle ère. Une ère de prospérité, loin des jugements et de l’oppression es autres race. « Peu nombreux sont ceux qui ne savent pas qui possède le Circus. C’est que je ne prends pas de gant, je ne mens pas à mon peuple, ils savent qui je suis et ceux que je fais car je n’ai rien à cacher, pas même le pire. Etrangement, je crois que cela les rassures. » Il ne savait pas pourquoi d’ailleurs. Etait-ce par ce qu’il ne montré aucune peur face aux autres races, que cela lui donnait une plus grande puissance encore ? Peu importe, personne n’avait l’air de lui en vouloir pour ses activités « extra-scolaire ». Zéleph n’en voulait pas à Maak pour si peu, il n’imaginer pas que quelqu’un ne sache pas qui il était, mais il pouvait comprendre qu’on ne si intéressé pas. La curiosité n’était pas quelque chose qu’il apprécier, du moins pas celle, maladive, qui finissait par être agacent. De plus Maak aller rire, lui ignoré qu’il faisait partie du Circus. Adam devait le savoir, mais lui ne le savait absolument pas, c’était une vrais surprise. « Tu vas rire, mais si, je l’ignorais. Vous êtes par fois si nombreux, et puis tu dois être le genre discret. » Il n’avait jamais crue croiser Maak dans le Circus. Il ne faisait pas trop attention, c’était un faite, mais s’il l’avait vue il pensait pouvoir s’en rappeler. Au final il était donc le roi et le patron du réprouvé, il trouvé cela amusant, ça prouvé qu’il pouvait réellement lui faire confiance si il faisait partie de sa famille il pouvait croire en sa plus grande fidélité, comme croire que lui-même serrait là pour l’aidé. C’était son rôle que ce soit en tant que roi ou patron, l’un ou l’autre, ses employé comme ses sujets pouvaient avoir une confiance total en lui, en échange de leur fidélité il était prêt à être là pour eux, c’était son rôle.

Zéleph tendit alors le papier à Maak.. « Apparemment cette homme c’est faisait cambriolé, et il a tué son voleur. Nous dirons que c’était de la légitime défense, mais tu es d’accord qu’un cadavre dans son salon, tué ou non pour se défendre, ça fait mauvais genre. C’est donc à nous de faire la basse besogneuse et de faire disparaitre le corps. » Travaille ingrat, c’était vrais, mais ils étaient assez bien payer pour cela, et puis si ça pouvait rendre service à un brave homme autant le faire. Le roi poussa la bourse vers son sentinelle. Si c’était lui qui s’occuper de cela, c’était alors à lui que revenait l’argent. C’était sa politique, tous les revenue des travaux venant de l’extérieur, devait revenir à ceux qui voulait bien s’en occuper. « Tu pourras offrir un petit cadeau à ta femme avec ça. Tu es marier n’est-ce pas ? » Il pensait qu’il lui avait dit, mais comme il avait une piètre mémoire à ce niveau-là il préférait encore passer pour un imbécile à redemander trois fois plutôt que de passer pour un homme qui s’en fichait. Certain pourrait dire qu’offrir à sa femme un cadeau avec de l’argent sale ça ne se faisait pas, mais Zéleph n’avait jamais jugé l’argent du Circus comme sale, après tout il rendait service aux gens, peu importe comment tant que le service était rendu, et peu importe lequel. Oui pour le roi le principal c’était de soulager la peine des autres, que cela en rende d’autre malheureux ou non, après tout on ne peut pas toujours rencontrer le bonheur sans faire les malheurs des autres. Il fallait simplement ne pas en avoir peur.

« Enfin, peu importe. J’apprécie d’autant plus de te savoir lier au Circus. On pourrait croire que nos membres ne sont pas digne de confiance vue leurs emplois, mais les gens se trompe sur notre compte n’est-ce pas ? » Il ricana, buvant son pichet avec un sourire. Ils étaient une famille qui ce soutenaient, personne n’imaginer cela, pourtant c’était belle et bien le cas.

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Mar 26 Mar 2013, 23:43

Musique d'écriture • Seven Devils - Florence + The Machines
Il faut laisser faire le temps...

... et ne surtout pas aller en son encore, ou forcer le jeu de la vie afin que tout puisse tourner à son avantage. Quelques-uns se laissaient porter par les bribes du hasard qui les portaient où elles le voulaient, sans se demander si oui ou non ils pouvaient aller à son encontre et choisir eux-mêmes leurs propres routes. D’autres encore se laissaient tout simplement porter là où le vent voulait les emporter, ne conférant aucun pouvoir, ni au hasard, ni au destin, ni à quoi ou qui que ce soit. Ils se considéraient tout simplement comme un élément de plus sur terre, un infime grain de poussière dans l’univers qui subissaient comme les autres les contrecoups de la vie et le poids d’une existence trop lourde pour eux.

Au final, et après tout ce qu’il avait vu, et vécu, le Réprouvé ne pouvait que croire au Destin qui traçait les lignes de toutes les personnes vivantes bien avant leur naissance. Il ne croyait pas en sa bonne étoile, considérant qu’elle s’était à présent bien trop éloignée de lui pour pouvoir le rejoindre à présent, mais l’enchaînement des derniers évènements lui faisait penser que les choses allaient de mieux en mieux. Que ce soit le fruit d’une divinité quelconque ou non, quelqu’un s’amusait à jouer avec l’existence de l’hybride, lui faisant miroiter mille et une merveille, jusqu’au jour où tout s’effondrerait comme un château de carte pour durement le faire revenir à la réalité. Maak était quelqu’un de réaliste qui savait bien que tout ne pourrait pas toujours fonctionner sans un accro, il faudrait bien qu’il se passe quelque chose un jour.

Tout indiquait que quelque chose s’était mis en travers de sa route pour l’emmener jusqu’au Circus et collaborer ainsi sans le savoir avec son futur souverain. Et bien qu’à présent, le Réprouvé en savait un peu plus sur ce dernier et appréciait la confiance qu’il lui avait donnée, il savait d’avance que tout ne serait pas simple maintenant qu’une lourde responsabilité pesait sur ses bras, mais étrangement, il appréciait cela. Il aimait que quelqu’un ait autant de foi en lui, même s’il devait avouer que ça en était presqu’effrayant, de savoir qu’il avait entre ses mains tant de vies. Mais maintenant qu’il s’était engagé, il ne pourrait plus faire demi-tour ; c’était un homme qui savait tenir sa parole et il n’y aurait probablement pas de plus déshonneur pour lui que de la trahir. Maak avait encore été chanceux de tomber sur un souverain avec lequel il s’entendait plutôt bien, tout aurait été bien difficile dans le cas contraire.

Au moins, l’hybride ne s’était pas rendu totalement ridicule en ne sachant pas que Zéleph était le patron du Circus, ou alors ce dernier avait eu la décence de ne rien laisser paraître, ce dont le Réprouvé doutait énormément. Mais à présent, les deux hommes savaient un peu près tout ce qu’ils avaient à savoir sur l’autre pour qu’à l’avenir il n’y est plus de problème majeur. L’hybride ne répondit pas à la remarque de son semblable, mais son silence en disait long ; la discrétion était une qualité précieuse dans des métiers de précision comme le sien. Bien imprudente serait la personne qui irait crier à tous vents l’objet de sa mission ou son travail, il fallait être inconscient pour faire en sorte que tout le monde connaisse les activités de quelqu’un.

« Il faut bien que quelqu’un s’en charge, rétorqua Maak en prenant le parchemin. Certains sont faits pour se battre, d’autres pour mourir, et visiblement, les imprudents ne font pas le poids face aux incompétents. Et un corps en guise de carpette suffirait très largement à distinguer les uns des autres... »

Il fallait être tout simplement incompétent pour tuer quelqu’un et ne pas réussir à se débarrasser du corps ensuite ; le courage se perdait réellement de jour en jour, cruellement d’ailleurs... Mais puisque c’était là l’objet de la mission, le Réprouvé n’avait d’autres choix que d’y obéir et la régler rapidement afin de s’en débarrasser. Au vu du poids de la bourse, la personne demandant les services du Circus devait réellement être pressée, ou bien n’avait pas le sens des proportions, ce qui était une bonne chose pour l’individu en charge de cette tâche ingrate.

« Marié ? Je n’y ai pas réellement pensé à vrai dire
, répondit-il en parcourant le parchemin. Ni moi, ni elle n’y avons songé jusqu’à maintenant, peut-être plus tard. Et je suis sûre qu’elle m’en voudrait de lui offrir quoi que ce soit, elle n’est pas du genre matérialiste. »

Maak sourit lui-même à cette remarque ; il avait dit vrai, ni lui, ni Reiya n’avaient pensé à se marier, ce qui ne l’empêchait pas de lui être quand même fidèle, plus qu’à n’importe qui. S’emparant de nouveau de sa chope d’alcool, ce dernier la termina, une personne vint immédiatement derrière lui pour la remplir de nouveau. Service express...

« Je ne sais pas pour toi, mais je me moque bien de ce qu’on peut penser sur nous. Celui qui n’a jamais été seul ne peut pas comprendre ce que ça fait de placer sa confiance en quelqu’un et de sentir qu’on peut lui faire confiance en retour. Et puis, si une personne n’est pas contente, elle n’aura qu’à venir se frotter au Circus pour voir ce que c’est d’être uni, déclara-t-il en souriant. Trinquons, à ces grandes familles que ce le Circus et les Réprouvés ! »

Le Réprouvé leva son pichet, il fallait bien s’amuser un peu après de tels évènements en une journée.

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Mer 27 Mar 2013, 13:07

Zéleph souri. Maak Etait peut-être un peu dur avec cet homme. Certain n’était simplement pas comme eux, insensible face à la mort. Oui certain était refroidit devant un corps vide. Par fois le roi aurait voulu savoir ce que cela faisait d’avoir ce genre de sentiments terriblement humains au fond. Être dégouté par la mort, culpabilisé, ronger de remord pour avoir les mains salit du sang d’un autre être vivant, pour s‘être permit de jouer à Dieu et d’avoir pris le droit de vie ou de mort sur un être. Ô qu’on ne le crois pas insensible, il avait un cœur et respecter la vie, mais par fois le voile noir qui couvrait ses yeux empêcher toute empathie. Peut-être était-ce tous ces cadavres qui l’avait habitué à tant de haine et de mort. La puanteur de la chair putréfier par le temps n’avait pas l’air de l’empêcher de dormir. Oui, c’était triste au fond de voir comme cela ne les touché plu avec le temps. Au fond Zéleph ne s’en plaignait, ni ne s’en ventait. Il rester consciencieusement silencieux sur l’affaire, préfèrent encore qu’on pense des choses sur lui plutôt que d’avoué la vérité, et surtout si confronté : par fois il ressemblé bien plus à un démon cas un ange. « Marié ? Je n’y ai pas réellement pensé à vrai dire. Ni moi, ni elle n’y avons songé jusqu’à maintenant, peut-être plus tard. Et je suis sûre qu’elle m’en voudrait de lui offrir quoi que ce soit, elle n’est pas du genre matérialiste. » Zéleph haussa les épaules. Il comprenait. Pour sa part peu importe ce qu’il avait ou n’aurait jamais, sa blonde en avait bien le double voir le triple. Il avait beau être l’un des plus beau partie de ces terres, riches comme pas deux, il n’arriverait jamais à égaler Mitsuko, une richesse qui paraissait ne jamais connaitre de fin. De toute façon il n’était pas homme à faire des cadeaux, et leurs relations n’en arriveraient certainement jamais à ce point-là. Il cacha un rire en y pensant. Non certainement jamais. Maak continua, et il l’écouta ce faisant resservir avec la nette impression qu’on voulait les soulé. Cela ne le déranger pas, lui et l’alcool étaient amis depuis longtemps, c’était même la meilleur compagne qu’il n’ait jamais eut. Il acquiesça avec un léger rire les dires de son camarade. Voilà qui faisait plaisir à entendre. Il était toujours plaisant pour un patron ou un roi de sentir autant de soutient, cela prouvé qu’il faisait bien son travail et que ce qu’il donné n’était pas semé au vent. Non, Maak lui donner l’image d’un homme qui se plaisait au Circus et voyait ce que lui voulait qu’on voie dans leurs peuple. Oui quelque part il était heureux a cette instant d’entendre son sentinelle, heureux de voir les gens autour d’eux rires et boires en chantant, les passant dans la rue ce salués, faires leurs marchés. Zéleph c’était temps fatiguer à la tâche pour rendre tout son peuple heureux, pour redresser une situation qui n’en finissait pas d’être déplorable. Aujourd’hui il était réellement fier d’être roi et pour tous les jours passer à se plaindre, a juré qu’il détesté son trône il réalisé que cela n’avait pas était vain. Cette unité chez les réprouvés il en avait toujours rêvé, cet esprit patriote, c’était la clé de tout. Il n’y avait qu’en restant ensemble, soudé, qu’ils pourraient s’en sortir. En réalité c’était simple il avait appliqué la même politique sur son règne que lors ce qu’il avait créé le Circus, cela avait si bien marché sur des criminels, alors pourquoi pas sur tout un peuple ? Peut-être que les réprouvés étaient trop nombreux pour se sentir comme une famille, mais l’ambiance festive et toujours positive, c’était cela qui compté. Les réprouvés étaient des fêtards et des combattants. L’équilibre du bien et du mal, ils étaient la représentation même du yin et du yang. Entre violence et douceur.

Bouton d’or avaient était créer dans cette atmosphère, champêtre. Canalisant la colère et la joie des hommes dans la construction d’un meilleur futur, car même si les jours s’annoncé sombre, il ne pouvait alors pas douter que le soleil ne pourrait faire que revenir. De toute façon ici, sur les terres d’émeraude le soleil était toujours là, il ne pleuvait jamais et pourtant la terres n’étaient jamais sèches. C’était le paradis. Ô il y avait des problèmes, des tas par fois, rien n’était jamais parfait, mais si il n’y en avait pas un peuple comme le leur s‘ennuierait au fond. Ils leurs falaient de l’actions a ceux-là. Des bagarres dans les bars, des gamins volant les étals, des disputes entre amoureux sans queue ni tête faisant rire les passant, et parfois un mort ou deux, un incendie, scandalisant le bon partis, imbibant d’encre les journaux. Stenfeck, ou Bouton d’or, Zéleph adoré ce pays. Levant son verre il trinqua avec plaisir avec Maak, le sourire aux lèvres. « Avec le temps on y arrivera, avec le temps nous ferons de notre peuple une nation à l’égal des autre ! » Il ne parlait pas du Circus, car comme Maak le disait ils étaient déjà une grande famille, et le mieux a souhaité c’était que cela continue, que rien ne change, que la joie des leurs continues à remplir l’organisation de rire et de crimes sans nom. Il n’y avait ni bien ni mal au fond. Zéleph jouer sur l’équilibre, il faisait autant de bien que de mal et au final c’était cela qui marché encore le mieux, et personne ne lui en voulait, au contraire on l’aimer d’autant plus pour sa franchisses et ses actions sans détour. Il était vrai, paraissait être le seul souverain à ne pas se complaire dans l’hypocrisie et les basses manipulations. Posant son pichet qu’il but cul sec, il fut encore servit et se mit à rire en se penchant sur la table. « Je ne sais pas toi, mais je crois qu’on essaye de nous soulé ! » Le serveur sourit gêner en se courbant s’excusant, mais le réprouvé lui tapa gentiment le dos. Il n’allait pas s’excusé de faire son travail, lui cela l’amuser. Le roi fini par soupirer. Il était bien assit a cette table avec ce qui semblé être devenu un brave camarade en lequel il pouvait reposer un peu de sa fatigue. « Cela fait longtemps que je n’ai pas fait ça. Boire un verre avec un ami. » Zéleph leva à nouveau son pichet de bière et offrit un sourire entendu avec Maak. Oui, peut être que si ils étaient tant sur la même longueur d’onde, si ils faisaient un bout de chemin ensemble ils seraient plus que sentinelle et roi, plus qu’employé et patron, Zéleph n’avait jamais aimé la différence de rang, il traité les autres à son égal sans distinction aillant toujours haït ceux qui l’avaient autre fois écraser dans la boue en ce pensant supérieur. Pourquoi faire aux autre ceux que lui détesté ? Pour ce sentir plus grand ? Non, il ne disait pas vouloir ce baisser aux niveaux des autres, ce qu’il désirait c’était élever les autres et ne pas jouer les grand en sachant pertinemment que tous ceux qui le différencier des autres n’était qu’une couronne, un bout de ferraille. « Uhm, malheureusement je ne vais pas pouvoir rester longtemps. La réalité me rattrape toujours. » Soupira-t-il pensant déjà aux autres sentinelles qu’ils devaient trouver pour les prévenir de leurs nouvelles recrues, puis surement réglés quelques points avec eux dont ils voulaient lui parlés. « Je les entends déjà me dire que je dois faire si ou cela, accepté une proposition sans même avoir le temps de l’étudier, pour retourner au Circus qu’on me saute à nouveau dessus, ne me laissant même pas me reposé de mon voyage. » La dernière fois il avait dû séparer lui-même deux filles ce crêpent le chignon pour un bijou volé. Il n’avait rien d’autre à faire, vraiment … mais c’était aussi cela qui faisait la vie du Circus.

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Mer 27 Mar 2013, 23:04

Musique d'écriture • Tous les cris les S.O.S - Daniel Balavoine
Différents points de vue...

Il est difficile, voire impossible de concilier les Hommes sur une même question, quel que puisse être le domaine, tout simplement parce qu’il y a autant de point de vue différent que d’être vivant. Même si tous les individus ne se réuniraient jamais autour d’un jugement commun, beaucoup d’entre eux parviendrait à se mettre en accord sur un point de vue, plus ou moins juste. Ce serait alors les convictions communes qui serviraient de point de ralliement à de nombreuses personnes, mais cela ne suffirait pas à ce que la vérité et la justice ressurgissent. La majorité n’a pas toujours la bonne réponse et il en était de même lorsque l’on émettait un jugement sur quelqu’un en particulier ou pire encore, sur tout un peuple.

Les Réprouvés, depuis leurs créations avaient toujours étaient victimes de railleries de la part des autres races, se croyant plus fortes, plus intelligentes, plus évolués que ces hybrides indésirables. Des idées bien trop rapidement véhiculées dans les esprits et qu’il était à présent difficile d’arracher à ces êtres incapables de les voir autrement. Mais le mieux était encore d’ignoré ces faibles penseurs et d’avancer sans y faire attention, les Réprouvés seraient alors libérés de tous les préjugés qu’on leurs étiquetaient injustement. Toutefois, les hybrides étaient aujourd’hui dans une phase de changement, de grand changement qui chamboulerait les terres du Yin et du Yang.

Maak était confiant dans cette idée en voyant le comportement de Zéleph, en voyant l’enthousiasme qui l’habitait plus précisément. Le Réprouvé en savait bien assez sur son homologue pour qu’à présent il ait pleinement confiance en lui, ce qu’il faisait à l’extérieur de ses fonctions ne l’intéressait absolument pas, et seul l’intérêt qu’il portait pour son peuple comptait réellement. Pour l’hybride, lui et ses semblables étaient déjà l’égal de tous les autres peuple, il fallait simplement leur ouvrir les yeux, avec plus ou moins de violence s’il fallait. Quelqu’un de franc et qui n’avait pas peur de parler ouvertement à son peuple, c’est bien ce qu’il fallait pour remettre les Réprouvés à l’honneur et avec un tel souverain à leurs tête, l’évolution serait évidente, d’un côté, ou de l’autre.

Un serveur se tenait toujours à bonne distance des deux hybrides : ni trop près pour ne pas les espionner, ni trop loin pour avoir toujours un œil sur leurs verres. Visiblement, ils étaient choyés aux petits oignons et les choppes semblaient ne jamais se vider, Zéleph avait raison et Maak se mit à rire à leur réflexion ; si jamais ils continuaient de si bon train, ils ne finiraient pas la journée totalement sobre, mais cela faisait du bien. Se détendre un peu, ne plus penser aux problèmes qui pesaient toujours sur ses épaules et pouvoir souffler ne serait-ce que quelque heures. Boire n’était pas toujours une mauvaise chose finalement, lorsqu’on trouvait un moyen de bien l’utiliser.

« Il faut savoir se lâcher de temps en temps et envoyer tout balancer pendant quelques jours ; quand j’en ai assez de tout ce qu’il y a autour de moi, je m’en vais et reviens quand ça me chante. Peut-être pas la meilleur solution à adopter, parce que les problèmes seront toujours là, mais au moins le calme sera un peu revenu ! Enfin... Je ne suis pas sûr que tu doives écouter mon conseil !
S’amusa le Réprouvé. »

Un souverain qui s’éclipsait dès que la situation était trop difficile, ça ferait très mauvais genre pour le reste de son peuple. Cela remettrait très clairement en doute sa bravoure et ses capacités gérer le stress, alors mieux valait ne pas écouter ce que Maak venait de dire. Mais c’était un avantage à ne pas être souverain, savoir que l’on pouvait partir lorsqu’on le voulait, où on le voulait, sans rendre de compte à personne. Toutefois, maintenant que l’hybride avait accepté de tenir le poste de chef des armées, il ne pourrait plus se permettre ce genre d’excentricité et disparaître de la circulation durant des mois, des responsabilités l’attendaient.

« Chacun ses problèmes ! Déclara l’hybride avec un petit sourire. Tu t’es mis toi-même dans cette situation, personne ne t’a jamais mis le couteau sous la gorge pour faire quoique ce soit ! De mon côté, j’ai un corps faire disparaître, continua-t-il en agitant le parchemin. Et... Je préfère très largement m’occuper de ça ! »

Le duo quitta la table, Maak laissa un règlement assez conséquent sur la table et glissa en plus de ça quelques pièces dans les mains du serveur qui s’était tenu à la disposition durant ces quelques minutes. Tous deux s’éloignèrent du tumulte et de l’effervescence du peuple de Stenfek pour retrouver le calme des terres d’émeraudes, vierge de toute population et de tout problème. Le Réprouvé était presque triste que leurs routes doivent se séparer, mais il ne pouvait définitivement pas rester avec Zéleph indéfiniment, des affaires attendant l’un et l’autre. L’hybride se tourna vers son homologue, lui adressant un sourire avant de lui parler comme à un véritable camarade.

« Je crois que c’est ici que nos chemins se séparent pour le moment, tu sais où me trouver en cas de besoin ! Quoique, en tant que chef des armées, je n’ai plus le droit de d’échapper je crois ! Je te remercie encore de l’honneur que tu m’as fait, lança-t-il en tendant sa main. »

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Jeu 28 Mar 2013, 22:44

Zéleph sourit. Non, il aurait bien voulu suivre le conseille de Maak et tout arrêté quand il en avait marre pour prendre l’air loin de toute ses obligations, mais laisser son peuple livré à lui-même, laisser le Circus aux mains d’Adam et de Sashiyo, c’était de la folie. Pour le premier cela finirait en guerre civile, et le second surement en feu de joie avec des employés si soul qu’ils jetteraient de l’huile sur le feu en chantant des chants de noël en plein été. Non, malheureusement Zéleph était le ciment qui donner un semblant de stabilité à leur société, le peuple ou la famille, la crainte qu’ils avaient de lui était le pilier d’un tout. Il y avait pourtant pensé. Claquer la porte et disparaitre juste le temps de calmer ses nerfs, mais il avait très vite réalisé qu’as son retour il croulerait tellement sur les problèmes qu’il n’aurait plu jamais le temps de manger ou même de dormir. Même prendre un weekend était impossible pour lui. C’était une bien dur réalité a la quel il aurait toujours du mal à se faire. Le souverain fini par vider sa chope dans un profond soupire de lassitude. Dieu qu’il avait raison, c’était lui qui c’était mis dans cette situation. Il était persuadé d’avoir encore trop bue ce jour-là. Il entendait encore Adam lui dire que « Seigneur Zéleph » c’était bien à la hauteur de l’homme qu’il était, et que les joyeux de la couronne iraient à merveille avec ses yeux. Pourquoi écoutait-il toujours ce serpent de sorcier ? La vérité c’était qu’il n’avait jamais aimé le château de son prédécesseur. Astaroth'Milel avait toujours eux un gout trop prononcé pour le luxe et la démesure, et voir son château qui s’apparenté plus à un palais ou un temple a sa gloire l’avait toujours profondément déranger. Oui ça l’avait rendu malade, et c’était bien pour cela que même en tant que sentinelle il avait toujours refusé d’y mettre un seul orteil. Lui dans un pareil endroit ? Il avait déjà assez de mal a supporté la décoration affriolante du Circus, qui fort heureusement n’était pas de lui, ou encore celle du Manoir de sa déesse, alors ce château vous pensez bien. Quand il avait fini par en avoir marre, il avait pris ses poings et n’avait pas hésité à raser ce monument à la gloire du mauvais gout. Cela avait fait sensation à cette époque. Masha n’avait pas hésité à venir lui demandé des compte et si il ne lui avait pas remis Aiichiro pour qu’elle le rende a sa mère en acceptant de devenir le mécène de l’échiquier peut-être aurait-il eut plus de problème que cela. Au final le peuple c’était scandalisé de la destruction du palais, puis avec le temps n’avaient pas était mécontent avouant l’horreur dont il les avaient épargné. Au final sa prise de pouvoir avait eu du style. Il avait détruit a lui seul un château, tué tous les sentinelles, car au fond cela n’avait était que de la légitime défense. Ni chichi ou cérémonie, il avait pris la couronnes et avaient quitté les ruines en étant roi. Zéleph voulait bien admettre qu’il avait était un peu arrogant sur le coup, mais il mettait ça sur sa piètre expérience de l’époque. Très vite il avait dû ravaler sa fierté et ce mettre au travail ne comprenant que ce n’était pas donner à tout le monde d’être souverain.

Le réprouvé sortie de ses penses lors ce que Maak se leva pour le suivre. Voilà qu’il devenait nostalgique sur des faits qui c’étaient passer il y a bien longtemps maintenant. Ca faisait tant de temps qu’il était roi ? Surement beaucoup vue qu’il était loin de penser à cette époque qu’il rencontrerait a nouveau Mitsuko. En réalité Zéleph trouvé cela amusant ce que lui avait dit Maak. Si il était roi c’était de sa faute, pourtant à une époque il était simple garde de l’échiquier, tour au service du roi, et il était heureux en simple serviteur. Cette époque était si loin qu’il avait l’impression que c’était une autre vie, un autre lui. Un temps où les terres étaient en paix et où ne rien ne paraissait pouvoir ébranler son bonheur. Quelqu’un l’aimer à cette époque, et il aimer quelqu’un en retour. En s’éloignant de la cité il eut un sourire triste. Tout cela n’était qu’un passer, un passer effacer. Posé devant l’étendu de terre verte des plaines des terres d’émeraude, Zéleph perdu son regard dans l’horizon inspirant l’air frais de la nature avec une certaine mélancolie dans le regard. Des regrets aussi peut-être. Il sourit pourtant à Maak. Zéleph accepta sa main la serrant volontiers. Il était chanceux d’avoir des hommes comme lui pour le soutenir. Il avait beau être fort, puissant, un colosse inébranlable pour certain, il n’était aucunement infaillible. Non, c’était grâce à des types comme Maak qu’il pouvait réellement l’être. Ensemble et c’est tout, c’était quelque chose d’évidant à ses yeux. Il n’y avait que l’union de différente force qui pouvaient réellement construire une base solide pour leur avenir. « Je t’écrirait. Je n’ai pas toujours le temps de me déplacer. Où je t’enverrais Yang Fang, elle serra ravis je pense. » Il sourit amusé à cette idée, cette femme était folle, mais c’était son poste qui le voulait, ce n’était pas vraiment simple de ressentir à chaque seconde le désespoir de tout un peuple. « J’espère sincèrement ne pas avoir à faire trop souvent appelle à toi, mais je sais que tu tiendras parfaitement ton rôle. N’est surtout pas peur de te tromper, fait ce que tu a faire sans te soucier du reste. Fait de ton mieux ça me suffira. » Zéleph savait haut combien la pression que l’on pouvait ressentir sur ses épaules quand on commencer un travail pareille, avoir de tes responsabilité ça effrayait n’importe quel homme, et c’était normal, cela prouvé que ça leur tenait a cœur de bien faire et qu’ils se souciaient des leurs. Le roi tapant amicalement l’épaule de Maak en lui souriant toujours. Il ne voulait pas que son sentinelle pour ses premier pas est trop de pression à cause de tout ce qu’il lui avait dit. Tout irait en douceur, ça irait très vite, Zéleph savait que le réprouvé était fait pour ça, il le savait pour avoir tenu la même place avant lui. « A bientôt camarade. » Le lâchant, il s’éloigna, laissant ses ailes apparaitre à nouveau, mais avant de prendre son envol, il se tourna une dernière fois vers son sentinelle, et souri. « Ah et le Croque-mort, pour ton macchabé. N’oublie pas de lui mordre l'orteil histoire de ne pas enterré un vivant. » Plaisanta-t-il en prenant son envole, riant seul de ses idiotie faussement intellectuel.

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