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 Que de futilités... {Test passage niveau V; Zéleph}

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Lun 29 Oct 2012, 21:20

Majesté désertique

« Les terres d’émeraudes » portaient merveilleusement bien leur nom ; qui aurait pu soupçonner l’existence de contrées si pures sur les terres du Yin et du Yang ? Personne, mise à part peut-être les quelques voyageurs ou solitaires égarés qui seraient tombés par pur hasard sur toutes ces collines verdoyantes. Mais dès lors que leurs trajet seraient en votre mémoire, vous ne pourrez plus l’oublier ; elles reviendraient à vous comme un pas de danse qui vous entrainerez avec elles jusqu’au bout de la nuit. Insatiables valses que vous prendrez toujours plaisir à exécuter à n’importe quel moment de votre existence, jusqu’à ce que la mort elle-même vienne vous délivrer de merveilleux fléau. Calme, solitude et repos seront les maîtres mots durant votre séjour sur ces terres. Mais certaines exceptions dérogeaient à la règle ; le Réprouvé était l’une d’elles.

Il n’était pas venu en ce lieu pour admirer la beauté du paysage ou pour conter fleurette ; tout cela, il avait déjà eu le temps de le faire à maintes et maintes reprises par le passé, et il ne lui était plus vraiment permis de le faire ; il n’en avait ni la patience, ni l’envie. Non, il n’y avait qu’une seule et unique réponse quant à sa présence ici : l’absence de toutes traces de vie. En effet, il n’y avait pas âme qui vive en cet endroit ; pas une seule personne, ou un seul animal qui aurait pu alerter ses sens qui étaient déjà, en un certain sens, mis à rude épreuve. Si son choix s’était arrêté sur cette plaine proprement désertique, ce n’était pas non plus sans raison ; certes, Maak aimait la solitude, dans son sens le plus commun, mais la véritable cause de sa présence en ces lieux était Vergil.

Le Démon n’était pas amateur de ces paradis terrestres bien trop idyllique à son goût, loin de là ; pour lui l’endroit le plus agréable de toutes les contrées du Yin et du Yang se trouvait sur le continent dévasté. Alors avoir été traîné de force jusqu’au continent naturel, ou la beauté, bien plus que l’horreur, était de mise, était bien tout, sauf ce qu’il pouvait qualifier de « bien ». Mais l’hybride n’avait pas à se plier au désir que pouvait manifester son esprit démoniaque ; il n’avait pas à exprimer le moindre souhait, ni même à contester les décisions de son hôtes, car lui seul était le maître. Vergil n’avait rien d’une personne normale, il était l’opposé complet ; baignant dans l’horreur et dans le vice dès qu’il en avait l’occasion.

Le Réprouvé l’avait emmené et libéré ici pour la simple et bonne raison qu’il n’y avait pas âme qui vive, et que par conséquent, le risque d’incident était très largement minimisé. Il n’aurait pas à craindre les frasques que pourrait proférer le Démon si par malheur il devait tomber sur une personne ; Maak ne pouvait plus se permettre de laisser ce dernier à ses écarts, tous plus horribles les uns que les autres. Son attitude qui relevait proprement de l’ennuie, montrait très clairement qu’il aurait préféré se trouver ailleurs que sur « Les terres d’émeraudes ».

« Mais qu’est-ce que tu attends pour m’achever bordel ! Lança Vergil d’un ton suppliant. Sans déconner ! Je préférerais mille fois t’entendre te plaindre plutôt que me retrouver en train de me balader comme un clochard avec toi ! Non mais regarde-moi ça ! Y’a même pas une misérable petite bestiole avec laquelle je pourrais m’amuser !
- Parce que tu penses peut-être que j’allais te laisser le choix de la destination ?
- Un minimum de compassion pour un camarade m*rde ! Tu pourrais m’emmener là où il y a un peu plus de vie ! Je me contenterais même du cimetière pour le coup ! Là au moins j’aurais de quoi faire !
- Bien sûr... Et ma mère était un Ange qui me faisait des gâteaux quand j’étais malheureux... On restera là le temps que je voudrais, fin de la discussion ! »

Pour toutes réponses, Vergil se laissa mollement tomber dans l’herbe de tout son long, les yeux rivés vers le ciel. L’hybride quant à lui se contenta de s’asseoir sur une colline un peu plus élevé que celle du Démon, toujours assez prêt pour qu’il puisse avoir un œil sur lui. Le visage du Démon s’éclaira soudainement d’un étrange sourire comme s’il venait d’apprendre quelque chose de réjouissant.

« On a de la visite ! »

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Mar 30 Oct 2012, 11:00


« Nous l’avons trouver Sir. »
« Qui ? »
« Maak, Monsieur. »
« Ah oui, c’est vrais. »
Zéleph était complétement ailleurs. En ce moment il avait bien trop de choses qui lui tomber dessus et il commencer même à en avoir marre. Pourtant il avait bien pensé a une chose et il avait même prit le temps pour cela, au risque de reculer quelque dossier dit « important ».Il avait besoin de plus en plus de personne de confiance dans son entourage, que ce soir pour la couronne ou pour le Circus, alors si il pouvait faire deux pierres deux coups cela aurait était parfait. Maak était un réprouvé intéressant, il l’avait suivi depuis qu’il avait mis les pieds dans son établissement, comme à peu près tous ses employer, mais lui c’était diffèrent, il était de sa race et aujourd’hui qu’il était seigneur des deux rive, cela avait une importance capital. Maak était un réprouvé en qui Zéleph pouvait avoir confiance, du moins c’était ce qu’il penser à son sujet. Il avait l’air intelligent mais aussi d’être intéressé par ses projets. Zéleph devait s’entouré de personne en qui il pouvait avoir une confiance aveugle qui voyait le future des réprouvé comme lui et qui pourrait l’aidé à cela. Car il le savait, un souverain seul, était un souverain faible.

Autour de lui planait les complots, mais également le risque que le fils de l’ancien roi vienne réclamer son trône. Pas qu’il n’en est peur, mais il préféré que l’enfant comprenne par lui-même que son propre peuple ne voulait pas et qu’il n’était pas assez puissant pour le prendre de force, que devoir le tuer. D’abord il n’était pas dans ses habitude de tuer dans enfants et puis il n’avait pas envie de déclencher une guerre avec les déchus. Si cela venait a Aya de le déclaré la guerre ce ne serait pas qu’une guerre entre les Réprouvé et els déchu qui aurait lieux, mais toutes les terres du Yin et du Yang serrait mise à feu et à sang, aucune races ne serrait épargner. Autant éviter une tel chose, et pour cela il fallait au roi des personne comme Maak. Sortant de son bureau au Circus, il prit un moment pour se déplacer de la cité des pirates à celle des réprouvé, suivit de Yang Fang sa sentinelles la plus fidèle. Arriver dans la cité, les membres de son peuple y habitant vinrent sans attendre le saluer. Pas habituer à tant d’honneur Zéleph était un peu mal à l’aise. Il était vrais qu’il ne venait jamais à Stenfek ce qui faisait que les réprouvés habitant ici étaient des plus heureux quand il dénier ce montré. Seulement i n’était pas là pour faire le beau, il détester cela, il était là pour bien autre chose.
« Où est-il ? »
« A ce qu’on m’a dit, à l’extérieur de la ville. »
Zéleph n’attendit pas et prit s’on envole, évitant l’émeute. La sentinelle le suivit. Survolant les terres entourant la cité. Il aperçut sa proie assit au milieu de nul par. Plus loin il vit un démon, il l’avait aperçu par fois, mais là il ne lui donna pas plus d’attention. Ce posant derrière Maak, suivit de Yang, il soupira.
« Il faut en faire du chemin pour te trouver Maak. »
C’était peut dire. D’ici au Circus ce n’était pas des plus cours. Il aurait pu laisser une sentinelle s’en charger, c’est vrai. Comme Astaroth avait avec lui à l’époque, seulement il n’était pas comme l’ancien roi, plein de manière devant et négligent devant. Non il voulait lui-même faire de Maak une sentinelle, lu même lui expliquer, lui proposer et non pas le forcer comme avait fait l’ancien roi avec lui. Le réprouvé devait être surpris de voir son roi et son patron ici, alors il n’aller pas tourné autour du pot, de plus il détester cela.
« Cela fait longtemps que je m’intéresse à toi. Je pense savoir que les désirs que j’ai à propos de notre race, tu les procédés aussi, et j’ai besoin d’homme comme toi pour m’aider à les réaliser. »
Il eut un petit sourire. Les sentinelles après le roi étaient le rang le plus haut dans la hiérarchie des réprouvés. Il aurait beaucoup de responsabilité et si il n’en avait pas peur alors Zélephs errait près à en discuter avec lui et pourquoi pas lui faire passer un test ? Après tout on n’était jamais trop prudent, mais tout dépendait des choix de l’homme face à lui.
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Mar 30 Oct 2012, 15:20

Imagination démonique

De la visite ? Vergil était tellement en manque de jouet humain, qu’il en venait à se créer ses propres illusions... Le Réprouvé soupira longuement en entendant cette remarque ; il en avait vraiment assez de devoir constamment supporter l’attitude plus qu’énervante du Démon. Toutes ses paroles étaient la plupart du temps empreintes de mensonge, et lorsque ce n’était pas le cas, elles respiraient l’envie du tuer sans retenue. Voilà pourquoi il ne fit pas le moindre mouvement lorsque l’esprit prétendu que quelqu’un venait dans leur direction, il se contenta de croiser les bras et de fermer les yeux, avant qu’un individu ne vienne réellement déranger ce calme illusoire.

L’hybride tenta vainement de reconnaître la voix de la personne qui s’adressait à lui, mais il ne put l’identifier ; il ne connaissait donc pas cet homme, mais ce sentiment ne semblait pas réciproque, puisque cet inconnu connaissait le prénom du Réprouvé, il lui avoua même qu’il le cherchait. Ce dernier devait avoir une idée en tête pour suivre Maak jusque sur « Les terres émeraudes », mais puisqu’il s’était donné tant de mal pour retrouver l’hybride, il n’allait pas l’envoyer voir ailleurs.

« Je ne savais pas qu’on me cherchait, rétorqua-t-il en se levant. »

Lorsqu’il fit volte-face à cet homme, il confirma le fait qu’il ne le connaissait ni d’Adam ni d’Ève, il put constater par la même occasion qu’il n’était pas seul, mais accompagné d’une seconde personne. Après tant d’années à traverser les terres du Yin et du Yang, le Réprouvé sut au moins dire que tout deux appartenaient au même peuple que le sien. Il redoutait cependant l’objet de leur présence ici ; que pouvaient-ils vouloir à Maak ? Mais il balaya cette étrange impression d’un revers de la main, lorsque l’un des deux l’informa de leur intention envers lui. Cet inconnu l’intriguait de plus en plus ; comment pouvait-il savoir quelque chose sur l’hybride alors qu’il ne l’avait jamais rencontre ?

« D’accord mais...
- Je peux répondre à sa place ! Déclara Vergil en se dirigeant vers le trio.
- Vergil, ferme-la.
- Tout ce qu’il désire...
- Vergil...
- C’est faire bascu... »

Maak ne laissa pas le temps au Démon de continuer son propos, et le rappela immédiatement à lui ; l’esprit s’évapora en une fumée noirâtre avant de disparaître totalement. Dieu seul sait ce qu’il aurait pu dire devant ces deux personnes, probablement des idioties, comme il en avait l’habitude, cependant, il ne fallait pas tenter le Diable. Quelque chose faisait dire au Réprouvé qu’il ne fallait pas trop jouer avec ses deux hommes, et qu’ils n’étaient, de toute façon, pas là pour rigoler, au vu de ce que venait de déclarer celui qui semblait être le chef. À vrai dire, il pensait, à présent avoir une petite idée sur l’identité de celui-ci, mais préféra garder ses suspicions pour lui-même. L’hybride n’irait pas par quatre chemin, ce n’était pas dans ses habitudes de toute manière, et le fait d’être dérangé de cette façon ne lui plaisait pas tellement non plus...

« Je l’avais prévenu... Bon, je peux savoir au moins qui vous êtes, vous deux ? Tu sembles savoir pas mal de choses sur moi, lança-t-il en s’adressant à l’inconnu, et j’aimerais bien que ça marche dans les deux sens. »

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Jeu 01 Nov 2012, 11:45

Zéleph leva les sourcils ne sachant pas s’il devait en rire ou bien s’énerver. Yang Fang avait choisi pour sa part dans rire, mais il ne s’en inquiéta pas plus, la femme étant complétement folle elle avait tendance à partir seule dans des fou rire incontrôlable. Le roi se contenta de regarder le réprouvé face à lui et a présent seul puise que son « compagnon » avait disparu, et cela apparemment grâce à Maak. Il n’était pas là pour s’intéresser aux pouvoir de l’homme, il n’avait pas le temps pour cela, mais pour voir si il était à même de le suivre dans ses futur projet. Ce qui était quand même drôle c’était que Maak ne sache pas qui il était, il n’avait même pas l’air d’en avoir une petit idée. Pas qu’il était fâcher, non cela ne lui faisait rien, il était même parfois heureux qu’on ne le reconnaisse pas, mais cela arriver tellement peut souvent qu’il ne pouvait s’empêcher de sourire. De plus Maak était son employé, cela faisait deux point négatif montrant que le réprouvé n’avait jamais cherché à savoir à quoi ressembler son roi et son patron. Si il avait était joueur et surtout si il avait eu le temps il ce serrait servit de cette ignorance a d’autre fin, histoire de s’amuser un peut, pas au mépris de Maak, juste pour rire un peu. Cela voulait quand même dire que Maak ne c’était pas intéresser a Bouton d’or, les nouvelles terres des réprouvés transformer en vrais zone économique, magnifique de par sa richesse agricole. Il y aurait vu sa statue en plein marché, qu’il détester d’ailleurs, pour être mit en avant ainsi, mais c’était un cadeau il ne pouvait rien y faire. Yang Fang cessa soudain de rire et prit un air sérieux qui faisait plus froid dans le dos qu’autre chose.
« Tu n’en a vraiment aucune idée ? »
Zéleph ne pouvait lui en vouloir, lui-même s’en serrait fichu comme de sa première couche de savoir a quoi ressembler son roi, mais c’était vrais que maintenant roi il trouver cela peut commun, mais dérisoire.
« Ce n’est pas bien grave. »
Yang Fang continua de fixer Maak comme si elle aller le manger. Il était certain que par fois cette femme faisait sacrément peur, mais il suffisait de s’y habituer et on finissait par ne plus y faire attention. Zéleph pour sa part sourit un peu au réprouvé face à lui.
« Je suis Zéleph, ton roi. »
Il laissa l’information venir jusqu’à Maak, mais avant de lui laisser l’opportunité de lui répondre il reprit simplement comme si il n’avait pas pris le temps de prendre une pose.
« Elle s’est Yang Fang, Sentinelle de l'injustice. »
Elle ne bouger d’ailleurs plus comme figer. Quand on disait que ce post rendait légèrement fou, on ne disait pas à quel point et plus le temps passer, plus Zéleph avait l’impression que Yang le quitter un peu plus vers un monde qui paraissait extrêmement lointain. Revenant à Maak il prit le partit d’oublier la réprouvé quelque instant pour ce concentré uniquement sur le pourquoi il était ici présentement.
« Tu dois surement savoir ce qu’est une sentinelle n’est-ce pas ? »
La question paraissait simple et n’en était pas vraiment une, mais il se souvenait cas son époque il n’avait su ce que c’était alors plutôt que de risquer de perdre du temps en laissant Maak y réfléchir et de le laisser patauger si il ne savait pas, il préféra expliquer lui-même sans attendre, ainsi si il le savait cela ne ferait qu’un rappel et sinon il lui éviter de montré son ignorance. Tout cela dans un pur élan de générosité car Zéleph n’avait pas l’habitude d’être si agréable. Une fois n’était pas coutume.
« Les sentinelles son sept piliers au service directe de la couronne. Leur présence impose le respect et ils ont pour mission de m’obéir et d'aider les Réprouvés à s'accepter tels qu'ils sont. Leur but est de veiller à ce que notre peuple vive en paix, sans craindre les représailles des anges ou des démons. Chaque sentinelle porte le nom d’un sentiment qu’un réprouvé ressent au court de sa vie, ces sentiments correspondent également à une place, un devoir, une responsabilité. »
Cela paraissait plutôt simple et pourtant être sentinelle n’était pas de tout repos. Ils devaient s’occuper perpétuellement des autres et sur tout obéir au roi quoi qu’il arrive. Bien sur Zéleph n’était pas de ceux qui tyranniser ses armé, non il avait plutôt tendance à faire de ses sentinelles ses conseillers. C’était pour cela qu’il chercher des personnes de confiances, pour être certain qu’il pouvait parler de ses plans ou ses désirs vis-à-vis de sa race, sans craindre représailles ou trahison.
« Par exemple Yang Fang en étant Sentinelles de l’injustice, représente l’injustice que nous avons tous connue, nous réprouvés. Sentiment puissant, qui dévore de rage et de douleur. L’impression d’être un laisser pour compte, qui parfois peut nous pousser à faire des choses terrible que ce soit pour soit même ou bien pour les autres. Yang fang doit faire preuve d'une sorte d'empathie exceptionnelle puisqu'elle ressent tous les sentiments de ceux qui ont subis une injustice, un abus. Elle procède surement le post le plus dure au saint des sept piliers car elle peut vivre le cauchemar des autres. Sa mission est donc d’aidé ceux qui sont victime d’injustice. Elle possède donc le pouvoir d’éviter les injustices comme de les créer. Très puissant certes, mais très dangereux pour elle-même. »
Zéleph avait conscience que Yang Fang perdait la tête bien souvent, mais il ne pouvait lui en tenir rigueur, qui a sa place ne serrait pas déjà tomber dans la folie ? Elle était une femme d’une extrêmement force, qui portait sur ses épaules le poids du monde.
« Maak, j’aimerais que tu sois l’un de mes sept sentinelle. Je ne te mens pas cela peut être très dur, mais également très gratifiant. Tu es bien assez puissant pour venir à mes coter et j’apprécierai ton aide. »
Il se souvenait cas lui on ne lui avait pas laissé le choix. Astaroth avait envoyé Yang Fang avec un seul but, ou il devenait sentinelle ou bien il mourait, seulement il n’était pas comme l’ancien roi, l’hypocrisie le rendait malade. Il ne faisait pas semblant d’être agréable pour derrière ce comportait comme un tyran. Maak aurait le choix de le rejoindre ou non et si son désir n’était pas de devenir plus fort et de rendre sa vie utile à la défense de leur race alors il accepterait, ne lui en tenant pas rigueur.
« Bien sûr ne prend pas peur tous les poste de sentinelles ne demande pas autant de don de soi comme l’Injustice. A mon sens Yang Fang possède la plus dur des places. »
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Ven 02 Nov 2012, 01:10

Une partie de rigolade...

Lorsque le Réprouvé entendit la jeune femme aux côtés de l’étranger, littéralement s’éclater de rire, deux idées lui passèrent par la tête : cela le faisait d’abord sourire intérieurement car, voilà bien longtemps qu’il n’avait pas entendu quelqu’un rigoler de cette façon, mais, très rapidement, ce sentiment laissa place à un certain agacement, puisqu’il ne savait pas exactement ce qu’il avait bien pu dire pour que la jeune femme se mette à glousser d’une façon aussi forte. Cela ne sembla pas étonner l’inconnu qui se trouvait à ses côtés ; l’hybride préféra donc garder ses ressentis pour lui, jusque ce que l’extravagante cesse soudainement sa petite crise de folie et pose une question à Maak. Ce dernier ne put s’empêcher de la fixer avec un grand sourire et de lui répondre d’un air assez niais :

« Non, absolument aucune. »

Même si ce n’était pas exactement la vérité, il n’avait pu se retenir d’avoir cette attitude provocatrice. Mais, il n’eut cependant pas longtemps à attendre pour avoir une réponse concrète à ses questions ; la personne qui était venu à sa rencontre, n’était nul autre que Zéleph, le roi des Réprouvés. Un instant, l’hybride eu une petite hésitation : il avait déjà rencontré le souverain de sa race, et il ne lui ressemblait absolument pas. Des changements avaient dû s’opérer entre temps et, comme les affaires politiques n’intéressaient absolument pas Maak, il n’était au courant de rien. Cependant, une évidence s’imposa rapidement à lui : l’actuel roi semblait être quelqu’un de beaucoup plus simple, et beaucoup moins pompeux que son prédécesseur.

Il ne connaissait pas vraiment le rôle que pouvait avoir une Sentinelle au sein de la hiérarchie des Réprouvés, puisqu’il n’en avait pas rencontré jusqu’à maintenant. Mise à part l’homme qui avait été chargé de le faire monter en grade, et encore, il n’avait pas été très loquace sur sa fonction, voilà pourquoi il avait appréciait la précision que venait de lui fournir Zéleph. L’idée que les Sentinelles aidaient les autres Réprouvés à combattre l’injustice dont ils étaient victimes plut immédiatement à Maak ; lui aussi avait dû subir les railleries, et autres insultes des Anges et des Démons, il savait donc parfaitement ce que voulait dire le souverain. L’hybride avait cependant un peu de mal à croire que cette femme, aux allures plutôt délurées soit un des piliers de son peuple, et il savait maintenant pourquoi Zéleph qualifiait ce poste de « dangereux ».

Lorsque ce dernier proposa à Maak de devenir l’une de ces Sentinelles, il fut d’abord... Surpris. Il n’y avait pas trop mot, puisqu’il ne s’attendait absolument pas à cette proposition. Lui, un simple Réprouvé, vouait la plupart du temps au vagabondage, devenir quelqu’un d’aussi important ? C’était assez gratifiant en quelque sorte d’être remarqué parmi tous ceux de son peuple, voire inimaginable dans son cas ; la chenille avait finalement fini par se transformer en un papillon. Mais il ne savait pourtant pas quoi répondre, car tout lui tombait dessus d’un seul coup, et n’avait jamais envisagé ce poste ; il n’était pas le genre de personne attirait par le pouvoir et les responsabilités.

« Laisse-moi y réfléchir quelques minutes, ce n’est pas une décision que je dois prendre à la légère. »


Le Réprouvé se mit à fixer le sol, en passant et repassant sa main dans les cheveux ; s’il acceptait cette place, sa vie changerait du tout au tout, et il en était parfaitement conscient. Mais s’il pouvait faire en sorte de changer ne serait-ce, qu’une infime chose à la condition des Réprouvés, il n’hésiterait pas un seul instant. Il jugeait que son peuple avait déjà était bien assez mal mené comme ça, et qu’il était temps que les choses bougent pour tous les hybrides de sa race. En cela, il rejoignait les pensées du souverain : le changement.

« Si je peux apporter une quelconque aide pour que les Réprouvés aient un meilleur avenir, je n’attendrais pas une seconde de plus pour le faire. J’accepte donc ta proposition, en espérant que je ne le regretterais pas. Si tu as su me trouver, tu sais parfaitement que je suis un homme de parole, tu peux donc avoir confiance en moi, jamais je ne trahirai d’une quelconque façon que ce soit. »

Pour appuyer ses propos, Maak tandis la main devant Zéleph afin qu’il la saisisse. Une personne qui ne savait pas tenir sa parole ne valait rien selon le Réprouvé, et il n’était pas quelqu’un qui faisait des promesses dans le vent, pour le simple plaisir d’en faire ; elles devaient avoir un sens. L’hybride se mit légèrement à sourire avant de reprendre la parole.

« J’espère simplement que je n’aurais pas à passer de stupides épreuves comme j’ai été obligé de passer il y a quelques temps, car elles étaient tout, sauf intéressantes. »

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Ven 02 Nov 2012, 18:31

Zéleph observa Maak. Il ne l’avait jamais vue, mais il ressembler à ce qu’on lui avait dit de lui. Il avait confiance sans même lui avoir parlé ou l’avoir vu à l’œuvre dans ses travaux, sa vie. Le roi avait confiances en ses informateurs, les preuves Maak avait était surveiller sans même qu’il ne le voit. Ainsi il comprenait naturellement que le réprouvé est besoin d’un peu de temps pour répondre à sa proposition, car de son choix résulterait un changement de vie quasi radical et pas toujours des plus simples a géré. Alors une fois n’était pas coutume, le seigneur des deux rive fit preuves de patiences avant que son congénère ne se retourne vers lui.
« Si je peux apporter une quelconque aide pour que les Réprouvés aient un meilleur avenir, je n’attendrais pas une seconde de plus pour le faire. J’accepte donc ta proposition, en espérant que je ne le regretterais pas. Si tu as su me trouver, tu sais parfaitement que je suis un homme de parole, tu peux donc avoir confiance en moi, jamais je ne trahirai d’une quelconque façon que ce soit. »
Le roi sourit. Voilà pourquoi quand on lui avait parlait de Maak il n’avait pas hésité longtemps avant de ce décidé à son propos. Les deux réprouvé ce ressembler énormément même si le futur sentinelle ne s’en rendait pas compte il avait en face de lui un homme d’honneur qui apprécier plus que tout que l’on respecte ses promesses. De plus Maak, comme lui, avait le même désir de futur pour leur race, la même vision des choses. Le roi serra la main du réprouvé avec fermeté, lui promettant ainsi qu’il ne ce jouerait jamais de lui, bien au contraire il avait bien trop besoin d‘aide pour jouer les manipulateurs comme l’avait fait l’ancien souverain avec lui.
« Tu ne regretteras rien. »
Il ferait tout pour que ce soit le cas car il fallait l’avouer Zéleph n’était pas sur du futur et c’était bien à cause de ce doute qu’il chercher des personnes comme Maak pour l’aider dans ses projet, pour promettre à leur peuple un avenir prospère, protéger des autres races et de leurs pression encore trop présente sur les plus faible d’entre eux.
« J’espère simplement que je n’aurais pas à passer de stupides épreuves comme j’ai été obligé de passer il y a quelques temps, car elles étaient tout, sauf intéressantes. »
Zéleph échangea un regard furtif avec yang Fang. Pouvait-on réellement y échapper ? Lui a son époque avait passé un test simple, ou il battait Yang ou il mourrait, mais le roi ne serrait pas aussi barbare avec Maak, pourtant on ne pouvait pas devenir sentinelle simplement comme cela, c’était bien trop facile. Ce retournant vers l’homme qui attendait une réponse il ne tourna pas autour du pot.
« Soyons honnête, c’est dans le cours des choses. »
Bien sûr c’était souvent gavant, mais Maak n’aller pas passer n’importe quel test, non celui-là serrait bien plus dur pour lui que n’importe qu’elle autre. Le roi ne put s’empêcher de penser cas son époque si il avait dû se battre contre le roi peut-être aurait-il gagné et serait-il devenu roi a sans attendre, mais en y pensant à ce moment il ne voulait nullement du trône, même pas devenir sentinelle donc la question ne se poser pas. Retirant son kimono qu’il donna a Yang Fang, restant simplement torse nu, ses armes dévoiler a sa ceinture, il était prêt pour le combat.
« Tu vas devoir me montré ce que tu as dans le ventre Maak. N’est pas peur de me faire mal, ce combat est une sorte d’évaluation, je veux avoir confiance en la puissance de mes sentinelles car au final c’est vous qui protégez notre peuple, je ne peux donc pas éviter cela. »
Zéleph était excessivement fort, c’était sa plus grande puissance, mais la force brute ne suffisait bien sûr pas toujours, pourtant si il devait encaisser les attaques de Maak alors il ne risquerait peut être pas la mort, tout dépendait de la valeur du réprouvé au combat. Après tout il n’en savait rien, Maak pouvait bien cacher son jeu. Malgré tout Zéleph espéré que le réprouvé ne retiendrait pas ses coups car lui ne le ferait pas.
« Tu peux aussi te battre contre Yang Fang si tu le désir, mais je serais un peu déçu, j’apprécie de sentir moi-même la puissance. »
Il fixait Maak les yeux déjà assombrit pas l’excitation du combat. Zéleph aimer ce battre depuis toujours, il avait était gardiens des armes de leur peuple avant d’être roi, et ce n’était pas pour rien.
HJ:
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Sam 03 Nov 2012, 15:51

Évidence inévitable...

Ainsi donc, passer ces épreuves était tout bonnement inévitables ; le Réprouvé n’aurait pas le choix, il devrait se plier à la volonté du souverain. En soi, ce n’était pas les tests en eux-mêmes qu’il redoutait ; s’ils étaient aussi simples que ceux qu’il avait passé il y a quelques temps, il n’aurait pas de problème. Non, c’était plutôt le contenu de ceux-ci qu’il craignait car, s’il devait de nouveau être confronté à des scènes de son passé qu’il avait oublié, l’hybride ne savait pas s’il supporterait encore bien longtemps la compagnie de Zéleph. Mais qu’est-ce que celui-ci pourrait bien avoir en faire des informations sur Maak ? Après tout, il jugerait la valeur de ce dernier par ses actes présents et futur, et non ceux du passé, ou tout du moins il l’espérait...

Le début des épreuves ne se feraient pas longtemps attendre, puisqu’elle débutait à partir de cet instant. Le roi des Réprouvés se dévêtu de son kimono, pour laisser apparaître un corps sculpté, comme taillé dans le marbre, preuve d’une force qui se devait probablement exceptionnelle. Maak était loin d’être dupe, et il savait très bien qu’il n’avait pas le même niveau de puissance que son homologue, d’une part, cela se reflétait d’un point de vue physique, mais aussi par le fait que, si Zéleph est devenu le souverain de son peuple aujourd’hui, ce n’était sûrement pas par le plus pur des hasards.

L’hybride préféra ne rien laisser au hasard pour ce combat, non seulement parce qu’il allait de sa fierté personnelle et de son honneur, mais aussi parce qu’il se sentirait probablement honteux de se montrer faible en face d’une personne qui avait fait tout ce trajet pour le trouver. Parce qu’il se battait contre le chef de sa race ? Absolument pas. Pour Maak, un souverain était un individu comme les autres, qui avaient simplement mieux réussi que ses semblables dans son existence. Il n’était pas jaloux, loin de là, mais traiter une personne avec plus de gentillesse, simplement parce que celle-ci était montée en grade dans la société, n’était pas dans ses habitudes.

Le Réprouvé retira simplement sa veste, et la laissa tomber à terre, étant à ce moment simplement vêtu avec une chemise qui dévoilait ses bras, ainsi que le tatouage permettant d’invoquer Vergil. Aujourd’hui, et comme tous les autres jours, il combattrait avec sa faux, voilà pourquoi il déposa son épée à double lames un peu plus loin, mais utiliserait-il son Démon ? Cela restait à voir, il préférait le garder en réserve pour un peu plus tard, au cas où la situation deviendrait dangereuse pour lui. Il se mit à sourire en entendant la remarque de son homologue.

« Je n’avais pas l’intention de me retenir et, si je ne me trompe pas, c’est toi qui veut m’évaluer, pas elle. Top !»

Un signal pour signifier que le combat pouvait commencer entre les Réprouvés. Maak ne s’était pas retenu, et au premier assaut, il déversa toute sa puissance dans son arme, que Zéleph réussi bien évidemment à parer. Est-ce que ce duel reposerait essentiellement sur la technique, ou bien sur la puissance ? Les deux seraient probablement mise en œuvre ici car l’un, comme l’autre adversaire, n’avait nullement l’intention de se laisser faire. L’hybride mettait toute sa force dans ses assauts, comme bien souvent, il avait aussi à se défendre des coups que lui envoyait son opposant qui se débrouillait aussi bien que Maak avait pu se l’imaginer.

Il n’utilisait pas le tranchant de ses lames pour attaquer, mais le plat car il n’était pas là pour tuer qui que ce soit, mais simplement pour prouver sa vaillance. Un instant, il avait même penser à utiliser le manche de sa faux comme arme, puisque ses petits pics pourraient très largement en faire office, mais il se ravisa ; il ne pouvait se permettre de sous-estimer son adversaire. D’une puissante frappe, il envoya son semblable valser à quelques mètres, sans le faire tomber pour autant, avant de se diriger rapidement vers lui et de de nouveau jouer de sa faux.

HRP:

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Dim 04 Nov 2012, 20:04

Quelle force. Zéleph parait les coups de Maak sans l’attaquer avec l’idée de le déstabiliser. Pas besoin d’entré dans le combat comme si celui-ci était le dernier. Le roi préférait faire une approche plus progressive pour bien évaluer le niveau de son adversaire. Pousser en arrière il sourit. Maak utilisé son arme, jusque-là lui avait gardé les siennes biens rangés. Pourtant il ne devait pas être hypocrite lui dire qu’il voulait le meilleur de lui et lui-même ne pas ce donner à fond. Posant sa main gauche sur lance de son sabre il sortit le premier dans un tintement métallique. Kotaro était le premier katana qu’il avait eu, comme un fidèle compagnon c’était toujours lui qu’il sortait en premier. Le faisant fendre l’air autour de lui il se remit en position avant de prendre appui et de, littéralement, fondre vers Maak. Le sabre derrière lui, il le rabattu sur le réprouvé avec une puissance impressionnante. Le choque de leurs deux armes firent des étincèles. Zéleph croisa le regard du futur sentinelle avant de faire un bond en arrière pour ce reculé. Tout cela était bien gentil, mais ils n’étaient pas là pour s ‘amuser, il fallait un peu de sueur et de sang dans un combat, même un combat amical.

Il ne fallait pas oublier que les réprouvés étaient des êtres fait pour voler et dans un combat cela était un atout de maitre. Lui qui en avait était privé durant plus d’un siècle savait de quoi il parlait. Le tatouage qu’il avait sur la main en forme d’aile, entre son pouce et son indexe, prit soudain une légère couleur bleuté, comme une fine lueur. De grandes ailes aux plumes blancs comme celles des anges apparurent dans son dos. Le roi ce redressa prenant une bouffer d’air, retrouver ses ailes lui faisait toujours un bien fou, comme si a ce moment il était enfin complet. Lui qu’on avait toujours martyrisé, montré du doigt par ce qu’il était le réprouvé sans ailes, avait retrouvé sa parures d’entant. Si il n’avait pas était un être à l’aspect si sombre on l’aurait peut être confondu avec un archange, vêtu de telle atout immaculé.

Zéleph sortit de son second fourreau Raïso, son second sabre. Tenant entre ses mains ses deux lames préférées il fixa Maak de son regard profondément noir. Etait-il réellement prés a ce confronter à lui ? Oui, il le pensait et n’était pas genre d’homme à sous-estimer son adversaire sous prétexte qu’il était roi et l’homme face à lui non. L’apparence et le rang d‘une personne n’en a jamais fait quelqu’un de plus important ou plus fort que les autres, le seigneur des deux rive le savait mieux que personne. Pour lui tous les hommes étaient au même niveau, après il y avait les femmes, mais cela c’était une autre histoire.
« J’espère que tu sais voler. »
Abordant un sourire en coin, taquinant avec arrogance son adversaire il prit une forte impulsion et prit son envole en direction directe vers le réprouvé. Volant à, à peine un mètre du sol ses deux lames le long du corps, il aller telle une fuser vers sa proie. Maak avait intérêt à être vif car si le roi était très puissant il était également excessivement rapide ne laissant aucune chance à ses adversaires de le devancer. Ramenant ses deux sabres devant lui alors qu’il s’approcher de son homologue. Concentrant sa force dans ses katana il les croisa devant lui, assénant une frappe qui se voulait fatale pour désamorcer la défense de son ennemie. Ce concentrant sur la force brute, Maak avait toutes ses chances d’esquiver ou de ce préparé à encaisser la frappe du roi, du moins si il était assez rapide pour la première option ou assez fou pour la seconde, car si Zéleph enchainer sur cette attaque cela pourrait mettre le réprouvé KO dès le début.
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Lun 05 Nov 2012, 21:09

L’excitation du combat...

L’atmosphère commençait irrémédiablement à changer ; l’envie de combattre émanant des deux Réprouvés était palpable. Les adversaires avaient envie d’aller plus loin dans leurs attaques, plus loin dans leurs coups et leurs puissances. Il n’y avait qu’à écouter le silence de leurs paroles, et le crissement de leurs armes pour comprendre qu’ils voulaient tous deux en découdre ; non dans le but de s’entretuer, mais juste pour le plaisir de s’affronter de s’affronter comme des frères d’armes. Est-ce que l’envie de lutter était dans la nature des Réprouvés ? Il y avait fort à parier, car tout ceux de ce peuple devait constamment lutter pour leur survie, pour se faire une place dans la société, ce qui n’était pas toujours une mince affaire.

Enfin Zéleph sortait le grand jeu, et utiliser des armes pour s’attaquer à son semblable. Ce dernier les avait sorti dès le début, parce qu’il n’appréciait pas vraiment le combat à mains nues ; ce n’était pas l’incapacité qui l’en empêcher, mais sentir les vibrations des attaques à travers sa faux, était de nombreuses fois plus délectables qu’avec simplement ses mains. Question de points de vue évidemment. Mais il y avait une seconde raison pour laquelle Maak avait sorti son arme d’entrée de jeu : son adversaire. Celui-ci était plus puissant que lui, il n’était pas dupe, voilà pourquoi il préférait ne prendre aucun risque. Toutefois, il se réservait un atout, un atout de taille : Vergil.

Le Démon n’attendait qu’une chose : être invoqué pour prendre lui aussi part au combat, mais son hôte préférait le garder comme un joker en attendant le moment crucial. Pour le moment, Maak était occupé à ne pas se faire découper de tous les côtés par son adversaire ; l’agilité lui était dans ces cas d’un grand secourt, car à peine avait-il esquivé une attaque, que l’hybride en lançait une autre. Est-ce que son homologue reculait pour autant ? Absolument pas. Maak était une personne qui avait pris l’habitude d’attaquer plutôt que d’esquiver, celui lui avait procuré une résistance au fur et mesure des années ; il encaissait les coups, mêmes si ceux-ci semblaient bien trop puissant pour l’être. Comme celui que s’apprêtait à lui envoyer Zéleph...

Il se mit à foncer sur le Réprouvé, comme un fauve se jetant sur sa proie. À ce moment, l’intéressé n’avait que deux solutions : esquiver en espérant qu’il n’est pas à subir une seconde attaque de ce type, ou bien absorber le coup qu’on lui envoyait. Sans hésiter, son choix s’arrêta sur la seconde idée, même si elle n’était pas la plus intelligente ni la plus sûre. Maak croisa sa faux devant lui, avant de recevoir l’attaque de son homologue de plein fouet, le grincement des lames s’entrechoquant, et les étincelles qui en jaillirent pouvaient témoigner de la violence du choc. L’hybride ne put parer cette attaque éternellement, et se retrouva propulser quelques mètres plus loin, laissant la traîné de ses pas derrière lui. Il était sonné, bien sonné même, mais il ne pouvait se permettre de tout lâcher maintenant.

Avant que son adversaire n’ait pu lui lancer une énième attaque, Maak prit son envol un peu plus haut dans les airs, et encercla son opposant dans un cercle de feu. Conjugué à son contrôle du vent, ces attaques donnèrent naissance à une tornade enflammée. Est-ce que faire brûler le souverain des Réprouvés était son objectif ? Pas du tout, il avait déjà précisé qu’il n’était pas là pour tuer. Non, son but était simplement de déstabiliser Zéleph en l’emprisonnant dans cette tempête de feu, même si dernier avait de quoi se protéger de la chaleur, il s’attendait probablement pas à une attaque de ce type. Maak ne perdit pas une seconde de plus, et fondit sur son adversaire, avant de lui assigner un puissant coup de pied qui l’envoya à quelques mètres, et hors de la tornade. Lorsqu'il se rapprocha de son opposant, il abordait un petit sourire en coin. Oh, rien de moqueur bien entendu, mais plutôt d'amusé, car cela faisait bien longtemps qu'il ne s'était pas défoulé comme ça.

« Est-ce que ça répond à ta question ? »

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Sam 10 Nov 2012, 11:34

Le second coup du roi fini sa course dans le vent. Ses yeux suivirent Maak qui rit son envol. Il sourit, alors que le feu l’encerclait. Il fallait être honnête, si il l’avait réellement désiré ce serait déjà fini, mais où en était l’intérêt ? Bientôt le cercle de feu s’éleva dans une sorte de tornade, tornade enflammé. La chaleur était intense, mais le seul risque de Zéleph était d’avoir un coup de chaud, bruler n’était pas dans ses options. C’était tactique et bien jouer, le réprouvé savait exactement à quoi s’attendre. Telle un écran de fumer que vous fond voir les illusionnistes, la tornade n’était là que pour le déconcentré. Il le vit venir, les flammes aspiré par son arriver, bien que rapide il n’u cas leva la main pour stopper son pied. Le sol instable fut marquer par son recule.
« Est-ce que ça répond à ta question ? »
Maak était bien présomptueux, mais le seigneur des deux rives ce contenta d’esquisser un sourire. Cela suffisait, le prochain coup serrait le dernier, il n’en avait pas besoin de plus et pour être honnête quand sa vie n’était pas en jeu il avait tendance à s’ennuyait. Marchant pour ce rapproché de son semblable, il rangea ses deux lames, puis sortit de la poche de son pantalon un petit sac de tabac et du papier à rouler. Arriver à deux mètre de Maak il alluma ça cigarette avec une allumette. La première bouffer fut douce, la fumer glissant délicatement dans sa bouche lors ce qu’il l’expira.
« Bien »
Ce fut à ce moment. N’avait-il pas ouvert les yeux qu’il disparut. Ce n’était pas de la téléportation, mais cela y ressembler, c’était la rapidité d’un homme qui avait passé sa vie à ce caché de ses proies. Il lui avait suffi d’une impulsion pour prendre toute la vitesse dont il avait besoin. Des yeux humains ne l’auraient jamais remarqué, mais il était toujours là. Réapparaissent dans le dos de Maak, la lame a son poignet était sorti et glisser sur le coup de l’homme. Il pouvait surement sentir la froideur de l’acier contre sa peau. Zéleph avait était assassin toute sa vie, parfois cela lui manquer de prendre la vie d’une personne sans se soucier des conséquences. En serrait-il encore capable aujourd’hui ? Tout avait une loi, la vie en avait une, une règle simple. Une fois qu’elle n’est plus là, il ne reste plus rien. Zéleph rit dans le dos de son camarade, la lame retournant ce cacher dans le cuir qui entouré son poignet. Il recula reprenant une longue bouffé de cigarette.
« Je pense que nous pouvons en rester là. »
Le roi ce douté que son coup ne signifier pas la fin du combat. Bien sûr si il avait sorti sa lame dans le cou de son adversaire et non a coter ce serrait terminer, mais en agissant ainsi il avait sur tout donner une chance a Maak de se défaire de sa prise et il ne douter pas de ses capacités à le faire. Yang Fang vi lui rendre son kimono et le roi le posa simplement sur ses épaules. Il n’y avait pas a douté, le réprouvé qu’il avait devant lui était digne d’être un sentinelle autant par la force que par la confiance qu’il pouvait lui délivré. Zéleph était sr le point de lui poser une dernière question lors ce qu’il vit au-dessus d’eux un des leurs s’approcher à grande vitesse. Lors ce que l’intrus atterri, il ne réalisa pas la vitesse où il aller et manqua de tomber. Essouffler et l’air inquiet il ne put rien dire mais tendit un mot a son roi qui le prit simplement. Ses yeux parcoururent les lettres griffonner rapidement, peut être celui qui les avaient écrit avait-il était angoisser par la nouvelle, Zéleph lui se contenta de fermer sa main sur ce torchon. Calmement, et pourtant une lueur d’excitation dans le regard il posa ses yeux sur Maak.
« Je crois que le monde a fini de connaitre la paix, bientôt nous seront tous en guerre et je crois que nos chères amis Déchus on commencer les premiers. »
Aya n’avait pas perdu de temps, maintenant qu’elle avait assis son pouvoir sur le trône elle lancer les offensives. Les réprouvés n’avaient aucune alliances avec les anges, mais pourtant à choisir le roi préférerait les aidées que devoir s’allier à la mère de celui qui voulait sa couronne. Zéleph sortit une pièce de son pantalon et la donna a ce pauvre jeune coursier qui en cracher encore ses poumons, avant de regarder sa sentinelle et celui qui était en bonne voie pour en être un.
« Maak, nous avons besoin que notre peuple soit soudé, c’est ensemble que nous pourrons nous en sortir. Nous ne pourrons compter que sur cela. C’est pour cette raison que j’ai besoin que tu jures sur ta vie, sur ton honneur, cas présent tu ne respires et ne vit que pour ton roi et ton peuple. »
C’était peut-être un peu trop solennel et Zéleph n’avait jamais aimé ce genre de numéro qui donnait plus l’air d’une mauvaise pièce de théâtre que de la vie réel, et pourtant. Pourtant tout reposait là-dessus, si le roi ne pouvait pas croire en les siens, alors ne régnerait que l‘anarchie. Il avait juré donner sa vie pour les réprouvés, il voulait que ses sentinelles en face également la promesse. Leur vie paisible était menacée. Les déchus avaient commencé, tout aller très vite s’enchainer. Son trône était menacer par le fils d’Aya, et Zéleph ne pensait pas que la reine lui laisserait le choix si il devait y avoir une guerre. Il ne pensait pas non plus qu’Aiichiro avait une chance de lui prendre la couronne, mais il aurait le pouvoir de semer la discorde dans les esprits et quand l’angoisse de la guerre empare un peuple, il est si simple de le manipuler. Tout cela était trop beau pour le gamin, mais Zéleph avait de son coter la raison et la force d’être entouré d’homme qui étaient près a tout donner pour protéger la paix, tout comme lui. Le roi tendit sa main. Ce serment étaient lier par magie, si la promesse étaient rompu par Maak il mourait, c’était aussi simple que cela.
« Le ciel serra bientôt sombre et nos cœurs troublaient, mais si nous avons fois en nous-même rien ne pourra détruire notre peuple. »
C’était une promesse, la promesse d’un roi aux siens. Tout aller être détruit, tout aller sombré, mais si ils restaient ensemble tout serrait anéantie, sauf eux. Le corps droit, les yeux fier, Zéleph n’avait pas peur de l’avenir, il ne devait pas siller devant le mal, tel était son rôle. Il ne rester plu cas Maak de savoir si il voulait l’aider à tenir sur ses épaules ce fardeau.
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Mer 14 Nov 2012, 00:51

Un choix cornélien...

Les choix nous mettent toujours face à des situations que l’on aurait préféré ne jamais affronté, qu’il s’agisse d’une décision à prendre à propos de soi ou d’autrui, tout aura un jour une conséquence qu’il faudrait payer. La vie à un prix que l’on ne pourrait mesurer, auquel s’ajoute les caprices du destin, et autres inconvénients qui accompagnent cette ligne toute tracée de notre existence. Nos choix servent simplement à choisir un autre chemin, qui mènera sur une route, plus ou moins extraordinaire selon celle que l’on aura choisi d’emprunter, le tout était de trouver celui qui nous correspondra le mieux. Aujourd’hui, le Réprouvé était face à une situation qui en dépendrait le restant de sa vie : vouer sa vie à son peuple, ou bien ne pas en faire partie, et en rester à l’écart à jamais...

Jusque-là, l’hybride avait eu une bonne impression de Zéleph ; il lui trouvait une certaine sympathie, et en un sens, il se retrouvait en cette personne. Ce n’était pas un sentiment qu’il ressentait avec tous les individus qu’il croisait, bien au contraire : pouvoir s’identifier à telle point à quelqu’un était quelque chose d’assez rare, qui se produisait très rarement. L’instinct susurrait à Maak que s’il s’alliait à son souverain, il ne le regretterait pas, qu’il pourrait aller plus loin qu’il ne pourrait jamais l’imaginer dans sa vie, qu’il pourrait se dépasser. Après tout, le Réprouvé n’avait qu’une seule envie : pouvoir se dépasser dans tous les domaines possibles, et même s’il n’avait jamais envisagé la possibilité d’être directement impliqué dans les affaires de sa race, cela ne le dérangeait pas, bien au contraire. Il pourrait ainsi élargir le champ de ses connaissances, et se rendre utile, plutôt que de dépenser de l’énergie inutilement, sans réel but précis.

La demande de Zéleph avait des teintes quelques peu hautaines, que Maak appréciait moyennement, puisqu’il préférait lorsque les personnes étaient direct, et évitaient de prendre des airs supérieurs lorsqu’ils lui parlaient. Mais aujourd’hui, le Réprouvé allait passer outre cette petite remarque, et garderait son opinion pour lui, puisqu’elle serait complétement hors de propos. D’autant que la situation n’était pas à la rigolade, puisque le souverain avait tout de même l’air grave, sous son aspect sûr de lui. Une poignée de main, et le destin de l’hybride serait complétement changé ; une poignée de main, et il pourrait dire adieu à son ancienne vie ; la poignée de vie qui changerait tout. Une main tendue qu’il empoigna avec vigueur et force, bien plus qu’il ne l’avait fait la première fois ; une confiance commune venait d’être scellée.

« Je suppose que je n’ai pas besoin de te prouver ma valeur une seconde fois n’est-ce pas ? Si je devais faillir à ma tâche, ou bien que tu ais besoin de m’éliminer, fais-le, mais avec honneur à mon égard. Encore une chose : je ne veux pas que ma compagne soit mêler à toutes les histoires qu’ils pourraient y avoir, c’est tout ce que je demande ; laisse-la en paix, quoi qu’il puisse m’arriver. »

Non, Maak n’avait pas oublié que cette décision l’affecterait aussi bien lui, que Reiya. D’ailleurs, il se moquait bien de savoir s’il devait mourir ou pas, à partir du moment où Zéleph écouterait ce que le Réprouvé avait à dire. Ses choix l’affectaient, certes, cependant, ceux-ci auraient forcement une répercussion sur sa vie, et celle de la jeune femme, puisque tous deux étaient comme liés. Là où Reiya allait, Maak allait, et inversement ; ses jugements auraient donc forcément une incidence sur leur relation ; bonne ou mauvaise, mais ils en auraient une. Maintenant que le pacte était « scellé », l’hybride était bien curieux de savoir ce qui avait pu amener le souverain à prendre une décision aussi hâtive concernant son homologue.

« Je t’aiderais à dissiper les nuages noirs qui planent au-dessus de notre peuple, tu peux me croire, je n’ai qu’une parole, et je suis certain qu’il en va de même pour toi. »

« Alors ? Qu’est-ce qu’on bien put faire les Déchus qui puissent intéresser les Réprouvés ? Désolé, mais je ne suis pas très au courant de la politique de ces terres, à vrai dire, je n’y connais presque rien, elle ne m’a jamais vraiment intéressée... »


Le Réprouvé termina sa phrase par un petit sourire ; il ne connaissait rien de la politique, et alors ? Cela ne l’avait jamais empêché de vivre jusqu’à maintenant... Mais, pour discuter, la présence de Vergil ne serait pas indispensable, puisqu'il serait capable de parasiter les pensées de son hôte pendant qu'il serait en pleine discussion. Maak matérialisa l'esprit démoniaque à côté de lui et, bien évidemment, ce dernier ne put s'empêcher de tenter de se mêler des affaires de l'hybride. Avant même qu'il n'est pu prononcé la moindre parole, le Réprouvé foudroya l'entité du regard et lui donna un ordre qui ne laissait place à aucun doute.

« Va voir là-bas si tu ne peux pas t'amuser!
- Pas besoin! Vous êtes déjà deux beaux spécimens! Déclara Vergil fier de sa remarque.
- Vergil... Tire-toi! »

Un simple mouvement de la tête de la part de l'hybride, mêlé à une pincée de contrôle sur le Démon, suffit à ce que celui-ci s'éloigne, tout en étant toujours dans la ligne de mire de son hôte, en cas de problème. Il reporta ensuite son attention sur Zéleph qui se tenait toujours en face de lui.

« Si Yang Fang a envie de s'amuser un peu avec lui, grand bien lui fasse! Vergil ne rechignera pas à la tâche, je peux te le garantir... Crois-moi, nous serons beaucoup mieux sans lui! »

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Mer 14 Nov 2012, 18:04

Une poignée de main et le sort de Maak était celer. Cela n’avait l’air de rien et pourtant en donnant sa parole il venait de bouleverser sa tournée et Zéleph était persuader qu’il ferait de grande choses à ses côtés. Le réprouvé lui parla de sa compagne, et le roi ne put s’empêcher de sourire. Il ne savait même pas qu’il avait une femme dans sa vie et il pouvait bien avoir des enfants qu’il s’en fichait. La vie priver de ses hommes ne l’intéresser nullement, c’était a eu de la géré et de se débrouiller pour qu’elle n’interfère pas avec le reste.
« Sans vouloir t’offenser Maak, je me fiche de ta vie priver. Tu en fait ce que tu veux tant que cela n’a aucune incidence sur le reste. »
C’était clair et simple, et tout le monde s’en portait bien mieux ainsi. Le roi était au moins soulager d’avoir quelqu’un de sa trempe a ses coté, il ne devait plu laisser le temps le prendre. Les déchus avaient lancé l’hostilité et ils ne pouvaient pas rester à regarder la guerre ce déclencher et attendre qu’on les attaques. Non pas qu’il voulait attaquer le premier, mais il fallait ce préparé à l’inévitable. Maak fit apparaitre ce qui était ce dont il avait entendu dire comme étant « son démon ». C’était drôle lui aussi avait le sien, seulement si il l’avait libéré Zéleph aurait détruit les terres du Yin et du Yang pour se venger, au lieu de cela il avait préfet y puiser sa puissance et devenir Zéleph. C’était idiot mais il aurait pu mourir s’il ne l’avait pas fait. Enfin, à chacun son histoire n’est-ce pas ? Lors ce que Maak proposa à Yang Fang avec humour de s’occuper de Vergil elle rit avant d’y aller. C’était assez amusant de la voir sautiller joyeusement quand on savait que son esprit était remplit d’idée noire, elle pensait surement pouvoir torturé le démon pour « jouer » ? Le roi avait bien plus sérieux à faire et Maak devait être au courant de tout ce qu’il fallait savoir sur ce qui arriver en ce moment dans leur monde.
« Avant j’étais comme toi, la politique m’ennyait et je vivais très bien sans, mais en devenant roi je n’avais pas réalisé que je ne ferais plu que cela. SI tu savais comme cela me fatigue. »
Il se passa une main dans sa crinière noire en soupirant. La politique était quelque chose de très important quand bien même il est toujours penser le contraire. Il fallait voir ceux a quoi il était confronter tous les jours.
« Les déchus s’en prennent aux anges de façon de plus en plus violente. Aya, la reine vient de mettre de nouvelles lois pour régir Avalon. Les anges ni son plus les biens venue depuis longtemps mais à présent tout ange rentrant chez eux serra condamné à mort. »
Zéleph invita Maak à marcher un peut en discutant. Il fallait avoir les idées claires pour parler de ce genre de chose, l’air de la nature ne pouvait leur faire que du bien.
« Soyons clair, les déchus et les anges ont toujours eux des liens tendus, et on peut le comprendre, mais ce que fait Aya n’est pas correcte car c’est une vengeance personnel. »
Qui avait-il de correcte de toute façon à s’amuser aux prie d’autre vies. Zéleph avait un profond respect pour la vie et ce qu’elle signifier et cela même si ses activités ne le démontré pas.
« Il est vrais que nous pourrions laisser les anges et les déchus a leurs chamaillerie, mais même sans si intéresser tôt ou tard nous seront impliquer. Les alliances de chaque peuple les uns avec les autres ressemblent à un jeu de domino géant. En poussant les anges les déchu feront tomber les autres pièces et cela arrivera jusqu’à nous. »
Il ne savait pas à quoi jouer Aya et il s’en fichait, il devait penser a son peuple en premier lieu, ne compter qu’eux à ses yeux, eux et son trône car il devait être honnête, il penser bien que dans ses plans Aya avait prévu qu’il tombe de son trône pour qu’elle y face grimper son fils, ce gamin qui devait a peine pouvoir regarder son doigts saigner ans tourné de l’œil.
« De plus Aya a un fils, Aiichiro, fils de l’ancien roi et ils croyaient qu’en aillant son sang son trône leurs est dû. Seulement la royauté chez les réprouvés ne marche pas ainsi, ce n’est pas par les liens du sang que l’on gagne la confiance d’un peuple. Je ne suis sûr de rien et pourtant je sens que tout a était penser pour détruire ce que nous avons, nous déstabiliser, détourné le peuple. »
Zéleph ce stoppa dans sa marche et ce tourna vers Maak, plongent son regard dans le sien avec le plus grand des sérieux.
« Il faut être prêt à toute éventualité. Pour cela j’aimerais que tu sois le chef de mes armés. Le sentinelle de la révolte. Il faut que j’aie une confiance aveugle en toi. Trop de choses vont arriver et j’ai bien peur de ce qui pourrait arriver. »
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Jeu 15 Nov 2012, 22:37

Une pointe d’irritation...

La politique ? Vague machination des hommes pour réussir à se contrôler les uns les autres, en tentant toujours de paraître le plus juste possible. Sans cette machination, le monde s’en porterait-il aussi mal qu’on pourrait le penser ? Il est fort à parier que oui ; celle-ci existant depuis la nuit des temps, comment pourrait-il en être autrement ? Mieux valait ne pas se poser la question, car les politiciens pourraient vous répondre que son existence même est indispensable, tandis que les autres, s’en moquerait bien, et déploreraient même qu’elle puisse exister. Alors la politique n’est-elle au finalement qu’une vague manigance orchestrait par les Hommes, ou bien d’une réelle importance ? Maak aurait probablement penché pour la seconde solution.

Certes, il écoutait ce que lui disait Zéleph avec attention, il ne voulait pas passer pour un idiot si par la suite, il aurait eu à débattre sur ce sujet avec ce dernier, mais cela l’ennuyait terriblement. Il comprenait à présent pourquoi il n’avait jamais été attiré par la politique et ses mécanismes : tout simplement parce qu’il ne comprendrait jamais les manœuvres des individus la pratiquant. Pour lui, il n’y avait nullement besoin d’aller chercher des ennuis à telles ou telles races, à partir du moment que tout le monde restait à sa place. L’idée que l’on puisse s’en prendre à un autre peuple lui échappait totalement ; il ne comprendrait jamais le besoin irrépressible qu’avaient certains chefs à attaquer des catégories de personnes en particulier.

Cependant, s’il fallait se battre, il le ferait. Il n’avait nullement l’intention de faire comme si de rien n’était tandis que les siens se feraient décimer aux quatre coins des terres du Yin et du Yang. Ce comportement, pouvant très clairement s’identifier comme de la lâcheté de la part du Réprouvé, s’il devait agir de cette façon, ne faisait absolument pas partie de son caractère et de ses habitudes. Pour lui, tous les lâches méritaient la potence, sans exception aucune, ce qui incluait tous les traîtres, et individus leur proche pour tenter de sauver leur vie. Que leur resterait-il après ? Il vivrait en pariât sans nul doute ; un sort qui leur serait encore trop indulgent puisqu’il aurait encore la vie.

« L’idée serait donc se s’associer avec les Anges durant les futurs temps de trouble qui nous attendent tous ? Une alliance qui en surprendrait probablement plus d’un étant donné que ces êtres soi-disant purs ne se sont jamais réellement gênés pour critiquer la nature des Réprouvés. Et combien même ils ne m’auraient pas fait ouvertement, l’idée leur a, à tous, traversé l’esprit que nous étions un peuple de parias ; fruits indésirables d’une relation impure, interdite. »

Aujourd’hui, Maak ne se voyait plus du tout comme étant une erreur de ses parents, mais plutôt une naissance miraculeuse, et il devait en être de même pour tous les Réprouvés. Si le destin avait voulu qu’ils voient le voir, c’était simplement pour accomplir de grande chose, pour accomplir leur destinée. Toutefois, lorsque le Réprouvé entendit le nom d’Aiichiro, il ne put s’empêcher de tiquer ; s’il s’agissait bien de la même personne à laquelle il pensait, l’hybride serait emprisonné comme dans un étau, mais il savait discerner le juste dans l’histoire, et il ne se ferait pas avoir si facilement.

« Aiichiro Misato c’est ça ? Eh bien, j’ai connu le père et je connais le fils. Astaroth’Milel n’aurait jamais pu être une personne que j’aurais fréquenté tous les jours ; son comportement était juste... Insupportable. Mais le gamin par contre... C’est une tout autre affaire... Je l’ai pris sous mon aile il y a très peu de temps de cela ; je l’ai toujours trouvé trop jeune pour monter sur le trône. À six ans, on n’a pas encore assez découvert le monde, combien même il possède une certaine maturité, il n’en aura jamais assez pour devenir chef à son âge. »

« Ne t’inquiète pas, le cela ne change rien à la promesse que je t’ai fait, et ce serait un honneur de devenir le chef des armées des Réprouvés. Même si je dois avouer que cela m’embête réellement pour le petit Aiichiro... Je suis certain qu’il doit y avoir un moyen de le raisonner, ou de trouver un arrangement ; ce gamin est loin d’être stupide, et il a réellement un bon fond, il doit bien avoir une solution pour faire quelque chose. »

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Jeu 15 Nov 2012, 23:57

Zéleph esquissa un sourire. Si tout était aussi simple. Maak ignorait beaucoup de choses et c’était normal car c’était à lui, le roi, de connaitre toute les pièces du puzzle. Tout cela avait tendance à lui donner la migraine. Il n’était pas fait pour la vie politique et il regretté souvent ne pas avoir changé d’avis le jour où il avait pris la couronne.
« Je ne m’inquiète pas Maak. Je n’ai pas peur des ambitions de cette enfants vis-à-vis de mon trône, j’ai peur pour lui. C’est un enfant qui a était élever par un père bien trop arrogant et sûr de lui. J’ai était le sentinelle d’Astaroth et comme toi je ne le supportait pas, mais je pense que son fils est bien plus intelligent que lui. »
Le roi soupira, si il savait comme tout cela était d’un compliqué et lui bouffer perpétuellement l’existence.
« Si je parlais moi-même au gamin je prendrais le risque d’attiré l’attention d’Aya, de plus cette enfant est entouré de personne puissante qu’ont beaucoup d’influence sur lui. Il n’est pas stupide, mais il reste un enfant innocent et naïf. Elever de puis son berceau dans l’idée qu’il serra roi un jour. »
Astaroth avait cru que le peuple des réprouvés vivrait une dynastie avec son règne, mais cela n’existait que dans les fantasmes des fous du pouvoir. Tout saint d’esprit devait rester humble face à la responsabilité que concerner un règne. Toutes ses vies entre les mains d’un même homme. Cette homme devait en être digne et s’en montrait digne avant de monter sur le trône. Un enfant, aussi intelligent qu’il soit ne pouvait être préparé par éducation, a géré les problèmes d’un peuple.
« Un homme en particulier veux qu’il prenne ma place. Il cherche à me détruire, il veut ma mort. Jun Taiji. Même si je ne comprends pas encore réellement pourquoi, il a pris l’enfant sous son aile comme toi, mais avec le désir qu’il vienne chercher sa couronne. »
Jun était un danger, car il créer des complots contre Zéleph et celui-ci n’était pas dupe, tout cela avait un rapport de près ou de loin avec Mitsuko. Tout cela le fatiguer. Elle ne lui apportait que des problèmes. Si elle avait pu le laisser respirer juste un instant cela aurait relevé du miracle.
« Ô crois moi je redoute chaque jour de voir Aiichiro frapper à ma porte et me réclamer le trône. Je n’ai jamais levé la main sur un enfant, mais si il en vient là je serais forcé de le combattre et nous savons tous les deux ce qui arrivera … Si je pouvais je le résonnerais, jamais je suppose que pour lui je ne suis qu’un usurpateur. »
Zéleph secoua la tête dans un soupire d’exaspération.
« Si il savait comme je me fiche de tout cela. Il suffirait qu’il est vingt ans de plus et qu’il me prouve qu’il en soit digne et je lui laisserais volontiers mon fardeau. »
C’était idiot et simple au fond. Zéleph était devenu roi sur un coup de tête et il ne voulait pas mourir en tant que tel, non il s’en fichait. Cela n’avait rien d’amusant d’être souverain, bien au contraire. Si Aiichiro était patient peut être qu’il lui donnerait ce qu’il voudrait, en attendant il ne pouvait rien faire de tel. Il était non seulement trop jeune, mais en plus leur peuple connaissait enfin une nouvelle aire et il avait bien l’intention de finir ce qu’il avait commencé, avant de quitter son poste.
« Si tu peux avoir une influence positive sur lui, alors fait le Maak. Pour son bien, c’est certain que c’est le mieux à faire. Qu’il ce libère de cette obsession et vive sa vie, au moins pour qu’il soit sur que ce soit vraiment ce qu’il désire. »
Il se souvenait encore de cette tête blonde, lors ce qu’il avait pris la couronne il l’avait amené a Masha pour qu’elle le rende a sa mère. L’éclair d’intelligence qu’il y avait dans le regard de cette enfant ne tromper personne et il trouver dommage qu’il soit si envieux d’un rôle si dur qui était celui de roi, a un âge où normalement sa seul préoccupation et de croquer le monde a pleine dent et de vivre tout simplement. Le roi soupira à nouveau. Tout cela était encore autre chose, pour le reste il devait surement s’en débrouiller seul.
« Pour ce qui est des anges, tu as raison ils ont étaient méprisant a notre condition. Je ne parle pas d’alliance en vers eux, mais je pense que depuis quelque temps ils ont montré de la bonne volonté en vers nous et qu’il est temps d’appaiser les tensions qui existes entre nos deux peuples. Si nous ne nous remettons jamais en question, alors nous ne pourrons jamais avancer et vivre en paix. »
Zéleph fit un petit sourire a son nouveau sentinelle. Parfois il n’avait pas l’impression d’être lui-même quand il jouer les « rois » sage, bienveillant et paternaliste en vers son peuple.
« La guerre n’a pas commencé et nous resterons en arrière, mais il faut si préparé et faire notre choix dès à présent. »
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Sam 05 Jan 2013, 19:40

La soif du pouvoir...

Assouvir le monde en leur soumettant des idéaux personnels. Dominer ces êtres insignifiants, incapables de se révolter face aux actes qu’on leur imposait ; petits insectes, les pas commandés par leurs prédateurs, talonnés jusqu’à leur mort par ces êtres venus leur enlever jusqu’à leurs dernières gouttes de vie. Diriger les ficelles dans l’ombre, ou bien en plein jour, ces marionnettistes de génie réussiront toujours à faire mouvoir leurs polichinelles de manière fine et astucieuse, selon leur bon vouloir. Les marionnettes désarticulées suivront alors leurs maîtres dans ce jeu endiablé, incapables de faire le moindre mouvement sans eux, impossible de penser sans eux, impossible de faire quoi que ce soit sans eux... Certains seront prêts à tuer pour assouvir cette soif grandissante, ou bien à endoctriner leurs enfants...

Le Réprouvé n’avait jamais eu cet instinct paternel qui lui dictait de veiller sur ses enfants jusqu’à la mort, puisqu’il n’avait fréquenté que très peu son unique fils, mais une chose restait cependant certaine : jamais il n’utiliserait quelqu’un à ses fins ; famille, amis, connaissances, il n’y avait absolument aucune distinction entre ces trois catégories de personnes. La mort, les guerres et l’horreur avaient toujours fait partie du quotidien de l’hybride pendant bon nombre d’année, mais jamais, aussi loin qu’il puisse s’en souvenir, il n’avait manipulé qui que ce soit pour une raison ou une autre, surtout pas pour le pouvoir. Voilà pourquoi l’attitude de la mère d’Aiichiro échappait totalement à Maak qui ne comprenait pas comment l’on pouvait condamner la chair de sa chair a un destin déjà tout tracé.

« Si l’enfant possède deux ronds de bon sens et qu’il ne suit pas les traces de son père, il préférera probablement écouter quelqu’un de son peuple, plutôt qu’une personne qui lui est extérieur. S’il n’a écouté jusqu’à présent, que la version des faits, que sa mère a bien voulu lui servir, il n’y a rien d’étonnant à ce qu’il te considère comme un adversaire. Je ne garantis pas qu’il veuille comprendre ce que je lui expliquerais, mais je ferais mon maximum ; peut-être qu’il continuera à te voir comme un usurpateur, mais j’espère au moins qu’il renoncera à ce rêve de devenir souverain. Pour le moment au moins. »

Les discours n’avaient jamais été la qualité première du Réprouvé, encore moins lorsqu’il s’agissait de convaincre qui que ce soit pour rejoindre son camp, puisqu’il haïssait la manipulation au plus haut point. Cependant, sa démarche ne viserait pas à ce que l’enfant rejoigne à tout prix son idée, bien loin de là, tout le monde possède son libre arbitre, mais juste à lui montrer la face caché des événements, l’envers du décor ; les plus intimes secrets de l’histoire à l’intérieur de l’histoire. C’était une façon un peu calculatrice de penser, mais si le gamin avait réussi à se faire influencer par ce Jun Taijin...

« Son âge, son jeune âge est peut-être notre seule chance de limiter les dégâts. Aiichiro possède peut-être une intelligence peu commune pour les enfants de son âge, mais à sept ans, la naïveté de la jeunesse est toujours là et le fait de changer d’opinion comme de chemise est aussi bien présent. Il faut juste savoir le faire avec doigté ; je ne suis pas un manipulateur, j’en suis même très loin, simplement, si j’ai la possibilité de façonner les idées du gamin de cette façon, je n’hésiterai pas à le faire. »

« Je pense que notre choix à propos de nos futures positions est déjà fait. »


L’hybride avait précisé « nous », il n’avait pas parlé pour sa seule personne, étant donné qu’à présent, il faisait entièrement partie des Réprouvés, et avait juré fidélité à son peuple. Dans ce genre de situation, il ne pouvait se permettre de parler pour lui tout seul, se lancer dans une bataille de cette envergure, seul, à corps perdu sans une aide extérieur était une cause perdue d’avance. Maak devait apprendre à faire partie d’une grande famille, si tant est que ce peuple pouvait en former une, évidemment. Toutefois, il n’était pas tout seul, puisque Vergil était à ses côtés, s’il pouvait considérer l’esprit démoniaque comme une aide, ce qui était très peu probable. Ce dernier était d’ailleurs en très mauvaise posture avec la Sentinelle, puisqu’il était tout simplement soumis à cette dernière, venant lécher l’herbe qui se trouvait sous lui. L’hybride ne put s’empêcher de rigoler quelques instants en voyant sa position.

« C’est ça ! Tu ne pourrais pas venir m’aider plutôt que t’éclater comme un idiot !

- Je ne voudrais surtout pas déranger le Grand Vergil pendant qu’il s’amuse voyons ! »

Maak secoua la tête quelques secondes en se disant que le Démon n’était pas aussi fort qu’il voulait bien vouloir le faire croire. Il reporta son attention sur Zéleph, qui se trouvait toujours en face de lui, reprenant son sérieux, il voulait en savoir plus sur le futur rôle qu’il devrait jouer dans cette guerre.

« J’aimerai avoir un peu plus de précision quant à la place que je devrais jouer à tes côtés ; tu m’as déjà expliqué le rôle d’une Sentinelle, mais quel sera mon rôle exacte auprès des Réprouvés ? Dans le poste que je devrais tenir. »

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Que de futilités... {Test passage niveau V; Zéleph}

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