nouveau départ

Des bruits de pas résonné dans le couloir d’une vieille maison à Stenfek. De l’autre coter de ce même corridor les pas ce faisaient plus précipité, urgent. Adam courait dans la direction de son patron, qui le regarder arriver avec un calme surprenant, sa démarche toujours assuré comme si il n’était pas surpris de voir le sorcier ici.

« Alors c’est vrais ? Tu es ici. » Questionna Adam.
« Comme tu vois » Répondit simplement le roi.
« Mais qu’est-ce que tu fais là ? » Il regarda ceux qui suivaient Zéleph. « Avec tes sentinelles ? »

Adam était perdu, Zéleph en mettait jamais les pieds dans cette cité et il n’avait pas vue ses sentinelles de puis qu’ils les avaient remplacé lors de sa prise de pouvoir. Alors où il se passer quelque chose de grave, où Zéleph était devenu assez désespéré pour s’intéresser réellement a sa race.

« Il est temps pour les réprouvées de s’émanciper. »

Le roi parla tout en continuant de marcher. Il n’avait pas le temps de discuter, il était presser. Adam, lui, ce stoppa et regarda le groupe de réprouvé passer devant lui. Cette fois c’était certain Zéleph avait perdu la raison. Avant qu’il en devienne roi il se ficher de son peuple, il n’y a pas un mois il avait encore dit aux sentinelles qu’ils devaient se débrouillaient seuls. Qu’est-ce qui c’était passer pour qu’il change d’avis et vienne à Stenfek pour les voir ? Cela n’avait aucun sens. Ce fut bien pour cela qu’Adam suivit le groupe. Il y avait quelque chose là-dedans qui était étrange, réellement étrange. Une fois à l’extérieur de l’immeuble il s’approcha du roi.

« Pourquoi il y a tant de gens rassemblé ici ? »

Devant le bâtiment, un nombre impressionnant de réprouvé étaient rassemblé. Des cheveux, des carrioles, des outils, des soldats. Là il y avait réellement quelque chose qui clocher, quelque chose d’important et Zéleph ne lui en avait même pas parlé, ce qu’il trouva très vexant. Le roi l’attrapa alors par le col de ses vêtements et l’éloigna de la foule alors que les sentinelles prenaient la direction des opérations. Le réprouvé plongea son regard dans celui du sorcier, plus sérieux que jamais.

« Adam, je vais faire du Bouton d’or une vrais mine d’or. Tu comprends ce que sa implique ? Je veux que les réprouvés gagne en puissance, qu’ils évoluent et arrête de subir le monde, mais le prenne par les reines et le chevauche fièrement. »

Le sorcier resta sans voix. Depuis toujours il c’était sentit proche de son ami car il était comme lui, indifférent au sort de son peuple, mais là il y avait dans les yeux du réprouvé une telle passion. Zéleph était bien plus impliquer et sensible aux destins de ses sujets qu’il n’aurait pu l’imaginer. Il acquiesça dons simplement. Zéleph en fut soulager, Adam lui serrait d’une grande aide car il n‘y avait pas que pour son peuple qu’il faisait cela, il le faisait pour quelque raison personnel également. Il prit un cheval et le monta. Il était temps d’y aller.

« Allons-y. »

Il prit le chemin de Bouton d’or en sortant de la cité des réprouvés. Tout le long du chemin ils croisèrent des réprouvés partit travailler, carriole et autres instrument montrant que Zéleph était partit en quête de grand travaux. Adam sui le suivait ne savait pas trop ce qu’il entreprenait de faire, mais il avait bien comprit qu’il aller planter son drapeau sur les plaines du bouton d’or. En effet Zéleph avait de grandes idées quant au futur de cet endroit. Un lieu qui aller devenir incontournable lors ce qu’on parlerait de leur peuple. Un territoire agricole, riche, qui participera à leur évolution. Ce serrait à la fois simple et impressionnant, rester encore a délimité les frontière et placer leurs marque pour que les autres races ne viennent pas planter leur nez dans leurs travaux, travaux qui n’avait rien de malveillant vue que ce n’était que du commerce, mais le commerce donner le pouvoir, Zéleph y avait bien réfléchit. Arriver à destination Zéleph pu constater que ses sentinelles avaient déjà commencé a sécurisé la zone. Les soldats étaient en place, ne rester lus cas entreprendre les installations. Adam s’approcha de lui.

« Qu’est-ce que tu comptes faire au juste ? »
« La terre du bouton d’or a était étudié. Elle est la plus fertile des terres du yin et du yang. Si elle nous appartient notre production de céréale serra doublé, voir triplé, par rapport à n’importe quel autre production. Assez pour nous et assez pour en vendre. »
« Tu veux lancer ton peuple dans le commerce ? »
« C’est la meilleur chose à faire. Cela nous donnera du pouvoir et de l’argent. Notre peuple serra fière de travailler ici, avec le temps nous auront une certaine renommer et les autres races seront forcer de nous attribuer de l’importance car nous seront leur plus grand fournisseur de vivre. »

Adam regarda son patron. Il avait déjà remarqué qu’il était très fort dans les affaires. Il avait créé le Circus de ses mains et aujourd’hui c’était un endroit incontournable de ces terres, qui faisait couler l’argent à flots et à sang. Le sorcier avait une confiance aveugle en Zéleph et il était fasciner par les plans qu’il venait de lui expliquer. C’est vrai, c’était le meilleur moyen de s’imposer face aux autres races. Sans guerre, sans tension, par l’alimentation. C’était même … brillant !

Le ciel était d’un bleu magnifique, le soleil était si brillant qu’il vous éblouissait avant même que vos yeux ne l’approche. Adam ce cacha le visage d’une main.

« Le temps est magnifique. »
« Le temps est toujours magnifique ici. » railla Zéleph.

Le roi descendit de sa monture, son acolyte en fit de même. L’herbe ici était d’un jaune flamboyant, tout paraissait sortir d’un compte pour enfant. Le réprouvé s’approcha d’un vieil homme qui tenait une fourche t avait l’air de l’attendre.

« Ah M’sieur Zéleph ça fait plaisir de vous voir. »
« A moi aussi Pablo. »

Le seigneur serra la main du paysan, ce foutant pas mal du faite que sa vieille main était couvert de crasse. Plus loin l’on pouvait voir que la terre avaient était retourné, de grands champs qui était en travaux. Des mules, des bœufs, des cheveux tiré des charrues et autres machines pour cultiver la terre. Le dit Pablo fit avancer le roi et son compagnon vers les champs retourner.

« Comme vous voyez ont a d’jà commencer les champs. Et les moulins son d’jà entrains d’être construit, comme vous l’avez d’mandez. »

Il montra ce qui était en effet les échafaudages d’un moulin, et c’est à ce moment que Zéleph et Adam ce rendirent compte qu’il y en avait un peu partout.

« Magnifique. » murmura le roi.

Adam acquiesça simplement. C’était vrais, il n‘avait jamais rien vue de pareille. C’était surement la zone a agricole la plus grande qu’il n’est jamais vue. Pablo posa sa main sur l’épaule du roi, comme un vieux père l’aurait fait, et comme il lut souriait de toute ces dents Zéleph ne lui demanda pas de la retirer. Peut-être que le plaisir de voir son œuvre ce construire l’obliger à être un peu plus aimable, qui sait ?

« Tout ça c’est grâce à vous M’sieur Zéleph. Aucun roi n’a offert pareille chose à ses sujets. On est très contant de participer a tout ça. »
« Et moi je suis heureux que vous aillez de quoi vivre par vos propres moyen à présent. »

Pablo sourit. Adam ce rendait compte à quel point Zéleph avait réfléchit a tout cela. Il ne le faisait pas pour lui, pas pour l’argent, le pouvoir ou la renommer, mais pour son peuple car ici avant même que cela n’enrichisse sa nation, ce sera pour les pauvres et il était connue que les réprouvés ne rouler pas sur l’or, loin de là même.

« Venez je vais vous montrer le village. »
« Le village ? »
« Oui j’ai fait en sorte que ceux qui travaille ici n’est pas besoin de rejoindre Stenfek tout le temps, et dormir dans un moulin, ce n’est pas ce qui est le plus agréable. »
« Depuis quand est tu si intelligent ? »

Zéleph frappa la tête d’Adam, plus amusé que vexer par sa question car son ami éclata d’un rire franc qui fit même sourire le vieux Pablo. Les deux amis suivèrent l’homme qui les amena en effet à ce qui sembla être le début d’un village. Aucune maison n’était encore debout, mais un nombre impressionnant de personne y travailler. Pablo leur fit traverser le village leur parlant des travaux, de ce qui aller être créer, les prochaines nouveautés, quand le roi ce figea sur un visage. Il le connaissait celui-là. Il ressembler même énormément au fils de Mitsuko.

« Neros ? »

Le jeune homme couvert de sueur, portant un sac de ciment ce retourna et sourit en voyant le roi. Il posa son sac et s’approcha, la bonne humeur faisant rayonner son visage. Adam ce pencha discrètement sur Zéleph.

« Tu connais ce gamin ? » murmura-t-il.
« C’est une vieille histoire. »

Adam ce recula alors que Neros arriver. Il se demandé si cela n’avait pas un rapport avec cette femme Blonde et cette histoire de domination. Le garçon lui disait vaguement quelque chose, mais après tout avec le monde qui passer au Circus cela rester relatif.

« Bonjour Monsieur Zéleph. »
« Appelle moi juste Zéleph tu veux ? » grimaça-t-il.
« Oh, d’accord. »
« Qu’est-ce que tu fais là au juste ? »
« Bah je suis venu a Stenfek histoire de visité et comme tout le monde parlait de cette installations, j’ai voulu participé. »

Le seigneur des deux rives regarda le jeune homme. C’était amusant, cette passion, cet entrain, quelque part il aurait bien voulu être comme lui. Tout avait l’air plus simple quand on est innocent. Neros l’était, cela transpiré chez lui.

« Tu es un garçon qui n’a pas peur de travailler, je m’en souviendrais. »

Neros courba l’échine montrant sa gratitude.

« Merci Zéleph. »

Le garçon savait ce que cela voulait dire. Zéleph serrait prêts à le faire travailler pour tout autre chose. Pablo ce manifesta alors reprenant l’attention du roi pour continuer à lui montré l’avancement des travaux. Ce fut Adam qui s’approcha de Neros et qui le prit pas les épaules comme l’aurait fait un vieille mai, ce qui surprit le réprouvé, mais en sentant la force dans cette étreinte il comprit que c’était également un rapport de force, comme pour le mettre en garde de quelque chose.

« Viens par là gamin, tu as gagné le droit de te reposer. »
« Excusez-moi mais, vous êtes qui ? »
« Adam, je suis Adam gamin. » ria-t-il.
« Neros M’sieur. »
« Enchanter Neros. »

Il lui serra la main tout en suivant le roi et Pablo. Neros ne savait pas très bien ce qui l’attendait, mais être entouré de tant de puissance et suivre le patron du Circus, un endroit où il aurait bien voulu travailler, c’était très excitant, bien autant qu’effrayant.

« Des pommes, des citrons, des oranges, … »
« On peut vraiment tout cultiver ici ? »
« Eh bien à part les plantes les plus exotiques et celles qui demande le plus d’attentions, oui nous pourront tout faire ici. »

Placer devant ce qui devait être une pépinière le jeune homme qui était avec eux leur montré gentiment ce qu’il aller faire ici. Très proche des plantes il avait étudié la nature avec les elfes. Il n’y avait pas mieux d’après Zéleph que le savoir des elfes sur ce sujet. C’était douloureux à admettre, mais il se souvenait encore de l’amour d’Aaron pour les plantes.

« Venez. Nous avons planté un arbre mature il y a une semaine pour voir à quel rythme la terre nourrit les plantes, et regardez, il a déjà fleurie, il y a même des fruits. »

L’homme prit une pomme et la montra au roi qui la prit.

« Elles ne sont pas encore mures, mais cela montre à quel point cette endroit est propice a la culture de fruit et de légume. »
« Parfait. »

Zéleph lança la pomme a Neros qui la rattrapa de justesse surprit. Adam sourit en suivant le roi qui continuer son inspection des lieux. Neros quand à lui regarda la pomme puis la rendit a son propriétaire dans un sourire gêner avant de suivre les deux hommes. Il ne savait pas trop pourquoi il était entré dans cette histoire mais maintenant qu’il y était…

« Dit moi mon vieux, tu comptes faire quoi comme genre d’agriculture au juste ? »

C’était une bonne question. Jusque-là Neros avait vue des moulins, ce qui impliquer des céréales, il avait aussi vue cette pépinière et là ils arriver sur ce qui ressembler à un potager.

« Toute. »

Ce qui choqua le plus le jeune homme ce fut l’assurance avec la quel Zéleph dit ce simple mot, comme si c’était une évidence obsolète, alors qu’en réalité ce serait un exploit que d’avoir une main sur toute les agricultures qui soit.

« Tu veux dire que tu vas également faire de l’élevage ? »
« Exactement. »

Adam acquiesça, assez impressionner par les intentions de son ami. Zéleph entra dans le potager, délimité par des barrières bien gardé par des enfants qui les peignait. Tout le monde mettait la main à la patte, c’était agréable à voir pour le roi. Pendant que Zéleph prenait des nouvelles de l’avancement pour l’installation des légumes Adam observa Neros.

« C’est marrant que Zéleph s’intéresse à toi et j’ai le vague souvenir de t’avoir vue et pourtant je en men souvient pas.»
« Je suis le fils d’une vieille amie. »
« Oh, Mitsuko, bien sûr. »

Cette fois c’était réellement évidant.

« Pourquoi vous dite ça ? »
« Eh bien il y a deux solution pour que Zéleph s’intéresse à quelqu’un. La première c’est que cela serrait lucratif, la deuxième est que la personne en question n’a pas froid aux yeux. »
« Et vous penser que c’est le premier c’est ça ? Il trouve un intérêt à me connaitre puisque j’ai un lien avec sa déesse. »
« Je penche plus pour la seconde. »

Neros resta interdit ne comprenant pas.

« Cela n’aurait rien à voir avec ma mère ? »

Adam sourit en lui tapant gentiment l’épaule.

« Tu lui plait, cela ne s’explique pas. »

Le sorcier partit rejoindre le roi laissant un Neros déboussoler. Ce serrait son audace qui ferait de lui une personne intéressante aux yeux du seigneur des deux rives ? Il supposer qu’il devait simplement prendre ça pour un compliment et ne pas expliquer cette argument comme le disait Adam. Les deux compères ressortir du potager pour s’approcher de lui. Neros ne sut lire l’expression de Zéleph, il était si… fermer.

« Cela s’annonce plutôt bien. »

« Tu comptes faire du raisin ? »
« Je te vois venir, mais non nous ne produirons pas de vin. »
« Est-tu devenu fou ? Le vin c’est cher, c’est bon et avec le temps et la terrer que tu as ici imagine les cuvés que tu pourrais faire ! »

Neros qui était derrière Adam acquiesça vivement pensant que le sorcier avait raison. Zéleph ce stoppa pour ce tourna vers eu. Il était d’un étrange calme et lors ce qu’il s’adressa à eux il avait l’air d’un père résonnants es enfants avec bienveillance.

« Le blé est six fois moins cher que le vin c'est vrais, mais le vin ne nourrit pas les peuples et ne pousse pas vite. Je ne fais pas cela que pour enrichir notre race, je le fait aussi pour les nourrir. »

C’était une logique implacable et ni Adam ni Neros n’avait à redire sur cette évidence.

« Peut-être que quand nous auront plus de richesses et de renommer je penserais à installer des vignes, pour le moment ce n’est pas mon objectif principal. »

Le souverain ce remit en marche signalant que la discussion était close, mais Adam lui se pencha sur Neros avec un sourire.

« Je pense quand même qu’un peu de vin ne lui aurait pas fait de mal. »

Il imita l’air sérieux de Zéleph le caricaturant à merveille ce qui amusa beaucoup le jeune homme a ses côtés.

« Je te vois Adam. »

Celui-ci ce stoppa prit sur le faite avant de rire et de rattraper Zéleph pour le prendre par les épaules.

« Dit moi mon vieux, tu as bien organisé tout ça, mais si tu peux tout faire pousser et que tu ne le fait pas, à quoi cela sert ? »
« Adam, si je fais en sorte que l’on cultive tout il n’y aura que de petites quantité et beaucoup trop de travaille. SI au contraire je me concentre sur le plus simple cela rapportera beaucoup plus en termes de qualité. »
« Tu as vraiment tout prévus. »
« C'est le cas. »
« Et alors sur quoi tu vas te concentrer ? »
« Essentiellement le blé, les céréales, c’est le plus simple. La moitié de la production y sera consacré, c’est également ce qui prend le plus de place. Avec le blé nous produiront de la farine, du pain, des pattes, des gâteaux, les plus pauvres d’entre nous auront alors de quoi manger en échange de presque rien. »
« Tu vas donc également créer des usines ? »
« C’est le mieux à faire, avec tout ce que nous produirons il y en aura assez pour vendre le produit brute et les travailler. »

Adam était impressionner, c’était comme si il redécouvrait son ami. Il savait qu’il était très fort dans ce genre de domaine, mais il n’avait pas était là lors ce qu’il avait préparé le Circus, aujourd’hui il comprenait a quoi cela ressembler. Il avait dû travailler jour et nuit à cela, analysé toute les possibilités, les problèmes avec les autres races, les habitant de Bouton d’or, la terre, la pluie, tout, absolument tout et le résultat avait l’air de fonctionner.

« Le reste de la production ce serra ? »
« Des fruits, des légumes, de la viande. »
« Et là encore tu ne peux pas tout faire. »
« Pour les fruits ce serrait trois variété. Des oranges, des pommes et des poires. Le plus simple à produire, qui demande le moins d’attention et qui peut se produire en grande quantité. Pour les légumes, des pommes de terre, des carottes, bref même principe. »
« Et pour l’élevage, tu comptes faire venir des vaches ? »
« Non j’ai beaucoup mieux. »

Zéleph les amena a un enclos, à l’intérieur il y avait des animaux, des animaux que Neros n’avait jamais vu. Certain était énorme d’autre plus petit. L’une de ces races ressembler à des cerfs, seulement ils étaient blanc et leur bois était fleurit, comme si c’était des arbustes. Les autres bêtes ressemblées à un croisement de buffles et de chevaux. Il portait de longue corne noire, leur robe était blanche et marron. Ils étaient impressionnants, puissant et très grand, faisant une tête de plus qu’eux.

« Des cerfeuils et des bicornes ? »
« Et oui. »

Adam n’en revenait pas, Neros quand à lui découvrait ces deux races avec émerveillement, et Zéleph portait sur sin visage un sourire fière. Le sorcier ce tourna vers le roi. Il y croyait à peine.

« Où tu les as eu ces deux races son extrêmement rares, voir éteinte, ça a du te couter les yeux de la tête ! »
« En effet ça n’a pas était donner. Je les ais acheter a un éleveur qui les préservait, je lui ait promit de repeuplé les terres si il me les vendait et voilas. »
« Mais il y en a au moins une dizaines. »
« Oui, je n’ai pas attendu que l’on s’installe ici pour les faire ce reproduire. »

Neros était rentré dans l’enclos sans aucune permission et il caressa l’un des bicornes, très docile l’animal ce laissa faire continuant de brouter comme si de rien n’était.

« Magnifique » souffla le jeune garçon.

Adam n’en revenait pas. Zéleph avait réussi à trouver les deux espèces les plus rentables qui soient, non seulement par leur rareté, mais également pour leurs viandes délicieuses et le lait des bicornes aux grandes propriétés médicinales, sur tout pour les enfants.

« Je n’en reviens pas. »

Zéleph sourit. Il avait obtenu l’exclusivité de ces races. Elles lui avaient couté très cher et aller avoir besoin de beaucoup d’attentions, Mais cela en valait le coup. Les bois des cerfeuils valaient une petite fortune, servent pour les potions, la médecine ou simplement de décoration.

« Ce sera parfait. »
« Tu n’as pas peur d’avoir des problèmes avec les naturalistes ? »
« Je sauvegarde cette races, en échanges cela nous fera gagner de l’argents et les gens pourront a nouveau jouir de ces viandes et de tous les autres atouts de ces bêtes. Qui viendrait ce plaindre ? En plus elles seront bien traitées, comme des reines. »

Oui elles pourraient jouir de la meilleure herbe qui soit, d’un foin parfumé et d’un grand terrain pour se défouler, de plus elles ne seront tuées qu’arriver à maturité, hors de question de tuer des bêtes trop jeunes qui peuvent se reproduire. Une vie paisible au soleil, il en aurait bien demander autant.

« Neros ? »
« Oui, Monsieur ? »
« Qu’est-ce que tu as fait de ta chemise ? »

Le réprouvé regarda son roi els yeux rond, avant de regarder son torse. Il jura pour lui-même puis ce passa une main dans sa chevelure blanche embarrasser. Zéleph secoua la tête amusé et passa derrière le jeune réprouvé accompagner de son sorcier personnel qui se pencha sur le jeune garçon.

« Tu fais dans la prestidigitation ? »
« Je… non… »

Adam laissa le garçon ce justifier tout seul rejoignant son patron. Zéleph devait encore réglés beaucoup de chose et notamment en ce qui concerner ces animaux. Il s’approcha de ceux qui s’en occuper pour le moment.

« Ils se portent bien.»
« Nous faisons tout pour Monsieur, mais vous savez ce n’est pas notre travaille, de plus ce sont des animaux très capricieux, il leur faut quelqu’un qu’ils apprécient et nous… ce n’est pas le cas. »
« Je vais donc devoir trouver des personnes plus qualifié que vous ? »
« Nous ne dirions pas cela comme ça, mais oui, ce serait mieux pour tout le monde. »
« Dans ce cas je ne vous payerait que la moitié de ce qui était prévu. »
« Quoi ? Non, non on avait convenu autre chose ! »

Le réprouvé s’approcha de l’homme, le visage fermé, ses yeux sombres menacent l’être en face de lui qui avala difficilement.

« Vous avez quelque chose à dire ? »
« Je… si… enfin, si vous ne trouvez pas mieux … on travaillera toujours avec plaisir pour vous M’sieur Zéleph. »
« Bien. »

Adam tapa l’épaule du réprouvé qui se tourna vers lui.

« Je crois que j’ai trouvé mieux. »

Il montra Neros. Zéleph l’observa. Il avait l’air très doué avec les bêtes. Le gros bicorne qu’il avait approché c’était mis à manger dans sa main. Le gros animal avait l’air très docile avec le gamin, alors qu’ils étaient réputés pour leur caractère infect. Le plus amusant fut de voir un cerfeuil s’approcher à son tour, comme pour demander lui aussi de la bonne herbe, surement jaloux que l’on en donne à un autre que lui.

« Qu’est-ce que tu en dit ? »
« J’en dit que c’est une bonne idée. »

Zéleph s’approcha du garçon.

« Dit moi Neros, tu voulais travailler pour moi n’est-ce pas ? »

Le jeune homme se tourna vers son roi surprit.

« Oui, c’est la cas. »
« Cela te dirait de travailler avec ces animaux ? »
« Co… comment ça ? »
« Je t’offre toute ces bêtes. Tu seras responsable du ranch. Enfaite je te le donne. »

Neros resta sans voix devant le sérieux de la situation. Il aurait bien voulu rire mais il voyait bien que Zéleph était réellement prêts à tout lui donner. Il avait assez confiance en lui pour ça ?

« Pour… pourquoi ? »
« Ne pose pas de question. »
« Je … Bien d’accord. »

Le seigneur des deux rives sourit, puis sortit de l’enclos. Neros avait l’air d’attendre qu’on lui dise quo faire alors en passant Adam s’arrêta.

« Prend ça comme un test. Prouve lui que tu es digne de sa confiance, et crois-moi cela ne s’arrêtera pas à un simple élevage. »

Le sorcier reprit sa route suivant son patron, laissant la un jeune homme qui était à la fois perdu, angoisser et fière. Tant de sentiment diffèrent, trop de sentiments diffèrent. Il aller devoir s’occuper de terres qu’il ne connaissait pas et il avait peur que son travail ne s’arrête pas là. Il avait compris en parlant avec les autres que Zéleph n’était pas l’homme le plus clair et le plus propre dans ses agissements. Les réprouvés le craignent autant qu’il l’admirait et lui avait ce même sentiment. Qu’est-ce qui l’attendait au juste ?

« Tu es sur de ce que tu fais ? »
« Tu parles de sa mère. »
« Oui, on ne connait pas l’étendue de son influence. »
« Ne tant fait pas pour ça. Si elle vient ce plaindre, je la recevrais personnellement, après tout c’est elle qui me la amener, si il doit se salir les mains, ce serra de sa faute. »

Adam acquiesça simplement, suivant son patron avec un sourire. Il ne savait pas toujours ce que Zéleph trafiquer, mais il obéissait quoi qu’il arrive.

« Majesté ? »
« Hum ? »
« Nous avons un problème. »

Zéleph leva les yeux vers le sentinelle. Il avait l’air très sérieux et il le suivit sans plus d’explication suivit d’Adam qui était soudainement devenu son ombre. A l’entrée du village en construction, un groupe de personne criait, des armes entre les mains, un slogan qui ressembler à des menaces sur sa propre vie et celle de son peuple.

« Beaucoup des ouvriers commence à en avoir marre, si on ne règle pas le problème cela pourrait finir mal. »
« Je vois. »

Encore quelque chose qu’il devait régler lui-même. Il s’avança vers le groupe hostile aux travaux de son peuple. A ce qu’il comprenait entre les insultes et les cries incompréhensible, ils étaient contre le faite que les réprouvés plante leur drapeau sur ces terres.

« Dégager d’ici sale poulet, ce n’est pas chez vous ici. »
« Que de politesse. Vous êtes qui Monsieur ? »
« Et vous vous êtes qui ! »
« Le roi du peuple des poulets. »

Il importait peut à Zéleph que l’on insulte sa race en ce jour. Il devait éviter d’attiré l’attention des autres races et de toute façon ce n’était pas un type mal fagoter qui aller réussir à lui faire mal.

« Zéleph alors, c’est ça ? Tsss. Aller donc jouer au caïd ailleurs, Bouton d’or est déjà habiter ! »
« Habiter par qui ? »
« Par nous ! »
« Non, je veux dire par quel race ?»
« Eh bien, des sorciers, des elfes, des orishas, même des humains. »
« Mais ces terres sont libres n’est-ce pas ? »
« Oui, mais cela ne vous donne pas le droit de construire quoi que ce soit ici ! »
« Concrètement ? Si. »

Zéleph ce détourna de l’homme rouge de rage de c’être fait envoyer balader de cette façon. Le roi s’éloigna, mais cet homme ne parut pas d’accord avec le point de vue du réprouvé. Il fonça sur le roi muni pour seul arme de sa fourche. Le pauvre n’arriva jamais à toucher le roi, un sentinelle l’ayant intercepté. Plaquer au sol il cria son mécontentement et sa douleur car Yang Fang n’était pas la plus délicates des femmes. Zéleph se tourna vers lui.

« Quelque chose a ajouté ? »
« Vous n’êtes qu’un lâche cacher derrière ses soufifres. Ah vous parler d’un grand roi, d’un homme terrifiant. Vous n’êtes même pas à la hauteur de votre réputation. »

Yang Fang rit, cette femme était folle ce n’était pas nouveau, mais quand elle se pencha sur l’oreille de l’homme pour lui dire de ce méfier Zéleph n’aurait pu faire mieux.

« Lâche le Yang, si il veut se battre soit. Je ne refuse jamais un duel. »

Elle se leva, libérant l’homme qui en fit de même furieux. Le seigneur des deux rives retira de sa taille ses trois sabre, puis donna une à une ses armes a Adam, finissant par retrouver les manches de sa chemise. Une jeune femme courra vers celui qui c’était lancer dans un combat qu’il ne gagnerait que par un miracle.

« Jackie ! Ne fait pas ça, il va te tuer ! »
« Je serais mort sur la terre de mes ancêtre, et cela prouvera que ce n’est pas un homme, c’est un monstre près à écraser tous ceux qui se mette sur son chemin. Après Bouton d’or où s’arrêtera-t-il ? Il fera couler le sang ici pour avoir ce qu’il veut, et étendra son empire sur ces terres. »
« Jackie, s’il te plait ! »

Zéleph fit signe pour que l’ont écarte cette jeune femme. Ce serait idiot de blesser une innocente, de plus il commencer à y avoir un publique au quel le roi ne c’était pas attendu. Il était dans sont droit de le tuer, après tout il l’avait provoqué.

« Vous êtes sûr que c’est ce que vous voulez ? »
« Bien sûr que j’en suis sûr, je n’ai pas peur de vous ! »

Le réprouvé soupira. C’était idiot de gâcher une vie pour si peu de chose, vraiment idiot. L’homme inconnu s’élança sur le roi. C’était si prévisible. Zéleph évita la fourche, lui arracha des mains, donnant un coup de pied dans le dos de l’homme qui tomba, puis la brisa d’une main. Tapant le sol d’une main furieuse, l’homme se leva et chercha à le frapper de ses poings. Il ne fallut pas quelques secondes avant que cela n’amuse plu du tout le roi, qui lui attrapa le poignet et le lui tordit, faisant souffrir atrocement son propriétaire qui tomba à genoux.

« Jackie ! »

La femme fut retenue, mais Zéleph réalisa qu’il ne pouvait pas tuer ce Jackie. Cela n’en valait vraiment pas la peine, de plus il avait une femme, peut-être des enfants. Il lui lâcha alors le poignet.

« Vous êtes humains non ? »

Jackie ce massa son bras douloureux, presque briser.

« Et alors ? »
« Et alors pour un être d’une race qui ce fait piétiner chaque jour et qui s’en plein, je vous trouve bien culotté de venir en insulté une autre. Vous jouez les martyres et voulait mourir en tant que tel ? Bien, mais je ne serais pas l’arme de votre suicide. »

Le roi ce détourna une nouvelle fois de l’homme a terre. Adam lui rapporta ses affaires, et alors qu’il se rhabiller Jackie attrapa sa fourche casser et dans un dernière élan de haine il se leva puis courra vers le réprouvé, lui plantant le fourche dans le dos sans que personne n’est eu le temps de réagir. Zéleph étouffa un cri de douleur en retirant l’outil de son dos. Du sang, beaucoup de sang ce mit à couler, et cette fois la colère ce mêla au reste. Jackie était déjà à terre, contrôler par des gardes mais aussi des ouvriers prêts à en découdre avec ce lâche qui attaquer leur roi dans le dos.

« Lâchez le. »
« Mais Majesté. »
« Lâchez le ! »

Le ton qu’avait employait Zéleph fit obéir ses gardes sans attendre. Il s’approcha lui-même de l’humain et le prit par le cou l’obligent à ce levait. Il était prêt à le tuer cette fois, il avait osé l’attaquer.

« Sir Zéleph ? Veuillez lâcher Jackie s’il vous plait. »

Le réprouvé ce retourna vers un vieille homme au crâne chauve et au visage ridés. Il le reconnue et lâcha cette abrutie de Jackie.

« Maitre Tang, je suis désolé. »
« Je le sais mon ami, personne ne vous en veux. C’est la colère de Jackie qui est coupable. »

La façon dont Zéleph s‘inclina devant ce veille homme qui ressembler étrangement a un moine, Adam ce dit qu’il devait réellement le respecter, pourtant cette homme lui était totalement étranger, mais l’avait-il appelé maitre ? De plus il était surprit de voir que ce Maitre Tang avait réussi à calmer la colère de son ami, lui qui avait tendance à faire deux pas en arrière quand le réprouvé avait des envies de sang, c’était impressionnant.

« Pouvons-nous parlez en priver ? »
« Bien sur maitre. »

Zéleph montra le chemin à prendre, en direction d’un coin calme. Le maitre prit le chemin de la futur taverne et le roi ce retourna vers Adam.

« Occupe-toi de ces révolutionnaires, mais ne leur fait pas de mal. »
« Très bien patron, et pour ton dos ? »
« Ne t’inquiète pas pour ça. »

Adam acquiesça simplement. Il avait oublié que Zéleph pouvait se soigner seul, de plus l’humain n’avait pas eu assez de force pour le blesser gravement. Avec un poignet fouler c’était difficile de faire mal à un souverain. Le sorcier regarda le réprouvé suivre le vieil homme puis il alla gérer le « problème » du moment. Zéleph entra à la suite du maitre dans ce qui ressembler déjà à une auberge. L’homme s’assit sur un simple tapis, a même le sol, Zéleph en fit de même face à lui.

« Je m’excuse. J’aurais dû mieux canaliser le mécontentement des habitants de bouton d’or. »
« Ce n’est rien Maitre, après tout, nous n’avons pas encore parlé des conditions de notre venu ici. »
« J’espère que votre promesse tien toujours. »
« J’ai juré sur mon honneur. »
« Il est si rare de nos jours de voir des hommes encore sensible à l’honneur et la discrétion. »

On apporta un plateau avec du thé fraichement fait. Zéleph servit le maitre avant d’en prendre à son tour.

« Toute personne ayant eu un domicile ici avant notre venu aura le droit de rester et de préserver ses terres, ainsi que le plaisir de jouir de la vie du village. »
« Je suis soulagé. »
« Vous n’aurez également pas à payer la taxe d’habitation, et les impôts. »
« En échange nous vous donneront une entière collaboration et n’interfèreront pas dans vos travaux. »
« Bien. J’espère que l’incident de tout à l’heure n’aura pas… »
« Non, non je vous en prit. Jackie a eu quelque soucie cette année, j’aurais dû le contrôler. »

Zéleph acquiesça, soulager de ne pas avoir de problème avec les autochtones. Il aurait pu faire des problèmes avec d’autres souverains si ils c’étaient plein d’une façon ou d’une autre à leur peuples. Il éviter de devoir se déplacer et aller expliquer les raisons pour les quel il voulait Bouton d’or. Si cela devait s’ébruité trop rapidement avant même qu’il commence, cela serrait inquiétant pour les affaires.

« A présent que nous somme seuls, voulez-vous me parler de vos plans plus ne profondeur ? »
« Je vais faire de votre pays un endroit hors du commun et incontournable sur ces terres. »

Le Maitre sourit en posant sa tasse sur la table basse devant lui, laissant le roi le resservir.

« Je sais à quel point vous êtes bon dans ce genre d’affaire. Je n’aurais pourtant jamais pensé que vous soyez prés à exercer votre art pour votre peuple. »
« Un jour, un homme sage m’a dit que fuir son passer ou l’affronter ne servait à rien, las vrais solution et de l’accepter. »
« Cette homme était sage, en effet. » sourit le maitre.
« J’ai beaucoup appris grâce à cela. »
« Suis-je l’auteur d’un changement de vie ? »

Zéleph esquissa un sourire. Le Maitre Tang avait était d’une grande aide autre fois pour lui. Il lui avait beaucoup apprit, mais ce n’était pas par un simple conseil que le roi aller avoir une soudaine révélation et changer toute sa vie.

« Je n’irais pas jusque-là, mais d’un élargissement de plan de carrière surement. »
« J’en suis satisfait. Votre générosité serra toujours un atout. »
« Je ne sais pas Maitre. »
« Ne douté pas. Lors ce que l’on donne on reçoit toujours en retour, d’une façon ou d’une autre cela vous sera bénéfique. »

Le souverain resté incertain sur ce point. Il avait beau avoir donné, on avait toujours fait plus que lui prendre, que de lui donner en retour, mais il comprenait ce que le Maitre voulait dire. Il ne parler pas que de don matériel, il parlait de soi, de l’âme, de l’esprit. Tout était une question de soi, Maitre Tang était un homme qui avait beaucoup de fois en la force intérieur et si il apprécier Zéleph c’était par ce qu’il voyait en lui un être capable d’affronter un ouragan. Pour sa part le roi se demander si tout était juste dans cette histoire. Peut-être avait-il plus prit que donner, était-ce pour cela qu’il souffrait perpétuellement. Seulement, il n’était pas prêt à faire un don de soi pour ce faire pardonner et inverser le sort. Il avait choisi cette vie, bonne ou mauvaise, il n’y avait pas à y réfléchir, il faisait ce qu’il croyait juste, ce qui était bon pour lui et pour les autres, point final.

« D’où vous viens cette idée de créer de l’agriculture ici, au milieu de nulle part, ou plu personne ne viens. »
« Justement. C’est un endroit oublié et pourtant si riche. Je trouvais cela dommage de ne pas exploiter un si bel endroit. J’ai donc demandé à ce qu’on étudie les atouts que proposer ce paysage. Lors ce qu’on m’en a rapporté les louange, cela met apparut comme une évidence. Si près de Stenfek. C’est l’endroit idéal. »

Le maitre acquiesça analysant chaque mot du roi. Il comprenait ses intentions, ses bonnes intentions en vers son peuple et il était heureux de savoir que quelqu’un aller s’occuper de ces lieux. Il rester pourtant une chose à savoir pour le vieil homme.

« Je sais qu’il n’y a pas que l’intérêt de votre peuple dans cela, mais également de ta communauté. »

Zéleph comprit où Tang voulait en venir et il se contenta de sourire, restant très évasif sur le sujet aborder.

« Dison que ce serra gagnant-gagnant. »
« Vous savez tirer parti du plus petit atout. »
« C’est un art. »
« Je suis impressionner, mais je ne veux pas savoir de quoi il en retourne. Je suis sûr que vous savez ce que vous faite, et de toute façon mon devoir est terminer. »
« Vous avez raison. »

Maitre Tang savait qu’il devait rester loin des agissements secrets de Zéleph, tout comme les gens qu’ils protéger. Il se leva, suivit du roi qui le raccompagna de hors.

« Sachez que ces terres seront dorénavant protégé par notre armé, il ne vous arrivera rien. »
« Je sais, et je vous en remercie. »

Le maitre s’inclina montrant son rester au souverain qui en fit de même avant de le laisser partir rejoindre le groupe de révolutionnaire en herbe, heureusement calmer.

« Alors ? »
« Alors nous n’aurons plu de problème avec le autochtones. »
« C’était qui ce type ? Un gourou ? »
« Un Maitre. »
« Mais un Maitre de quoi ? »
« Juste un Maitre. »

Adam fixa Zéleph étrangement. Pourquoi il ne voulait pas lui dire ? ca aller le creuser toute la journé ! Quand il vit le sourire sur le visage du roi il comprit que ce n’était que pour l’agacer et il leva les yeux au ciel, le trouvant très puérile sur ce coup là. Le réprouvé s’avança vers ce qui devait être la futur place du village.

« Qu’est-ce qu’on fait à présent ? »
« Nous vérifions que les travaux avances. »

Et c’était le cas. Les personnes travaillant a ce projet n’arrêter pas et le faisait dans une bon humeur qui soulagea Zéleph. Si les ouvriers étaient heureux les travaux ne pouvait qu’être réussit et le futur travail furtif. Des gens fières de ce qu’ils font le font toujours mieux que d’une autre façon, c’était certain. La place était en paver, simple, déjà placé. Une fontaine ce trouver au centre, elle était entrain de ce faire monter et Zéleph était heureux d’avoir des hommes assez qualifier pour faire ça seuls. Autour de la place, des maisons, futures magasin et autre épiceries, et au centre la taverne dans la quel il c’était entretenue avec le Maitre. Lors ce que le marcher prendrait place ici, le long des rues, ce village prendrait vie et ce serait parfait, vraiment parfait, comme un mini Stenfek, remplit des meilleurs produit de la région. Il était heureux de ce qui aller arriver. Il ne toucher pas le bonheur, mais était satisfait de savoir que ces plans étaient fin prêts pour fonctionner. Tout irait bin pour les gens qui habiterait ici. Il voulait créer un monde prospère, loin d’être parfait car rien ne l’était jamais ou du moins cela ne durait pas longtemps et un monde parfaits errait d‘un ennui atroce, mais si il pouvait aider à créer quelque chose, alors il s’en sentirait fière et oublier pour un temps ce qu’il était réellement.

« Tu as bien calculé ton coup. »
« Oh, ça ce n’est pas mon idée, ce sont mes conseiller qui ont tout mis en marche, moi je n’ai que soumit l’idée de venir s’installer ici et de faire de l’agriculture, pour la construction je ne n’y suis pour rien. »
« Ils sont sacrément douer. Tu sais ce que tu devrais faire ? »
« Non, mais je crains le pire. »
« Te faire faire une statue à ton effigie ! »
« Tu es fou. »
« Non en tant que fondateur, tu peux avoir ta part de gloire et rentré dans l’histoire. »
« N’importe quoi. Je ne suis pas mégalo. »

Adam rit en prenant son ami par le bras et le tournant vers le centre de la place ou la fontaine ce faisaient toujours construire, mais un nouvel élément faisait partit du décor.

« Trop tard mon vieux, on ta déjà tiré le portrait. »

Zéleph n’e revenait pas. Il y avait une statue de lui, là en haut de la fontaine. Il s’en approcha, ne sachant pas comment le prendre. Il était plutôt bien fait, dans ses vêtements les plus beau, avec son manteau d’amiral sur les épaules, celui qu’il apprécier tant et que Mitsuko avait encore en sa possession. Il avait également ses ailes, surement pour marquer son appartenance a sa race, ce qui ne se voyait pas quand on le croiser sans.

« Elle vous plait Majesté ? »

Zéleph baissa les yeux sur un ouvrier fier de son œuvre d’art.

« Mais qui vous a dit oui pour ça ? »
« Nous pensions vous faire un cadeau, après tout, c’est votre argent et votre idée. Sans vous nous ne pourrions espérer grandir. »

Le seigneur des deux rives était un peu désorienté. Il ne penser pas que ce soit possible, que son peuple lui en soit reconnaissant au point de voir sa tête tous les jours.

« Si c’est un cadeau. »

Il était bien obligé d’accepter, même si l’idée ne lui plaisait pas, au moins ce n’était pas son idée, on ne pourrait pas dire de lui qu’il était mégalo. Adam arriva en riant.

« Et ce qui est bien c’est que pour les gens qui ne te connaisse pas, il y a un petit écriteau là. »

Il montra une plaque en or, à peine discrète où il était marqué « Sa majesté Zéleph. Seigneur des deux rive, roi craint et respecter. Fondateur de notre village. » Il soupira. Cette fois il était belle et bien fiché.

« Tu as vue tu es devenu une célébrité. »

Adam était plus joyeux que jamais de voir son camarade grommeler dans sa chope de bière.

« Ho arrête de te plaindre ! Ça devrait te faire plaisir que ton peuple soit reconnaissant. »
« Je le suis, mais je ne le mérite pas et puis … c’est tellement pas moi. Une statue ! Elle fait trois mètre en plus ! »
« Sans compter les deux mètre de la fontaine, personne ne pourra te raté. »

Zéleph grogna à nouveau vidant sa chope d’une traite cette fois avant de se faire resservir par le barman. La taverne n’avait pas encore ouverte, mais le tavernier commencer déjà son travaille à l’extérieur pour soulager les ouvrier fatiguer qui avaient besoin d‘une pose. Au moins cette installation se faisait de façon simple et bonne enfant, Adam n’avait pas envie de partir.

« Arrête de rallé deux minutes tu veux ? On dirait un gamin, et puis moi je trouve que c’est la moindre des choses que d’être fière de ce que tu réalises. »
« Je le suis. »
« Alors arrête ! »
« Mais une statue ! »
« Tu ne t’en remettras pas n’est-ce pas. Je sais que tu n’aimes pas être au-devant de la scène, mais ce n’est pas comme si ils avaient fait ça pour te mettre mal à l’aise, au contraire je trouve qu’une statue c’est très honorable. Et puis tu es pas mal du tout. Avec ça tu feras un malheur avec ces dames. »
« Oh oui je vais être ravie de dire : Hey poupée tu sait quoi ? J’ai une statue à mon effigie, ça te dit un rendez-vous ? »
« Quoi ? Tu prends des rendez-vous toi ? Je penser que tu n’en avais pas besoin. »
« Tu te trouves drôle ? »
« Je penser seulement que le grand Zéleph n’avait pas besoin de séduire une femme. »
« Ça ne tombe pas du ciel, tu le sais ça. »
« Pour toi, si. »
« Ce ne sont pas des jouets. »

Adam éclata de rire en tapent sa chope sur le bar.

« Toi tu dis ça ? Tu vends des femmes contre de l’argent au Circus et tu oses me dire ça à moi ? »
« Je l’ai respectés, et je respecte leur travaille. Elles son libre de partir et je l’ai protège, et puis ce n’était pas mon idée. »
« Tu vas me dire que c’est Sachiyo. »
« Ça te surprend ? »
« Non… mais tout de même je te trouve bien « noble » pour un mac. »

Le réprouvé secoua la tête agacé par la façon dont Adam exposer les choses. Il n’était pas un mac ou le genre d’homme à profiter de femmes pour faire son beurre. Ce n’était pas lui qui géré tout ça, il était le grand patron soit, mais a coter de cela il ne contrôler pas tout. De plus ces femmes étaient là de leur plein grès et était extrêmement bien payer, protéger, loger, nourrit, bien traité, bref il se trouver malgré tout bon.

« De toute façon je n’ai ni besoin ni le temps de me consacré aux femmes. »
« Et cette blonde ? »
« C’est une Déesse, je suis son disciple, rien de plus, rien de moins. »
« Alors j’ai toute mes chances ? »
« Fait toi plaisir, mais à mon avis c’est peine perdu. »
« Rien n’est jamais perdu mon vieux. »

Zéleph ne put s’empêcher de se moquer intérieurement d’Adam. Il ne savait pas à qui il avait à faire et de toute façon le réprouvé savait que le sorcier oublierait très vite cette idée, cela ne dura pas deux minutes lors ce qu’il vit une charmante réprouvée lui sourire au loin.

« Tu n’as pas intérêt. »
« De puis quand est-tu si rabat joie ? »
« De puis que tu es sous ma responsabilité et que si tu ne donnes pas suite à une relation impliquant un réprouvé après t’être « amuser », j’en serais la première victime. »
« Il faut vraiment que je te trouve quelqu’un. »
« Pourquoi ? »
« Pour que tu arrêtes de te mêler de ma vie. Le sérieux te vas si mal Zéleph … »

Le sorcier fit la grimace, comme si cela devenait douloureux à supporter, le roi se contenta de boire à nouveau. Ce soir ils allaient dormir là. Les travaux recommencerait, et peut être qu’avec un peu de chance Adam réussirait à s’amuser, du moins si il arrivé à pousser le roi a en faire de même.

Le soleil se leva sur le quatrième jour. Zéleph ce réveilla sur un vrais lit depuis le début des travaux. Il sortit de la chambre, croisa une femme qui lui dit que le déjeuner était servi en bas depuis déjà quelque heurs, mais qu’elle n’avait pas osé le réveiller. Il la remercier d’un signe de tête, encore un peu assommer par l’alcool. Arrivant à la grande table au centre de la salle il prit un bon café noir, cela lui ferait le plus grand bien.

« Ah te voilà enfin. Tu vas être ravit, tous les moulins son en états de marche, les cultures de légume, la pépinière. »
« Tu peux me laisser manger deux minutes ? »
« Toi tas mal dormit. »

Zéleph se contenta de grogner en buvant son café. Un vrais ours le matin. Adam s’assit a coter de lui et se mit à manger une pomme attendant que le roi daigne vouloir parler avec lui une fois qu’il aurait fini de ce réveiller. Connaissant son ami mieux que personne il lui tendit une cigarette. Il en avait bien besoin à ce qu’il voyait. Le réprouvé la prit et il s’en délecta.

« Alors tout ce passe bien ? »
« Plus que bien, dans une semaine tout sera fini et déjà en marche. »

Le roi soupira, soulager que cela ce présente de cette façon. Il fallait qu’il sorte et qu’il voie quelle forme cela avait. La plupart des ouvriers n’avaient pas voulu arrêter de travailler la nuit. C’était vraiment une fête pour eux. Jamais de tes travaux n’avaient était mis en œuvre pour eux. A part Stenfek, les réprouvé n’avait rien, et une citée ne pouvait garder es richesses si elle ne faisait qu’acheter continuellement, il fallait construire une réel économie. Le réprouvé ce leva finissant sa tasse de café.

« Voyons ça. »

Lors ce qu’il mit le pied sur la place il fut très satisfait de constater que c’était fini. La seule chose manquante était l’eau dans la fontaine. Les maisons autour étaient fini, le marché était construit, les étalage déjà monter. Il était très content de voir que tout avait fonctionné.

« Je pense que ce soir tout le monde pourra aller dormir. »

Il se dirigea ensuite vers l’extérieur du village. Il voulait tout voir, tout vérifier. Les champs étaient tous déjà planté, les moulins perdu aux milieux des champs tournés aux vents, c’était un paysage unique et magnifique. La pépinière n’était pas mal non plus. Les arbres planter en ranger ce portait plutôt bien et démarrait la fleuraison.

« Et comment s’en sort Neros ? »
« Tu vas voir c’est très drôle. »

Un peu piquer dans sa curiosité le roi suivit Adam qui l’amena au ranch, perdu au centre du près des animaux. Bien sur Neros n’était pas seul à travailler ici, il était aidé par quelques personnes, mais il avait beaux être le patron, il devait mettre la main à la patte. Alors oui ce fut très drôle de le voir sur un cheval courser les cerfeuils bien plus rapides que lui. Il avait une corde à la main, un lasso qu’il lança sur les cornes d’un gros mâle. Il réussit à l’attraper ce qui impressionna Zéleph, mais pas pour longtemps, quand le cerfeuil le fit tomber de son cheval et le traina à travers l’enclos ce fut tout à fait ridicule. Le réprouvé s’approcha alors du jeune homme pour l’aidé à ce levait, pendant qu’Adam ce moquer.

« Tu prends ton travail très à cœur. »

Neros ce massa l’épaule, faisant une grimace traduisant la douleur.

« Ce ne sont pas des bêtes facile à apprivoiser. »
« Si cela ne te plait pas tu peux abandonner, je ne t’en voudrait pas. »
« Non, non c’est bon mais ça ne vas pas être facile. »

Zéleph sourit. La détermination du jeune homme faisait plaisir à voir, de plus il avait confiance et savait qu’avec le temps il contrôlerait ce ranch à la perfection, et pourquoi pas plus ? Le souverain devait encore voir quelques détaille ici et là, mais dans l’ensemble tout s’annoncer bien, il fallait a présent que le rendement soit aux rendez-vous.

« Monsieur Zéleph ! »

Il se retourna vers une jeune fille, qui une fois à sa hauteur du reprendre son souffle. Pendant un instant il eut peur de ce que cela voulait dire. Une gamine courant à en perdre haleine en criant son nom cela n’engager rien de bon. Adam arriva à ce moment.

« Un problème ? »
« Oh non ! C’est une dame qui vous cherche, une femme blonde, très belle. »
« Donc un problème. »
« C’est le moment de la recevoir « personnellement », non ? »

Zéleph soupira agacer qu’Adam ce moque encore de lui.

« Vas donc ramasser les crottins avec Neros. »

Cette fois le sorcier perdit le sourire. Dire qu’il avait le pouvoir de lui faire faire ce genre de chose. Le roi suivit la jeune fille qui l’amena à Mitsuko. Qu’est-ce qu’elle faisait là ?

Il n’u pas besoin que la jeune fille lui montre où elle était, c’était comme si elle lui avait montré un tableau blanc ou une tache rouge c’était loger. Est-ce que l’animal à coter d’elle était un cerfeuil ? Zéleph espéré que ce ne soit pas Neros qui le lui est offert sinon il risquer de piquer une sacré colère. Je ne suis pas vraiment forcer. Non, il ne l’était pas. Il aurait pu rebrousser chemin et dire a la demoiselle de faire s’avoir qu’il n’était pas là, partit, ou il ne savait encore, mais malheureusement il était un homme fière et même devant un obstacle de l’envergure de Mitsuko, il ne reculer jamais. Elle se retourna vers lui alors qu’il arrivé à sa hauteur.

« L'on dit que la puissance et la célébrité rend les hommes plus attirants mais je constate que tu n'as pas changé depuis que nous nous sommes quittés. »

Devait-il prendre ça pour un compliment, il ne le crue pas, attendant simplement qu’elle daigne lui dire ce qu’elle faisait là, ainsi que cette animal d’une extrême rareté et très précieux.

« En réalité, lorsque j'ai appris qu'un individu affreux osait, d'après les dires de la personne en question, annexer bouton d'or, et que cet individu horrible n'était autre que toi, je n'y ai pas cru. »
« Affreux ? »

C’était agréable à entendre. Il était affreux maintenant. Terrifiant, il voulait bien, mais affreux c’était péjoratif et vexant en réalité.

« Alors tu es venu voir par toi-même. »

Elle s’approcha encore et son regard capta le sien. Qu’est-ce que tu cherches ?

« Je ne savais pas que tu t'intéressais autant au peuple que tu gouvernes, mais tu le démontres plutôt bien aujourd'hui mon cher Zéleph. Le profit découlera sans aucun doute de cette entreprise, ton propre profit bien sûr, mais également celui des Réprouvés. Je suis ravie de te voir entreprendre ainsi. Je serai presque fière que tu ais choisi de te lier à moi...mais n'exagérons rien puisque, à ce que je vois, ton égo n'a point besoin de moi pour être démesuré. »

Le roi soupira agacer. Il savait bien que cette statue ferait de lui quelqu’un d’égocentrique. Il détester ça, ça le rendait malade, mais si il refuser il blesserait son peuple. Dilemme, mais il avait déjà choisi entre son image et les réprouvés. En tout cas cette remarque prouvée bien que la Déesse le connaissait bien mal.

« C’est ça, je n’ai en effet pas besoin de toi. » soupira-t-il.

Dire qu’il avait cru que quelque chose les rapprocher l’autre fois. Qu’est-ce qui lui était arrivé ? En tout cas on ne l’y reprendrait plu.

« Dis, est ce que je peux garder cet animal? On peut le considérer comme une sorte d'offrande que tu me ferais, qu'en dis-tu? Il est magnifique... »

Qu’elle s’en prenne a lui était une chose, mais a une pauvre bête sans défense, s’en était une autre. De plus vu le prit que cela lui avait couté jamais il ne lui offrirait. Il était au moins soulagé de savoir que ce n’était pas Neros qui avait fait la bêtise de lui offrir, enfin cela l’aurait surpris quand même.

« Oui et justement, il n’est pas pour toi. »

Le sous-entendu était clair. Si il devait lui offrir quelque chose ce serrait à la hauteur de ce qu’elle valait, et un cerfeuil c’était trop pour elle.

« Tu demanderas a Neros quand il pourra en vendre, et n’essaye pas de profiter de la situation par ce que ton fils gère ces animaux-là, si je dois aller chercher moi-même cette animal chez toi, je le ferais. »

Zéleph appela le premier venu pour s’occuper de ramener le cerfeuil a son enclos. Personne n’avait besoin qu’une bête ce balade en plein milieux des travaux. De plus cela pouvait ce considéré comme du vol, elle l’avait pris sans demander à personne. Il sourit.

« Et puis, je n’offre rien aux voleuses. Tu comprends j’ai un égo si grand que je ne m’abaisse pas à cela. »

Il n’u pas le temps de jouir de sa plaisanterie qu’un homme vin le voir.

« Monsieur, s’ailler la fontaine peut fonctionner. Tout est en place. »
« Eh bien, montrez-nous ça. »

L’homme fit signe aux autres d’ouvrir les vannes, et l’eau ce mita jaillir. C’était beau, parfait a vrais dire, seulement cette statue tout en haut avait tendance à noircir le tableau. L’homme à coter de lui était très exciter, cela s‘entendait dans le ton de sa voix.

« Cela vous plait ? »
« Cette statue… » soupira-t-il.
« Oui je sais elle est parfaite a cette endroit. Nous avions pensé al mettre à l’entrée du village, mais ici c’est bien mieux, personne ne peut la manquer. » L’ouvrier ce tourna vers Mitsuko. « Et vous Madame, vous aimer ? »

Zéleph était désespéré. Pourquoi lui ? Il avait fait beaucoup pour eux et alors ? Pas besoin de faire ça. C’était comme ce retrouver nue devant une assembler. Très gênant, même quand on a aucun complexe avec son corps.

« Oui, oui elle est très bien votre statue. »

Agacer il voulait absolument fuir cette endroit et que Mitsuko n’en profite pas pour se moquer. Il attrapa la main de la déesse et la traina derrière lui. Autant se pendre tout de suite. Le prit le chemin du ranch, gardant fermement sa main enfermé dans la sienne, déterminé. Peut-être que quand elle serait avec son fils elle le laisserait tranquille.

Il devait fuir et vite, c’était trop pour lui, trop a supporté. Il avait beaucoup de sang froid, n’avait ni peur du sang, ni de la mort mais être afficher comme cela aux yeux de tout ça le rendait malade. Il ne penser même pas a la main qu’il tenait dans la sienne, la seule chose qui lui importait c’était d’être loin de cette fontaine. Loin, jusqu’à ce que Mitsuko mette un frein a sa fuite. Il ne comprit pas tout à fait ce qui ce passer posent ses yeux sur elle prit en flagrant délit de lâcheté.

« Je ne l'avais pas volé, juste amené faire une balade. Car, figures toi que si c'était le cas, je n'aurai pas attendu sagement que tu viennes me trouver pour l'emmener chez moi. »

C’était juste pour ça qu’elle faisait tout ce cinéma ? Elle ce sentait blesser ? Il c’était juste moquer, c’était une taquinerie comme une autre et pourtant elle trouver le besoin de ce justifié. Cela lui fit étrangement du bien, pensant qu’elle le laisserait tranquille vis-à-vis de cette statue, mais cette penser fut vite oublier.

« Je trouve que tu es bien plus séduisant que ta statue, et puis, tu as l'avantage d'être fait de chaire et de sang, d'avoir un cœur aussi, quoi que ce n'est pas certain. Vérifions... »

Il rêver ? Il y avait un problème, du moins c’est ce que le réprouvé pensa quand elle posa sa tête sur son torse. SI il n’avait pas était figer par la surprise il l’aurait repoussé en la traitant de folle, ce qu’elle était au fond.

« Je ne l'aurai jamais cru... »

Tu te fou de moi ?! Mais qu’est ce qui lui prenait ?

« Cette statue prouve que les individus t'aiment, que tu es un bon roi et un bon patron. Et puis, entre nous, tu ne devrais pas te sentir mal à l'aise, au contraire, c'est une preuve de respect et d'admiration. Enfin, peut-être que ça t'aidera à trouver une compagne puisque, apparemment, tu n'es pas homme à profiter de ce qu'ont à offrir les femmes qui travaillent pour toi. »

Zéleph se sentait troubler. Comment arrivait-elle à faire ça ? Il savait ce que représenter ce cadeau de la part de son peuple, il le savait mais ne voulait sa l’avouer. Est-ce que le Maitre avait raison ? Pourtant il n’était pas un homme bon, il ne mérité aucun cadeau, aucun amour quel qu’il soit. Si il n’avait pas était plonger dans ses penser il aurait peut-être rit de sa dernière phrase, pensant qu’elle s’entendrait bien avec Adam, mais à quoi bon trouver quelqu’un ? Le sorcier avait fini par le faire succomber l’autre nuit, mais cela rester sans valeur.

« Ils m’admirent … ils m’aiment … »

Un murmure qui ce perdit dans le vent. C’était peut-être idiot mais les deux seul personnes qui l’avaient aimé de façon ouverte en était mort, la troisième, il chercher tant bien que mal à la préserver. Lison l’aimer plus qu’elle ne voulait bien lui avouer, il le savait depuis longtemps, mais cela aurait était une bêtise de lui laisser croire que c’était encore possible. Seulement Lison, comme Aaron avaient du subir sa colère, sa violence pour l’aimer, son peuple ne savait pas qui il était réellement. Ils ne pouvaient pas l’admiré, lui, le monstre, c’était impossible.

« Tu viens? »

Zéleph leva brusquement les yeux, sortant de son monde, son monde où tout était noir et sombre. Il acquiesça simplement la suivant sans rien ajouter. Il l’avait vaguement entendu lui parler, mais n’avait pas fait attention. Réaliser ce que cette statue voulait dire lui faisait plu de mal que de bien. Passant devant Mitsuko il devait ce reprendre, il ne devait plu y penser, comme tout, c’était trop dur d’y penser.

« Hey patron ! Tu compter me laisser là toute la journée ? Comment ça c’est passer avec… » Adam qui venait du fond du pré aperçu enfin Mitsuko. « Madame … »

Le roi fusilla le sorcier du regard qui n’avait plu que d’yeux pour elle et ne fit pas attention.

« Tu m’a caché qu’elle était aussi belle. »

Il attrapa la main de la déesse sans que personne ne lui est autorisé et l’embrassa avec un sourire charmeur. Zéleph parut agacer par le comportement de son bras droit tu l'a déjà vue idiot. et l’attrapa par le col de son manteau pour l’extirpé de sa torpeur.

« Ou est passer le gamin ? »
« Oh, il s’est cassé le bras en montant un bicornes. »
« Et tu n’as pas eu la brillante idée de l’en empêcher. »
« Bah tu sais, il avait l’air si sûr de lui que… »
« Voilà pourquoi je ne veux pas avoir d’enfant. »

Le roi lâcha Adam qui se sentit vexer par la sécheresse soudaine de Zéleph.

« C’est moi que tu traites d’enfant ?! »
« Parfaitement, imbéciles. »

En d’autre circonstance le sorcier ne ce serrait pas gêner pour lui répondre, mais le ton brutal de son ami le fit ce taire. Il savait voir quand il pouvait ou non pousser Zéleph a bout et là ce n’était pas le moment. Alors il était comme ça quand Mitsuko était là ? Irritable à ce point ? Le sorcier redevint soudainement sérieux, après tout il avait raison, quand Neros avait voulu chevaucher cette bête énorme il aurait dû l’en empêcher. Adam ce tourna vers la mère de l’enfant, en plus celle à qui Zéleph pourrait avoir des compte à rendre était là et lui faisait comme si tout était normal.

« Vous savez il est incontrôlable … »

Et comme pour appuyait ses dires, Neros sortit de la grange suivit par une femme qui lui courait après avec de la pommade. D’ailleurs il en avait un peu partout sur le visage. Il fallait avouer que le choque n’avait pas qu’abimer son bras.

« Laissez-moi tranquille, ça vas je vous dis ! »
« Mais il faut vous soignez, sinon ça vas prendre des semaines. »
« Tu n’aimes pas ton infirmière Neros ? »

Le jeune homme se retourna brusquement, surprit par son nouveau patron. Il aperçut alors sa mère et sourit de toutes ses dents. Adam ce pencha sur la déesse un sourire espiègle sur le visage en regardant le seigneur des deux rives.

« Vous savez, le patron à le même sourire quand on parle de vous. »

La vengeance était un plat qui se mange froid et bien épicé. Cela ne ferait pas de mal au réprouvé de toute façon. Neros se mit face à sa mère continuant de sourire avant de comprendre.

« Tu n’est pas là pour venir me chercher n’est-ce pas ? Tu as dit que je pourrais travailler pour Monsieur Zéleph. »

Nerso entendit à peine le grognement du roi qui disait « pas Monsieur ». Adam prit son ami par le bras, pensant qu’éloigner le râleur errait la meilleure chose à faire.

« On vous laisse. » chantonnât-il.

Neros, comme un enfant avait des étoiles dans les yeux, il était content de voir sa mère, amis plus encore, très fière qu’elle soit ici, chez lui.

« Zéleph m’a offert le ranch, il son super ces gars-là. Tout a l’heur Adam ma aider à monter un Bicorne, j’ai tenu dix secondes ! Bon après j’ai appris que les bicorne aimer piétiner leur prédateurs et je l’ai payé … » il montra son bandage. « Mais c’est génial, ho et tu as vu les cerfeuils ? D’ailleurs il faudrait que je les recompte, tout a l’heur on m’en a ramené un et je n’ai même pas vue qu’il avait disparu. »

Il se passa sa seul main valide dans sa chevelure blanche et rit gêner, il se rendait compte qu’il parlait tout seul, complétement exciter par les journées qu’il passer ici et son travail.

« Excuse-moi, je parle trop. »