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 Secret Story (-18) [pv Mitsuko]

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Mar 25 Déc 2012, 03:44

La vie d’un roi était bien remplit. Nourrir ses sujets, enrichir la nation, contrôler le commerce, écouter les malheureux, réglé les conflits, amélioré la qualité de vie. Être Zéleph c’était bien plus compliquer. Il devait être un souverain normal, si c’était possible en étant un réprouvé, mais également dirigent et gestionnaire d’une grande organisation de banditisme, aux agissements douteux. Si cela ne suffisait pas pour l’occuper, il avait encore un ami qui avait eu dans l’idée de ressusciter sa femme et le mettait régulièrement en danger entre deux entrainements de force intensif. Et comme si il n’était toujours pas assez occuper, il avait en permanence une foutu femme, ou en tout cas une créature diabolique, quelque part dans son esprit. Alors bien sûr il prenait le temps de vivre chez elle, bien qu’en réalité, étant toujours sur bouquet il ne la voyait presque jamais. Le réel problème c’était que malgré toutes ses occupations, et le temps qui lui manquer cruellement, Zéleph avait besoin de la voir. C’était devenu une réelle obsession et ce qui était arrivé après la fête du Circus n’avait fait qu’aggraver les choses. Plus il y penser et plus cela le perturber, il avait donc décidé de reprendre la situation en main et pas que. A force de croiser ses fils dans le manoir, le roi avait décidé que Mitsuko devait être honnête avec Neros. Le roi n’était peut-être pas vif d’esprit, mais il n’était pas bête pour autant et les informations qu’on lui avait donné mise bout à bout, plus de voir le jeune homme fonctionner l’avait rapidement mit sur la voie. La déesse ne pouvait plu lui mentir, ou du moins lui cacher car ce n’était pas à lui qu’elle avait mentit. Tromper par sa propre mère. Mitsuko n’avait réellement aucun scrupule. Créer des enfants et leurs faires croire qu’ils avaient étaient abandonner pour ce créer un rôle de bonne mère. Zéleph n’était pas en colère, il lui en voulait de ne jamais être honnête sur trop de sujet. Elle n’avait aucune idée de ce que c’était que vivre en permanence dans le rejet et dans la souffrance d’avoir un esprit constamment troubler par le mal et la tristesse. Les réprouvés, des êtres torturé jusqu’au plus profond de leur chairs. Lui l’avait particulièrement était durant sa vie et il savait bien que Neros était loin du compte, mais il juger qu’en étant si proche de lui aujourd’hui alors il devait savoir qui il était pour lui et elle, ce qu’elle avait fait.

Il avait un peu bousculé la déesse en lui demandant de faire ça. Il aurait pu mesquinement le faire derrière son dos, mais ce n’était pas son genre, Zéleph était pour la franchise ouverte et l’affrontement directe. Pas de plan, de complot, de trahison et de mensonge. Tout cela n’était que les pièges créer par les lâche et les faible qui n’avait aucun courage, ni aucune force. De toute façon Neros le prendrait bien mieux si ça venait d’elle, Zéleph avait bien remarqué comme le gamin aimer cette femme. Il la considérait déjà comme ça mère, alors qu’est-ce que cela changerait ? Peut-être tout. C’était en effet le cas pour lui, car le regard qu’il portait sur le réprouvé était presque plus critique qu’avant, comme si savoir qu’il était son fils le rendait plus exigent sur ce que réaliser ce gamin. Il ressentait également une certaine fierté en le voyant s’occuper du ranch seul, gérant ses quelques employés en douceur mais toujours avait raison. Il avait ça dans le sang, a n’en pas douté. Diriger, contrôler. Zéleph rit. Entre lui et Mitsuko c’était certain que Neros n’était pas programmé pour rester un sage petit mouton.

Marchant sur le chemin de terre menant au Ranch, traversant les champs de blés, le roi ce fit souvent saluer. Il s’amuserait certainement éternellement du respect que les gens avaient pour lui ici. Pas qu’ailleurs il soit moins bien traiter, mais les paysan de ce pays avait en vers lui une reconnaissance certaine qui le faisait sourire. Après tout il n’avait pas fait grand-chose, simplement ce que tout souverain aurait dû faire bien avant : leurs donner un pays et une économie. A ce plaindre que les réprouvés n’avaient rien et n’était accepter nul part, il fallait bien prendre les choses en mains et faire quelque chose pour que cela cesse. Zéleph ne se trouvait pas exceptionnel, simplement pragmatique et ça le faisait réellement rire la façon dont toute ces personnes lui adresser de profonde salutation. C’était légèrement exagéré à son gout. Avait-ils tant besoin d’un héros pour lui offrir des cadeaux ? Arriver devant le ranch le roi avait les bras remplit de petit présent. La plu part n’étaient tue des babioles que les gens lui avaient cherché sur le moment, d’autre des aliments de la région, des simples petites attentions, adorables, mais un peu encombrante. Arriver devant le portail de bois il était tellement prit des bras que ce fut un petit jeune qui venait souvent voir les bêtes qui l’aida ce décharger. Gentiment d’ailleurs le garçon partit poser ça chez Neros et aussi le trouver pour le prévenir de l’arrivée du roi. Entrant dans la propriété Zéleph regarda les enclos bien remplit. Le nombre de bêtes avaient doublé depuis que Bouton d‘or avait vu le jour, cela prouver la qualité de travaille de Neros.
« Qu’est-ce que vous faites là ? Il y a un problème ? »
Zéleph se retourna vers le réprouvé qui avait l’air réellement surprit de le voir. Le roi aurait pu en rire. Comme si il ne venait que pour lui apporter des problèmes ou le martyriser. Il ne venait jamais, certes, mais tout de même.
« Non, j’ai rendez-vous et je j’en profite pour te voir. Je te dérange ? »
Neros parut soudainement très gêner et il rit machinalement pour se détendre un peut, ce trouvant bien idiot de réagir toujours de cette façon quand il voyait quelqu’un qu’il ne voyait jamais venir, débarquer ici.
« Non, c’est juste surprenant de vous voir. Sur tout de puis l’autre nuit… »
Le réprouvé laissa sa phrase en suspens. L’un et l’autre ne savait pas du tout comment c’était fini la soirée de son voisin. Pour Zéleph ce n’était pas plus mal que Neros ne le sache pas, pour Neros c’était gênant à raconter, cette expérience avait était extrêmement étrange et il ne pensait pas la renouveler avant longtemps.
« Vous attendez qui ? »
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Mitsu
♚ Fondatrice ♔

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Mitsu
Mar 25 Déc 2012, 15:40

« Moi »

La voix semblait provenir d'un des bicornes qui s'était approché des deux hommes doucement. Seulement, elle appartenait à une toute autre personne : Mitsuko, qui par une sorte de miracle avait réussi à apprivoiser l'animal et était montée sur son dos. Miracle? Peut-être pas puisqu'elle était protectrice envers tous les animaux de ce monde, ceux avec qui elle s'était toujours sentie bien, ceux avec qui elle n'avait jamais eu besoin de mentir. Et savoir que certains de ces bicornes allaient être mangés lui déplaisait, alors, elle avait décidé d'adopter celui-là, se l'imaginant déjà dans sa propriété. Et puisque Zéleph vivait chez elle, il était normal qu'une partie de ce qu'il avait contribué à payer le suive. Son deuxième argument était tout simplement qu'il pouvait bien lui faire des offrandes de temps en temps. Enfin, le dernier, s'il refusait, était de lui faire remarquer que si lui la désirait, pour avoir ce qu'il voulait, il fallait aussi répondre de temps en temps à certains de ses besoins à elle. Elle sourit, toujours perchée sur sa monture qui devait faire pas loin de trois fois sa taille, ne pouvant pas voir les deux hommes qu'elle était venue voir. D'ailleurs, lorsqu'elle avait quitté le manoir juste après y être retournée, habillée en paysanne, le pauvre majordome qui la servait fidèlement depuis des années lui avait fait remarquer qu'elle n'était pas une bergère. Elle n'avait bien sûr pas répondu car depuis quelques jours, son jeu favori était de le laisser se questionner seul. Mais, quoi qu'il en soit, arriver dans une magnifique robe ici ne ferait que la détruire. Elle avait donc préféré une tenue plus traditionnelle, quelque chose de plus pratique. Habillée d'une large chemise beige qui laissaient nues ses épaules, cette chemise serrée à la taille par une large ceinture en cuir, elle avait aussi opté pour une jupe rouge sur laquelle reposait un tablier blanc, ainsi que des bottes, ses cheveux blonds noués dans une grosse tresse. Mitsuko se téléporta, apparaissant juste devant Neros où elle fit une petite révérence d'un air amusé avant de dire : « Tadamm! ». Elle souriait.

Elle savait qu'elle n'était pas ici pour s'amuser mais cela faisait longtemps qu'elle n'avait pu s'approcher de son fils comme cela, puisque la dernière fois qu'elle l'avait vu, il était bien trop occupé à contempler les jolies jeunes femmes qui s'asseyaient sur ses genoux. Alors, doucement, elle s'avança vers lui, le prenant dans ses bras avant de lever la tête vers lui : « Je suis contente de te voir Neros. ». Puis, elle déposa un baiser sur sa joue en employant sa technique habituelle : monter sur la pointe de ses pieds. Pourtant, elle redoutait le moment où elle lui avouerait. Tournant son regard vers Zéleph, elle espérait qu'il renoncerait à son idée. Après tout, le jeune homme n'avait aucun souvenir concernant les faux parents qu'il pensait avoir eu avant et il n'en semblait pas malheureux. Si elle lui disait la vérité, ce serait sans doute une véritable tragédie pour lui. Bien sûr, le roi était son père, et elle était sa mère, mais elle ne l'avait jamais porté et le seul lien qui existait était celui de l'adn. Pourtant, elle l'aimait vraiment comme son fils et elle trouvait que risquer sa colère était tout simplement affreux. Mais elle ne pouvait pas lui dire que le réprouvé était son père tout simplement car, sinon, il penserait qu'il l'avait abandonné, alors qu'il n'en avait rien été. Avec n'importe qui elle aurait pu le faire mais elle ne souhaitait pas que Zéleph subisse quelque chose qu'elle avait décidé de faire seule et sans son consentement. Et puis, à l'époque, elle n'aurait jamais imaginé le recroiser. Elle lui sourit discrètement, tournant son attention de nouveau sur Neros, se plaçant pourtant aux côtés du roi.

« Tu devrais venir plus souvent au manoir puisque Zéleph y habite maintenant. Je ne sais toujours pas comment ça a pu se faire mais, quoi qu'il en soit, il y vit. Sans doute est-ce plus calme que le Circus? ». Elle sourit, jetant un petit coup d’œil à l'homme qui se trouvait à ses côtés. Elle sentait son odeur, de manière très légère, mais tout de même. Néanmoins, elle n'allait pas chercher à le taquiner devant Neros, pas physiquement du moins. « Ou peut-être y a-t-il trouver quelque chose d'intéressant? ». Un petit sourire trônait sur ses lèvres, puis elle finit : « Ou alors veut-il attendre que j'ai le dos tourné pour me voler le cerfeuil que je lui ai volé ». Elle rit, posant sa main sur le bras du roi. Elle prit conscience que le moindre contact suffisait à présent à lui rappeler ce qui s'était passé plus tôt. Néanmoins, elle se contint, plantant son regard dans les yeux de Zéleph : « D'ailleurs, mon cher, j'aimerai beaucoup adopter un bicorne... ». Elle sourit avant de reporter son attention sur son fils. Il était magnifique et, finalement, entre ces deux hommes, elle se sentait étrangement bien. Elle n'avait pas envi de lui avouer la vérité, elle voulait encore profiter un peu. Sa main se serra doucement sur le bras du roi et elle finit par lâcher le début de la vérité :

« Neros, si nous sommes ici c'est pour te parler, de tes parents. ». Elle inspira doucement avant de reprendre : « Avant tout, il faut que tu saches que...que je t'aime. ». Elle ferma les yeux, les rouvrant sur son fils. « En réalité, ta mère n'a jamais mis ton père au courant de ton existence, elle a voulu t'élever seule parce que, finalement, ton père ne représentait rien pour elle. Mais tu lui ressembles tellement que lorsqu'il t'a vu, il a deviné. Et en fait, ton père est quelqu'un de bien, il ne faut pas lui en vouloir tu sais. Il t'aime aussi, il ignorait juste ton existence. ». Tournant le regard vers Zéleph, elle finit par murmurer : « C'est lui... ». Cependant, elle n'avait aucune envie d'avouer le reste. Ça ne servait à rien, ça ne ferait que le faire se sentir mal, il aurait l'impression de n'être qu'une expérience, de n'être en vie que pour répondre aux besoins d'une seule femme.
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Mar 25 Déc 2012, 16:46

Neros passa son regard de Mitsuko as Zéleph, sans comprendre réellement ce qui se passait. L’un avait l’air de sourire, plongé dans un profond calme, alors que l’autre prenait un air plus anxieux. Il fallait avouer que la révélation n’était pas petite. Lui qui, il y a à peine quelque minute était en train de traite un bicorne, ce retrouver face à son roi et sa mère pour s’entendre dire qu’on savait qui était ses parents, et que son père n’était autre que son roi. Seulement, vin le moment où il comprit ce que la déesse lui avait dit, de façon complète. « ta mère n'a jamais mis ton père au courant de ton existence, elle a voulu t'élever seule ». Son regard se posa sur la main de Mitsuko, tenant le bras de Zéleph. Cette fois l’information fusa dans son esprit. Il fixa Mitsuko, puis Zéleph, ahurie.
« Vous ? »
C’était insensé. Il avait était abandonner, as cinq ans, Mitsuko l’avait trouvé et ramener au manoir pour l’adopter. Tout ceux en quoi il croyait venait soudainement de s’effacer, comme si son passer lui avait était enlever. Il regarda sa mère dépiter.
« Mais tu m’a trouvé ! Pourquoi tu m’as fait croire tout ce temps que j’étais adopter alors que tu es ma mère ? »
Puis il leva les yeux vers Zéleph. Il avait beaucoup d’admiration pour cette homme et le respecter de puis leurs première rencontre, mais faire un enfant a une femme et partir sans ce retourner, pour vingt ans plus tard revenir comme une fleur dans la vie de celle-ci et emménager chez elle … Vraiment il ne comprendrait jamais le genre de relations qu’ils entretenaient.
« Ca explique tout. Les rumeurs au Circus, la façon dont vous vous comportez, vous vous regardez. »
Il c’était déjà bien rendu compte que la relation qu’entretenait sa mère et le roi n’avait rien de purement amicale, et il fallait entendre toutes les histoires au Circus sur ce « couple ». Elle était montée deux fois sur ses genoux a la fête, il l’avait bien vue et quand Adam lui avait dit que la gagnante de ce jeu était sa mère il ne c’était plu fait aucun doute sur les tenant et les aboutissants. Neros ne les juger pas, il se fichait bien de ce que pouvait faire sa mère après tout, et avec qui, moins il en savait et plus il se portait comme un charme, seulement en y pensant à présent, tout paraissait bien plus claire.
« J’aurais dû le voir. Adam m’as dit cent fois que je te ressembler. »
Il en avait même oublié de continuer à vouvoyer Zéleph. A quoi bon ? Si c’était son père, il s’en foutait royalement. Neros les fixer tous les deux, sans savoir si il était heureux de savoir que c’était eux ou en colère d’avoir était ainsi tromper toute sa vie. Troubler, c’était trop d’un coup. Il fallait qu’il respire, face à leurs regards, il se sentait oppresser.
« Tu le savait ? »
Soudainement il sentit l’angoisse d’avoir était berner par les deux partie et de n’être là que par ce qu’il était du sang du roi. Lui qui avait crue faire ses preuves, ce retrouvé pistonner comme un vulgaire fils à papa et il ne pouvait l’admettre après tout le travail qu’il avait donné.
« Non. J’ai fini par le comprendre il y a quelques semaines. »
Zéleph sentait bien que Neros commencer a sur chauffer, les sentiments ce battant en lui pour tenter de prendre le dessus. Il connaissait si bien cette sensation d‘instabilité. Mitsuko ne lui avait pas dit toute la vérité, et le gamin pensait qu’il y avait plus que ce qui était arrivé en réalité, mais ce n’était pas un mal, Zéleph s’en avait rien à faire qu’il croit des choses ou d’autre, tant que cela lui apportait une stabilité. Ce qu’il voulait c’était profiter d’avoir un fils. Si le roi avait peur des enfants, il pouvait tout de même apprécier d’avoir un grand, quelqu’un, une famille.
« Ecoute, Neros, si tu dois en vouloir à quelqu’un c’est à moi d’accord ? Ta mère a fait ce qu’elle pensait le mieux pour te préserver. A l’époque je n’étais qu’un vagabond, une vermine et elle avait beaucoup de responsabilité, c’est une femme respectable, d’une grande vertu et … »
« Tout ce temps je pensais que je n’étais pas assez bien pour mes parents, qu’ils ne m’aimer pas, mais enfaite c’était simplement pour arranger vos vies. Que ce soit pour toi as continué de sauté tous ce qui bouge ou toi pour jouer les sainte alors que dans ton manoir tu te fais bai... »
Neros n’eut pas le temps de finir, et c’était peut-être mieux, car il était évidant de savoir ce qu’il pensait a présent. Zéleph l’avait frappé. Sans réfléchir c’était partit tout seul. La colère dans les yeux du garçon ne faisait plus de doute. Elle avait fini par le submerger, ne lui faisant pas réaliser ce qu’il disait. Le roi n’avait pas voulu qu’il le prenne comme ça, seulement c’était Mitsuko qui avait joué la carte du « non dit » et il le respecter car après tout, cela aurait était plus grave si Neros savait qu’il n’était pas un être normal, créer de façon traditionnel.
« Ne dit pas des choses que tu pourrais regretter. »
La voix de Zéleph était dure, et cela sonné comme une menace, mais le réprouvé s’en foutait. Il était blesser d’être le fils de deux irresponsable qui ne pense cas eux. Il n’était peut être pas l’homme le plus intéressant qui soit, amis il aurait au moins aimé un peu plus de considération venant de ses parents.
« Je préféré quand mes parents étaient mort. »
Zéleph ressue cette phrase assassine comme un coup de massues et lors ce que Neros s’enfuit vers sa maison, il ne bougea pas pour le rattraper. Une fois le jeune homme volatilisé, il soupira. Quelque part cela aurait pu être pire, et puis ce n’était que la colère qui parlait et il s’y connaissait. Ce tournant doucement vers Mistuko, il craignait un peu sa réaction. Elle allait le maudire, c’était certain, mais égoïstement, lui aussi avait voulu un fils, et au final il passait pour l’affreux père qui avaient fait des enfants a la moitié du pays sans jamais s‘en soucier. En réalité il était bien plus désoler pour elle. Il ne pensait pas que Neros lui en voudrait a elle également, pas comme cela du moins.
« Il va se calmer, c’est le choque, je suis sûr qu’il ne le pense pas. Après tout, toi il t’aime, c’est bien pour cela qu’il est si blesser. »
Zéleph n’était pas fière, mais il n’avait pas non plus imaginé que Mitsuko lui lâcherait la bombe de cette façon et si vite, il avait plutôt imaginé quelque chose de plus en douceur, de plus travailler. En fin de compte ce lavait était violant.
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Mitsu
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◈ YinYanisé(e) le : 07/07/2005
Mitsu
Mar 25 Déc 2012, 18:13

Mitsuko fixait le vide, son esprit semblant hermétique à tout ce qui pouvait bien se passer autour d'elle. Oh elle avait l'habitude qu'on la haïsse, qu'on essaye de la blesser, mais jamais cela ne marchait, jamais avant ça. Elle avait essayé de se préserver en fixant un point, pensant à autre chose mais elle n'avait pas tenu longtemps, contemplant la colère dans les yeux de Neros. Elle savait qu'elle n'aurait jamais dû lui dire, et surtout pas comme ça mais comment? Elle n'avait pas l'habitude d'avouer ses tords, ni même d'y aller en douceur car, bien souvent, lorsqu'elle révélait la vérité, c'était pour jouir de sa domination devant la personne qui s'était faite trompée, oui, c'était ça, pour donner le coup de grâce. Mais ici, c'était différent, tout simplement parce qu'elle ne pouvait plus contrôler ses émotions, mais aussi parce qu'il était son fils et que malgré le fait qu'elle soit une mauvaise mère, elle l'aimait. Et elle avait espéré pouvoir se rapprocher de lui petit à petit malgré les souvenirs du jeune homme concernant son absence. Et cela avait fonctionné jusqu'ici, elle avait cru pouvoir se raccrocher à lui, pouvoir l'aimer sans concession, mais à présent, elle réalisait que c'était impossible. Aimer signifiait souffrir et elle préférait ne rien avoir, ne rien ressentir. Sa main avait dû se serrer tellement fort sur le bras du roi avant qu'il ne décide de stopper son fils dans ses dires en le frappant. Elle ne savait pas trop, son esprit comme déconnecté. Elle voulait oublier, tout simplement. Elle regarda Neros partir sans bouger car elle en était incapable et qu'est ce qu'elle pouvait bien lui dire... qu'elle l'aimait? C'était ridicule.

La voix de Zéleph retentit et il lui fallut un certain temps pour en comprendre le sens, comme si elle se trouvait physiquement présente sans que psychiquement ce soit le cas. Il avait été dans le sens de sa version, il l'avait dit vertueuse mais maintenant, il était clair que dans l'esprit de Neros, elle n'était qu'une catin et son comportement des derniers jours lui donnait raison. Elle n'aurait jamais dû se rapprocher du roi, elle aurait dû lui asséner un non franc. Et à ce moment précis, elle haïssait Edelwyn pour lui avoir raconté l'histoire de ses enfants. Il n'aurait jamais deviné sinon, non, il ne s'en serait jamais aperçu et il aurait aimé Neros quand même parce que, finalement, les deux hommes étaient faits pour s'entendre. Elle était juste de trop maintenant. Que devait-elle faire? Renoncer à son fils? Si elle partait, là, tout simplement, elle renoncerait aussi à son père. Pourtant, le roi avait raison, il avait dit cela sous le coup de la colère mais, souvent, la colère était détentrice de la vérité des sentiments. Elle sentait les larmes monter doucement dans ses yeux, chose qui ne lui était pas arrivée avec une telle intensité depuis bien longtemps si on excluait les quelques semaines précédentes. Elle baissa la tête de façon à ce que le réprouvé ne puisse la voir. Elle devait se reprendre, elle devait penser à autre chose. Mitsuko releva la tête, ne regardant toujours pas le roi puis, elle incrusta un sourire sur son visage avant de dire :

« Oui, il s'en remettra c'est vrai. Tu as cas réfléchir pour ce bicorne parce que j'aimerai l'emmener chez moi. Mais je vais aller visiter un peu Bouton d'Or maintenant, ça fait longtemps que je ne suis pas venue et je pense qu'il y a eu des progrès de faits.. »

Puis, sans plus d'explication, elle disparut. A l'abri des regards derrière une motte de foins au beau milieu d'un champs, elle resta là, immobile, assise, les jambes repliées contre sa poitrine. Elle regardait le sol, essayant de contrôler sa colère, de contrôler sa tristesse mais, finalement, elle n'arriva à rien, des larmes se mettant à couler silencieusement sur ses joues. Cachant son visage dans ses bras, elle laissa tout la submerger, tout ce qu'elle avait fait ces derniers temps, tout ce qui lui gâchait la vie à présent. Elle n'aurait pas dû fabriquer ces enfants, mais c'était la seule solution pour elle d'en avoir, sinon, elle serait morte en accouchant à cause de cette malédiction. Et puis elle ne voulait pas donner son corps, elle ne désirait pas en temps normal, ou du moins, pas comme elle désirait maintenant Zéleph. Même avec Vlad ça n'avait jamais été aussi fort. Leur lien était différent, ils étaient alors vampires tous les deux, ayant un goût très prononcé pour la chasse et la séduction. Mais, oui, c'était différent. Elle l'avait fait avec lui juste avant de l'oublier et la raison de cet acte n'était pas la même que celle qui la poussait dans les bras du Réprouvé. Pourtant, elle savait qu'il ne fallait pas, qu'elle devait rester intègre, ne pas se laisser aller à de stupides pulsions, les mêmes pulsions qui perdaient tant d'individus. Mais elle avait cédé et maintenant elle en payait le prix, son fils pensant qu'elle n'était qu'une femme facile. Et cette colère dans ses yeux... il devait se sentir tellement mal d'apprendre cette vérité qui n'était encore qu'un mensonge arrangé. Elle avait voulu déverser sa propre colère sur Zéleph, elle l'aurait frappé, elle lui aurait murmuré des paroles qui l'auraient blessé bien plus que n'importe quel acte physique, mais elle s'en savait incapable parce qu'il avait aussi été la cible de Neros... et puis, elle savait parfaitement qu'une fois qu'elle aurait posé les yeux sur lui, elle aurait eu envi de pleurer. Et elle ne voulait pas qu'il la voit dans cet état. Pourtant, à ce moment précis elle avait besoin de se sentir serrée par des bras, les bras de n'importe qui. Mais elle ne le voulait pas non plus, elle ne voulait pas, non.

Elle resta là un long moment, les larmes qui n'avaient jamais eu le droit de sortir pendant des siècles se vengeant sans vergogne. Et puis, elle s'endormit, comme si c'était la solution, la solution pour oublier.
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Mar 25 Déc 2012, 19:51

Zéleph n’était pas dupe. Neros avait blessé sa mère et tout ça c’était à cause de lui. Il aurait peut-être dû lui dire qu’il y avait d‘autre moyen de lui faire comprendre moins violant que celui-là. Il comprenait la colère du réprouvé, mais il ne pouvait admettre non plu qu’il est dit ce genres de chose a sa mère. Après tout, il pouvait bien s’acharner sur lui, au final Zéleph s’en fichait, mais pour Mitsuko c’était diffèrent et il était sûr que Neros savait qu’il était loin de la vérité. Relisant qu’il avait produit une situation chaotique, le roi décida de prendre les choses en mains. Il était hors de question de laisser les choses comme ça. Foncent vers le ranch, il y rentra sans prendre la peine de frapper. Cette idiot de gamin était en train de se vidé une bouteille de vodka. Décidément il lui ressembler beaucoup trop. Prit de colère, il lui arracha des mains. Neros ne voulant pas lâcher prise, il le frappa avec, calmant tout de suite els envie de résistance du jeune homme.
« Laisse-moi ! »
N’écoutant que sa raison, Zéleph prit Neros par le col de sa chemise et l’assit de force sur une chaise. Poser là, il prit également une chaise, puis attrapa le visage de Neros pour le forcer à le regarder.
« Tu vas m’écouter maintenant. Tu es peut être triste, déçu, tu te sens tromper, trahit, tu as de la rancœur, de la colère, mais bordel tu as une mère et ça n’a pas de prix. »
Il était mieux placer que n’importe qui pour le savoir, seulement Neros ne l’entendait pas de cette oreille. Il repoussa la main de Zéleph, ne supportant pas son autorité. Après tout, qu’est-ce qu’il était pour lui, jamais que son roi.
« Pourquoi je t’écouterait ? Tu ne l’aime même pas, tu ne fais que … »
Encore une fois Zéleph ne supportait pas la façon dont Neros se mettait à parler de sa mère. Lui, il s‘en fichait, mais il avait trop de respect pour la maternité. Ce tenant le nez, qui commencé à saigner, Neros rit presque en ce redressant.
« Ou peut être que c’est le cas. »
Zéleph grogna. Non il ne l’aimer pas, ça n’avait rien à voir, mais il ne supportait pas qu’on lui manque de respect, c’est tout. Malgré ce qu’elle avait fait, les mensonges et les manipulations, elle ne mériter pas qu’il la traite ainsi, qu’il la face souffrir. Neros parut s’en foutre royalement qu’il soit là ou pas, il se sentait comme le cheveu sur la soupe, la chose qui était arrivé par erreur. Oui une simple erreur de parcoure de deux être si diffèrent.
« Tu t’en fou de moi, pourquoi tu es là ? Comme elle, tu te sens coupable ? »
Le roi soupira. Si c’était le seul moyen, il était prêt à mentir. Encore un mensonge, un affreux mensonge qu’il regretterait, mais qui permettrait à Mitsuko de retrouver un fils. Baissant les mains sur ses mains lier il parla, à la façon d’un homme délivrant ses secrets, la voix basse et poser. Zéleph connaissant tant les sentiments, il n’était pas douer pour grand-chose, mais il avait toujours su comprendre et ce placer. L’humain était tout ce qu’il avait, paradoxalement à la violence sanglante dont il était capable.
« Je tes dit. Quand on s’est rencontré elle était reine et moi, un moins que rien. Je l’ai aimé. Si je suis devenu roi, ce n’est pas pour autre chose, qu’elle. »
Neros parut intéresser par ce qu’il disait, mais son regard rester plein de crainte et de colère, voir du dégout quand il cracha ses mots.
« Et toute ces femmes alors ?! C’était pour passer le temps ? »
« C’était pour oublier. »
Zéleph leva les yeux pour soutenir son regard. Il devait être convaincant, mais ce n’était pas si difficile. Non, car la dureté avec la quel il parlait a son fils ressembler à de la pudeur, et non la difficulté de mentir aussi ouvertement.
« Je n’en suis pas fière, d’accord ? Elle avait disparu et je ne pensais jamais la revoir, seulement elle est revenu et de puis… je cherche à capter à nouveau son attention. »
Il n’était pas loin de la réalité en fin de compte. En oubliant les sentiments, tout ce qu’il disait avait un fond de vérité. Les femmes qu’il avait eu dans son lit avaient étaient là pour oublier ses souffrances, rien à voir avec la déesse, bien sûr, mais la vérité était là. A présent il cherché à l’avoir pour lui, et là, il ne mentait pas. Zéleph sourit, un peu distrait par ses penser.
« C’est loin d’être une femme facile. Elle est très exigeante et elle … elle me rend fou. »
Neros assimila l’éclair de désir qui passa dans le regard de son père, comme de l’amour, et il ce calma. Bien sûr que sa mère n’était pas une femme facile. A son souvenir, jamais un homme étranger au manoir n’avait avec avec eux, alors rien que le faite qu’il vive là-bas à présent montré qu’ils avaient une relation particulière et que sa mère ce laisser approcher par ce que Zéleph lui faisait la cour.
« La séduire est presque impossible, alors crois-moi Neros, ce n’est pas la faute de Mitsuko. Elle aura tout fait pour ce préservé et pour te préserver. Quand j’ai compris que tu étais mon fils j’ai voulu que tu sache que tu n’avais pas était abandonner, que tes parents n’étaient pas mort. Je sais ce que ça fait, et je préférais que tu sache que tu étais le fruit … »
« De l'amour ? »
Zéleph sourit. Si il le voyait ainsi, tant mieux, il lui ferait pas croire autre chose que ce qui lui aller le mieux. Acquiesçant alors simplement, il fut soulager de voir un petit sourire sur le visage de Neros. Il avait gagné. Soudain le gamin baissa le regard en reniflant.
« Je suis désoler pour tout a l’heure, j’aurais dû vous écouter jusqu’à la fin. »
Le roi leva la main pour soigner le visage de son fils qui mériter bien ça.
« Tu diras ça à ta mère. »
Acquiesçant, ils ce levèrent et sortir. D’après Zéleph, elle était partit dans bouton d’or. Seulement à peine sortit, le jeune qui avait aidé le roi un peu plus tôt leurs dit qu’il avait trouvé l’inconnue blonde qui était avec eux avant allonger dans une motte de foin dans le champ de son père. Les deux hommes se firent alors guider vers celle-ci. Sur le chemin Neros poser beaucoup de question a son père. Depuis combien de temps il vivait avec sa mère, si c’étaient sérieux, en bref il voulait s’assuré que le roi ne se payer pas la tête de sa mère, mais gentiment celui-ci lui disait de demander à sa mère, elle serait ravis de lui répondre. Arriver face à la jeune femme, ils remarquèrent les traces de larme. Neros sentit la culpabilité le submerger, mais avant qu’il ne rebrousse chemin, Zéleph l’incita à attendre un peu plus loin, il la réveillerait en douceur et tout ce passerait bien. Le jeune réprouvé acquiesça et prit le partit de marcher un peu pour ce détendre. Tout ça le dépasser un peu. Il finit par se retourner et observa alors la scène. Zéleph le voyant bien du coin de l’œil soupira en s’agenouillant près de Mitsuko. En l’observant il frissonna. Ainsi, allonger, dans ces vêtement, au milieu du foin, Mitsuko était extrêmement désirable. Pourtant il dut ce retenir de tout acte terroriste, en vers son corps, ce contentent de glisser sa main sur sa joue, puis son cou.
« Ne m’oblige pas à t’embrasser, princesse. »
Il sourit, quand elle ouvrit les yeux. Zéleph, jeta un œil vers Neros qui ne rater pas une miette de ce qui ce passer et il se pencha sur la déesse, comme pour l’embrasser, mais en réalité il cachait la vue au voyeur.
« Neros veux s’excuser. Il s’en veut beaucoup. »
Ce redressant il fit signe au réprouvé de venir, celui-ci ne se fit pas prier et une fois devant ses deux parents il ce gratta l’arrière du crâne, gêner.
« Je suis désoler maman. Je ne savais pas que vous … enfin, que vous étiez ensemble. Je n’aurais pas dû me mettre en colère alors que vous ne m’aviez pas tout dit. C’est idiot, mais, je suis soulager maintenant. J’ai des parents, heureux l’un avec l’autre alors ... je suppose que je peut vivre avec ça. »
Il sourit de toutes ses dents, avant de rire. C’était pour lui mieux que tout en réalité. Ses parents étaient là, ils ne l’avaient pas abandonné et en plus il n’étant pas le fruit d’un mal entendu, d’un coup d‘un soir. Il était un accident, mais un bon accident. Zéleph n’avait jamais dit toute ces choses, bien sûr il avait laissé Neros ce faire son propre film, mais c’était que comme ça que le réprouvé pouvait s’arranger avec ses sentiments et trouver le meilleur résultat pour se sentir bien et comprendre la situation. Zéleph posa son regard sur Mitsuko, souriant de façon triomphante.
« Je crois qu’on peut lui pardonner, mon cœur. »
Son bras c’était enrouler autour de sa taille de la déesse la serrant contre lui, poussivement, surement comme un homme amoureux l’aurait fait. C’était grisant et en réalité Zéleph sentait qu’il aller adoré cette nouvelle tournure.
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Mar 25 Déc 2012, 21:05

Mitsuko ouvrit les yeux, sentant le contact d'une main d'homme sur elle. Zéleph. Elle ne dit rien, suivant son regard avant qu'il ne se penche vers elle en lui murmurant quelques mots pour lesquels elle l'aurait volontiers serré dans ses bras. Il avait dû lui parler, lui expliquer bien mieux qu'elle. Seulement, à ce moment précis où était né un brin de reconnaissance, elle ne savait pas encore de quoi il en retournait. Se levant pour faire face à celui qui avait dû être dans un état semblable au sien, elle l'écouta avec un sourire doux qui faillit disparaître en un instant dès qu'il prononça les mots « ensembles » et « heureux l'un avec l'autre ». Elle aurait pu afficher soudainement un air décomposé mais elle essaya de penser que le principal était que Neros se soit calmé et les accepte comme ses parents. Mais Zéleph ne perdait rien pour attendre. Elle manqua d'ailleurs de le repousser brutalement quand il enroula son bras autour de sa taille mais elle serra les dents. Se rendait-il compte de ce qu'il venait de faire? Car si leur fils parlait, toutes les terres du Yin et du Yang les verraient comme un couple. Elle finit par rire en imaginant la tête de Seth qui apprendrait la nouvelle, perdant son regard dans celui du roi comme si c'était grâce à lui. Il était sûr que le majordome se demanderait si cette histoire de mariage n'était pas en fait la pure vérité. De toute façon, l'ombre serait tenu à la confidence puisque si Neros revenait au manoir, il ne devrait jamais douter de l'exactitude des faits. Et elle devrait prévenir tous son personnel, non pas du mensonge du roi, mais de la véracité de ses propos. Elle devrait faire en sorte qu'ils croient tous en leur amour et, forcément, la nouvelle se répandrait, partout. La jeune femme sourit à son fils, essayant d'oublier un instant son désir d'étrangler Zéleph qui jouissait bien trop de la situation à son goût.

« Je suis désolée, je n'aurai pas dû te le cacher mais... enfin, peu importe, l'important c'est que ton père et moi nous nous sommes retrouvés et que, surtout, nous t'aimons tous les deux plus que tout. Je ne suis pas la meilleure mère mais, à présent, tu as tes deux parents et Zéleph pourra combler les vides que j'ai laissé. »

Le réprouvé avait vraiment exagéré, alors elle se vengea, sans se rendre compte sur le coup des probables conséquences de ses paroles. Aussi, elle se tourna vers le jeune homme, le regardant avec envie avant de déclarer :

« Et puis, peut-être que tu pourrais avoir une petite sœur d'ici peu, n'est ce pas chéri? »

Elle regretta tout de suite ses mots en envisageant la possibilité que Neros adhère à cette idée. Et puis, si elle avait dit ça c'était surtout pour taquiner le réprouvé, pas pour que son fils imagine qu'ils avaient le projet de faire un enfant. Pour ça, il faudrait déjà qu'il puisse la toucher. Mitsuko préféra couper court à toute discussion possible, s'accaparant le bras de Zéleph avant de déclarer au deuxième réprouvé avec un petit sourire : « Ton père et moi allons nous promener un instant pour voir tous les changements opérés ici, nous te rejoindrons pour dîner si tu veux encore de nous à ce moment là. ». Elle rit, se détachant un instant du roi pour aller déposer un baiser sur la jour de son fils. Puis, elle força le réprouvé nouvellement père à la suivre, marchant doucement pour ne pas éveiller l'attention de Neros. Attendant d'être un peu plus loin, elle poussa l'homme sur une motte de foin bien plus grande qu'eux, l'attrapant par sa chemise pour le maintenir en place :

« Nous sommes heureux ensembles? Tu te rends compte que tes paroles vont suffire à nous mettre en couple aux yeux de tous les peuples? Tu te rends compte que, si jamais il te prend l'idée d'aller batifoler avec une autre femme, je vais être la risée de tout le monde? Non parce que c'est sûr que ce n'est pas moi qui vais chercher à te tromper, mon amour. ». Elle fit une courte pause après cette petite note sarcastique, avant de rajouter la partie qui la troublait le plus : « Tu te rends compte que, maintenant, on est obligé de se comporter comme un couple afin que jamais ton mensonge ne se découvre, afin que jamais Neros apprenne que nous ne nous aimons pas, que ça n'a jamais été le cas et qu'il n'est pas un enfant de... ». Elle se tut, remarquant qu'elle n'avait pas la moindre idée de ce que Zéleph avait bien pu dire à son fils. Lui avait-il révélé qu'ils s'étaient aimés jadis? Lui avait-il dit qu'il l'aimait maintenant?

Posant son regard sur lui, elle trouva soudainement la situation bien trop intime. Ils étaient là, au beau milieu d'un champ, derrière une motte de foin qui leur donnait une intimité certaine, ensembles. Elle le fixa, ses lèvres, son cou. Elle s'était énervée mais, à présent, comme pour faire disparaître cette colère, c'était un tout autre sentiment qui prenait la place. Elle finit par le lâcher, s'écartant légèrement de lui, essayant de penser à autre chose qu'à son corps. Il lui avait sauvé la mise et elle ne l'avait même pas remercier. Après tout, il connaissait la vérité, toute la vérité, et il aurait pu très bien la révéler à Neros. Bien entendu, le but de Zéleph était que Neros l'accepte en tant que père et elle se doutait qu'il avait dû faire ce qu'il pensait être le mieux, même si elle n'abandonnerait jamais l'idée selon laquelle la situation actuelle l'arrangeait quelque part, qu'elle l'amusait. Se positionnant à ses côtés, contre la motte de foin, elle se mit à fixer le champ avant de lui souffler tout bas : « Merci. ». Puis, elle tourna le visage vers l'homme, lui demandant alors : « Que lui as-tu dit exactement? ». Il y avait son parfum, encore et toujours lui, si bien qu'elle se demanda s'il n'avait pas un don spécial pour attirer les femmes. Enfin, même si ce fut le cas, sa condition de déesse la préservait de toute magie, donc, c'était vraiment lui qui l'attirait et elle n'avait aucune excuse possible. Et puis, elle était tellement heureuse que la situation avec Neros se soit arrangée... quelque part, ce qu'il avait fait augmentait son attirance et même s'il l'avait sans doute fait pour lui plus que pour elle, elle y était sensible. Elle fixa de nouveau les yeux vers le champ, c'était mieux ainsi.
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Mar 25 Déc 2012, 22:00

Réaction normal ? Zéleph n’était pas sûr que ce soit le cas. Une femme normale ne le tiendrait pas ainsi par le col de ses vêtements avec une telle force. Elle pouvait bien être en colère, il s’en fichait, il avait fait ce qui était le mieux et c’était très bien ainsi. Neros avait l’air heureux et c’était le principal. Qu’elle en crois pas que cela l’amuser, enfin, si. Cela avait quelque chose de comique en vue de leur relation, mais pour le reste il avait bien réalisé l’importance de ce mensonge, et c’était à cause des proportions que prenait ce genre de manipulation qu’il détestait mentir. Seulement, parfois, il valait mieux cela que la vérité pur et simple. Elle ce calma et il en fut soulager. Il n’avait pas envie de ce battre avec elle, pas maintenant, pas ici. Il soupira quand même, soulager qu’elle ne l’avait pas frappé, car il pensait l’avoir mérité, mais non elle avait même l’air reconnaissante.
« Que lui as-tu dit exactement? »
Zéleph sourit, en la regardant. Après tout elle devait le savoir, vu qu’elle faisait partie intégrante de cette mascarade. De plus ce qu’il avait dit ne le touchait pas, donc il n’avait aucune honte à le révéler.
« D’abord il faut que tu comprennes que c’était la seule solution, pour qu’il n’en veuille ni à toi, ni à moi. L’amour, c’est un beau prétexte non ? Je ne lui ai même pas dit que nous étions en semble. Je lui ai simplement raconté que la première fois que nous nous somme rencontré, nous étions diffèrent et que malgré ce qu’il y avait entre nous, nos chemins ce son séparé par la force des choses. Il pense être un enfant, non voulu, mais fruit de l’amour. »
Quand on connaissait la vérité c’était certain que ça en était bien loin. Seulement entre l’image de la mère, devant élever l’enfant qu’elle avait eu avec un amour impossible, et celle de mère à l’apparence lise, mais aux actes bien moins vertueux, il y avait un océan.
« Je lui ai dit que j’étais devenu roi pour toi et que je ne tes jamais oublier. Comme tu lui a dit que je vivais au manoir et avec tout tes sous-entendu tout à l’heure il a cru que nous étions en couple. Ce qu’il croit le rend heureux. Il te voit comme une femme qui à retrouver son amour, et moi comme un homme ayant tout fait pour reconquérir sa belle. »
Le roi, laissa son regard glisser sur le corps de la déesse. Maintenant qu’ils étaient seul dans le foin, il trouver la situation beaucoup plus propice à en profiter. Il fallait aussi bien avouer que sa tenue de paysanne rendait les choses très intéressantes. Plus il voyait de peau dénuder, plu le réprouvé aimer la regarder, jusqu’à ce que ce simple regard le face bruler d’envie de toucher.
« Et puis… je lui est sur tout dit que tu me rendait fou, et qu’aucune autre femme ne m’intéresser maintenant que je t’avait retrouvé. »
Il se pencha sur elle, la faisant basculer dans le foin pour prendre le dessus. Son visage vin ce perdre dans son cou, et ses lèvres vinrent doucement caresser sa peau, au contraire de ses main qui agripper férocement sa taille. « On m’a toujours apprit » Il vin mordiller son oreille. « A baser un mensonge » sa bouche descendit jusqu’à son épaule, ses lèvres longent sa peau avec délectation. Ça lui avait tellement manqué de la dévoré qu’il ressentait ce moment comme une délivrance. « Sur la vérité. » Il ce redressa, montant son visage en face du sien pour capter son regard. « Alors tu vois, je me fiche de ce qui vas ce dire, car c’est avec toi que j’aurais du mal à me tenir. » Et ça personne ne trouvera ça louche. Il plongea sur elle, sa bouche retrouvant sa camarade de jeu préféré. Retrouvant ce gout prononcé pour la torture, laissant son instinct, son désir guidé la danse de leurs lèvres. Zéleph avait envie d’elle, là, maintenant, dans cette fois foutument érotique. Seulement il savait bien que ce n’était pas aussi simple, pas avec elle, pourtant son corps n’écouter rien, c’était comme si une fois que sa bouche toucher la sienne il perdait le contrôle. Ses mains vinrent longer le buste de la déesse remontant doucement vers sa poitrine, pour effleuré ses seins de ses doigts. Le réprouvé rendit alors le baisser plus profond, passionner. Leurs corps coller l’un à l’autre, leurs bassins ce chevauchant. C’était preuve à l’appui qu’il ne savait pas ce retenir avec elle, il était comme un adolescent remplit d’hormone le faisant exploser de désir à chaque seconde, comme un animal en rut voulant absolument la faire sienne, comme un homme brulant de désir cherchant à faire mourir le corps de son fantasme sous le plaisir.

Quittant sa bouche pour respirer, il ne parut pourtant pas s’arrêter là, il plongea vers son cou, son épaule. Il arracha les boutons de sa propre chemise, la chaleur devenant insupportable, puis embrassant l’épaule de Mitsuko, il tira sur la sienne. Il était impatient, et voulait la couvrir de baiser. La faire ce consumé comme lui était en train de partir en fumer. Sur le coup, sans contrôler sa force, il tira trop fort et le tissu lui resta dans la main, mais cela l’importait peut car sous lui la déesse était soudainement à moitié nue. Ses lèvres descendirent alors sur son buste gagnant du terrain a grands pas, pour se loger sur sa poitrine. Mitsuko pourrait le bruler vivant pour ce qu’il était en train de faire, cela ne serait jamais aussi douloureux que le feu qui c’était déclaré en lui. Un incendie qui n’était pas près de s’étendre.
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Mitsu
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Mer 26 Déc 2012, 00:30

Mitsuko esquissa un sourire quand Zéleph lui signala que Neros pensait qu'il avait tout fait pour reconquérir sa belle. L'expression la faisait rire mais elle pensa surtout que oui, il faisait tout pour avoir ce qu'il voulait. Finalement, même si on ne parlait pas d'amour, c'est vrai qu'il était plutôt obstiné. Et elle aussi l'était. Elle pensa tout de suite à son fils, se disant qu'il était bien mal tombé entre eux deux. Et le pire dans tout ceci, c'était qu'à présent, il les verrait comme un couple et qu'elle serait obligée de jouer la comédie dès qu'elle se retrouverait en présence du roi et d'une toute autre personne. La déesse continuait de songer à toutes les choses qu'ils devraient faire, à l'organisation, raisonnable, prévoyante. Cela dit, quand Zéleph se pencha sur elle, elle oublia bien vite toutes ces choses, son esprit revenant à la réalité de la situation : ils étaient seuls au beau milieu d'un champ et il semblait affamé. Poussant un petit gémissement lorsque ses lèvres vinrent caresser son cou, elle essaya de chercher tout de suite une solution pour se sortir de ce pétrin avant que son corps ne s'y mette aussi. Mais le problème c'est qu'ici, ni Seth ni l'un de ses enfants pourraient venir l'aider. Elle était seule avec lui et à moins qu'un paysan débarque à l'improviste, elle ne pourrait lui échapper aussi facilement. Elle frissonna lorsque sa bouche arriva sur son épaule, tout semblait peine perdue, oui, tout, parce qu'elle commençait à sentir le désir se réveiller, celui-là même qu'elle essayait de contenir. Elle retrouva ses yeux, l'écoutant, ses lèvres tremblant légèrement sous le coup de l'émotion qui s'installait de plus en plus en elle. Elle le voulait et cette sensation ne périt nullement lorsqu'il l'embrassa, la jeune femme participant sans concession à cet exercice délicieux. Elle sentait ses mains sur elle, se déplaçant de sa taille à sa poitrine et elle ne put faire autrement que de se laisser faire, cette caresse stimulant encore davantage son envie. Sa respiration ne pouvait plus être contenue et parfois, elle gémissait bien malgré elle, son bassin réclamant celui de Zéleph. Elle devait se sauver avant qu'il ne soit trop tard, avant qu'il...

« Att... ». Il ne l'écoutait pas, la chemise de Zéleph maltraitée par son désir explosif et lorsqu'il arracha son propre vêtement, elle ferma les yeux, essayant de trouver un moyen d'arrêter tout ça. Mais son désir était trop grand. Ses mains vinrent se loger dans les cheveux du roi qui descendait à toute allure vers ses seins. Sa bouche sur sa peau la faisait gémir de plaisir et elle se mordit même la lèvre inférieure pour se faire taire. Mais il n'y avait rien à faire, elle était là, fébrile, grisée, du foin dans les cheveux, à moitié nue, désireuse d'un homme qui semblait fou. Elle lui tira légèrement les cheveux pour qu'il arrête, pour qu'il se redresse légèrement, articulant d'un air brûlant : « Je ne pensais pas que tu prendrais l'idée de faire une petite sœur à Neros au sérieux... ». Elle sourit, l'amenant vers elle pour l'embrasser sans retenue. Il avait beau être affamé, il n'était pas le seul et il lui donnait vraiment ses mauvaises habitudes. Les mains de la jeune femme glissèrent sur les épaules du réprouvé, lui ôtant sa chemise d'une caresse quelque peu sauvage, le faisant basculer à son tour pour qu'elle se retrouve en position dominante, ses lèvres valsant toujours avec les siennes à un rythme effréné. Elle sentait son torse contre sa poitrine et tout ceci n'arrangeait pas la situation. Elle se détacha de lui, plaçant ses mains sur des parties de son anatomie qu'elle trouvait bien trop découvertes à son goût.

« Je crois que tu as raison... je te rend fou, j'aime ça et ce n'est pas prêt de s'arrêter... ». Elle se pencha vers lui, respirant son parfum, retrouvant ses lèvres avec délice. Elle avait un plan, un plan parfait. Glissant ses lèvres dans son cou en mêlant sa langue à ses baisers mouillés et érotiques à souhait, elle atteint son lobe d'oreille qu'elle mordilla avant de chuchoter doucement. « J'aime te rendre dingue... alors, attrape moi, si tu peux. ». La jeune femme jeta une touffe de foin au visage du roi avant de disparaître, réapparaissant quelques mètres plus loin, un petit sourire victorieux sur le visage. La chemise de Zéleph trônait fièrement sur son buste, nouée par un nœud qui cachait la vue de ses seins. Elle lui lança alors en riant « Viens me chercher mon amour! » avant de se mettre à courir dans le champ, se dirigeant vers la direction du village ou de toute zone de Bouton d'Or susceptible de lui offrir une protection par la présence d'un individu quelconque. Il ne la rattraperait pas, il pouvait toujours courir. Et s'il la rattrapait, elle tricherait en se téléportant. Quoi qu'il en soit, elle pensait qu'un peu de sport calmerait sans doute les ardeurs de Zéleph, et les siennes avec. Courir lui faisait du bien, elle devait l'admettre, mais les images des lèvres du réprouvé sur sa poitrine... et surtout, les sensations de son corps... Elle avait encore envie de jurer qu'il ne l'aurait jamais mais son serment ne deviendrait que parjure. Mitsuko savait que, tôt ou tard, elle ne pourrait plus se débattre, tôt ou tard, il allait la coincer pour de bon, elle ne trouverait plus de porte de sortie. Et, ce jour là, elle n'en pourrait plus non plus, elle aurait envi de le sentir en elle comme ça avait été le cas quelques minutes plus tôt, le bassin du roi contre le sien lui faisant perdre la tête, la faisant frissonner encore et encore. « Tu ne m'auras... » Elle respira : « pas! ».
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Mer 26 Déc 2012, 01:28

Zéleph resta assit a la regarder, un peu perplexe. Que c’était-il passer ? Il n’y avait pas une seconde, elle était là, sa peau brulante caressant la sienne dans une délicieuse torture, et la seconde suivant elle était à plusieurs mètre en train de le narguer. Mitsuko adorait le frustré, c’était incroyable cette manie. Grognant le réprouvé s’élança après elle. Si il l’attraper, il ne lui laisserait aucune chance. Elle n’avait pas le droit de faire ça. Disparaitre alors qu’ils étaient dans un tel moment de plaisir. C’était inhumain d’arriver à résister à tant de désir. C’était surtout très dur pour lui de sortir de son moment de torpeur, alors qu’il avait réussi à s’approprier sa poitrine, et pour une fois que ça arriver, il n’était pas près d’y renoncer. Courant, il la rattrapait, mais elle aller directement vers le village et il n’était pas sur de l’attraper assez loin pour continuer leur « petit jeu ». Comprenant où elle voulait en venir il grogna. Il était hors de question qu’il soit encore priver, cette fois elle n’aurait personne pour venir l’aider. Le roi ralentit alors le rythme, la laissant délibérément prendre de l’avance. Quand elle fut assez près, il recélera pour la suivre près des premières maisons. Elle était tout de même en chemise d’homme ce qui ne passait pas inaperçu, les cheveux plein de foin et lui torse, nue, pas mal non plus question foin. Le roi salua quelque paysan avec un petit sourire, cela le regardant avec de grands yeux. Rattrapant finalement Mitsuko il l’attrapa par la taille pour la coller à lui.
« Et tu comptes faire quoi maintenant, hum ? Te promener dans la rue ainsi ? »
Ce n’était pas comme si la façon dont ils étaient peut vêtue et leurs corps essoufflé ne traduisait pas un certain exercice qu’ils auraient pratiqué, même si ce n’était pas le cas, à son plus grand regret. Les quelques personnes qui passèrent le saluèrent avec un sourire malicieux et il en rit presque.
« Au moins on a vraiment l’air de jeunes amoureux incapable de ce contrôlé, tu es plutôt doué dans ton genre. »
Ce penchant il lui embrassa le cou, avant de la lâcher pour lui attraper la main et la tirée vers le bâtiment le plus proche. Comme par hasard, l’auberge. Il voulait bien lui courir après en tenue légère, mais il y avait des limite et même sir les salutations amuser, ou par fois choquer de ses sujet était drôle à voir, il n’avait pas l’intention qu’on dise de lui qu’il faisait n’importe quoi ici. Quand il entra dans le bâtiment, la dame qui tenait les chambres les regarda arriver avec un petit sourire, ce qui ne faisait que confirmer qu’ils n’avaient pas l’air d’être là en simple touriste. Zéleph prit le partit de jouer les amants étourdit, voulant absolument finir ce qu’ils avaient commencé et pour sa part ce n’était pas loin d’être la vérité. La clef en main, il poussa Mitsuko vers l’étage, puis la chambre. C’était incroyable comme son sens de l’orientation s’aiguisait sous le poids du désir. Une fois la porte fermer a clef derrière eux, il prit le petit objet et le cacha à l’intérieur même de son pantalon, enfin, plus précisément, dans son sous vêtement. C’était un peu froid, mais il s’en fichait, ce n’était pas cela qui l’aller l’arrêter.
« Tu as voulu te montré à toute la ville, eh bien j’assure nos arrière, mais maintenant il faut assumer. »
Le sourire carnassier qu’il lui lança était sans équivoque. Foncent sur elle, il la plaqua brutalement contre lui, dans un grognement qui ne laissait aucun doute sur son désir. Sa bouche captura à nouveau ses lèvres. Il ne prenait plu de gant, elle lui avait retiré toute patience. Sa langue entra violement en collision avec la sienne alors qu’il défaisait sa chemise pour le laisser tomber à leur pieds. Ses mains ce glissèrent doucement au creux de ses reins, la collant à lui avec force pour sentir leur peau se caresser. Zéleph sentait la poitrine de Mitsuko contre son torse, nue et cela le rendait plus fou encore, plus vorace. Il abandonna sans prévenir ses lèvres pour descendre le long de son cou, parsèment son chemin de baisers brulant.
warning -18:
Le roi continua ainsi, changent de l’un a l’autre quand cela lui plaisait. Il grogna entre ses seins, sentant son désir s’accroitre à chaque fois un peu plus. Ce n’était plu du désir qu’il avait à présent, c’était un réel besoin, quelque chose de vital. Il là voulait tout de suite, mais il apprécier tellement ce qu’il lui infliger à cet instant qu’il laissa de coter ses propres envies, ce vouant littéralement eux siens. Pourtant comme si il ne pouvait s’en empêcher, son bassin de frotter légèrement contre le sien. Mitsuko le rendait complétement fou, il vibrait pour elle et à ce moment, si elle l’arrêter il ne s’en sortirait psychologiquement pas.
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Mitsu
Mer 26 Déc 2012, 02:49

Parfois, elle se haïssait d'être aussi têtue. « Tu... ». Sur le lit, le souffle court, elle devait admettre qu'elle s'était fait piégée comme une débutante. Non seulement il l'avait rattrapé, mais, en plus, elle se retrouvait dans une situation bien plus dangereuse que celle à laquelle elle essayait d'échapper précédemment. « ...es... ». Elle gémit, ayant toutes les difficultés du monde à articuler un mot, prise dans un désir ravageur, son plaisir au service de ce dernier. Son corps entier était devenu si sensible que dès que Zéleph la touchait, elle frissonnait. « ...diabolique. ». Oui, c'était un vrai démon, il la torturait et son esprit commençait à sérieusement se laisser aller, n'étant plus capable d'une seule once de réflexion. La manière dont il l'avait plaqué contre lui avait suffit à faire monter le désir et, l'excitation qu'elle ressentait ne pouvait sans doute pas être quantifiée. A force de jouer au chat et à la souris, à force de lui résister, il arrivait un moment où tout déraillait, où tout partait en vrille. Et ce moment semblait être arrivé car la jeune femme, étendue là, rougissait sous l'effet du plaisir, ses lèvres entrouvertes, sa tête en arrière, son dos légèrement cambré. Elle vibrait et elle sentait que trop bien les frottements du bassin du roi sur elle, elle sentait que trop bien sa langue, ses lèvres, ses dents. La peau de son ventre était collé à son torse et elle se délectait de chaque contact. Elle ne pouvait plus résister, elle allait lui donner ce qu'il voulait...là, maintenant. « Zéleph... ». Elle chuchota son prénom, l'état dans lequel elle était rendant son ton sensuel, provocateur. « J'ai envi de toi... ». Son corps entier était tendu, et elle chavirait totalement, perdant pieds, ses mains parcourant chaque parcelle de peau qu'elle pouvait toucher chez l'homme, ses cheveux, ses épaules, le haut de son dos. Mais ça ne lui suffisait pas. Elle le repoussa, le privant de ses seins un instant, le faisant basculer avant de lui susurrer : « Laisse moi en profiter... ». Le pire c'est qu'elle était vraiment sincère, elle en avait marre de lui échapper. Elle le voulait.

Spoiler:

Puis, elle disparut, se retrouvant dans une des chambres voisines avec la clef qui avait verrouillé la porte de leur chambre quelques longues minutes plus tôt. C'était de sa faute à lui...pourquoi l'avoir mis là aussi? Il avait tenté le diable, ou peut-être qu'il ne l'avait pas cru capable de s'aventurer si profondément? Néanmoins, même si elle lui avait échappé, son corps marquait le désir brûlant qu'elle avait pour lui. Elle soupira de sa propre bêtise avant de remarquer qu'un homme la regardait comme si un miracle était tombé du ciel. Certes, de son point de vue à lui, ça y ressemblait. Elle le fixa avant de lui dire d'un ton sec : « Donnez moi des vêtements au lieu de me regarder avec un air d'imbécile heureux. ». Elle n'était pas d'humeur, énervée par la tournure que prenait la situation. Elle n'aurait pas dû le quitter, à présent, elle était tellement frustrée qu'elle en aurait détruit tout ce qui l'entourait. L'homme s'exécuta, rougissant jusqu'aux oreilles. Bien sûr, elle dut enfiler des vêtements de l'autre sexe, mais peu lui importait, du moment qu'elle était couverte pour se rendre chez Neros. Car oui, c'était chez lui qu'elle trouverait la protection nécessaire contre le désir du roi, la protection nécessaire contre son propre désir. Et, en s'habillant, elle se demanda pourquoi elle n'était pas comme toutes les autres femmes, pourquoi elle ne se laissait pas aller jusqu'au bout? Cela lui aurait tellement faciliter la vie. Saluant l'inconnu, elle disparut vêtue d'un pantalon et d'une chemise bien trop grands pour elle. Elle se retrouva pile poil devant son fils, lui souriant avant de lui demander : « Est ce que je peux prendre un bain? ». Elle en avait besoin vu l'état dans lequel elle était, et c'était sans considérer le foin dans ses cheveux. La jeune femme ne donna pas plus d'explications, trouvant la situation assez embarrassante comme ça, surtout qu'elle savait très bien que Zéleph comprendrait bien vite où elle était. Mais avant de la rejoindre, il devrait déjà sortir de la chambre.


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Mer 26 Déc 2012, 03:43

S’enfonçant le poing dans la bouche Zéleph étouffa un crie de rage. Mitsuko avait osé, elle avait fait tout ça pour … pour lui voler cette foutu clef. Tout ce flot de plaisir, cette tempête, il n’était pas fou elle avait adoré ça, il avait même entendu les plus douce paroles qui ne soit jamais parvenu à ses oreilles. Tout ça pour que cette femme le quitte en plein acte de plaisir. Elle était inhumaine, c’était impossible de résister à ça, d’éteindre le feu aussi vite. Etait-ce quelque chose que les divinités étaient capable de faire ? Ces foutu Aethers qu’il commençait à haïr. A cause de leurs pouvoir elle lui échapper tout le temps et il ne pouvait rien faire contre cette téléportation. A tout moment quand il la prenait dans ses bras, quand il l’embrasser ou quand il voulait lui faire l’amour, elle pouvait en une fraction de seconde ce dérober. Zéleph fixa le plafond, le souffle encore coupé par ce qui venait de se passer, et le corps coincer entre désir passé et frustration profonde. Il ne pouvait pas sortir ainsi. Il tremblait de rage et encore de plaisir. Si il sortait de cette chambre il risquait de tuer plusieurs personnes simplement pour décharger toute cette rage qui s’accumuler en lui, au fur et à mesure qu’il réaliser le vide qu’elle venait de laisser. Si ça avait était n’importe quel autre femme, il aurait arrêté depuis longtemps, seulement il avait beau faire, il n’y avait vraiment qu’elle qui arrivait à le mettre dans cette état d’envie, de besoin bestial. A croire que quelque part il aimer ce jeu du chat et de la sourit, mais un jour il finirait par y rester, à force de le frustré ainsi, il aller en devenir fou. Reprenant assez de souffle et de sang-froid, le roi ce dirigea vers la salle d’eau. Il ne pouvait réellement pas sortir ainsi, et comme tout homme dans son état il n’y avait qu’une solution pour oublier un temps soit peut sa frustration.

Ce fut quand Neros vit son père arriver, le regard noire, la chemise a peine fermer, les cheveux plus ébouriffer cas l’ordinaire qu’il comprit que quelque chose clocher réellement. Déjà voir sa mère vêtue avec des habits d’inconnue ne l’avait pas rassuré sur ce qui était arrivé, mais vue l’état de l’homme supposer en être l’investigateur, quelque chose n’allait pas. Un peu craintif Neros osa quand même s’approcher de son père pour le prévenir.
« Maman est rentré il y a une demi-heure à peu près, elle prend un bain. »
« Rien à foutre. »
Zéleph était hors de lui. Elle aller l’entendre, bain ou pas bain, il s’en foutait. Elle ne pouvait pas faire ça a un homme. C’était contre nature, c’était démoniaque, c’était dangereux ! Foncent droit devant lui, le roi ne faisait même pas attention au réprouvé qui chercher à l’arrêter. Il ne savait pas ce qui était arrivé, mais il ne pouvait pas les laisser ce disputer, pas sous son toit, pas ses parents. Il lui courait donc après avec des « Tu devrais te calmer. » « Ça doit pas être si grave. » « Attend au moins qu’elle sorte ». Seulement quand Zéleph défonça la porte de la petite salle de bain rustique de son fils, Neros se retourna en se cachant les yeux complétement rouge. Sa mère nue, ça le traumatiserait toute sa vie.
« Bon eh bien… je… je vous laisse… »
Et Neros sortit de la maison le plus vite possible, laissant un Zéleph à la limite de l’explosion fusiller du regard celle qui avait fait des quelques minutes les plus incandescente de sa vie, les pires. Seulement quand Zéleph voulu ouvrir la bouche, il était dans un tel niveau de colère qu’il n’en sortit qu’un affreux grognement. Il se fichait qu’elle soit nue, ou que lui soit à peine vêtu, tout cela n’avait plu d’importance. Cette fois elle avait poussé le bouchon trop loin.
« Tu n’es qu’une… bordel ! Tu ne sais pas la chance que tu as d’avoir ton fils pas loin. »
Zéleph décida de s’arrêter là. Il sortit de la pièce, claquant la porte derrière lui ce qui fit tomber un pauvre tableau du mur. Le roi comme un lion en cage ne pouvait pas libérer sa colère et c’était pire que tout car non seulement il était frustré, mais en plus il ne pouvait rien libéré de sa frustration. Son regard se posa sur la bouteille de vodka que son fils avait sorti un peu plus tôt. Serrant les dents il détourna le regard, mais de la savoir là, il finit par lever à nouveau les yeux vers elle. Une gorger, rien qu’une gorger et il se sentirait mieux. Il serrait détendu. Qu’est-ce qu’il perdait ? Mitsuko ? Et alors, c’était de sa faute si il était dans cette état, elle devait l’aider et au contraire elle l’enfoncer, ce ne serait que de sa faute si il retomber dans la déchéance. A peine ce rendit-il compte qu’il s’approcher de cette bouteille, frôlant le verre de ses doigts, tremblant légèrement. Oui, il était fébrile car il savait qu’il ne devait pas, mais il en avait tellement besoin. SI Mitsuko persister à le repousser, l’alcool lui était un fidèle ami et ne le repoussait jamais, lui procurant de doux plaisir, le soulagent de tous ses mots. Oui, il en avait besoin. Avant qu’il ne s’en rende compte sa main c’en était emparé et son souffle ce coupa. Juste une goute, rien qu’une goutte et après il n’y toucherait plu …
« Juste un peu … »
Se sentant fébrile, il en perdait la raison. Soudain autour de lui tout devin noir, ne compter plu que cette bouteille, son contenu, et lui. Sa potion magique, celle qui était la solution et le remède à tous ses maux.
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Mitsu
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Mitsu
Mer 26 Déc 2012, 04:47

Mitsuko entendit un raffut terrible et elle se douta qu'il s'agissait de Zéleph. Cela faisait plusieurs minutes qu'elle était dans le bain et elle regrettait toujours autant d'être partie. Elle aurait préféré rester et même si elle avait peur de ce qui se passerait après l'acte, elle devrait de toute manière affronter ses craintes. Et puis, au pire, il la laisserait et irait s'amuser avec d'autres femmes, qu'est ce qui la dérangeait tant? Elle soupira, préférant ne pas trop s'aventurer sur un terrain glissant. Elle ne l'aimait pas mais elle était attachée à lui, elle ne voulait pas le voir aux bras d'une autre et, finalement, cette possessivité maladive n'était pas en accord avec ses actes. Elle savait bien qu'au bout d'un moment, elle le briserait et qu'il ne voudrait plus jamais la voir. Mais, à présent, elle était aussi dépendante de lui qu'il l'était. Elle avait besoin de le toucher, besoin de l'embrasser. C'était un désir fort, un peu comme une folie que l'on sait en être une mais que l'on veut accomplir quand même. Alors pourquoi continuait-elle à fuir? Elle ne l'avait pas voulu cette fois, c'était juste un concours de circonstances, elle avait trouvé cette clef et... et elle avait filé. Elle ferma les yeux, la porte s'ouvrant violemment pour laisser Zéleph entrer, Neros un peu plus loin décidant qu'il valait peut-être mieux se retirer. Il faisait bien. Elle le regarda, cet homme dont la rage marquait les traits. Elle s'en voulait. Il partit après avoir exprimé sa colère et elle resta dans l'eau. Elle devait rester là.

« Oh et puis m*rde! ». Se levant, elle attrapa une serviette, jurant pour la première fois depuis longtemps. Ça ne lui ressemblait pas mais, encore une fois, il déteignait sérieusement sur elle. Enroulant l'objet autour de son corps, elle sortit de la salle de bain, les pieds mouillés, les cheveux mouillés. Elle devait s'excuser, elle devait réparer ses erreurs. Elle s'arrêta un instant, souhaitant soudainement reculer mais quelque chose la poussa à continuer son chemin. Neros était sorti mais elle était certaine que le roi était toujours là. Et c'est là qu'elle le vit, là, une bouteille d'alcool à la main. Se téléportant pour aller plus vite, elle la prit d'un geste brusque avant de la balancer par terre, celle-ci éclatant dans un bruit sec, le liquide se répandant sur le sol doucement. « Ne refais plus jamais ça! ». Son ton était rude mais ce n'était rien comparé au regard assassin qu'elle lui lançait. Elle avait eu peur, voilà tout. Elle ne voulait plus qu'il y touche, et ce n'était pas simplement un caprice, c'était pour son bien. Ne lui laissant pas le choix, elle l'enlaça, posant sa tête contre son torse, ses mains caressant doucement le dos du roi, se voulant rassurantes.

« Ne fais pas ça. ». Sa voix était beaucoup plus douce, elle sentait son cœur battre dans sa poitrine et, curieusement, elle avait envi d'être franche avec lui. Elle ne supportait pas de le voir dans un tel état, même si elle en était la cause. « Écoute, je ne le fais pas exprès. C'est juste que...j'ai peur, voilà tout. Et ça n'a rien à voir avec ces femmes qui ont besoin de se marier pour le faire. J'ai juste... j'ai juste besoin d'une preuve que tu ne peux pas m'apporter. La preuve d'une chose qu'il est totalement égoïste de te demander. Tu me désires, tu penses que tu pourras être à moi un certain temps, mais... ». Oui, elle avait besoin qu'il soit à elle tout le temps, du moins, tout le temps qu'elle voudrait de lui. Une vraie vipère, elle ne pensait qu'à elle finalement. Elle baissa les yeux, consciente qu'elle ne pouvait le lui demander et puis, même s'il acceptait, il serait toujours libre de s'en aller, comme le mari trompant sa femme. Pourtant, elle ne l'aimait pas, elle ne voulait pas se marier, mais elle voulait qu'elle soit et reste unique pour lui, unique en tant que femme. « Enfin, peu importe. Je suis consciente que tu as arrêté l'alcool pour moi et que la tentation reste bien présente. Je suis aussi consciente que tu as réussi à dormir à mes côtés sans me toucher. Je suis consciente que tu te plies à toutes mes exigences, ou du moins, que tu fais de ton mieux. Et moi, je n'ai jamais rien eu à te donner en retour. ». Elle leva les yeux vers lui. « Je ne mentais pas tout à l'heure, j'étais sérieuse, je ne savais pas que j'allais trouver la clef, je l'avais oublié. Je le voulais vraiment... ».

Mitsuko s'écarta de Zéleph, s'aidant de ses mains pour grimper sur la table, éjectant également le verre qui tomba par terre. Elle espérait vraiment que Neros était parti loin et qu'il n'entendrait pas le bruit de ce qui lui appartenait toucher le sol. La déesse tendit le bras, attrapant la chemise ouverte à jamais de son fidèle, l'attirant doucement à elle. Elle hésitait encore à lui dire ce qu'elle désirait exprimer. Mais, finalement, elle se lança. « Comme tu ne m'as jamais rien demandé et que je suis la déesse de la justice, je vais faire en sorte que celle-ci soit rendue. Aussi, pour plus d'équité, je m'engage à ne plus utiliser le peu de magie que je possède dans nos moments d'intimité. Comme ça, si je dois disparaître, ce sera en courant et tu auras tout le loisir de me rattraper. Par contre, ce n'est pas dit que je n'use pas de la violence pour que tu restes sage. ». Elle lui sourit. Ils ne s'étaient jamais battus mais une chose était sûre : si cela se faisait, il en ressortirait obligatoirement perdant. Elle rit à l'idée d'étaler l'un des hommes les plus forts de ce monde. Bien entendu, elle disait ça pour le taquiner, elle aimait trop sa puissance, elle aimait trop sa virilité pour la remettre en cause de cette manière. Elle pensa soudainement à ses mains rugueuses sur elle, des mains fermes dont elle appréciait grandement le contact. La jeune femme finit par attraper ses mains, les fixant avec l'envie très prenante de les poser sur ses seins. Mais ce n'était pas le moment, il devait encore être en colère et puis, elle devait finir ce qu'elle était en train de dire. « Aussi, puisque tu as arrêté de boire pour moi, je t'offre un joker, un vœu en quelque sorte. Quand tu le voudras, tu pourras me demander quelque chose que je serai obligée de faire. ». Elle prenait un risque considérable et, d'un air amusé, elle finit par conclure : « Seulement, attention à bien l'utiliser. Il ne faudrait pas que tu me demandes quelque chose que je suis susceptible de faire en temps normal. ». Un peu plus brusquement, elle l'attira complètement à elle à l'aide de ses jambes, tirant sur les deux bouts de chemise au niveau de son col, l'embrassant gentiment : « Comme ça par exemple, c'est inutile de me le demander vu que je le fais déjà toute seule. Et je dois t'avouer que j'aime particulièrement ça. ». Elle lui sourit, espérant que tout ceci suffirait à lui faire comprendre qu'elle y mettait un peu du sien malgré les apparences qui jouaient contre elle.
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Mer 26 Déc 2012, 12:04

Une gorger et il n’y penserait plu, ce serrait fini. Il serrait soulager. Serrant la bouteille entre ses doigts, Zéleph fut surprit quand elle quitta sa main. Il posa son regard sur Mitsuko et frissonna d’horreur quand le verre ce brisa. Elle faisait vraiment tout pour lui rendre la vie impossible ! Il ne lui avait rien demandé, non il ne lui avait jamais demandé de l’aider et elle ce permettait de le forcer à arrêter de boire, pourquoi ? Pour faire n’aitre en lui une dépendance plus forte. Mitsuko le prit dans ses bras, et il ne bougea pas, ne voulant même pas poser ses yeux sur elle. Il était las de ses actions, de ses trahisons. Elle se mit à parler, mais il n’avait pas envide de l’écouter ce justifier. Elle recommencerait encore et encore et il ne savait même plu ce qui ne le poussait pas dans les bras d’une autre femme pour oublier cette douloureuse frustration. C’était cela, elle craignait une forme d’infidélité qu’il trouver dérisoire. Elle avait entre ses bras l’un des hommes les plus fidèle de ce foutu monde, et elle osait lui dire ça. C’est vrais, il n’avait jamais était quelqu’un de vertueux en amour, il avait même trompé Aaron, mais c’était bien diffèrent, cela n’avait rien à voir. Zéleph ne pouvait pas lui prouver qu’il tiendrait sa promesse si elle ne le laisser pas essayer, c’était insensé de la part d’une femme aussi intelligente. Seulement elle avait peut-être l’esprit pour manipuler, mais l’intelligence sociale, cela lui était inconnu. Mitsuko s’écarta et il baisa les yeux sur elle. Son étreinte l’avait légèrement calmé, il ne s’en étonnait même plu. Il savait qu’elle avait un certain pouvoir sur lui, il n’aurait pu l’admettre à haute voix, mais elle pouvait le calmer juste en le touchant, en s’approchant. Il se sentait simplement bien, ça ne s‘explique pas. Peut-être le faite qu’elle lui dise avec autant de sincérité que le moment passer avait était vrais, qu’elle n’avait pas simplement joué pour le torturé. Ses soupires, ses mots l’avaient tué, et quand il y pensait cela réanimer le désir au fond de lui, car même en colère il ne pouvait s‘empêcher de la vouloir plus que de raison.

Mitsuko s’assit sur la table avant de l’attiré a elle et il se laissa faire. Cette fois il posa ses mains sur ses hanches, incapable de rester si longtemps près d’elle sans la toucher. Zéleph retomber dans le piège, il le savait, c’était comme la toile d’une araignée, et plus il se débattait et plus il était pris dedans. Elle finirait par le manger, mais jamais elle ne le libèrerait. La déesse fit pourtant un grand pas vers lui, lui offrant quelque chose qu’il n’espérait jamais avoir. Elle était prête à jouer à armes égales avec lui ? Zéleph aurait presque pu sourire, mais il ne savait plu démêler le vrai du faux avec elle. Mitsuko lui prit les mains, il posa un instant ses yeux dessus avant de les remonter vers elle. Tout ce temps à se battre contre un mur et voilà qu’une porte lui apparaissait, lui donnant le change pour une fois. Ne manquer plus que la clef, mais ça il savait qu’il finirait par l’avoir, elle le laisserait entré et la guider. Comme si cela ne suffisait encore pas elle lui offrit un vœu. Ce fut ce dernier argument qui finit par achever sa colère contre elle. Il esquissa un sourire quand elle l’embrassa. Oui elle commencé à prendre ses aises avec lui et ce n’était pas pour lui déplaire, petit à petit elle se laisser conquérir. Jusque-là ça avait bien était la seule preuve pour lui, qu’elle le désirait, qu’elle apprécier autant a présence que lui en succomber. Coller contre elle, enfermer dans ses jambes, le réprouvé la fixa sans rien lui répondre. Elle l’avait tué un peu plus tôt, lui jouant un tour qu’aucun homme n’aurait apprécié et que peut aurait surmonté car au final c’était même blessant pour sa virilité.

Ses mains l’agrippèrent à la taille, la serrent alors qu’il se penchait pour rencontrer ses lèvres. L’embrassant doucement, caressant tendrement, ce baiser ressembler à un pardon. Elle avait de la chance qu’il soit un réprouvé équilibré entre le bien et le mal, et bien qu’il penche un peu trop souvent pour l’ombre, il ne pouvait pas rester indiffèrent à ses attentions. Ses mains ce glissèrent en concert sur les fesse de la déesse. Ce n’était nullement pour les caresser, bien que cela l’en empêcha pas, il la rapprocha encore pour le soulever, ne quittant jamais sa bouche de son inquisition. Allant dans la salle d’eau de la maison, il ferma la porte, puis entra dans le bain habiller et elle en serviette, cela importait peut. La baignoire était bien plus petite que chez elle, mais l’eau y était agréable. Ce séparant d’elle il retira sa chemise trempé, puis il se leva et enleva son pantalon, ne la lâchant pas des yeux. Le désir revenait au gallot, mais il n’avait pas l’intention de faire ça ici, non, il voulait simplement profiter. Il se rassit dans l’eau et il l’invita à venir entre ses bras, l’attirant sur lui. Leurs corps mouiller, séparé que par quelque tissus superflu, Zéleph sourit en laissant sa bouche effleuré la sienne.
« Puise que tu aimes les petits plaisirs. » Ses mains remontèrent lentement le long de ses cuisses, passant sous la serviette. « Laisse-moi t’en donner. » Il n’avait fait susurré avant de happait sa bouche, réclament sa langue. Tirant sur la serviette il la lui retira avant de la jeter par-dessus bord. Elle était nue contre lui et il adoré cette sensation. Ses mains retrouvèrent le chemin de ses fesses, il les apprécier particulièrement en réalité. Caressant son flan, puis remontant sur ses reins, le creux de son dos avant de redescendre a ses cuisses. Zéleph découvrait le corps de sa déesse, en douceur. Pendant ce temps sa langue jouer de la sienne avec cette même lenteur, cette tendresse inavoué. Effleurent sa camarade, la quittant pour mieux la reconquérir, caressante, elle finit par la câliner avec envie, avant de la quitter a nouveau pour qu’elle vienne à son tour. Tout ça n’était qu’une petite vengeance. Zéleph voulait simplement profiter, lui montré qu’il ne voulait pas seulement la prendre et puis la quitter après, c’était bien plus que tout ça, bien plus qu’elle ne pouvait l’imaginer, il voulait en faire la femme la plus épanouit qui soit, la faire fondre de plaisir avec lui et plus encore. Qu’il soit doux ou brutale cela n’avait aucune importance. L’une de ses mains plus baladeuse que sa sœur, ce glissa sur le ventre de Mitsuko, caressant légèrement son bas ventre avant d’avancer irrémédiablement vers son entre cuisse. En se retirant de sa bouche, vibrant de désir, il en avait tellement envie.
« Juste pour toi. »
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Mitsu
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Mitsu
Mer 26 Déc 2012, 15:14

Où l'emmenait-il? C'était la première chose à laquelle Mitsuko avait pensé, là, dans ses bras. Mais elle se laissa conduire, ne lui opposant aucune résistance, aimant même l'instant. La déesse savait très bien que si elle n'avait pas eu sa condition de divinité, il aurait pu faire d'elle tout ce qu'il voulait. Il était bien plus fort qu'elle n'avait jamais été tout au long de sa vie et, finalement, peut-être qu'il avait les épaules assez larges pour la supporter. Enfin, si elle ne recommençait pas ce qu'elle avait fait plus tôt. Mais, à vrai dire, elle n'en avait pas l'intention. La salle de bain, l'eau chaude. Elle le fixa d'un air interrogateur qui cessa immédiatement quand il ôta ses vêtements. Elle prit ça comme l'acceptation de ses excuses et se laissa attirer vers lui, sa bouche se mêlant à la sienne. Le contact était si doux, si langoureux, leurs langues se cherchant encore et toujours, elle ferma les yeux, se laissant aller dans la chaleur de la pièce, son corps succombant sous les caresses du roi. Il lui enleva sa serviette et elle se retrouva totalement nue contre lui, le désir grimpant en flèche. Elle ne comprenait pas cet homme, à jamais désireux, profitant de toutes les occasions qui se présentaient à lui pour la séduire, pour l'embrasser, pour la toucher. Pourtant, elle finissait toujours par craquer, par se livrer elle-aussi à ce jeu, et pire encore, elle en était demanderesse, elle le cherchait, elle le charmait subtilement, elle attendait uniquement qu'il se penche vers elle pour l'embrasser, oui, elle n'attendait que ça. Et même si elle fuyait toujours au pire moment, petit à petit, il prenait du terrain et elle le laissait faire, incapable de résister plus longtemps, fléchissant. Elle souhaitait qu'il la touche et lorsqu'elle sentit sa main sur son ventre, elle se crispa légèrement sous l'effet de la connaissance d'une délivrance prochaine. Elle avait tellement envi de lui, tellement envi qu'il s'y aventure. Elle le regarda, ne comprenant qu'à moitié ses paroles sous l'effet du désir, elle n'attendait que ses doigts, elle aurait tué pour qu'il les pose sur elle, sur cet endroit qui était à présent le plus sensible du monde.

// Attention \\
Spoiler:

Elle était fébrile, incapable d'articuler le moindre mot et elle préférait se concentrer dans le baiser qu'elle lui donnait, un baiser magique, une façon de le remercier, une façon de lui dire qu'elle était à lui, s'il la voulait. Néanmoins, la chose qu'elle avait oublié au premier contact de ses lèvres entre ses jambes revint à la charge dans son esprit et, à peine avait-elle pensé que Neros pourrait rentrer qu'elle entendit un bruit. C'était lui, c'était sûr. Elle se décolla du roi, se rendant compte de la situation compromettante dans laquelle ils se trouvaient, sa serviette mouillée, les vêtements du réprouvé trempés. Elle finit par rire nerveusement, se demandant comment elle allait pouvoir affronter le regard de son fils. Ils avaient fait ça chez lui, et en admettant qu'il ne s'en rende pas compte, elle y repenserait elle, sans doute à chaque fois qu'elle viendrait ici.
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Mer 26 Déc 2012, 16:48

Zéleph était un peu essoufflé, et c’était peut de le dire. Un sourire triomphant traversa son visage lors ce qu’il ce redressa pour la regarder. Le corps couvert d’eau, sa poitrine montant et descendant frénétiquement, la respiration troublée par le manque d’air, le plaisir gravé sur le visage. Le réprouvé regagna son visage, posant ses lèvres çà et là sur le corps de sa déesse, qui pour le coup n’aurait jamais pu être plus belle cas cette instant. Il était fier de son coup, et surtout très heureux de lui avoir offert cela. Il l’avait prévenu, avec lui c’était donnant donnant, quand elle faisait un pas vers elle, il lui offrait quelque chose et là c’était le meilleur cadeau qui soit. En tout cas lui avait adoré, mais elle n’avait pas l’air en reste. Bien au contraire, il voyait dans ses yeux, par tout sur son corps, l’effet qu’il avait produit en elle. Mitsuko vin l’embrasser et il y répondit avec envie. Il ne c’était jamais sentit aussi bien cas cette instant, pas depuis des années en tout cas. La serrant entre ses bras, il n’était pas près de la lâcher avant un long moment. Seulement c’était sans compter sur la planète qui continuer a tourné. Je ne vous cacherez pas qu’il trouvait ça très agacent. Un bruit ce fit entendre et si il lui sen foutu comme de sa première dents de lait, elle était comme à son habitude, craintive. Le roi enfouit son nez dans le cou de la déesse râlant dans sa barbe.
« J’ai compris … »
Peut importante l’endroit où ils se trouvaient il fallait toujours qu’il est quelqu’un ou quelque chose pour briser ces moment d’intimité. Au moins cette fois il avait pu finir ce qu’il avait commencé, quoi que si il avait dû ce stopper en plein milieux de sa torture ça n’aurait tait que vengeance sur ce qu’elle lui avait fait vivre à l’auberge. Déposant un baiser sur l’épaule de Mitsuko, il la lâcha à regret, avant de repérer ce qui semblait être l’étagère des serviettes. Il en prit une pour ce sécher, et une autre qu’il donna à la jeune femme. Le problème c’était qu’il ne pouvait plus rien ce mettre, ses vêtements étant complétement tremper. Cette situation était des plus pratiques. Soudain un grand bruit ce fit entendre, comme si quelque chose de lourd était tombé, accompagner d’un cri de douleur. Inquiet, Zéleph sortit de la pièce ce demandant ce qui se passait dans cette maison. Ferment derrière lui, laissant Mitsuko seule. Quand il entra dans la grande pièce il vit ners entrain de remettre une étagère debout.
« Mais qu’est-ce que ta foutu ? »
Sur sautant le réprouvé manqua de laisser une nouvelle fois tomber le meuble. Le roi décida de l’aider avant qu’il ce la prenne à nouveau sir la tête. Le jeune homme n’osa pas regarder son père, gêner par la situation. En vérité il avait entendu les cris de sa mère et c’était inquiété. Dans la logique des choses il était venu voir ce qui se passait, mais quand il avait compris ce qui était en train de se passer, prit de panique il s’est enfuit avant que des images traumatisante n’atteigne son esprit. Seulement, ayant au moins une notion de l’espace aussi poussé que son paternel, il était rentré dans l’étagère qui avait vacillé avant de lui tomber dessus. Heureusement, il avait la tête dure, bien qu’il saigner légèrement tout de même. Zéleph le fixer, las. Pendant que Neros bafouiller. Il ne fallait pas être idiot pour comprendre. Entre la mère et le fils, Zéleph était servi. Il fallait ce reprendre, ce n’était pas si grave, bien qu’il avouer cas sa place, entendre sa mère prendre ce genre de plaisir l’aurait dégouté pour un certain temps de la pratique du plaisir de la chaire.
« Tu veux me rendre un service et me trouver de quoi me changer ? Et donner quelque chose à ta mère aussi. »
Neros acquiesça avant de foncer à l’étage, évitant de perdre plus de temps à discuter à propos de quelque chose qu’il n’apprécier pas. Il redescendit aussi sec pour lui donner les vêtements avant de fuir, bredouillant qu’il avait beaucoup de travaille. Le roi étouffa un rire avant de retourner dans la salle de bain. Le coup à la tête n’avait pas du aider ce brave gamin. Il tendit une robe que lui avait donné Neros, ce demandant à peine où il avait bien pu trouver ça, l’idée que son fils ce travestisse lui traversa l’esprit.
« Ne t’étonne pas si Neros ne pose pas les yeux sur toi avant un certain temps, je crois qu’il ta entendu. »
Il ricana, enfilant la chemise qu’il lui avait donnée, cachant à peine sa moquerie.
« En même temps, maintenant il n’aura plus aucun doute sur ce qu’il croit, et à mon avis tout le village, n’en a plu non plus. »
Ce n’était pas faut. Cela avait eu du bon. La véracité de leurs mensonge n’était plu a démontré à présent. En plus à son plus grand plaisir on ne pourrait pas dire de lui qu’il ne savait pas faire plaisir à la femme qu’il aimer, enfin, ce n’était pas vraiment le faite qu’il l’aime qui était le plus important. Finissant de s’habiller, le roi réalisa que le temps qu’il avait perdu ici aurait dû servir à aller à Stenfek, il avait bien des problèmes depuis un moment et il fallait qu’il travaille, loin de Mitsuko, sinon il n’y arriverait jamais. Zéleph s’approcha de la déesse avant de se pencher pour l’embrasser.
« En parlent de Bouton d’or, j’ai des choses à faire, mais je suppose qu’on se retrouve ce soir chez toi ? »
Il lui sourit. Il valait mieux en rire qu’autre chose de toute façon. Il savait bien qu’il y avait de grande chance prou que cette nuit il n’aille pas au manoir. Le Circus avait besoin de lui et avec le temps qu’il passer en ce moment en dehors il devait reprendre en main la boutique avant que les employés pensent qu’Adam était le patron après le patron. Il ne manquer plu que ça.
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Secret Story (-18) [pv Mitsuko]

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