Mission : Adriaen et Hélène se retrouvent coincés chez un Vampire parce que l'un des deux avaient envie de faire pipi.
Un sourire factice était accroché aux lèvres d’Adriæn. Intérieurement, une rage froide avait envahi sa cage thoracique. Il ne ressentait ça que très rarement, cette griffure profonde qui résultait de la perte de contrôle sur son environnement. La morsure rendait son esprit instable et il était incapable de stopper l’effritement de la façade qu’il maintenait toujours en place. Cette soirée avait sonné le glas de son règne factice. Il y avait appris trop de choses dérangeantes et vécu trop de déconvenues. Il était incapable de le supporter. Il ne pouvait pas laisser Susannah faire glisser Johannês loin de lui. Il ne pouvait pas accepter que Kiara eût pu écarter les cuisses pour un autre que lui. Il était jaloux de Lucius, jaloux de Dastan et honnissait Érasme. Les souvenirs de la soirée dans sa totalité lui ayant échappés, il ressassait sans cesse dans l’espoir de retrouver les fragments de ses actes et des paroles qu’il avait pu adresser à certains et à d’autres. L’odeur qui avait maculé ses doigts au réveil était caractéristique. Il se demandait simplement à qui il s’en était pris et, surtout, dans quelles conditions. Sa mémoire lui faisant défaut, l’angoisse le tiraillait. Il ne pouvait pas se permettre de voir les efforts qu’il avait fourni jusqu’ici réduits à néant par quelques maladresses. Johannês était égal à lui-même. Sympan aussi. Rien ne semblait avoir changé et, pourtant, tout avait été redessiné. Il avait affreusement besoin de décharger ses pulsions. Une fois qu’il l’aurait fait, il redeviendrait calme et pourrait aviser. Il ne pourrait pas se contenter de l’emprise qu’il possédait sur ses colocataires. Il devrait s’élever pour l’étendre au-delà de son dortoir. Il devrait devenir le plus puissant du groupe. Les autres lui mangeraient dans la main et, plus tard, les Ondins eux-mêmes plieraient devant lui. Telle était sa juste place : au sommet.
La chevelure blonde d’Hélène le sortit de ses pensées. Il la fixa alors qu’elle se trouvait de dos par rapport à lui. Il n’attarda pas son regard sur ses reins mais ses fesses restèrent ancrées dans ses prunelles. Il eut une idée et s’approcha d’elle. Il lui sourit. « Salut Hélène ! » Il jeta un coup d’œil aux lobes de ses oreilles. « Excuse-moi de te déranger mais je fais le tour de ceux qui auraient envie d’aller aux toilettes. Comme Seaghdha est très peu desservie en toilettes publiques, je me suis dit qu’on pourrait demander à un habitant. Autant qu’on y aille en groupe afin de ne pas trop déranger. Personne n’a envie visiblement mais si c’est ton cas, on peut y aller ensemble. » Il pensa brièvement qu’il pourrait l’acculer dans les fameux toilettes ou la regarder se faire mordre par un Vampire à qui il aurait glissé l’idée de planter ses canines dans sa peau délicate. Il porta sa main à son front, l’air soudainement gêné. Il ferma les yeux un instant et les rouvrit, une expression embêtés mais bienveillante sur le visage. « Désolé, c’est ta présence qui me trouble. » lâcha-t-il. Il attendit un peu et précisa. « À cause de ma magie. »
517 mots
Priam et Laëth ~ Ange ~ Niveau III ~ ◈ Parchemins usagés : 3853 ◈ YinYanisé(e) le : 02/02/2018◈ Âme(s) Soeur(s) : La bière et le saucisson | L'adrénaline et les problèmes ◈ Activité : Berger [III], traducteur [II], diplomate [I] | Soldat [III], violoncelliste [I]
Dès qu’elle vit Adriæn, Hélène pinça machinalement son oreille entre son pouce et son index. Elle fut frappée par la prestance qui se dégageait de lui. Il avait changé, depuis leur rendez-vous organisé par l’AAAP. Elle s’en était déjà rendu compte en l’apercevant de loin, mais de près, l’effet était bien plus impressionnant. Les discours des jeunes Magiciennes sur l’art de tout mettre en œuvre pour se faire courtiser, quoique d’un ennui mortel, flottaient dans sa mémoire ; si bien qu’elle regretta de ne pas porter les boucles qu’il lui avait offertes. La honte d’y accorder de l’importance colora ses joues de carmin. Quant à son rythme cardiaque, si elle n’avait pas deviné à quoi il était dû, il aurait fait l’objet d’une inquiétude aiguë. « Ensemble ? Aux toilettes ? » Elle cligna des paupières, les pommettes encore plus cramoisies. Il n’était tout de même pas en train de lui proposer de soulever le bas de sa jupe pour l’aider à s’asseoir sur… « Ah, oh, euh… » Elle s’éclaircit la gorge et replaça quelques mèches de cheveux vers l’arrière, le regard dirigé vers le sol. Avait-elle envie de faire pipi ? Aucune idée. Elle désirait surtout retrouver une maîtrise d’elle-même. Elle inspira, prête à se ressaisir, mais il la déstabilisa à nouveau. « Ma présence ? » L’Humaine releva le visage pour scruter les yeux océan de l’Ondin. Ses iris ne tinrent pas longtemps l’affrontement et papillonnèrent vers son épaule. « Ah, oui. Ça arrive. » Elle joignit ses mains et les tordit, comme si l’anti-magie fonctionnait de la même manière qu’un quelconque sort et qu’elle avait été capable d’en faire cesser les effets. Elle jeta des regards autour d’elle. Les autres élèves s’étaient réunis en petits groupes, desquels elle se tenait à l’écart parce qu’elle s’était prise d’admiration pour les détails d’une sculpture incrustée dans la pierre d’une bâtisse. Consultant sa montre, elle constata qu’il s’écoulerait encore une bonne heure avant qu’ils pussent avoir accès à des toilettes. « On n’a qu’à aller aux toilettes. Tu connais quelqu’un à qui on peut demander, peut-être ? » Hélène avança dans une direction aléatoire, désireuse de mettre son corps en mouvement. Cela ne suffit pas à échapper complètement à « l’effet premier sujet test » ou « effet Adriæn », mais il y eut du mieux. « J’ai fait la connaissance de croque-morts, mais je ne suis pas certaine qu’ils nous laisseraient uriner dans un cercueil… » Elle tenta un sourire. Sa main droite s’enroula autour de son coude gauche, qu’elle massa distraitement. « D’ailleurs, je pense qu’en tant que futur médecin, ça t’aurait intéressé. La morgue, je veux dire. C’est vraiment fascinant, la décomposition du corps humain. » Elle s’apprêtait à poursuivre mais son attention fut happée par une porte rouge. « On pourrait essayer ici ? »
Message I – 470 mots
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Quand je vois une bêtise plus grosse que moi et que je décide de la faire.
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Merci Kaahlinou
Adriæn Kælaria ~ Sirène ~ Niveau I ~ ◈ Parchemins usagés : 414 ◈ YinYanisé(e) le : 20/01/2021
« Non mais je pense qu’on va trouver quelqu’un qui voudra bien nous ouvrir sa porte. » répondit-il, en se voulant rassurant. En l’observant, il avait noté des réactions chez elle qui ne trompaient pas. Peut-être pourrait-il revoir légèrement ses plans et décider de se servir d’Hélène pour atteindre Kiara ? En plus, il lui semblait – mais il n’en était pas certain – que l’Humaine était une Paiberym. Avec un peu de chance, elle connaissait Lucius. S’ils étaient proches, il pourrait atteindre le Magicien par son biais. Une pierre deux coups. Les lèvres d’Adriæn s’étirèrent lorsqu’elle parla d’uriner dans un cercueil. Son humour lui semblait douteux mais il vivait quotidiennement avec Sympan. De plus, faire semblant de rire était un exercice récurrent chez lui. Il avait commencé jeune à tenter de déchiffrer les émotions chez autrui pour pouvoir les reproduire au mieux. Ainsi, il paraissait normal. Heureusement, Johannês l’avait toujours accepté comme il était sans se soucier de rien. La bêtise généralisée de son ami avait été une aubaine. « C’est sûr. Ils risqueraient même de nous enfermer dedans pour nous punir. On serait vite à l’étroit. » Il sourit, l’air de rien, en la regardant masser son coude. Il remonta les yeux jusqu’à son cou et le lobe de son oreille. Il aurait préféré qu’elle portât le cadeau qu’il lui avait offert. « Attends. » déclara-t-il, en la retenant par le poignet. « Je voulais te dire… Ne le prend pas mal parce que ce n’est pas négatif. C’est même plutôt le contraire. Je trouve que tu es spéciale comme fille. Tu t’intéresses à la décomposition du corps humain et tu vas à des rendez-vous galants en considérant les autres comme des sujets. » Il rit. « Je suis admiratif, c’est tout. On ne m’avait jamais fait ça avant... En fait, je suis bien content d’être le sujet test numéro un. » Il la lâcha et s’approcha de la porte pour frapper.
Après quelques secondes d’attente, le battant s’ouvrit sans que personne ne se manifestât. Adriæn fronça les sourcils pour la forme et entra. « Il y a quelqu’un ? » demanda-t-il. Le silence lui répondit. Lorsqu’Hélène arriva à son tour, la porte se referma et un cliquetis significatif se fit entendre. Étrangement, la situation lui procura quelques frissons de plaisir. Il fit deux pas avant de se tourner vers Hélène. « J’ai l’impression qu’il n’y a personne… » Il n’avait pas besoin de vérifier si la porte était fermée. Elle l’était. « C’est peut-être un sortilège ? Ou une plaisanterie… » La possibilité de tuer leur hôte lui passa par la tête. « On essaye quand même de trouver les toilettes ? » la questionna-t-il. « Peut-être qu’on tombera sur le propriétaire des lieux comme ça ? Qu’est-ce que tu en penses ? »
460 mots
Priam et Laëth ~ Ange ~ Niveau III ~ ◈ Parchemins usagés : 3853 ◈ YinYanisé(e) le : 02/02/2018◈ Âme(s) Soeur(s) : La bière et le saucisson | L'adrénaline et les problèmes ◈ Activité : Berger [III], traducteur [II], diplomate [I] | Soldat [III], violoncelliste [I]
Hélène demeura figée sur le trottoir. Les contacts, et surtout ceux avec des gens desquels elle ne se considérait pas proche, la mettaient généralement mal à l’aise. Couplé aux paroles d’Adriæn, ce toucher la plongeait dans une incertitude complète. Qu’avait-il voulu dire, exactement ? Ses mots rebondissaient dans son esprit, à la recherche de discours similaires auxquels les raccrocher afin d’en extraire le sens profond. Que ne lui avait-on jamais fait, avant ? Elle ne se souvenait pas d’avoir fait quoi que ce fût. Seuls ses yeux se murent, suivant la silhouette du blond jusqu’à la porte. Lorsqu’elle la vit s’ouvrir sans que personne n’apparût derrière, l’Humaine fronça les sourcils et inclina la tête sur le côté. « Attends… » Il entrait déjà. Aussitôt, elle s’élança derrière lui. La porte claqua dans son dos ; elle sursauta. Le cliquetis caractéristique de la serrure répandit dans son dos un long frisson d’appréhension. Ils allaient avoir des problèmes. « La porte ne peut pas s’être ouverte et verrouillée toute seule. » répondit-elle, pragmatique, un afflux de crainte conférant à sa voix des intonations plus sèches. Même si le maître des lieux n’était pas présent, que sa maison s’offrît aux passants pour mieux les emprisonner ne présageait rien de bon. « Je ne sais pas… » Elle eut envie, pourtant, terriblement envie, d’accepter. De suivre Adriæn dans sa recherche. Ça défiait toute logique. Elle eut encore plus peur. Les avait-on ensorcelés ? Elle jeta un coup d’œil à la porte. « Je crois qu’on devrait sortir d’ici. » La Paiberym fit volte-face. « On n’est pas en sécurité. » La certitude s’ancra en elle et la terreur balaya tout le reste. Ses doigts entourèrent la poignée. Elle essaya de l’activer mais, comme elle s’y attendait, ils étaient enfermés. Ses iris céruléens scrutèrent la pièce principale, à la recherche d’un objet solide. Elle avisa une statuette de dragon. S’en emparant, elle la jeta de toutes ses forces contre une fenêtre. Elle dut s’y reprendre plusieurs fois, mais finit par réussir à percer une ouverture et à la débarrasser des éclats trop tranchants. À l’étage, des bruits de pas résonnèrent. Le palpitant en furie, elle tendit la main vers l’Ondin. « Viens vite ! » Elle enjamba le cadre de bois la première. Le bas de son uniforme se déchira et elle s’égratigna les doigts, mais ressortit saine et sauve. Dehors, elle attrapa la main du blond et partit en courant, l’entraînant derrière elle. Lorsque la peur décrut, elle s’arrêta. Gênée, elle relâcha sa paume et jeta un regard sur le côté. Puis, un sourire affleura sur ses lèvres, et elle laissa échapper un rire. « C’était moins une. » Elle reprit son souffle. « On cherche d’autres toilettes ? Je crois que ça m’a vraiment donné envie d’y aller. Mais chez des gens normaux. » Ses yeux brillaient d’adrénaline. « Oh, et, rien à voir, mais j’aimerais bien récupérer les boucles d’oreilles que j’ai oubliées au speed-dating, un jour… » Elle avait demandé à l’AAAP si ses membres les avaient trouvées, mais apparemment, Adriæn était parti avec.
Message II – 512 mots
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Quand je vois une bêtise plus grosse que moi et que je décide de la faire.
![[Vampirel] - Acculer (Hélène) Zwbn](https://zupimages.net/up/21/08/zwbn.bmp)
Un sourire factice était accroché aux lèvres d’Adriæn. Intérieurement, une rage froide avait envahi sa cage thoracique. Il ne ressentait ça que très rarement, cette griffure profonde qui résultait de la perte de contrôle sur son environnement. La morsure rendait son esprit instable et il était incapable de stopper l’effritement de la façade qu’il maintenait toujours en place. Cette soirée avait sonné le glas de son règne factice. Il y avait appris trop de choses dérangeantes et vécu trop de déconvenues. Il était incapable de le supporter. Il ne pouvait pas laisser Susannah faire glisser Johannês loin de lui. Il ne pouvait pas accepter que Kiara eût pu écarter les cuisses pour un autre que lui. Il était jaloux de Lucius, jaloux de Dastan et honnissait Érasme. Les souvenirs de la soirée dans sa totalité lui ayant échappés, il ressassait sans cesse dans l’espoir de retrouver les fragments de ses actes et des paroles qu’il avait pu adresser à certains et à d’autres. L’odeur qui avait maculé ses doigts au réveil était caractéristique. Il se demandait simplement à qui il s’en était pris et, surtout, dans quelles conditions. Sa mémoire lui faisant défaut, l’angoisse le tiraillait. Il ne pouvait pas se permettre de voir les efforts qu’il avait fourni jusqu’ici réduits à néant par quelques maladresses. Johannês était égal à lui-même. Sympan aussi. Rien ne semblait avoir changé et, pourtant, tout avait été redessiné. Il avait affreusement besoin de décharger ses pulsions. Une fois qu’il l’aurait fait, il redeviendrait calme et pourrait aviser. Il ne pourrait pas se contenter de l’emprise qu’il possédait sur ses colocataires. Il devrait s’élever pour l’étendre au-delà de son dortoir. Il devrait devenir le plus puissant du groupe. Les autres lui mangeraient dans la main et, plus tard, les Ondins eux-mêmes plieraient devant lui. Telle était sa juste place : au sommet. 
![[Vampirel] - Acculer (Hélène) 4p2e](https://zupimages.net/up/21/03/4p2e.bmp)
Dès qu’elle vit Adriæn, Hélène pinça machinalement son oreille entre son pouce et son index. Elle fut frappée par la prestance qui se dégageait de lui. Il avait changé, depuis leur rendez-vous organisé par l’AAAP. Elle s’en était déjà rendu compte en l’apercevant de loin, mais de près, l’effet était bien plus impressionnant. Les discours des jeunes Magiciennes sur l’art de tout mettre en œuvre pour se faire courtiser, quoique d’un ennui mortel, flottaient dans sa mémoire ; si bien qu’elle regretta de ne pas porter les boucles qu’il lui avait offertes. La honte d’y accorder de l’importance colora ses joues de carmin. Quant à son rythme cardiaque, si elle n’avait pas deviné à quoi il était dû, il aurait fait l’objet d’une inquiétude aiguë. « Ensemble ? Aux toilettes ? » Elle cligna des paupières, les pommettes encore plus cramoisies. Il n’était tout de même pas en train de lui proposer de soulever le bas de sa jupe pour l’aider à s’asseoir sur… « Ah, oh, euh… » Elle s’éclaircit la gorge et replaça quelques mèches de cheveux vers l’arrière, le regard dirigé vers le sol. Avait-elle envie de faire pipi ? Aucune idée. Elle désirait surtout retrouver une maîtrise d’elle-même. Elle inspira, prête à se ressaisir, mais il la déstabilisa à nouveau. « Ma présence ? » L’Humaine releva le visage pour scruter les yeux océan de l’Ondin. Ses iris ne tinrent pas longtemps l’affrontement et papillonnèrent vers son épaule. « Ah, oui. Ça arrive. » Elle joignit ses mains et les tordit, comme si l’anti-magie fonctionnait de la même manière qu’un quelconque sort et qu’elle avait été capable d’en faire cesser les effets. Elle jeta des regards autour d’elle. Les autres élèves s’étaient réunis en petits groupes, desquels elle se tenait à l’écart parce qu’elle s’était prise d’admiration pour les détails d’une sculpture incrustée dans la pierre d’une bâtisse. Consultant sa montre, elle constata qu’il s’écoulerait encore une bonne heure avant qu’ils pussent avoir accès à des toilettes. « On n’a qu’à aller aux toilettes. Tu connais quelqu’un à qui on peut demander, peut-être ? » Hélène avança dans une direction aléatoire, désireuse de mettre son corps en mouvement. Cela ne suffit pas à échapper complètement à « l’effet premier sujet test » ou « effet Adriæn », mais il y eut du mieux. « J’ai fait la connaissance de croque-morts, mais je ne suis pas certaine qu’ils nous laisseraient uriner dans un cercueil… » Elle tenta un sourire. Sa main droite s’enroula autour de son coude gauche, qu’elle massa distraitement. « D’ailleurs, je pense qu’en tant que futur médecin, ça t’aurait intéressé. La morgue, je veux dire. C’est vraiment fascinant, la décomposition du corps humain. » Elle s’apprêtait à poursuivre mais son attention fut happée par une porte rouge. « On pourrait essayer ici ? »
![[Vampirel] - Acculer (Hélène) 1628](/users/3014/30/04/80/smiles/1628.gif)
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![[Vampirel] - Acculer (Hélène) 2289842337](/users/3014/30/04/80/smiles/2289842337.gif)
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