Oui j’arrivais à m’inquiéter du sort d’un petit lapin, j’étais ainsi. Tout être vivant méritait que l’ont s’inquiète pour lui. Ce n’était pas car ce n’était pas le cas pour moi que je ne devais pas faire attention aux autres. Bon, maintenant ne me demander de ne ma m’inquiétée pour un tigre, surtout s’il est prêt à me sauter dessus pour me bouffer. Mais des petits lapins ou toute autres animaux du genre, oui j’essayais d’y portée une certaine attention. Même si eux prenait bien soin de me fuir quand je les rencontrais, mais est ce que c’était à cause de mon physique ou de mon odeur, alors là bonne question. Elle m’expliqua alors qu’elle reviendrait ne serais ce que pour soignée ma jambe. Mais elle m’expliquait aussi qu’elle n’avait pas d’autre endroit à me proposer pour le moment ou je pourrais vivre tranquillement. «C’est gentil Shaeva, vraiment. Mais de toute manière, je ne me sens pas de vivre dans vos maisons de bois et de pierre. Je suis beaucoup mieux dans la forêt. Quant à ma jambe, si je reste assez longtemps tranquille, alors ça finira par se refaire tout seul. J’espère juste que des voyageur ne viendront pas mettre leur nez dans les environs pour le moment.» Et ça, ce n’étais pas encore gagnée.
Finalement, alors que j’étais en train de regarder dans un buisson, j’entendis Shaeva criée qu’elle avait trouver la carotte et je tournais la tête juste au moment ou elle dégageait la petite voleuse de son nid. Bien qu’elle nous eût rendu la tâche plus compliquer, je ne pouvais pas m’empêcher de plaindre le pauvre oiseau qui s’envola plus loin quelque peut choquée. J’avoue que ce n’était pas moi qui aurais eu ce genre de comportement. Elle fini par dire qu’elle se souviendrait de tout ce qu’ont avaient fait pour une simple peluche, mais moi personnellement ça ne m’avait pas plus dérangé que cela. En fait le seul point noir de l’histoire que j’avais, outre ma jambe bien sûr, c’était le fait que c’était de ma faute que c’était arriver, mais est ce que finalement c’était vraiment un mal ?
On était alors retournée à l’abris et une fois là-bas elle termina de la réparée. Et j’écoutais encore ce qu’elle avait à dire. «Tu n’aurais pas eue à la chercher si je n’aurais pas fait peur à ces enfants. Certes tu aurais peut-être dû les cherches eux même, mais je crois qu’ils sont moins compliqués à retrouver que tout ce qu’ont à fait aujourd’hui. Tu n’as donc pas à me remercier pour ca.» J’écoutais aussi le fait qu’ont allait se revoir, ca me semblait tellement sur réaliste que j’avais du mal à me l’imaginer. « tu m’a expliquer être ici pour t’occuper de ces enfants, tu vas donc avoir beaucoup à faire. De plus, ne vont-ils pas se poser des questions ? Je suppose que tu sais ce que tu fais, mais je ne veux pas de causée des ennuis. Alors viens si tu en a le temps et l’occasion, mais si non vis ta vie. Ça ne sert à rien que tu t’inquiètes trop pour moi. Mais dans tous les cas, moi aussi ça m’a fait plaisir de te rencontrer. Comme je te l’ai dit, tu es la premier personne avec qui j’ai pu converser et ça m’as fait du bien.» Mais je souris quand elle parla de la journée, une premier pour moi. «C’est vrai, depuis que je suis sortie de ma fleur, c’est la meilleur journée que j’ai passée. Peut-être en aura-t-il d’autre ? » Et puis, peut être avec un peu de chance, la prochaine fois que l’ont se verraient, j’aurais une forme différente ? C’était beau de rêver non ? Mais mon regard se posa sur l’extérieur, il commençait à se faire tard et même si elle avait visiblement réussi à convaincre les autres qu’il n’y avait pas de monstre, il fallait quand même qu’elle rentre chez elle avait qu’ils ne croient qu’elle aille eu un accident. «Shaeva, je crois qu’il y a quelqu’un qui attend avec impatience sa peluche. Tu ferais mieux de te mettre en route. Je serais ravie que tu viennes me rendre visite, mais si un jour tu voies que j’ai quitté cet endroit, c’est que je n’aurais pas eu le choix à cause de voyageur ou autre. Mais ces promis, j’essayerais de revenir ici un jour si ça venait a arriver. » Je préférais la prévenir, mais oui si vraiment je n’aurais pas la chance de pouvoir rester ici, alors je reviendrais un jours pour la rassurée. Enfin, j’espère que j’en aurais l’occasion en tout cas.
Alors que je la regardais s’éloignée, une pointe d’espoir naissait en moi. Il y avait dans ce monde des personnes qui savaient regarder plus loin que ce qu’ils voyaient, des personnes qui avait le cœur sur la main, même si elle avait leur caractère bien trempé. Alors oui, ça faisait grandir l’espoir d’arriver à lever ma malédiction.
