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 Les Origines (unique)

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Dim 24 Mai 2015, 23:37

« Se portrait vous plait? » Zéleph détourna les yeux de la peinture qu’il fixer de puis plusieurs longues minutes, pour les posé sur la vieille dame. Il était un peut troubler. La femme lui souri gentiment, attrapant la petite toile pour le lui présenté. Hésitant le réprouvé fini pourtant par le prendre entre ses mains. « Il me rappelle seulement quelqu’un. » Dit-il simplement. Il était venu a Stenfeck pour vendre quelque babioles qu’il avaient accumuler, et il cherchait du travail. De puis quelque semaines il avait mit sa crainte de coter et n’avait plus de honte a affronter la surprise des réprouvés quand ils le reconnaissaient. La rumeurs avaient du se répandre, tout le monde savait qu’il était réapparut, mais heureusement personne n’osé lui posé de questions sur se qui c’était passer. On le laisser en paix, du moins pour le moment et il ne chercher pas à attiré l’attention.

Marchant dans les rues de la grande capital réprouvé, il c’était stoppé net devant se stands. Les marchés ne l’avait jamais spécialement attiré, l’art encore moins, mais ce portrait l’avait troubler. Il lui avait rappeler quelqu’un de particulier, qui, même si il chercher à l’oublier, lui manquer plus que tout. Alors il s’était perdu dans ses souvenirs et était resté là à fixer cette oeuvre. Se n’était pas elle, il y avait une légère différence dans la forme du visage et du nez, mais ses yeux semblaient identique. D’un vert intense, envoutant. Qu’importe qui si plonger, il n’avait d’autre choix que de si noyé. « Elle est belle n’est-ce pas ? » Il sourit. Celui qui penser le contraire serait un bien médiocre menteur. Zéleph avait des frissons aux souvenirs de son contacte, de son sourire, de son parfum. Cela faisait si longtemps. Son coeur était briser rien qu'a cette penser. Il avait mal a l’idée qu’elle l’ai oublier. Il se sentait si seul et misérable. De toute façon, il savait bien qu’il n’était plu digne d’elle. Il n’avait plu espoirs de la revoir, ou qu’elle l’aime encore. Au final, le pire qu’on lui ai fait subir se n’était pas de l’avoir rendu aussi chétif qu’un gamin, c’était de l'avoir privé de toute ses chances de sauver se qu’il avait de réellement précieux en se monde. Elle. Seulement elle. Les regrets l’avait envahit et ses yeux devait faire reflet de sa grande souffrance, car la marchande posa délicatement ses mains abimer sur les siennes. Il fut surprit et sursauta légèrement, quittant son chagrin d’amour pour voir l’air compatissant de la dame. « Prenez le. » Zéleph secoua légèrement la tête, repoussant le portrait vers elle pour qu’elle le récupère. A regret il dit la vérité. « Je n’ai pas d’argent. » La dame sembla comprendre et lui sourit avec une bienveillance qui éveilla une certaine frustration au fond du réprouvé. Il détester la charité, il était près à décliner toute offre avant même qu’elle ne lui dise quoi que se soit, mais étrangement il n’en eut pas le courage. Sa peine était trop forte. Se portrait semblait avoir un certain pouvoir sur lui. Trop de souvenirs lui était revenu. « J’ai des centaines de portraits à vendre, il m’encombre plus qu’autre chose. » Elle montra tout son stands plein de peintures en tout genre, portrait, paysages ou natures mortes. Elle lui souri toujours si gentiment, Zéleph se sentit comme un enfant. « Et puis, personne ne regardera se portrait comme vous. La personne que vous y voyez vous semble précieuse. Je préfère qu’il reste avec vous. Sa vrais valeurs se lis dans vos yeux, et son prix y est inestimable. » Le réprouvé semblait ému. Il ne savait quoi répondre. Il était profondément reconnaissant. Ne sachant quoi dire, il acquiesça, rangent avec précaution le portrait dans son sac de coton qu’il remit en bandoulière grâce a sa corde. « Merci. » Soupira-t-il finalement, se sentant redevable en vers cette si gentille femme. Zéleph lui devait quelque chose, quelque chose qui n’avait pas de prix à ses yeux.

« Si je peut faire quelque chose pour vous. » Elle ria doucement, l’air réellement amuser et toucher par l’ancien roi. « Vous ne me devez rien mon jeune ami. Moi aussi j’ai aimer quelqu’un autre fois. Quand elles disparaisses, rien ne peut comblé le vide qu’elles ont laisser. Ma récompense c’est savoir que j’ai pu faire un petit quelque chose pour consoler votre chagrin. » Il y avait une vibration dans sa voix, une douleur qu’elle cacher derrière son sourire. Zéleph comprit alors qu’elle devait être veuve. Sans savoir pourquoi il ressentit sa peine. Il ne pouvait pas aller jusqu’à dire qu’il savait se que c’était, mais la solitude, le vide, ça il le comprenait. Jamais il ne pourrait survivre si il arriver quelque chose à Mitsuko. Il préférait mourir que vivre avec l’idée qu’elle n’était plu de se monde. C’était peut être dure à comprendre, mais il ne pouvait pas aller contre. Il l’aimer, il l’aimerait toujours a en mourir, c’était ainsi. « Si vous avez besoin de quelque chose, de quoi que soi, je suis près à travailler pour vous. » Il offrait sincèrement son aide. Il ne travailler pas souvent pour des personnes qui en valait la peine, ou qui mérité son respect. Il serait ravis de faire quelque chose pour cette femme, quoi que se soit. « Merci mon garçon. Vous semblez être quelqu’un de courageux qui n’a pas peur de la labeur. Revenez demain, j’aurait quelque chose pour vous. » Zéleph acquiesça, soulager d’avoir l’opportunité de remboursé sa dette. Alors qu’il était près a partir, la femme lui demanda son nom. Il lui sourit avec gentillesse, puis souffla doucement. « Zéleph » Sur le coup, elle sembla choqué, réalisant peut être l’évidence qui lui avait échapper jusque ici. Peut être alors sut-elle qui il voyait en regardant le portrait qu’elle lui avait offert. Quoi qu’il en soit, elle le remercia encore, gardant intacte l’inimité de l’ancien roi. « Je vous attend ici demain alors, mon seigneur. » « Oui Madame. » Ricana-t-il doucement à l’amical moquerie.

Sur le chemin de son auberge, dans une ruelle de la basse ville, Zéleph se sentait particulièrement bien. Il n’était pas heureux, ou joyeux, il ne pouvait l’être, mais il ressentait un bien être, quelque chose qui fit de cette journée, un jour moins sombre et douloureux que les autres. Par se qu’il fallait le dire. il ne vivait pas, il survivait. C’était vrais de puis toujours, mais de puis qu’il était revenu sur les terres de son peuple c’était encore plus vrais qu’avant. Il travaillait dur pour vivre et devait souvent subir le regard surprit des gens. Personne ne comprenait pourquoi il semblait moins puissant, pourquoi il dormait dans des endroit miteux, n’avait aucun argent et était obliger de se saigner pour se payé quelque chose de potable a manger chaque jour. Misérable, voilas se qu’il était devenu. Il si était fait. Après tout la vie était faite de cette façon. Zéleph n’était pas fataliste, mais devant le destin il ne pouvait pas faire grand chose. Il vivait comme il vivait, évitant de se posé trop de question, espèrent chaque jour qu’il souffrirait moins au prochains. Rien n’était gagner, mais rien n’était perdu non plu. Alors il évité de réfléchir, il l’éviter jusqu’à se fameux moment où son regard c’était perdu sur se portrait. Arrivant a l’auberge où il avait trouvé une chambre pour un prix dérisoire, il montât dans sa chambre étroite et miteuse. Posant ses affaires sur une chaise qui tenait grâce a une pille de livre, il se dévêtit. Il y avait une bassine d’eau, glacé, mais elle avait était changer de puis le matin et il avait réellement besoin de se rafraîchir. Après s’être lavé comme il pouvait, il se sécha puis s’habilla pour dormir. Se soir il ne souperait pas. Il n’avait plu assez d’argent pour cela. C’était un luxe de prendre un repart le soir, il préférait manger le matin et au diner, voir même seulement le diner les jours où il savait qu’il n’aurait assez. C’était étrange quelque part de revenir a cette pauvreté, après avoir vécu dans un océan d’or et de diamant. Il était revenu au début de sa vie. Il revivait la difficulté de sa jeunesse. Ca n’était pas difficile a enduré pour lui, il savait comment s’en sortir, il savait quoi faire puise qu’il l’avait déjà vécu. C’était peut être étrange, mais il ne regretté pas la perte de sa richesse. Il n’avait plu de temps pour s’ennuyé, par conséquence, plu de temps pour penser. Si il ne pensait pas, il ne soufrait pas. Quand il fallait survivre on ne pouvait perdre son temps a s’apitoyé sur son sort, il y avait bien plus important, comme s’assuré d’avoir un toit sur la tête, ou quelque chose a grignoté dans la journée.

Assit sur son lit, la fenêtre ouverte, il attendit que le soleil commence a se coucher pour sortir de son sac son tabac. Tout en roulant sa cigarette son regard ne pouvait s’empêcher d’être attiré par le portrait cacher par le tissu de coton. Une fois allumer, il fini par se décidé à le sortir du sac. Quelque détailles montré que ce n’était pas vraiment elle, mais avec toute la mauvaise foie dont il était capable il pouvait aisément dire qu’il était impossible de capter la perfection de sa femme dans un simple portrait. La toile n’était pas très grande, une dimension de dix sur vingt peut être. C’était bien assez. Assez pour le troubler et capté toute son attention. Le manque était si grand, il ne pouvait l’ignoré. Alors il resta un long moment à médité en décortiquant chaque partit du visage de la femme sur le portrait. Elle n’était pas la sienne, mais il ne pouvait en voir une autre. Elle lui était si semblable. Ou peut être que la douleur l’avait rendu fou, peut être même était il hanté par son image. Oui, certainement. Zéleph chercha un nom derrière la toile, retirant le petit cadre en bois vernis. Il n’y avait rien, ni même la signature du peintre. Ce portrait était totalement anonyme, se qui le rendait d’autant plus facile à personnifié. Jetant la fin de sa cigarette par la fenêtre une fois fini, il s’allongea sur sa paille continuant de contemplé le visage de la blonde, a la lumière douce de la lune et de la lumière chaude de la ville. Son tatouage était toujours intacte, il ne lui faisait pourtant plu aucune douleur et il ignorait totalement pourquoi. Enfaite, il ne voulait pas savoir car il craignez la réponse. Il avait peur de se qu’elle avait pu faire. Il avait peur de souffrir plus encore en la revoyant et en affrontant son indifférence. Pire que la haine, pire que si elle ne l’aimait plu, son ignorance le tirait assurément. Après une bonne heur il rangea soigneusement le portrait dans un chiffon pour le remettre dans son sac, puis il se tourna dos a la fenêtre et ferma les yeux.
 
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Dim 24 Mai 2015, 23:42

Seulement derrière ses paupières le visage de celle qui le faisait tans souffrir était gravé. Il ne pouvait s’en défaire. Chaque nuit c’était pareille. Chaque nuit il la voyait dans ses rêves. Peut être l’idéalisait-il un peut. Il revivait des jours heureux, s’efforcer de ne pas penser a se qu’il avait fait où alors cela finissait en sueur froide et en réveille précipité. Pour être honnête, il vivait plus de cauchemars que de réel rêve. Il subissait ses souvenirs et ses peurs. Il la voyait partir, se détourné de lui et disparaitre. Il avait beau courir, il avait beau crier, supplier, elle ne lui jeté pas même un regard. Par se qu’il était un médiocre. Minable, il n’avait jamais était digne d’aucune femme, et sur tout pas d’elle. Par se qu’elle méritait mieux, et par se que tout était de sa faute. Elle l’oubliait comme elle en avait oublier un autre, mais c’était bien pire que cela, car elle ce n’était pas la magie, pas les souvenirs qui lui échapper, non c’était son coeur qui l’effacer. Alors il s’éveiller le corps meurtrie de s’être débattu, le coeur battant, la sueur couvrant son front. Il se levait, se rafraîchissait puis fumer avant de quitter vite cette chambre d’horreur.

D’autre fois il faisait de rêves, de vrais rêves. Cette nuit là, certainement a cause du portrait, certainement par se qu’il était apaiser par se regard vert qu’il avait dévisagé des heures durant, il ne se réveilla pas en sursaut. Non, se fût bien pire que cela, et pour cause.

Il avait la sensation de marcher sur un nuage. Sous son pied le sol n’était pas tout a fait dure, il s’enfoncer dans une sorte de brouillard épais, d’un blanc aussi pur que la neige. Totalement dénuder, il ne ressentait ni le froid, ni aucune pudeur. Seul dans ce monde semblant fait que de lumière, il n’était entourer que de coton blanc et d’une lumière froide. « Shizuo. » Un murmure l’appelait. Ce n’était qu’un souffle, guider par les vents. D’où cette voix provenait-elle ? Celle d’une femme ou d’un homme, il ne pouvait différencier. « Shizuo. » C’était un appel. Il le ressentait, ne pouvait lutter. Alors d’un pas a un autre, il avança dans une direction choisi arbitrairement. Tout était identique en ces lieux. « Viens a moi. » Le réprouvé ce laisser guider par le vents, par cette voix résonnant comme un écho dans l’air. Il était curieux de savoir d’où venait cette mystérieuse identité. Seulement il ne vue personne, seulement le nuage ce soulever soudain face a lui, l’empêchant de continuer son chemin. Puis, dans cette masse imposante de brume s’élevant, il vit une forme peut a peut ce former. La silhouette d’un corps. Le corps d’une femme au formes généreuse, marchant vers lui avec  l’assurance d’une reine. Ne froissant pas un muscle, le réprouver fixa cette forme brumeuse, de son air profondément blasé, et pourtant il ce poser une question. Qui était-elle ? A quoi rimait tout cela ? Où ce trouvaient-ils ? « Quel importance ? » La brume ce dissipa autour du corps de la femme, laissant apparaître sa peau aussi nue que la sienne, la découvrant entièrement des pieds jusqu’à son visage. Zéleph ne la connaissait pas. Jamais il ne l’avait vue avant cette instant, sinon il savait qu’il s’en souviendrait, car même marier et fou d’un amour dévorant, il n’était pas insensible aux charmes d’une autre. Cette apparition posséder quelque chose de réellement écrasant, on ne pouvait que le reconnaitre. Elle était brune, les yeux d’un bleu aussi profond que l’océan, des lèvres charnues d’une couleur rouge sang. Une beauté chaude, et pourtant. Si sa plastique était aussi brulante que le volcans ardent en irruption, dans son regard il y avait quelque chose de dangereux, qui l’intimida sans qu’il ne puisse ce résonner. « Tu es aussi beau que dans mes souvenirs. » Sa voix faite de velours le rendit fébrile. Que lui arrivait-il ? Jamais le réprouvé n’avait ressenti une telle chose. Ce n’était pas du désir, c’était bien pire que cela. Il pensa a sa femme. Mitsuko, il n’avait jamais eu autant envie d’une autre femme qu’elle, et ce qu’il ressentait n’avait rien a voir avec cela. Zéleph fût soudent effrayait, car il ne pouvait bouger, ni mettre un nom sur ce qui lui arriver et avait peur de ce qui était entrain de se passer. Alors la créature qui le torturait fini par sourire, dévoilant à ses yeux en fusion la blancheur irréelle d’une dentition parfaite. C’était bien cela, elle était irréelle de beauté. « Ne soi pas timide mon chéri. » Elle s’approcha encore, si près qu’il pouvait presque sentir sa poitrine nue contre son torse tout autant dévêtu. Il ne fit pourtant pas un geste, il lui était impossible de faire un geste. Ses yeux viscéralement viser sur les sien pour ne pas péché a nouveau, il ne voulait les posé nulpart ailleurs, même si soutenir son regard impérial était plus dur que tout. La main de la belle inconnue, monta jusqu’à son visage placide, et du bout de ses doigts il la sentit caresser sa joue, ses ongles suivant le mouvement et laissant une trace brulante. Elle semblait le contempler comme la splendeur de tout les univers, et il en était complètement désarçonner. Il ne savait même plu comment il arrivait a tenir debout tellement il trembler a présent. « N’est pas peur mon coeur, je ne te ferait jamais aucun mal. » Entourant son visage de ses mains, elle rit légèrement avant de tourné son visage et déposer ses lèvres sur sa joue. Alors glissant jusqu’à son oreille, elle souri a nouveau contre sa chaire. « Tu es plus précieux que ma propre vie. » Puis dans un éclat elle disparut, ne laissant derrière elle, que la trace acide de ses lèvres sur sa joue et le souffle chaud de ses mots au creux de son oreille. Zéleph resta figer, son coeur avait soudain accéléré sa course dans sa poitrine et son souffle fut couper net.

Ses yeux s’ouvrir soudain. Il était dans son lit. Son coeur était en délire dans sa poitrine, et il regarda avec panique la pièce. Avait-il réellement rêver ce moment ? Avec crainte et surprise, il fini par regarder la marque de son mariage sur sa main pour y constater qu’elle ne lui faisait aucune douleur. Ce n’était donc pas réel. Pourtant il n’avait aucune envie de retourner dans ses songes. La peur de retomber dans les bras de cette inconnue. Il n’avait aucune sensation d’avoir tromper ou trahis sa femme. Oui, il craignez cela, malgré le temps, malgré l’absence, il respecté trop ses engagement, ses sentiments pour ça. Seulement en réalité au fond de lui il aurait préférait car c’était là qu’était le problème. Il n’avait ressenti pour cette créature du démon aucun désir charnel, simplement une crainte qui lui avait soufflé toute envie de défense. Il c’était trouver aussi démunie qu’un enfant, intimider comme la première fois qu’il avait vue une femme nue. Toute son odieuse confiance en lui avait disparut et cela n’avait rien a voir avec les souvenirs de ses sentiments quand il était face à sa femme. Cette peur était bien différente, que celle qu’il avait quand il priait pour ne décevoir personne, quand il ce sentait comme un moins que rien, qu’il ne mériter pas ce qu’il avait entre ses bras. Là il n’aurait su dire quel était cette sensation. De la timidité ? De la peur ? Des émotions dont il avait oublier l’existence et qu’il se surprit a découvrir ou redécouvrir. Il en ignoré si bien leurs existence qu’il ne pouvait même pas savoir si il s’agissait de cela ou d’autre chose.

Quand bien même, il faisait jour. Le soleil venait de se levait, il était donc temps de sortir de ses draps. Il était pauvre et sans pouvoirs, il n’avait plu le luxe de pouvoir dormir jusqu’a se que le soleil atteigne une hauteur décente a son gout. Assit sur son matelas fait de paille, il se frotta le visage. Son coeur était encore en panique et son souffle troublé. Sa nuit avait surement du être agité, et se rêve l’avait profondément troublé. Cette femme l’avait complètement chambouler. Il voyait son visage si clairement, comme si il la connaissait. Il avait des frissons en y pensant. Il aurait préférait faire un cauchemars, rêver encore et toujours de la même chose quitte à avoir encore des regrets en ouvrant les yeux. C’était d’autant plus troublant qu’il ne rêver jamais d’autre choses que de sa femme d’ordinaire. En tout cas il ne se souvenait de rien d’autre, puise qu’il culpabilisé toujours une fois éveiller. C’était difficile de se défaire de se genre de sentiments. Quoi qu’il en soit il prit l’initiative de ne plus y penser. Du moins il fit tout pour. Zéleph sortit de son sac le portrait qui l’avait troubler la veille. Au final cela ne changea pas ses sentiments. Changer la curiosité et la crainte par l’amertume et le manque ne l’aider pas une seul seconde. Il rangea ses affaires en soupirant. Rien n’avait de sens, il devait faire avec voilas tout. Se levant, il se passa un coup d’eau sur le visage, se vêtit des seules vêtements qu’il avait depuis que l’Orishala les lui avait offert. Il paya sa chambre puis s’enfonça dans les rue de Stenfeck a la recherche de la rue où il avait croiser cette vieille femme qui lui avait offert le portrait. Avec son sens de l’orientation inférieur a zéro cela lui pris bien une heur de trouvé le stands. La foule qui était déjà dans les rues a marchander ne l’aider pas beaucoup a reconnaitre quoi que se soit, mais il fini par voir cette femme lui sourire alors il s’approcha.

« C’est amusant je parlez justement de vous a mon ami. » En effet elle semblait en pleine discussion avec un homme tout aussi âgé qu’elle qui le salua. « Eave Dovahkiin. » Zéleph fût un peut surprit. Pour être honnête même les gens qui le reconnaissait ne l’appeler plus ainsi, peut être par se que cela le rendait mal à l’aise. Cela dit il fût ravis de parler a un réprouvé, pas que le faite que la vieille femme ne soi pas réprouvé l’ai gêner, mais il y avait malgré tout un coté « terroir » qui faisait que leurs peuples avaient plus confiance en les leurs qu’en tout autre personne. Cela paraissait normal, et personne ne pouvait en être froisser, car eux même ne l’était pas quand il s’agissait des autres. Quand bien même là n’était pas la question. « Je crois avoir oublier de me présenté hier. Je me nomme Vivienne et je vous présente Drick. » Le réprouvé ne pus qu’acquiescer poliment avant de rentré dans le vif du sujet, n’étant pas de nature patiente. « Hier vous m’aviez proposé un travaille. Quel es-t-il? » Vivienne lui souri, l’air ravis. « En effet, j’en ai parler. C’est pourquoi je vous ai présenté Drick, c’est lui qui a besoin d’un homme comme vous. » Le regard rouge du réprouvé se posa sur son congénère, intéresser par se qu’il avait a lui dire. Celui-ci s’éclairci la voix avant de commencer. « Nous avons des cargaisons qui vienne des montagnes, mais il y a un problème. D’énorme bêtes s’en prennent a nos convois. Croyez vous êtres capable d’escorté les marchandise jusqu’à Stenfeck ? » Zéleph ne comprenait pas trop en quoi lui plus qu’un autre, mais c’était du travail alors autant en profité. « J’accepte. » Dirck eut l’air soulager et échangea un regard avec Vivienne que le Dovahkiin n’aurait pus décrypter. « Entendu, je vais vous trouvez un cheval et un guide. » Il lui séra la main avant de disparaitre dans la foule. Zéleph resta avec Vivienne. Elle lui posa des questions de politesse, un peut pour comblé le vide, et n’étant pas bien bavard, l’ancien roi lui répandre avec des phrase courte où simplement es signes de tête.
 
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Dim 24 Mai 2015, 23:43

Une heure plus tard tout au plus, il était sur un cheval accompagner d’un guide. Plutôt d’une guide, également a cheval. Son nom était Gabrielle, ou Brielle, il ne se souvenait pas trop, et s’en ficher pour être honnête. Il suivait la route qui devait mener aux montagnes. Enfaite il n’avait pas besoin d’un guide, il connaissait la route, c’était simple il fallait suivre les panneaux. Le seul problème était de trouvé la cargaison une fois arriver dans la chaine de montagne. C’était pour ça que Brielle ou qu’importe son nom était là. Seulement le voyage aller être long. « Vous êtes pas bavard vous. » Zéleph leva a peine un sourcil, il n’avait pas envie de parler, c’est vrais, il détester ça. Son cheval s’approcha du sien, et il retint un grognement de mécontentement sachant qu’il aller devoir supporté une discussion a sens unique. « Vous êtes un réprouvé non ? Pourquoi vous avez besoin d’un ch’val? » Une question qui n’avait pas lieux d’être. Le dit réprouvé donna un coup a son cheval pour accéléré et échapper a ça. Seulement cela ne stoppa en rien la jeune femme. « Sujet sensible ? » Zéleph soupira, mais se fut de pire en pire. « Vous ne savez pas voler c’est ça? C’est curieux pour une personne de votre espèce. Je croyait que les démons, les anges et toute créatures possédant des ailes savez voler avant même de savoir marché. » C’était insupportable de devoir entendre sa voix lui parlé de son propre peuple. Zéleph fini par ne plu en pouvoir et se tourna férocement vers elle pour lui asséné une phrase qu’il espéré être la seule du voyage. « Et toi, tu es humaine ? La vermine. Vous êtes plus utiles en temps que cadavre qu’en vie, donc ferme la avant que je ne t’arrache la langue pour t’étrangler avec. » Au moins ça avait l’intérêt d’être claire. Brielle se stoppa, regardant l’ancien souverain la devancer n’en revenant certainement pas. Il se foutait d’avoir était trop cruel ou non, la raison de son attaque était qu’elle parlé trop, et sur tout, de chose qui ne la regardé pas. Au moins le reste du voyage fut silencieux. Jusqu’au soir venu. Il y avait biens cinq jours de voyage jusqu’aux montagnes, alors ça serrait long, mais si elle rester a bonne distance et silencieuse tout irait bien. Attachant son cheval il le nourrit puis le fit boire, avant de prendre son paquetage pour organiser son lit. L’humaine en fit de même a quelque mettre. Après avoir fait un feu et avoir manger, en silence, ils allèrent naturellement se coucher. Discrètement, Zéleph sortit de son sac le portrait qui ne le quitterait plu jamais désormais. Pendant quelque longues minutes il se perdit dans le regard émeraude avant de fermer les yeux et de se laisser prendre par le sommeille. Dormir a la belle étoiles. C’était une chose que Zéleph n’apprécier pas particulièrement. Enfaite il s’en fichait, il avait longtemps dormit dehors dans sa vie, beaucoup plus qu’il ne l’aurait voulu en réalité. Alors se fut paisible quand le sommeille l’envahi.

S’étant endormi en ayant oublier le rêve de la nuit dernière, il ne c’était pas attendu a être perturbé encore de la même manière. Quand il atteignit le palier du sommeille profond, voir paradoxale, il retourna dans cette étrange monde, où rien ne semblait subsister autre que la  blanche brume. Seulement cette fois, la femme n’était plu nu. Elle portait une sorte de voile rouge, faisant ressortir ses yeux, assise en haut d’un trône que formait le nuage. Dans cette position, elle ressemblait a une reine, le regardant de toute sa hauteur confiante, semblant même s’amuser de le voir aussi déstabiliser. Elle avait l’air de savoir que c’était sa seul présence qui le rendait nerveux, et le plus drôle était qu’il en ignorait la raison. Elle n’était pas un tirant, du moins elle ne désirait pas l’être avec lui. Lui offrant un sourire tendre, elle ce leva de son pied destalle pour venir a sa hauteur et lever les yeux sur lui. Il n’était plus grand qu’elle que de dix pauvres centimètres, mais elle savait que même si elle avait fait la taille de sa femme il n’aurait pas était moins intimidé par sa personne. Son aura, sa prestance, son sang faisait de lui son obliger. Ses doigts ce glissèrent sur son torse, pour arriver jusqu’à son coeur, battant aussi vite que la vitesse d’un bateau sous le vent. Elle rit alors d’un rire pur et sincère. Zéleph ce crispa un peut plus a chaque seconde, jusqu’à ce qu’elle cesse et plante son regard bleu dans le sien. « Tu es comme un cheval sauvage. Il faut du temps pour t’approcher, plus encore pour que tu oublie ton orgueil et aime que l’on passe une main dans ta crinière. » Puis dans son regard il vit un éclaire de malice passer, et ses lèvres s’étirer en un sourire taquin. « Etrangement il n’en faut pas beaucoup pour te monter. » Il crue qu’il aller perdre totalement son sang froid, devenant soudain livide, ce qui fit éclater de rire une fois pour toute cette étrangère. Sa main remonta le long de son buste, suivant la courbes de ses muscles amaigri, mais toujours là, pour venir s’égarer dans son cou. Elle le contempla alors comme lors de leur dernière rencontre, enfoncent a nouveau le réprouvé dans une profonde incertitude. Le laissant là, elle tourna autour de lui, ce mettant a le détailler en silence, gardant ce sourire énigmatique sur le visage. « Aussi fort qu’un tigre, fier comme un lion, plus sauvage et fidèle qu’un loup. » Elle revins face a lui, le troublant de son aura. « Et bougrement têtu et stupide. » Lui sourit-elle au nez, faisant enfin réagir le réprouvé qui fronça les sourcilles et se ferma, vexer. Elle ne voulait pas le vexer, mais au moins il avait enfin réagit et elle en était plus que satisfaite. Reculant, elle le regarda de bas en haut, et pour le première fois, Zéleph désira des vêtement, ce sentant réellement nerveux sous le regard qui scruter chaque détailles et semblait adoré ce qu’il y voyait. Elle ne ce rincer pourtant pas l’oeil, loin de là, elle ressemblait plutôt a une sorte d’artiste contemplant son oeuvre avec adoration, si fière d’elle qu’elle exalté de plaisir. « Tu es vraiment ma plus grande réussite. » ce détournant, elle murmura un « parfait » qu’il était sur d’avoir entendu dans le silence de ce monde fait de néant blanchâtre. « Même si ont ta voler une partie de ta splendeur. Tu la retrouvera. » Dit elle, avec une certitude qui creusa un peut plus l’incompréhension du réprouvé.

Zéleph ne tenait plu, cela lui bruler les lèvres. Il fini alors par ouvrir la bouche, cela sembla être comme un miracle et pourtant sa question était loin d’être assuré comme il l’aurait voulut. « Qui êtes vous? » Ce tournant vers lui en s’asseyant a nouveau, elle croisa les jambes dans un air supérieur légèrement agacent. Elle avait le pouvoir sur lui et il détester ça, sur tout qu’elle ne cacher pas la joie de ce moment. « Et qui crois-tu être toi ? » Répondre a une question par une question était le summum de l’insupportable pour le réprouvé, et pourtant, il fut incapable de s’insurger. « Je suis un homme, nu. » Elle rit a sa répartie. Il était moins stupide qu’il voulait le faire croire. Elle était fière de lui. Après tout il est bien plus amusant de ce faire passer pour stupide lors ce qu’on est intelligent, que chercher a l’être quand on est stupide. La brillance d’esprit n’était pas la chose la plus évidante chez lui, mais quand on y faisait attention, elle pouvait s’avéré très intéressante. D’un mouvement simple de la main, il ce retrouva, les hanches vêtus d’un même tissu que celui qu’elle portait, cachant ainsi la partie pourtant la plus intéressante de son physique. « Voilas un problème réglé. » Elle ce mit alors a attendre, surement une réponse a la vrais question qu’il avait lui même chercher a éluder. Seulement le très taciturne Zéleph n’avait aucune envie de continuer cette situation. Cela marcher que d’une seul façon. Si on lui donner, alors il donnerait en échange, mais on avait rien sans rien. C’était la seule façon dont les choses pouvait marcher équitablement et que personne ne soi abuser, et lui de puis le début ce sentait utiliser, manipuler, il détester cette sensation. Alors au bout d’un moment, elle reposa sa question avec une douceur qui cachait a peine  son impatience venimeuse. Zéleph décida qu’il était peut être temps de répondre, oubliant son orgueil et sa toute nouvelle couleur. « Zéleph. » « Non, tu recommence a mentir. Tu ment en permanence, pourtant tu aime dire que tu a en horreur le mensonge et tu passe ton temps à voiler la vérité. » Il soupira, commencent a ce dérider, la colère le gagnant peut a peut. Elle avait raison, mais il ne voyait pas pourquoi il ce dévoilerait devant une inconnue, qui refuser de lui dire qui elle était. Tout le monde le connaissait en temps que Zéleph, le reste n’avait que peut d’importance, il avait vécu une sorte de renaissance. Alors a quoi bon ? « Ce n’est pas le nom que je tes donner. » Dit-elle amer. Etait-ce le ton de sa voix soudainement bien changer, où bien la significations de la phrase elle même, mais Zéleph pris cela comme une gifle et fut totalement désarçonner. « Qui êtes vous? » Finit-il par ce répéter commencent sérieusement a ne plus en pouvoir qu’on le fasse ainsi tourner en bourrique, mais a peine avait-il poser la question, que le floue envahit son environnement et qu’elle disparut dans un nuage de fumer, comme la veille.

Ouvrant difficilement les yeux sous le soleil, il frappa dans le tapis lui servant de matelas en jurant. Fixant le ciel pendant un moment. Longtemps il resta là a s’agacer de ces rêves qui n’avait aucune raison d’être avants de ce lever. Quand retrouverait-il un sommeille correcte sans que sa nuit ne soi troubler par cette identité mystérieuse ? La hauteur du soleil lui fit savoir qu’il était temps de mettre ses pensés de cotés pour commencer sa journée. Une fois debout, il rangea ses affaires avant de voir que son guide était déjà prête. Elle semblait l’attendre. N’ayant pas de quoi manger, il se contenta de donner a boire a son cheval avant de le monté et de se mettre enfin en route. Il fut hanté tout le voyage par son rêve. Tout cela n’avait pas de sens, ou plutôt si, a présent cela en avait. C’était bien ça le problème. Zéleph connaissait pratiquement la réponses a ses questions, mais il ne pouvait se les avoués. Il préférait se dire qu’il ignorait tout et que ça n’avait aucun sens que mettre le doigt sur la réponse. Comme pour l’enfoncer, Brielle décida qu’il était temps de revenir a la cherche en se deuxième jour de voyage.
 
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Dim 24 Mai 2015, 23:49

« C’est qui sur votre portrait ? » Le réprouvé fronça les sourcils, mais feignit de ne pas comprendre, préférant poursuivre son chemin sans relevé. Seulement se n’était pas sans compté le grand acharnement de la jeune humaine. « C’est votre mère ? » Il soupira accélérant le pas de son cheval pour tenté d’éviter d’autre question, mais encore une fois se fut peine perdu. « Votre femme? » Zéleph en avait marre. Pourquoi les gens étaient-ils d’une curiosité maladive comme celle-ci ? Ne pouvaient-ils pas porté intérêt a leur propre vie ? Qu’avait celle des autres de plus intéressant que la leurs? « Vous êtes marier, je le sais. » pas de réponse, mais elle continua quand même. « Votre main. » Comme si elle avait besoin de lui spécifier. Lui aussi savait qu’il était marier, il la remercier. « Puis ont mas dit qui vous étiez alors… » Ca vie n’avait donc plu aucun secret pour elle, alors c’était quoi le problème? « C’est marrant vous n’avez rien du grand conquérant dont on parles chez les réprouvés. » Oui très drôle, Zéleph était hilare. Etait-ce sa vengeance ? Non par se qu’il commencer réellement a avoir des envie de meurtre, mais il resta raisonnable. Il avait besoin d’elle pour trouvé la cargaison, sinon il aller lui falloir des semaines voir même des mois pour trouvé dans l’immensité des haut sommet. Au bout de quelques heures Brielle recommença. « Alors, c’est qui? » Zéleph baisa les bras. Il supposa que c’était ça, où il aller devoir creusé une tombe le soir venu. « Ma femme. » Etrangement Brielle ne releva pas. Après cette réponse tout fut beaucoup plus calme. Elle ne dit plu rien, le laissant seul avec ses idées.

Longea la rivière Zéleph savait que le jour suivant ils aller devoir traversé le territoire des magiciens. Se n’était pas un problème. De puis peut il passer beaucoup de temps a passer par là. Il savait seulement, que par précaution il valait mieux dormir hors du territoire, histoire d’éviter tout problème. Alors avant que la nuit tombe ils trouvèrent un endroit pour posé leur campement pour cette nuit. Au près du feu, après manger, ils allèrent se coucher. Cette fois Zéleph ne jeta aucun coup d’oeil a son portrait. De nature pudique, il préférait ne plu regardé pour ne plu avoir a se justifier. Il n’aimer pas l’idée que l’humaine l’ai épier dans son intimité. C’était un peut dérangent, voir même gênant. Fermant les yeux dans le silence de la nuit, il s’enroula dans sa couverture. Cette nuit fut plus fraiche que les précédentes. Peut être la conséquence du Lac de la transparence, a peine a quelques kilomètre de leurs camps, rafraîchissait-il l’air. Zélephs ‘endormit comme les autres nuits. Simplement cette fois il se souvenait bien de se qui c’était passer la nuit précédente, et il redouté que cela continue.

Cela ne rata pas. Troisième nuit, troisième cauchemar et cette fois le réprouvé si était attendu. Tout reprenait le même schéma, il était nu, dans les nuages et elle était là, debout devant lui, ne ce cachant plu, ne lui faisant plu son spectacle, elle semblait attendre patiemment qu’il finisse par imploser. Il y avait réfléchit toute la journée passer après son dernier rêve. Il ne pouvait pas y échapper. C’était elle qui lui avait donner son nom ? Impossible, la seule qui avait choisi ce nom était sa mère, Lucy. Tout ne pouvait pas n’être que mensonge. Pas encore. Il commencer a s’épucer de cette vie sans vérités. « Tu attend des réponses. » Il acquiesça ne semblant a nouveau aucunement enclin a parler, contrarier, peut être même en colère. « Très bien, je pense que je tes assez tourmenter, et pour être tout a fait honnête tu ma largement assez impressionner. » Vraiment ? Il en était ravis. Seulement a cette instant il méprisa son sarcasme et préféra ne rien dire et attendre qu’elle finisse enfin par lui dire ce qui ce passait et ce qu’elle cherchait avec lui. S’approchant de lui, elle changea soudain d’air. Elle était plus douce, c’était d’autant plus troublant pour le réprouvé qui était loin de vouloir ça, lui qui était déjà intimider par sa prestance, alors par sa tendresse, c’était presque insupportable et il en détourna les yeux ne pouvant arriver a affronter son regard. « Est tu prêt a entendre cette vérité ? » Il était complément perdu et n’en pouvait plu de ce sentir ainsi balader. Qu’il soi prêt ou non, il voulait qu’elle lui dise ce qu’elle cacher, et savoir au moins qui elle était et ce qu’elle voulait. une fois cela fait quoi qu’il arrive, au moins il ce sentirait moins stupide. L’énigmatique créature comprit qu’il était inévitable d’en venir a cette situation des a présent ou elle perdrait sa chance d’arriver a quoi que ce soit avec le réprouvé. Elle ne voulait pas le voir ce renfermer, il lui fallait donc en finir. Si proche de lui, elle c’était rapprocher, jusqu’à ce qu’il sente presque son souffle ce mélanger au sien. Zéleph ne bougea pas un instant , forcer de planter son regard dans le sien, par fierté. Sans aucune gêne, comme de puis le début de leur rencontre, elle prit son visage entre ses mains, et ravie elle murmura. « Tes yeux. Jamais je ne pourrait les oublier. » Il ne savait comment le prendre, cela ne faisait pas partie de ce qu’il espérait, mais il ce prit a lui répondre, hésitant. « Merci. » Elle s’esclaffa d’un rire qui lui parut a la fois cruel et charmant en le lâchant pour s’éloigner. « Je ne te faisait pas de compliment. » Trancha-t-elle soudain, dans son regard dansait une lumière pleine d’énigme. Zéleph eu envie de baisser les bras, abandonnant l’idée de comprendre quoi que ce soit, seulement il ne pouvait pas, car ce n’était pas dans sa nature, au contraire.

« Ne cherche plu ton destin Shizuo Stark. » Marchant dos a lui pour s’éloigner, elle ce retourna juste pour lui jeté un regard par dessus son épaule, malicieuse et charmante. « Tu ne peut le trouver qu’au près de moi. » Qu’est-ce que cela voulait dire. Zéleph fronça les sourcils, sentant qu’elle lui échapper a nouveau. Ce fut bien pire que cela. Elle ce détourna a nouveau, finissant d’achever la révélation la plus dur a entendre de sa vie. « Timée Stark » Stark ? Vraiment ? Il resta un moment l’esprit vidé de pensées, n’arrivant pas a comprendre ou même a croire ce qu’il avait entendu, ou bien refusant. Etait-elle de sa famille ? Une démone alors, sa tante ? Non son père n’avait aucune famille. Qu’en savait-il au fond, peut être que si. Il n’avait connue son père que pour subir sa folie. « Ne fait pas l’idiot, tu vaux mieux que ça. » Elle avait disparut, mais il entendait sa voix. Elle était comme dans sa tête, savait exactement ce qu’il pensait avant même que l’idée ne lui vienne et il détester ça. C’était la chose qu’il supportait le moins. Pour autant il ne pouvait le combattre et le savait alors il ne ce rebella pas, de toute façon il était bien trop perturber pour penser à défendre son intimité mental. « Tes tu déjà demander pourquoi tu ne ressemblait ni a ton père, ni a ta mère? » de quoi parlait-elle bon sang, il commencer a paniquer et ne plu trouver cette plaisanterie amusante. Cette fois c’était lui qui désirait sortir de ce rêve, de ce cauchemar plutôt. Enfermer dans son propre songe, il ne pouvait fuir. Il craignez ce qui aller arriver, ne voulait pas l’entendre alors même que son esprit avait déjà fait le lien a la seconde même où elle lui avait révéler son nom. « Pourquoi Lucy a disparut si longtemps, pour réapparaître comme par magie ? Comment ton père a disparut ? » De puis longtemps Zéleph avait abandonner l’idée de savoir si cela ou ceux ci était réel. Il avait arrêter de chercher la vérité et prenait ce qu’on lui donner sans rechigner, seulement il en avait marre de voir toute sa vie ce briser a chaque fois qu’il pensait tout avoir réglé, a chaque fois que tout était enfin claire pour lui. « Je suis tomber du ciel c’est ça ? » Il entendit un rire, et fut très refroidit. « Tu commence a comprendre. » Elle ce moquer de lui et lui ça ne fit que l’énervait un peut plus. De quel droit jouait-elle avec lui ainsi, il était fatiguer de devoir l’écouter. A quoi cela rimer ? Elle voulait lui faire croire qu’elle était sa mère, c’était bien cela qu’il devait croire ? Que sa vrais mère, Lucy, qu’il avait passer sa vie a pleuré, a regretter et puis qu’il avait au final retrouver pour que son fils l’assassine, n’était en faite qu’une femme qui l’avait adopter. Cela n’avait aucun sens, aucune logique, pourquoi les anges l’aurait autant détesté, pourquoi son père se serait venger?

Zéleph avait envie de hurler, de frapper, mais sur tout de ce réveiller, car au fond tout cela ce n’était que des rêves, et même si tout semblait aussi réel qu’au petit matin, ça ne restait que son inconscient qui imaginait n’importe quoi. Il en était persuader.  Celle qui ce disait être Timée Stark, le laissa alors ce réveiller, puise qu’il ne semblait plu ouvert a aucune vérité. Ce fut certainement la première fois que le réprouvé ce réveilla aussi furieux et troubler de toute sa vie après avoir vécu un rêve des plus perturbant. Se levant de sa couche sans ce soucier du reste, il décida qu’il devait faire une chose en ce jour, une chose réellement importante. Enfin, une fois pour toute supprimer cette femme de ses penser et qu’elle disparaisse de ses songes. Pour cela il n’y avait qu’une solution, simple et efficace, que sa mère lui dise la seule vérité en la quel il croyait dur comme fer. La plus évidante, que sa mère était sa mère, point. Il pensait que si il l’entendait de la bouche de Lucy il n’aurait plu a subir ses cauchemars, certainement survenu a cause des doutes et des angoisse dont il ce bercer de puis quelque temps. A force il c’était monter la tête, voilas tout et chercher une raison pour s’insurger de sa vie qu’il regretter pour une raison qu’il ignorait. Oui, c’était logique. Zéleph s’analyser tous seul, mais il ne pouvait faire autrement, car il ne voulait ce confier a personne, cela lui était impossible. Certainement pas a Brielle, cette fille qui chercher a tout savoir sur sa vie alors qu’elle n’était qu’un outil dans son travail. Seul problème a la solution de tout. Sa mère était morte. Neros l’avait assassiné. Il n’avait pas était triste, ou même en colère, se qui était surprenant, il fallait bien l’avouer. Seulement les mensonges de Lucy, ses abandons, tout ça avait fini de briser l’enfants qu’il avait était. Il avait était si profondément déçu. Alors en y pensant, il comprit que Timée était peut être bien se qu’elle disait être. C’était dur, et bizarre, mais c’était possible. Il pouvait savoir plus que qui conque que tout était possible, sur tout quand il s’agissait de son histoire.

 
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Dim 24 Mai 2015, 23:52

La journée fut très longue pour lui. Ils traversèrent le territoire des magiciens, contournant le lac de la transparence. Ils étaient presque arriver au montagnes. Ils pouvaient les apercevoir a l’horizon. Se dressant tel un mur. Tout le long de la journée Zéleph se résonna sur la vérité, sur se que cacher ses rêves. Petit a petit il réussit a se convaincre que tout cela n’était qu’une invention de sa part. C’était pour éviter de souffrir d’autre choses, il c’était inventé tout cela. Une pauvre manœuvre de son cerveau pour se convaincre. Quatrième nuits, ils établirent leur camp au pied de la chaine de montagne de l’Edelweiss Enneigée.  Il se recoucha, soulager, et sur de lui. Cette fois il aller profiter d’une bonne nuit de sommeille sans que cette Timée ne vienne lui gâcher ses rêves. Non mais d’où avait-il pécher des idées aussi idiotes. Il se moquer de lui même, ce trouvant réellement stupide. Avait-il seulement raison ? Non. Loin de là même. Il le comprit quand il ce retrouva a nouveau dans ce rêve récurant qui commencer sérieusement a le rendre complètement fou.

« C’est une plaisanterie. » Sifflât il entre ses dents. Le rire qu’il entendit en écho, il commençait a le connaitre. Moqueur et méprisant, il ne le supportait plu. La silhouette magnifique de Timée entra alors en scène, elle souriait simplement. « Tu pense réellement que nous somme stupide ? » « Nous ? » «  Moi et ton père? » Qu’est-ce qu’il venait faire ici ? Il n’avait aucune envie qu’on lui parle de ce monstre. « Non, je ne parle pas de ce père là, je parle de ton vrais père. » cette fois Zéleph n’en pouvait plu, il fini par exploser de rage. « Ca suffit ! Arrêtez avec vos énigmes et vos subtilités! Vous n’êtes que le fruit de mon imagination. Je n’ai qu’une seule mère et ce n’est pas vous ! Quand a mon père, je préfère encore n’en avoir jamais eu qu’en avoir un ou même deux! » Timée senti qu’elle s’était emporté et qu’elle avait fini par le pousser a bout. Il était peut être temps de faire les choses correctement plutôt que jouer avec ses pauvres sentiments de mortel. « Shizuo, écoute moi. » Sa voix était d’une douceur esquisse et troublante. Sans qu’il ne comprenne comment, il c’était directement calmer, ne pouvant même plus sentir la colère chauffer ses vaines. Il n’y avait plu que de la rancoeur. Le visage fermer, il fixa la femme brune, amer. « Tu n’es pas l’enfant que tu pense être. L’esprit de Lucy a était manipuler pour qu’elle crois t’avoir mise au monde, tout comme Zéphyr. Nous étions obliger car nous n’aurions jamais pu t’élever. » Il ne comprenait pas, ne voulait pas admettre ce qu’elle était entrain de lui dire. « Je suis Timée Stark, Aether et j’ai épouser ton père Zéleph Stark, Aether lui aussi. »

Non c’était impossible. Zéleph n’avait jamais exister ! C’était quoi ce p*tain de bordel ! Il commencer a réellement perdre pied et cela ne lui plaisait pas. « Nous t’avons eux il y a longtemps, mais ils nous étaient impossible de te garder. Tu es née mortel et réprouvé. J’ai vécu ange, ton père démon, fatalement tu ne pouvait être que ce que tu es. De puis ta naissance, nous ne vivions plus a la surface, nous vivons dans nos mondes, supervisons ce qui doit être superviser. Je ne t’apprendrait pas les devoirs et la vie des nôtres, ta femme est une exemption, elle refrène sa nature pour toi, pour ses enfants. » Cela la fit sourire, mais il crue déceler aussi de l’envie dans son regard, peut être du regret. « Nous, nous somme de puis si longtemps Aether, nous n’aurions jamais étaient de bon parents de toute façon. Tu es venu au monde avant notre éveille, et nous n’étions plu capable de te gardé. Lucy était une candidate parfaite. Elle était enceinte et je savait que son enfant aller mourir a la naissance alors je tes échanger quand son souffle a commencer a s’éteindre. Tu es née parfaitement au bon moment. J’ai penser que c’était la meilleurs chose a faire. Ton père le pensait aussi. Nous ne voulions pas savoir ce qui aller arriver, nous voulions que tu vive une vie de mortel classique, mais nous n’avons jamais pue te laisser pour autant. J’ai tellement souffert de te voir ainsi torturé. Cette vie… » Sa voix ce brisa dans un sanglot, et le réprouvé ce retrouva enfoncer dans une nouvelle tristesse, une compassion étrange, mélanger a de la rancoeur et de l’incrédulité. « Ton père a fini par menacer Zéphyr qui ta abandonner après t’avoir mutiler, te laissant pour mort, mais il était impensable que nous te laissions souffrir. Nous avons laisser les choses ce faire, puis de temps en temps te voyant dériver nous somme intervenue, jusqu’à ramener Lucy. » Pouvait-il réellement y croire ? « Tout, tout était de notre faute. Nous avions demander aux esprits du temples de t’aider, nous leurs avons donner notre confiance. Méli est une amie de longue date et j’était ravis qu’elle décide de te soutenir. Tu en ai venu a haïr les esprits pour ce qu’il ton fait, les mensonges et manipulations de leurs crue, mais sache que tout venait de nous.

Ton père et moi voulions le meilleurs pour toi, mais comme tu le vois nous avons très mal jouer nos cartes. Pourtant tout était fait pour que tu en arrive là où tu es aujourd’hui, pour que tu soi aussi fort que tu l’es. Je ne me souviens plu de ma vie de mortel, il me semble avoir toujours était Aether, et en toute une existence de siècles passer en ce monde, je sais que tu es la plus belle de mes créations. »
Elle était émue, et lui, lui il ne voulait pas entendre ça, c’était tellement douloureux de voir sa vie s’effondrer encore une fois. il en avait marre qu’on lui mente il ne savait plu prêcher le vrais du faux. Qui lui mentait, qui avait raison ? Où il en était ? C’était insupportable. De plus les Aetheri n’avaient aucun sentiments, ils ne ressentait rien, il le savait pour avoir subi l’indifférence de sa femme. Alors croire que Timée ressentait tout les sentiments qu’elle semblait retenir avec difficulté, c’était impensable. « Lucy est réapparut, pour que tu arrête de te poser des questions sur le Zéleph que les esprits on tenter de t’inventer pour que tu ne cherche pas trop et ne nous trouve pas. Que le culte soi celui d’un Aether que ta mère jura n’être que fabulation était parfait, car l’émotion de ta mère ressuscité, tu la croirait sur ta vie et ne chercherait jamais plus loin. Sans vouloir t’offenser, mon fils, tu es par fois un bougre d’idiot et tu n’a jamais chercher a t’instruire ce qui a était pour nous une magnifique opportunité pour te faire oublier. Aussi naïf qu’adorable.» Oui il ne pouvait pas le nier il n’avait pas chercher plus loin, mais cela le rendait fou qu’on lui ai encore mentit, que tout ce dont en quoi il croyait n’était qu’illusion. Quand est-ce qu’on finirait pas le laisser ? Par ne plus abattre tout ses espoir, tout ce qu’il penser être. Ses origines redevenait aussi floue que quand il était môme, et il se sentait désarçonner. « Je suis le fils de deux Aetheri, qui incapable d’élever un mortel, on échanger un bébé à la naissance et manipuler les esprits de mes parents adoptif… » Il récapituler les informations, dépiter, n’arrivant pas a y croire. Timée le regarda, profondément désoler, mais c’était en effet ce qui était arriver. Comment croyait-elle qu’il aller le prendre ? Sauter de joie ? Pleurait ? Non, il fini par ce reculer, commencent a prendre réellement conscience de la réalité. Tout ce mettait en chaine dans son esprits. Tout n’était qu’un puzzle, un labyrinthe qui ce remplissait de réponses et s’enchainer avec une logique implacable. Certaine choses inexplicable trouvait des solutions toute seule, des explications clair et net qu’il n’avait jamais chercher avant se disant que c’était inutile. Timée continuer de lui parler, des détailles de sa vie, quand ils étaient intervenue, quand ils avaient étaient là et il ce rendait compte qu’ils avaient toujours étaient là car elle lui parler de sa vie comme si elle l’avait vécu, c’était effrayant, et déroutant.

Le temps fut long, très long alors que Timée expliquer, décortiquer chaque instant de la vie de Zéleph, lui expliquant qu’ils étaient toujours là, qu’à chaque fois qu’une chose lui fût parut étrange, c’était par ce qu’ils étaient intervenue. Ils l’avaient pousser, toujours plus loin pour le forger a leur façon, mais le malheur était qu’ils n’avaient pu tout contrôler et qu’il ne c’était pas développer comme il l’avait penser, alors de ces choix ils ne pouvaient rien en changer. Tout ce qu’ils voulaient c’était qu’il vive. Le reste leurs importait peut. Ils n’étaient intervenu que pour cacher leurs existence, comblé les discordes dans leurs mensonges. Tordre la réalité pour en faire ce qu’ils en voulaient. Zéleph ce sentait complètement bouleverser. Une fois de plus tout ceux en quoi il croyait était en réalité totalement faux. Pas réellement cela dit, car ce qu’il croyait être vrais n’était pas tout a fait faux. Sa vie était bien celle qu’il croyait, celle qu’il avait vécu. C’était ses origines qui était totalement différente, et qui bousculer tout dans son existence. Une question subsistait toujours. Assit sur cette sorte de nuage, face a sa « mère », il ne pouvais s’empêchait d’y penser. « Si Zéleph existe réellement, pourquoi m’avoir fait croire que ce n’est qu’un mythe ? Pourquoi n’y a-t-il rien d’écrit a son sujet ? Pourquoi je n’en ai jamais plu entendu parler ? Les archéologues, les historiens, d’aucun deux ne connaisse cet Aether. Alors vous avez supprimer les souvenirs de toutes ce personnes ? Modifier tout les esprits ? » Cela lui paraissait complètement absurde, c’était complètement fou a son sens que l’ont en face autant simplement pour lui. Il n’était pas aussi important. Se Dieu, qu’il existe ou non, cela n’aurait rien changer, ce qui l’intéressait au fond c’était d’avoir retrouver Lucy, rien d’autre. « Je sais. » Répondit Timée, naturellement. « Il nous semblait simplement plus sur que toute traces soit annihiler pour que tu ne te pose jamais aucune question, et que le sujet soit clos. Je crois que nous avons réussit. » Le réprouvé n’arrivait pas a y croire. Au final il ne savait pas quoi penser. Il ce sentait comme vider de sentiment et d’idée sur ce qui lui arriver. Comment réagir ? Comment savoir si on ne le prenait pas, encore une fois, pour une poire. Qui pouvait lui prouver que cette fois on lui donnait la vrais vérité, la seule, l’unique. « Vas au sommer de l’Edelweiss, tu aura toutes les réponses. » Timée c’était lever, puis avancer vers lui d’une démarche féline et assuré, sur son visage trônait un sourire de douceur, joyeux. Elle ce pencha sur lui, et enfermant le visage de l’ancien seigneur, comme elle semblait adoré faire, elle lui embrassa le front. Zéleph ce réveilla a cette instant sur son tapis. Le coeur battant, l’esprit troubler. Quand est-ce que tout cela finirait ?

 
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Dim 24 Mai 2015, 23:55

« Vous allez bien? » Brielle semblait soucieuse, pencher au dessus de lui. Le roi la fixa, les yeux exorbité avants e se reprendre et de se redresser soudain pour s’assoir. « Oui oui c’est bon. » L’humaine haussa les épaules, continuant ses affaires, laissant l’homme dans ses pensés. Il avait besoin de comprendre, de savoir, et d’en parlé. Seulement il n’avait personne pour l’aider, ni pour l’éclairé. Quoi qu’il en soit, il fallait qu’il se reprenne. Les réponses étaient la haut ? Eh bien il irait tout en haut de cette foutu montagne chercher les réponses qui lui fallait une bonne fois pour toute. Montant sur son cheval, ils devaient y arrivé aujourd’hui. Du moins il ferait tout son possible pour y arriver le plus vite possible, quitte a fatiguer son cheval. Brielle s’inquiéta de cette soudaine allure, trop rapide celons elle, mais Zéleph n’en avait rien a faire. Son canasson pouvaient bien crevé sur le bord de la route, il continuerait a pied. La route était encore longue et l’humaine choisi de prendre les devant. En temps que guide elle devait l’amener jusqu’au village d’où venait la cargaison. Les montagnes étaient dangereuse, les bêtes, les monstres, les bandits. Il y avait beaucoup de danger, le pire était le froid, mais rien de tout cela ne pouvait stoppé l’esprit du réprouvé. Au bout de la journée, ils arrivèrent enfin dans le village où se trouvaient les caisses d’il ne savait quoi qu’il était supposé protéger. « Enfin nous y voilas. » Brielle semblait soulager de se débarrasser de lui, et il ne pouvait pas l’être autant que lui. Zéleph fut présenter a l’homme qui envoyé les caisses a Dirck. Seulement se n’était pas des caisse, c’était une caisse, énorme de surcroix. « Il y a quoi là de dans ? » L’homme souri simplement au Dovahkiin et éluda simplement la réponse. « Rien qui ne vous regarde. » Comme ça c’était claire. N’ayant pas de quoi payer une chambre dans l’auberge du village, il dormirait a coter de sa cargaison, dans la grange. Emmitouflé dans ses vêtements de fourrures et sa couverture, allonger sur sa paille, il n’arriver pas a fermer les yeux. Il ne voulait pas revoir Timée avant d’avoir les réponses a ses questions. Alors se levant, il ouvrit la porte de la grange. L’air froid s’engouffra dans la bâtisse, le faisant frissonner violemment. le ciel était magnifique et dégager. les étioles scintillante, et la vue sur la pleine splendide.

Un grognement se fit alors entendre. Surprit, Zéleph se retourna vers la source de se bruit étrange. L’énorme caisse tremblé. Elle avait même l’air de bouger, et le bruit qui en sortait n’avait rien de rassurant. devait-il protégeait la cargaison des bêtes, où devait-il protéger la bête de la cargaison ? Il commencer a comprendre que se qu’on lui demander était bien autre chose que se qu’il avait comprit, ou plutôt, se qu’on avait bien voulu lui faire comprendre. Le réprouvé n’avait pas le temps n’y l’envie de découvrir se qu’il y avait de cacher là de dans. Après tout il n’était pas  payer pour cela. Au fond il n’avait pas envie de savoir, il était préoccuper par bien d’autre choses. Zéleph sortit totalement de la grange. Son regard se leva vers les haut sommet. il ne savait pas exactement où il devait aller, mais il suivit le conseil donner par la femme qui hanté ses rêves et qui malheureusement n’était pas la sienne. Il aurait préférait être condamné a voir la sienne, plutôt qu’une autre qui le rendait dingue d’incertitude. Le réprouvé se mit en marche. Il ne réfléchit pas a comment, ni a se qu’il faisait, il le faisait voilas tout. Il commença par prendre un chemin qui devait mener au plus haut, en tout cas atteignable par de simple randonneur. Cela prendrait du temps, beaucoup de temps, mais il espérait que ça en vaudrait la peine. Son esprit fixer sur le point fondamental de sa démarche, il continua sans relâche avec la tenace intention de répondre a ses questions. Le chemin disparut. Il fut malheureusement obliger de se mettre a grimper de façon beaucoup plus difficile. Plus il monter, plus c’était pentus. Le terrain devenait pratiquement impraticable. La pierre sous ses pieds s’effritaient petit a petit. Il commencer a être fatiguer et avoir de plus en plus froid. C’était difficile, beaucoup plus cas ses souvenirs. Il fut même forcer d’escalader un mur de roche qui lui coupèrent le bout de ses doigts complètement gelé par le vent qui soufflé sans relâche.  

Au bout de cinq longues heures il arriva enfin a une sorte de grotte dans la quel il se réfugia. Epuiser par son trajet, il s’effondra sur le sol. C’était trop dur. Il ne pensait plu pouvoir y arriver, en tout cas pas pendant cette nuit. Il ne sentait plu ses jambes, ni ses bras. Tout son corps était d’une douleurs extrême. Il avait besoin de prendre un moment pour se remettre. Son coeur explosé dans sa poitrine, son souffle était douloureux, lui brulant la gorge. Il était complètement entrain de perdre pied, sa tête lui tourné. Il était déshydrater, mais parti avec précipitation il n’avait pas penser a prendre une gourde. Après un bon moment a croire qu’il aller y laisser ses poumons, il c’était assit contre la paroir de la grotte. Quelque chose au fond de cette endroit attira son regard. Une lumière. Sa respiration calmer il entendait également un bruit. Au delà du souffle du vent qui s’engouffrer dans la grotte, il y avait comme un bruit d’eau. Se levant, il s’enfonça vers le fond de la grotte. ver la lumière. C’était amusant car on lui avait souvent dit de ne jamais approcher la lumière blanche au fond du tunnels. Seulement là, elle n’était pas blanche alors il avait le droit. C’était plutôt un scintillement qu’une vrais lumière, mais quand le bruit fut plus facile a assimiler et qu’il vit la cascade il se retrouva un peut dépourvu. Il était dans une sorte de grande salle, avec se mur d’eau devant lui.

Prenant son seul courage pour faire taire ses craintes, il passa la cascade sans savoir où il aller. Il lui sembla pourtant que son instinct lui crier de passer la cascade. Un peut troubler, il se retrouva étrangement dans une salle qu’il connaissait que très bien. Le temple des esprit. Il se sentait un peut prit en traitre ne s’attendant pas du tout a cela. D’un pas trainant, il avança comme a son habitude a la première porte face a lui, sachant de puis un moment maintenant que l’esprit qui ce dévoilait derrière serait celui qui aurait choisi de le recevoir, pas l’inverse. La mains sur la poignet, il n’attendit pas une seule seconde de plus, sachant que sinon il ne pourrait jamais affronter la vérité. Si c’était là qu’il devait avoir la réponse eh bien soit. Bien qu’il ignorait pourquoi cette cascade l’avait mener au temple des esprit, un lieux où il ne voulait jamais remettre les pieds. Seulement là, c’était un cas d’extrême urgence. Bien sur, il était là, Haroun, sur son trône de pierre froide. Etrangement, pour la première fois il fut soulager de le voir lui plus que Méli, car au final si l’Aether était l’amie de Timée alors elle pouvait tout a fait être corrompu. Au moins Haroun, lui serait totalement objectif, par fois même un peut trop sincère d’ailleurs. Cependant c’était ce qui lui fallait en cette instant. Puis c’était lui qui l’avait libéré de sa prison, même si il le suspecté de faire partie de ceux qui l’avait enfermer et qui lui avait retiré toute sa puissance et son rang.

Avancent dans la pièce remplit d’obscurité, il regarda l’Aether vert ce tourner vers lui. Son sourire jusqu’au oreille, ravis et cruel. Oui il devait jubilait de voir son poulain souffrir, il adoré ça, le torturé et enfoncer un peu plus le couteau dans sa chair avant d’y verser du sel. « On viens demander qui es sa mômon ? » Son ton était méprisant et insupportable, mais Zéleph ne s’en plaignit pas, il était bien trop en manque de réponses pour cela. La positions de force rendait Haroun plus radieux qu’il ne l’avait jamais était. « Tu veux réellement le savoir ? Je ne sais pas si cette vérité te suffira. » « C’est égale. » Le ton du réprouvé était sans équivoque. C’était maintenant où jamais. Il devait savoir. il le fallait. L’aether ne pu en être plus heureux et ce redressa sur son siège pour observer sa victime. L’esprit des carets n’avait pas beaucoup de plaisir dans son existence, alors, quand de telle opportunité s’offrait a lui il en savourait pleinement chaque instant. Zéleph savait que sa torture ne faisait que commencer, mais cela en valait la peine, il en était persuader. « Timée. Ah Timée. Cette beauté. Si elle n’était pas prise je me serait volontiers prêter a sa douceur. » L’air rêveur de l’Aether était légèrement dégoutant aux yeux de l’ancien seigneur. Haroun continua pourtant a s’égarer, ce soucient peut du spectateur de ses fantasmes. « La chaleur de cette femme, ferait fondre le continent des glaces en sa totalité. » De plus en plus renfrogner, Zéleph commencer a s’impatienter et légèrement s’agacer du jeu de l’Aether s’amusant a le provoquer sur le charme plus qu’impressionnant de cette femme. Une chaleurs incandescente. Il était peut être marier et son fantasme ne portait qu’un seul visage, mais il n’était pas aveugle. Seulement si cette femme était réellement sa mère, il n’apprécier pas beaucoup la façon dont il s’amuser a lancer ses sous entendu douteux au possible. « Oh ne fait pas cette tête, petit Shizuo. Tu l’as vue, je suis sur que si tu n’était pas devenue se chien devant ta femme, tu serait toi aussi en extase devant Timée. » Il éclata soudain d’un grand rire bruyant et irritant au possible. « J’aurait d’ailleurs adoré voir ta tête quand elle t’aurait repousser ! Tu sais, l’inceste ce n’est pas le plaisir de tout les Dieux. » Plus que la méchanceté acerbe d’Haroun, Zéleph s’arrêta sur un point, un détaille en particulier. Si il devait y avoir inceste cela voulait bien dire qu’il portait son sang. Cette femme, cette Aether était donc sa mère ? Soudain il ce sentait bien plus proche d’Erza qu’avant. Il avait une mère Aether lui aussi, une mère dont il ne connaissait rien seulement la prestance, le nom et son intérêt pour sa personne. C’était amusant, avant cela il n’avait jamais repenser a sa fille, ou non fille d’ailleurs. Après tout, elle était morte.

Haroun fit une moue désoler, mais il était bien évidant qu’il était loin de l’être, au contraire, dans se soyeux on lisait bien son ravissement profond. Il avait provoquer un trouble profond au fond de l’ancien roi, et c’était délicieux a apprécier. « Oh, tu semble malheureux mon petit. » Disparaissant pour réapparaître a ses coter, il lui prit l’épaule comme pour le réconforter, mais cela ne fit qu’enfoncer le réprouvé dans son humiliation.
 
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Dim 24 Mai 2015, 23:59

Pourquoi fallait-il toujours que sa vie soi un joyeux chaos ? « Tu devrait être soulager d’avoir retrouver tes origines. Ah, mais attend! » Il ricana, un sourire malsain ce dessinant sur le visage de l’esprit. « Tu ne les as jamais perdu. Ils ton seulement menti. » Son désintérêt pour les sentiments de Zéleph était flagrant. il trouvait les mortel pathétiques et la façon dont le réprouvé ce faisait manipuler de puis toujours, risible a en pleurait. Il l’avait son petit plaisir, le seigneur était décomposer. cette fois la claque était passer, fouetter de plein fouet le grand colosse. Fragiliser au plus profond de lui même, il réalisa pour la première fois que cette vérité, il l’avait toujours connue au fond.

« Elle ? Ma mère? » Haroun était un peut déçu au fond. Il aurait souhaiter voir de la haine, de la colère, cette rage magnifique dont Zéleph était capable. La destruction de tout ce qui l’entourait, oui, c’était ce qu’Haroun aurait voulu, le voir exploser en un splendide bouquet de ténèbres. Le sang et la motté tait était un si doux réconfort si il l’avait voulu. Cela dit, Zéleph était loin de porté cette colère en lui a cette instant. Il était simplement effondrer. Dévaster. Alors quitte a ne pas avoir ce qu’il voulait, l’esprit imagina qu’il serrait cruel de ne pas profiter de ce calme pour continuer a lui révéler le reste de cette vérité qu’il était venue chercher. « Timée ta mère, Zéleph ton père. » Un coup de plus dans le plexus et il pensait sincèrement qu’il tomberait sans jamais pouvoir ce relever. « Et oui, tu n’est pas le premier. Ah ce bon Zéleph. Ce n’est pas un homme très aimable si tu veux mon avis et il c’est attiré les foudres de beaucoup d’entre nous lors ce qu’il a décider de faire de Timée sa Dame de coeur. » Au fond de lui le réprouvé voulait tout stopper, il ne voulait rien entendre, seulement il était incapable de s’insurger. « Tu a au moins un point commun avec lui, Timée n’avait d’intérêt pour lui, que le désire de l’émasculer. Comme quoi les gens changes. » Chantonna-t-il en retournant gaiment sur son trône, ayant visiblement oublier son regret de n’avoir pu toucher a sa « mère ». « Je ne sais pas comment il a fait, mais ta mère n’as plu d’yeux que pour lui depuis et lui… eh bien il faux dire qu’il n’y a pas beaucoup de monde qui l’apprécie. Alors s’accrocher a elle c’est tout se qu’il a. » Tout était relatif, mais Haroun apprécier plutôt cette histoire. « Tu te souviens de tout ce qui ta amener a trouver ce Zéleph ? D’abord un démon, puis un Aether au culte obscure qui a était au final qu’une invention d’un pauvre elfe sénile ? » Devait-il réellement subir ça? Il semblait qu’il n’avait pas le choix. 

« Eh bien rien de tout cela n’est réellement faux. Zéleph était un démons, mais cela remonte a si longtemps que je crois ne même pas avoir vue le jour en ce temps de mortel. » Soudain, le réprouvé euh envie de s’assoir, par ce que l’histoire aller être longue et usante. « Je ne l’ai connue que Aether. Aether de la discorde et de la destruction. Pas étonnant que tu soi aussi perturbé avec deux parents aussi … différent. » C’était au moins une explications de plus sur l’origine de son tempérament. « Et ma … Timée? » Haroun fut ravis de l’hésitation du réprouvé, mais ne lui fit pas remarquer, apprécient son simplement trouble. « Aether de… je te le donne en mile… » Le silence que prit Haroun pour le tenir en haleine était insupportable. Zéleph ne voulait pas, mais il ne pouvait qu’être pendu a ses lèvres et l’esprit en prenait un plaisir infini, il ne pouvait que sentir la colère de le savoir. Le sourire d’Haroun s’étira en quelque chose de profondément malsain qui fit frissonner le réprouver d’appréhension. « Des désirs. » Sa voix n’était qu’un souffle, mais ce fut une tempête pour l’ancien roi. Des désirs ? De quel désirs parlait-il ? C’était encore une foutu énigme pour le faire chier ! « Désirs? » « De tout les désirs, les meilleurs comme les plus mauvais. Ta mère n’est pas du genre a juger qui que ce soit. Elle peut prendre la formes du plus ignoble comme du plus beau des fantasme. » Haroun disait cela dans un ton des plus naturelle, qui déstabilisa Zéleph. A chaque mots il était encore plus perdu qu’avant. Quel genre de fantasmes ? Tous ? Charnel, cupide, cruel, tous ? Vraiment tous ? « A vrais dire elle est souvent assimiler a l’Aether des plaisirs. Tu n’imagine pas le nombre d’homme qui la prie dans l’espoir d’être des bêtes sexuelle. » L’esprit vert éclata de rire, laissant le réprouvé entre deux. Il ne savait pas si il devait en rire lui aussi ou être dégouter. Timée était donc l’Aether du désirs des homme. « Il n’y a cas la regarder, elle est l’incarnation de la femme que tout homme désir. Elle est aussi la représentation de ce que les femmes voudrait être. Elle suscite l’envie et la jalousie avant de promettre de son doux sourire que tu pourrait être tout comme elle si tu le souhaiter et qu’elle t’aidera a attendre la perfection dont tu rêve. » De la manipulation. Zéleph finissait par si faire, il vivait dans un monde d’hypocrisie. Les Aetheri excellent dans ce domaine. « Au homme elle les charmes d’une promesse si simple. Les hommes son d’une faiblesse… La promesse qu’ils puisse avoir une femme tel qu’elle et ils son déjà tous a genoux ce confondant en prière et en offrande. » Zéleph crue percevoir dans la voix d’Haroun qu’il était comme fasciner, cela ne le surprendrait pas que ce genre de jeu le séduise, lui le roi de l’humiliation. « Il faut bien dire qu’elle est très douer pour mettre à ses pieds qui elle souhaite. Quand elle apparait a un mortel, c’est a chaque fois si rare et d’une formidable mise en scène. Elle est prodigieuse. » Cela devait être une des seule choses intéressante qui bousculer son quotidien, ça et écraser ses pauvres mortel comme des insectes pour leurs signifier comme ils étaient insignifiant a ses yeux.

Le réprouvé commencer a en avoir marre. Sa mère Aether des désirs, fantasmes, et d’autre plaisir, il ne savait encore et son père Aether de la destruction, de la discorde. Il avait dit qu’il était l’enfant d’un mélange détonnant, mais ces deux parents ne semblait en aucun cas être pur tout deux, ou était-ce le temps qui les avaient rendu ainsi. Il avait vue Mitsuko tellement changer, en si peut de temps. Les dieux étaient si différent. Il ne fonctionner pas comme les mortels, leurs sentiments étaient totalement contrôler, ils pouvaient même aller jusqu’à l’annihilation  total. C’était d’ailleurs fasse a cette réalité, qu’il avait fini par admettre la mortalité de son épouse. Cela dit il ne savait pas se qu’il ené tait aujourd’hui. Elle ne semblait pas avoir chercher a le trouver, et lui, il désirait ardemment la retrouvé, mais également refuser de la voir. La crainte d’être rejeté, de ne pas être a la hauteur, et c’était plus valable que jamais. Quoi qu’il en soit, il ne savait plu très bien où donner de la tête. Il avait besoin de temps. Un certain moment pour ce remettre de toute cette agitation dans sa vie. Haroun, peut être plus sensible qu’il ne voulait le faire croire, fit apparaitre une banquette derrière le réprouvé, où il pu s’assoir pour y soufflet un peut.

Timée et Zéleph. Le désirs et la discorde. Il avait du mal à croire que cette fois on lui disait la vérité. Qu’est-ce qui lui disait qu’ils ne ce moquer pas a nouveau de lui ? Qu’est-ce qui lui prouvait que les Aetheri ne continuer pas a jouer avec lui ? En qui pouvait-il croire a présent ? Ce passant une mains dans sa crinière blanche comme la neige, il soupira, l’esprit torturé et épuiser. Après un certain temps Haroun s’assit a coter du réprouvé. Il ne fit que sentir sa présence, son visage a présent enfouit dans ses mains dans l’espoir peut être d’y trouver la vérité. « Il n’y a qu’une personne en qui tu a confiance et qui pourra t’assuré de la vérité. » Lentement, sans y croire, Zéleph ce redressa pour planter son regard dans celui de l’Aether. Incrédule, il avait du mal a imaginer que les choses prennent ce chemin là. « Mitsu… Mitsuko ? » Le réprouvé était malheureux, blesser de comprendre que sa propre femme l’avait tromper. Il ce sentait trahit. bien sur qu’elle était au courant, tout les Aetheri devait l’être, et elle particulièrement puise qu’elle était sa Déesse. Haroun n’eut rien a ajouter de plus, le Dovahkiin compris de lui même. Ce levant sans un mot il disparut dans le néant, laissant dans cette immense salle, le réprouvé seul avec lui même. Comment avoir encore confiance ? Comment croire des vérités qui dans dix ans seront effacer par d’autre? Il en avait marre de courir vers la lumière pour voir toujours le tunnels s’allonger, et ne jamais connaitre la chaleur et la plénitude de ce bain de soleil. Non, il restait enfermer dans des souterrain sombre et humide. Zéleph n’en voulait a personne. Il semblait que chacun eu subir les manipulations de ses « parents ». Si on ne pose pas de question, omettre la vérité n’est pas mentir. Il adoré sa femme, et était incapable de s’insurger pour ça. Il se sentait simplement stupide. Voilas la vérité. Il était comme un animal, que chacun c’était amuser a dresser comme il le voulait. Passant de maitre en maitre sans jamais posé de question. Toujours heureux tans qu’on lui donner un os a ronger. Aujourd’hui il ce rendait compte a quel point il avait était un sombre idiot, du moins pris comme telle. ce n’était ni la faute de Lucy, ni celle de son père au fond. Celui qu’il avait tans détester pour sa cruauté, celui a l’origine de tout. Non, il avait beau être un monstre et l’avoir torturé, humilier, marqué au fer au final les vrais responsable de sa douleur c’était eux. Deux Aetheri aussi irresponsable que des enfants ! Zéleph… Zéleph… Il n’en pouvait plu que ce nom le torture.

Sa naïveté l’avait rendu chétif. Sortant de la pièce, il repassa sous la cascade et se retrouva a nouveau dans la grotte en plein milieux des montagnes. Il fit le chemin inverse vers le village. Se fut très long et aussi fatiguant que l’allé. Il trébucha plusieurs fois, se fit mal, s’écorchant a plusieurs reprise. Il arriva pourtant a bon port au petit matin, épuiser de sa nuit. Le chemin avait était long et ses pensé l’avaient épuiser. Zéleph avait comprit le principal. deux être, un ange nommé Timée et un Démon nommé Zéleph avait eut un fils nommé Shizuo. Seulement juste après sa naissance les deux parents s’élevèrent. Trop faible pour s’occuper d’un enfant au début de leur vie d’Aether, ils ont attendu pour remplacer le fils d’un ange dite Lucy, qui attendait l’enfant d’un démon du nom de Zéphyr. Shizuo fut élever par Lucy et son destin fut celui que la vie lui offrit. Lucy ne pouvait savoir que son vrais fils était mort née puise que Shizuo l’avait remplacer. Le reste n’était que le destin, un destin par fois guider par les deux Aetheri, puis de plus en plus manipuler. Zéleph avait comprit, sa vie avait était manier et remanier pour qu’il en ignore tout. Qu’est-ce qui était si grave a cela ? Pourquoi perdre son temps ? Pourquoi le faire souffrir pour aujourd’hui lui avouer la vérité ?

 
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Lun 25 Mai 2015, 00:01

« Ah vous êtes là. Vous êtes près ? Le convois vas bientôt partir. » En effet, la grosse caisse qui enfermer certainement un monstre était sur une charrette tiré par des boeufs. Son cheval était préparé, il n’avait cas le monté. Brielle l’accompagner encore, ainsi que le conducteur du chariot et de deux hommes qui escorté le tout. Cette chose devait être bien précieuse pour avoir besoin d’autant d’hommes. Ils étaient reparti pour cinq jours de voyages, voir même beaucoup plus vu le pois de la chose et la lenteur des boeufs. Zéleph suivait le convoi a une allure correcte. Il se laisser porté, ses pensées toujours prise par mile tournant. Il n’y pouvait rien. Il fallait dire que tout se remue-ménage n’était pas simple a avaler pour le réprouvé. C’était encore une nouvelle vérité, mais il n’arriver pas a l’admettre complètement. Il lui fallait des preuves, et sur tout du temps. Peut être que Lucy aurait pu lui dire la vérité si elle avait était en vie. Il en voulu un instant a Neros, et puis il réalisa qu’elle n’aurait pas pu l’aider. L’ange ignorait tout, elle n’avait était qu’un instrument. Une marionnette, rien de plus. Il n’aurait rien pu avoir venant d’elle. Il y avait une autre personé qui était impliqué dans sa naissance, du moins se qu’il avait toujours crue. Zéphyr, son faux père dans tout les sens du thermes semblerait-il. Pourtant se monstre savait, beaucoup plus que n’aurait jamais pu savoir Lucy. Si son vrais père était venu le voir pour le menacer cela voulait dire qu’il était au courant. Seulement il n’avait aucune envie de le revoir. Après toute ces années, il ne voulait plu croisé son chemin. Son existence lui était égale d’ailleurs. Etait-il en vie ou mort, qu’importe ? Pour lui il l’était de puis toujours. Le premier jour de sa captivité, Zephyr était décédé pour lui. Alors il préférait vivre dans le doute qu’aller voir se démon pour connaitre le vrais du faux. Lui aurait-il révélé de toute façon ? Rien n’était moins sur. La perfidie de Zephyr n’avait aucune limite, il était le mieux placer pour le savoir. Il refuser d’y penser et se concentra sur le paysage qui défiler avec lenteur devant ses yeux pour ne pas s’attarder sur ses souvenirs d’enfance.

Le boite sur le chariot commencer a bouger, comme la veille. Personne ne semblait s’en inquiéter, et pourtant, le réprouvé ne trouvait pas ça sérieux. SI il y avait un animal là de dans il fallait au moins s’inquiéter de son état. Après tout c’était leur marchandises et il était là pour faire en sorte qu’elle arrive en bonne état. Au soir tomber, comme a l’allé il valut monter un camp. Zéleph s’occupa de son cheval pendant que le charroi fut défait de ses boeufs pour qu’ils soit nourrit et se repose pendant la nuit. Assit sur sa couche, le roi regarda les hommes autour du feu. Loin de la caisse. Ils l’avait laisser a une distance qui faisait croire qu’ils ne voulaient pas la protéger. Elle était dans l’ombre, a distance de la lumière, en soit, en plein danger si ils devaient se faire attaquer. Personne n’avait l’air de s’inquiéter de cela. Le danger était dans la cargaison, pas autour.

La nuit tomber, le réprouvé ne pu pas trouver le sommeil. la curiosité fut trop forte, et puis il était de son devoir de comprendre ce qui se passer ici. Sortant de la chaleur des braises du feu de camp, il s’approcha lentement de la mystérieuse caisse. L’animal semblait paisible, ne faisants aucun bruit. Lors se qu’il posa sa main sur le bois, il sentit quelque chose vibré. Elle devait s’être éveiller. La soif et la faim devait être ardente. Après quelque secondes, Zéleph pouvait entendre un souffle lourd venir de la cage. Le réprouvé ne voyait pas pourquoi on avait enfermer quelque chose là de dans sans en prendre soin si c’était la raison de toute cette mise en ouvre pour qu’elle arrive en « bonne état ». Il fallait qu’il sache. Alors n’écoutant que son instinct il ouvrit la boite. Cela prit un certain temps et se ne fut pas sans bruit. Sur tout que plus il ouvrait la boite en question, plu l’animal semblait s’éveiller. Zéleph en vin même a regretté son geste quand la bête cacher là fini de défoncer sa cage pour en sortir, bousculant au passage le réprouvé qui se retrouva étaler a terre. Sa tête cogna contre une pierre qui lui fit perdre en parti la raison. Il y voyait flou, ça tourné fortement et un bourdonnement dans es oreilles lui faisait extrêmement mal. Il était quand même assez éveiller pour se rendre compte de se qui se passer. La vête était enrager et avait très faim. Sans attendre une seconde elle c’était déchainer. Les campeurs furets très rapidement réveiller et se fut l’horreur, l’hécatombe. Le monstre dévoré tout et tout le monde. Le sang giclé, les grognement et les cries retentissaient en échos. Zéleph ne voyait pas tout clairement mais il en comprenait les grande ligne et se n’était pas jolie a voir. C’était même tout a fait écoeurant. Au bout d’un instant le réprouvé s’évanoui totalement.

Son réveil fut surprenant et un peut humide. Cela sentait le sang et une odeur de chien mouillé. Ouvrant les yeux a cause de la sensation désagréable de cette chose qui lui glissé sur le visage et qui était un peut gélatineuse, il se trouva nez a nez avec la tête d’une bête gênante. Il ne savait pas se que c’était. Un loup ? Un Tigre ? Un lion ? Cela ressemblait vaguement a une chimère ou était-ce son imagination. Non c’était bien un loup, un énorme loup de plusieurs mettre de haut. Blanc, les yeux rouge, du sang par tout sur lui. Le réprouvé se leva, sortant ses lames. Autour de lui il remarqua le champs de bataille. Les corps déchiqueté de ses camarades. pas un n’était resté en vie. Il se retrouvé seul avec la bête qui avait saccager cette endroit. Zéleph ne serait certainement pas payé pour ça après tout se grabuge. Il fallait entérer les corps, cacher les preuves. Le loup ne semblait lui vouloir aucun ma, peut être par se qu’il l’avait sauver d’il ne savait qu’elle sort. Le réprouvé commença a creusé des trous. Libéré les boeufs qui s’enfuirent, les quelques cheveux qui furent resté en vie aussi. Au bout d’e la fin de la mâtiné il avait fini et il se rendit compte que l’animal c’était volatilisé. Bien cela aller être pratique. Tans pis, il était en vie et c’était un miracle. Il marcha alors vers la ville. le chemin fut beaucoup plus long que prévut, mais il y arriva. Quand il retrouva ses employeur il inventa un mensonges, un mensonge a moitié vrais. La bête c’était libéré et il n’avait rien pu faire. Elle avait tout saccager et il avait trébuché, évanoui. Il était le seul survivant. La bête c’était échapper. Bien sur il ne fut pas payé, mais on ne lui posa pas plus de question et c’était le principal. Avec le reste de son argent il retrouva une chambre dans une auberge. Tout ça pour ça… Tans pis.

Le jour suivant, Zéleph avait prit une décision. Il voulait des réponses. Alors il devrait les chercher lui même là, où il savait qu’il pourrait les trouvés. Si ces parents étaient des Aetheri si puissant et si connue, alors cela ne serait pas dur de les trouver. Sa première idée fut d’aller dans la bibliothèque de Stenfeck. Ce n’était pas la plus riche de ces terres en matière de savoir, loin de là même, mais il n’avait aucune envie que d’autre peuple le vois chercher ses origines. Il était déjà assez pathétique comme ça, on se payé sa tête a travers tout les royaume, il n’avait pas besoin de plus. C’est le visage couvert qu’il entra dans la bâtisse. Il ne demanda rien a personne. Il voulait être ici de façon tout a fait anonyme. Même si il n’était jamais rentré ici avant, voir même dans une pièces avec plus de dix livres de son plein grès, il préférait ce débrouiller seul que risquer d’entendre parler de ça longtemps. Au bout d’un certain temps a grogner dans sa barbe agacer de ne jamais trouver la bonne ranger, il fini par trouver son bonheur. Légendaires Dieux et autre bouquins sur les Aetheri, culte ou religions diverse était ranger là. Zéleph fut surprit, car il ne lui fallut pas longtemps avant de trouver un grimoire sur Timée, et encore moins sur Zéleph premier du nom. Dans un coin sombre à peine éclairé d’une bougie allumer sur le mur, il ce laissa glisser contre le mur derrière lui et commença à ouvrir le premier livre. Il détester lire, mais a cette instant cette contrainte ne lui parut pas être le plus dure à surmonter. Il y avait beaucoup d’illustration diverse de Timée. Ce fut la premières choses qu’il constata. Elle était toujours magnifique, par fois brune, par fois blonde et même rousse, mais son corps ne changer jamais, fait de perfection, et ses yeux toujours de cette couleur. Ce bleu profond, comme celui des fond marins, une noirceur dissimuler de beauté. Malgré que cela ne soit que des images, il ce sentait transpercer comme lors ce qu’elle était face a lui dans ses rêves. Il tourna les pages, encore et encore. Il y avait tout sur ses prières, sur l’origine de son culte. Tout était là, écrit noir sur blanc.

« Timée est la divinité du désir, et plus particulièrement du désir amoureux ou charnel. Mentionné dans le Seylek’Farore comme l’une des plus redoutables déesses, du a ses pouvoirs de manipulations des désirs et des sentiments mortels. Elle symbolise le moteur qui pousse les Hommes à la perpétuation de leur espèce. On dit d’elle que sans ses interventions les hommes et les femmes ne ce voueraient aucune attirance et cela provoquerait la chute du monde. Timée représente l’aimant qui pousse les mortels à se lier et a ce désiré. Par fois vue comme un fléau, d’autre fois juger comme une bénédiction, son intervention dans la vie des hommes est indispensable au cycle de la vie. Timée est la première pierre qui mène aux naissances, souvent prié avec le Dieu de la fertilité pour assuré aux femmes de connaitre le bonheur d’être mère. Il est par fois oublier qu’étant Déesse du désirs et des fantasmes, elle a également le pouvoir de réaliser et de faire surgir les rêves inconscient de ses fidèles. Richesse, vengeance, elle peut tout réaliser si le désirs du mortel est assez fort pour être entendu.

Elle est l’épouse de Zéleph, dieu de la discorde. On raconte a son sujet, qu’il était trop ignoble au gout de Timée. Un homme cruelle et solitaire, sans intérêt pour celle dont tout les dieux son amoureux. Apprenant cela, froisser dans son orgueil, Zéleph désira pour ce venger, qu’elle soit prise a son propre jeu.
 
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Lun 25 Mai 2015, 00:07

Aimant par dessus tout briser les êtres, le Dieu prit l’apparence d’un mortel et pria la maitresse du plaisir pour qu’elle vienne a lui. Timée bien moins puissante que Zéleph ce laissa berner et écouta les souhaits du mortel. Il parlait d’une femme a la beauté plus grande encore que celle sans égale de la Déesse, que le Dieu du chaos, être sans coeur, avait lui même faiblit devant sa splendeur.

Prise d’une jalousie sans équivalant, la déesse ce pris d’une colère si puissante que la terre et le ciel ce déchirèrent. Au lieu d’aider le mortel, elle le menaça de lui dire où ce trouver cette femme. Elle la tuerait pour osé affronter la beauté divine. Ce moquant d’elle, le mortel la rendit plus furieuse encore. Prise d’une haine dont Zéleph ce délecta, elle fit totalement tomber son masque de Déesse au coeur pur pour enfoncer dans le corps du mortel les griffes de la colère. La stupeur de Timée fut immense lors ce que le mortel survécue a son attaque. Pire encore, quand elle vit sur le visage de l’homme les trais de cette immonde Dieu de la discorde elle fut totalement humilier. Zéleph ce moqua d’elle encore et encore avant de disparaitre, laissant Timée vexer de c’être ainsi faite berner par un Dieu aussi détestable. Piquer dans son propre orgueil, elle que les mortels vénéraient pour les fantasmes dont elle était la cause, et admiré par sa beauté chez les Divins, voyait que Zéleph n’avait que faire d’elle et pire, il ce moquer d’elle. Allant jusqu’à la rendre ridicule. Alors ce ne fut que par justice qu’elle ce vengea. » Le réprouvé était absorber par l’histoire et ce fut bien la première fois de ça vie qu’un livre l’intéresser autant. Il savait bien sur que cette histoire était en grande partie romancer, et semblait plus être une légende que la réalité, pourtant il voulait bien croire que tout avait un fond de vérité. Puis comme un accroc l fut impatient de connaitre la suite.  

« Timée ne ce fatigua jamais de suivre Zéleph en usant sur lui tout le charme dont elle était capable. Seulement le Dieu n’avait aucun intérêt pour elle préférant voir les gens ce détruirent et ce mutilé entre eux que les voir ce rassembler et s’aimer comme elle passer son temps a faire. Il était évidant que tans qu’elle réaliserait les fantasmes d’amour et de paix des mortels, Zéleph la trouverait insignifiante. Alors toujours froisser et furieuse après le Dieu, elle commença a réaliser les voeux des démons et des êtres aussi immondes que lui. Apprécient l’effort, mais toujours désintéresser, Zéleph ce moqua plus encore du comportement enfantin de Timée. Alors elle comprit ce qui ferait plier Zéleph comme tout les hommes a ses pieds. La déesse du plaisir connaissait le désirs le plus puissant du Dieu de la discorde. C’était ne répandre que souffrance et malheurs en ce monde. Alors elle le mit au défit. Si elle lui montré de quel horreur elle était capable, il devrait réaliser une de ses prière. Ne la prenant pas au sérieux, Zéleph accepta. Jamais après cela le monde n’a connue pareille terreur. Jamais Zéleph ne pris autant plaisir a voir les êtres ce déchirer entre eux. Les hommes et les femmes ce haïssant, les mortels tombant dans les bras des ombres comme un château de carte sous le souffle de Timée. Jamais Timée ne pris autant plaisir a faire le mal. Zéleph sentit alors son coeur ce fêler, Timée dans son obscure folie devin la plus belle chose qu’il lui était donner de voir. Après le fléau, il fut prés a réaliser son voeux. La déesse lui demanda alors son coeur, pour le détruire. Zéleph ouvrit sa poitrine pour qu’elle le prenne, mais elle en fut incapable, voyant dans la noirceur de sa poitrine la lueur de son reflet. De ses ongles, elle vin griffer l’organe, et le coeur qui semblait sans vie ce mit a battre a son contacte. Timée fit refermer la poitrine du Dieu, puis l’embrassa. Son propre coeur de lumière étant à présent tacher de noirceur. On raconte que de puis ce temps, chacun devins l’équilibre de l’autre. Comme le yin et le yang, si la lumière éclaire l’ombre ce n’est que pour la faire grandir, et si l’ombre taquine la lumière ce n’est que pour lui tenir compagnie. Timée ne réalisa plu que les désirs d’amour des mortels, mais également les désirs les plus mauvais, pour faire rugir son époux de plaisir. Zéleph de puis ce temps ne fut plus solitaire et permit quelque fois a sa femme de lui apprendre a être bon, et dans son chaos il y a aujourd’hui toujours un désirs de renaissance. »

Zéleph ferma le grimoire, troubler. Il savait bien que ce n’était qu’une légende. On n’écrivait pas les histoires tel qu’elles étaient réellement. Plus encore quand ils agissait de Divinités. Personne ne pouvait réellement savoir ce qui ce passer entre les Aetheri que ce qu’ils voulaient que les mortels ne sachent. Il prit alors le grimoire sur le Dieu de la discorde et de la destruction. Il n’y avait aucune illustrations de lui, que des sortes d’ombre ou des symboles, et les textes étaient biens plus courts que ceux de Timée. « Zéleph est le dieu de la destruction, du désordre et de l’ignorance. Dieu destructeur, il dissout l'univers afin d'en créer un nouveau. Mais il est surtout un dieu ambivalent, à la fois destructeur et créateur, terrifiant et bienveillant. Il représente aussi la miséricorde et la compassion ainsi que le chaos, mais celui-ci a pour but la création d'un monde nouveau: Zéleph transforme. On le juge comme bon, malgré ses actes poussant a la destruction, car si il brule ce n’est que pour faire renaitre la vie après lui. Un dieu paradoxe. Dans aucun de ses cultes il n’est suggérait qu’il oeuvre pour la vie, mais sa liaison avec Timée, déesse du désirs fait de lui un Dieu apprécier des mortels. Ses cultes son violant et sanglant, plus pratiquer par des êtres maléfiques qui cherche a semer le malheur. Il est souvent prier en dernier recourt par ceux qui n’on pas reçu justice et veulent une vengeance sans précédent. On ne connait aucune représentation certaine de lui. Souvent représenter comme un monstre a cornes ou un homme d’une beauté animal. Il est cela dit toujours représenter nu tenant dans sa mains gauche le monde brulant sous le feu noir de la désolation, et dans sa main droite le monde renaissant sous la lumière bienveillante. » Il y avait ensuite tout ce qui était de ses prières, ses différents cultes et les grandes histoires lier a lui, a commencer par celle avec Timée qui était radicalement la même sauf exception par si par là, d’un ou deux détailles. Fermant le grimoire, le réprouvé resta incertain.

Il ne pouvait plu douté, et pourtant comment s‘en empêcher après cette accumulation de mensonges ? C’était bien naturelle. Pourtant il lui rester des choses a régler. Ce levant il reposa les livres là où il les avaient pris, repartant dans l’auberge miteuse qu’il avait encore une fois investi. Il marcha lentement. Il traversa la ville pour gagner sa chambre. Ce fut long, mais c’était ce qui lui fallait pour réfléchir. Il avait besoin de temps et de calme pour poser ses idées. Après sa longue heure de marche, il arriva enfin devant son lit. Il était totalement épuiser, plus par sa gymnastique cérébrale que par sa marche a proprement parler. Alors il alla directement ce coucher, sans même ce laver ou bien manger. Tans pis. Il désirait pour la première fois retrouver ses rêves pour y recroiser celle qui ce disait être sa mère. La vrais cette fois, il l’espéré.

A peine c’était-il rendu compte qu’il était déjà plonger dans ses songes. Entre rêve et réalité, il ne savait trop. Celui-ci n’était comme nul autre, et moins rare que ce qu’il croyait, mais il ne s‘en souvenait pas toujours. Elle était là, devant lui, unique. La perfection. Nue. Offerte. Sa bouche ne désirait que la sienne avec dévotion, ses mains n’ayant de raison d’être que pour glisser sur sa peau avec adoration, elle était le fruit du plaisir absolu. Son plaisir.  Sa chair bruler au contacte de la sienne et les secondes devenait incandescente. « Tu en as par tout » murmura-t-il levant la mains pour effleuré une mèche de cheveux blonde qui se promenait sur sa joue et balaya de la farine, ou autre chose, qui coller sa peau. Zéleph ignorait d’où cela venait, il ne ce souvenait pas lui avoir donner un autre cour de cuisine, mais il n’en avait que faire, elle était diablement excitante couverte de poudre d’amande et de sucre. « Délicieusement pas présentable » continua-t-il taquinant sa peau de son souffle chaud, effleurant encore etencore son visage, frottant délicatement sa peau comme si il n’avait jamais rien toucher de si doux. Il sentit les muscles de Mitsuko céder, fébrile, elle ce laisser submerger et il profita de son avantage, ce rapprochant encore passant une jambe entre les siennes et glissa une main derrière sa tête. « Il faut que je sache quel gout tu as. » murmura-t-il son regard complètement absorber par se qu’il avait sous les yeux, fasciner par ses lèvres entre ouverte, rose. Elles avaient un reflet rouge qui lui faisait savoir qu’elle avait croquer dans un fruit rouge, et c’était exactement ce qu’il voulait gouter. Etait-ce de la fraise ? Framboise ? Cerise ? cela lui importait peut, dans sa bouche cela ne pourrait être que splendide.

« Il faut que je sache. » Il la voulait, par les divins, il la voulait a s’en mutiler le coeur ! Il savait pourtant que ce n’était pas bon, elle ne le supporterait pas. Il était devenu médiocre, insignifiant face a elle, mais dans son rêve cette pensé s’effaça aussi vite qu’elle était venu. Alors plutôt qu’un simple baiser, un effleurement de bouche, il passa directement sa langue sur les lèvres de sa femme, et la gouta comme il l’avait si ardemment désiré. Elle gémit et il ce sentit vibré. « Si doux » Elle voulait qu’il ce damne pour elle et il l’était tout entier. Passant a nouveau sa langue sur ses lèvres, sensuelle, lui demandant accès aux fruit de tout ses fantasmes. Avec un sourire vorace elle écarta les lèvres et l’accueillit avec un frisson. Elle était irrésistible, un gout si doux de péché et d’interdit, d’inaccessible qui l’avait toujours rendu fou. Il enfouit son autre main dans ses cheveux et l’enferma définitivement dans une étreinte possessive, elle était a lui et il la dévorerait jusqu’à l’épuisement. Ce baisait était plus intime que ce que l’on peut donner en faisant l’amour. Par ce que c’était comme faire l’amour.

 
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Lun 25 Mai 2015, 00:11

Brulant, sensuelle, puissant. Leurs langues ce trouvèrent, ce confrontèrent, trouvèrent un rythme au quel danser, s’unissant sans pudeur, aucune. Leur corps ce cherchant, ce frottant l’un a l’autre dans le désespoir de s’unir à leur tour. Elle ce cambra contre lui, écartant les jambes pour le percevoir plus intimement et gémi en sentant son désir dur contre son entre jambe. Malgré lui, il sourit, ses mains ce détachant de ses cheveux, pour longer son corps de perfection, sa peau lui faisant tourné la tête, sa poitrine s’écrasant contre son torse au rythme d’une respiration saccadé. S’en était assez de jouer. « C'est toi qui gagne toujours, beauté. » murmura-t-il finalement en quittant à regret sa bouche pour venir embrasser son cou.  

Il aller tout simplement enfin pouvoir nourrie sa faim débordante d’elle. Lors ce qu’il entendit un rire. Au début il ne fit pas attention, bien trop absorber par sa femme. Seulement elle était secouer de bien autre chose que de rire, et l’ors ce qu’il commença a embrasser sa poitrine et qu’il senti un souffle et un parfum autre que le sien contre son oreille il ce raidit « Ca te plait on dirait. » Zéleph ce redressa si vite qu’il sentit sa colonne vertébrale craquer. Sous lui, Mitsuko disparut simplement alors qu’il lever les yeux sur une créature tout aussi charmante mais pas la bien venu dans SON rêve. Timée, aussi radieuse qu’elle puisse être, lui souriant avec amusement, ne semblant pas gêner le moins du monde d’avoir épier son fils dans un de ses fantasmes. Au contraire elle semblait comblé, et lui, lui pauvre garçon, il se sentait dégouter et démunie devant cette situation. Ne semblant pas capable de parler, écœuré, elle décida de continuer a le torturé. Il était trop bon de le voir ce perdre dans cette frustration. Comme si soudain, tel un enfants, il venait de ce faire surprendre a découvrir son corps et le plaisir de la chair. Diable qu’il était beau et elle le fit savoir. « Tu ressemble a ton père quand tu fait l’amour. Magnifique et puissant. Tu dégage quelque chose de prodigieusement animal. Elle semble susciter en toi une grande passion. » Il était dégouter, avait soudain un large haut le coeur. « Tu a beau avoir perdu ta puissance, tu n’a pas perdu de ta superbe. » Timée avait l’aire fasciner par tout ça, perdu dans ses pensée. Continuant a le contemplé. « Tu es beau quand tu fait l’amour, mon fils. » Cette fois il sentit tout ses poiles s’hérisser d’effroi et ce leva furieux. « ON NE DIT PAS CA BORDEL ! » Il avait hurler comme un fou dans le vide insondable qui l’entouré. Le souffle saccadé entre les événement passer et la colère qui le gagner, il sera les poings, son regard rouge fusillant l’Aether. « On ne dit pas « fait l’amour » et « fils » dans la même phrase ! On ne dit pas ce genre de chose, bon sang, vous n’avez aucun sens de la pudeur, ou de la décence ? » C’était absolument dégoutant. Timée en rit pourtant, croisant ses bras sous sa poitrine en le jaugent de haut en bas de ses yeux bleu. Il voyait sur son visage l’indifférence et le défie, et il comprit qu’il avait perdu avant même de commencer a ce défendre. « Veux tu qu’on en parle ? De l’indécence ? » Elle rit, ce rapprochant doucement de lui, dans une lenteur qui ne lui plu aucunement. Quand elle fut si près de lui, qu’il était forcer de baiser les yeux au plus bas pour la voir, elle lui attrapa le menton pour le forcer a baiser son visage. Trop près, ils étaient si près qu’un seul misérable centimètre séparer leur bouches. Zéleph se sentait mal a lèse. C’était embarrassant. L’Aether se satisfaisant tout a fait de l’état dans le quel elle mettait le réprouvé. « A présent ma personne n’a plu de secret pour toi. Tu doit alors savoir que je n’ai perdu aucune secondes de tes ébats avec aucune femmes que tu a connue, pas même cette Aaron. » Sa voix était sifflante, elle semblait trancher l’air et venir blesser sa peau. ce n’était qu’un murmure et pourtant ça avait la violence d’un hurlement. Une menace face a la quel le mortel ce retrouver démunie. « Je me suis délecter de chaque instant, chaque visions, je connait tout tes vices, tout ce qui te rend fébrile et te fait perdre tout moyens. » Elle lui souri, odieuse, elle s’amuser à lui faire perdre la raison. « Ne viens pas parler de pudeur. » Elle le lâcha finalement, aillant fini sa remontrance, pour s’éloigner triomphante. Zéleph avala difficilement en la fixant a la fois incrédule et avec cette sensation d’avoir était émasculer. « Alors veux-tu parler maintenant que je tes laisser te détendre? » Oui il était très détendu, on pouvait dire ça oui …

Le mieux c’était encore de ne pas en parler. Il n’avait aucune envie de dire quoi que se soit et toute questions qu’il avait put avoir avant cela c’était dissipé. C’être ainsi fait couper dans ses ébats, bien que rêveries, fût très rude a supporté. Il fallait au réprouvé un moment pour respiré, pour calmer sa colère et ses dégouts. Savoir que Timée avait épier toute sa vie intime, c’était dérangent. Bizarre et écoeurant. Son regard sur lui devenait embarrassant. Oui, elle savait tout de lui, tout jusqu’à ses vices les plus déshonorant et il n’en était pas fière. Oui, il aurait préférait oublier. Tout oublier plutôt que subir ça. Se réveiller aurait était bien, histoire d’échapper a une autre discussion gênante, mais Timée semblait être celle qui décidé et elle n’avait aucune envie de le laisser filer. Elle prit soudain une voix douce, comme pour se faire pardonner. « Allons mon chéri, cela fait si longtemps, ne perd pas plus d’heures a te poser des questions, alors parle moi. » Elle n’avait pas tord enfaite et il le savait bien. Malgré ça il n’avait pas plus envie de lui adresser un mot. Avait-elle seulement conscience de se qui venait de se passer ? Non, bien sur que non, elle était une Déesse, ses sentiments étaient aussi inerte que ceux d’une statue. « Je tes tans perturbé ? » Elle rit. Elle avait l’air de trouver ça réellement amusant. Encore une fois Zéleph se sentit troubler. Par sa beauté, par son sourire, par sa façon d’être si naturelle, si chaleureuse. Il ne pouvait connaitre la vérité sans posé de questions, sans y mettre un peut du sien. Il fallait qu’il se reprenne, où tout cela n’aurait aucune raison d’être si il en était autrement.

« Mon père, où est-il ? » C’était une question légitime. Après tout, elle était là a lui bourré le crâne de puis une semaines sur ses vrais origines, seulement il ne voyer que la moitié. Où était l’autre ? « Tu t’inquiète pour ton père ? » Timée avait le sourire. Cet air ravis ne quitter donc jamais son visage ? « Il a était très affaiblit par … qu’importe. Tu le verra. Quand il daignera sortir de son monde, il viendra a toi, j’en suis sur. » En était-elle certaine ? Comment le dire ? La déesse sembla comprendre les doute du réprouvé, car elle s’approcha de lui pour lui faire face. « Tu aimerai le connaitre? » « Non » « Mensonge. » sourit-elle tendrement. « Bien sur que tu veux le connaitre. Tu n’a jamais eu de père. C’est lin manque qui te torture de puis l’enfance. Tu veux un père comme tu en a rêver toute ta vie. » C’était vrais, mais il ne voulait pas l’admettre. Il n’avait plu l’âge de rien vouloir de tel. Il n’était pas un enfant, olé tait un homme et un homme n’avait pas besoin d’un père. Un père devait apprendre des choses a son fils, lui n’avait rien à apprendre. Non, il ne voulait pas de père. Il avait fait le deuil de puis longtemps. Il n’en voulait plu. Timée savait, elle connaissait toute les vérités a propos de son fils, alors elle continua, imaginant que c’était un début a tout. « Tu veux connaitre un fait amusant a propos de ton père ? » Elle s’assit sur une masse blanche difforme qui n’avait pas l’air confortable, mais pour un être qui ne ressentait plu rien se n’était pas un problème. « Zéleph n’est pas son vrais nom. En tout cas ce n’est pas comme ça que je l’appelle. » Le réprouvé n’avait bien que faire des habitude intime de ses parents biologique, cela le dégouté même un peut. Elle rit, ayant bien entendu comprit a quoi il pensait, et cela l’amuser plus que tout. « Je le nomme par son nom, celui qu’il est en réalité, celui qu’il a toujours était. » « Et qui était-il ? » « Un homme peut charmant, il faut l’avouer, et laid ça c’est certain. » Zéleph leva les sourcils surprit que cette femme que l’on disait éprise au plus profond de son âme exprime de manière si naturelle la laideur de son époux. Elle rit cognant au passage le bras du réprouvé qui s’en retrouva a terre, soufflé par la puissance, lui qui en avait si peut. La déesse n’en eu rien a faire, continuant sans se soucier du bleu que son fils aurait, bien que tout cela ne soit qu’un songe… n’est-ce pas ? « De forme ? Non, il est beau. » Elle réfléchit puis continua, un air malicieux s’étant installer sur son visage. Tout ça n’était que théâtre, Zéleph le savait bien, mais elle savait jouer et ça la rendait plus mortel. « Il a son charme, avec ses cicatrices. Tu comprendra quand tu le verra, on ne peut pas les ratés. Non, il est laid de fond. C’est un monstre, mais c’est mon monstre. » Ou elle était folle, ou elle était amoureuse, peut être même les deux. Se qu’il avait lue était certainement vrais, le Dieux avait su faire ressortir la vrais nature de sa femme et celle-ci était plus libre de penser se qu’elle voulait sans crainte de jugement. Malgré toute cette bonne volonté, Zéleph ne connaissait toujours pas le vrais nom de son paternel, mais Timée aller y venir, c’était le but, le faire attendre.

« Nath. Son nom est Nath. » s’en suivit un petit rire. « Voilas un des innombrable point commun que vous avez. » « Comment ça? » « Eh bien, comme pour toi, pour ton père son nom de naissance est un fardeau. » « Quel est ça raison ? » Il était curiaux a se propos, que pouvait-il avoir vécu de plus que lui. Timée souri gentiment, comme pour signifier qu’il n’y avait pas lieux d’être en colère. Zéleph n’était pas en colère, il était agacer, mais il n’aurait su dire la raison. « Il a abandonner son identité lors ce qu’il est devenu un Aether. Il voulait oublier sa vie, créer quelque chose de nouveau, avec moi. Alors il a changer de nom, disparaissant ainsi totalement du monde mortel. » « Pour quel raison ? » « Que cela n’ai pas de sens pour toi, mon fils, n’est pas un problème si cela en as pour lui. C’était son désir, je l’ai accepté, mais je n’ai jamais pu l’appeler autrement que Nath. »
 
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Lun 25 Mai 2015, 00:13

Encore une fois le réprouvé voulait savoir pourquoi, et sa mère le su sans qu’il ne le dise alors elle continua calmement. « J’ai épouser un démon. Un démon du nom de Nath. Se que tu a lu dans les grimoires ne son que des légendes, nôtres histoires n’a rien de fabuleuse, elle est même un peu triste. J’était un ange, un ange qu’un démon courtisé. Je l’ai aimer. Par un miracle peut être, qu’importe le monstre qu’il était, mon coeur fut le sien et il battait pour deux. Nous étions puissant. Il ma rendu puissante. Son rêve était d’être un Dieu parmi les Dieux. Au bout de quelques années nous avons appris comment cela était possible alors nous avons commencer notre ascension, mais il y avait un problème. »

« Tu était enceinte. » « Je l’était, oui. J’avait cacher cette vérité a Nath, pensant qu’il me détesterait, mais il fini par l’apprendre. La colère. Il était furieux, je me souviens avoir pleuré et lors ce qu’il vit la terreur dans mes yeux il comprit. Pour la première j’eu peur de lui. Qu’il me fasse du mal. Qu’il te fasse du mal. Jamais je ne le vit aussi malheureux. Il me jura de te protéger, mais le processus était lancer, on ne pouvait pas faire machine arrière. Il était trop tard. Je ne pouvait pas non plu m’élever avec toi dans mon ventre, c’était trop dangereux, l’un de nous aller mourir, peut être même les deux. Le risque était trop grand. C’est pourquoi nous t’avons laisser a Lucy. C’était notre seul chance de vivre et toi aussi. Une fois élever nous avons fait notre vie en temps qu’Aether. Au début cela était pénible. Sur tout pour moi, on venait de m’arracher mon fils, mais ton père resta toujours a te surveiller quand moi je ne pouvait pas. Dieu ou démon, ton père reste le même. Il restera toujours Nath, le monstre qui ma fait rire, pleuré, chanté. J’aime la personne qu’il est et qu’il a toujours était. » Timée s’assit a coter de Zéleph, qui ne c’était toujours pas relever de sa chute. « Comme toi, tu es et restera toujours mon fils, Shizuo. »

Il ne voulait pas l’entendre. Il était fatiguant de les entendre tous lui redire la même chose a chaque fois. Il était Shizuo Stark et personne d’autre, et blah blah blah. Il était celui u’il voulait être, voilas la vérité, il n’y en avait aucune autre. « C’est le nom que je tes donné. Ton nom de naissance. le nom de mon fils. » Le ton de Timée avait monté. Elle paraissait en colère, fâcher qu’il se ferme autant a l’énoncé d’un simple nom. « Je n’ai plu de nom, je l’ai abandonner il y a longtemps. Lors se qu’on ne ma plu laisser le choix. Lors se que j’ai du renoncer a qui j’était pour pouvoir survivre. » L’Aether laissa paraitre sa tristesse, ne cachant pas la blesser que cela lui procuré. Elle posa une main douce sur la cuisse du réprouvé, l’appelant a le regardé, mais cela ne fonctionna pas, alors tendrement elle l’appela. « Regarde moi. » Un ordre qui n’eut aucun effet. Le réprouvé regardé le sol immaculé de puis bien dix minutes, n’ayant pas le courage d’affronter le regard si profond de sa mère. Il la craignait, il se sentait trop petit, trop vulnérable. Il avait peur. « Shizuo. » Il eut un frisson, détestant cela. Cette sensation bizarre, d’être pris au piège. De ne pas détesté ça. « Shizuo, s’il te plait. Regarde moi. » Alors il obéi et leva la tête. Instantanément son regard fut capté par le sien. Il y lu une peine si grande qu’il fut certain que son coeur venait de se fendre en deux. « Sait tu le mal que tu me fait ? Sait tu le mal que tu te fait? » « Vous n’avez jamais était là pour moi. Pourquoi devrai-je avoir de la peine pour vous ? Vous n’êtes personne pour moi ! » Il ce défit brusquement de sa prise, avants de se levé pour fuir sa présence. Elle avait une emprise sur lui, c’était certain, et il se sentait obliger, pourtant il avait raison il ne la connaissait que de puis quelque jours. Il n’avait aucune raison de suivre ou croire quoi que se soit, ni d’avoir de la peine pour cette femme, même si… même si il ne pouvait s’en empêcher. Timée ne bougea pas. Elle ne se bâtit me^me pas, restant assise là, pleine de chagrin.

Au bout de quelque longues minutes de silence, sa voix se fit entendre. Toute petite, comme si elle ne pouvait le dire réellement, elle commença. « Tu a raison. C’est injuste. Tout est injuste. Toi, que j’ai du abandonner, que tu es du vivre dans la douleur et le mensonge. Moi, voir une autre t’élever sans pouvoir jamais t’approcher, déchiré de te voir souffrir et n’avoir le droit d’intervenir, resté impuissante devant tes blessures. Ton père, regardé un autre prendre sa place et te torturé sans qu’il ne puisse te sauver, te voir craindre d’être père et n’avoir jamais connue de vrais père comme lui aurait rêver l’être pour toi. Oui, tu a raison, c’est injuste. » Pleurait-elle ? Non, mais si elle avait pu, elle l’aurait certainement fait, il pouvait le sentir au son de sa voix. Elle tremblé. Il sen voulait, mais s’interdit de regretté. Il avait raison. Quoi qu’il arrivé, c’était lui qui avait raison. « Seulement, tu te cache derrière un nom qui n’a aucune valeur. Tu le sais, tu le sais de puis longtemps. Que tu te cache du monde, c’est un fait, c’est ton droit. Tu a forger une image a se nom, a cette personne. Seulement quand tu es seul, quand tu es fasse a la réalité, tu ne porte pas se masque. La vrais personne que tu es ce n’est pas Zéleph, c’est Shizuo. Tout comme ton père est Zéleph pour son culte, quand il est avec moi, il ne peut être que lui, que Nath. Je n’ai que faire d’un dieu, c’est un homme que j’aime. Je n’ai que faire d’un roi ou d’autre chose, c’est un fils que j’aime. Si ta puissance avait un nom, si ton pouvoir avait un visage, celui qui est et qui restera c’est Shizuo. » Elle fini par se lever. Il tourna son regard vers elle, et fut écraser par sa présence. Avait-elle raison ? Le réprouvé s’en voulait de résisté, mais son orgueil l’empêcher d’être en accord total avec elle. « Tu n’es plu celui que tu était. Tu a perdu tout se que tu avait. Ta richesse, tes pouvoirs, ta force, ta renommé, tout se qui faisait de toi le fière guerrier a qui tu a donner un nom aussi valeureux que puissant. Zéleph. Un nom qui impose le respect dans tout les royaumes. Un nom crains et terrifiant. Seulement maintenant que tu n’a plu tout se qui faisait de toi un si célèbre mortel, qui est tu, hein ? Dit moi ? Qui peut te croire quand tu dit ton nom ? Qui peut croire que tu est celui qui fait tremblé des cités entières ? Quel rois pourraient avoir peur de toi a présent ? » Son ton devenait de plus en plus dur, sa langue assuré. Ses reproches étaient comme des claques sur les joues du réprouvé, et Timée continuer, furieuse. « Se nom que tu t’obstine a porté comme étant le tien, n’est qu’un titre que tu tes donner comme celui de Dovahkiin. Zéleph, premier Dovahkiin du peuple des réprouvés. Seulement un titre ne fait pas un homme. Un titre se n’est qu’un mot. Que des lettres qui se suivent. »

Elle avait fini et le fixer avec la colère et la rancoeur d‘une mère déçu par un fils. Etait-ce le cas ? Devait-il se justifier ? Il ne savait pas pourquoi on lui avait retiré sa puissance, il ne savait pas pourquoi il était ainsi a présent. baissant la tête, ne désirant nullement se battre contre elle, il soupira, au fond du gouffre. « Je ne veux pas être Shizuo. » Avoua-t-il tout bas, comme une honte qu’il fallait cacher. Timée se glissa doucement a ses coté, et tendrement elle l’enlaça. Posant sa tête sur son épaule, il al senti se détendre, soupirant. Elle ne pouvait être fatiguer, et pourtant il le ressentit ainsi. « Mais tu l’est. Peut de personne savent qui tu es réellement. » Enfaite il n’y avait plu personne, il les avaient tous tués dans un coup de folie. Voulant supprimer son passer pour en créer un autre, mais se fut une erreur, une erreur qu’il regretté. « Il en reste une. » Sa gorge se serra. Si l’idée de redevenir Shizuo, cette imbécile pas plus fort qu’un âne le dégouté c’était en grande partie a cause d’elle. Il ne voulait pas que Timée lui parle d’elle. Plus que n’importe qui, il désirait qu’elle ignore, qu’elle oublie qui il était. « Si tu n’est pas honnête avec ton coeur, tu risque de perdre bien plus que se qui fût déjà pris. » « Elle ne m’aimerai pas. Elle ne m’aime plu. » Sa mère s’écarta de lui et leva son visage vers le sien. Doucement, elle passa sa main sur son visage, retirant les cheveux blanc qui cacher ses yeux. « Je ne peut pas croire qu’elle n’ai aimer qu’un titre. Tu lui a pris le coeur. » Ses doigt défendirent sur sa mâchoire, puis suivirent sa gorge avant de se stoppé là où il y avait sa cicatrice. Un « M » gravé dans la chair. Une marque de propriété, une marque de possessivité. Sa peau, son territoire. Timée resta a contemplé l’oeuvre de sa belle-fille avant de replonger ses yeux dans ceux de son fils. « C’est une femme d’une grande intelligence. Qu’importe les titres ou la puissance que tu as, se fut l’homme que tu es qui brisa ses chaines, et rien d’autre. » C’était lui et nul autre. Il c’était souvent félicité pour cela, avant de regretté d’y avoir penser. Il n’avait jamais eu d’intérêt pour la puissance, le rang, la force ou quoi que se soit. Que c’était-il passer pour qu’il craigne ainsi le monde ? Que lui était-il arrivé ? Il avait passer trop de temps sur son trône, il était devenu comme tout ces rois stupide de cupidité et encourant d’arrogance et de prétention. Timée souri, il avait enfin comprit et elle commencer a retrouvé son fils. Elle en était heureuse.

Le lâchant elle s’éloigna de quelque pas. « Tu vois, c’est pour cela que nous t’avons enfermer avec ton père. Nous savions que tu reviendrait a la raison. » « Quoi ? » Elle rit devant l’incrédulité, le choque, du réprouvé. « Tu recommence a zéro. Tu vas te forger a nouveau, mais cette fois tu restera le même et tu sera encore plus puissant et beau que tu ne l’a jamais était. Mais tout ça on s’en fiche. Non, se qui compte c’est que tu es revenu. » Et elle disparut, laissant Zéleph se réveiller furieux. Seulement il eut beau chercher encore et encore dans ses nuits sa mère, jamais elle ne revins. chaque jour sa colère se dissipa un peut plus, mais le désir de comprendre pourquoi c’étaient eux qui avaient fait ça était de plus en plus grand.
 
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