« Il fait froid non ? » Celui-là semblait vouloir faire la discussion, mais Zéleph n’était pas d’humeur a bavasser pour ne rien dire. En réalité il n’était guère du genre bavard. Si cela n’était pas utile autant ne pas se forcer. Son collègue n’en fut pas offusqué, bien au contraire, il décida de faire la discussion seul, faisant plus où moins participé l’albinos. Il parlait de tout et de rien, du temps, des récoltes, de la vie dans la cités, de beaucoup de choses qui n’avait nul intérêt pour l’acier seigneur. Zéleph fixer de son regard carmin le ciel étoilé, splendide étendu de bougie a perte de vue. Ses penser étaient toutes égaré. Il ne semblait même pas pensé a quelque chose de précis, son esprit divaguant ça et là. Il eut un frisson sous le souffle du vent. En effet il commencer a faire frisquet en cette nuit de début d’été. De plus longtemps les astres du jours c’étaient coucher pour laisser place a ceux feignant la nuit venu.

Il était perché en haut des muraille de Stenfeck, se tenant grâce a une lance qu’on lui avait donner pour sa ronde. Rien de bien palpitant. Il avait accepté se travaille pour remplacer un homme qu’il avait connue lors de la bataille de Bouton d’Or qui ne pouvaient faire sa ronde ordinaire a cause d’une vilaine blessure a la jambe faire en chasse. C’était un boulot comme un autre, et en rendant visite a cette vieille connaissance il lui avait parut normal de l’aider. Bien sur il fallait oublier son ancien rang qui laisser encore des traces aux prés de ses congénères, mais une fois les limites posé chacun n’y ferait plu attention. En haut de son mur, surplombant les pleines des Terres d’Emeraude, Zéleph commencer a sentir ses paupières lourdes. Il n’était pas simple de luté contre le sommeil, sur tout quand son collègue était un bavard ennuyeux. « Demain je doit rendre visite a quelques Orine venu s’installer ici pour vérifier leur qualité de vie. Minas aurait du m’accompagner, mais voulez vous prendre ça place ? » Zéleph acquiesça sans réellement s’en rendre compte, son esprit disparaissant dans les méandre de la nuit, il s’endormit purement et simplement.

Le lendemain il fut éveiller par la voix insupportable du soldat avec qui il avait du veiller, même si sur se coup il n’avait pas réaliser la mission correctement. « Eh alors il faut y aller ! » Il riait, laissant Zéleph les yeux miclos, lutant avec la lumière pleine. Y aller ? Aller où? Se redressant, l’albinos sentit son dos courbaturé d’avoir dormit contre la pierre dur. Se passant une main dans sa crinière blanche il réalisa qu’il avait dormit en haut de la muraille. Levant les yeux sur l’autre soldat il cligna plusieurs fois des yeux avant d’osé demander. « Où allons nous? » L’air surprit son collègue lui souri. « Vous ne vous souvenez pas Majesté ? Vous avez accepter de m’accompagner visité les Orines de la ville. » Zéleph soupira, ravis. « J’ai fait ça moi? » Sa grimace montré l’envie qu’il avait de travailler encore avec celui là, mais si il l’avait dit il ne pouvait pas revenir en arrière, même si il ne se souvenait de rien.

En bas du mur de la cité Réprouvé, l’ancien seigneur chercha a se réveiller un peut plus, mais il n’eu pas le temps, il fut déjà attraper pour faire se tour de maison. A peine l’avait-il réalisé qu’il était devant une maison, le soldat ayant frapper trois fois avant de s’annoncer. « Garde de la Ville, visite de courtoisie. » On ouvrit presque instantanément sur une jeune fille plus que charmante. Un grand sourire, un regard pétillant, elle sautiller presque sur place en les invitant a entré. Pourquoi avait-il dit oui déjà ? Zéleph suivit le mouvement sans réellement le vouloir. Il fut rapidement assit a une table où on lui servait le thé. Le soldat faisant son travail posant mile questions, se qui semblait naturel chez lui. L’albinos bu en silence le thé qu’on lui avait offert. Il n’aimer pas beaucoup ça, voir pas du tout, mais il n’avait rien manger de puis la veille et il lui fallait au moins de quoi étancher sa soif.

Tout aller bien ici, quelques longues minutes plus tard qui fut une éternité pour Zéleph, les deux hommes furent hors de la maison pour visité la suivante. Se travaille semblait particulièrement cié a son collègue, plus heureux que jamais d’entré dans les appartements de jolie Orines souvent seule. Zéleph n’avait jamais réaliser a quel point le nombre d’habitant de se peuple avait pu s’installer dans cette cité lors se qu’il avait signer cette accord avec leur souveraine. Les réprouvé prenez toujours soins de leurs hottes et c’était agréable  voir. Zéleph en était plutôt fière, même si a cette instant précis il aurait souhaité être par tout ailleurs qu’a cette endroit. La journée continua simplement, enchainant les maisons, les quartiers et les visites. Personne ne semblait souffrir d’une quelconque discrimination. Quelques blagues par ici, des accrochages par là, mais rien de bien méchant. Tout se réglés toujours assez rapidement et de façon calme. Zéleph n’était pas mécontent, il n’allait pas devoir intervenir. Pas qu’il soi devenu paresseux avec le temps, mais honnêtement boire le thé et faire la causette n’était pas un travail qui lui aller particulièrement bien.

Se fut tout autre chose quand ils arrivèrent dans la Hosses, traduit par « fosses » dans la langue commune. Un quartier appeler ainsi pour la simple et bonne raison que c’est là que vive tout les réprouvés et autres type de race qui n’on pas beaucoup de moyen, voir même pas du tout. La fosse compose près de deux fière de la cité. Plus salle et sombre que le faste qui se trouve en hauteur c’est pourtant ici que les trois quart de la population vie. Dans le quartier de la Hosses les gens son moins accueillant, ils se méfie un peut plus et pour cause de puis peut, a se que lui disait son collègue, une sorte de mafia c’était créer. Apportant ici prostitution et corruption. De bons souvenirs pour l’ancien souverain, mais pas de bonne nouvelle pour cette cité prospère et calme. Alors le peut d’Orine qui vivaient ici se retrouver les cible de se groupe cherchant de jolie victimes pour leur client. Oui Zéleph n’était pas contre la prostitution, mais il n’avait jamais forcer nul femme ou homme a offrir ses service si il ne le souhaité pas de lui même. Enfaite il fallait être honnête il n’avait jamais eux a chercher des employés, elles étaient venus à lui si vite qu’il avait du rapidement faire des castings. Castings délicat quand il fut marié, mais ça il n’avait jamais ébruité le bruit de comment cela se déroulé. Zéleph souri malgré lui, un peut nostalgique de cette époque, en deuil de son royaume chérie qu’était le Circus. Cela dit il n’était pas ravis de se qu’il pouvait entendre sur ces hommes qui chercher a soumettre des femmes pour leur rapporter de l’argents. C’était peut être hypocrite, mais chacun aurait une idées différente sur la questions et il ne laisserait pas faire ça, pas dans l’une de ses cité. Oui, même si il était loin de tout cela aujourd’hui, il se sentait encore responsable de son peuple, peut être même qu’il ressentirait toujours se sentiment paternaliste vis a vis des réprouvés, qu’il le veuille ou non.

Très vite, avec l’aide du Soldat il finir par trouver une des Orines qui avaient était victime de ces monstres, car appelons un chat un chat. Après un long moment elle accepta de les faire rentré dans son appartement. Petit, vétuste, mais correctement entretenu. Quand bien même, la jeune fille avait l’aire de craindre beaucoup l’extérieur. Tout était bien trop soigner dans ce petit espace, il semblait que l’on avait nettoyé, encore et encore, comme si c’était las seule chose a faire. Il n’y avait que quelqu’un qui s’ennuyait qui pouvaient récuré ainsi un appartement, ou alors était elle maniaque, mais vue comme était fermer les volets, a coup de planches clouté, la réponse était simple. Le soldat c’était assit a la petite table avec la demoiselle, n’ayant pas de place et sur tout ne voulant pas l’envahir, Zéleph était rester a la porte, s’y adossant en croisant les bras, observant la petite chambrette. « On nous a dit que vous vous êtes fait agresser ? » Elle acquiesça timidement. « Harcelé serait plus correcte. » Sa petite voix était difficile a entendre, elle était intimidé par les deux homme, envoyant des coup d’oeil rapide a Zéleph. Il lui faisait certainement plus peur que le soldat plein de sourire. « Vous pouvez nous faire confiance, nous somme là pour vous aidez. » Elle acquiesça a nouveau, mais cette fois aucun son ne traversa sa bouche, le soldat pris alors les devant rapprochant sa chaise de la sienne pour créer un environnement plus intime, de confiance. « N’ayez crainte, rien ne vous sera fait. nous somme ici pour nous assuré que toute les races puisses vivre en harmonie, et sur tout les Orines, nos plus proches voisine. Ceux qui vous on fait du mal, qu’ils soi réprouvés ou autre serons puni pour leur crimes. »

Elle se détendit alors, levant un regard plus franc vers Zéleph. « Vous étiez roi n’est ce pas ? » L’albinos se retrouva désappointé, acquiescent a son tour. « Exacte. » « Ces hommes … il disent qu’ils travaillent pour votre compte. Que leur ordre vienne de vous et que nous devons obéir sinon nous serons jeté hors des murs de la ville. » Le temps que l’information monte, le réprouvé sentait déjà l’agacement d’une tel information. Il ne laisserait pas quelques abrutie se servir de sa disparition pour créer le chaos ici et salir son nom. Calmement, Zéleph s’approcha de cette femme, qui le supplier presque du regard pour qu’il lui dise que tout était faux. « Où sont-ils ? » Dit-il simplement, la demoiselle frissonna avant de jeté un regard apeuré au soldat qui lui fit signe de continuer. « Sous le pont des damnés, c’est là bas qu’ils ont leur camp. » Zéleph n’attendit pas, et sortit de l’appartement. Le soldat couru a sa suite n’oubliant pas de remercier l’Orient qui vie partir les deux hommes avec une rapidité féroce.

Le pont des damnés, il savait très bien où il était, il fallait défendre la rue. Zéleph se ficher de rentré dans les personne sur son passage, mais le soldat derrière lui crier « Laissez passer ! Garde de la cités ! laissez passez » Seulement arriver a quelques pas du pont, l’albinos se retourna brusquement pour attraper son collègue plus que brillant. « Ferme là ! » L’effet de surprise était déjà fouttu, ils avaient étaient prévenu de leur arrivé, il était trop tard. Alors il vit les gars dont l’Orine avait parler venir a leur rencontre. « Que voulez vous ? » leur air hostile montré bien le mécontentement de voir l’autorité venir dans leur quartier. Zéleph piqua. « Vous ne me reconnaissez pas? » Le plus grand s’approcha, le dévisagea puis fit mine que nom avant de ricané. « Une mocheté comme toi on s’en souviendrai. » En réalité cela ne l’agaça pas plus qu’il ne l’était déjà, car son niveau d’énervement était déjà très élever, mais ce fut le signal déclencheur de sa crise de furie. Zéléph attrapa l’homme par sa chemise pour l’approcher plus encore, lui crachant presque au visage. « Tu es sur de toi? Tu ne reconnait pas ton ancien souverain? » Se fut amusant de voir la situation radicalement changer, et les visages des hommes se décomposé, le soldat derrière en rajoutant une couche. Il furent tous bientôt a supplier, demandant pardon, ignorant certainement que Zéleph avait perdu de sa puissance. Il en profita, ne ce gênant pas pour balancer l’homme a terre comme une vulgaire vermine. Jouant sur le bluff il leur ordonna de les suivre, le soldat acquiescent, quelque renfort étant arrivé ils ne purent refuser. Ils furent alors emmener en prison où ils furent juger pour leur fait malfaisant dans les quartier de la Hosses.

1 984 mots.