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 Quand les flots se déchainent et que le sommeil vient - Event juillet n°5 solo

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Ven 07 Aoû 2015, 19:53

— Es-tu sûr Sebastian ? demanda Alaster d'une voix grave. Les deux hommes étaient dans une taverne, les coudes sur la table, se fixant avec un air grave. Le sujet de conversation n'était pas bien joyeux puisqu'il portait sur l'une des ancêtres du Déchu qui avait trouvé la mort plus tôt en essayant de défendre sa ferme d'un groupe de malfrats. L'homme n'avait pas apprécié et malgré les jours qui étaient passés, n'en décolérait pas. Enfin, tout était relatif car la colère d'Alaster ne se voyait pas. Son regard semblait juste un peu plus sombre, comme si le bleu était celui d'un océan qui s'apprêtait à se déchaîner. Le Déchu de la paresse n'avait jamais eu à venger qui que ce soit mais, cette fois, il n'en démordrait pas. La vieille femme avait réussi à faire fuir les voleurs mais elle en était morte. Ces derniers devaient se faire rattraper par la justice d'Avalon, ou par sa propre justice si personne ne souhaitait rien faire pour punir l'affront. Il verrait. D'abord, il devait attraper ceux qui étaient responsable du décès d'Esra et c'était justement la raison de cette entrevue.
Certain. Mes informations sont exactes, j'en mettrais mes ailes à couper. Après s'être rendus dans la ferme Dah Numen, on les a vu se diriger vers une ferme voisine où ils ont pu piller ce qu'ils souhaitaient vu que les propriétaires n'étaient pas là. Quand les autorités sont arrivées, ils étaient déjà partis, précisa le concerné à voix basse.
Tu m'étonnes. Avec ce qu'il se passe dehors, beaucoup de Déchus sont partis pour aider là où il y a besoin. Les autorités surveillent mais c'est comme nous autres, nous ne pouvons pas être partout à la fois. Cela aurait été bien pourtant, de pouvoir voir les environs. Il aurait pu être là quand son ancêtre s'était retrouvé face à ces voyous.
Malheureusement. Mais nous faisons notre maximum et c'est déjà ça. Pour la suite, on les a vu prendre un navire vers le continent mystérieux. Seulement... comme tu t'en doutes, les choses sont vraiment, vraiment, mauvaises en ce moment. On dit que les océans sont dangereux, peuplés de monstres ignobles. Les Sirènes attaqueraient les navires... mais pas comme à leur habitude, de façon bien plus violente, bien plus bestiale. On dit que leurs yeux sont habités par un jaune affreux. Sebastian semblait animé par une volonté de raconter, de semer un peu d'horreur dans l'esprit de son interlocuteur. Le soucis était qu'Alaster était plus de ceux qui avait la flemme de ressentir les émotions. Enfin, il les vivait quand elles étaient réelles, quand un danger se présentait directement devant lui, quand la tristesse venait habiter son esprit, mais les récits ne l'avaient jamais vraiment emballé, ou en de rares occasions. Après une courte pause, l'espion continua sur le ton de la sagesse. Tu ne devrais pas y aller. Je sais que tu es en colère et c'est bien normal vu les circonstances, mais tu pourrais bien perdre la vie en t'aventurant à bord d'un navire. Tu as besoin de repos, je te connais, et là bas, tu devras toujours être sur tes gardes, Alaster. Il leva sa choppe comme s'il s'apprêtait à trinquer avant d'en boire une grosse gorgée. Ou alors, laisse moi t'accompagner. Je ne suis pas de service durant quelques jours, je pourrai t'être utile. Tu sais, je connais ta famille depuis longtemps alors si je peux t'aider, ce sera avec joie.
Um...  Je ne sais pas Sebastian, articula Alaster, peu convaincu par l'utilité de la présence de son collègue et ami à ses côtés. Il voyait plus ça comme une affaire personnelle qu'il devrait régler seul. Néanmoins, peut-être que le grand blond avait raison, ils seraient sans doute plus efficaces à deux, surtout contre un océan déchaîné. Dangereuse comment cette mer ? demanda-t-il.
Très dangereuse. Comme je te disais, c'est le chaos. Les vagues se font virulentes et meurtrières, comme si elles voulaient fracasser les coques des navires. Un homme qui tombe à l'eau est un homme mort, sourit tristement Sebastian.
Pour un Déchu, ça se discute, non ?
N'y penses même pas, le vent fait le travail de l'océan quand celui-ci n'est pas efficace. Il te replongera directement dans l'eau.
D'accord. Dans ce cas je te charge de nous trouver deux places sur un navire... de préférence solide. Comme tu l'as dit, je suis un peu fainéant, moins ce sera dangereux, mieux je me porterai.
Merci, sourit l'autre, réellement heureux d'être de la partie, même si elle s'avérait déjà difficile.

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Ven 07 Aoû 2015, 20:41

Puisque je vous dis que nous faisons partie des individus autorisés à naviguer à vos côtés ! vociféra Sebastian. Ils avaient pourtant des passes-droits mais il semblait que le pont était envahi d'individus persuadés que le continent naturel serait bientôt la proie à des tremblements, préférant tenter leur chance vers le continent mystérieux. L'on disait que des Ætheri vivaient sur ce dernier alors il semblait que les coupables, ceux que l'on n'avait pas encore identifié mais qui étaient tout le monde et personne à la fois dans la bouche de la populace, n'oseraient pas s'en prendre aux Dieux. C'était sûr : ce continent était le plus sûr et il fallait s'y rendre. De ce fait, l'équipage du navire se retrouvait dans une fâcheuse position. Les hommes n'avaient pas le temps de regarder qui avait une autorisation ou non, pris de cours, totalement impuissants et de plus en plus énervés. Bientôt, la foule en viendrait aux mains, c'était sûr et certain. Le Déchu pourtant calme à l'ordinaire qui accompagnait Alaster était d'ailleurs à deux doigts de craquer. Ce dernier, quant à lui, avait pris place sur un tonneau qui devait être chargé à bord et n'avait pas l'air de vouloir se mêler au débat. Calme, il se contentait de fixer le port d'un œil endormi. Il semblait que personne ne pourrait le déloger de son tonneau. Il était assez imposant dans ses vêtements de toile, même si sa force était toute relative. Sa barbe lui donnait un air bourru et, souvent, on ne l'approchait pas aussi facilement que Sebastian, grand blond au visage jovial. Enfin, à ce moment précis, il avait tout sauf un visage jovial.
Vous attendez ! Comme les autres ! Notre capitaine n'est pas encore là et je ne sais pas si ce papier est un vrai ou un faux ! Je ne le répéterai pas ! Reculez sinon je serai obligé de sortir mon arme ! Le marin avait une voix sèche, dur mais dans son ton, l'on pouvait nettement sentir une peur naissante. Ses hommes et lui ne pourraient contenir tout ce monde et sans le capitaine, ils ne pourraient pas décider de la marche à suivre. Lui, aurait bien tué tous ceux osant franchir le ponton mais il n'était pas sûr que l'initiative plaise beaucoup.
Je vous assure que si vous ne nous laissez pas passer vous vous retrouverez troufion dans le bordel le plus mal famé des bas-fonds d'Avalon ! Est-ce clair ? Écartez-vous à présent ! vociféra-t-il de nouveau, paraissant sûr de lui et ne regardant même pas en arrière pour voir où se trouvait Alaster. Sebastian avait l'habitude, il savait qu'il ne tirerait rien du Déchu de la paresse à moins de mettre sa vie clairement en danger ou de le droguer afin d'accélérer un peu son rendement. D'ailleurs, il avait déjà assisté  la fainéantise de son ami à de multiples reprises. Ils ne faisaient pas exactement le même métier mais ils avaient déjà travaillé ensembles. Pendant ces moments, des bagarres avaient souvent éclatées mais Alaster n'avait jamais bougé le petit doigt, s'asseyant dans un coin en attendant que la situation se règle ou que l'on vienne s'attaquer directement à lui. Il ne l'avait pas vu mais un autre gars lui avait conté que le Déchu avait comme ça aligné deux hommes qui avaient choisi de lui porter atteinte directement. Sebastian ne savait pas si l'histoire était inventée ou non, mais, en tout cas, il n'avait jamais vu Alaster frapper quelqu'un ou s'activer réellement. Il marchait toujours lentement, prenait son temps pour tout et, parfois, avait même des absences au beau milieu d'une conversation.
Ola ! Calmez-vous ! déclara un homme qui obtient le silence de par sa simple présence et la tonalité masculine et lourde de sa voix. Le capitaine, sans aucun doute. Faites la queue, nous allons vérifier vos droits dit-il d'une voix sereine, comme s'il était évident que tous lui obéiraient. Cela dit... continua-t-il, faisant sursauter certains, je n'aime pas que l'on me prenne pour un Vampire donc je requiers votre bon sens à tous : si vous n'avez aucun droit d'embarquement, je vous prierai de déguerpir.
Voilà quelqu'un qui a le mérite d'être clair et organisé, murmura Alaster à lui-même, se levant mollement pour rejoindre la queue qui se formait. La foule s'était désépaissie. Peut-être que les gens ne pouvant embarquer avait préféré tenter leur chance sur un autre navire au capitaine moins imposant. Le Déchu de la paresse le trouvait également charismatique mais, comme d'habitude, tout ce qui ressortait de son visage était une vague impression d'absence.

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Sam 08 Aoû 2015, 17:04

Alaster c'est pas le moment de dormir ! cria Sebastian à son ami qui commençait à tourner de l’œil alors que la situation était très mal choisie. En réalité, le départ avait été parfait, les eaux autour du continent naturel étant calmes. Seulement, peu de temps après, quand le soleil avait débuté sa course visant à s'élever dans le ciel, l'océan avait commencé à s'agiter. Ils n'avaient pas pu reculer, des vagues monstrueuses venant à leur rencontre, les tirant vers le large en s'aidant de la force du vent. Le Déchu de la paresse n'avait pas vraiment remarqué ces faits. Enfin, pas exactement, mais écouter les conversations au moment de l'embarcation l'avait fatigué. Il s'était donc couché sur son lit de fortune, regardant d'un œil absent les vagues se jeter sur le hublot de la cabine qu'il partageait avec quatre autres hommes qui n'étaient, eux, pas présents. Sebastian avait tenu à aider les marins et tous étaient sur le pont ou dans les cales à essayer de naviguer tant bien que mal. Une brume épaisse, en plus de cela, cachait le ciel depuis un certain temps, rendant l'équipage aveugle. Si cela se trouvait, tous se dirigeaient droit vers des rocheuses où ils finiraient leurs jours. Alaster ne semblait pas inquiet, ni même dérangé par les mouvements inquiétant du bateau. Au contraire, il lui semblait que ces derniers le plongeaient un peu plus dans un état léthargique qui l'amènerait inéluctablement au sommeil. C'est d'ailleurs à ce moment précis que Sebastian fit éruption dans la cabine pour rappeler son ami à l'ordre, exclamation à laquelle le barbu répondit par un son un peu bourru et endormi.
Allez tête de pioche ! Debout ! Tu verrais, l'extérieur est à faire peur ! Tu dois nous aider ! continua le compagnon d'Alaster, comme s'il avait l'espoir que ce dernier lève ses fesses. A le regarder d'un peu plus près, il semblait complètement à bout de nerfs, bien qu'il ait encore la présence d'esprit de faire un peu d'humour. Le Déchu de la paresse réfléchit, lentement mais sûrement. Sebastian était trempé de la tête aux pieds et une égratignure parcourait sa joue, du sang l'habillant, se mêlant à l'eau qui coulait de ses cheveux blonds. En effet, rien n'allait plus.
Qu'est ce qu'il se passe au juste dehors ? s'informa Alaster d'une voix calme. Pourtant, son cœur battait sans doute un peu plus vite que d'habitude. Le problème avec les paresseux, c'est qu'ils avaient toujours la flemme de s'activer. Il fallait vraiment quelque chose de grave pour réussir à en faire bouger un, et encore, parfois certains se laisser tuer uniquement par fainéantise. Le Déchu aurait été de ceux là il y avait quelque temps, mais plus le temps passait, plus son péché et lui se comprenaient. L'un s'habituait à l'autre et chacun pouvait se faire entendre. Enfin, pas tout à fait encore. Le barbu aurait un long chemin à parcourir avant de pouvoir agir comme la norme le voulait sur ces terres.
C'est la folie ! Les vagues nous déstabilisent ! Mais tu dois déjà le savoir ! Tu ne sens pas les secousses ? Sebastian s'était toujours demandé dans quel monde vivait son ami. Parfois, il lui semblait qu'ils n'avaient pas les mêmes perceptions de la réalité. Bon mais allez, viens ! dit-il en s'approchant de lui. S'il y avait encore que les vagues, ça irait ! Mais il y a la faune marine également ! Les poissons nous attaquent et l'on a vu des Sirènes au loin avant que la brume n'apparaissent. Depuis c'est le silence complet de ce côté là mais plusieurs marins craignent le pire ! Beaucoup disent qu'elles attendent juste le bon moment pour attaquer, quand nous serons affaiblis ! continua l'homme en tendant une main à Alaster, main visant à aider ce dernier à se relever. Il l'attrapa, s'aidant de la force de Sebastian pour se redresser. Maintenant qu'il lui faisait face, il se rendait compte que les traits du visage du Déchu de la colère étaient tirés. Le pont devait être dans un drôle d'état et des hommes avaient sans doute déjà perdu la vie.
Pourquoi tu ne m'as pas appelé plus tôt ? questionna Alaster toujours sur un ton doux et imperturbable.
Figure-toi que je l'ai fait ! Simplement, j'ai dû répéter trois fois ma question avant que tu daignes tourner ton regard vers moi. Il lui faisait un peu la moral, petit moment qui fut écourté par une secousse plus forte que les autres, de celles qui ne pouvaient laisser de marbre, même un Déchu de la paresse. Allez viens ! Au moins si le bateau coule, on sera toujours mieux sur le pont ! Ce n'était même pas sûr vu les attaques incessantes venant de l'océan.

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Sam 08 Aoû 2015, 18:43

Alaster ! cria Sebastian à pleins poumons. Néanmoins, celui-ci ne l'entendait pas. Il devait trouver une solution, sinon son ami finirait sans doute emporté par les flots. Le sortir de sa cabine avait déjà été un effort considérable, le Déchu de la paresse semblant aussi calme que s'il avait dû se rendre au marché acheter quelques pommes. Il prenait son temps, posait des questions banales alors que la situation ne s'y prêtait pas. Avec les années, Sebastian s'était habitué, si tant est que l'on pouvait s'habituer à ce genre de choses, mais il devait toujours s'acclimater au début à la flemme de son comparse. Une fois qu'il reprenait ses marques, il arrivait à agir en conséquence pour presser un peu plus Alaster, mais ses techniques ne marchaient pas toujours. Une fois sur le pont, le Déchu de la paresse avait cependant bien voulu daigner sortir son épée afin de lutter avec les autres contre les poissons voraces qui attaquaient de toute part, profitant de l'élan que leur fournissaient les vagues déchaînées. Néanmoins, Alaster, malgré une force dans la moyenne, avait bien du mal à lever son arme pour l'abattre sur les cibles qui se mouvaient avec une aisance qu'il n'avait pas. Il se fit mordre plusieurs fois, saignant ici et là. Pour une fois que son visage n'affichait pas qu'une neutralité déstabilisante, c'était un jour à marquer sur un calendrier. C'est d'ailleurs ce que se dit Sebastian, trouvant encore le moyen de se faire ce genre de remarques malgré la situation. Heureux de voir que le paresseux se débrouillait plutôt bien, par rapport à d'autres qui étaient en grande détresse, il tourna le dos quelques instants afin d'aider ceux qui en avaient le plus besoin. Le Déchu de la colère n'était pas fondamentalement bon, il était même plutôt l'inverse quand son péché était à l’œuvre, mais, et c'était le cas de le dire, ils étaient présentement tous dans le même bateau : de la survie des uns dépendait celle des autres. La chance d'Alaster ne dura cependant pas. Ce n'était pas les poissons et autres petites créatures marines qui se mirent à poser problème mais quelque chose de bien plus imposant, et également bien plus séduisant. Les Sirènes qui étaient restées silencieuses jusqu'ici avaient suivi les pensées de Sebastian : elles avaient attendu qu'ils soient tous affaiblis pour les attaquer. Le Déchu n'avait jamais eu à faire à ces créatures, étant un homme plutôt de la terre ou des airs, même s'il les avait étudié brièvement à Basphel, le peuple étant plutôt discret. Néanmoins, dans ses souvenirs, ces hommes et femmes des océans n'avaient pas une apparence aussi étrange. Il aurait sans doute disserté sur le sujet dans son esprit durant des heures si tout ne s'était pas transformer en brouillard épais dès que son regard avait croisé celui d'une femmes des eaux. Alaster ne voyait à présent plus qu'elle, sa chevelure brune que le vent faisait voleter autour de son visage à la peau pâle, ses yeux d'un jaune magnifique mais également dangereux. Il aurait voulu la contempler toute son existence durant. Ni les vagues, ni les attaques incessantes, ni même le destin de ce monde ne lui importaient à présent. Il n'y avait qu'elle et la voix qui semblait s'élever de sa gorge, se frayant un chemin entre ses lèvres pour arriver jusqu'à lui. Aucune chance de survie ne lui était offerte en somme, du moins, s'il avait été seul. Mais Sebastian cria de nouveau le nom du Déchu, le retenant par la taille grâce à une chaîne en métal qu'il enroula autour du corps de l'homme avant de l'attacher au mat. Le colérique était tout aussi sensible aux charmes des belles créatures, mais sa magie l'aidait à se maintenir. Les beautés n'avaient plus rien de joueuses. En temps normal elles prenaient leur temps ; à présent, elle dévorait les hommes sans leur laisser le temps d'un soupir. C'était un véritable carnage sur le pont et beaucoup de marins étaient emportés au creux de l'océan pour l'embrasser à tout jamais. Alaster, lui, était comme suspendu dans le vide de son esprit. Il était hypnotisé et à la portée de la femme, mais celle-ci ne semblait pas vouloir l'attaquer véritablement. Quand elle parut décidée, son regard jaune se porta vers l'horizon et elle plongea sans plus attendre dans l'eau. La terre, c'était la terre d'un continent.
Qu'est ce qu'il s'est passé ? demanda le Déchu de la paresse, sortant de son état second. Il n'eut qu'un gémissement comme réponse. Ils s'en étaient sortis, c'était certain, mais combien était encore vivant, et à quel prix ?

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