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 The Path to Decay | Event Juillet ¤ Mission I ~ Pv Wulfran

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Jeu 09 Juil 2015, 22:47


Depuis un petit moment, de violentes secousses frappaient les terres du Yin et du Yang. D'étranges statues ont émergés de l'eau au niveau de la Citadelle Blanche et sur tous les continents d'immondes créatures marines ne cessèrent leurs violentes attaques. Le temps de la désolation la plus totale venait d'arriver, impossible de savoir ce qu'il se passait réellement, ni quelle sera l'issu de ce cauchemar éveillé. La panique la plus totale rongeait les gens de l'intérieur et les faisait sombrer dans une folie incontrôlable. Tout le monde était terrorisé, certains ne savent même plus ce qu'ils doivent faire … Fuir ? Affronter les créatures marines ? Profiter de la situation en pliant ? Tuant des innocents ? Régler des comptes personnelles et faire porter le chapeau aux Masques d'Or ? D'ailleurs qui étaient ils réellement ces Masques d'Or ? Ils sont apparus de nul part et on ne peut voir leur visage … Tant de choses étranges, inexpliqués et inexplicables.

Quoi qu'il en soit, je suis partie essayer de persuader les personnes bornées préférant rester chez eux ou voulant quitter le Continent Dévasté par la voie marine. Déjà, il faut que j'arrive à les atteindre sans me faire avaler par les vagues géantes qui s'abattent sur les côtes de l'Antre des Marais. Ces vagues n'étaient qu'une petite partie des intempéries qui frappent actuellement les terres. Des vents violents s'invitèrent également en accentuant l'ampleur des vagues qui étaient déjà bien imposantes suite aux tremblements de terres. J'avais beaucoup de mal à voler, je n'étais pas assez forte pour pouvoir traverser ces vents violents et pouvoir d'ailleurs rester longtemps dans les airs. Le vent balayait mes longs cheveux bleus foncés attachés en une haute queue de cheval, mais aussi ma jupe noire aux reflets roses. Myosotis, ma petite créature rose pâle aux profonds yeux bleus clairs restait collé à moi. Elle avait peur aussi de ne pas pouvoir résister à la tempêtes et de se faire engloutir par les vents indomptables. Kakeru, mon grand lion noir se dressait fière et fort à côté de moi. Je savais que je pouvais compter sur lui quelle qu’en soit la situation.

Une vague géante s’apprêta à frapper de nouveau les côtes de l'Antre des Marais. La désolation s'installait de plus en plus, la vague dévasta absolument tout sur son passage. Il s'en est fallu de peu pour qu'elle nous touche. « Bon Kakeru, Myosotis, il va falloir que l'on fasse quelque chose. On ne peut pas laisser les gens risquer leur vie en essayant de fuir par la mer. » Mon grand lion noir posa ses grands yeux bleus saphirs sur moi. « Bien, il faut aussi les persuader de se mettre à l'habit, de protéger les autres, de soigner les blessés, protéger les cultures, … Tant de chose sont à faire. » Je me retournais rapidement pour aller tout de suite persuader les autres. Nous faisions attention de ne pas tomber ou même de se prendre une branche d'arbre dessus, voire se faire emporter par le vent lui même. La terre gronda de nouveau, faisant trembler dangereusement le sol. La force de cette secousse me fit tomber à terre, Kakeru m'aida à me relever rapidement. « Merci Keru. » Je restais accrochée à lui tant que la secousse ne se calmera pas. Elle s'était un petit peu calmé, c'est à ce moment là que l'on pu continuer notre avancée.

J'allais à la rencontre des personnes prenant les plus gros risques. « Arrêter ! » Seulement deux trois personnes se retournèrent vers moi, dans leur regard on pouvait voir la détermination de braver la mer déchaînée, mais aussi la folie pure, les poussant véritablement à y aller. « N'y allez pas ! C'est un pur suicide ! Vous ne savez pas ce qui vous attend dans cette mer ! » L'un d'eux me dévisagea, me foudroyant du regard. « Tais toi gamine, tu ne comprends même pas ce qu'il se passe. T'as pas à nous donner des ordres ! Vas t'en ! » Il commençait à m'agacer. « C'est vous qui ne comprenez pas ! Des créatures marines ne vous laisseront pas la vie sauve ! Elles s'attaquent à tout ce qu'elles voient. » Il me prit et me balança plus loin, Kakeru finit par s'interposer entre le type suicidaire et moi même. « Vous ne voyez donc pas que vous risquez un grave danger ? Les voies marines ne sont pas sûres du tout ! » Un rire méprisant sortit de sa bouche, ils commençaient vraiment à m'énerver. « Aucune voie n'est sûre ! Regardez la voie des airs, à cause des vents violents on peut rien faire. Les voies terrestres sont instables, la terre n'arrête pas de trembler ! » Je me relevais en lui tournant le dos en lui balançant. « Bon très bien, faites ce qu'il vous plaira ! N'allait pas pleurer après, on vous aura averti ! » Je partie de là folle de rage après l'abruti qu'il n'en faisait qu'à sa tête. Ma vision était tellement prise par cette rage que je n'avais pas vu la personne devant moi. Je la heurtais de plein fouet. « Excusez moi ! Je vous en pris. Je n'ai pas fait attention ... » Je regardais de mes yeux roses l'homme se trouvant face à moi, je connaissais son visage, mais je n'arrivais plus à mettre le nom dessus.



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Dim 12 Juil 2015, 01:18


D’étrange et violentes intempéries survenait un peu partout sur le continent dévasté, plus particulièrement sur les côtes, là ou les villages étaient les plus sujets aux nombreux caprices de l’océan. On disait aussi que les habitants de ses villages cherchaient à quitter les terres et à s’aventurer sur les eaux afin de trouver un endroit plus sur ou se réfugier. Mais d’après mes sources les océans étaient encore pires que les terres, ces derniers étant infestés de monstres marins en tout genre et dévorants les inconscients qui osaient les braver. Le monde partait vraiment en vrille depuis quelques temps déjà, on rapportait de nombreux faits étranges un peu partout dans le monde. Tout d’abord les nombreux tremblements de terre qui sévissaient un peu partout, sans compter sur la menace grandissante d’un groupe d’inconnus qui menait un règne de terreur sur le continent du matin calme. Tous cela me faisait vraiment froid dans le dos, et me rappelait presque l’invasion de Ridere il y a plusieurs mois déjà, mais fort heureusement celle-ci avait été repoussée avec brio.

Enfin, m’étant tout de même porté volontaire pour aider les gens, je me dirigeais donc en direction des Marais afin d’aider les habitants de ces petits villages. Accompagné seulement de Munin et Hugin, mes deux corbeaux, mon fidèle Nuage étant resté à Dhitys afin de rester à l’abri des intempéries sévissant à l’extérieur, car ce dernier ne pouvait voler comme nous et espérer s’échapper en cas de danger. Bien sur, il avait râlé suite à cette décision, mais je réussi à le raisonner tant bien que mal, et puis j’espérais qu’il pourrais trouver chez ma mère un deuxième compagnon de jeux, afin de s’occuper durant mon absence prolongée.
Arrivé près des Marais, je fixais un instant ceux-ci d’un air assez intrigué. Une brume assez épaisse recouvrait les lieux, sans compter sur les eaux grisâtre, voire verdâtre, qui masquaient chacun des pas effectuées, ainsi que les créatures qui pouvaient grouiller dans ces mêmes eaux. Une grimace tira les traits de mon visage, légèrement dégouté par l’aspect peu accueillant des marais. Je décidai donc de me reculer quelques pas, et fourrant ensuite toutes mes affaires dans un sac je commençai à me transformer. Mon dos se courba, des plumes d’ébène commencèrent à se fondre avec ma peau, mon visage s’allongea, et soudain je me retrouvai en corbeau à mon tour. Un croassement s’échappa de ma gorge et je me mis en route malgré les vents violents qui sévissaient de temps à autre. Lorsque cela arrivait, nous nous posions sur les nombreux arbres ou les racines qui peuplaient les lieux, nous accrochant fermement à ces derniers afin de ne pas nous faire emporter. Et ainsi de suite, petit à petit, nous réussîmes à nous approcher d’un premier village, là ou déjà une vague commençait à faire ses ravages, mais fort heureusement, étant en hauteur, nous échappâmes ainsi à la force destructrice de l’eau. Trouvant alors un petit coin tranquille, entre deux habitations, je me posai et commençai à me retransformer pour retrouver ma forme humaine. Ainsi, nu comme un ver, je me dépêchai de me rhabiller afin de ne pas attraper froid avec le vent qui soufflait dans les environs. Une fois cela fait, je resserrai mon manteau autour de mes épaules afin de me réchauffer un peu, et partis ensuite à la recherche des habitants afin d’aider ces derniers. J’avais entendu quelques cris un peu plus loin de ma position, plusieurs voix, lorsque j’étais encore sous ma forme animal. A première vue, il y avait celle d’un homme d’âge mûr et celle d’une fille, ou une jeune femme, d’après l’intonation, enfin une tierce voix dont que je n’arrivai pas à identifier, mais qui à priori ne me paraissait pas du tout d’origine humaine. Suite à mes déductions, je me mis donc à marcher en direction de ces voix, quittant ma petite cachette. Mais alors que je sortais d’entre les deux demeures, quelque chose me heurta de plein fouet, m’envoyant au sol.

Une toux me pris soudainement, un goût désagréable dans la bouche, j’avais eu le souffle coupé et mon visage venait d’heurter le sol, ce qui expliquait l’horrible goût sur ma langue. Frottant ma langue avec mes dents, pour éliminer cette affreuse sensation, et me débarbouillant à l’aide de la manche de mon vêtement, je finis par me relever. Mes yeux bleus vinrent alors se fixer dans ceux rosées de la jeune femme en face de moi. Je restais un instant sans rien dire, car celle-ci me disait quelque, j’étais certain de l’avoir déjà rencontrée, et je vis dans les yeux qu’elle se disait elle aussi la même chose. Sentant une certaine gêne, je baissais la tête tout en époussetant mes vêtements tachés, alors que je m’excusai.


Je… heum… je suis désolé aussi… c’est… c’est moi qui ne regardais pas… ne… vous en voulez pas…

Cela me permettait de gagner un peu de temps tandis que mes pouvoirs se tendirent en direction de Munin, lisant dans ses souvenirs comme dans un livre ouvert, et, comme dans l’un d’eux, je finis par trouver la page qui m’intéressait. Je souris intérieurement avant de relever la tête.


Mais… heu… excusez moi de nouveau… vous ne seriez pas… Taïkïsha ? Je… heu… je ne sais pas si vous vous souvenez de moi, mais… nous nous sommes déjà rencontrés… dans la forêt aux alentours de Dhitys… lors d’une partie de chasse… Heu… enfin… Je suis Wulfran…


D’un ai gêné, je grattais doucement ma joue tout en lui souriant timidement.

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Mer 15 Juil 2015, 22:06

Je m'étais retrouvée à terre, suite au choc avec la personne que je n'avais pas vu. Je me mis à quatre pattes regardant l'homme qui se trouvait à terre devant moi. Sa quinte de toux m'inquiétait beaucoup, mais après quelques secondes, il finit par se relever. Mon cœur ne fit qu'un bon lorsque nos regard se croisèrent, je me relevais maladroitement. Je sentais mes joues qui commencèrent à rosir et mon cœur battant à cent à l'heure. Je ne savais pas ce qu'il se passait, c'était une sensation étrange comme la première fois que je l'ai vu, mais cette fois ci c'était plus accentué. Je regardais sur le côté avec ma main sur mon avant bras opposé, n'osant pas fixer ses yeux bleus. Il était aussi gêné que moi, cela se sentait dans la tonalité de sa voix. « Je suis qu'une tête en l'air, je suis vraiment désolée ... » Qu'est ce que je pouvais avoir honte de moi par moment tellement que je suis maladroite.

Et voilà que mon cœur se mit à faire un bon phénoménal dans ma poitrine juste parce que l'homme se trouvant devant moi se souvenait justement de moi. Qu'est ce que je pouvais être pathétique par moment ! Je bougeais la tête de façon à ne pas croiser son regard bleu une seule fois, même si je dois avouer que c'était un eu malpoli de ne pas regarder les gens dans les yeux lorsqu'on leur parlait. « Si, c'est bien moi … » J'essayais de tousser un peu de façon à éclaircir ma voix et essayer de camoufler la timidité que l'on pouvait entendre. « Euh … oui, je me … souviens de vous … Euh … heureuse de vous revoir. » J'eus le malheur de croiser son regard, il me souriait timidement en plus. Mes joues rosirent encore plus que je lui tournais le dos d'un coup. Heureusement qu'à ce moment là, une personne à quelques centaines de mètres de nous était toute désorientée et désespérée par la situation actuelle. « Viens, suis moi ! » Je ne m'étais même pas aperçus que je l'avais tutoyé, mais l'heure n'était pas au bonne manière pour l'instant, au pire on en parlera plus tard. Mais là, il fallait absolument s'occuper de ces personnes.

Il ne fallut que peu de temps pour séparer la distance qu'il y avait entre nous et la personne désorientée. Je fus la première à parler à cette dame. « Madame, que vous arrive t'il ? » Elle était paniquée, impossible de pouvoir la calmer. « Mon fils ! Je cherche mon fils ! Il a disparut ! » Je posais une main rassurante sur l'épaule de la jeune femme. « Ne vous en faite pas, on va le retrouver pour vous. En attendant, allez vous réfugier dans les terres s'il vous plaît. Aidez les personnes qui en ont besoin, protéger les cultures et les habitants. » Elle s'était un peu calmer. Je finis par regarder mes compagnons. « Il faut qu'on aide cette personne à retrouver son fils. On le recherchera en même temps que de persuader les autres de se mettre à l’abri. » Puis je m'en remettais à Wulfran et ses compagnons. « Je dois avouer que ton aide nous serait précieuse, donc, voudrez tu nous aider ? » J'espérais vivement qu'il me dise oui et qu'il vienne avec nous. Bizarrement j’appréciais la compagnie de Wulfran, même si je dois avouer que j'étais un peu gênée.

Une nouvelle secousse se fit ressentir, elle était encore plus violente que les autres. « Aïe ! » Je me retrouvais à terre, étalée sur le ventre. Même mon grand lion noir n'avait pas réussit à rester parfaitement debout, il s'était un peu aplati. « Tout le monde n'a rien ? » Je me relevais doucement essayant de voir si personne n'était gravement blessé. Au premier coup d'oeil, personne ne semblait l'air, tant mieux. La pauvre dame était terrifiée, un homme passa près de nous, je l'interpellais et lui demandais de mettre la dame en lieu sur dans le contient. Il aida la dame à se relever et se dirigea avec elle vers le lieu que je leur avais indiqué. On pouvait au moins respirer un peu, enfin presque vu que l'on devait chercher son fils en même temps de persuader les autres personnes. J'attendais de voir que ce Wulfran allait faire et allait me dire.




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Mar 21 Juil 2015, 21:21


Malgré mon petit tour de passe-passe pour me souvenir du nom de la jeune fille, cela n’enlevait en rien ma timidité, ne me rendant pas des plus confiant pour autant, elle non plus d’ailleurs à la voir rougir et détourner le regard. Je fis de même à mon tour lorsque j’eus finis de lui parler, fixant un point imaginaire sur le sol tout relevant les yeux de temps à autre, mais les baissant aussitôt lorsque je sentais son regard revenir sur moi. Enfin, j’appris quand même qu’elle se souvenait de moi, elle aussi, c’était plutôt une bonne chose je pensais. Et alors que je revins la fixer furtivement avec un petit sourire ravi sur les lèvres, Taïki me tourna soudainement le dos. Assez surpris par un tel geste, j’entrouvris ma bouche, l’air ahuri, tandis que ma main se tendit vers la jeune fille pour lui dire de rester, car je croyais que cette dernière allait partir aussi soudainement qu’elle était apparue. Fort heureusement ce ne fut absolument pas le cas, ce qui me rassura énormément. Au lieu de s’enfuir, Taïki se dirigea vers une villageoise non loin de là, tout en me disant de la suivre, ce que je fis bien évidemment, sans noter le tutoiement utilisé.
Ensemble, nous arrivâmes donc auprès de la femme désemparée et paniqué et je laissais la Béluas prendre la parole. J’appris alors que l’habitante du village venait de perdre son fils, ce dernier ayant disparu avec toute l’agitation qui régnait en ce moment. Restant quelque peu en retrait, je laissais Taïki rassurer la femme, tout en me disant qu’elle n’était pas si timide que ça au final, même moi je n’aurais pas été vers cette inconnue et parlé avec elle, ou du moins en bégayant énormément et en cherchant mes mots certainement. Je me pris alors à lâcher un sourire en la regardant faire et en donnant des directives à ses compagnons, mais c’est aussi à ce moment qu’elle se tourna vers moi. Aussitôt le rouge me monta aux joues et mes yeux se mirent à fixer sur mes pieds, tel un enfant prit en flagrant délit après avoir fait une bêtise. Celle-ci me demanda mon aide afin d’aider les villageois à se mettre à l’abri et aussi pour retrouver l’enfant disparu. Me frottant un instant le nuque, je commençai alors à lui répondre sur un ton peu assuré au début.


Ah… heu… Je… je… d’accord. Je… pourrais t’aider pour… retrouver l’enfant. L’un de mes corbeaux pourrait nous aider là dedans. Je… vais aller voir la Madame pour lui demander un indice pour nous aider dans nos recherches.

Je relevai finalement les yeux, lui fournissant un timide sourire sur le visage, avant de celui-ci ne se remplisse d’effroi et de surprise. Une nouvelle secousse vint frapper le village, envoyant alors tous les habitants à terre, moi et Taïki y compris. Mes doigts se tendirent vers cette dernière afin de la rattraper, tout en criant son nom, hélas je tombai moi aussi et me retrouvai donc face contre terre encore une fois. Mes compagnons échappèrent bien sur à une chute similaire, ceux-ci pouvant voler. Ils firent donc du sur place dans les airs en attendant la fin du séisme, avant de revenir se poser non loin de moi.

Me relevant avec difficultés, tout en gémissant, j’informai la jeune fille que j’allais bien, tout en lui posant la même question en retour. Débarbouillant ensuite mes vêtements tachés de terre, je me dirigeai alors vers la femme qui se relevait elle aussi, aidée par un homme. M’approchant, je lui demandai.

Heum… Excusez moi Madame, mais heu… je… Je voulais savoir si… si vous n’aviez pas quelques chose qui heu… qui appartiendrait à votre fils… Cela nous aiderait à le retrouver.

Bien gentiment, bien qu’encore paniquée, elle sortit un petit objet de sa poche, un petit bracelet en argent. Celle-ci m’expliqua qu’elle l’avait retrouvée à la sortie du village, son fils devait l’avoir perdu durant les intempéries qui frappait le continent. Une fois l’objet en main, je le remerciai tandis que Taïki demanda à l’homme d’emmener la femme dans un lieu sûr.
De mon côté, je donnai le bracelet à mon corbeau qui le prit dans son bec et usa de son pouvoir pour déterminer la position de son possesseur. D’un croassement, il m’indiqua qu’il l’avait trouvé, et j’en avertis aussitôt la jeune fille.


Ah ! Taïki… j’ai…

Je me repris immédiatement, pensant qu'utiliser un diminutif de son prénom était peut-être une chose peu trop tardif à mon goût et au sien.


heu Taïkisha… J’ai trouvé ou peu être le fils de la Dame. Suivons mon corbeau, il nous indiquera la direction.


Un sourire vers ma nouvelle amie et Hungin s’envola. Nous le suivîmes, jusqu’à arrivé à la sortie du village, droit en direction des Marais.  Cela n’allait vraiment pas être une partie de plaisir de patauger là dedans.

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Dim 02 Aoû 2015, 21:44

Une vive douleur se fit ressentir au niveau de mon aile gauche, exactement là où j'avais été blessée durant la partie de chasse entre les béluas. Je pensais que ma blessure s'était totalement guérie, mais à en ressentir cette douleur cela voulait dire que je n'avais pas complètement guéri. Kakeru me regarda en me demandant « Ca va Taïkïsha ? » avant que je ne puisse lui répondre Wulfran me retourna la question que je lui avais posé. Je me permis donc de répondre aux deux en même temps. « Oui, ça va … c'est juste que la blessure que j'avais eu ne s'est pas totalement guérie … Elle me fait de nouveau mal, mais ça ira. Il faut juste que j'évite de voler trop longtemps, même éviter de voler tout simplement. » Cela me brisait le cœur de savoir que je ne pouvais pas voler à cause d'une simple petit blessure, mais bon, je n'avais pas trop le choix.

Je regardais par la suite les faits et gestes du jeune homme aux corbeaux. Il s'approcha de la femme qui avait perdu son fils et lui demanda si elle avait quelque chose qui appartenait à son fils. Au début je ne savais pas trop où il voulait en venir, il donna le bracelet à un de ses corbeaux. Ce dernier, après un court instant, finit par croasser. Je ne compris toujours pas ce qu'il se passait, quelqu'un de plus intelligent que moi aurait sans doutes comprit que ce corbeau avait un pouvoir qui lui permettait de retrouver le possesseur d'un objet rien qu'en étant en contact avec l'objet en question. Mais moi, je ne l'étais pas assez pour m'en rendre compte. Peut être avec le temps je deviendrais un peu plus intelligente, mais ça je le saurais plus tard. Pour l'instant il y a beaucoup plus urgent que de me préoccuper de mon intelligence et de mon avenir.

La voix de mon nouvel ami, Wulfran, m'interpella. Il m'annonça qu'il avait peut être trouvé le fils de la dame. C'était déjà une bonne nouvelle après encore fallait il le trouver, le persuader de venir avec nous pour le mettre en lieu sur au cœur des continents. Mais bon, on verra bien le moment venu, pour l'instant il fallait surtout se contenter de le trouver. Nous suivîmes toujours le corbeau qui commençait à s'enfoncer dans le marais, en voyant le paysage je m'arrêtais, dégoûtée de devoir patauger là dedans. Mon Reevae, petite créature rose pâle aux yeux bleus ciel, s'agitait devant moi avant de s'enfoncer dans les marais. « Myosotis ! Tu m'énerve à te la ramener parce que tu es petite et que tu peux léviter … Chanceuse ! » Mon grand lion noir me fusillait du regard. « Taïkï, c'est pas le moment de faire ce genre de remarque. » Sur ce point là, il avait bien raison, après tout on est actuellement dans une période de chaos où les forces de la nature s'en prenaient à nous avec une puissance dévastatrice et destructrice, sans compter les masques d'or qui traînaient je ne sais plus où et les statues de pierre qui sont sorties de l'eau. Enfin, passons. Je finis par me résoudre à passer dans les marais, c'était boueux et gluant par endroit en plus, c'était vraiment désagréable.

Pour le moment j'arrivais bien à m'en sortir dans les marais boueux, humides et gluants, mais s'était juste avant que le corbeau de Wulfran se mette à coasser de plus belle pour nous dire que le gamin que nous recherchions était juste devant nous à quelques centaines de mètres. Effectivement, en regardant au loin je vis un jeune homme, après je ne sais pas s'il s'agissait bien du gamin que l'on rechercher, mais bon faisant confiance au corbeau après tout. Le jeune homme commençait à s'avancer dangereusement de la sortie du marais que l'on pouvait voir et qui donnait sur la plage. J'essayais de me dépêcher de le rattraper, mais maladroite que je suis, je perdis l'équilibre et tombais en plein dans la boue marron et gluante des marais. C'était vraiment dégouttant d'avoir cette texture sur la peau. Je me relevais en faisant la grimasse pour me sortir le plus rapidement que possible de cette boue infâme. « Il faut le rattraper avant qu'il ne se fasse emporter par les vagues et tuer par les créatures marines ! »





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Mar 04 Aoû 2015, 15:58


Les marais étaient là, juste en face de nous et mon corbeau, Hugin, croassait, perché sur un arbre, pour nous dire d’avancer. Une petite moue de dégoût passa sur mon visage en voyant l’épaisse vase qui constituait la majeure partie des marais. Si j’avais été tout seul à cet instant je me serais volontiers transformé afin d’éviter à travers cet immonde bourbier, hélas ma nouvelle amie m’en empêchait. Non pas que cela soit réellement de sa faute, mais pour me transformer je devais me déshabiller, sous peine de ne pas revoir mes vêtements, et je n’avais nulle envie de me mettre tout nu devant quelqu’un, encore moins une fille. De plus cela allait être très injuste pour elle qui ne pouvait voler. Je l’avais bien vu à son aile blessée et la situation me peinait un peu. Ce devait être horrible pour elle, étant d’un animal totem pouvait voler je pouvais comprendre en partie ce qu’elle pouvait ressentir.
Un mince sourire de compassion en direction de Taïkï et nous nous enfonçâmes dans les marais ensemble, avec ses deux compagnons. Ceux-ci comprenaient une étrange petite créature rose qui flottait dans les airs, au moins n’aurait-elle pas de problème pour se déplacer, et l’autre, un grand lion noir, autant qu’un homme peu l’être à l’âge adulte, mais fort heureusement il n’était pas aussi méchant qu’il le laissait paraître. Il était à l’image de mes corbeaux, protecteur.

Avançant rapidement, et sans le vouloir, je me retrouvai subitement en tête du petit groupe et ne pouvais entendre que de rapide écho de ce qu’il se passait derrière moi. Me retournant, je vis que déjà plusieurs mètres me séparaient des autres. Je m’étais trop emporté. L’avancée à travers les marais avait été difficile au début, on ne pouvait marcher normalement dans cette boue gluante et collante, mais petit à petit je trouvai mon rythme et avec un peu d’agilité j’en vins à trouver la route assez facile. Hélas ce ne fut pas le cas de mes camarades et m’empressai donc de faire demi-tour pour les rejoindre. En cas de danger, il était bien plus prudent de rester groupé que séparé. Ainsi, nous continuâmes d’avancer ensemble, calant mes mouvements sur ceux de mon amie afin de rester à son niveau.
Continuant pendant un certains temps, mon corbeau se mit à croasser de plus belle, le comprenant en partie il venait de trouver l’enfant que nous recherchions. M’infiltrant un instant dans ses yeux, je pus voir l’enfant en question, ce dernier s’avançant dangereusement vers la plage, là ou la mer s’agitait de plus en plus, préparant une nouvelle vague destructrice très certainement. Quittant Hugin, je me mis à accélérer la cadence afin de rejoindre au plus vite le jeune garçon, mais au même moment je vis du coin de l’œil Taïkï s’écrouler lamentablement dans l’eau vaseuse des marais. Aussitôt un cri de surprise s’échappa de ma bouche lorsque mon amie tomba à la renverser. Sans tarder je me précipitai vers elle afin de le relever, ce qu’elle fit bien plus vite que moi. Son visage et ses cheveux étaient désormais couverts d’une infâme substance que je ne saurais décrire. Une main posée sur son épaule je l’observais en déclarant.


Il faut te débarbouiller un peu… Attends.


Sans réfléchir à mon geste, je me mis à enlever le maximum de boue sur son visage à l’aide de la manche de mon manteau. Mais sa réflexion soudaine m’arrêta dans mon entreprise. Oui, le gamin, je l’avais presque oublié. Aussitôt je laissai Taïkï et me précipita vers l’enfant qui se tenait tout seul sur la plage.

A bout de souffle, je finis par arrivé près de jeune garçon, ce dernier me regardant étrangement. Les mains sur les cuisses, je respirais bruyamment afin de reprendre mon souffle, tout en fournissant des explications à l’enfant.

Ah…Ah… Bonjour. Nous… sommes là pour… te ramener… Ta maman… s’inquiète pour toi… Elle nous a demandée de te ramener auprès d’elle.


Frottant mon front avec le dos de main, me mettant un peu de boue dans les cheveux en passant, je repris une respiration à peu près normale, avant de continuer.

C’est pourquoi nous sommes ici. Pour te ramener. C’est dangereux ici tu sais. A tout moment une vague risque d’arriver et de tout ravager sur ton passage. Ou pire, des monstres pourrait sortir de l’eau pour te dévorer. Tu comprends ce que je veux dire ?


Soudain effrayé par mes mots, le garçon secoua vivement la tête en me disant.

Je veux revoir ma môman.


Lui souriant, je lui tendis ma main afin qu’il l’attrape, tandis que mes yeux se portèrent alors sur l’horizon. A mon tour d’être effrayé, devenant soudainement blanc comme un linge je pouvais voir une immense vague se dessiner dans le lointain en s'approchant dangereusement du rivage.


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Dim 09 Aoû 2015, 18:43

Il était en train de me débarrasser de la boue que j'avais sur le visage, mais je lui rappelais ce pourquoi on était là. Suite à mes paroles, il m'abandonna pour aller secourir l'enfant en courant. Pendant ce temps, je me rapprochais d'eux en marchant et en enlevant le reste de boue que j'avais sur moi. Mon grand lion noir semblait un peu nerveux, même Myosotis se déplaçait avec une allure plus rapide que la normale. Mais bon, je ne m'en préoccupais pas plus que cela, ma première préoccupation était l'enfant, il fallait le mettre en sécurité et le ramener à sa mère. Enfin arrivé vers mon nouvel ami et l'enfant, j'écoutais attentivement ses paroles. Le pauvre enfant, il était terrorisé par les mots que lui avait dit Wulfran, la seule chose qu'il put dire c'est qu'il voulait voir sa mère. Je vis Wulfran qui tendis sa main vers le jeune garçon. Mais je pense que l'enfant préférait plutôt une présence féminine. Je m'approchais de l'enfant le prenant dans mes bras et le rassurant. « Ne t'inquiètes pas, on va te ramener auprès de ta maman. Avec nous tu ne risqueras rien, on est là pour te protéger. » Je déposais un petit bisous sur son front pour le rassurer encore.

Je posais mon regard rose profond sur le visage devenu blanc de mon ami Wulfran. Je me retournais pour voir la situation dans laquelle on était … Il se trouve qu'une grande, que dis-je … une énorme vague était en train de se former et se diriger droit devant nous. Je restais complètement tétanisée devant ce scénario catastrophique, je ne savais plus quoi faire. Ce n'est seulement que lorsque mon grand lion noir me hurla dessus que je compris ce qui arrivait. « Taïkïsha ! Il faut partir d'ici et très vite ! » Je me relevais et me mis à courir vers l'intérieur des terres du continent dévasté. « Dépêchez-vous ! » Je pris l'enfant traumatisé dans mes bras pour essayer de l'amener loin, mais malheureusement un violant tremblement de terre me déstabilisa et me fit tomber. Dans un réflexe, je ne t'entais pas de me rattraper, mais plutôt de protéger le petit garçon en me retrouvant dos contre terre. « Wulfran ! Emporte le petit ... dans les airs à l'aide de tes compagnons … s'il te plaît ! » Je lui laisser prendre soin de l'enfant, tendis que j'essayais de me relever le plus vite que possible, mais c'était difficile vu que la douleur au niveau de mon aile gauche venait de se réveiller. Heureusement que mon lion noir Kakeru était là, il m'aida à me relever et me prit sur son dos. Je m'accrochais à la crinière de mon compagnon qui partit rejoindre Wulfran, ses corbeaux et le petit garçon.

La vague géante se rapprochait de plus en plus et je pensais que notre heure serait venu, mais j'étais heureuse de voir la vague déferlante s'écraser sur le sable juste derrière mon lion noir et moi même. L'eau continuait tout de même sa course en nous suivant, mais Kakeru sauta sur un talus en hauteur, dont le sommet ne pouvait être atteint par l'eau glissant dangereusement sur les terres. Quoi qu'il en soit, nous attendîmes un petit moment que l'eau reparte pour pouvoir poursuivre notre route pour rejoindre Wulfran, ses compagnons et le jeune garçon. La terre tremblait toujours par petit secousse par moment et souvent de violentes secousses nous déstabilisaient. Mais il fallait tenir bon pour pouvoir aider les autres et pouvoir trouver des solutions à ce nouveau fléau qui touchait actuellement les terres du Yin et du Yang. Beaucoup de gens se précipitaient vers l'intérieur des terres pour pouvoir échapper au mieux les vagues déferlantes, les créatures marines. Tout était que désastre et désolation, que faire pour que la tranquillité revienne sur ces terres ? Je n'en sais rien, je ne sais même pas combien de temps ceci va durer. C'est très difficile de pouvoir penser à des choses plus joyeuses en ce moment. Pour l'instant tout le monde cherche à se mettre à l’abri, enfin presque, certains profitent de la situation pour piller, saccager encore plus et tuer des gens. Après un bon moment à avoir chercher Wulfran, mon regard finit par se poser sur lui avec grand soulagement. « Wul ... Je suis là tout va bien ! Le garçon est retourné auprès de sa mère ? » Je m'inquiétais pour le jeune garçon tout de même, le pauvre … il était si jeune et il devait subir les images de ce chaos le plus total.



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Dim 09 Aoû 2015, 20:47


Les yeux rivés sur le large, une immense terreur commença soudainement à tétaniser la majeure partie de mes membres. La menace se rapprochait de plus en plus, je pouvais la voir se dessiner sur l’horizon. Un véritable mur d’eau fonçant droit sur nous et qui allait s’apprêter à détruire tout sur son passage, ne laissant par là que très peu de chance de survie à ceux qui auront le malheur de se faire happer par la vague. A ce moment, et fort heureusement d’ailleurs, mon amie restée dans le marais venait de me rejoindre sur la plage, sa présence m’aidant alors à bouger de nouveau et à prendre des décision plutôt que de rester planté là à attendre comme un benêt.
Se rapprochant de l’enfant perdu, Taïkï prit donc ce dernier dans ses bras en le rassurant et en lui déposant un léger baiser sur son front afin qu’il soit entièrement en confiance. Je le laissai faire, ne voulant pas la déranger, mais soudain elle eut le même regard que moi lorsqu’elle le porta à l’horizon, voyant alors l’horrible catastrophe qui arrivait à grand pas dans notre direction. Je m’apprêtai donc à lui dire qu’il fallait se dépêcher de partir d’ici, mais son lion fut bien plus rapide que moi. Ce qui, de toute manière, eut l’effet escompté et Taïkï put se ressaisir.
Enfin, portant l’enfant dans ses bras, nous nous mîmes en route pour rejoindre l’intérieur du continent, là ou la vague n’allait pas pouvoir nous atteindre. Hélas, jamais rien ne se passe toujours comme prévu. Subitement, un tremblement de terre vint nous jeter tous deux à terre, nous faisant alors perdre énormément de temps. Le séisme passé, je me relevai directement tout en regardant en direction de mon amie, savoir si elle allait bien. Elle était encore à terre, le garçon niché entre ses bras pour le protéger. Je commençai donc à me rapprocher de la jeune fille afin de l’aider à se remettre debout, mais celle-ci m’ordonna plutôt de transporter l’enfant jusqu’en lieu sûr. J’hésitai un instant, je voyais bien que son aile la faisait souffrir, ce qui l’empêchait de se relever, mais je ne pouvais tout de même pas la laisser seule ici, l’abandonner à un triste et horrible sort. Fort heureusement, sentant la présence de son lion, ce dernière m’indiquant qu’il allait s’occuper de sa maîtresse. C’est donc avec un certains soulagement pour mon amie que je pris le petit garçon dans mes bras et me mis à filer aussi vite que possible, loin du danger imminent.

Traversant de nouveau les marais, je m’efforçai à m’appliquer au mieux pour ne pas tomber, tout en essayant d’avancer le plus rapidement à travers la substance gluante du marais. Une fois le plus dur passé, je me mis à courir aussi vite que possible, jamais je n’ai du courir aussi vite de ma vie, la peur pouvant faire des choses incroyables. Et alors que je continuais ma course folle, j’entendis le petit se mettre à crier à mes oreilles.


Ah ! Elle se rapproche, l’eau se rapproche !


Entendant cela, je regardais en arrière pour vérifier les propos du petit. Exact, la vague se rapprochait et n’allait pas tarder à nous prendre avec elle. Ne pouvant courir aussi vite qu’elle, il fallait alors trouver une autre solution afin de se mettre à l’abri. L’endroit regorgeait de végétations en tous genres et les arbres n’y manquaient pas. Aussitôt, j’indiquais à l’enfant de grimper sur mon dos et de s’y tenir fermement. Ceci fait, je commençai alors à grimper jusqu’en haut d’un arbre, ce dernier assez épais pour résister à la puissance de la vague, du moins je l’espérais de tout mon cœur. C’est ainsi, assit tous les deux sur une branche de l’arbre, nous attendions que le déluge passe et que le sol absorbe une partie de l’eau afin que l’on puisse fouler ce dernier sans avoir à nager. Je demandai de nouveau au garçon de s’accrocher à moi et je descendis de l’arbre. N’ayant plus besoin de porter l’enfant, ce dernier marcha à mes côtés tandis que je partis à la recherche de Taïki en espérant que cette dernière ait réussi à survivre à la terrible vague.
Soudain j’entendis sa voix, elle était vivante, une immense joie me pris et lui lançais un grand sourire.


Il est avec moi, il faut qu’on le ramène à sa mère oui. Mais maintenant que la vague est passée, nous allons pouvoir faire cela plus facilement.

Un autre sourire et nous retournâmes vers le village afin de ramener l’enfant à sa mère, comme cette dernière nous l’avait demandé.

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The Path to Decay | Event Juillet ¤ Mission I ~ Pv Wulfran

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