Invité
Invité
 | | Mer 07 Oct 2015, 14:47 | |
| « Où allons-nous, Diana ? » - « Nous allons à Pabamiel, une cité magnifique et que j’ai toujours rêvée d’aller depuis que je suis libre. » - « Elle est si belle que cela cette cité ? Alors j’ai hâte d’y aller et de la découvrir. » Diana hocha la tête doucement. Nous étions sur un bateau qui allait en direction de cette cité. A ce que j’avais compris, cette terre était assez nouvelle par rapport aux autres que nous connaissions depuis un bout de temps maintenant. J’avais entendu dire par les marins et d’autres personnes sur le bateau, que cette terre avait quelque chose de spécial, mais qu’elle était vierge de toute cruauté venant des hommes. Je ne comprenais pas très bien les différents mots que disaient ces hommes. Je restais dans mon coin avec mon petit châle blanc et beige. Des hommes ne me cessaient de me regarder et j’avais perdu d’eux, j’avais envie de sauter par-dessus le bateau pour rentrer au village. Mais je ne pouvais pas, j’avais un objectif à réaliser, je devais trouver mon maitre, mais ce ne serait pas ces hommes, je le savais ! Diana était là pour me protéger mais les hommes la regardaient d’une autre manière que moi. Diana était une compagnonne de voyage, mais elle était aussi mon amie depuis que j’étais sortie de mon petit village. Diana était une marionnette fait de métal et d’une autre composante que je ne connaissais pas. Elle possédait une grosse clé dans son dos, et je ne savais pas quoi elle servait au juste. Mais elle m’avait dit que je ne devais pas la toucher car cela pourrait la tuer et ne plus jamais reparler. La vie et la mort était deux choses dont je n’arrivais pas à comprendre. La vie était un cadeau du ciel et la mort était un gros problème pour tout le monde et pour la famille surtout. Cela me rappelait un peu ma mère, où lorsque je suis partie du village, et elle mourrait quelques heures après. J’avais envie de revoir ma mère, même si elle était morte, j’avais envie de la revoir quoi qu’il arrive. Mais pour cela, je devais me lier avec un homme, mon maitre afin que je puisse revenir dans le village en tant acceptée par tous et victorieuse de cette très bonne réussite pour notre peuple. J’avais tellement de choses à réaliser dans ma courte vie, que je pris peur lorsque ma mère m’avait tout dit sur notre condition en tant qu’Orine. Cela m’avait donné envie de m’enfuir dans ce village et partir très loin d’ici. Mais ma mère était seule et elle n’avait plus de maitre depuis quelque temps. Diana me disait que nous étions enfin arrivées à Pabamiel. Le bateau s’approcha de l’ile qui était très belle vue de l’extérieur, mais je ne devais pas me méfier apparence. Une leçon que j’avais bien comprise dans les livres et à travers les paroles de ma tendre mère. Diana avait réussi à me faire sortir de mes pensées noires et folles sur ma condition. Les hommes qui m’observaient, n’étaient plus là pour m’embêter avec leur regard bestial. Je me sentais bien soulagée sur le coup, mais je devais faire attention à moi. Je descendis du bateau pour aller au cœur de la cité, celle de Pabamiel, j’avais envie de découvrir cette ville et ses paysages ainsi que des personnes. L’ile n’était pas accueillante, je ressentais quelque chose comme de la colère ou bien de la haine envers les nouvelles personnes qui arrivaient sur l’île. Diana prit la parole pour nous effrayer un chemin jusqu’aux portes de la cité merveilleuse. Je restais bouche bée par la nature, par la faune, par de nouvelles choses dont ils nous pouvaient apporter dans notre vie. Mais les choses ne tournent pas toujours rond, et des choses se passent sans qu’on ait envie… - Nombre de mots:
646 mots sous word
|
|
Invité
Invité
| | Mer 07 Oct 2015, 16:00 | |
| Les rebelles de Pabamiel
J'ai décidé de me rendre dans la magnifique cité de Pabamiel qui vient enfin d'être rebattis. IL paraît que les paysages y sont sublime, que les habitants sont vraiment très accueillant et qu'en plus il y a là bas des objets rare et super intéressant qui ne sont trouvable nulle part ailleurs. Je ne suis pas spécialement matérialiste mais j'ai bien envie de voir ces petites merveille. Après tout la curiosité n'est pas toujours un défaut et il se pourrait que je trouve quelque chose pouvant me permettre de devenir encore un peu plus fort. Ce ne serait pas un mal d'ailleurs. J'aurai pu me rendre sur continent directement via la téléportation mais j'ai décidé de prendre le bateau pour prendre le grand air. Je suis à l'arrière de ce dernier. Tous les hommes du bateau était à l'avant en train de regarder une jeune femme. Ils n'ont vraiment aucune retenue. J'entends d'ici les conversations qui tourne toutes autour du fait qu'elle est jolie et qu'il voudrait bien la mettre dans leur lit. C'est pitoyable, traité une femme ainsi. Peu importe pour ma part je les ignores et je profite du voyage.
Le bateau avance relativement lentement mais c'est reposant, le mouvement des vagues est agréable. Heureusement pour moi je n'ai pas le mal de mer. Hors mis les discussions de ces hommes on entends également le gloussement de quelques femmes et le cri des mouettes qui survole la mer. Une heure passe, puis deux et nous arrivons alors sur le continent. Je patiente le temps que tout le monde descende et je descend moi aussi. Une fois sur le continent il faut marcher pendant plusieurs heures afin d'arriver à la ville. Pour ma part je prends mon temps car je ne tient pas à me mêler aux autres. Non pas que je sois asocial je tiens juste à être tranquille. Je descend donc en dernier et je vois sur le bord du bateau une personne attendant semblerait-il que tous les autres s'éloigne. Je la vois alors. Une jeune femme d'un beauté sans précédent, la chevelure blonde et et des yeux paraissant si pur. S'en est troublant.
Je me souviens alors ce que m'a dit mon instructrice, les rares filles pouvant posséder une telle beauté sont ce qu'on appelle des Orines. Des femmes très belle qui dans le vie recherche leur maître qui correspondrait entre autre à leur âme sœur. Tout homme souhaitant devenir l'élu d'une de ses femmes doit répondre à une énigme et s'il y parvient il obtient alors l'amour de cette femme. Et elle est prête à tout pour réaliser le moindre de ses désirs. J'ai un peu du mal à comprendre le concept, et surtout à assimiler le fait qu'une femme puisse se satisfaire de cette condition. J'ai beaucoup de respect pour les femmes et les voir asservi comme ça me déprime. Je suis prêt à parier que beaucoup d'homme aime avoir des femmes asservi ainsi mais si moi je devais un jour obtenir l'amour d'une Orine je ferai de mon mieux pour la rendre aussi heureuse que possible et je ne me servirai pas d'elle comme une simple esclave. Mais pour le moment ce n'est pas d'actualité.
Je descend du bateau et je vais rejoindre la jeune femme plus pour en savoir plus sur sa race que pour sa simple beauté. Je m'approche d'elle et d'un ton amical je lui dit :
« Je suis désolé pour les remarques désobligeante des gens partageant le même sexe que moi sur le bateau. »
Je met tout de suite les choses au clair ainsi comme ça elle sait que je ne faisai pas parti de la bande de lourd qui passait son temps à la reluquer. Toutefois je ne peux m'empêcher d'ajouter :
« Vous devez cependant avoir l'habitude de ce genre d’attitude n'est-ce pas ? Je m'appelle Tens. Que diriez vous si nous faisions la route ensemble ? »
Je me montre amical et aimable ne souhaitant pas la mettre mal à l'aise. Après tout, elle est humaine si je puis dire, elle a le droit au respect comme tout un chacun. Je lui souris alors et attends sa réponse. Si elle refuse tant pis je ferai la route tout seul.
705 Mots
|
|
