Il est difficile parfois de revenir sur ses pas, mais parfois le destin décide autrement et il fera tout pour vous y remettre. Perdre quelqu'un à nouveau, juste l'idée peut faire peur, alors quand une situation semble y conduire comment pouvez-vous réagir ? Garder un sang-froid à toute épreuve ? Rien ne peut justifié la disparition d'un proche, alors pourquoi ses gens souffre-t-il ?
Shawn est arriver depuis pas très longtemps dans une ville avec une ambiance étrange, Isbel était elle aussi étrange, elle regarde chaque personne qu'on croise avec un petit air triste, le brun ne veut pas rester ici très longtemps, Shannon semble du même avis et Hirobachi aime bien l'ambiance dans le coin, mais c'est limite une réaction normal pour lui. Shawn cherche juste de qui avoir de quoi tenir jusqu’à la prochaine destination. Sans prévenir quelqu'un aborde le groupe dans la rue, il cherche tout d'abord à vendre ses objets, surtout de la camelote. Petit à petit il change de sujet, il parle de mal qui ronge cette ville, une maladie qui contamine petit à petit les habitants, et qu'Isbel semble avoir les premier signe pour être une contaminé, il raconte même l'endroit d'un medecin qui pourrait leur venir en aide dans un vieux bâtiment, c'est très facile car c'est surement le bâtiment le fréquenté de la ville à l'heure actuelle. Bien que le brun semble pas trop croire ce marchand étrange, petit à petit un doute l'envahi, c'est vrai qu'Isbel depuis leur arriver dans le coin semble ne pas tenir une grande forme, mais elle est beaucoup influencé par le moral autour d'elle, alors une tel ville la rend forcement dans cette état.
Pour être certain le brun emmène sa bélua voir ce fameux médecin car Shannon n'arrive pas non plus à identifié le mal et une fois dans le bâtiment en question il y a très peu de personnel, la plus part semble être juste ici pour aider, car ils n'ont pas vraiment la tête à devenir infirmière, parfois voir de l'entraide comme celle-ci réchauffe un peu le coeur, si la maladie touche autant la ville qu'on le prétend beaucoup de personne on du devenir folle suite à la perte d'un proche ou faute de l'ambiance morbide de la ville.
Après une file d'attente assez énervante à cause d'un enfant qui pleure d'un enfant qui fait des bruits énervant le brun arrive finalement dans la pièce et assiste à la procédure médicale car Isbel n'est pas du genre à laisser quelqu'un d'autre la toucher donc le brun fait tout pour la rassurer et faire en sorte que rien de grave n'arrive.
Le soupir du médecin en dit long, il prend des notes puis il annonce tranquillement que la bélua est bien contaminé, qu'une chambre lui sera assigné contre une légère contribution de fraie naturellement, le brun paye pour la bélua ce n'est pas la peine de réfléchir. D'après lui son état va devenir de pire en pire. Une énorme fièvre, des hallucinations puis d'autre chose semblable. Le médecin est bien froid dans son annonce, combien de fois doit-t-il le dire en une heure ? C'est peut-être pour ça qu'il semble sans émotion particulière.
Une fois dans la chambre il installe doucement la bélua dans le lit, la recouvre de la couverture puis s'assoie sur une chaise, la bélua avait attraper la main du brun et ne voulait plus la lâcher, ce fut dans son sommeil qui pu ce libérer, la fièvre commence déjà a grimper sans que le brun puisse y faire quelque chose. Shannon reste près de la bélua pour gérer son état et Hirobachi était partie faire un tour en ville histoire de s'amuser surement, il rapportera peut-être des nouvelles sur cette contamination.
Furieux de voir son impuissance il décide d'allers voir les autres malades pour savoir comment, ou pourquoi cette ville subit un tel sort, quand il ferme la porte il s'avance d'un pas rapide dans les couloirs, trop rapide surement car quand il souhaite tourner à gauche une femme semble vouloir allers de l'endroit ou il venait, la collision était donc obligatoire, le brun avait bien essayer d'esquivé mais cela n'avait pas arranger les choses, quand elle lui rentre dedans son poids avait suffit à le faire basculer en arrière, après tout il ne voulait pas taponner une inconnu, mais vu qu'ils sont maladroit celle-ci lui tombe dessus quand même. Quand il ouvre à nouveau les yeux, la scène semble improbable, comment avait-t-il réussi à ce mettre dans une tel position avec une inconnu juste pendant un choc.
Le brun était allonger sur le dos, la femme était sur lui et leur position était bien suspecté au point quand une femme plutôt agé passe rapidement en disant quelque chose.

- Il y a des chambres pour ça, les jeunes de nos jours je vous jure.

Bien la position soit bizarre, aucune main n'avait peloter accidentellement quoi que ce soit, un point positif, faut dire qu'une claque entre les dents n'était pas vraiment quelque chose de enviable après tout. Bien qu'il soit toujours dans cette position le brun cherche la communication histoire s'assurer tout va bien.

- Excuse-moi, tout va bien ?

Après tout pour lui il était le seul et unique responsable bien que la femme devait pas être totalement innocente non plus pour un tel choque.

945 mots, premier poste.

Assise sur une chaise, j'observais le médecin d'un air perplexe.

- Non monsieur, je n'avais aucune blessure attestant d'un possible choc à la tête...

Cet homme semblait tout aussi perplexe que moi, si bien que je commençais sérieusement à me demander pourquoi j'était venue içi. Il ne m'aiderait en rien! 

- Vous n'aviez rien portant un nom, où quoi que ce soit d'autre pouvant vous donner un indice quant à votre passé? Questionna-t-il.

Soupirant, je fermais les yeux me répétant encore et encore de ne pas m’ennerver. Non je n'avais aucun indice sur moi, c'était évident! Bien sur que non, sinon j'aurais déjà tout fait pour en savoir plus plutôt que de venir içi... Plutôt que de perdre mon temps içi!

- Rien, mis à part une robe sale et déchirée... Me contentais-je pourtant de dire, en secouant la tête, fatiguée de cet conversation stérile.

Il m'observa quelques instant avant de soupirer à son tour, devant mon agacement que je cachais certainement très mal puisqu'il semblait fort mal à l'aise contrairement au moment où je suis arrivée.

- Vous devriez voyager autant que possible, peut-être qu'un lieu où une scène vous remémorera quelques chose... Fit-il en fermant les yeux quelques instants se massant les tempes du bout des doigts, avant de les rouvrir et de m'observer. Si votre mémoire reviens un jour, je doute qu'elle ne revienne entièrement. En général, elle ne reviens pas d'un coup, ce sont plutôt des flashs, des brides de souvenirs...

Marquant une pause, il ferma le dossier qu'il avait entamé me concernant, avant de retirer ses lunettes et de les déposer sur son bureau.

- Et bien, je ne peu rien faire de plus pour vous, mademoiselle. Fit-il en se levant, signalant que pour lui, la discussion était terminée.

Soupirant de frustration et de soulagement mêlée, je me levais également et me dirigeais vers la porte, ravie d'en avoir terminé.

- Je vous remercie tout de même, au revoir, Monsieur... Soufflais-je avant de quitter la pièce sans un regard en arrière.

L'esprit remplit d'autant de questions qu'à mon arrivée dans cet hôpital si ce n'est plus, je marchais distraitement dans les longs couloirs, cherchant la sortie. Combien de temps allait ce passer, avant que je ne me souvienne ne serait-ce que de mon prénom? Je ne savais même pas par où commencer... Tournant à un angle toujours dans prises dans mes sombres pensées, je percutais violemment quelqu'un. Tombant sous le choc, je fermais les yeux, m'attendant à me retrouver face contre terre et à me faire mal, mais je fus surprise de sentir quelques chose de doux et moelleux. Légèrement étourdie par le choc, je me relevais légèrement posant mes mains sur ce qui me sembla être... des vêtement? Ouvrant les yeux en grands, je ne pu retenir un petit cri en voyant un visage à quelques centimètres du miens. Écarquillant un peu plus les yeux, je l'observais immobile. 

- Je... Je... Dé.. Désolée! Bégayais-je.

- Je suis désolée, je ne regardais pas où j'allais! m'excusais-je avant de me rendre compte de la position gênante dans laquelle nous nous trouvions suite à la remarque d'une tiers personne.

Me relevant expressément, le visage devenu rouge comme une pivoine, je lui tendis la main pour l'aider à se lever, tête basse.

- Je suis vraiment désolée, je... Enfin..

Ouvrant la bouche pour dire je ne sais quoi, je fini par la refermer, gênée... Et flûte... Fallait que ça m'arrive à moi... Relevant légèrement là tête, je lui jetais un regard désolé. 

- Enfin, bref?


(668 mots)

Comme prévu il est difficile de rester calme dans une telle situation, le médecin semble ne plus avoir ce problème mais cela reste un pour Shawn. Isbel avait eu la malchance d’attraper cette mystérieuse maladie qui semble frapper dans le coin, il est encore plus difficile de rester ici trop longtemps. Le temps joue sur le petit groupe après tout chaque seconde augmente la chance d’avoir un autre contaminer dans le groupe, donc autant faire aussi vite que possible. Le brun était bien trop dans ses pensées pour pouvoir sentir et entendre les bruits pas qu’arrivaient dans sa direction. Quand celui-ci aperçu la personne visuellement il était trop tard, malgré tout dans une tentative désespérer il tente quelque chose pour échapper à cette collision. Malheureusement cela ne rend pas la situation plus facile, le faible poids qu’exerce la personne cela suffit à faire perdre l’équilibre au brun, il l’avait donc emporté dans la chute sans vraiment le vouloir. Quand il ouvre les yeux la position bien que douteuse ne semble être calmer. Il fut même surpris quand la personne en question avait ouvert les yeux puis fit un petit cri. Son regard avait croisé de très près celui du brun, elle s’excuse à deux reprises puis se relève à une vitesse impressionnante. Quand Shawn ce relève à son tour on peut voir maintenant la différence de taille, au moins vingt centimètre de différence, peut-être un peu moins. Un petit visage raffiné, une chevelure plutôt longue, de beaux yeux marron foncé et ce qu’attire-le plus le regard du brun fut ses lèvres. Leur couleur monopolise l’attention sur son visage. Enfin pour en revenir à la situation il remarque enfin que celle-ci était est rouge tomate sur tout le visage. Avait-t-elle reçu un choc pendant la chute ? Le jeune voulait s’en excuser et s’assurer qu’elle avait rien de grave avant de continuer.

- Votre visage est rouge, vous avez reçu un choc sur la tête ?

Il ce permis aussi de toucher son front avec le dos de sa main et l’autre main toucher son front histoire de voir une différence, il y avait bien une petite différence mais rien d’alarmant à vrai dire. Il retire donc aussitôt sa main aussi vite qu’il l’avait posé. Quand Shawn ne sait pas vraiment quoi dire ou quoi faire général il fait un beau sourire histoire de comblé un vide, il sourit à la demoiselle mais avec ce qu’il le tracasse il est difficile de faire cette expression naturellement. C’est alors qu’il avait eu une idée, pourquoi ne pas soutiré des informations avec cette personne ? Il est vrai que la première impression fut forte mais c’est l’occasion parfaite pour parler de ce problème avec quelqu’un qu’est présent depuis un peu plus longtemps ici même.

- Excusez-moi encore pour ma maladresse, laissez-moi vous offrir quelque chose à boire. Et j’aimerais discuter avec vous à propos de cet endroit si cela ne te dérange pas.

Elle ne semble pas vraiment contre l’idée, il n’avait pas vraiment fait attention à l’expression de son visage quand il l’avait proposé, contente, ennuyer qui sait la réaction que cette invitation avait bien pu lui faire. Histoire d’avoir un gain temps il parle en même temps qu’il se dirige vers un endroit pour avoir une collation, dans un endroit pareil c’est surement pas sorcier.

- Je suis un voyageur, je m’appelle Shawn Goldrun et j’explore ce monde de bout en bout. Je suis arrivé ici mais malheureusement un compagnon de voyage à attraper cette maladie local, je me posais la question si vous aviez quelque piste à ce sujet ou n’importe quels vielle histoire local pour une éventuelle piste.

Présentation un peu bateau mais pour une fois il avait réussi à placer son prénom dans les débuts et non comme d’habitude le révélé très en retard. Et la cerise sur le gâteau les stocks de boisson sont épuiser impossible de trouver un endroit agréable pour boire quelque chose même de simple dans le coin, cela embête un peu Shawn après avoir invité la demoiselle.

711 mots

Le jeune homme que je percuta ne sembla pas plus se formaliser que cela de ma maladresse habituelle. Bien au contraire, il sembla même croire que c'était de sa faute.

- Votre visage est rouge, vous avez reçu un choc sur la tête ?  Demanda-t-il.

Sans me laisser le temps de répondre, il posa le dos de sa main contre mon front sans que je m'y attende vraiment. Sursautant et frissonnant malgré moi, j'eu un léger geste de recul incontrôlé que je limitais cependant. Pourquoi? Je ne saurais le dire. Toujours est-il que ce fut le cas. Retirant finalement sa main, il s'excusa et me proposa de m'acheter une boisson afin de se faire pardonner. Je voulu refuser poliment, car après tout, ce n'étais pas sa faute mais bien la mienne, mais je n'eu pas le temps de ne serait-ce qu'entre-ouvrir la bouche, que déjà il s'éloignait tout en continuant à parler. C'était un vrai moulin à parole! J'avais l'impression qu'il ne s'arrêterais pas. 

Le suivant bien malgré moi, j'écoutais tout de même attentivement ce qu'il disait tout en le détaillant. Ainsi, il s'appelait Shawn. Shawn Goldrun. Il était bien plus grand que moi, me dépassant d'au moins une tête. Il avait des cheveux mi-longs d'un brun tirant presque sur le noir, et un teint plutôt palot. D'après ce qu'il expliquait, il voyageait beaucoup, et il ne voyageait pas seul. Me rappelant les mises en gardes de Megumi quant aux personnes que je pourrais rencontrer, je priais sincèrement pour ne pas avoir à me mêler à un groupe. Nous nous arrêtâmes finalement devant un distributeur de boisson, que je remarquais vide d'un simple coup d’œil. 

- Je me posais la question si vous aviez quelque piste à ce sujet ou n’importe quels vielle histoire local pour une éventuelle piste. 

Fronçant les sourcils, je secouais légèrement la tête en une réponse négative.  

- Vous savez, je ne suis pas d'içi... Marmonnais-je tout bas mais assez haut malgré tout pour qu'il me comprenne. Une maladie contamine cette ville? Je n'en avais aucune idée... Commentais-je ne sachant que dire de mieux.

Lui jetant un regard perplexe, j'hésitais quelques peu.

- Il est certain que je ne sois pas la personne la plus apte à vous renseigner la dessus...

Peut-être devrais-je lui proposer mon aide? Il n'avait pas l'air méchant, et je dirais même qu'il me semblait plutôt sympathique. Je ne savais pas trop... En tout les cas, je me devais de me faire pardonner. Soupirant, je fermais les yeux sentant déjà une migraine me prendre. Pourquoi fallait-il que cela tombe sur moi? 

- Peut-être pourrais-je vous aider dans votre recherche? Proposais-je, lui faisant un petit sourire. Ou ne serait-ce que vous accompagner?

Plongeant mon regard dans le sien pour la première fois depuis que nous nous sommes... Rencontré? J'eu l'impression de plongé dans un véritable océan. Ils étaient d'un magnifique bleus foncé. Son regard était si intense que j'eu soudainement l'impression d'être déconnectée, envoûtée... Au bout de quelques seconde, je secouais finalement la tête pour reprendre mes esprits.

- Je m'appel Meiro! Me présentais-je. Enfin... Je crois... Marmonnais-je. Je voyage également, je suis à la recherche de quelques chose de très important... Fis-je, préférant ne pas avouer mon amnésie au premier venu. 

Peut-être serait-ce préférable qu'il ne le sache pas, ou tout du moins pas tout de suite...

(651 mots)

Il est parfois très difficile pour Shawn d'avoir un bon contacte, parfois trop directe il embarque souvent les autres dans ses mésaventures ou des dangers tout aussi étrange. Cette fois-ci celle qui semble en profité répond au nom de Meiro, elle ne semble pas être d'ici tout comme le brun, les informations sont donc pas du tout présente, il faut croire que le destin n'amuse à le nargué de temps en temps. D'après Meiro elle cherche quelque chose de précieux, dans la façon le dire il avait comme quelque chose de pas très claire, comme si elle même ne savait pas vraiment de quoi il s’agissait réellement, peut-être qu'il s'invente des choses ? Mais elle propose son aide, Shawn hésite quelque seconde avant d'y donner une réponse positif.

- Je serais ravis d'avoir ta compagnie Meiro.

Vu que cette endroit n'allait pas servir des masses pour prendre quelque chose à boire il fini par proposer de reprendre les recherches avec son aide en ville, dans une petite auberge qu'il avait pu voir en venant dans ce bâtiment, en compagnie de Meiro ils vont donc en direction de la petite auberge qu'avait pu voir le jeune humain en arrivant. Sur le chemin il avait bien essayer je dis bien essayer de récolté des informations mais chaque habitant semble avoir peur de cette maladie et on pourrait croire qu'on l'attrape en parlant d'elle tellement ils s'enfuient quand on parle à son sujet. Maintenant dans l"auberge le duo s'installe donc à leur table, il commande quelque chose de doux et laisse Meiro choisir la sienne, l'alcool dans une telle situation ne serait pas une bonne idée pour le brun, étant dans un petit stresse cette boisson risquerait l’entraîner vers le fond. Il suffit voir les ivrogne dans des déprimes ici pour comprendre que l'idée n'est pas bonne du tout, puis histoire de ne pas attendre dans le silence le jeune homme essaye une petite conversation l'air de rien.

- Alors si j'ai bien compris tu voyage, tu es seul ?

La conversation continue un peu, le temps de quelque échange pas plus, c'était le temps que la serveuse ce décide à venir leur donner leur collation. D'ailleurs le brun remarque que dehors c'est déjà la nuit, le temps s'écoule bizarrement dans le coin, il n'avait même pas vu le soleil disparaître à l'horizon. Perdu dans ses pensés ce fut la bonne surprise d'être tremper par un liquide. Quand le brun tourne la tête en étant tremper il remarque une serveuse sur la table, littéralement. son plateau pour servir contre le mur et le contenu du plateau avait fini par ce déverser sur Meiro et Shawn. C'était pour la table d'a côter deux grande chopes d'alcool fort, maintenant le duo étaient dans une situation délicate avec une belle odeur d'alcool.
Le gérant s'empresse de venir engueuler son employer pour cette acte de maldresse. Puis avec un sourire forcé il parle au deux victime à leur table bien tremper.

- Excusez la maladresse de mon employer, je vous offre une chambre encore disponible avec une douche en contre-partie pour vous ... nettoyez de cette odeur.

Shawn avait bien compris que l'odeur allait vide devenir désagréable. Aussitôt les clefs en main le gérant montre la chambre, il laisse ensuite entrer le duo puis referme juste ensuite en disant quelque chose dans le genre. ''Reprenez votre temps''. Une fois dedans la situation deviens un peu plus problématique. Un lit pour deux pour commencer, c'était une blague ? Aurait-t-il cru qu'il s’agissait d'un couple au premier regard ? Puis il y avait qu'une douche pour deux, autant dire que ce genre de situation il ne l'avait pas prévu en venant ici, Meiro non plus d'ailleurs.

- Je t'en prie Meiro commence, honneur au demoiselle.

Le brun laisse donc l'honneur à la femme pour la douche, il faut être courtois parfois. En tout cas le brun retire son haut quand celle-ci rentre dans la salle de bain, il regarde son torse, ses bras. Il n'avait pas pris en muscle depuis quelque temps ? On pouvait commencer à voir certains muscles. Les abdomens était très légèrement présent, il fallait encore qu'il rentre le ventre pour qu'elle soit très visible. Depuis le temps, vu tout les efforts physique par jour ce résulta aurait du apparaître depuis longtemps.

761 mots

Le jeune homme ne répondit pas tout de suite à ma question, semblant peser le pour et le contre. Pour ma part, je ne savais pas vraiment si je préférais qu'il réponde positivement ou négativement, mais toujours est-il que j'attendais patiemment une réponse. Au bout de quelques instant, il finit par répondre positivement. Il me proposa d'aller à une taverne expliquant qu'il serait plus simple d'y recueillir des informations. Souriant à l'idée de pouvoir déguster une bonne petite bière, je le suivis sans rechigner. 

Durant le trajet, je ne pu m'empêcher de rire, chaque fois qu'il questionnais un passant et que ce dernier s'enfuyait en courant. J'avais bien sur d'abord trouvé cela inquiétant, mais je ce petit manège hilarant devînt très vite hilarant et je saluait franchement la persévérance de ce jeune homme qui ne semblait pas vouloir baisser les bras. 

On arriva finalement à la taverne et on s'installa dans un petit coin tranquille au fond de la salle. La serveuse vînt immédiatement prendre notre commande. Ouvrant la bouche pour quémander une bière, je n'eu pas le temps de prononcer un mot que Shawn commanda pour nous deux et bien sûr ce ne fut pas ce que je voulais.

- Non, une bière pour ma part, s'il vous plait! Fis-je assez fort pour que la serveuse m'entende tandis qu'elle s'éloignait.

Se retournant, elle acquiesça d'un signe de tête avant de s'en aller. Le silence commença alors à peser à notre table. Légèrement gênée, je cherchais comment le briser lorsque Shawn le brisa en me questionnant, à mon plus grand soulagement.

- Effectivement, vous avez bien compris. Je ne connais personne, alors je me contente dans ma solitude, fis-je pensive. Et vous, pourquoi voyagez-vous donc? 

Nous discutâmes quelques instants encore, avant que la serveuse ne nous apporte ce que nous avions commandé. Sirotant ma petite bière avec un sourire planant sur mes lèvres, nous continuâmes à parler de tout et de rien dans une atmosphère plus légère que précédemment. Tout ce passait pour le mieux, lorsqu'un bruit mâte comme celui d'une chute, puis un second plus léger, comme celui de verres qui s'entre-choque, n'attire mon attention. J'eu à peine le temps de voir ce qu'il se passait que déjà, je me retrouvais trempée de la tête au pied. Un liquide sombre avait tous simplement volé sur nous, nous arrosant complètement. Essuyant mon visage avec les manches de mon pull, je ne pu empêcher une grimace déformer mon visage. 

- Que, qu'est-ce que... Commençais-je, mi-surprise, mi-stupéfaite. 

Tournant mon regard vers l'origine de cette bêtise, je ne fît déjà plus attention au fais que l'on m'avait arrosée -si je pouvait en croire l'odeur- de bière, et préférais m'inquiéter de l'état de la serveuse qui était tombée. Elle semblait aller bien et se confondit même en excuse, se qui me rassura. 

- Tout va bien madame, ne vous inquiétez pas! M'exclamais-je un léger sourire au lèvre. Il suffira de d'un coup de nettoyage et ce sera comme si rien ne c'était produit! Commentais-je. Mais vous auriez pu vous faire très mal, faites attention à ne pas vous blesser à l'avenir! 

Souriant de manière à la rassurer, je ne vis pas tout de suite le patron qui vînt bientôt se mêler à nous. Il ne se gêna pas de réprimander sévèrement la serveuse devant toute sa clientèle et plus particulièrement, sous mon regard médusé. Ce n'était pas de sa faute! Une maladresse pouvait si vite arriver... Pourtant, je n'intervînt pas, pensant que cela empirerait peut-être la situation de la pauvre femme. Ce tournant vers nous après avoir ordonné à la serveuse de retourner à son travail et "mieux que ça", il nous proposa une chambre pour la nuit et une bonne douche comme dédommagement. Je n'avais pas un sous en poche, si bien que je ne pouvais décemment pas dire non à un bon lit douillé si gentiment proposé! 

Il nous amena rapidement jusqu'à la dite chambre et nous laissa tranquillement prendre possession des lieux. Mon regard parcouru la pièce qui était plutôt sobre mais pourtant d'un grand luxe pour quelqu'un comme moi, qui de mémoire n'avait jamais connu de nuit dans un bon lit douillé. Je ne me formalisais pas plus que cela du fait su'il n'y avait qu'un lit car après tout, je n'allais pas me plaindre! 

- Oh, vous êtes sur de ne pas vouloir l'utiliser en premier? Questionnais-je alors qu'il me proposais de prendre me doucher en première. 

Ne semblant pas décidé à aller se laver, je fini par retirer mes chaussures pour ensuite entrer dans la pièce et fermer la porte derrière moi. Je me déshabillais rapidement et entrais immédiatement dans la douche. Réglant la température de l'eau correctement je me glissais sous l'eau chaude qui réchauffa doucement ma peau bien plus froide que chez beaucoup, me faisant un bien fou. Fermant les yeux, je relevais la tête laissant l'eau venir décrasser en partie mon visage. Prenant finalement une dose de savon, je frottais chaque parcelle de mon corps avec minutie, avant de me rincer et de sortir. 

Attrapant une serviette, je me séchais rapidement, ne prenant pas la peine de sécher mes cheveux qui de toute manière dégoulineraient quand encore de toute manière. Cherchant du regard quelques chose à me mettre, je ne vie rien qui pourrait m'aider. Je n'allais tout de même pas remettre mes vêtements trempés par la bière? Secouant la tête, je me résignais à ne garder que cette pauvre serviette et mes sous-vêtements qui, par chance avaient été épargnés.La serviette était tout juste assez longue pour couvrir ma poitrine et descendre jusque sur mes fesses, laissant entrevoir la naissance de ces dernières. 

Si je sortais comme ça, il verrais l'abomination qu'est mon corps tout entier... Pensais-je avec horreur. Pourtant, je ne voyais guère une autre solution. Retardant autant que possible l'échéance, je lavais mes vêtements à l'eau clair, me promettant d'acheter prochainement un sac et des changes, afin d'éviter de me retrouver a nouveau dans une telle situation. Je disposais mes vêtements propres de manière à se qu'ils puisse sécher rapidement puis me dirigeais vers la porte. 

Soufflant un bon coup, j'ouvris la porte puis sorti de la salle de bain posant mon regard sur le lit pour m'y diriger d'un pas rapide, évitant de regarder le jeune homme qui changerais probablement sa façon de me voir après ça. Ce fut la une grossière erreur, car ne faisant pas attention où je me pris les pieds dans les chaussures que j'avais précédemment retiré ce qui me fit basculer. Cherchant à me rattraper, je lâchais la serviette et m'agrippais au pauvre Shawn que j’entraînais dans ma chute. Ma tête cogna violemment le sol, si bien que je fus légèrement sonnée. Posant ma main sur ma tête, je grimaçais, gémissant de douleur. 

- Décidément, ça va devenir une habitude, marmonnais-je en constatant que la situation était similaire bien qu'inverse. 

Le contact de sa peau contre la mienne provoqua un frisson, mais cette fois-ci légèrement différent et mes pommettes rosirent légèrement. Plongeant mon regard dans le sien, je me sentis encore comme aspirée. Le souffle court, je restais totalement immobile, ne sachant trop comment réagir. 

(1315 mots)

Suite à leur petit conversation il avait donc compris que la demoiselle voyage toute seule, c'est un peu triste en soi de laisser quelqu'un voyager seul mais certaine personne sont bien plus à l'aise dans un endroit au calme sans personne autour, le brun n'avait pas vraiment eu le choix pour son départ. Une démone qui n'avait pas vraiment l’intention lâcher son butin, mais bon maintenant elle n'est plus présente, pourtant cette marque sur sa langue est bien présente. Enfin, ce n'est pas le sujet pour l'instant après tout. Leur conversation fut donc interrompue par la maladresse d'une serveuse, ce fut Meiro qu'essaye de la rassuré que ce n'est rien, quand le patron arrive elle ne préfère pas s'en mêlée ce qui est la chose à faire surtout quand celui-ci offre un dédommagement avec une chambre et une douche c'est pas refusable. Quand le duo rentre le brun remarque le lit pour deux, c'est difficile de dire non vu que c'est la seule disponible. Shawn laisse la demoiselle passer en premier, il retire son t'shirt imbibé de bière le bas n'avait pas vraiment était toucher, c'était sur tout le haut et les cheveux. Il passe rapidement la tête par la fenêtre pour y voir quelque chose qui l'étonne plus vraiment. Hirobachi l'un des compagnons de Shawn qui ce balade tranquillement avec une femme. Comment pouvez-t-il avoir du succès en étant cacher derrière un masque non stop ? C'est parfois étrange de comprendre comment cet homme la fonctionne réellement. Enfin bon le temps passe et la demoiselle sors de la salle de bain un peu rapidement, à peine le son de la porte qui s'ouvre que le brun ce retrouve au sol, quand il ouvre les yeux il fait encore noir, il relève la tête et s'aperçois que sa tête avait fini dans la poitrine de la demoiselle qu'était seulement en sous-vêtement. Humain avant tout son rythme cardiaque augmente petit à petit, il remarque quelque cicatrice sur son corps, voyager seul coute cher parfois, c'est surement le résulta de mauvaise chute, le brun n'arrive pas vraiment à ce concentrer sur le sujet quand une femme allongé sur le haut en petit tenue est devant vous, histoire que cette situation gênante s'arrête il se relève doucement laissant une dernière perceptive sur le spectacle, il n'était pas encore dans la douche mais ses yeux c'était déjà bien rincé l'oeil sur ce corps délicat. Avant d'entrer à son tour dans la salle de bain il jète un t-shirt propre sur elle.

- Tiens tu ne semble pas avoir de quoi te couvrir, c'est toujours mieux que rien.

Même si c'est trop grand cela devrait faire robe de chambre et donc rendre la situation moins gênante. La douche fut froide histoire de reprendre ses esprits, l'odeur de l'alcool avait pratiquement disparu c'était agréable, une bonne douche froide rien mieux. Une fois habiller il sort de la douche les cheveux encore en désordre. Il imagine Meiro avec seulement le t-shirt son cerveau n'aurait pas du c'est encore pire, cela rend peut-être l'imagination du brun un peu trop active. L'air de rien il essaye de reprendre la conversation interrompue plutôt.

- Pour revenir à notre conversation je voyage pour découvrir chaque recoin ce monde, voir les gens, comment ils peuvent vivre. D'ailleurs je le remarque un peu tard, mais tu es Humaine toi aussi n'est ce pas ?

Car quand l'anti-magie agis sur quelque chose on le ressens, c'est une sensation unique du quotidien et qui n'est pas présente seulement entre Humain. Maintenant qu'ils sont enfin seul il peut le dire ouvertement en confrère de la même race.
Depuis qu'il est sortie de la douche Shawn ne préfère pas regardé dans sa direction, surtout sur le lit en chemise de nuit en quelque sorte risquerait de lui falloir une deuxième douche froide.

687 mots

Mon regard plongé dans le sien, je ne réussi pas à le détourner. Rapidement, je senti mes joues devenir cramoisie, tandis que des pensées pour le moins obscènes venaient braver mon inconscient. Ce ne fut qu'au bout d'une longue minute qu'il se releva, gardant son regard insondable posé sur moi. M'asseyant, je réussis enfin à détourner mon regard et mordillant ma lèvre inférieur nerveusement, je priais silencieusement pour qu'il détourne le sien. 

Au bout d'un court instant qui me parut être une éternité, il bougea enfin. Dirigeant à nouveau mon regard vers lui, j'eu tout juste le temps de voir un vêtement voler dans ma direction. L'attrapant, je le dépliais. Un maillot! Levant vivement la tête pour le remercier, il avait déjà disparu. Souriant, je l'enfilais. Il était grand, mais tout juste assez pour arriver en dessous de mes fesses. Tandis que j'entendis le son caractéristique de l'eau qui coulait, je me jetais sur le lit avec une curiosité non dissimulée. Est-ce que c'était aussi agréable qu'on me l'avait dit? 

- Waouh, c'est encore plus moelleux que ce que je croyais! M’écriais-je avec stupéfaction lorsque je m'enfonçais dans la couette. 

Attrapant un oreiller, je le serrais contre moi toute contente. Oui, je paraissais peut-être futile à cet instant précis, mais vous n'imaginez pas à quel point un vrai lit peu sembler douillé quand le seul lit que l'on a connu est le sol dur et froid. Je me roulais plusieurs fois sur la couette si douce et agréable au touché avant de me relever vivement lorsque j'entendis la poignet de la porte de la salle de bain. Me contentant de m’asseoir sur le bord du lit, je ne pu cependant me défaire du sourire idiot qui flottait sur mon visage. Alors que le silence commençait à se faire long, j'ouvris la bouche pour le rompre avec une banalité, mais il le fit avant qu'un son n'est pu sortir de ma bouche. 

De ce qu'il me dit, la première chose que je retînt fut le fait qu'il avait deviné que j'étais humaine.  

- Que... Co... Comment sais-tu? Bégayais-je en l'observant, abandonnant le vouvoiement sous le coup de la surprise. 

La seconde information importante, soit le fait qu'il était lui aussi humain mit un peu plus de temps à s'ancrer dans mon esprit. Pourtant, elle n'en eu pas moins un impact tout aussi important à mes yeux! 

- Attends... Fis-je subitement. Tu es humains toi aussi? M'écriais-je en me levant pour m'approcher de lui d'un pas décidé. 

Ne m'arrêtant qu'une fois que je fus presque collée à lui, je plantais mon regard dans le sien. 

- Tu ne mens pas? Dis-je sourcils froncés, les yeux plissée. 

Il n'avait pas l'air d'être homme à mentir. Mon regard changea soudainement. Je ne le voyais plus comme un potentiel danger, mais comme un possible compagnon de route. Lui faisant mon plus beau sourire, je pris son visage entre mes mains et le dirigeais vers moi, l'observant consciencieusement. 

- Tu es le premier humain que je croise... soufflais-je cherchant une différence notable avec les autres races que je ne trouvais pas...

Me rendant compte du fait que cette proximité pouvait peut-être lui être gênant, je le lâchais subitement reculant d'un pas, mes joues prenant encore une fois une jolie teinte rosée. Je proposais vaguement de s'asseoir afin d'être installé plus confortablement pour discuter, joignant la parole à l'action, m’asseyant sur le lit jambes croisées sans plus vraiment faire attention à ma tenue, légèrement excitée par cette nouvelle. 

Si mes pensées étaient à la base tout ce qu'il y a de plus sain et pure, je dois avouer qu'elles dévièrent légèrement lorsque mon regard se posa sur son torse où quelques goûtes provenant de sa chevelure semblaient se frayer un chemin, l'envie de les attraper du bout de ma langue fit naître une douche chaleur que je ne connaissais pas de mémoire au niveau de mon bas ventre.


731 mots

Quand le brun avait fini sa douche froid qu'était sensé lui remettre les idées en places. Le problème l'image d'un simple maillot sur elle avait un peu relancer le problème, il sort en cherchant à ce calmer un peu sur le sujet, il avait une imagination débordante ce soir pour ça, c'était vraiment étrange, c'est parce qu'elle était comme lui ? Qui sait, en tout cas une fois en dehors de la salle de bain celle-ci semble avoir fait des folies dans le lit, a son visage et l'état du lit on pouvait facilement le dire. Enfin bon la conversation commence par quelque chose de très tabou les races de chacun, c'est souvent agréable de retrouver quelqu'un sa propre race en face, on sait qu'on risque rien en temps normal sur les jugements des autres.
Bien qu'il soit un peu tard, le brun avait finalement remarquer qu'elle était Humaine, elle semble choqué qu'il semble le savoir, dans un autre sens elle ne devrait pas s'amuser à dire oui si facilement à la question, il suffit qu'il soit un utilisateur de magie pour le remarquer quand on reste près d'elle. La bonne surprise c'est que son cerveau semble avoir mis en marche la déduction, mais celle-ci semble être encore confuse car elle pose la question pour être certaine. Mentir, c'est vraiment difficile après avoir dit quelque chose comme ça non ? La phrase suivante fut très surprenante, jamais vu d'Humain, ou avez-t-elle vécu pendant tout ce temps ? Il osa lui dire directement histoire d'en avoir une meilleure explication.

- Le premier ? Comment cela se fait ?

Elle ne semble pas vraiment savoir tout sur sa propre race, le brun voulait lui en dire d'avantage, il s'installe sur le lit de l'autre côté puis commence à lui parler sujet, il commence par l'anti magie, il demande toujours avant si elle sait ou non les origines si oui il passe à la suite sinon il lui explique. Pour l'anti-magie c'était un peu spécial il lui disait l'origine du pourquoi il avait découvert sa vrai race.

- Quand je sens de la magie autour de moi j'ai comme un drôle de sentiment, les Humains étant la seule Race sans magie connu à ce jour j'ai pu facilement comprendre ton origine, c'est peut-être ma façon le savoir tu as peut-être la tienne je pourrais pas te dire comment je fais ou ressens ça exactement. Puis Meiro tu ne devrais pas l'affirmer, on est pas vraiment apprécié dans ce monde tu sais.

Il avait repris ses petites histoires sur la capital et le territoire des Humains pour lui raconter les voyage qu'il avait pu faire dedans en épargnant l'histoires des esclaves naturellement et aussi quelque aventure avec Mira qu'il ne souhaite pas divulgué, d'ailleurs il n'avait jamais prononcé son nom une seule fois depuis le jour de leur réparation. La nuit étant de plus en plus avancé le duo fini par s'endormir, c'est le brun qui proposa d'allers dormir, le lit étant pour deux il fallait partager mais pour le brun cela devrait allers, il avait un peu l'habitude avec ses compagnons de faire cela.
Pendant la nuit la langue du brun semble lui picoté, comme si quelque chose lui brulait la langue, dans ses rêves il pouvait voir cette démone qu'était à l'origine de la marque, soudainement il se réveille en ouvrant simplement les yeux. Le spectacle qu'avait suivi semble être plus étrange. Meiro encore dans un profond sommeil dormait sur le ventre avec un sourire et un peu bave qui coule de sa bouche, au moins elle semble bien dormir celle-la. Le maillot semble être remonté laissant ses sous vêtement bien visible, le brun eu une lègere teinte rose mais elle fut rapidement calmé par les marques visible sur son dos, d'horrible cicatrice plus grande les une que les autres. Avec cette phrase ''le premier Humain je vois'' et ça quels genre de passé avait-t-elle pu avoir ? Tirant sur le maillot pour ne plus voir cette douleur qu'on lui avait infligé le brun ce lève pour allers dans la salle d'eau pour regarder sa marque dans un miroir, rien bizarre. Surement l'effet du cauchemar qu'avait du crée cette fausse douleur. De retour au lit Meiro semble vouloir tout le lit pour elle fut qu'elle avait réussi à s'entendre sur la partie du brun, il la poussa doucement pour la reprendre. A croire qu'elle est plus que naïf quand elle sourire de cette façon.
Le jour ce lève le brun ouvre doucement les yeux laissant les premier rayon de soleil lui toucher les yeux. La nuit avait finalement était bonne malgré ce rêve.

824 mots

Shawn m'avait expliqué comment il réussissait à connaitre la différence entre les humains et les "autres", me donnant de nombreux détails pour que je comprenne possiblement comment faire, mais cela ne me fut d'aucun secours. Je ne sentais rien émanent de lui de différent face à ceux que j'avais pu rencontré jusqu'alors. Au bout de longues discussion, nous décidâmes d'aller nous coucher. Je ne mis pas longtemps à trouver Morphée qui vînt m'accueillir sans difficulté.


La matinée commençait à peine quand les rayons du soleil vinrent caresser mon visage, m'obligeant peu à peu à me réveiller. Je faisais un joli rêve, et je me sentais bien. Tellement bien, que je n'avais aucunement envie d'ouvrir les yeux. Ce ne fut lorsque je remarquais quelques chose de chaud contre moi que je commençais à froncer les sourcils et à ouvrir les yeux. Tournant légèrement la tête, je tombais sur un visage. M'abstenant de crier, les événements de la veille me revinrent rapidement.

- Shawn, soufflais-je, cherchant à vérifier s'il était réveillé.

Ne remarquant aucune réaction de sa part, je décidais de rester immobile, afin d'éviter de le réveiller. Bien sur, j'étais gênée, être dans les bras d'un garçon, c'était une première à ma connaissance, je glissais un instant mes doigts sur son visage, avec une douceur que je ne me connaissais pas. Il était plutôt beau garçon! Sa peau, contact agréable sur le bout de mes doigts, était aussi douce que j'avait pu le penser au premier regard. Ses lèvres si proches me donnèrent une furieuse envie d'y goutter. Approchant sans vraiment m'en rendre compte mon visage du sien, je pu sentir nos souffle se mêler et une drôle d'envie plus vive encore m'étreignit. Nos lèvres était bien trop proche, lorsque je me rendis compte de ce à quoi je pensais et surtout, de ce que je m’apprêtais à faire. Me retournant vivement, je décidais de ne plus bouger.

Qu'est-ce qui clochait chez moi? Je n'avais, bien sur, pas l'habitude des contacts si rapprochés, mais cela n'excusais rien... Secouant la tête pour reprendre mes esprits, je fermais les yeux tentant tant bien que mal de songer à autre chose qu'à ces drôles de pensées. Très vite, je ressenti mieux encore le corps de cet homme tout contre le mien, un douce chaleur venant me chatouiller le bas-ventre. Me mordillant la lèvre inférieur, je ne pu réprimer un frisson tandis que mes joues commençaient à vraiment me chauffer. J'avais soudainement envie qu'il y est bien plus qu'un simple contact, ce qui me surpris moi-même. Me retournant à nouveau, décidée à le réveiller malgré tout, je tombais cette fois ci sur deux yeux grand ouverts.

- Je... Shawn, je... Bégayais-je n'osant pas bouger malgré tout, pour une raison qui m'échappais. "Je, enfin..." Continuais-je, mon cerveau totalement déconnecté.

Je finis par me taire, sans pour autant défaire mon regard du sien. Me mordillant encore la lèvre inférieur, je ne savais trop quelle réaction je devais adopter. Je n'étais pas familière à ce genre de situation, ou tout du moins, à ma connaissance, car mon corps, lui, semblait savoir quelle démarche adopter. ré-freinant l'envie de commettre l'interdit, je me contentais de ce simple contact visuel.

- Shawn, chuchotais-je encore, le regard légèrement embué.

J'étais totalement incapable de bouger. Il fallait qu'il réagisse et vite, où je risquais de faire quelques chose de malencontreux. Cette envie était si intense que je ne me sentais pas la force de la retenir bien longtemps. J'avais l'impression d'être un accroc en manque et que ma dose se trouvait là, juste sous mon nez. Mordant ma lèvre plus fort, je sentis bien vite ce goût métallique si particulier se répandre sur ma langue.

(681 mots)

HRP:

Shawn ce réveille d'une nuit légèrement agité mais très reposante malgré tout. Aucun souvenir du rêve qu'il avait bien pu faire il s'éveille tranquillement, Meiro semble être déjà réveiller, elle était très étrange, son comportement surtout. Ce fut une fois les deux yeux grand ouvert qu'il aperçu une faille dans le maillot bien trop grand pour elle. Il pouvait voir la poitrine de celle-ci, il tentait bien de fuir du regard ce petit caprice du matin mais ce fut plutôt difficile. Une fois qu'il avait terminer de ne pas regarder en bas ce fut en haut qu'il remarque d'être bien trop proche des lèvres de celle-ci, pendant quelque seconde qui parut une éternité le duo s'était figé, laissant inconsciemment leur lèvre ce rapprocher. Shawn repris ses esprits plutôt vite en reculant légèrement et il posa une question banal pour rompre le silence.

- Bien dormi Meiro ?

C'était difficile de croire que Shawn c'était endormi à côté d'elle cette nuit alors que maintenant son coeur semble ce palpiter sans vouloir s'arrêter. La suite des événements fut un peu étrange, à croire que le destin lui même semble s'y mettre. La fenetre éclate en morceau, par réflexe le brun essaya couvrir Meiro des éclats de verre. On avait pu entendre dehors des gamins s'enfuir en hurlant ''Fuyez'', en regardant l'objet de plus près il s’agissait d'une balle en cuir, il devait surement s'amuser avec quand l'objet à du finir ici, parfois la paranoïa n'aide pas. Shawn avait cru à une attaque ou quelque chose dans ce genre la.

- Tu va ...

Shawn tourna la tête en même temps de prononcé ses deux uniques mots avant de bloquer complètement. Dans cette agitation la position était devenu un peu plus compliqué. Meiro dos contre le matelas, l'une jambe du brun était entre les siennes et le maillot qu'il lui avait passer pour la nuit était beaucoup trop remonté, il pouvait voir ses sous vêtement et surtout celui du bas, laissant aussi son nombril à l'air. Petit à petit le jeune homme laisse son imagination travailler à la vu de cette peau à découverte et sans protection. Un silence de mort régnai sur la pièce, laissant petit à petit la tentation de commettre un acte pas forcement réfléchi. Les lèvres de Meiro semblait bien plus visible que tout le reste, surement par ce petit désir qu'il semble lui dire de goûté ce fruit défendu. Il est fort possible que qu'elle chose aurait eu lieu dans cette chambre si la personne qui s'occupe de cette endroit ne tape à la porte de façon brutal, ce fracas contre la porte semblait avoir ramener le brun dans la réalité, ou plutôt en dehors de ses pulsion primaire. S'éloigner de ses lèvres fut malgré tout au fond très decevant, comme si le corps n'avait pas renoncé malgré le retour à la réalité.

- J'arrive. Dit-t-il en allant ouvrir la porte. C'est enfants on jeter ça et la fenetre à explosé en mille morceau.

L'homme fou de rage contre les enfants le montre oralement en insultent ses garnement de voyou ou d'autre terme de même genre. Il donna une clef au brun pour une nouvelle chambre, après tout celle-ci était rempli d'éclat de verre. De retour près du lit le brun commence à sentir un liquide chaud dans son dos, il toucha l'endroit précis pour voir le problème et un liquide d'un beau rouge semble s'y écoulé. Rien de grave, ce n'est pas une hémorragie, juste un petit saignement, malgré tout les bouts de verre semble être dans la peau du brun, il pourrait essayer les retirés soit même mais au risque de les enfoncés plus profondément. Il demanda donc à Meiro de venir l'aider pour extraire tout ça, naturellement si cela ne la dérange pas, le sang ne plait pas à tout le monde.
L'intervention ne demande rien compétent, il retira juste son haut pour la laissé faire en s'allongeant sur le lit pour lui facilité la tâche, en même temps ils pourront discuter de cette contamination dans les environs, l’origine ou des hypothèse par exemple. Shawn croise le regard de Meiro et à chaque fois cette sensation douteuse lui revient en tête, qu'est qu'il aurait bien pu osé faire si l'homme n'avait pas taper à la porte ? Il essaye de ce convaincre de resté concentré sur son objectif trouver une solution à cette épidémie mais cet tâche semble bien plus compliqué qu'il ne pourrait le croire.

786 mots.

Spoiler:

Nous nous fixâmes un moment, je crois, avant qu'il ne recule enfin pour mon plus grand soulagement.

- Oui, je... Bien... Enfin... Dormi... Marmonnais-je tentant de reconnecté ce qu'il restais de mon esprit.

J'eu à peine le temps de soupirer que le bruit d'une vitre qui se brise me fit sursauter. Cherchant du regard, paniquée d'où cela venait, je ne prêtais guère attention à la masse qui se trouvait à présent sur moi. Comprenant qu'il n'y avait aucun danger, je soupirais une seconde avant de comprendre que la dites masse était Shawn. Plantant mon regard, encore, dans le sien, je senti chaque barrière que j'avais tenté d'ériger pour ne pas céder s'effondrer. Tout mon être réclamait se corps si près du sien et je m'approchais de lui cherchant à combler la faible distance que nous avions gardé jusqu'alors, lorsqu'un vacarme de tout les diable me fit sursauter. Lâchant un jurons, frustrée, j'écoutais silencieusement le beau brun répondre et se lever pour ouvrir. Me relevant légèrement pour me retrouver à demi assise, je cherchais à observer la scène quand je vis Shawn. Ou plutôt son t-shirt qui se teintait d'une légère couleur rougeâtre.

- Que... Commençais-je, aucun autre son ne souhaitant traverser mes lèvres.

L'observant revenir, je le regardais s'allonger après avoir retiré son haut et silencieusement, j'extirpais un à un les morceaux de verre. Mes mains tremblaient pour une raison qui m'était totalement inconnue et une douleur sourde enserrait ma poitrine alors que j'avais l'impression que mon propre corps s'éveillait à une souffrance sans pareille. Une fois que j'eu retiré le dernier morceau de verre, je me leva et me dirigea chancelante vers la salle de bain pour prendre un linge que je mouillais. Revenant vers le lit je m'installais près de lui et doucement, je me mis à nettoyer son dos le délestant de tout ce sang. Un flash me revînt, me déstabilisant complètement. Une scène particulièrement douloureuse me revînt. Tandis que je nettoyais les plaies de Shawn, je me rappelais avoir déjà fait cela mainte fois. Était-ce sur une connaissance? Était-ce sur moi? Je n'en savait rien. Pourtant se sentiment si familier me rendait plutôt mal à l'aise. Me concentrant sur le jeune homme je finit d'effacer toute trace de sang ne laissant apparaître que les fines coupures qui déjà semblaient commencer leur processus de cicatrisation. Distraitement, je posais le chiffon sur la table de nuit et passa ma main sur son dos, glissant mes doigts sur ce dernier, retraçant les diverses blessures. 

- Je ne me rappel pas... Soufflais-je après de longues minutes. J'ai beau essayer, je ne me souviens pas... 

Fermant les yeux, je soupirais et chassais ces idées noires me concentrant sur la douceur de sa peau. Douceur de sa peau? J'ouvris vivement les yeux et me rendant soudainement compte de mon geste, je retirais ma main aussi rapidement que possible, pour la plaquer contre ma poitrine.

- Désolée, je.. Enfin... Marmonnais-je, encore une fois privée, de mots. 

Rougissant jusqu'au oreilles, je l'observais d'un œil appréciateur. J'avais fait du bon boulot je trouve! Observant le reste, je du avouer qu'il n'y avait pas que mon travail de pas mal.

- Je ne t'ai même pas remercier! Remarquais-je. 

Approchant mon visage du sien, j'approchais mes lèvres des siennes et l'embrassais pour le remercier de m'avoir protégée. Je faisais ainsi d'une pierre deux coups, le remerciant d'une part et satisfaisant enfin mon envie de goûter à ses lèvres d'autre part. Le problème qu'il se posa, c'est que je n'avais pas prévu que ce fut si agréable et encore moins que j'aurais autant envie de plus après cela. On dit qu'une fois qu'on a goûter au plaisir on ne peu plus y résister. Me relevant, je couru jusqu'à la salle de bain pour aller m'habiller: pour ma part, j'y résisterais et ce, autant de temps qu'il le faudra.
 
Profitant de ces quelques instant de solitudes, je me rinçais le visage à l'eau froide pour mieux me remettre les idées en place. Lorsque je voulu remettre mes vêtement, je remarquais qu'ils étaient encore légèrement humide. Soupirant, je enfilais malgré tout. Ce ne fut pas ce que je connu de plus pratique, le tissus ne glissant pas comme a l'ordinaire, bien au contraire. De plus, c'était franchement désagréable et je risquais de tomber malade, mais Shawn semblait vraiment avoir besoin de trouver un remède à la maladie qui semblait contaminer la ville. Sortant de la salle de bain fin prête, j'enfilais mes chaussures et lui jetais un coup d’œil. 

- Allons-y! Fis-je avec un grand sourire.

Finalement, j'étais plutôt ravie d'avoir plus ou moins accepté de l'aider, car cet homme était tout ce qu'il y a de plus adorable.


(881 mots)

HRP:

Le réveil fut plutôt agréable surtout que Meiro semble ne plus savoir prononcé un mots l'un de devant l'autre. Sans oublier le petit incident dans la pièce, des enfants qui s'amusaient éclate la fenêtre, par réflexe le brun couvrir la demoiselle contre quelque bout de verre dans la peau, rien de brave il suffisait les retirés un par un. Leur position fut aussi assez gênante, le brun avait perdu son sang-froid devant la pose irréaliste et la peau découverte de sa partenaire sur le lit. La situation aurait pu très vite mal tourner en quelque sorte, heureusement quelqu'un les interrompue avant que leur main baladeuse et leur lèvres laisse leur destination s’atteigne.
Elle voulut remercié le brun pour l'avoir couvert, ses lèvres eux finalement la destination tant esquivé depuis le réveille. Ses lèvres contre les siennes, le brun apprécie ce petit moment, il fut naturellement surprise sur le coup que le remercient soit aussi radicale, juste pour un sauvetage qui n'est pas vraiment un au final il y avait aucun danger. Le contacte se rompt finalement très vite, d'une part le brun semblait un peu déçu que cela ce termine aussi vite, rapidement la demoiselle s'enferme dans la salle d'eau pour ce changer. Lle brun ce prépare dans la chambre pour repartir, après tout il n'avait pas le temps de profiter de ce genre de petit plaisir quand sa Bélua souffre d'une maladie.
Le duo ce remet en route pour découvrir les origines de cette histoire lugubre. Les habitants semble toujours aussi fuyant à la simple question des origines de cette maladie mystérieuse, pourtant une vielle femme vagabonde qui semble avoir perdu la tête leur raconte l'histoire de cette endroit. Qu'un homme sans foi ni loi profite d'un dangereux poison et son antidote, elle continue d'hurler des injures dans un mélange de langue étrange. Le duo s'éloigne directement elle hurla une dernière chose.

- Si vous me croyez pas allers voir le quartier chaud de la ville, vous verrez que je dis la vérité !

Malgré qu'elle soit peut-être folle il n'avait pas vraiment d'autre indice vu que tout le monde les esquives comme la maladie elle-même. Une fois sur place rien de bien intéressant, des jeunes femmes tente d’arrêter le duo proposant leur service corporelle, même Meiro avait droit à ses propositions, rien n'interdit deux femme de s'amuser ensemble c'est vrai puis pour eux tant le client payer le sexe ou l'origine les importe peut suppose-t-il. Shawn refuse en passant un peu en force, avec ce genre femme il faut être dur, car leur seule envie c'est vous faire craquer après tout. Mais la bonne surprise fut présente, enfin une piste suspecte à suivre. Le brun avait reconnu l'homme qu'avait examiné Isbel, aucune femme ne semble lui posé problème, un habituer du coin ? Cette histoire louche devient de plus en plus intéressante, il fait signe à Meiro en lui expliquant l'identité du suspecte. Malgré leur filature celui-ci peut remarquer parmi toute les femmes vendent leur corps et deux personnes qui cherche à le suivre, il ce retourne regardant vaguement dans leur direction. Le brun surpris cherche une cachette, mais rien autour pour ce dissimulé. D'un geste maladroit il tourne le dos au suspecte pour couvrir son visage et celui de Meiro, normalement il pourrait s'arrêter la mais ses lèvres avait pris domicile chez Meiro, l'idée de base voulait surement faire croire d'un homme qui prend son bon temps avec une demoiselle offrant ses services. Vu l'angle la comédie à ce point n'était pas obligatoire. Cette fois-ci cela n'avait pas durée une fraction seconde, mais jusqu'a l'homme soit convaincu cette mascarade. Il entra ensuite dans un bâtiment, la porte qui claque le brun décolle doucement ses lèvres de celle de Meiro, cherchant les mots pour s'expliquer cette soudaine action improvisé.

- Meiro je ... c'était pour déjoué sa vigilance tu vois.

Naturellement le bus principale fut d'être une diversion, mais au plus profond de lui son corps ne voulait pas goutter une seconde fois à ses lèvres ? Qui sait, personne ne pourra le savoir. En tout le duo à maintenant n homme suspecte dans un bâtiment qui l'est aussi. Que vont-t-ils découvrir dans un endroit pareil avec un homme aussi respecté pour ses soins contre cette fameuse maladie.

755 mots

HRP : Je te renvoie tes bisous ;)
Ensuite la quête c'est nous qui décidons comment la finir, la l'homme suspecte à toi voir si tu souhaite l'innocenté pour rallongé la quête ou le mettre coupable au yeux tous.

Nous marchions tranquillement dans les rues presque désertes. Shawn avait repris son enquête mais comme la veille, cela semblait ne rien donner. Ce fut lorsque je n'y croyais plus vraiment que le hasard fit bien les chose. Une vieille dame semblait crier à qui veut bien l'entendre qu'il y avait un coupable à cette maladie et qu'il s'amusait à la en tirer profit en réclamant un remède. Un grand sourire étira les lèvres de Shawn qui me tira lui-même un large sourire. 

Le jeune homme se dirigea avec un entrain certain vers un quartier malfamé. Le suivant tant bien que mal, nous nous retrouvâmes rapidement au milieu de ce qui semblait être un rassemblement de prostituées. Elles tentèrent bien vite de nous convaincre d'accéder à leur services, Shawn les repoussant aisément tandis que pour ma part j'avais plutôt du mal. 

- S'il vous plait, non, je ne veux pas, laissez-moi tranquille, s'il vous plait, répétais-je inlassablement. 

L'une d'entre elle se fit particulièrement insistante, me bloquant totalement la route, ne me laissant tranquille que lorsque je lui dit ne pas avoir un centime. Rejoignant Shawn au pas de course, je cherchais à reprendre mon souffle lorsqu'il me montra un homme qu'il m'expliqua avoir déjà croisé. Tandis que nous le suivîmes, il se retourna dans notre direction. C'était-il rendu compte de notre présence? Du fait que nous le suivions? Je n'eut pas le temps de me poser la question plus longtemps qu'un contact doux et chaud sur mes lèvres détourna totalement mes pensées. Ouvrant de grands yeux surpris, je fini bien vite par répondre au baiser de Shawn, une douce chaleur venant chatouiller mon bas ventre, tandis que le baiser ce poursuivait. Lorsqu'il se décolla de moi me laissant presque pantelante, je ne su quoi dire, ni quoi faire, tant j'étais déroutée et mon esprit déconnectée. Une légère explication de sa part me tira bien vite une grimace de déception. Ainsi c'était pour ça... Détournant le regard, gênée d'avoir espéré toute autre chose, je le suivi dans un vieux bâtiment. Il faisait très sombre dedans, ce qui ne nous rassurait guère, ma peur du noir et moi. Venant m'accrocher au pull de Shawn, ne souhaitant pas le perdre, nous visitâmes le bâtiment. Très vite, on pu entendre des éclats de voix. Nous dissimulant au mieux, nous écoutâmes la conversation qu'il se tenait. 

- Oui, tout ce passes selon vos plans, fit un homme. 

- Bien, toi, continu de "contaminer" les voyageurs, fit un autre homme. Continu de leur faire peur, qu'ils croient vraiment à une maladie mortelle. Si quelqu'un comprenait que la maladie n'est pas mortelle et que les symptômes sont dû à une simple réaction allergique à cette petite fleur, alors je te promet que tu regretteras le jour où tu as croisé mon chemin. Est-ce bien compris?

Sursautant légèrement, sous le ton sévère de la voix, je reculais d'un pas, me collant contre Shawn qui se trouvait juste derrière moi.

- Et toi, ma douce, continu d'offrir cet allergène comme s'il s'agissait du remède miracle et enrichie-nous autant que tu le pourras... Souffla-t-il plus chaleureusement. 

Fronçant les sourcils, je récapitulais brièvement la situation. Nous étions à la recherche d'un remède, croyant que son amie était mortellement malade, alors que ce n'était qu'un genre... D'allergie?

- Qu'est-ce que tu fais encore là?! Gueula-t-il soudain. Va faire ta besogne! S'exclama-t-il.

Entendant des bruits de pas s’approcher de nous, je tirais Shawn dans la pénombre, espérant qu'il ferait assez sombre pour que l'escroc ne nous voit pas. Me cachant dans les bras de Shawn effrayée à l'idée que nous soyons découvert, je fermais les yeux, retenant mon souffle. Rapidement, le bruit des pas s'éloignant disparu totalement à mon plus grand soulagement. Tirant le brun jusqu'à l’extérieur du bâtiment je m’arrêtais à l'entrée, reprenant mon souffle. Plongeant mon regard paniqué dans le sien, je lui fit par de mon ressenti.

- Il faut mettre fin à cette mascarade! M'écriais-je. Les gens ne doivent pas vivre dans la peur à cause de quelques arnaqueurs de bas étage... 

Inquiète qu'il puisses refuser, je posais ma main au niveau de mon cœur, cherchant à calmer les battement effréné de ce dernier causés tant par l'adrénaline du à la peur d'il y a quelques instants, que par l'inquiétude présente.

- Tu vas faire quelques chose... N'est-ce pas? Questionnais-je mon regard toujours planté dans le sien. 

(828 mots)

HRP:

Après avoir suivi un homme et avoir profiter de ce petit moment pour embrasser Meiro sans vraiment que cela nécessaire pour faire croire qu'il était juste en train prendre du bon temps avec une femme de ce quartier le duo s'avance vers le bâtiment ou il venait d'entrer, d'ailleurs Shawn remarque le regard de Meiro quand il annonce la raison ce baiser si soudain, on pouvait y voir un léger air déçu. Mais pas le temps de comprendre pourquoi elle avait un tel air après tout l'homme en question est juste à côté, hors de question qu'il puisse s'enfuir. Et la piste fut pleine de révélation, tout cela ne serait qu'une vulgaire mascarade pour faire de l'argent, quand il pense à l'argent qu'il lui avait donner pour qu'il donne à Isbel un traitement contre ce truc aussi stupide. Après leur découverte il fut très vite de bonne augure de quité le bâtiment pour voir la suite. Meiro semble vouloir mettre fin à cette histoire autant que Shawn. Il lui avait répondu avec un grand sourire en caressant sa tête pour la rassuré.

- Oui rassure-toi, on va vite réglé cette histoire.

- Je ne pense pas.

Une voix semble venir de derrière, un homme armée d'une épée, il fit un geste de la main et la seconde suivante le noir complet, au réveil la pièce est plongé dans le noir impossible d'y voir claire, l'avantage c'est qu'il y a aucun lien pour retenir le brun mais malheureusement leur équipement semble avoir logiquement disparu. Shawn papote dans le noir jusqu'a toucher quelque chose de mou, il touche encore et encore pour comprendre la chose. Il demande ensuite à l'oral histoire d'être certain.

- Meiro ?

La lumière s'allume subitement, l'endroit que Shawn touchait était la poitrine de celle-ci, il fut un certain temps au brun pour comprendre son geste et retiré ses mains, il ne sait pas si Meiro avait compris ce qu'il c'était passer et il n'espère pas vraiment car dans le noir il n'avait pas retenu ses gestes pour essayer comprendre ce qu'il touchait.
La pièce était simple quatre mur en béton et une porte blindé avec juste une petite fenetre pour laisser un visage regarder à l'intérieur. L'homme de tout à l'heure avec son sabre était de l'autre côté en parlant des futurs projets pour les nouveaux ''cobaye''.

- Bienvenue dans le laboratoire des cobayes, j'espère que vous souffrance seront courte. Si vous avez besoin d'être calmer notre gardien ce fera un plaisir vous frapper avec son bâton. On est gentil de vous mettre ensemble pour comblé votre ... ''solitude''.

Juste après son discoure il repart avec le sourire comme si de rien n'était, Shawn lui ce tourne vers Meiro cherchant une solution mais dans l'immédiat rien ne lui vient. Que faire ? Malgré tout, le brun repense à cette sensation dans le creux la main, elle semblait pas généreuse à ce point à ce niveau mais elle semble bien cacher son jeu. Il reprit ses esprits pour ne plus trop y penser, il s'assoie dans un coin la pièce regardant le plafond pour essayer d'y trouver une faille, même la porte semble impossible à enfoncé, attendre que quelqu'un ouvre pour faire leur expérience était la seule solution, mais Shawn doute qu'ils soient assez stupide pour laisser la moindre chance de fuite à leur précieux article vivant. C'est très pénible comme sensation de rien pouvoir faire, le brun donnerais beaucoup pour ce détendre jusqu'a qu'une idée brillante ou un miracle ce produise.

621 mots.

HRP : Jte dis en mp sinon jvais faire tâche ici x)