Quand j'avais sentis les secousse ébranler le palais j'avais crains que le volcan se réveil une nouvelle fois, mais heureusement ca n'avait pas été le cas. Enfin heureusement… ce n’était pas par ce qu'il était rester éteint que nous n'avions pas subit de dégât. Les roches tomber pendant les secousses en avaient causée bien assez. Mais rapidement les ordres furent donnée pour que tout soit remis en état le plus rapidement possible. De plus je me promis de trouver rapidement une solution pour mettre ma ville a l’abri des catastrophe naturelle. On en avaient subit bien assez et je savais que ca pourrait se reproduire a tout moment. Hors nous en avions eux bien assez et il étant que ca cesse et qu'elle ne soit plus a la merci de mère nature.
Mais ce que j'avais appris m'avais ravie au plus haut point, un nouveau continent était apparu, qu’était ce de chercher a possédée une terre quand tout un continent pouvait être a nous ? Il fallait absolument mettre les mains dessus le plus rapidement possible et surtout avant que tout autre personne puisse avoir un œil sur lui. Tout c’était alors rapidement mis en place pendant que je réglais les affaire chiante du palais et avec les quelques dégât qu'il y avait eu, autant dire que c’était infernale. Tout le monde voulait que l'on s'occupent de leur affaire en premier, estimant que c’était plus urgent que pour les autre. Je fini par prendre la pile de parchemin. - Occupe toi de tout ca, je vais faire un tour. J'avais tout déposer dans les mains d'adonis et parti alors faire un tour.
Je m’étais alors diriger vers notre embarcation. A ce que je voyais les choses avaient déjà bien avancer et surtout pas mal de monde était présent. J'avais reconnu deux têtes parmi la foule. Dont une qui me surpris quelque peut. Il ne m'avait jamais donner l'impression de chercher ce genre de conquête là. Enfin, il avait sans doute une idée derrière la tête. Je restais alors a l’écoute de ce que disais Phélessia. Je devais admette qu'elle savait utiliser les mots qui allait forcer a la tâche même les démons adepte de paresse. De plus, les chances que des personnes veulent en faire qu'à leur tête était minime avec la promesse qu'elle leur avait faite. Quand elle parla du faite que nous aurions sans doute a croisée d'autre conquérant en route, j'allais presque a trouver dommage que notre priorités n'était pas de les sabotés, je me serais plus amusée en agissant de la sorte.
Je montais alors sur le bateau et allait m’asseoir sur le rambarde de celui ci pendant l'embarquement. Je regardais alors au loin, essayant de voir si je voyais un autre navire ou encore si quelque chose comptais émergée de l'eau. J'entendis alors la démone s'approcher de moi. Je la salua alors d'une signe de tête sans avoir détournée mon regard du large, elle me parla alors des anges, me demandant si j'avais eu des idées sur comment profité de la situation. Oui j'en avais eu, mais je devais encore me remettre du derniers combat que j'avais mener, cet pierre m'avait complètement vidée et a ce que j'avais entendus, ca n'avait même pas eu le résulta que j'avais espérée. Mais bon, ca revenait presque au même finalement.

-Qu'ils passent leur temps a étudier ces étrange stèle si ca leur chante, ca nous donne d'avantage l'occasion de les attaques. Comme tu la si bien dit, il ne font que perte du temps, on ne trouvent pas la puissance dans le passée, mais dans l'action et le combat. J’espère jusque que leur îlot sera encore debout quand nous voleront pour leur dernier voyage. Je n'aimerais pas que ces événements n- ous privent de ce plaisir. Mais malheureusement notre priorités est ce continent, enfin malheureusement, disons que j'éprouve une certaine impatience d'exterminer cette vermine.

Oui, la mort allait les rappeler et les gardes cette fois ci, il n’était plus question de réincarnation, la mort ou la déchéance serait les deux seul choix que je leur laisserait.
Mais un bateau fit son apparition, trop loin pour une quelconque attaque, elle préféra que nous continuions notre route. En même temps il n’était pas une menace immédiate. Mais je gardais un œil sur l'avancement de ce bateau. Je ne voulais pas que l'on ce fassent prendre de vitesse par quelconque autre race. Je me préparais seulement a réagir au moindre soucis et Kiata avait parfaitement comprit que je comptais sur elle pour agir le plus rapidement possible en cas d'approche. S'il venait a être une trop grande menace, ce navire finirait en cendre avant même de s’être approcher de nous. J'aurais bien été plus tôt, après tout sans voile on est pas vraiment rapide. Mais je faisais confiance au jugement de Phélessia quand elle nous dit qu'il valait mieux continuer notre route. De toute manier, je me doutais que tout le monde était prés au cas ou.

Résumée:

Résumé:

« C'est de nouveau le b*rdel » Le monde était faible, basculait aisément. De part et d'autre d'une balance dorée ( coupée de l'indiscrétion des plus curieux, comme des moins sensibles ) se jouaient les penchants des malins et des vertueux : des confrontations décisives en les Terres du Yin et du Yang. À ses embouts, ces deux extrêmes ( idéaux de paix et chaos ) semblaient se déchirer. Mutuellement, mais pas uniquement, car une force extérieure fait constamment pression. L’humanité paraissait se tenir au bord d'un gouffre, toujours prête à plonger. Elle longeait une côte des plus dangereuses, des falaises dangereusement perchées sur un vide béant. Elle n'était ainsi jamais à l'abri d'une baignade dans la mer du néant environnante, ni dans le danger qui y sommeillait. Ne les y attendait que destruction, et le bout du chemin se teignait de sombres nuances. Les vagues ( influences étrangères de ceux qui voient vivre, sans s'y essayer ) étaient anormales, pesantes. Elles s’écrasaient contre la façade rocheuse, en érodaient la surface, se faisant insistantes avec le temps. Elles affaiblissaient la résolution de la cible, à se voir heurtée constamment des mêmes tracas. Elles éreintaient ses choix définitifs, pour y insuffler des doutes, et finalement la dompter. Jusqu’à voir leur ténacité réussir, toucher sa cible. Une nouvelle vague approchait donc, et sa force destructive chamboulait tout aux alentours. Cette fois, les torts ne reposaient pas entièrement sur les épaules d'une humanité fautive, d'une déchéance morale ou idéologique qu'il faudrait ( par le désastre ) de nouveau réprimer. Le tout pour priser un nouvel équilibre, tenter de le faire primer. Non. Pourtant, l’effondrement était inévitable. L'on a connu bien trop d'horreurs pour taire à outrance ce genre d'événements, d'éventualités non permises. Une réaction quelconque était donc exigée, voulue.

Le démon ne restait pas insensible aux pleurs de la terre. Sans forcément se soucier de l’ordre du monde, ou des conflits qui en en son sein pourraient éclater, aucun de ces frémissements ou séismes ne lui étaient anodins. Il ne prétendait pas en connaître l’origine, mais ça ne présageait rien de bon. Pure évidence. Il croyait entendre à nouveau les cris d’horreur que tant avaient poussé lors du dernier 'déluge de destruction' à avoir mit sens dessus dessous plus d’une dizaine de nations, mené d'autres à leur perte, presque réussi à en exterminer une ou deux. Le souvenir était encore trop vif, trop palpable. L’on voyait se réitérer l’horreur de la fin du monde. La terre tremblait, secouée par une force dépassant la mortalité. Mais cette lucidité pessimiste n’en faisait pas un être exemplaire. Kai était loin de tout ça, ainsi que la plupart des démons ici rassemblés. Ils voyaient dans la destruction une sorte d'opportunité, le chaos qui ensevelissait le monde n'étant pour eux qu'une sorte de tremplin. Peut-être loin d'imaginer jusqu'où ils se verraient portés, ou en ayant pertinemment conscience de ces données, ils s'étaient mobilisés. On les avait appelé, échauffé avec de forts discours. Les instructions étaient claires, et l'appât du gain triomphant. Parler de gloire et trésors à un démon ne pouvait trouver qu'un aboutissement. En cela, ils se ressemblaient tous. Et Kai se soustrayait, effectivement, à cette réciproque allégresse de se trouver parmi ses compères. Tout en trouvant cela étrangement.. plaisant et familier.

« Hyahhhh ! » Les cris de gloire avaient éclaté parmi la foule, et des paroles grasses de convoitises emplissaient désormais les airs. La plupart cherchaient à se rallier à leurs semblables, cherchaient confort et puissance dans l'admiration des plus faibles qui chantaient leurs louanges. Ils se satisfaisaient par le biais, et le démon ne pouvait les trouver que pitoyables dans leur entreprise. Mais hélas, il y en avait certains que Kai ne pouvait dénigrer, sachant passer outre ce sentiment d'un trop plein d'orgueil, de fierté, pour affronter en face une indéniable réalité. Deux grands emblèmes de leur nation s'étaient retrouvées, alliées, et la vision si proche était à couper le souffle ( aux yeux de la plupart ). Elles étaient puissantes, fourbes, sanguinaires, tout en embrassant du bout des doigts une fragile beauté. Dangereuses, elles l'étaient. À quelque mètres de ces dernières, il craignait déjà de se bruler. C'était la sorte « d'admiration » qu'il leur portait, dénuée cependant d'un respect excessif qui l'empêcherait de les défier. Et les paroles de la diablesse aux cornes écarlates savaient tenter. Tout ce qu'il y avait de plus vicieux en eux à vrai dire. L'appel à l'obéissance devenait instinctivement celui qui supposait l'inverse. Comme si par ces simples mots, on devenait curieux d'une autre alternative que celle imposée. La mort était assurée, mais trouveraient-ils quelque chose au-delà ? Va savoir, mais aucun n'était pas insensé pour réellement s'y prêter.

« 'Faire ployer à nos pieds les infâmes et indigènes' » Ça sonnait étrangement bien à sa fine oreille. * Les promesses s'enchaînent, s'accumulent. Comme la terre promise qui pour ces emplumés s'avérerait ultime, absolue, dans sa pureté. Pour nous, il s'avère du comble suprême, des richesses à exploiter, et notre domination à crier haut et fort. Nous ne sommes guère les seuls à nous y intéresser ahaha.. mais qu'est-ce qu'une bataille sans adversaire contre qui la mener.. * Si son corps restait penché, adossé contre une poutre en bois qui soutenait les mats du navire, ses yeux se portaient beaucoup plus loin, et admiraient ( à l'image de ses deux supérieures ) ceux dont les ombres se dessinaient au loin. Les voir couler serait du plus bel effet… Mais d'autres que lui s'avéraient porter un plus grand intérêt à l'appel de la gente féminine, au point d'en devenir écoeurant. Ses yeux étaient porteurs d'une lubie, d'une éloquence qu'il voulait feindre. Il parlait bien, fort, d'une voix claire. Dégoûtant. « Faux-c*l.. Beau parleur.. Y'en a vraiment qui n'ont rien d'autre à faire.. » chuchota-t-il, d'un ton réprobateur. Insupporté par le cour des événements, il se tenait tranquille, certes impatient, mais pour l'instant néanmoins maître de ses actions.

990 mots

Spoiler:

Andariel était assise au bord des quais. L'eau reflétait sa chevelure flamboyante et le rayonnement du bout de papier brûlant entre ses doigts. C'était la missive qu'elle avait reçu quelques jours auparavant, provenant de Gilgamesh, son grand frère. Il lui demandait de représenter les Alastor dans l'expédition qui se préparait pour le nouveau continent. Il était trop occupé à profiter de la confusion ambiante, pour s'expatrier loin de ces terres. Il préférait envoyer sa petite sœur tête brûlé et incontrôlable à la place. Il lui promis de l'argent pour continuer sa vie d'errance, et qu'il ne dévoilerait pas sa position à son poursuivant. Chose qu'il ferait évidement si elle refusait.

« Cet enfoiré sait vraiment comment avoir ce qu'il veut … Je lui ferais regretter ça un jour. Mais bon, c'est pas si mal, traverser l'océan pour atteindre un territoire inexploré et dangereux. Rien de plus divertissant et occuper mes journées. »

Elle n'était pas venu seul. Son petit groupe la suivait comme toujours. Bien que ça ferait un peu tache d'amener ses serviteurs sur le champs de bataille, elle ne voulait pas s'en passer. La foule rassemblée était essentiellement constituée de démons. Andariel n'avait pas eu beaucoup l'occasion de côtoyer ses congénère en dehors des membres de sa famille. Enfermé dans la prison et château qu'était son manoir, elle n'avait pu en sortir que récemment et avait fui les enfers aussi vite que possible. Elle était donc un peu curieuse de ce que ce voyage allait donner. La foule s'agita, une femme qui imposait le respect était apparu à la vue de tous, et commença son discours. Andariel et ses compagnons se rapprochèrent donc, c'était le signal de l'embarquement imminent. Son charisme était impressionnant, Andariel fut captivé par ses paroles, et la foule autour tout autant. Elle se surpris à crier sa soif de combat avec les autres. La promesse d'une oblitération si on désobéissait aux ordres, lui donna cependant l'envie de s'y essayer. La nature joueuse de la démone y voyant plus un défi qu'autre chose.

Ils montèrent tous abords, impatient de vogué et de rencontrer ces fameux obstacles qu'elle leur avait promis. Andariel ne se souciait pas vraiment des autres passagers, s'attardant seulement sur ceux ayant une allure différente et difforme. Elmyr, elle, les observait attentivement, les analysant. Elle connaissait la réputation des démons, et voulait être la plus prudente possible pour parer à toute attaque. Elle remarqua quelques regards étonnés, et d'autre moqueur envers sa maîtresse. Sûrement à cause de ses apparats, elle même avait été très surprise en voyant une démone se pavaner avec des vêtements d'orine. Elle espérait que de simples remarques sur sa tenue, ne mettent pas à mal sa retenue si fragile. Andariel s'accouda sur un bord du bateau, se perdant dans le ciel. Elle espérait secrètement qu'une tempête pimente un peu leur voyage. Elle adorait voir le ciel entrer dans une colère noire et se déchaîné sur les flots. Elmyr vint se tenir à ses cotés, elle face aux passagers, toujours prudente. Aldor, lui, tentait de canaliser la jeune adolescente un peu empotée et incroyablement enjouée de voguer sur son élément. Andariel se perdit dans les yeux mauves de son amante. La magie alfar avait réussi à éveillé en elle des désirs inespérés. Et elle y succombait à chaque fois qu'elle posait les yeux sur Elmyr. Andariel s'approcha de celle qui encombrait ses pensées, et plaça une main sur ses hanches délicieuse. Elle vint alors baisé avidement son cou, humant à plein poumon le parfum envoûtant de l'alfar. Reprenant une dose de sa drogue, qui la plongeait dans une euphorie à ses côtés. Andariel fut cependant déçu, la fragrance de cette douceur était détérioré par le vent marin. Elmyr appréciait ce genre d'attention, s'amusant du caractère lunatique de sa compagne. Elle comprit toutefois que ce n'était pas le moment pour Andariel de s'adonner à ce genre de plaisir. Elles avaient déjà un peu trop attiré l'attention à son goût.

«  Alors impatiente de vivre cette nouvelle aventure ? »

«  Pas impatiente. Plutôt curieuse. J'espère que ce voyage m'apprendras des choses intéressantes. Quoi que je suis tout de même impatiente de contempler ces contrées, j'espère voir des merveilles digne de Drosera. »

«  Moi j'ai surtout hâte de me mesurer à ces fameux indigènes ... »

L'écho d'un bateau a proximité mis le bateau en émois. L'ardeur qu'avait instauré la femme aux cornes sanglantes n'étaient pas encore redescendus. Pourtant cette même femme leur priva de ce plaisir, préférant continuer leur traversée que d'engager le combat. L'envie d'en découdre était palpable, Elmyr se demanda si l'attente n'allait pas échauffer les esprits et rendre la situation explosive. Il pouvait suffire d'un malentendu, d'une petite altercation pour que le chaos s'empare du bateau...

«  Oh pardon, je voulais pas vous bousculer, j'ai pas fait exprès » implora Pyrha.

Elle venait de bousculer une personne en trébuchant, gourde comme à l'accoutumée. Andariel se rapprocha de la scène, prêt à défendre son bien si ça en venait au main.

Mot : 833

Résumé:

Résumé:

Resume:

Apparence de Samael:

Resume:

Explications:

-Qu'ils continuent a s'auto détruire de la sorte. Même si quelque part je trouve cela dommage, ils nous rendront la tâche plus facile. On pourraient laisser faire le temps, mais ce ne serais pas amusant. Et surtout je voulais être celle qui serais responsable de leur chute. Et puis, on ne savaient pas vraiment combien de temps cela prendrais et comme je n’étais pas vraiment d'une nature bien patiente, autant agir par moi même. Et surtout, j'étais comptent d'avoir des personnes comme elle parmi les miens, elle partageait le même point de vue à premier vue.

Yami, un démon qui m'avait prévenu qu'une idiote circulait et massacrait les êtres maléfique viens me parler, mais pour le coup je n’eus pas vraiment le temps de lui répondre que Phélessia l'avait rapidement mis à sa place. Je ne me mêlais pas de ce qu'il ce passait après tout s'il voulait montrée ce qu'il valait vraiment c'était a lui de faire le nécessaire. Même si un phrase attirât mon attention. Ainsi donc il avait un soucis pour toucher la chair ? Étrange.
Mais le temps n'étais pas a ce genre d’interrogation bien aux contraire, il y avait cette flotte qui nous offrais de quoi nous défouler un peu avant que nous voyons le nouveau continent. J'avais beau ne pas me plaindre d'un voyage en mer, avoir de quoi m'amuser un peu n'était pas de refus. Du coup j'attendis pendant un certain temps, je voulais savoir ce qu'il allait ce passée, ce qu'ils allaient faire eux et surtout les démons. Je voulais en profiter pour voir ce qu'ils étaient capable, ce serais important pour la suite des événements. Cependant, alors que j'allais me préparée à partir Yami reviens accompagnée d'un cadavre. Je l'avais alors regarder surpris et pendant que j'entendis ce qu'il me disait mes poings se serrèrent. Des traites il y en avait partout, j'en croisais certainement tout les jours et honnêtement ca me faisait rire. Mais pour le coup j'aurais aimée qu'il n'en aille pas sur ce fichu rafiot. '' Je voie continue de la sorte.'' pendant qu'il allait s'occuper d'un bateau je pris deux démons à part et leur demandais s'ils m'étaient fidèle, grâce a ma possibilité de savoir qui me mentais, je pourrais au moins être certaine de le véracités de leur réponse. '' vous restez sur le bateau, vous faite des rondes et vous me prévenez au moindre signe suspect. Il n'était peut être pas seul.  En tout cas, j'avais du mal à croire qu'un imbécile pouvait vouloir agir seul, mais après tout pourquoi pas finalement ? Mais pour le moment j'avais autre chose à faire. Une fois que nous pourrons accostée, j'avais bien l'intention de laisser personne descendre du pont, j'allais d’ailleurs prévenir Phélessia de mon intention, à ne pas doute qu'elle aimerait faire subir les pires tourment a ceux qui voulait nous faire tomber de l’intérieur.

Une fois cela je déployais alors mes ailes et me dirigeais vers un des bateaux. J’atterrissais dans un premier temps sur un mât, je me laissais alors descendre dague a la main, celle ci déchira alors la voile par la quelle j'étais en train de passée. Même si déjà avec le chaque je n'étais pas certaine qu'il pourrait encore vraiment naviguer, mais soit. Par compte avec le faite qu'il était collé au notre, je ne pouvais actuellement pas lui mettre le feu, ca aurait pourtant été tellement plus simple. Dans un premier temps, je me débarrassais de tout les sorciers que je croisais le plus rapidement possible. Certain essayèrent bien de lutter, mais c'était en vain. Il était vrai qu'ils n'étaient pas vraiment reconnu pour lui force physique.

Cependant ca ne durait pas vraiment, alors que j'étais en train de mettre fin au jour d'une sorciers pourtant farouche, un homme réussi a bloquer mon arme. Il avait un sourire mauvais sur le visage et ce dernier. Je l'avais sentis quand il avait parer, il avait sans doute plus de force que la plupart de ses compagnons. Au moins j'allais avoir quelqu'un de valeur, enfin c'est ce que je pouvais espérer. '' Je voie que tous n'ont pas décider de se laisser allée niveau entraînement physique. '' Oh il n'y a pas que ca que je n'ai pas négliger.  '' Aussi tôt je sentis des ombres essayer de m''envelopper et je dis sautée rapidement pour les esquiver. Je voulu alors le frapper dans le dos en me rendant invisible, mais sans que je sache vraiment pourquoi il réussi a me repérer. J'avais alors eu droit a une entaille. Il avait en effet pointer son épée que j'avais esquiver, mais il retenait aussi mon arme de son autre mains. Je voyais le sang coulé, mais visiblement il n'en avait que faire. Cependant c'était mal me connaître le sang qui coulait alors de sa propre mains commença alors à se durcirent et crée de sort de lien qui avait pour but qu'il ne lâche jamais mon arme, mais comprenant vite le truc il l'enleva avant que je ne puisse allée jusqu'au bout. Finalement le combat qui suivis me donna droit a quelque coupure et tout les sorciers n'étais pas que des larves finalement. Quelque part j'étais contente d’être tombée sur un sorcier qui savait me tenir tête. Mais il se trompais lourdement s'ils pensaient pouvoir avoir de dessus sur moi. Il fonça alors vers moi pendant un bref moment d’inattention de ma part et réussi à me percer au niveau du bras, cependant j'avais lever l'autre au niveau de ses yeux et avait crée alors un léger feu sombre qui l'aveugla, ce n'était que temporaire, mais largement assez pour que mon épée le poignarde a son tour,. Le jetant au fond des flots, je me tournais alors vers un groupe de sorciers qui se préparait a attaquer. Je jetais alors une dose de poussière de discorde à leur pieds, fermais le plus gros de mes blessures et retournais sur mon navire pour admirer le travail.

Spoiler:

Résumé:

L'entente était cordiale, ne coulait jamais de source. C'était un effort commun, et pleinement intéressé que chacun mettait en l'oeuvre lorsqu'il le fallait. Un rassemblement tel ne pouvait se produire sans encombrements, ou quelques petits accros. Réunis en ces lieux, les pires vices existants, tout un chacun en était la représentation vivante, une personnification de chair et d'os qui s'accompagnait de violence et d'une force brute, brutale. Tout les opposait, et ils étaient voués à se comprendre, s'attirer, autant qu'ils se haïssaient, se repoussaient. Par nature. Et par cette dernière, ils jouissaient également d'un penchant inné pour la malveillance, une rudesse inclémente et sauvage que tous était certaine d'habiter. Ils étaient les patrons du crime, ceux qu'on devait craindre, et ne jamais oser, ou tenter dans une machiavélique entreprise. Il advenait d'eux que malhonnêteté, un certain sadisme et animosité étaient des mœurs de base, et que rien ne les en écartait. Cela leur était propre, et il n'y avait pas de quoi fuir ses propres gènes.. Kai en savait quelque chose.

Ses propos ne l'avaient pas heurté, car finalement c'était bien sa rage qui parlait. Par simple orgueil et fierté en sa personne, il était sûr de revenir sur ses paroles, de les lui rendre dans un sens, car l'homme avait pour principe de toujours rendre les coups qu'on lui donne. Et peu importe leur consistance. Hélas, l'autre n'était pas hautain, et ainsi ses mots étaient plus de l'ordre d'un sérieux qu'on cache par la plaisanterie, plutôt que réellement une attaque à la critique. L'autre avait beau dire ce qu'il voulait, son opinion ne comptait que pour du beurre. « Tu penses pas que 'cerveau' et 'muscles' doivent faire preuve de complémentarité, plutôt que disparité, l'ami ? Ça diffère un peu quant au mode d'emploi » Ses paroles étaient aigres, mais en ce sens, guère provocatrices. Il ne cherchait pas à attiser le courroux de l'homme, mais plutôt à toucher une corde qui prônerait la compréhension mutuelle, ou simplement une trêve de  quelques minutes. Il n'aimait pas les faibles, les inconscients, les toutous des plus grands, autant qu'il s'arrachait à ceux au coeur grand, et plein d'un bonheur illusoire. Il avait une devise, propre, et qu'il s'appropriait bien. Le mal pour le mal n'appartenait à ceux pour qui il s'avérait abstrait. À leurs yeux, il n'en était rien, car tout démon s'en voyait imprégné. Le mal est ce qui les constitue, et de ce fait ils n'en ont pas conscience. Certains savent en faire usage à bon escient, d'autres profitent simplement de ses bien faits. Aussi louable cette attitude qu'une autre, ils éraflaient de près l'intelligence, contrairement à la seule bestialité demeurée dont on les croyait capables. Il avait mieux à s'entendre avec un démon faible, plutôt qu'un tortionnaire puissant mais complètement aveuglé, sachant pertinemment à qui il faisait allusion. « Bof, je sais bien que c'est pas le cas pour tout le monde ; C'est bien là le soucis. Et un groupe formé à l'improviste comme ça, faut pas en attendre grand-chose » s'exclama-t-il, d'un air d'impuissance. Sa main sur son épaule s'avérait peut-être porteuse d'une trop grosse proximité, et il était prêt à se la voir emportée à tout moment par les flots d'un rejet. Or, il s'en souciait peu. Cela ne saurait l'atteindre. Aucun autre que lui n'en était capable de ce fait.

L'hymne de guerre retentit à cet instant précis. La voie portante de la guerrière agissait parfaitement sur les nerfs d'ores et déjà chauffés de l'équipage, piquant à vif leur entrain jusqu'à des horizons plus sombres, et mesquins. Tous alimentaient une faim de chair, ou une soif prononcée de ces gouttelettes de sang qu'ils sentiraient perler sur leurs lames, griffes ou leurs crocs acérés. L'abordage fut soudain, mais efficace néanmoins. Prenant légèrement son envol pour fendre la nuque à l'un, et esquiver l'attaque de l'autre, il s'infiltra parmi les avides, sans pour autant désirer forcément le carnage le plus sanglant. On aurait pu le dire lâche ou immoral, car souvent ses cibles il prenait au dépourvu, tâchait plutôt de charger par l'arrière qu'au terme d'une confrontation guère féconde dont rien ne résulterait. Mais ses opposants n'étaient pas naïfs, autant que Kai ne détenait pas de réelle puissance. Face à deux sorciers, il ne faisait pas le poids sans en pâtir, sentir les répercutions. Le premier lui fit goûter l'amertume de son poison, tandis que le deuxième l'accablait en permanence d'attaques visant ses organes ou des points à une conséquente consistance sanguine, dont l'hémorragie se montrerait tout aussi fatale qu'un coup franc que la victime aurait encaissé. Ils étaient malins, et rapides. Trois étaient tombés dans sa joute, mais s'il continuait à être aussi imprudent, il serait bien le suivant, il n'y avait pas de doute.. Le flanc gauche déchiré par la lame, sort qu'il tourna contre le sorcier, il aperçut au loin une flèche dont le point de mire était, fort probablement, entre les larges épaules de l'homme rencontré plus tôt.

Se hâtant dans la maigre distance qui les séparait, taillant en deux le projectile, il vint se coller à sa grande carrure. « Où en étions-nous.. Ah, oui, comme quoi, il est indispensable de savoir imposer sa loi, la revendiquer. Guider son peuple est un dû, les soumettre si besoin un aspect nécessaire. Pour ce que j'en sais, de notre 'souveraine', elle n'a rien d'autre que l'ampleur de sa force. Ses capacités restent.. » Déjouant une nouvelle attaque du bout de sa lame, il s'avança légèrement, essayant de ménager la plaie.   « ..assurées, mais j'suis d'accord qu'elle brille aussi par son absence. Tu voudrais peut-être que je parles plus en termes d'incompétence ou manque d'activité ? Ça reviens au même j'me dis. Incapable de se tourner vers ses troupes pour renouveler leur zèle, et faire monter la pression. Même Phélessia sait mieux remplir son rôle, et ses fonctions » Et ce n'était pas pour la dédaigner, ou pour l'ôter de son trône de fer et flammes. Gaïa manquait de l'appui de ses sujets. Simplement. Tristement pour l'autorité suprême dont elle était à la fois le blason, la couronne comme l'épée. Mais, était-elle simplement pourvue des qualités pour palier à ce déficit et cette dissidence d'opinion ? « Bon bin moi les cales ça me tente bien. Tu préfères l'air frais, gros mastodonte ? »

~ 1 050 mots

Spoiler:

Le démon se retourna pour voir qui était l'impudente qui l'avait bousculé. C'était une jeune femme à l'aspect aussi menaçant qu'un petit chiot, qui s'excusait platement. C'était claire comme de l'eau de roche qu'elle n'était pas démone. Il la prit alors à la gorge d'une main, et la souleva pour la mettre à hauteur d’œil.

«  Tu devrait faire plus attention, vermine. Je pourrais écraser un insecte comme toi par inadvertance. Une femmelette comme toi n'as rien à faire ici. Peut être devrais je juste disposer de toi... »

«  Non s'il vous plaît ! Je m’excuse, ayé pitié, je vous en supplie ! » Pleurnicha Pyrha.

Andariel qui s'était rapproché, sortit ses griffes et attrapa le bras qui la soulevait. Elle utilisa toute sa force et fit lâcher prise le démon impertinent qui étouffa un râle de douleur. Une fois Pyrha revenue au sol, Andariel planta son regard draconique dans celui de son opposant.

«  Comment ose tu touché ce qui m'appartient. Tu va salement regretter ton geste. Justement je voulais un petit échauffement avant les vrais combats. »

«  Espèce de s*l*pe, tu te prend pour qui. C'est toi qui va cracher pour mon bras. Sois en sure que tu vivra pas assez longtemps pour assister à notre victoire. »

Les deux étaient prêts à en découdre, entouré de spectateur très enjoué par les événements. La vigie vint mettre un terme à l'altercation en annonçant l'approche de la flotte ennemie. Le bateau percuta un navire secouant ses passagers, et sonna le début des hostilités.

« Prendre garde à tes fesses, pouffiasse, on ne sait pas ce qui peut arriver sur le champs de bataille. »

Et l'homme partit au combat, s'élançant avec ses grandes ailes d’ébènes. Andariel regarda Aldor et Pyrha, et en déduit qu'il ne vivrait même pas une minute à ses côtés.

«  Vous deux, rester ici et aller vous cacher dans un coin en attendant mon retour. Elmyr tu viens avec moi, un petit combat ne te fera pas de mal. »

« Je ne raterais ça pour rien au monde. »

Après avoir elle-même déployer ses ailes, elle attrapa Elmyr par les hanches pour ensuite s'envoler vers le navire percuté. A peine arrivée les festivité comme ça, Elmyr et Andariel s’élancèrent vers leur premier opposant. La démone fit valser son arme imposante qui mettait à mal la garde de son adversaire. Il n'avait pas la prétention de l'égaler en terme de force mais sa technique le sauvait à chaque fois. Il réussi même à entailler légèrement Andariel à deux reprise. Prouesse qui l'énerva quelque peu, sans pour autant la plonger dans cette frénésie qu'elle appréciait tant. Elle se défit rapidement de son adversaire qui n'était pas de son niveau, qui n'avait servit que d'échauffement. Elle tua un autre sorcier qui était au prise avec un autre démon. Elle jeta un coup d’œil à Elmyr pour voir comment elle s'en sortait. Elle était déjà exténuée, et avait quelque blessure. Son adversaire en avait plus mais tellement fine qu'elles devaient autant le gêner qu'une piqûre de moustique. Il était encore trop tôt pour intervenir, elle la laissa encore combattre, espérant que ça serait une bonne expérience pour elle. Elle continua son avancer sur le pont ennemie et tomba sur un gayard fort bien bati qui venait de couper en deux un démons d'une hache tout aussi imposante. Une sourire enjoué illumina le visage d'Andariel, enfin un peu de challenge se dit-elle. La joute débuta sur les chapeaux de roue, les deux guerriers se frappant l'un l'autre avec un rage bestiale. Andariel perdait du terrain, sa force était inférieur à celle de son adversaire, chose plutôt inhabituelle pour elle. Elle réussissait à parer tant bien que mal, le valant deux nouvelles entailles assez profonde. La douleur réveilla la colère en elle. C'est le cri de douleur d'Elmyr qui la plongea pour de bon dans une rage folle. L'alfar venait de se faire planter à l'épaule. La blessure n'était pas mortel, cependant Elmyr était déjà à bout de force. Au final elle n'avait pas pu défaire un seul adversaire. Andariel usa ses jambes de reptile pour se projeter avec une grande force sur son adversaire. Le prenant par surprise, elle chopa la tête du sorcier dans son élan et l'éclata sur le rebord en bois. Ce n'était pas suffisant pour ce qu'il avait fait. Andariel lui assena un violent coup de pied pour enfoncer sa tête encore plus dans le bois, le tentant de rouge. Elle recommença et recommença, jusqu'à ce qu'Elmyr cria :

«  Derrière toi ! »

Trop tard, la hache puissante lacérera le dos d'Andariel, lui laissant un entaille imposante. La douleur s'estompa rapidement, le voile de la colère avait déjà vidé son esprit de toute ces informations inutile. Il n'y avait plus que son envie de meurtre et son instinct bestiale. Les flammes abyssale dansèrent autour d'elle, son apparence véritable et menaçante apparut. Elle se retourna promptement, son chakram fendant le vent avec l'espoir de tuer cette impudent personnage. Raté, il esquiva facilement, avec un sourire supérieur. Pour couronner le tout un autre sorcier venait dans leur direction, mettant Andariel dans une situation difficile, elle devait en plus protéger Elmyr dorénavant. La seul réponse qu'elle connaissait dans ce genre de situation était la puissance des flammes.

«  Brûlez ! »

Et par son commandement une vague de flammes fut envoyer vers ses deux opposants. Le plus massif eu le réflexe de protéger son visage, le deuxième non. Il hurla de douleur se roulant sur pont en espérant étouffer les flammes. Le sorcier à la hache s’en sortit avec quelque brûlures sur les avant bras, rien de bien grave. Andariel ne s’arrêta pas la et projeta ses flammes n'importe comment, laissant uniquement parler sa rage. Elle mit le feu à une partie du bâtiment, touchant des sorciers comme des démons, elle ne s'en souciait guère. Pour elle, seul la destruction de l'être qui était en face d'elle comptait.

Mot:993

Résumé: