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 Mystérieuse rencontre [Lumi]

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Ven 07 Nov 2014, 05:14


Mystérieuse rencontre
(Alfred de Musset) ▽ Ainsi, mon cher ami, vous allez donc partir ! Adieu ; laissez les sots blâmer votre folie. Quel que soit le chemin, quel que soit l’avenir, le seul guide en ce monde est la main d’une amie. Vous me laissez pourtant bien seul, moi qui m’ennuie. Mais qu’importe ? L’espoir de vous voir revenir me donnera, malgré les dégoûts de la vie, ce courage d’enfant qui consiste à vieillir. Quelquefois seulement, près de votre maîtresse, souvenez-vous d’un cœur qui prouva sa noblesse, mieux que l’épervier d’or dont mon casque est armé ; qui vous a tout de suite et librement aimé dans la force et la fleur de la belle jeunesse, et qui dort maintenant à tout jamais fermé.
Durant de longues après-midi, j'avais pris l'habitude de traîner dans le parc avec Mamoru. Restant assise pendant des heures à regarder toute sorte de personne passé devant moi. J'aimais cette endroit, il pouvait être calme comme agité, sombre comme éclatant, civilisé comme sauvage. Je ne m'ennuyais jamais ici et puis le paysage y étais plus que sublime et l'odeur absolument divine, c'était une odeur mêlant la fleur et l'herbe fraîche.

J'étais là, assise en tailleur dans l'herbe fraîche matinal vêtu d'une longue robe brodée blanche quand à Mamoru lui avait poser sa tête imposante sur l'une de mes cuisses. Ma main caressa machinalement l'animal a moitié endormi, je cru même l'entendre ronfler un instant, ce qui me fis rire. Le parc étais étrangement calme aujourd'hui, tellement calme qu'on pouvait entendre le gazouillis des oiseaux dans les cerisiers. Une envie m'envahis tout d'un coup, pourquoi seul les oiseaux aurait le droit de chanter, moi aussi je veux chanter et les accompagner dans leurs chants mélodieux. Je ferma les yeux un instant pour les écouter attentivement et pris une grande bouffée d'air avant de commencer à chanter en Valærian . Le Valærian étais l'un des plus beau langage de la mer, si plaisant, doux et envoûtant.

Oh, misty eye of the mountain below

Keep careful watch of my brothers' souls

And should the sky be filled with fire and smoke

Keep watching over Durin's sons

If this is to end in fire

Then we should all burn together

Watch the flames climb high into the night


Pendant mon chant je ne pu m'empêchais de me levée pour danser, tournoyant encore et encore. Me libérant de tout, oubliant pendant quelques instant qui j'étais. Ce sentiment de liberté total, comme si plus rien ne pouvais me retenir, c'était presque comme si je volais. Cette sensation étais la plus agréable que j'avais vécu jusqu'à maintenant, certain pourrait me trouver simplette et qu'un rien me vas, mais la liberté et la chose la plus important qu'il y est sur ses terres. Tout le mondes à des problèmes à oublier.

Calling out father oh

Stand by and we will

Watch the flames burn you burn on

The mountain side

And if we should die tonight

Then we should all die together

Raise a glass of wine for the last time...


Mamoru ce leva pour venir à mes pieds reniflant l'air comme s'il avait senti l'odeur d'une autre personne. Mes yeux ce rouvris doucement, je fus éblouis par la lumière du soleil. Lorsque je plaça la main devant les yeux, je vis au loin une belle jeune fille au cheveux blanc, d'une beauté presque effrayante. Nous étions les seules ici, personne d'autre que nous deux n'était venue ce matin. Je n'eus pas le temps de caresser le sauvage, qu'il courut dans tout les sens, crachant, donnant des coups de pattes. Ce n'était pas totalement contre la demoiselle, il ne connaissait simplement pas cette odeur, s'il avait pu la voir il en aurait eu sûrement moins peur. « N'est crainte. » lui dis-je en m'avançant vers lui pour le caresser doucement. L'animal aveugle ce laissa faire gentiment.

(c) AMIANTE



HRP:
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Ven 07 Nov 2014, 20:42

J’étais arrivé sur le continent du matin calme depuis quelques semaines déjà et pourtant je n’avais pas encore eu une seule fois l’occasion de me reposer et de prendre du temps pour moi contrairement à ce que j’avais prévu au départ. Les ennuis en tous genres m’étaient tombés dessus avec une régularité impressionnante. Et les rares moments ou j’aurais pu enfin faire ce que j’avais prévus je les avaient passé à me questionner à propos de la relation qui existait entre elle et moi et comment cela devait évoluer. Néanmoins tous ces problèmes semblaient enfin terminés et je pouvais enfin me reposer et profiter de la journée pour moi. C’était pour cette raison qu’après m’être rapidement préparée j’avais pris la direction du parc. Le soleil brillait dans le ciel et pourtant malgré cela il n’y avait presque personne dans les rues de la ville ou dans le parc.

Après quelques minutes de marches j’arrivais dans le parc. Presque au même moment Sheva vint se poser sur mon épaule. Tout en le caressant d’une main distraite je levais les yeux vers le ciel, profitant de la chaleur du soleil sur mon visage. Bien qu’aucune autre personne ne soit visible dans le parc les oiseaux eux étaient présents et s’en donnaient à cœur joie. Souriante je continuais d’avançais, oubliant tout ce qui m’entourai, pour uniquement me concentrer sur le moment présent et le sentiment de bien être qui se dégageait de ce lieu.

Soudainement alors que je marchais tranquillement je crus entendre une voix provenir d’un petit peu plus loin. Je ne savais pas à qui elle pouvait appartenir mais les quelques notes que j’avais entendus m’avaient donné envie d’aller voir qui en était à l’origine. Et je ne pouvais croire qu’une personne avec une voix si mélodieuse pouvait être quelqu’un de mauvais. Après quelques secondes de marche, à tenter de suivre le son de la douce mélodie que j’entendais, je parvins à la trouver. La personne qui chantait était une jeune femme. Je ne voulais pas m’approcher d’elle, de peur que ma présence lui fasse peur et qu’elle interrompe sa douce mélopée. Et le tigre blanc à ses côtés était lui aussi une raison suffisante pour que je n’ose pas m’approcher. Soudain son compagnon se releva. Il semblait sentir l’air comme si une odeur nouvelle le dérangeait. Je ne compris pas immédiatement puis quand son regard se posa sur moi tout devint plus clair. Faisant un pas en arrière je relevais la main, caressant Sheva dans un geste qui servait à me rassurer. Durant quelques secondes je restais immobile à la regarder. J’avais envie de m’approcher d’elle, de lui parler et si l’occasion se représentais peut-être lui demander de chanter de nouveau.

Finalement, après une caresse de sa maitresse, le tigre sembla se calmer et après avoir attendus quelques secondes de plus je décidais de me rapprocher d’elle. Alors que je marchais j’en profitais pour la détailler un petit peu plus en détail. Elle aussi avait les cheveux blancs et si je pouvais me fier aux apparences elle devait avoir à peut près mon âge. Une voix arrivé à seulement quelques mètres d’elle je portais de nouveaux la main à mon épaule afin de voir le comportement de Sheva. Bien que l’oiseau en semblait pas spécialement ravi de la présence du tigre la jeune femme en face de moi ne semblait pas vraiment le déranger. Face à cette réaction je lui souris amicalement, m’inclinant légèrement afin de ponctuer mes salutations. « Enchanté de vous rencontrer je m’appelle Lumi. Je suis désolée de vous déranger mais je vous ai entendus chanter et j’ai trouvé cela tellement beau et harmonieux que je n’ai pas pus m’empêcher de venir vous écouter. Je j’espère que cela ne vous dérange pas ? » J’avais légèrement baissé la tête en disant cela. je ne la connaissais pas et ne savait pas comment elle allait réagir mais j’espérais sincèrement que mes mots ne l’avait pas mise mal à l’aise.
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Dim 09 Nov 2014, 23:18


Mystérieuse rencontre
(Alfred de Musset) ▽ Ainsi, mon cher ami, vous allez donc partir ! Adieu ; laissez les sots blâmer votre folie. Quel que soit le chemin, quel que soit l’avenir, le seul guide en ce monde est la main d’une amie. Vous me laissez pourtant bien seul, moi qui m’ennuie. Mais qu’importe ? L’espoir de vous voir revenir me donnera, malgré les dégoûts de la vie, ce courage d’enfant qui consiste à vieillir. Quelquefois seulement, près de votre maîtresse, souvenez-vous d’un cœur qui prouva sa noblesse, mieux que l’épervier d’or dont mon casque est armé ; qui vous a tout de suite et librement aimé dans la force et la fleur de la belle jeunesse, et qui dort maintenant à tout jamais fermé.
Une fois mon tigre calmer, je me releva et me tourna vers la jeune fille qui avancer vers moi. Elle avait la manie de caresser son oiseau qui était perché sur son épaule, sûrement pour ce rassurer. Une fois arriver à moi, elle laissa échapper un sourire et s’inclina légèrement pour me saluer. C'est alors que la jeune fille aux cheveux blanc comme de la neige ce présenta et s'excusa du dérangement occasionner tout en me complimentent sur ma façon de chanter.
Elle pensa me déranger, bien sur que non, après tout cette endroit était à tous le mondes et si une personne venais à entendre le son de ma voix, l'écouter et dire de jolies choses je ne pouvais qu'être ravis et flatté, mais n'oublions pas que pour une sirène c'est tout à fait naturel de produire des chants mélodieux. Sa tête c'était baisser en disant cela, comme si elle fuyait mon regard de peur que je m'offusque, je souris et lui dit « Merci beaucoup, je suis ravis que ma chanson t'ai attirer jusqu'ici ça veux dire qu'elle ta plus et de dire que c'était beau et harmonieux remplis mon cœur de joie. Je suis de même enchanter Lumi, pour ma par je m'appelle June, June Crysalia, mais appel moi Scarlett. Oh ! Et tu ne me dérange absolument pas. » Sur ceci je lui fis un clin d’œil et caressa encore une fois mon tigre. Mamoru s'avança laissant glissé ma main tout le long de son corps, il était intriguer par cette nouvelle odeur. Arriver à elle il leva légèrement la tête pour la renifler, sa tête arriver à presque à l'épaule de sa jeune femme. Je joins alors mes deux mains et le regard inquiet, je n'avais pas peur de la réaction de mon tigre je savais très bien qu'il ne lui ferais aucun mal. J'avais surtout peur de la réaction de Lumi et de son oiseau. Mon tigre étais imposant, mais pas méchant. Il était surtout craintif et il avait peur de presque tout c'est pour ça qu'il pouvait ce montrer agressif de temps en temps envers les gens qui en quelque sorte le mériter. Ses fesses tapa violemment le sol volontairement et frotta fortement sa tête contre elle ce qui la fit reculer un peu car ne devrais pas si attendre. Ce filou ne contrôler pas vraiment sa force, quand celui-ci commencer à frotter sa tête valais mieux avoir de l'équilibre. « Je crois qu'il ta adopté. » lui dis-je en rigolant, je fus plus détendu. Je retournas m’asseoir appelant le fauve qui repris vite sa place, cette jeune femme m’intrigue, mais du bon côté des choses. Je voulais en savoir plus sur elle, d'ailleurs je me demander de qu'elle race appartenait-elle et quel âge pouvait-elle avoir. Cela me rappela la première fois que j'ai mis les pieds en dehors de l'eau et la première fois que je voyais un être terrestre aussi. Je lui avais poser des tas de question ce jour là et j'étais totalement à la masse. J'avais obtenue tellement de réponse enfin pas surtout, mais presque. Maintenant ce n'étais plus la même chose, je vivais comme eux à présent, on pouvais me dire un race que savais à quoi cela pouvais ressembler ou ce qu'ils mangeaient.
Avant de me perdre totalement dans mes divagations, je repris mes esprits et lui fis signe de venir s'asseoir prés de moi « Viens assis toi près de moi, on pourra discuter ensemble si tu veux bien. » dis-je d'une voix douce. 
(c) AMIANTE

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Lun 10 Nov 2014, 03:44

Anxieuse, j’avais le regard braqué sur le sol, attendant impatiemment sa réaction. Elle n’avait pas l’air de mal prendre mon interruption cependant, je ne pouvais m’empêcher de me sentir coupable de m’être ainsi imposée à elle. Néanmoins quand elle prit la parole se fut avec un grand un sourire sur les lèvres et me rassurant en me disant que je n’étais en aucun cas une gêne. Face à cette information je ne pus m’empêcher de me sentir soulagée et je lâchais un petit soupir de soulagement. Soulagement qui fut de courte durée. A peine eut-elle finis sa phrase que son compagnon se rapprocha de moi afin de me sentir. Je le regardais, incapable de faire le moindre geste. Il ne semblait pas être doté de mauvaises intentions cependant je ne pouvais me sentir en sécurité avec un tigre faisant ma taille en train de me renifler tranquillement.

Soudain, après quelques secondes et sans aucun signe précurseur il se mit à frotter sa lourde tête contre mon bras. Surprise par ce contact je fis un pas en arrière et me mis à rigoler, autant à cause de la nervosité que à cause de la situation. Finalement je posai ma main sur sa tête le caressant gentiment. Après quelques secondes sa maitresse l’appela de nouveau et ses côtés et c’est sans protester qu’il alla la rejoindre se couchant à côté du banc ou elle était désormais assise. A mon tour je me mis à m’approcher d’elle et quand elle me demanda de m’asseoir à côté d’elle ce fut sans aucune hésitation que j’acceptais. Plongeant mes yeux dans les siens je n’attendis qu’un très bref instant avant de lui parler. Pour une raison que j’ignorais elle me captivait et j’avais envie d’en apprendre plus sur elle. « Dis-moi où a tu appris à chanter de cette manière ? J’ai déjà entendu bon nombre de personnes chanter et beaucoup d’entre elle avait un talent pour cela mais tu est la première que je prend autant de plaisir à écouter. » Je ne savais pas pourquoi je lui avais demandé ça en particulier alors que j’avais tout un tas de question en tête m’intéressant bien plus que son chant. Néanmoins j’avais beau avoir une multitude de question je ne savais pas par ou commencer j’avais donc inconsciemment pris le chemin le plus logique, ce qui nous avait réunis.

Quittant un instant son regard je portais de nouveau le miens sur le ciel, laissant une nouvelle fois les rayons du soleil me réchauffer. Après quelques secondes je baissais les yeux et, presque sans aucune hésitation je me mis à caresser le tigre qui, même s’il semblait surpris que la caresse ne provienne pas de sa maitresse, sembla l’apprécier et se laissa faire. « Il est magnifique, je ne sais pas comment tu as fait pour réussir à le faire devenir ton compagnon mais tu a vraiment de la chance. » au même moment Sheva décida de s’envoler de mon épaule afin de se placer sur un arbre un peu plus loin. De toute évidence il avait compris ce que je venais de dire et il était décidé à bouder durant quelques temps. « Pour ma part le seul animal ayant accepté de m’accompagner est ce corbeau grincheux et acariâtre. Une seule remarque suffit pour qu’il prenne la mouche et me fasse la tête. » Je ne pus m’empecher de lacher un petit rire en réponse à cette phrase. De tout temps Sheva n’avait pas aimé que je m’approche trop de l’animal de quelqu’un d’autre mais depuis quelques temps la situation avait empirée, au point qu’une simple phrase à propos d’un autre animal suffisait pour qu’il parte et ne vienne me rejoindre que quelques heures plus tard.

Laissant de côté mon capricieux volatile je plongeais de nouveau mes prunelles azur dans les yeux de ma compagne du moment « Mais dis m’en un peu plus sur toi Scarlett. Qui est-tu est d’où viens tu ? Et surtout t’arrive t-il souvent de venir te promener ici ? » C’était une véritable avalanche de question que je n’avais réussi à retenir qu’à grande peine cependant maintenant que je lui avais demandé toutes les bases que je voulais savoir je n’attendais plus qu’une chose. Avoir mes réponses.
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Mer 12 Nov 2014, 17:47


Mystérieuse rencontre
(Alfred de Musset) ▽ Ainsi, mon cher ami, vous allez donc partir ! Adieu ; laissez les sots blâmer votre folie. Quel que soit le chemin, quel que soit l’avenir, le seul guide en ce monde est la main d’une amie. Vous me laissez pourtant bien seul, moi qui m’ennuie. Mais qu’importe ? L’espoir de vous voir revenir me donnera, malgré les dégoûts de la vie, ce courage d’enfant qui consiste à vieillir. Quelquefois seulement, près de votre maîtresse, souvenez-vous d’un cœur qui prouva sa noblesse, mieux que l’épervier d’or dont mon casque est armé ; qui vous a tout de suite et librement aimé dans la force et la fleur de la belle jeunesse, et qui dort maintenant à tout jamais fermé.
Sans hésitation elle ce mis à mes côtés sur le banc, nos yeux étais plongeais l'un dans l'autre pendant un court instant puisse qu'elle rompis le silence afin de me pose une question et de me flatter de nouveau. Sa question me fis sourire, pour moi la réponse était évidente, mais évidement pas pour elle. « Merci, ce sont de très beau compliment que tu me fais là. Pour tout de dire je suis née comme ça, mon chant est naturel. » lui dis-je avec le sourire sans la quitter des yeux. Je voyais bien que la jeune femme ce poser tout un tas de question, elle avait quelque chose qui faisais que je savais qu'elle ce retenais de ne pas tout me déballer d'un seul coup. Nous étions tout deux curieuse l'une de l'autre, je me refusa à lui poser quelques question pour le moment je préférais écouter ce qu'elle avait à me dire et à répondre à ces questions.

Détachant ses yeux des miens, elle laissa tomber sa tête en arrière. Le soleil illuminer son doux visage porcelaine, mon regarde lui ne l'avais pas lâcher. Elle resta quelques minutes quand cette position puis remis sa tête droite et ce mis a caresser mon tigre, je souria amuser ce pendant Mamoru était de normal plus agressif envers les gens qu'il ne connaissait pas. Il y avait quelques choses chez cette jeune fille, quelque chose qui la rendait différente des autres personnes qu'elle avait pu rencontrer jusqu'à présent. Lumi me tira de mes pensées pour me dire que mon félin étais magnifique et qu'elle ce demandait comme avais-je fais pour obtenir une telle bête, c'est alors que son belle oiseau s'envola pour ce pose sur un branche du grand arbre un peu plus long. Je le regarda quelques instant me demandant pourquoi avait-il réagis de la sorte, puis reposa les yeux sur la jeune femme. « Oui, il est magnifique. Je l'ai trouver à Avalon chez un marchant, il m'avait proposer plusieurs bestiaux, mais je fus attirer par cette boule de poile. Bien que le marchant met dit que je n'en tirerai rien et qu'il était totalement aveugle. Ça différence ma attiré à lui, le fais qu'il soit dépourvue de toute capacité visuel ne faisais pas de lui un faible, bien au contraire je dirais. Je le trouve brave et courageux. » Dis-je en le grattant sous le menton, ce qui le fis ronronner.  Pour sa part elle me dit qu'elle avait obtenu l'animal dans les branchages, car c'était le seul à bien avoir voulu la suivre et citant plusieurs de ses défauts, d'après ce que j'avais compris ce belle oiseau était acariâtre et n'aime pas beaucoup les critiques ce qui me fis rire au éclat. « Je comprend mieux pourquoi votre compagnon à pris la fuite, il n'a pas supporter vos compliment face à mon compagnon. Ce que je comprend un peu, ça ne doit pas être facile pour un compagnon que son maître envie le compagnon d'un autre. Il doit ce sentir moins aimer, mais en fond je pense qu'il sait que tu l'aime et que tu sais aussi que tu l'aime. Vous vous complétez l'un, l'autre et rien n'y personne ne pourra détruire ce lien qui vous unis et puis je trouve que tu as un très belle oiseau. »

Et voilà, ce que j'attendais depuis le début. Tout un tas de questions tomba, me demandant de m'en dire plus sur moi, qui étais-je, d'où venais-je et s'il m'arrivait souvent de venir dans ses lieux. Je ne pu m'empêcher de sourire face à toute ses questions « Et bien par où commencer, je suis June Crysalia enfant de Orion et de Maïa Crysalia tout deux Ondins, je suis une enfant de l'Océan. Cela fais maintenant deux ans que j'ai quittait les eaux pour venir sur la terre ferme. Afin de voler de met prendre ailes et de fuir un quotidien qui devenait de plus en plus pesant aux files des jours, mais je ne te rencontrais pas tout car ce serait trop long et bien embêtant. Pour ce qui es du parc, cela fais quelques mois je viens me détendre ici. » Il me semblait avoir répondu à toute ces questions et j’espérais qu'elle était contente des réponses qu'elle avait obtenue. « A moi maintenant de te posés quelques questions. Et toi qui es-tu et d'où viens-tu ? Et puis qu'est-ce que tu essaie de cacher désespérément ? Mamoru ne réagis jamais e la sorte avec une personne, il a senti quelque chose que seul les compagnons peuvent savoir. » J'avais peut-être déballer mes questions un peut trop vite par rapport à elle qui avait était plus en douceur. J'avais espérais ne pas avoir toucher un point sensible.

(c) AMIANTE

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Sam 15 Nov 2014, 12:07

Je la regarde en souriant. J’avais tout d’abord eu peur que mes questions l'effraie, et qu’elle refuse d’y répondre, ou pire, que cela la fasse fuir. Et pourtant elle les avait accueillies avec un grand sourire avant de répondre le plus sincèrement du monde. Une fois son cour récit fini elle prit une petite pause d’à peine quelques secondes avant de me retourner mes questions, en en rajoutant une à la fin. C’est celle-ci qui m’empêchai de lui répondre immédiatement et aussi franchement que ce qu’elle venait de faire. A peine les mots eurent-ils franchis sa bouche que je portais inconsciemment ma mains à mon ventre. Presque aussi vite je me rendis compte de ce que je venais de faire mais c’était trop tard. Il n’était pas impossible qu’elle ne comprenne pas le sens de ce geste mais les chances que se soit le cas étaient minimes. Respirant un instant je quittais son regard pour regarder mon ventre. Cela faisait déjà plusieurs semaines que j’avais commencé à le sentir et je n’en avais parlé à personne, refusant moi-même de croire à ce qui était en train de m’arriver. Et pourtant je ne pouvais pas continuer ainsi indéfiniment. J’allais devoir tôt ou tard me rendre à l’évidence. Relevant les yeux je plongeais de nouveau mon regard dans le sien. « Je vais commencer par répondre à t’es deux première questions si tu le veux bien. La dernière est un petit peu plus difficile. » Lui souriant je penchais légèrement la tête sur le côté. Je ne pouvais pas continuer à me mentir ainsi il fallait que cela cesse. Et je savais que je ne pourrais me décider sur l’attitude à apporter qu’une fois cela fini.

« Alors scarlett, comme je te l’ai dit toute à l’heure je m’appelle Lumi et je suis une humaine. Je ne te raconterais pas toute ma vie car je n’ai pas envie de gâcher une aussi belle journée néanmoins, un peu comme toi je me suis mise à parcourir le monde seule il y a seulement quelques temps. Au par avant j’étais aux services de quelqu’un. » Toujours souriante je quittais néanmoins son regard des yeux pour aller le poser sur son tigre. Je n’avais pas compris pourquoi il ne m’avait pas attaqué toute à l’heure, alors qu’il était évident qu’il se méfiait de moi, pourtant maintenant qu’elle avait soulevé ce point cela me semblait évident. Me penchant légèrement je lui fis une petite caresse. Elle avait raison l’instinct des animaux ne les trompait pas, ils étaient capable de ressentir bien des choses que même les personnes doté de pouvoir ne pourrait jamais juste imaginer. « En effet ton tigre a bel et bien ressentis quelque chose et je sais pourquoi il n’a rien fait contre moi. » Dans un reflexe je me m’est à caresser mon ventre. Ma robe est suffisamment ample pour ne pas permettre de distinguer le fait que mon ventre ai commencé à grossir, et de toute façons le changement n’est pas encore très visible pour l’instant, néanmoins avec ma main posé dessus qui lui fait épouser les contours de mon corps il suffit de regarder de manière attentive pour s’en rendre compte.

« Il y a quelques temps j’ai retrouvé un ami que je n’avais pas vu depuis longtemps. Un ami cher atteint d’une maladie rare. Nous avons passé la soirée ensemble et au cour de celle-ci nous avons couché ensemble. Je pense que je n’ai pas besoin de t’en dire plus, mon comportement et celui de ton tigre sont assez explicites. » Je ferme les yeux ne voulant pas les rouvrir. J’attends un enfant. Il faut que je le dise. Au moins une fois. Il faut que j’ose franchir ce pas. Ensuite je verrais ce que je fais. « Je suis enceinte. Je… je … J’ai trompé celle que j’aime et je suis tombé enceinte » une larme coule le long de ma joue. J’ai trompé Circé, alors que je lui avais promis que je serais toujours avec et pour elle. Et pire que tout cet acte m’a fait attendre un enfant. Je rouvre les yeux, les larmes coulant toujours. « Je… j’essayais de me dire que ce n’était pas ce que je croyais. J’essayais de… de me dire que c’était une erreur mais…. Mais non. Je… je ne sais pas quoi faire. Je ne sais pas quoi faire et cela m’effraye. » Sans y réfléchir je pose ma tête sur son épaule et continue de pleurer.
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