J’étais revenue de Bouton d’or où j’avais aidé des personnes à se réfugier dans un endroit sûr, pour qu’ils se reposent, pour qu’ils puissent manger avant de repartir dans leur village d’origine, lorsque les ridères auraient disparu. Cette mission s’était passée, il y avait une semaine déjà, mais j’étais restée dans la région pour la découvrir, car je ne connaissais pas du tout les Terres d’Emeraude. J’aimais bien ce territoire, il était accueillant, calme, reposant. J’aimais beaucoup, j’adorais visiter les différents paysage qu’il y avait dans ce territoire qui nous présentait de grandes forêts, des plaines et de sympathique village

. Mais j’étais ici dans un but spécifique. On m’avait engagé pour écrire un recueil d’information sur ce qu’il venait de passer pendant ces derniers mois dans les terres du Yin&Yang. J’avais accepté sans délais, car je voulais bien savoir ce que pensaient les villageois de ces derniers événements. J’avais dans mon sac bien remplis, des feuilles vierges, de l’encre et des plumes. Je devrais beaucoup écrire à mon avis, car les villageois pourraient beaucoup parler de ce qu’ils ont ressenti de ce qu’il s’était passé depuis. Une chose qui était sûr pour le moment, était que la magie était revenue comment ? Je ne le savais pas mais peut-être que les villageois pourront m’aider.

Les esprits revenus à la vie, avaient maintenant disparu de la surface de la terre. Je marchais doucement sur les chemins de terre pour trouver des personnes qui voudront bien m’aider à faire ce recueil d’information. Quelques heures plus tard, j’avais trouvé un petit village fort sympathique, mais je me demandais si tout le monde n’avait pas fui. Dans ce village qui était malheureusement en ruine, à cause de ridères, je trouvais une vielle dame qui était assise sur un banc en pierre brute. Et je m’approchais d’elle doucement pour ne pas l’effrayer et je pris la parole avec une voix calme et douce en même temps :

-Bonjour Madame, je suis désolée de vous déranger dans votre solitude et de votre tranquillité, mais j’aurais besoin de vous parler… Je suis dans les Terres d’Emeraude pour écrire un recueil d’information sur ce qu’il s’est passé aujourd’hui. Pourriez-vous m’accorder un peu de votre temps s’il vous plait ?

-Bonjour Mademoiselle ! Non allez-y, cela ne me dérange absolument pas, car je suis bien contente de parler à une personne, car je n’en ai pas vu depuis quelques jours et cela me manquait bien. Vous pouvez me poser des questions, vous pourriez m’aider aussi à comprendre un peu ce qu’il se passe !

-Bien entendu !

Je me posais sur le banc de pierre, à côté de la vielle dame qui me regardait m’installer près d’elle. Elle me souriait tendrement et cela me fit plaisir de la voir comme cela, au lieu d’un air triste et pessimiste sur cette vie. Je sortis des feuilles vierges et de l’encre avec une extrême prudence. Puis, je pus commencer à poser des questions pour qu’elle me donne des informations.

-Alors commençons ! Qu’avez-vous à me dire sur ces derniers événements ?

-Quelques jours avant que vous soyez là, j’ai vu dans le ciel, une pluie de poussière de bleue qui tombait sur le territoire. Je ne savais pas ce que c’était au juste, car cela m’a hypnotisé d’un seul coup et rapidement. Mais, je ne peux pas vous en dire plus, car ce souvenir reste vague et flou dans ma tête, je ne comprends pas trop ce qu’il s’est passé. Je me souviens que je m’étais mis à genoux par terre, dans une direction bien précise, mais là encore je ne sais plus dans quelle direction… Je suis désolée !

-Non, ce n’est pas grave, ne vous inquiétez pas pour cela. Vous savez pourquoi vous avez fait cela au juste ?

-Non, je ne sais pas du tout. Comme si j’avais le cerveau manipulé ou vide de raison, et je me suis mise par terre, agenouillé sur la terre humide pour regarder dans une direction bien précise.

Je notais tout ce que la vielle dame me disait. J’écrivais aussi vite que je le pouvais mais bon, je n’étais pas une machine non plus. J’écrivais rapidement mais avec un soin pour l’écriture, car je pensais que ce serait mon brouillon avant que je ne le réécrive au propre dans un beau dossier. Je restais au moins une bonne heure avec la vielle dame. J’avais eu beaucoup d’information sur cette pluie de poussière de couleur bleue. A mon avis, c’était de la magie et ce serait comme cela que la magie serait revenue dans notre monde. Je comprenais bien mieux maintenant. Je décidais d’aller interroger une personne dans le même territoire, peut-être qu’il pourra m’aider à comprendre cette poussière bleue et à quoi cela pouvait correspondre. J’avais hâte de le savoir …

nombre de mots :

Je continuais ma route dans les Terres d’émeraude, pour comprendre les phénomènes qui s’étaient passés actuellement dans toutes les terres du Yin&Yang. Il y avait quelques heures, j’avais appris qu’une pluie de poussière de couleur bleu très clair, était apparue soudainement, mais pour une raison inconnue. Je devais comprendre ce qu’il s’était passé et pourquoi ! Je supposais que la pluie de poussière était la cause du retour de la magie pour toutes les races, mais pourquoi cette poussière avait-elle pu donner le retour de la magie ? Et par qui aussi ? J’avais beaucoup de questions dans ma tête et je ne trouvais pas les réponses à cela.

Donc, je devais rencontrer d’autres personnes pour le savoir. Je continuais de marcher jusqu’à un village qui venait de se reconstruire à l’aide de nombreux villageois qui avaient décidé de ne pas fuir les ridères et d’autres phénomènes dangereux. Je souris car je pensais que je pourrais avoir des informations pour faire mon recueil. Je m’avançais dans le village qui était encore en construction, mais c’était pour les finitions, rien de plus. Je leur souris pour les apaiser un peu, et pour qu’ils n’aient pas peur de moi quand je devrais leur poser des questions.

Puis, je m’avançais un couple de personnes qui semblaient être très gentils et agréables à leur parler. Je m’approchais d’eux et je fis la même démarche qu’à la vielle dame de tout à l’heure. Je pris la parole avec une voix calme et douce pour les mettre en confiance :

-Bonjour Madame et Monsieur. Je voudrais vous poser quelques questions, rien de plus. Cela ne vous prendra quelques minutes, je vous l’assure ! Je m’appelle Anwen, et je suis ici pour faire un recueil sur les derniers évènements de notre monde.

-Pour moi, cela ne pose pas de problème et je pense que ma femme sera d’accord avec moi, répondit l’homme, et la jeune femme acquiesça la tête doucement avec un sourire.

-Vous avez remarqué qu’il y a eu une pluie de poussière, il y avait quelques jours au moins …

-Ah OUI ! Je m’en souviens, mais c’est assez flou ! J’étais comme un état second pendant cette période, je ne sais plus trop ce qu’il s’est passé au juste. Mais nos corps se sont agenouillés par terre, en direction du Nord, ou du Nord-Est… lança la jeune femme.

-D’après vous que signifie cette pluie de poussière bleu ? demandais-je avec calme.

-Nous n’en savons guère ! Personne ne sait réellement d’où vient cette poussière, mais il y a des rumeurs qui courent et je ne sais pas si elles sont vraiment réellement … répondit l’homme.

-C’est-à-dire ? Quelles rumeurs au juste ?

-On raconte … Mais ce ne sont que des rumeurs, rien d’autres … Mais bon, je vais quand même vous le dire ! On raconte que cette pluie de poussière bleue vient de l’Aether Originel Sympan ! On dit qu’il serait de retour dans les terres du Yin&Yang…

-Pardon ? Sympan ? Qui est ce ?

-Oh ! C’est une vieille histoire, mais je ne la connais pas ! Elle n’est pas écrite dans les livres, malheureusement … Seuls quelques personnes connaissent cette Histoire !

Je ne comprenais pas pourquoi cette histoire n’était pas écrite dans les livres. Peut-être que c’était un dieu rejeté par les Hommes ? Je ne connaissais pas bien ou voire pas du tout l’Histoire des Aethers et de la création du monde. Je n’avais pas eu réellement le temps de connaitre bien l’Histoire de notre monde, j’étais plutôt intéressée par celle de mon peuple uniquement. Mais, il fallait bien que je m’ouvre aux autres races pour apprendre beaucoup plus de choses. Je les remerciais avec un salut chaleureux. J’avais noté beaucoup de choses dans mon carnet, j’avais eu beaucoup d’informations concernant cette pluie de poussière bleue. Je ne devais pas perdre ce petit carnet avant de repartir à Aeden pour l’écrire correctement.

Je continuais mon chemin et je me dirigeais vers le Nord pour avoir plus d’information sur cette pluie. Mais, peut être que je demanderais aussi des informations sur les ridères. Il était vrai que je n’avais plus vu de Ridères du jour au lendemain et que je ne voyais plus de villages détruites récemment. A cause de cette pluie bleue aussi ? Il y avait beaucoup de coïncidence avec cette pluie, c’était assez bizarre en effet ! Je marchais vers le nord avec une certaine rapidité , car le soleil se couchait déjà sur les terres d’Emeraude. Je voulais chercher une personne qui pourrait m’expliquer qui est Sympan et qu’il était passé avec les ridères dans le monde du Yin&Yang.

nombre de mots:

Alors que j’avais découvert quelques nouvelles informations sur cette pluie bleue et qui était à l’origine de cela, je me dirigeais vers le nord avec un pas régulier et rapide. Sur le chemin, je voyais le soleil se déclinait fortement, il fallait que je me trouve un refuge rapidement pour m’abriter et pour dormir un peu. J’accélérais le pas pour trouver une petite cabane ou une auberge dans les environs pour manger quelques choses et dormir dans un bon lit aussi. Quelques heures plus tard, je vis au loin sur le chemin vers le Nord, une auberge avec deux torches de feu à côté de la porte.

Sur la maison, je pus voir une pancarte écrit dessus « L’auberge des bons voyageurs ». Je souris et je me disais que j’allais peut être avoir des informations plus riches s’il y avait beaucoup de voyageurs dans l’auberge ce soir. Je souris, car je pensais que c’était mon jour de chance d’avoir trouvé une auberge avec du monde à l’intérieur. Je poussais la porte doucement et je ressentis de la chaleur sortir dedans et du bruit à en crever les tympans. Je ne pus m’empêcher d’être heureuse en voyant ce spectacle. J’entrais en évitant des serveuses qui se précipitaient vers les tables pour leur donner des boissons, comme de la bière ou de la nourriture aussi.

J’allais directement au bar pour demander une chambre pour la nuit, en espérant qu’il avait encore de la place pour moi, pour cette nuit uniquement. Mais en même temps, j’irais fait ma petite enquête sur les récents événements dans les terres du Yin&Yang. Je pris la parole une fois que j’étais au bar, et une madame me sourit chaleureusement :

-Bonjour Mademoiselle, puis je vous aider ?

-Oui, je voudrais une chambre pour une nuit s’il vous plait, avec un repas du soir !

-Vous avez de la chance, il me reste une chambre au deuxième étage ! Et voulez-vous gouter au plat du soir ? C’est-à-dire poulet avec une salade ?

-Oui, avec plaisir, cela me fera du bien !

-Voici, votre clé, chambre 3 ! … Puis-je vous poser une question ?

-Oui allez y je n’ai rien à cacher !

-Que faites-vous dans cette région au juste ? Vous n’êtes pas du coin et cela se voie bien sur votre visage aussi.

-Ah ! Je viens d’Aeden, du berceau cristallin ! Je suis en train de faire un recueil sur tout ce qu’il s’est passé durant les derniers mois dans les terres du Yin&Yang. Donc, je recherche des informations, des données pour pourvoir faire un recueil digne de ce nom !

-Très bien, comme mission, cela laissera des traces dans nos mémoires ! Je pense que tout le monde pourra vous aider ce soir s’il vous voulait bien.

Je la remerciais vivement et je décidais d’aller dans ma chambre pour me laver un peu visage et après je redescendrais pour manger et prendre des notes en même temps. J’avais eu encore de la chance d’avoir une chambre, mais pourquoi avais-je autant de chance ce moment ? Moi, je pensais que quelque chose allait se passer prochainement. Puis, j’entrais dans la chambre qui était petite mais simple pour moi. Je souris et je décidais de passer un coup d’eau sur le visage pour me laver un peu.

Puis, je redescendis au rez-de-chaussée pour manger quelques choses et parler autour de moi. Une fois en bas, la jeune femme me donna une assiette avec du poulet et des haricots blancs. Tout cela semblait délicieux et je me régalais. Autour de moi, beaucoup de personne était présente et la jeune femme qui m’avait accueilli, leur avait demandé de parler des derniers événements dans les terres. Les gens étaient contents d’en parler, car cela était le passé, mais bon, certains, à vue d’œil, n’avaient pas envie d’en parler. Puis, un jeune homme prit la parole :

-Moi, on m’a dit qu’un Aether était revenu dans nos terres, mais on ne sait pas pourquoi il est là au juste !

-Les aethers ne sont jamais là pour nous, il regarde juste, ce sont juste des observateurs, rien de plus ! Je ne fais pas confiance à ces êtres, répondit-il un autre homme.

-Moi, je suis bien contente que ces saletés de ridères soient enfin parties de nos terres. Ils ont disparu du jour au lendemain, comme par magie. Cela m’avait peur de les voir partir avec un simple claquement de doigts. Des explorateurs disent qu’ils sont repartis dans les terres des glaces, et qu’ils sont pacifistes maintenant. Mais personne ne comprend pourquoi ! dit une vieille dame.

-Pensez-vous que c’est à cause de cette pluie de poussière bleue ? demandais-je avec une voix calme.

-Je ne pense pas, je pense que c’est deux choses bien distinctes mais je ne suis pas sur du tout. Et puis, nous n’avons aucune information réelle sur ce qu’il s’est réellement passé avec les ridères. Personne ne sait d’où viennent ces créatures dangereuses et puissantes !

La vielle dame avait raison, elle marquait des points au fur et à mesures qu’elle me disait des choses comme cela. Je lui souris et je l’écoutais jusqu’au bout de la nuit. Durant cette soirée, j’avais eu de bonnes informations, mais aussi des fausses. Demain, je devrais faire le tri avec tout ce qu’il s’était passé cette nuit.

nombre de mots:

Alors que j’avais bien dormir dans ma chambre et que j’avais eu beaucoup de témoignage des derniers événements, j’étais prête à repartir à Aeden pour écrire correctement ce recueil. J’avais réglé la note à la jeune femme pour la nuit et pour le repas d’hier. J’avais bien mangé et je me sentais beaucoup mieux aujourd’hui. J’avais remercié les personnes avec qui j’avais parlé avant de dormir, et je pris la route pour repartir vers Aeden. La route était longue et je pouvais me téléporter directement dans mon appartement, mais j’avais envie de marcher en ce moment, de prendre le temps. Avec tout ce qu’il s’était passé dernièrement, j’avais envie de profiter de la vie et de ne pas faire tout à la va-vite. Je marchais doucement dans les grandes plaines d’herbe, je regardais les animaux se reposer tranquillement.

Je respirais un bon coup et je continuais d’avancer. Je traversais des villages où les ridères étaient venus pour tout détruire. Ce n’était pas beau à voir, et les personnes auront du mal à tout reconstruire comme avant. Je marchais la tête baissée, je n’avais pas envie de croiser le regard avec ces maisons détruites et qui me faisaient mal au cœur. Je pensais soudainement à mes parents, je me demandais s’ils n’avaient pas eu de problèmes avec ces créatures. Maintenant que je pensais à mes anciens parents, je ne pus m’empêcher de penser à ma sœur que j’avais littéralement tuée.

Enfin, je devais oublier mon ancienne vie et partir de nouvelles bases, je disais cela, cela faisait trois ans que j’étais devenue une élémentale et je pensais toujours à eux. Parfois, lorsque j’étais près de la maison, j’avais envie de venir vers eux pour avoir des nouvelles d’eux. Mais, je ne pouvais pas … Enfin, je continuais mon chemin et je vis une jeune femme et une vieille dame sur le côté du chemin et je pris la parole avec une voix un peu agitée :

-Mesdames ? Qu’est qu’il se passe au juste ? Y a-t-il un problème ?

-Nous avions l’habitude de voir les esprits de notre famille depuis quelque temps, nous étions heureuse de les revoir près de nous, mais soudainement, ils ont disparu … Et nous sommes si tristes …

-Je peux vous comprendre que vous aimiez ces personnes et vous voudriez les avoir à vos côtés éternellement, mais je pense qu’ils seront toujours auprès de vous, même si vous ne les voyez pas !

-Je comprends bien mademoiselle, cela faisait longtemps que je n’avais pas vu ces visages, ce sont des souvenirs qui se sont revenues en mémoire, et cela m’a fait un grand bien de leur parler de ses anecdotes… Mais, je pense qu’ils sont bien où ils sont aujourd’hui, ils ont trouvé leur place dans ce monde, au paradis, je pense ! Vous savez, j’ai perdu beaucoup de choses, de souvenirs et de personnes à cause des ridères qui détruisaient sur leur passage. Ils étaient tellement puissants que nos armes ne servaient à rien contre eux. Leurs coups tuèrent des milliers de personnes comme mon époux et des proches… Je suis bien heureuse qu’ils soient partis de chez nous ! Ils ont tout détruit dans ce monde !

Je pouvais les comprendre et j’avais mal à mon cœur en entendant ces mots de la vieille dame. Tout le monde était bien content que ces ridères soient partis dans le continent des glaces. Je soufflais mais je notais ce témoignage poignants, je devais le garder pour faire ma conclusion. Tout ce qu’elle avait depuis, était la conclusion de ces chapitres. Tous les habitants de ce monde avaient le cœur brisé et cela n’allait pas se réparer comme cela, pas en quelques semaines. Il y avait trop de dégâts autour de moi, je le savais bien. Il faudrait une bonne année avant que le monde soit bien réparer, en espérant qu’il n’y aurait pas d’autres événements aussi importants que cette année.

Il y avait beaucoup trop de dégâts, les gens souffraient à cause de la famine et je ne pouvais pas les aider. Je me sentais mal et j’espérais un miracle prochainement, mais je demandais ce que les chefs de races allaient faire pour réparer tout cela. Je pris en note tout ce qu’elle disait .Et je la remerciais vivement et avec beaucoup de chaleur et de soutien pour elle. Je repris la route une dernière fois pour retourner à Aeden… Sur le chemin du retour, je me demandais comment cela s’était passé avec le père d’Erine au juste ? J’irai lui demander quand j’aurai fini mon recueil sur tout ce qu’il s’était passé depuis quelques mois.

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