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 Tenebrae in Paradisus (pv Nastaé) [/!\Violent]

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Ven 06 Juin 2014, 01:13


Tenebrae in Paradisus (pv Nastaé) [/!\Violent] Neros_10
Cela semblait être une éternité pour Neros. Une éternité qu'il ne c’était pas senti autant au fond du gouffre. Sa vie entière défiler devant ses yeux, comme une bobines sans fin. Ses souvenirs était d’une clartés presque irréelle. Toutes ses questions qui n’avait trouver aucune réponses se retrouvaient aujourd’hui briser par la vérité. C’était tomber sur lui, aussi voilement que les pierres d’Utopie brisant ses os. Comme la mort quand elle était venu l’embrasser et le bercer de ses bras froid. Le souffle de la vie l’avait reprit, mais il ne comprenait pas pourquoi il avait du encore subir cela. Cette vie, après tout, on venait de la lui prendre à nouveau. Il était pourtant encore bien vivant. Ici devant la fontaine du temple des esprits, les bras ballants, hésitant encore. Tans de chose ce bousculer en lui dans un formidable torrent de contradiction. La colère, la rancoeur, le regret, mais sur tout cette désolation qui dévaster son coeur. En vérité, il n’était plu que miette. Cette incroyable force d’optimisme l’avait quitter si brusquement qu’il ce retrouver démunie. Nue. Son âme déchiré. Il y avait crue, avec tans de ferveur et de passion. Il leurs avait voué un amour sans limite et une confiance aveugle. Au fond, il aurait pu crier, il aurait pu ce réfugier dans la rage, mais il était profondément blaser. Car c’était la douleur qui était pire que tout. Se sentiments insupportable qui lui tordait le ventre, et rendait sa gorge douloureuse à force d’avaler ses sanglots. Effondré. L’ange avait tout perdu en quelque secondes.

Réveillé un jour dans se monde qu’il croyait connaitre et comprendre que sa vie n’avait était qu’un terrible mensonge. Tout ce qu’il croyait être vrais de son enfances n’était que des souvenirs forger pour ne pas faire de lui qu’un soldats vide de sens. Tout, de son caractère a son éducation n’avait était qu’une sorte de programme fabriquer de toutes pièces. Il n’était le fils de personne. Née de magie. Peut être sortie d’un tube, comme dans ces histoires d’horreur que l’on peut lire par fois. Neros serra les poings, fermant les yeux sous le coups de la douleurs. Insupportable penser de réaliser que tous lui avait menti sur ce qu’il était. Ils c’étaient tous fichu de lui avec une telle formidable aisance qu’il comprenait a quel point il n’avait pas d’importance à leurs yeux. Son père, sa mère. Il les aimer tellement. Sa mère. Il lui aurait tout pardonner, jusqu’au pire des crimes, mais pas ça. Alors il n’était qu’une marionnette de son seul fait ? Pour quel raison au juste ? Et il n’était malheureusement pas le seul. Longtemps il avait était assez candide pour croire que cette histoire d’adoption était réelle, mais en réalité ils venaient tous du même endroit. C’était odieux. Répugnant. Il comprenait qu’il n’était même pas un enfant de la nature. Il était une de ces choses, de ces anomalies que les anges détester tans. Il n’en voulait pas à sa soeur, mais comprit soudain pourquoi elle était si importante aux yeux de son père. Pourquoi tans d’effort pour elle en si peut de temps et si peu de chose pour lui en plusieurs vies de solitude.

Sa famille n’avait aucune considération pour lui ou pour ce qu’il ressentait. Il était comme un animal que l’on avait adopter, qui pouvait être perdu ou abandonner, cela n’avait pas d’importance car au fond il n’était pas réellement de la famille. Il avait leurs sang, leur chair, peut être, mais il n’était pas « naturelle ». Neros avait l’impression d’être un batard plus que jamais. Une sorte de bête difforme à cacher. La honte, le dégout le gagner. Il sentait le gout amer de la bile au fond de sa bouche. C’était cette dernière qui l’avait pousser à venir. Il était déçu, perdu. Seulement il n’était pas de ceux qui ce laisser abattre. il ne leurs laisserait pas le plaisir de le voir tomber sans ce relever. Ainsi il avait dériver là, devant le temple. Il voulait faire une croix sur cette vie, et s’en dessiner une autre, une autre à lui. Quelque chose qui ne serait pas peint par sa mère, ou dicter par la crainte inspiré par son père, ni par le besoin de reconnaissance de ses deux parents. Neros réaliser qu’il pouvait être ce qu’il voulait car au fond il ne pouvait décevoir personne, et personne ne pouvait le lui reprocher, car personne plus que lui ne pouvait être déçu par les êtres qu’il avait crue être sa famille.

Il passa la chute d’eau. Le coeur lourd, l’esprit tourmenter. L’idée était clair. Trouver sa voix et ce venger. A présent c’était lui qui dicterait les règles et seulement lui qui serait craint. Ils n’étaient personnes. Plu personnes a ses yeux. Leurs sort lui importait peu, il voulait les supprimer et avoir sa propre vie, sans eux pour la lui prendre. Ouvrant une porte au hasard. Il ne s’attendait à voir personne. Il était déjà venue ici, voir celle qu’il croyait être sa mère autre fois. Puis voir les Dieux. Seulement si avant c’était pour rendre fière ses parents, aujourd’hui c’était bien différent. Neros allait changer. Révéler ce qu’il était de puis toujours mais qu’il s’efforcer de cacher pour le bien des autres. A présent il se foutait des autres. Se serait lui avant tout le monde. Lui et lui seul face au reste du monde et il emmerder ceux que ça déranger.
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Ven 06 Juin 2014, 12:27

C'était dans les ténèbres que l'ont trouvait son propre chemin.
Le corps n'était que la coquille de l'âme, lui permettant d'habiter dans ce bat monde, pour jouer de l'Esprit de manière à survivre ici bas, plus que jamais. Les Démons qui nous poursuivait, parfois jusque dans le néant, n'était qu'en fait nos propres Ombres, devant lesquelles nous étions trop aveugles pour réaliser que notre plus grand ennemi, c'était nous-même. Il n'y avait aucune issue. Quoi que l'on fasse, quoi qu'il se passe de notre vivant, la seule chose à faire c'était d'assumer. D'assumer d'être cette bête noire, devant laquelle on courait sans s'arrêter, de peur de tomber dans ses bras. Mais ses bras, ses tendres bras glacials, n'était qu'en fait l'étau pour lequel nous étions destiner. Se laisser aller était facile, le faire était encore plus simple. Il n'y avait rien pour retenir la chute en arrière, au bord de la falaise, pour plonger la tête la première dans le plus grand vide spatial : celui de notre âme.
La journée était belle, et le soleil brillait, comme à chaque fois sur le temple des Esprits. Les oiseaux chantaient et tout ce qui pouvait décorer le temple n'était que couleur, joie et harmonie. De sa pièce, assise sur son grand siège, Kâa buvait un thé. Elle n'en ressentait pas le goût, et ne s'encombrait pas à ne serait-ce que bouger sa main pour que la tasse ouvragée touche ses lèvres. Dès qu'il l'eut décidé. Dès qu'il prit la décision, il y a maintenant des jours de cela, la Déesse savait parfaitement ce qu'il avait en tête. Le fils d'un presque demi-dieu, cela ne passait pas inaperçu et bien que ça ne heurtait aucun de ses pairs, elle prit la peine de lui implanté de loin quelques idées. Notamment celles de ses pas, qui le mèneraient directement à elle, et pas à un autre. Kâa était satisfaite. Satisfaite de pouvoir avoir en face d'elle, un tourment d'âme à l'état pur, donc elle se régalerait, juste à le regarder. A voir combien ces ténèbres, ce Démon en lui, tenterait de déchirer le voile le retenant prisonnier depuis peut être des années. Qu'enfin celui qui trône au fond, s'élève et prenne la place qui lui revienne.
La journée étai belle, et le soleil brillait, mais dès que Neros ferma la porte de son antre, la noirceur glissa sur le sol, rampa sur les murs, pour venir fusionner au plafond, enveloppant ainsi la pièce d'un voile de malaise, rendant l'atmosphère trop lourde pour être ignorée.

Kâa releva ses grands yeux. De l'autre côté de la longue table à laquelle elle était assise, se tenait l'Ange, déployant toute la lumière de sa race, contre la pénombre de cette pièce devenant de plus en plus petite « La contradiction est amusante... Tu ne trouves pas ? » La tasse alla à nouveau jusqu'à ses lèvres, avant de se poser doucement sur la coupelle en porcelaine, l'accueillant. La femme finit par se lever, décalant sa chaise, alors que sa voix claire finissait de résonner dans la pièce « J'aimerai te souhaiter la bienvenu mais... D'après ce que j'ai compris, ce n'est pas ta première fois. » Elle glissa ses doigts sur ses lèvres rosées, esquissant un léger sourire, avant de secouer la tête pour rabattre une mèche de cheveux qui la gênait. Regardant ailleurs tout en faisant face à l'homme elle mit les paumes de ses mains vers le haut, les bras pliés, de chaque côté de son corps « Je me doute que tu n'es pas venu ici pour boire le thé. Ceci est la représentation symbolique de ton âme. C'est très... Noir, n'est ce pas ? Alors que fais tu en Ange cher disciple ? » Ses pieds nus se mirent à marcher, et elle effleura à peine les tapis qui jonchaient le sol « J'ai du mal à croire que tu te sois réincarné... Visiblement du mauvais côté. Quel dommage, non ? Du gâ-chis. » Elle pouffa de rire, avant de lui tourner le dos, pour se rapprocher d'un mur. Elle en toucha la substance noire qui s'échappait en fumée, tout en bougeant « Tu es ton Tout. En quoi puis-je t'être donc utile cher Ephémère ? » Dans un geste, elle se retourna, dans un tourbillon de voiles qui couvraient son corps. Son kimono et ses pans en satin se reposèrent doucement.

Kâa se rapprocha doucement de l'Ange, un petit pas, après l'autre, prenant son temps. Aux alentours, la poudre parlait. Les murs murmurèrent bien des choses, des échos résonnèrent avant de s'éteindre, de voix de l'outre-monde filait sur les murs et tous se turent, à chaque fois, autour de Neros. La concentration du fluide, de la fumée, était bien plus noire là où se tenait l'Ange dont l'aura peinait à lutter contre cette Obscurité.
Affronte tes Démons.
Affronte toi.
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Sam 07 Juin 2014, 11:10


Tenebrae in Paradisus (pv Nastaé) [/!\Violent] Neros_12
Néros regarder autour de lui l’air plus fasciner qu’effrayait. L’ombre envelopper la pièce dans une beauté terrifiante. Le reflet de son âme? C’était d’une noirceur si intense qu’il pensait pouvoir si noyait aisément. Il n’avait jamais crains les ténèbres. On pouvait plutôt dire qu’il les avaient éviter avec une grande facilité. Pourtant perdu au centre de cette salle obscure il se serait laisser envelopper par se draper d’ombre, pour si réfugier. Non il n’était réellement pas effrayait, au contraire, il se sentait terriblement rassuré par cette atmosphère noire et oppressante. Un paradoxe peut être, une erreur sur tout. Du temps perdu a vouloir donner une raison a sa vie qui n’était même pas la bonne. Il c’était fourvoyer. Neros avait toujours était dévouer corps et âme aux autres. Il aurait offert jusqu’à son âme pour sauver quelqu’un qu’il aimer, mais il ce rendait compte que ceux pour qui il l’aurait fait, n’aurait pas fait le moindre geste pour le sauver lui. Il n’était pas l’un des leurs, il n’était qu’un jouet fait de bois au quel on avait donner vie. Lui avait croire qu’il était un vrais homme. Un homme avec sa propre penser, ses souvenirs et sa volonté. Manipuler. L’ange se rendait compte à présent comment on c’était amuser a lui mentir, le mener dans un bateau, échouer à présent de sa longue croisière. Seulement, peut être que ce qu’ils n’avaient pas envisager c’était qu’il avait malgré tout était, effectivement, tailler dans la même pierre que ses parents. Il ne les laisseraient pas continuer leurs jeu du quel le prendrait pour le plus stupide et pousserait l’humiliation a son paroxysme. Au fond c’était déjà trop tard. Neros n’avait plus rien à perdre.

Le rouquin regarda l’esprit ce déplacer dans la salle, avec grave et volupté, ne touchant même pas terre. En tout cas elle en donnait la forte impression. Il n’avait pas fallut quelque seconde pour qu’elle comprenne, qu’elle lise en lui. Il était persuader que sa rage contenue ce lisait dans ses yeux. Il ne voulait plus jamais subir leur pression. Plus jamais faire partie de cette famille, car au fond il n’en était pas le fils. Qu’un faux semblant. Une magnifique mascarades. Des frères a en pleuvoir. Il jurait de tuer jusqu’au dernier qu’il croiserait sur sa route, par dégout ou par pitié. Quoi qu’il arrivait il rendrait service a se monde. Il avait déjà une liste et savait par qui commencer. Peut être devrait-il passer sa vie à faire grandir sa puissance pour en avoir la force, mais se n’était pas la patience et la détermination qui lui manquer. Ils allaient apprendre ce que le mot tenace voulait dire. Trop longtemps il avait refouler sa vrais nature. Aujourd’hui rien ne l’empêcherait d’embrasser son destin. Sans regret, sans douleur ni honte d’être qui il était sensé être.

Il entendait des murmures autour de lui. Cela emplissait la pièce. Pénétrait son coeur et il souri le sentant noircir. L’ange perdait de son éclats, ce laissant aisément souiller par les ténèbres. Il les voulaient en lui, il les nourrirait de sa chair, de son âmes. Tout son être les désirait les accueillir. Fermant ses yeux émeraude qui le dégouter a présent, il prit a grands poumons cette atmosphère suffocante, mais y trouva le plaisir et fini d’achever sa volonté. « Faite de moi ce que j’aurait toujours du être. » Il rouvrit ses yeux sur l’esprit, son coeur battant d’excitation et d’appréhension. Cette fois c’était la fin, il le savait. Neros rentrait dans une nouvelle ère. « Je ne suis fait que de ténèbres, pourquoi m’infliger la lumière plus longtemps ? » Hérésie que d’avoir crue un instant possible qu’il puisse passer une vie de malheurs en désirant le bien. Il ne serait entièrement satisfait qu’en sèment chaos et destruction autour de lui. Il avait si longtemps désirait oublier la noirceur qui nourrissait son être, désirait ardemment s’en repentir. Cela n’en valait pas la peine. Il avait comprit aujourd’hui. Il savait réellement ce qu’il était et ce qu’il valait. Les autres ne l’oubliait pas et il ne risquer plu de ce cacher. Non, se ne serrait plus une faiblesse, mais là où il puiserait sa force. Là où brulera sa vengeance. Personne ne pourra plus jamais le blesser avec cette armure forger a partir de ce qu’il avait crue être une honte pour lui et les autre. Aujourd’hui les autres il s’en taper comme de sa première fois. Les autres, ce n’était pas lui. Si avant il avait était un être vouer a la bonté et la générosité, a présent plus rien ne l’empêcher d’être un monstre d’égoïsme. Rien ne le retenait a présent.

« Je ne donnerait pas un soupire de plus pour combattre ce que je suis. Un démon. »
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Dim 08 Juin 2014, 19:28

« Je vois que tu es prêt à accepter ta vraie nature, cependant... Il ne faut pas bruler les étapes. L'impatience est maitresse de folie, Neros, et je préfèrerai que tu n'en sois pas encore atteint. » Kâa le regarda, le laissant se perdre dans l'étendue bleutée de ses yeux « Il y a quand même un monde entre toi, tel que tu es, et le Démon que tu veux être. Le chemin sera peut être longue, surement dur, mais pas impossible. Tu seras celui que tu voudras être et moi, je serai ton guide. » Elle sentit en lui l'envie bouillonner. Cette envie irrépressible de se jeter dans le flot des Ombres, pour glisser sur la pente de la Noirceur et plonger dans les Ténèbres les plus obscures. Elles, et personne d'autre « L'Enfer n'attend que toi... Je le conçois mais, dis moi... Pourquoi ? Pourquoi avoir fait tout ce chemin pour au final je dirai, un retour aux sources ? D'abord dénué de puissance, puis Ange et finalement quoi... Démon ? As-tu seulement idée que les choses vont changer ? Tu ne seras plus personne, et tout le monde chercheras à te tuer, ou pactiser avec toi par le mal. Mais tout ça... » Elle frôla le tapis de son pied « ...je suppose que tu le sais déjà. Alors dis moi. »

Ceci passé, Kâa rajouta « Le schéma est simple. Tu vas disparaitre d'ici, chargé d'une mission... Pour moi. » Elle prit place dans un fauteuil et tapa dans ses fines mains, faisant disparaitre la noirceur de la pièce et l'ambiance en résultant « Avant de passer définitivement Démon, et que ton essence migre, il te faudra subir le stade de la déchéance. Concentres-toi sur un péché. L'Orgueil ? Non, tu n'es pas assez prétentieux, mais tu pourrais le devenir. La paresse ? hum... La Luxure t'a quitté il y a bien longtemps, peut être... L'Envie ? Quoi que, vous avez tous Envie. Alors la Colère. » Elle retint un petit rire « Bien, tu choisiras, le reste est à toi. Lorsque tu aura connu l'amertume des ailes noires, et auras récupéré mon bien, alors je penserai à changer ton essence, mais pas avant. »
L'Aether le regarda à nouveau « En haut de l'Edelweiss se trouve les iles suspendus. Dessus... Un centre d'entrainement abandonné. Ah ah... Fou fut celui qui était allé l'installé là-haut. Un traitre sans nom, s'étant plusieurs fois mutilé son âme, déjà rance, pour appartenir à toutes les races sans souverain, et renverser celui qui aurait osé se mettre sur son passage... » Kâa mit sa main sur ses yeux « Lui a disparu et, malheureusement, son espèce de camp lui a survécu. Seulement, il empiète sur des terres sacrées, où des fleurs uniques poussent. Tu vas aller le détruire. » Elle reprit sa voix sévère et enleva sa main « Tu vas détruire ce complexe, tuer les survivants, et mettre à sac le village le bordant. Je ne veux plus rien ces îles. Elles doivent être vierges, comme au premier jour. Ces traitres n'ont que trop longtemps perduré. »

Elle tapa dans ses mains, et fut immédiatement devant Neros « Ne bouge pas, sinon tu vas te faire mal. » Lui envoyant un sourire mutin, elle lui donna un coup dans le torse qu'il ne pu éviter, et attrapa en lui quelque chose, dont elle en sortit la substance. Sa bouche s'ouvrit, et le fluide noir se transforma en fumée, la même que sur les murs, pour venir dans sa bouche, se réfugiant dans son estomac. La seconde d'après, Neros était aux pieds des Montagnes.
La télépathie fonctionna entre eux « J'ai la moitié de ton âme Neros. Je te contrôle. Obéis moi, et tu auras ce que tu voudras. Bonne chance... »

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Lun 09 Juin 2014, 10:52


Tenebrae in Paradisus (pv Nastaé) [/!\Violent] Neros_17
Pourquoi ? Neros esquissa un sourire. Amer. Par ce qu’on ne lui avait jamais laisser le choix. Par ce qu’il avait était assez stupide de croire qu’il pouvait être le fils parfait. Par ce qu’il avait rechercher dans les yeux de sa mère, dans ceux de son père, la fierté et que lors ce qu’il en avait vu un éclaire il c’était senti si griser qu’il avait était près a donner sa vie pour mériter plus. Quel abruti. Il ce dégouter lui même. Ils n’étaient même pas ses vrais parents, que des imposteurs qui n’en avait rien a foutre de lui ou de son sort. A quoi bon tout changer ? A quoi bon ce battre contre ce qu’il était ? Il ne vivait pas la vie qu’il rêver d’avoir. Il subissait les jours les un après les autres. Neros ne rechercher pas le bonheurs, mais voulait fuir le malheurs. Ce n’était pas par ce qu’on était baigner de lumière que le monde devenait soudain plus beau et merveilleux. Une belle con*erie encore. Etre un démon c’était ça seule chance d’être enfin qui il était. D’assumer complètement le coeur noirci qui ne battait plu dans sa poitrine. Il n’avait que faire a présent de sa « famille ». Il voulait vivre sa vie et délivré au monde ce qu’il avait trop longtemps garder en lui, comme une honte. Aujourd’hui, de quoi pouvait-il avoir peur ? « Par ce qu’à présent, j’ai le choix. » Après tout, quand il était mort, quand ses os ce firent broyés par les pierres tailler d’Utopia on ne lui avait pas laisser le choix, les ombres l’avaient emporté vers la lumière. Il réalisa qu’il aurait du tuer cette homme ce jour là, que ça vie aurait changer et qu’il n’aurait pas eu a souffrir autant. Il n’avait jamais eu le choix, il était devenu humain a cause de Violette. Neros ne cacha pas un rictus de dégout. Il n’aimer pas les humains, avait détester en être un, et ne voyait pas pourquoi les anges devaient protéger des êtres si faible et insignifiant. Oui, il décider cette fois seul de son sort et ce fut la meilleur chose qui puise lui arriver. C’était la première fois de puis le début de sa vie qu’il prenait son propre chemin, par sa propre volonté.

Neros, l’ange révolté, regarda l’esprit s’assoir. L’obscure atmosphère ce dissipant. Cela ne changea rien, l’âme de Neros en était baigner. Il lui faudrait choisir un péché disait-elle. Il souri à nouveau de cette façon narquoise qu’il avait de rire des choses. Quel merveilleuse perpective. Etre un ange était devenu insupportable, il avait pourtant beaucoup travailler sur lui, effectivement il était pratiquement devenu asexué par leurs faute. Une hérésie. Tout ce qu’il n’avait pas pu faire le rendait fou de frustration. La luxure n’était pas le plus dur contrairement a ce que les autre races pourraient croire. Pas une fois il n’avait pu exploser de colère, crier, ce défouler. Jamais il n’avait eu le droit de rester chez lui a rien faire pour le simple plaisir de trainer des pieds. Ce venté, même juste pour rire était très mal considérer. Un ange était humble, toujours droit, jamais il ne devait faire un tau pas. Ennuyeux et fade. Voilas ce qu’était un ange, un être vide, commander par des lois stupides qui les forcer a être trop gentil, trop souriant, trop serviable. Répugnant de bienveillance. Stupide de complaisance. Ce n’était que des détaille par fois, mais cela lui avait bouffer la vie.

L’être encore fait de lumière, acquiesça calmement, mais bouillant d’impatience aux directive de l’esprit du temple. Il devait connaître la déchéance avant d’embrasser les ténèbres. C’était un mal pour un bien, même si les déchus était pour lui aussi hypocrite que ces débile de colombes. De vrais pigeons. Lui ce mettait en chemin pour devenir un corbeaux, quitte a ce que sa vie ne soi que désolation et chaos. C’était étrange, mais cette perspective le rendait joyeux et fendit son visage d’un sourire radieux, mais aussi, étrangement menacent. Il était près. Près a détruire tout ce qu’elle voulait qu’il détruise, avec un formidable élan de plaisir. « Elles doivent être vierges, comme au premier jour. » Neros senti un frisson d’excitation le parcourir. Jamais il ne c’était senti aussi trépidant d’impatience pour quelque chose. Cela ne l’empêcha pas d’avoir un sur saut lors ce que l’Aether apparut tout juste devant lui. Ils adoraient faire ce petit effet, il l’avait oublier, mit de coter ça mise en garde. « Ne bouge pas, sinon tu vas te faire mal. » Le rouquin fronça les sourcilles. Seulement il n’eut nullement le temps de ce demander ce qu’elle voulait, qu’il était déjà trop tard. Sa paume frappant son torse, entrant littéralement sa main dans sa poitrine. Ce n’était pas sans douleurs. Rien d’insurmontable, mais assez pour laisser sur son visage paraitre la souffrance. Elle retira sa main, renfermant quelque chose de noir qui n’était ni un coeur, ni un bouts ‘autre organe ce qui quelque part rassura Neros. Elle sembla l’avaler, du moins c’est ce qu’il comprit, mais encore une fois sans autre explication ni temps d’adaptation a la situation tout autour de lui avait disparut pour ce retrouver entouré des montagnes et du froid des monts.

Dans sa tête résonna alors des penser ce heurtant au sienne. La voix de l’esprit ce faisant entendre. Il n’apprécia pas trop de l’avoir dans la tête, ni qu’il doivent encore être soumis a une quelconque force et doivent obéir, mais si il devait en passer par la tans pis. Son pied ce leva pour ne faire qu’un pas, mais il n’avait pas comprit a quel point cette perte d’une partie de son âme était un problème, et il trébucha pour s’effondrer sur le sol. Le manque ce fit alors sentir. Il avait mal, ce n’était pas réellement physique, c’était quelque chose de pire. Il ce sentait vidé d’une partie de lui même. déjà qu’il ne ce sentait pas lui avant, alors a présent il avait la sensation de s’approcher du néant. Ce redressant en s’aidant de ses bras, il leva les yeux vers les sommets. Il le ferait, quitte a mourir ici. Il n’aurait rien perdit, il serait mort pour la première fois en faisant quelque chose pour lui, et pour lui seul. Ce levant, il lui fallut une minute pour reprendre son souffle. Détruire des bâtiments et tuer des hommes n’allaient pas s’avérait facile si il ne s’habituer pas très vite a sa condition de demi-âme. Seulement même une fois debout, quand il eut naturellement déployé ses ailes, il ce senti déséquilibré et chuta a nouveau. Le souffle couper, la sensation d’avoir la poitrine grande ouverte. Sa tête le tourné, son coeur s’emballait, des sueurs froides lui donnant une étrange fatigue. La ménopause ce n’est pas pour aujourd’hui. ce moqua-il de lui même, au moins soulager de ne pas avoir perdu son sarcasme et encore moins sa volonté. Une nouvelle fois il s’hissa sur ses deux pieds. Levant les yeux vers les nuages cachant certainement les îles suspendus.

« Hey ! Monsieur ? Vous allez bien ? » Cela commencer bien. Il aurait du passer son chemin. Il aurait du par ce que Neros c’était promit de tuer tout ceux qu’il croiserait sans exception. Question de principe. L’homme, semblait être un voyageur. L’ange tourna son regard vers lui et lui souri. Si il avait eut d’autre ailes, une aura moins lumineuse il savait que jamais cette homme ne serrait venu a son « secoue. » Près de lui et un peut essoufflé l’homme semblait inquiet et avoir presque couru pour l’aider. « Vous avez besoins d’aide? » Peut être est-ce a cette instant que Neros réalisa que tuer un homme ne serrait pas aussi simple pour quelqu’un qui n’avait jamais tuer autre chose que quelques animaux pour manger.
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Lun 09 Juin 2014, 15:13


« Vous avez besoin d’aide ? » Hakiel s'était approché du type qu'il avait vu se vautrer plusieurs fois. Il tenait pas debout, et lorsqu'il avait voulu voler, bha... Fallait le dire... Il s'était bien étalé. A la place de rire, l'homme était tout de suite allé voir l'Ange, de peur que celui-ci ne soit blessé. Seulement, lorsqu'il se releva, sur son corps, rien n'était visible. Il ne répondit pas à l'inconnu, et Hakiel prit alors les devants « Vous êtes blessé ? Laissez-moi vous aider ! » L'homme regarda le type. Ok, c'était un Ange, mais il avait un petit quelque chose qui ne le rassurait pas. Il ne valait mieux pas le toucher sans son consentement. Même s'il aurait pu l'aider immédiatement, il préféra l'observer pour comprendre sur quel terrain il mettait les pieds. Avec tout leur merdier de valeurs et compagnie, il préférait pas mettre les pieds dans le plat. Se reculant pour ne pas ressembler à quelqu'un en train de le dévisager, il regarda dans la même direction que le roux « Vous devez aller là-haut ? » Il était du coin. Hakiel ne vivait pas depuis très longtemps sur la terre ferme, mais depuis qu'il avait posé ses pieds dessus, il s'était réfugié dans les montagnes. Le genre de chose assez improbable mais pas impossible. Il aurait pu le guider, ou l'accompagner, mais étrangement, il se retint de lui donner un peu plus de son aide, trouvant qu'il faisait de moins en moins bon de trainer à ses côtés.

De l'autre côté, dans son énorme belvédère, Kâa observait la scène. Son but n'était pas d'intéragir avec le duo, mais elle hésitait à mettre l'Ange sous pression. Le futur démon aurait plus de chance de craquer si elle lui imposait des défis, peut être même non relevable, que si elle le laissait vaquer à ses occupations. Déjà, elle avait ingéré la moitié de son âme, et le goût acide de celle-ci, dansait encore sur ses papilles insensibles « Rappelle moi à quoi cela de te sers de perdre du temps ? » Elle observa sa réaction.
Malgré tout, ça ne lui allait pas. Il disait vouloir le mal, et pourtant, elle sentait plus que de l'hésitation, quelque chose d'autre « Libère toi de cette emprise... Laisse le t'accompagner. Ce pauvre Ondin a cru bon de vouer sa vie à la terre, eh bien il aurait mieux fait de rester chez lui. » Elle caressa son esprit pour lui faire comprendre que de toute façon, il n'avait pas bien le choix, qu'elle détenait une partie de lui, et que ce qu'elle voulait voir, elle le verrait. Il fera ce qu'elle voudra, dans une certaine mesure. « Il va te guider jusqu'à la troisième stèle en Arshàla. A ce moment, il te montrera, dans sa bonté, où il vit. Parles avec lui, mets le en confiance. Tu es un Ange, mais il est trop méfiant. Je te laisserai décider de son sort... Ou je t'y aiderai. » Elle pouffa de rire, avant de sortir de là.
Kâa manipulait les âmes, car elle n'avait pas confiance aux races mortelles mais, ici, Neros avait presque toute sa liberté... Elle détenait une partie de lui, de manière à avoir une garantie. Ni plus, ni moins. L'adaptation du corps, quand à la perte de sa moitié, ne se ferait que pendant un temps. Si elle avait fait cela, c'était parce qu'elle savait qu'il allait s'en remettre. Il était arrivé au statut d'Archange, c'était quelqu'un avec une force mentale et physique conséquente, dans le même chemin que son père. Oui.... Evidemment qu'il allait s'en remettre...

Hakiel pointa le sommet du doigt « Si j'étais vous, je me presserai quand même un peu. Vous voyez ces nuages noirs là bas ? Ils vont venir par ici. Soit vous attendez qu'ils passent, soit vous commencez à grimper de suite. » Il reprit son bras, regardant l'Ange « Mais que faites vous exactement ici ? J'étais... Là-bas, et je ne vous avais pas vu jusqu'à il y a cinq minutes. Comme si... vous étiez tombé du ciel. Incroyable non ? » Le type se mit à rire  L'inconnu était un homme ayant la trentaine, le teint blanc et les yeux marrons. Ses cheveux étaient blond platines, presque blancs, et c'était sa vraie apparence. Kâa n'avait pas juger bon de trop lui en dire sur cet inconnu. Ils feraient route ensemble, se battrait contre la faune hostile... Si Hakiel se débrouillait bien, il arriverait même à faire voyager Neros au-delà de sa demeure enneigée.
Seulement, pour l'Ondin, peut être que ce voyage, sera son dernier, avant l'Ultime...
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Lun 09 Juin 2014, 18:25


Tenebrae in Paradisus (pv Nastaé) [/!\Violent] Neros_19
« Incroyable. » Souri amèrement l’ange en ce reprenant. Les mots de l’esprit tournant en boucle dans sa tête. Il avait reposer ses yeux sur l’homme a ses coté. Un ondin terrestre donc. Le destin avait par fois un drôle d’humour. Il devait renoncer a tout ce qu’il avait était et accepter l’inévitable. Libéré l’être immonde qu’il était. Ce n’était pas aussi simple que cela. Au contraire. Lors ce qu’on avait aussi longtemps fêter la vie, la protègent au prix de la sienne, il était délicat de viré de bord le temps d’un éclaire. L’orage était bien visible, mais il peiner à laisser entendre le tonnerre. Neros devait ce reprendre. Il s’épousseta finalement les bras, réalisant u’il était a moutier nue, une vieille habitude a la quel il ne faisait plu attention. « Uhm, oui. J’ai chut. » Il ricana en ce passant une main dans sa crinière rousse pour ce redonner contenance et faire illusion d’une grande assurance. « J’ai du me cogner la tête, je suis désoler j’ai eu quelque minutes d’absence semble-t-il. » Il trouvait cruel d’utiliser un homme pour assouvir ses propre fins, mais au final n’était-ce pas ce qu’on avait fait de lui toutes ces années ? Etait-ce pire de ce jouer d’un inconnue ou bien d’un être aimer ? Aimer, c’était le mot de trop. Le mot fâcheux. L’ange serra la mâchoire, la haine ce glissant a nouveau dans ses veines, mais il continua de sourire a ce brave ondin. Il fallait un début a tout, et la première victime de ses mauvaises actions serait cet homme. Il ne pensait pas lui faire de mal pour le moment. Tout viendrait en son temps. Pour le moment il n’était pas assez imbibé de ténèbres pour en arriver là. Et puis. Kâa avait raison, autant utiliser l’arriver inattendu de l’inconnu a des fins bien plus pratique. « Je suis ici en mission pour la reine. » Déployant ses aile dans un geste innocent, il fit apparaitre l’éclat de son rang au sain des célestes créatures. La clarté de son aura serrait son passeport pour décrocher la confiance de l’ondin. Relevant les yeux vers les sommets, il continua sa démonstration, feignant l’incompréhension d’un pauvre homme au service du bien cherchant son chemin. « Je doit rejoindre les îles suspendu et je pensait pouvoir y volé, mais le temps ne semble pas de mon coté. »

Le mieux était encore d’être agréable sans semblait vouloir réellement attacher un lien avec la personne. Elle ce sentirait oppresser, soudainement trop particulière, cela risquer de faire émerger des soupçons. L’ondin devait ne rien craindre, plonger dans une confiance absolu et trouver le besoin de l’aider comme un devoir. Il était bon, bienveillant, ayant eu de lui même le désir de l’aider, ce précipitant au près de lui. C’était un atout a ne pas raté. Ce servir de la candeurs des autres pour son seul et unique besoin personnel. C’était une certitude, Neros jouer naturellement la comédie, ce moquant si facilement et innocemment des autres de puis si longtemps que lui même ne ce rendit pas compte a quel point ses pensés devenaient mauvaises. C’était à la fois si simple et agréable de ce sentir supérieur juste en trompant une personne. « Vous dites que je doit grimper ? » Il baissa ses yeux émeraude vers l’ondin, prenant un aire préoccuper. « Vous vivez ici ? Vous sauriez m’indiquer un sentier praticable jusqu’en haut ? » Il s’approcha de l’homme au cheveux platine, plantant ses yeux directement dans ses prunelle marrons. Le lien de confiance devait marcher maintenant ou jamais. Laissant paraitre dans ses propre yeux l’inquiétude et la volonté de ne vouloir abandonner, la même que celle qu’il avait de détruire tout ce qui serrait près de lui une fois la haut. « Je ne peut décevoir ma reine. C’est mon devoir, comprenez vous? » Une légère pression, pour l’obliger a prendre une rapide décision et le plier de son coté.

Le visage de Neros était impassible, ses yeux lui criant de lui donner une réponse au plus vite, il n’avait pas le temps. Son âme était déchiré en deux et ce n’était pas agréable a ressentir. Il pensa quelque secondes a sa reine. Nydélia. Il faillit en rire, mais retint son rictus. Si elle avait, si ils savaient tous ce qu’il était prés a faire pour enfin plonger dans l’océan de ténèbres qui lui tendait les bras de puis si longtemps, ce laissait noyé dans les méandres diabolique de la noirceur de son âme. Il était un démon. peut importe quel apparence il avait, ou de quel race il devait subir les lois, au plus profond de lui, il était un corbeau aux plumes noire et rachitique, dévoré par le mal.
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Mar 10 Juin 2014, 22:00


L'Ondin esquissa un sourire « Ca arrive. Il est important de prendre le temps de reprendre correctement ses esprits, sinon vous risquez d'aggraver votre cas. », « Ah ah ah... » La voix de l'Aether sembla résonner à travers la plaine, mais vu la réaction du type, qui continua à parler, Neros du être le seul bénéficiaire de ce rire. Hakiel mit sa main sur son front et fit volte-face pour observer la plaine derrière eux « Le plus embêtant avec ce genre d'orage, c'est qu'il apporte des tempêtes avec lui. J'espère que... » Seulement il ne pu finir sa phrase. Entendant que le type était en mission pour sa reine, il prit conscience de l'ampleur de la situation « Je... » Hakiel fut acculé de son aura, de sa présence, et de sa détermination. Il devait atteindre les îles, a tout prix pour, peut être, la survie de sa race, et voilà que l'Ondin était peut être le seul à pouvoir l'aider. Fronçant les sourcils il dit « Bien sur ! Je vais vous aider ! J'habite plus loin, dans les montagnes, ne vous inquiétez pas, je vous guiderai jusqu'à ce que vous puissiez à nouveau voler ! » Il était franc et sincère, heureux de pouvoir se montrer à la hauteur d'un véritable Ange. Malgré sa condition d'Ondin, il avait quitté les siens depuis bien longtemps pour prétexter être aussi mauvais qu'eux. Sa condition de vie sur terre l'avait même attendrit, voyant en les humains, les bipèdes, des gens bien inoffensifs. Mais cela altéra aussi sa méfiance. Il n'était plus aussi réactif qu'avant, bien au contraire.

Commençant à marcher vers les pics enneigés il dit « Je ne suis pas aussi patriote que vous, mais je comprends le besoin que vous ayez à remplir correctement vos objectifs. Les chemins sont beaucoup plus dangereux et escarpés vers le sommet. Je vais devoir vous quitter aux trois quart je pense, pour retourner chez moi. Sinon après, je ne pourrai plus descendre. » L'Ondin racontait ça avec entrain et engouement. Le genre de joyeuseté soit touchante, soit écœurante. C'était même risible et improbable qu'il appartienne à un peuple devenu si sanglant.
Hakiel commença à grimper. Il indiqua à droite ou a gauche, tout ce qu'il croisait. Enfin beaucoup de chose. Il adorait la flore et la faune montagnarde et regardait de loin l'orage s'approcher. Les nuages commençaient à empiéter sur leur terrain.
Cela faisait une heure qu'ils montaient.
« Ouf... Ca commence à être dur... » L'altitude se faisait sentir et le froid aussi. Hakiel jeta un coup d'oeil à l'inconnu « Il vous faudrait peut être des vêtements... » L'homme mit ses mains en coupe et une lueur apparut. Des habits en coton simple apparurent « Tenez. C'est pas très beau, mais c'est mieux que rien. On va essayer de contourner cette butte. Derrière se trouve une sorte de repère pour les bêtes du coin. Elles sont assez féroces. Le mieux est de passé par là, le chemin est plus long mais étrangement moins dangereux ! » Hakiel reprit sa route « Dommage, je me serai fais une joie de connaitre le goût de son âme plus tôt que prévus... Ne tarde pas, tu atteindras le sommet dans quatre heures tout au plus. »

Malheureusement, les contres-temps étant monnaie courante, un d'eux arriva. L'Ondin montra à Neros sa maison, enclavé entre des rocs et pourtant à l'abris. Seulement, il ne s'attarda même pas pour prendre quelque chose et continua l'ascension. Ses pas le guidèrent sur le sentier, jusqu'au bout. Comme l'avait prévus l'Aether, ils dépassèrent des stèles en écritures étranges, et les ignorèrent « Attention, le sol est gelé... » L'altitude commençait à peser sur les épaules de l'homme. Pourtant habitué, c'était toujours quelque chose de désagréable la pression « On pourra se reposer au prochain plateau. » Il soufflait, transpirait malgré la température, avant d'atteindre, les pieds dans la neige, le prochain plateau. Faisant une pause, il respira a plein poumons l'oxygène, pour en ingérer le plus possible. C'était à nouveau supportable. Mais à partir de là, c'était une vraie purée de pois qui s'abattait devant eux « La tempête a déjà commencé... L'orage n'est pas l... » Mais à peine prononça-t-il le dernier mot que le tonerre craqua sur leurs têtes. La montagne devint tout à coup impraticable « Allons nous réfugier ! » cria-t-il par dessus le boucan.
L'Ondin couru vers un renforcement de rochers. Le sol était instable, et des plaques de verglas se déplaçaient pour chuter. Prenant le bras de l'Ange, il indiqua un endroit et le tira pour se réfugier à l'intérieur. Malheureusement, le sol craqua et les hommes tombèrent dans une crevasse.

L'Ondin se brisa un bras. Ils avaient atterrit sur un 'étage' de la crevasse, évitant ainsi une chute mortelle directement au fond. Seulement, pour Hakiel, ce fut assez pénible « Oh non... Aah ! » La douleur était sévère, et de grosses gouttes perlèrent sur son visage.
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Mer 11 Juin 2014, 00:04


Tenebrae in Paradisus (pv Nastaé) [/!\Violent] Neros_20
Neros était docile. Adorable ange au service de son peuple, fidèle à sa reine, dévouer à la bonté. Il était si simple de jouer les grand coeur quand on c’était menti toute sa vie sur ses propres conviction. Jouer la comédie aux autres devenait si simple quand on était soi même persuader de la supercherie. Quelque part Neros s’en voulait. Hakiel était un ondin agréable et plein de gentillesse. La culpabilité, trait de l’humanité, faiblesse des esprits faible. Seulement malgré sa rancoeur et sa volonté a bouleversé sa vie pour enfin embrasser son destin, le rouquin était toujours asservie a la lumière. Ce n’était pas simple d’aller a l’encontre de sentiment aussi fort que ceux là. Il fallait voir le visage de l’ondin, ravis de lui venir en aide comme si tout son propre destins résidait dans cette acte de charité. C’était a en attendrir le futur démon. Si il savait ce qu’il faisait en réalité. Si ils avait qu’il l’envoyait directement en enfer. C’était tout de même émouvant. Neros ne pouvait pas s’empêcher de le trouver adorable et d’avoir de la peine pour lui. Peut être se moquait-il, peut être était-ce du sarcasme, il n’aurait su le dire lui même. Il aurait pu ce laisser attendrir au point de penser a la sécurité de l’ondin, mais l’ange était omnibuler par une chose importante également : les minutes qui passaient et l’éloigner de son but. Kâa avait avec elle la moutier de son âme et il voulait la récupéré bien autant qu’il voulait épouser les ténèbres.

Le temps passer encore et encore, et Neros ne disait jamais mot ce contentant de sourire ici et là quand Hakiel lui parlait, l’air concerner par sa vie, mais en réalité l’ange n’en avait absolument rien a faire. Il avait un guide cela lui suffisait pour sa survit, en attendant qu’il ce face à sa perte d’énergie du au déchirement de son âme. Il s’avéra que l’ondin fut une vrais perle, quand il trouva de quoi les abriter. Cela dit ce fut de réel courte duré car le sol s’ouvrit presque littéralement sous leurs pieds, les laissant tomber dans une crevasse. La chut fut douloureuse et pas sans égratignure, mais Neros eu de la chance, où peut être plus que cela ne sait-on jamais. Il soigna ses bobos en quelques seconde a peine, ce redressant rapidement pour regardé près de lui. Sa tête lui tourné un peut, le manque d’une partie de son âme l’empêcher de reprendre ses esprits aussi rapidement que la normal, mais il vit bien Hakiel souffrir le martyr et il comprit rapidement le problème. Le bras de l’homme était briser. Neros regarda autour de lui. Ils avaient échapper a une belle mort cela dit et pouvaient s’estimé heureux. En quelque sorte si il était mort cela n’aurait pas était un drame en soi, mais bon, cela aurait était de la faute de l’ondin, et ça ce n’était pas un bon point pour lui. Ce levant enfin, il s’approcha toujours sans un mot vers l’ondin. Le regardant a ses pieds, il leva les yeux vers les hauteurs. Il ne pourraient pas remonter avec lui. Il faudrait u’il monte, puis qu’il le hisse d’une manière ou d’une autre.

L’ange devait prendre quelque seconde pour réfléchir, mais entendre Hakiel gindre le rendait nerveux, alors il le frappa violemment sur le crâne assommant littéralement l’ondin qui s’effondra sur la roche gelé.  Satisfait du silence qui régner a présent dans la crevasse, l’ange soupira réalisant qu’il ne pouvait pas non plu transporté un poids morts. Pas de chance. Le sommet ne devait plus être loin et donc les îles non plu, mais l’orage n’allait pas être facile à affronter. Trop de choix et d’obstacles, il fallait faire des choix. Alors très vite Neros prit l’initiative de réduire sa liste de besogne et poussa du pied le corps d’Hakiel. Il le regarda a peine tomber dans le vide, ce retournant vers la surface. Il n’entendit pas les os de l’ondin ce briser sur les rochers, mais il eut un long frisson qui parcours sa propre chair. Serrant les poings, il du contrôler un léger tremblement, entre l’excitation et l’horreur d’avoir commis un meurtre. Il voyait clairement le visage de l’ondin, entendait sa voix, ressentait sa joie. C’était insupportable. Il n’était pas encore indifférent a la mort, au contraire, l’être cruelle était timide et il ne pouvait ce réjouir totalement de sa première mort bien que « douce ». Il n’avait pas réellement eu a affronter les yeux ou le sang de se pauvre homme innocent.

Après un instant de pose, où Neros du ce concentré pour prendre un rythme de souffle calme et maitriser, il réussit a s’envolé dans une pulsion puissante. Atterrissant a la surface de la crevasse, il osa jeté un dernier regard dans le vide, laissant échapper de ses yeux le regrets de son choix brutale et barbare. Il ce remit en marche rapidement. La pluie faisait rage, le vent souffler violemment et les éclaires annoncer avec fracas les tonnerres. Neros devait combattre cette impressionnante déferlante de colère d’une nature qui n’avait aucune pitié. Levant la tête, il resta pourtant calme, même si il ne pouvait ignoré le tambourinement de son coeur dans sa poitrine. la peur, l’anxiété, la culpabilité, l’impatience, l’excitation, il y avait un mélange de tout qui chambouler son corps, mais son esprit taché de rester neutre. Il laissa l’eau couler sur lui et trempé ses vêtements avant d’ouvrir les yeux sur le ciel noir et fendu de flash aveuglant. il devait aller là haut, au dessus des nuages. Puisant dans toute son énergie, l’ange élança ses grande ailes immaculé et fonça droit dans la noirceurs de l’orage. La pluie, le vent, tout fouetter son visage avec rudesse, mais il n’en avait que faire guider par sa volonté d’en finir et de lâcher prise, de n’avoir plu aucun compte a rendre a personne et pouvoir déchainer sa vrais nature sans regrets ni besoin de pardon.

Les éclaires autours de lui frappèrent. Terrible, insensible, dévastateur, il auraient voulu être comme eut. N’avoir ni conscience ni sentiment, juste être le bras de la nature, faire ce pourquoi ils étaient créer et étendre le chaos là où il devait frapper. Ce fut sous les coups de tonnèrent qu’il sortie de la mer de nuage. Il trouva très vite une île tout près de lui et si posa sans attendre, épuiser de cette lutte contre les élément. Même par delà les nuage il sentait le froid, l’humidité et sur tout entendait et voyait la désolation de l’orage sous ses pieds. C’était magnifique, et Neros s’accorda quelque seconde pour apprécier ce moment. Seulement il le savait, très vite il faudrait trouver ce camp dont parlait Kâa et en finir une bonne fois pour toute. il avait déjà tuer quelqu’un, il était déjà un paria, alors plu nul doute, il ne pouvait retourné en arrière, mais autant que ses derniers instant d’ange soi les plus mémorable.
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Mer 11 Juin 2014, 09:40


« Ahah, non reviens ! », « Regarde maman ! » Deux filles arrivaient dans la direction de Neros à quelques centaines de mètres de là. Alors que l’Ange contemplait l’Orage, Kâa se réjouissait déjà. Sur la route qu’elles suivaient, se trouvait plusieurs bâtiments désaffectés dont un énorme complexe à détruire.  Ce camp d’entrainement spacieux, représentation de l’orgueil de son défunt propriétaire, fut déplacé peu avant le décès de ce dernier. Il l’installa ici, en haut de la montagne, de manière à ce que cela soit à la fois inateignable et élitiste.  Finalement, ses sujets moururent tout comme lui. Maintenant restait quelques personnes, encore fidèles, mais ridiculement peu. En sous-effectif. L’Aether ne parla pas, ne s’immisça même pas en l’Ange, laissant l’homme se régaler du spectacle du temps, avant de découvrir seul l’île, à la recherche du vrai, et de tout détruire, pour lui ramener la seule fleur.

Plus loin, les rires d’une femme se firent entendre. Le point noir se rapprochait, laissant deviner deux personnes. Une grande blonde à la robe blanche, svelte et jolie, avec une couronne de fleur dans les cheveux, et l’autre beaucoup plus petite, deux tresses châtains pendant de chaque côté de sa tête. L’un devait avoir approximativement vingt-six ans, alors que l’autre tout juste si elle atteignait les trois ans. L’enfant courait et trébuchait. Elle découvrait la rudesse de ce monde, douce innocence surveillée par ce qui avait l’air d’être sa mère bienveillante. Ses rires et ses pleurs enfantins retentirent, avant de se calmer. La femme la prenait dans ses bras, la cajolant, avant de la reposer à terre, lui laissant continuer son chemin « Attention à ta robe. » La voix cristalline de la blonde retentit.  Elles étaient a une vingtaine de mètre de l’Ange, dont les ailes étaient dehors « Bonjour… » Faelyne lui adressa un sourire alors qu’elle continuait doucement sa route « …et puis papa il dit il va reviendre avec des choses nouvelles ! Maman, maman, on n’arrive quaand ? », « Doucement chérie, il y a quelqu’un, tiens toi bien. » La mignonette se figea et fit bouger son petit nez. Elle sentit les nouvelles odeurs rapidement avant de courir vers l’Ange « N… », « Un monsieur ? Une madame ? Monsieur ! Madame ! » Elle se mit à rire comme une enfant, joyeusement, en courant vers Neros.

Elle était attirée par son aura. Tous les enfants adoraient les anges. Symbole de pureté et de protection. Le petit bout se heurta à ses jambes, tombant les fesses par terre « Ouille… !! »
Kâa intervint.
Elle serra l’âme de Neros pour que celui-ci l’obéisse comme une marionnette. Un pantin désarticulé, dorénavant tout sauf maitre de lui. L’Ange n’avait plus le contrôle. La voix de Faelyne résonna « Elle est aveugle » Qu’il lui foute la paix au moins pour ça. Et ce fut ce qu’il fit. Se détournant d’elle, il préféra finalement la mère. Bien plus fort qu’elle, la surpassant en force et en agilité, il la gifla. Ne s’attendant pas à ça, elle tomba à terre. L’Aether fit prendre à l’homme un bois mort qui trainait par là, et le brisa sur son genou pour le planter immédiatement dans le ventre de la Sirène, la clouant au sol « NOOON ! » Elle toussa, étouffa un cri et ne put se relever. Elle était accrochée à la terre.
« Ahahah ! Laisse moi te libérer Neros, laisse donc ta puissance et ta noirceur t’envahir ! » L’Ange fit volte-face. La petite, alertée par le cri de sa mère, arriva inquiète dans leur direction « Maman ? » Elle toucha son visage, alors que la mère embrassait ses petites mains en pleurant de rage.
Sans le vouloir, il tendit ses bras, souriant gentiment. Sans parler, sans dire mot. Une fois la fillette dans ses bras, Faelyne dit sous l’agonie « Lâche là, ordure ! LAISSE MOI MA FILLE ! », « Mam… »

Kâa fit en sorte que l’Ange la serre dans ses bras, portant sa main à son cou pour le serrer. La petite fille pleurait, sans supplier, sous la douleur et l’incompréhension. Ses yeux gris regardaient Neros sans cligner des paupières, et la Sirène hurlait derrière. Les doigts de l’Ange furent tellement en colère qu’ils firent plus que l’étrangler, ils trouèrent sa peau, réduisant en charpie sa gorge. Sa tête ne pendait que par quelques fils « NOOON ! LILY ! BATARD TU AS TUÉ MA FILLE ! Lily, Lily, Lily… »
Kâa fit lâcher le corps mort de la fillette juste devant les yeux de sa mère, contrainte de mourir devant cette vision d’horreur. Vu le sang qu’elle perdait, la mère n’allait pas tarder à la suivre dans cinq minutes tout au plus. Elle pleurait en prononçant frénétiquement le nom de sa fille. Du sang s'écoulait de sa bouche, et elle tendit le bras, effleurant ses petits cheveux de bébé, dorénavant dénués de vie. C'était terminé. Tout était terminé.

« Bienvenu Neros, ahahah… »

Kâa relâchant son emprise laissant l’ange devant ça.
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Jeu 12 Juin 2014, 20:30


Tenebrae in Paradisus (pv Nastaé) [/!\Violent] Neros_22
Ses poings se serrèrent, son coeur s’arrêta de battre une seconde, sa respiration se coupa. Neros ne réaliser pas ce qui venait de ce passer. Ses vêtement imbiber de sang. Rouge et collant. L’odeur insistante lui faisait tourné la tête. Ses yeux ne pouvaient ce détourner des deux corps. Horreur et dégout. L’ange était plonger dans l’incompréhension. Il n’avait rien pu faire. Il avait vécu la scène comme un spectateur lambda. Le plus douloureux ce n’était même pas cette perte de contrôle, où le faite que Kâa c’était amuser a ses dépend. Non, le pire ce fut de comprendre qu’il n’avait même pas tenté de résisté. Il n’avait ressentit, ni peine, ni colère, ni empathie. Rien. Un néant de sentiment, comme un troue béant dans sa poitrine. Cela ne lui avait rien fait. Voir la tête de cette fille ce détacher de son corps ne lui avait rien inspiré d’autre que de l’indifférence. C’était cela le pire, car a présent il ce rendait compte de l’horreur de la situation, du mal qu’il venait de faire par l’intermédiaire d’une incroyable force de manipulation, cette, mais malgré tout. Il ne c’était pas a un seul moment insurger de la prise de pouvoir de l’esprit sur lui. Pas à un seul moment il avait désirait résister. Il se sentait sale et désespéré. Alors il avait perdu son âme, cette fois c’était sur. Au fond ce que lui avait fait faire l’Aether n’était que ce qu’il avait inconsciemment enfoui en lui. Seulement pour un homme qui n’avait jamais tuer avant cette journée, il n’était pas facile d’admettre cette perte total et irrémédiable d’humanité derrière la quel il c’était si longtemps cacher.

La voix de Kâa résonnait encore dans sa tête. Petit a petit il compris que tout avait était écrit. L’esprit ce jouait de lui. Ô il savait bien qu’il ne fallait jamais accordé sa confiance a un enfoiré de divin, il aurait du le savoir mieux qu’un autre, mais voilas où mène la faiblesse d’un homme. Neros leva les yeux vers le ciel, semblant attendre quelque chose mais rien ne pouvait arriver il le savait. Les Dieux semblait avoir autant besoin des mortels qu’ils s’amusaient à en faire des jouer. L’ange naissait que l’on s’amuse avec lui, plus encore de puis qu’il avait du affronté la réalité d’une vie créer de mensonge de puis le premier jour. Alors après le dégout et le regret vin la colère. Une colère froide plus proche de la haine que de la simple révolution de l’esprit. Si la solution pour que Kâa ne vienne plu l’emmerdait il accepterait sans plus hésiter sa destiner. Il lui avait simplement fallut du temps pour ce jeté a l’eau, mais elle le pousser dans l’ouragan sans attendre de savoir si il ce noierait ou non. Son crie fut soudain et déchirant. Le tonnerre de l’orage sous ses pieds grondant plus fort encore. La tempête était infernal et le vent c’était même lever sur les îles elles même. Neros ressentait la rage grandir en lui alors que ses ailes se tinté petit a petit de noire, ses yeux perdant de leurs éclat, son aura devenant terne.

Le sentiment de colère déferla alors en lui comme un torrent impossible a stopper. Il savait que c’était cela que voulait Kâa et cela ne fit que le rendre plus haineux encore de savoir qu’il faisait malgré lui ce qu’elle désirait de puis le début, le manipulant, contrôlant tout jusqu’à sa propre penser. C’était comme si elle savait ce qui aller arriver avant que ça ne soit le cas. Dans sa bouche, un gout amer ce fit sentir, celui de la défaite et il détester perdre. Ce n’était pas dans sa nature de ce laisser battre. Ce tournant vers le camp, il fixa le château impressionnant entouré de son somptueux jardin a moutier sauvage du a son abandon. Neros a présent déchu ne pouvait plu reculer alors il céda a la seul possibilité et ce mit a avancer doucement vers l’Aishuu Kantei. Détruire cette endroit ne serrait plus un problème. Marchant dans le jardin, il entra dans l’enceinte ne rencontrant jamais personne. Il n’y eu qu’une fois dans la court qu’il fut tout de suite arrêter par deux hommes dans des accoutrement qu’il trouva ridicule, au couleurs de leurs foie surement. Ils cherchèrent a savoir qui il était, ce qu’il voulait, mais il n’avait aucune envie de discuter, il n’avait ni le temps ni la politesse de parler aux morts. Passant entre les deux gardes il ne les regarda même pas, les ignorant totalement alors que sous leurs pied, le sable de la cour commencer à prendre vie. Les grains montèrent le long de leurs jambes sans un bruit, comme un serpents, jusqu’à entré dans leurs bouches alors qu’il lui demander de s’arrêter. La dosse concédante de sable les étouffa rapidement, les rendant blanc, leurs estomac lourd et brulant. Ils tombèrent naturellement, mort, rejoignant leurs bourreaux. Neros continua son chemin avec une tranquillité qui n’était qu’un masque.

A l’intérieur l’ancien être de lumière bruler de haine et de ressenti. Poussant la lourde porte du château, il entra sans plus de problème. Quelque personnes étaient là. Discrètement, il fit glisser dans ses doigts ses couteaux de lancer pour les jeté un par un entre les deux yeux de chaque habitant. Aucun ne fut capable d’éviter la rapidité venimeuse du rouquin. Il restait pourtant un jeune garçon vivant au fond de la salle. Avancent vers lui, Neros récupéra dans chaque crâne ses couteaux ne quittant jamais des yeux le garçonnet d’à peine quelques années. L’enfant pleurant toute les larmes de son corps, ne supplia même pas quand il l’attrapa par les cheveux pour le mettre debout. Son visage de poupon déformer par la peur et le chagrin. « Crois moi, la mort est la meilleur chose qui soi. » Il ne chercher pas a le consoler, au contraire, mais lors ce qu’il enfonça son couteau dans sa gorge, il reçu un certain plaisir de voir dans ses yeux la panique et puis très vite l’abandon. Le sang coulant de sa bouche en cascade, Neros retira tout aussi doucement le couteau avant de laisser tomber le corps sans vie du garçon. Il ce retourna vers la pièce semer de morts, puis essuya un par un ses couteaux sur le tissu de son pantalon.

Il fallait encore détruire cette endroit, et il n’avait ni les pouvoirs, ni la puissance pour, mais ce qu’il possédait valait bien plus. Neros était un de ces êtres doté d’une grande capacité mental, pas réellement de réflexion pur ou de savoir, mais il savait organiser et déduire simplement par la penser. Ils avait très bien a quoi avait servit cette endroit et ce qu’il pourrait y trouver. Il savait donc comment détruire les lieux, fallait-il encore trouver ce qu’il voulait.
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Ven 13 Juin 2014, 00:16

Kâa regardait la scène satisfaite. Neros avait agis comme elle le voulait. Pas de sentiments, la révélation de sa haine profonde envers l'humanité, envers la vie, la joie, et tout ce bordel, pour au final tout détruire et ne trouver son bonheur que dans la destruction pur. Peu importait les âmes, peu importait qui il tuait, ce n'était que des corps qu'il réduisait au néant, sans plus de vie. Rien ne l'arrêtait, et Kâa, si elle n'avait pas été Aether, aurait été heureuse de voir cela. Seulement, ses sentiments n'étant que chimères et inexistence. En temps que Déesse puissante et de niveau avancée, cela faisait bien longtemps qu'elle ne cherchait plus a ressentir autre chose que la satisfaction des pauvres âmes qu'elle ingérait.
Ayant la moitié de celle de Neros, de laquelle elle se délectait, les autres que tuait le futur démon, arrivait tout droit chez elle. Se réunissant dans une sorte d'urne, tournant sans cesse dans le tourment et le conflit. Dans ce camp d'entrainement restait trop peu de monde. Quelques survivants au maitre des lieux mort, peut être des gens encore adepte de ses entrainements, mais qui furent, à leur tour, rapidement annihilé.

Neros balaya toute vie humaine sur cette île.

Kâa avait cru bon d'envoyer l'Ange dans la montagne. Avec l'ascencion, la perte de contrôle de soit, et les épreuves, pour elle, cet endroit était le plus propice à se perdre dans ses propres limbes. Ce qu'il fit et réussit haut la main. Elle ne lui parla pas de l'histoire du lieu, n'ayant pas besoin qu'il sache. Ne s'attardant pas là dessus. L'Aishuu Kantei fut jadis, sur une île aussi, mais celle-ci était perdue dans l'océan. Grand complexe prêt à se faire avalé par le géant. Puis avec les guerres, le maitre décida de faire migrer sa secte, l'emmenant, par magie, avec les bâtiments, tout là haut, détruisant faune et flore, au nez et à la barbe de Mélie. Celle-ci ne pu cependant rien faire. En voyant le cas William, elle préférait rester judicieusement à sa place
S'immisçant dans la tête de l'homme, elle n'eut nul besoin d'intervenir, voyant clairement qu'il savait quoi faire, comment procéder, et surtout, quoi faire. Tout détruire. C'était à la fois ardu et pourtant très simple. N'était-il pas plus facile de démolir que de construire ? Certainement.

Ainsi elle le laissa faire. Elle le laissa se faire déchoir, voyant ses ailes de lait, se transformer en épées d'ébène, dont chaque plume était en fait des poignards acérés. Ce n'était qu'une question de temps avant qu'il ne revienne la voir.
Dès que les pierres furent au sol, le terrain dévasté, et la bâtisse en ruine, avec les corps morts et mutilés sous les gravats, Kâa fit le ménage. Elle ne laissa que quelques pan de mur, peu solides, pour que la nature se l'approprie, reprenant ses droits « La fleur là-bas. Prends là. » Attendant que le type s'y dirige pour la cueillir, elle s'assura qu'il l'ait bien en main, avant de le faire revenir au temple.
Dans sa salle, elle se tenait devant lui « Tu as fais ton travail Neros. Alors à moi de faire le mien... » De la fumée noire sortie de sa bouche, et un cri strident retentit au-delà de la pièce, venant de partout à la fois. La moitié de l'âme passa d'une bouche à l'autre, sans que les corps ne se touchent, rendant son entièreté à l'homme qui se transformait peu à peu en démon.

Attraits psychique et physique, alors qu'il en bavait -peut être moins qu'un humain en aurait bavé, mais quand même- elle lui dit « Tu étais un ange. Ta déchéance n'a pas duré assez longtemps pour que tu t'imprègne de tes nouvelles valeurs. Il n'y a rien de pire pour un Ange que d'approcher un démon alors... Lui même se transformer en l'un deux. Tu vas souffrir Neros. Tu vas être las pendant quelques temps mais dorénavant, tu seras vraiment toi. Voici ton du. Habitue toi, et tout ira pour le mieux. Rien ne sera plus pareil, et prouve nous que tu as mérité ce changement. » Kâa s'en retourna, allant s'asseoir sur son énorme fauteuil. De la fumée noire et grise sortait encore de sa bouche mais, cette fois-ci, ce n'était pas l'âme de Neros qui passait de ses lèvres à ses narines.
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Sam 14 Juin 2014, 15:05


Tenebrae in Paradisus (pv Nastaé) [/!\Violent] Neros_24
Ses pas était assuré, il prenait de plus en plus de confiance en lui. Neros commencer a peine a comprendre et a apprécier les choses a leurs juste valeurs. Rien ne semblait plus délicieux que la extraction. Ouvrant une lourde porte, il traverça de long couloirs, s’enfoncent dans l’ombre, ce glissant dans les tréfonds du château. Il fini par trouvé dans une sorte de cachot ce qu’il chercher. Des tonneau d’huile, une réserve assez conséquente et justifier par le faite que le camp soi sur une île flottante. Il valait mieux avoir de bon stock pour ne pas a avoir a descendre chercher de quoi vivre. Entre les tonneau d’huile il fut plus que ravis de trouver de la poudre. Il allait pouvoir s’offrir le spectacle du siècle, quelque chose de grandiose qui soignerait sa sortie. La lumière en lui c’était éteinte, il n’y avait plu de doute sur la finalité. Neros n’attendit pas un seul instant, le jeu n’était pas fini et il s’amuser bien trop pour ralentir. Il traversa tout le château avec ses tonneau, en disposant autour des piliers, faisant glisser la poudre derrières lui pour les relier ensemble et faire un magnifique cheminement qui donnerait une splendide explosion. L’huile gicla un peut par tout, sur les meubles couvert de poussière, sur les corps sans vie, les murs et les tapisseries. Le rouquin ne riait pas, mais il y avait sur son visage un sourire cruel et joyeux qui faisait froid dans le dos. Une fois ses travaux fini, il prit un instant pour reprendre son souffle fatiguer par sa besogne. Il était dans le hall, a regarder les corps qu’il avait regrouper. Retirant son haut de coton et imbiber de sang, il le jeta sur le tas de cadavre. Après tout c’était tout ce qu’il restait de l’ondin Hakiel autant que tout parte en fumer, c’était son dernier geste de bonté.

Une allumette fut allumer, il la regarda ce consumer doucement avant de la laisser tomber a ses pieds. Le fil d’huile prit alors instantanément feu, allant directement autour des corps pour finir par les faire entré dans le brasier. L’odeur de la chair ce consument, la vue de la peau fondant, grillant lui donner des frisson de plaisir. Il adora le mouvement des flemmes, tel une danse, elles ce reflétaient dans ses yeux noircie par le mal. Lentement, prenant son temps, il ce retourna puis sortie du château, alors que le chemin de l’huile partant du bucher continuer dans toute la pièce, puis tout le château. A peine avait-il mit un pied dehors, qu’une explosion ce fit entendre, puis une autre, les tonneaux de poudres prenant tous feu les un après les autres dans une orchestration somptueuse, tell un feu d’artifice. Ce retournant a quelque mettre du bâtiment, Neros ressenti une profonde satisfaction, alors que les pierres partaient en explosion. L’atmosphères devenait étouffante, la chaleurs insupportable et la roche partait en fusion. Cette incendie fut assurément la plus belle chose que le rouquin ai vue de sa vie. Impressionnant d’horreur et de chaos. Le château s’effondra petit a petit, dans une douceur émouvante. Dans le sang et le feu. Il n’y avait rien de plus beau. Alors que le bâtiment finissait de s’éfondré dans les flammes, Neros entendit l’appelle de Kâa.

Le château disparut, ne laissant derrière lui que quelque vestige, l’ancien ange fut déçu de ne pouvoir apprécier jusqu’à la fin le spectacle de son oeuvre, mais il obéis, a contre coeur. Il s’approcha de la fleur en question et la prit entre ses doigts, la décrochant délicatement de sa tige. La terre sous ses pieds changea, ainsi que son environnement, en moins d’une fraction de seconde il n’était plu sur l’île ayant subi son apocalypse, mais dans la salle du temple au près de l’esprit. Neros regarda l’Aether avait une profonde indifférence, sa rancoeur encore viscérale. Son âme lui revint, il la ressenti a mesure qu’elle passait de la bouche de Kâa a la sienne et il ce senti profondément changer, mais littéralement apaiser. Comme si soudain il était entier, comme si il était enfin lui. Seulement ce ne fut pas cela qui fut réellement le plus grand changement, car son âme bien que noir ne fit pas que ce reconstituer, mais il le changea fondamentalement. Alors son corps changea, tout son ADN sembla être modifier pendant que son âme devenait noir comme le fond des océan. Ses ailes perdirent toutes leurs plumes, elles tombèrent une a une a ses pieds, semblant s’envoler, le quitter pour toujours comme une fleur perdant ses pétale. Neros faner. Sa peau noirci, ce changeant dans une couleur grisâtre, légèrement bleuté. Elle devin dure comme la pierre, froide comme le métal. Ses cheveux ce mirent a pousser abondamment, passant du roux clair a un noir ébène, de légères cornes sortant de son crâne. Son visage ce durcie, ses trais devenant glacial, cruel, ses yeux ce remplir du noir le plus profond, ses pupilles rouge comme le sang. Sur son visage, sur son nez, montant entre ses deux yeux, une marque noir ce déposa comme la cicatrice de sa vie de frustration, il était marqué là. De ses mains poussèrent des griffes, ce sui sembla être de même sur ses ailes. Neros devenait une bête, un animal, vision d’horreur la plus ignoble. un démon dans sa splendeur la plus effroyable qui soi. Un cauchemars vivant.

La souffrance que lui faisait subir ce changement n’avait pas de prix. Il semblait plus grand, plus fort, il avait gagner une chose, une chose que son état d’ange n’aurait jamais pu lui apporté. Il ce sentait uni, et malgré la douleurs, il y avait ce profond soulagement qui faisait qu’il ne semblait même pas ressentir le mal. Oui, c’était comme si cela ne compté pas. Levant les yeux sur l’Aether, il souri. A présent il savait quoi faire, il savait quel chemin il devait prendre et il avait une liste considérable de choses a accomplir. La vengeance serrait longue, mais douce. « Compte là dessus. » Même sa voix avait changer, plus grave, plus dur, comme le souffle d’une tempête annonçant l’ouragan.

Apparence de Neros:
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Mar 01 Juil 2014, 10:02

« Zack, je vais à la bibliothèque. », « Bien, Empereur. » Nastaé se leva de son bureau, où il reposa sa plume et ses parchemins. Il était particulièrement désagréable de se voir roi, sans avoir fait le moindre projet qui avait été évoqué, lors de sa montée sur le trône. Le peuple ne lui en voulait pas, peut être trop indépendant pour cela, mais il était plutôt malaisé de voir que lui, n'était finalement arrivé à rien. Et puis sa binôme, parlons-en. Espèce de harpie qui n'avait rien de mieux à faire que de l'ignorer ou se foutre de lui. Si seulement elle se voyait...
Décalant son siège, il soupira en dépassant son bureau. Ses voiles blancs filèrent derrière lui, comme d'habitude, et son intendant lui fit un signe respectueux de la tête. Le Roi était las. Il était tombé dans l'infernal maëlstrom de la citée, qui ne l'avait pas épargné. Le pauvre ne fut pas assez blanc, assez puissant, pour répandre sa générosité dans le puis des âmes souffrantes, et ce fut la noirceur de sa consoeur qui le dévora tout entier. Depuis, toute cette partie du Palais a été détruite par ses bons soins.

Ses mires émeraudes scrutèrent la grande salle, avant de passer élégamment la porte, pour longer le couloir. Il croisa des personnes haut placé, qu'il salua, avant de dépasser le corridor du hall. Des habitants attendaient pour une audience avec le Parlement, assis sur des bancs. Dès qu'ils aperçurent l'Empereur, tous se courbèrent pour le saluer « Bonjour... » Esquissant un sourire de façade, il invita les gens à se redresser, avant de leur passer devant pour sortir de là. Nastaé avait changé, les habitants eux-mêmes se posaient des questions. Mais c'était toute une population qui était devenue méchante et chaotique, pas que lui. Lui, avait juste subit le processus, comme tous les autres, encore trop faible à l'époque pour lutter contre. Nausicaa fut une des perles à rester encore pleine d'objectivité. D'un côté... Il l'admirait. Lui fut trop... Soumis, pour lutter.

Sortant de la ville, il mutta pour se rendre en plein océan. Là, au milieu de tout, caché au yeux de tous, se trouvait une énorme bibliothèque dont seul lui avait la clé. Prononçant un chant de quelques notes, il la révéla et y pénétra. Une fois le sas où il pu remettre ses jambes, passé, il fila tout au fond, après des escaliers, et un couloir, pour atterrir dans une salle. Au milieu, un énorme grimoire s'imposait, avec, ce qui ressemblait à une demi sphère. Cette énorme perle nacrée, grosse comme une demi-pastèque, montrait les évènements du monde qui s'écrivaient dans le livre. Les terres d'emeraudes, une partie du continent dévasté, le port... Les images changeaient et viraient, en harmonie. Dans les différents évènement, il passa aussi sur la montagne de l'Edelweiss, où il vit des randonneurs aguerris, et d'autres un peu plus... sadiques. Il vit deux hommes tomber dans une crevasse. Faisant mire là-dessus, il s'en rapprocha pour voir en détail. Dans les deux, un vivait, et l'autre mourrait. Au fond du gouffre. L'Ange l'avait négligemment poussé dans les abysses de la montagnes « Tu ne vas pas garder ta blancheur bien longtemps toi... » Le voyant remonter à la surface, il s'en désintéressa. A nouveau, les images défilèrent, en gros, montrant zones et aires, avant d'atterrir, plusieurs minutes plus tard, sur le temple des esprits où il vit le même homme. Surpris, il s'y rapprocha.

Leur conversation était écrite dans le livre, et leur faits et gestes étaient visibles sur cette perle géante. Ce type muta totalement, et se transforma en démon, changeant physiquement, devenant laid comme eux. Nastaé grimaça, avant de voir ce dont il était capable. Se redressant il le vit partir du temple, bille en tête. L'image d'une femme apparut, une ange. Si cela se passait bien, l'Ondin pourrait peut être l'intercepter pour... Voir ses prouesses.

L'homme partit de là, déserta la bibliothèque en la refermant et la cachant, pour se rendre sur la terre ferme. De là, il sonda les esprits de chaque habitants, chaque personne pour voir qui connaissait l'Ange auquel pensait le Démon.
Parcourant la lande rapidement, il arriva à Stenfek. Ici, il fut honoré et même enchanté de trouver la perle qu'il cherchait. S'armant de sa plus belle attitude, et de son sourire des plus charmants, il s'approcha de l'habitante, persuadé d'être sur la bonne voie « Excusez-moi... » L'Ange se retourna. Une femme, banale mais à l'air gentil, lui fit face. Etrangement, ils discutèrent plutôt bien. Malheureusement, il savait qu'il n'avait que peu de temps avant que le démon la retrouve. Ses pensées étaient limpides...
Alors il l'emmena hors de la ville, lui demandant de sortir avec lui, chose qu'elle accepta immédiatement. Seulement, la nuit était tombée entre temps, et ce fut mal assurée qu'elle le suivit « Peut-être pourrait-on y aller demain ? », « Pourquoi... ? » Nastaé la regarda un instant avant de reprendre la route. Trop loin de la ville maintenant, la nuit les enveloppait comme jamais « Nastaé... » L'Ondin se retourna. Ses yeux émeraudes la scrutèrent, alors qu'il entrapercevait la présence du Démon. Regardant dans le ciel derrière elle, elle se retourna pour voir ce qu'il regardait. Dès qu'elle voulu à nouveau poser les yeux sur lui, il avait disparut.

A sa place se tenait Neros, le Démon.
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Mar 01 Juil 2014, 13:15


Tenebrae in Paradisus (pv Nastaé) [/!\Violent] Neros_25
Il appréciait l’ironie de la situation. Tant de temps a ce battre contre les ténèbres. Du temps perdu vue son état actuelle. Quand il sortie du temple sans plus de cérémonie au près de l’esprit, il prit une grande bouffer d’air frais. Les choses semblait les même et pourtant tout avait subitement changer. Son destin avait prit un tournant sur le quel jamais il ne pourrait revenir. Lui qui aurait pu devenir un grand Archange de la foi, ce que voulait sa reine, ce qu’avait espérait sa grand mère, ce que pensait sa famille. Neros cracha de dédain, puis sourit, un sourire qui n’avait rien a voir avec la joie que l’on voyait envahir son visage d’habitude. Il était mauvais, il était sadique, il était froid. Prenant sa sacoche accrocher a sa taille il en sortie ses cartes, une en particulier. Voilas celle qui le séparerait pour toujours de son passer. Voilas ce qui déclarerait la guerre définitive a la lumière. Il ferait ainsi comprendre a ceux qui lui avait menti toute sa vie durant qu’aujourd’hui rien ne pourrait plu le manipuler, ni le faire culpabilisé. Il n’y avait dans son coeur que de la noirceur, l’amour et la bonté d’autre fois, faisaient place au vide absolu. Il y avait là son ultime acte. Sur sa carte l’essence de Lucy, si pure, si clair, c’était adorable et répugnant a la fois. D’une impulsion il prit son envole, de ses nouvelles ailes massive et noir il parcours le ciel avec puissance, loin de la grâce d’entant. Cela lui prit quelque instant avant de retrouver un équilibre correcte. Il lui faudrait du temps pour s’habituer a son nouveau corps, son nouveau poids, sa tailles et sur tout son esprit. Une âme ronger par le chaos. Il en souriait, exciter par cette perspective.

Tout était si sombre autour de lui. le monde n’avait pas changer, lui si. Neros se sentait terriblement plus libre, il n’avait plu aucune règle a la quel ce plier, plu de loi a suivre. Tout était possible, tout était accessible et délicieux de perspective. Il avait soif de sang, il voulait tuer, désirait la souffrance, appeler le mal. Plus jamais il ne ce courberait devant quiconque, jamais plu il ne plairait genoux. Il ferait en sorte que l’on s’écrase devant lui. C’était a son tour de connaitre le prix de la réussite. La gloire, l’honneur, il n’en avait rien a faire, ça c’était les besoin de son père du moins son géniteur. Les terres d’émeraudes furent bientôt en vue. Il eu la sensation que l’atmosphère changea. Le vent fouetter son visage comme jamais avant, il ressentait tout comme une grande liberté, ses chaines enfin briser. Ce n’était pourtant pas fini.

Suivant scrupuleusement la carte, il lui fallut moins de temps pour le dire que pour arriver. Dans le noir de la nuit, elle resplendissait de lumière. Sa grand mère, une foutre de blague oui. Son père avait un sérieux complexe d’Oedipe si on voulait son avis. Sachant qu’elle ne le reconnaitrait pas, il changea son apparence, effacent la peau noir du démon pour reprendre une forme plus « humaine », mais il voulait s’amuser malgré tout alors il ne fit qu’atténuer ses traits et non pas reprendre sa forme d’origine. Ce pauvre ange méprisable. Ses cheveux noir lui tomber sur ses pupilles d’un noir d’encre. Son visage était placide, il fixer Lucy avec une froideur et un calme déconcertant. Elle avait peur, mais ne voulait pas le montré, le regardant avec cette air neutre, ce tacts angélique pour toujours éviter la provocation, éviter les ennuis. Seulement elle avait la sensation d’être tomber dans un piège, ce qui était le cas, mais lui l’ignorait totalement. Il ce demander d’ailleurs ce qu’elle fichait ici. Elle vivait a la Citadelle blanche, qu’est-ce qu’elle foutait en plein milieux des terres d’émeraude ? Qu’importe, cela l’arranger, il aurait eu un mal fou a ce cacher a la Citadelle même si il avait un avantage sur beaucoup de démon : il y avait vécu. « Je peut vous aidez ? » Une amabilité tout a son honneur, mais un peut désolante malgrés tout. Elle l’avait toujours exaspéré, mais trop bien élever et respectueux en vers ses ancêtre Neros ne ‘sen était jamais insurger. Ce n’était pas pareille aujourd’hui. Une chose était sur, il était en danger autant qu’elle. Neros était lucide, Lucy avait la force de Zéleph, aussi étrange que cela soi, elle le cacher bien et ne s’en servait jamais. Contrairement a l’autre idiot, elle avait un contrôle absolu sur sa puissance. Neros était envieux, mais savait qu’avec des gênes pareilles il finirait bien plus puissant qu’eux tous réuni. Etait-ce son ultime désir ? Peut être, il ne savait pas encore. Tu n’as pas idée.

Neros s’approcha, lentement, il prenait son temps, savourait ce moment. Rien au monde n’avait était aussi excitant. Cela le grisait, il ressentait des frissons parcourir son corps de ses orteils a la pointe de ses cheveux. Il fini par lui sourire, un sourire en coin, narquois, hautain, et doux a la fois. Son sourire, une signature unique made in Neros. Lucy resta sans bouger, le fixant cette fois l’air un peut plus effrayé, intriguer. « Qui… Qui êtes vous ? » Elle ce voulait autoritaire, mais le sourire de Neros avait un pouvoir sur elle, celui de la déstabiliser car elle reconnaissait en ce dangereux individus son adorable petit fils qu’elle aimer plus que tout. C’était adorable, presque a lui briser le coeur, mais il n’en avait plu. Voilas un avantage. De sa main droite il attrapa habilement un couteau de lancer. Dans l’ombre de la nuit, elle ne le vi pas, cherchant a garder son calme devant cette homme étrange. Elle du sentir soudain le danger, son aura noir ce libéré a la perspective de lui trancher la gorge, car elle fit un pas en arrière. Tout s’accéléra alors, et Neros d’un seul mouvement, si rapide qu’elle ne le vi jamais arriver, vin planter son couteau droit dans la gorge de l’ange. Son regard paniquer, d’un bleu profond ce plongea dans le sien noir, cherchant une réponse sur cette mise a morts. Neros, la main serré sur le poignard, l’autre sur la joue de Lucy lui souri tendrement. Alors pour seul réponse, il changea a nouveau son apparence et pris celle qu’on lui avait donner a la naissance. Le rouquin au yeux vert eut les traits qui ce détendre sous le plaisir. Alors que Lucy agoniser, le sang coulant abondamment de sa bouche, son regard s’empli de larme sous la douleur de cette réalité. Neros l’avait assassiner. retirant le couteau, elle gémi sous la souffrance, ses sanglots étouffer dans le sang. « Chuuut. » Le corps lourd, tombant, il la prit dans ses bras, accroupie dans la boue. Le démon berça l’ange avec tendresse comme pour la torturé jusqu’à la dernière seconde. Puis quand dans ses yeux la lumière disparut, que son aura ce dissipa, il eut un rictus satisfait. Ce redressant il ne voulait pas laisser le corps ici. Il avait un cadeau pour son père. Soigneusement, avec beaucoup de concentration, il coupa la tête de Lucy, sans aucun sentiments de dégout où bien même de culpabilité. Il faisait cela comme il aurait couper du gigot a mettre dans son assiette. Tenu par les cheveux, il reprit son envole, direction cette charmante maison où ses parents vivaient a présent. Il ne prit pas la peine de rentré dans le domaine sachant qu’il n’avait aucune chance d’en sortir vivant vue la situation. Survolant simplement la zone, il largues la tête dénué de corps, avec sa chance elle tomba dans l’eau de la fontaine de la cour. Il alla ensuite chercher le corps et en fit de même. Une fois satisfait e son travaille il pu repartir, l’âme en paix.
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