"- Je vous en pris, sauvez mon fils, je vous en supplis."

Voilà la phrase qui m'a fais me mettre dans ce pétrin, à chercher le fils de cette vielle femme. Je vagabondais tranquillement quand en arrivant à un village une vieille orisha en plein milieu demandais la clémence de tout le monde qui passais. D'ailleurs faudrait peu être qu'un jour je me rappelle que je suis plus un ange et que je peux dire nan, mais bon on perd pas facilement une habitude vieille de 154 ans.
Son fils c'était apparemment mis dans une sorte de secte qui aduler le dieu Aelith, étant un ancien ange je vous direz bien que cette aetheri ne me dis absolument rien. Peu être un nouveau dieu parmi les cieux, en tout cas j'en doutais fortement. Quoi qu'il en soit après 2-3 jours de recherche j'avais enfin retrouver les traces de son fils. Le soucis c'est qu'il étaient en plein ce qui semblait être un pèlerinage, donc pour pouvoir le tirer de là sans trop m'attirer des ennuis, car ils étaient nombreux les bougres, je m'étais fais passer pour un fidèle. Et voilà comment je m'étais retrouvé en plein milieux d'une secte adorateur d'un aetheri qui dis qu'il sauvera seulement ses fidèles.. comment peut-on tomber dans un truc aussi gros sérieusement? Bon après c'est peu être car je suis un ancien gardien des cieux qui fais que je suis moins naïf, aller savoir.

Nous étions donc sur la route de l'edelweiis, cette montagne qui épargne peu de ses grimpeurs. Autant dire que depuis le début du voyage tout le monde n'est pas tout rose. Je ne crains guère le froid, entre mon électricité constante et ma régénération, je n'ai pas grand chose à craindre du froid. Mais comme j'ai dis plus tôt c'est pas le cas pour tout le monde. Mais ils étaient tous comme guidé par leur foi, une foi erronée, certes, mais une foi quand même.

Plus le voyage avançait plus je n'aimais pas cette situation, le prêtre en tête de file raconter des choses, que si les aetheri l'entendaient, le foudroieraient sur le champ. Des inepties comme, "tous les infidèles doivent mourir" ou encore "seul les vrais croyant seront sauvé", je vous jure ce qu'il fallait pas entendre. Mais il semblait avoir jeter son dévolu sur un jeune bélua en première ligne il n'arrêtait pas de le fixer comme si il allait le tuer. Après un petit moment le bélua dis une chose que je n'entendis pas, mais que je compris après que le prêtre ramena encore sa foi en grande vitesse. Mais je trouvais ça étrange qu'il semblait autant douter de lui, et en y repensant, je ne me rappelais pas de ce bélua quand j'ai infiltré la secte. J'entrepris donc de m'approcher de lui, je vis donc une panthère à plaque l'accompagner, elle semblait totalement frigorifié. Pauvre créature, la chaleur ne l'attendais pas en haut de cette montagne. J'enlevais donc ma veste sachant que pour moi ça ne changerais rien, et la posa sur la panthère au préalable je créa quelque tige de fer à l’intérieur pour chauffer ma veste à l'aide mon électricité. Elle semblait aller mieux, et avait l'air d'apprécier mon geste. Son maitre lui ne m'arrêta pas, alors je le regardais et lui dis.

- Désolé, j'ai vue qu'elle n'allait pas bien. Mais quel impolit je fais, je me présente, Daichi ( après tout lui dire mon nom ne changerais rien vue qu'il est nouveau ), enchanté. Lui dis-je en lui tendant la main.

Je continuais donc la montée avec la personne que je venais de rencontrer et sa compagne, Abel est le nom du jeune homme. Plus on montait plus les gens derrière nous se plaignaient, et pour pas me faciliter la tache, le garçon que je devais ramener était presque collé au prêtre, enfin si on peut appeler ça un prêtre. Fallait au moins y voir un avantage, je risquais pas de le perdre de vue surtout avec l'autre gougnafier qui ne faisait que crier ses sermons qui ne valaient pas un rond. D'ailleurs lui même qui était perdu dans ses grandes phrases avec quelque fidèle en bout de file. Le jeune homme... appelons le Abel ça sera plus simple... Abel lui enchaina sur nôtre discussion avec une phrase un peu embarrassante pour le coup..

-Alors, quelle forme pensez-vous qu’Aelith va adopter pour d’adresser à nous ?

Je ne pus m’empêcher de lâcher un gloussement à l'entente de cette phrase. Car si je suis ici c'est sûrement pas pour cette divinité illusoire. Quoi qu'il en soit il fallait que je réponde, et là ce situe le problème, je ne savais pas si c'était un fidèle ou juste quelqu'un comme moi qui profitais de ce cortège pour d'autres missions. Mais mes doutes fut vites dispersés quand je vis son regard. Il était donc comme moi, pas besoin de me retenir dans ce cas..

-Je pense que j'aurais descendu cette montagne un bon millier de fois avant de pouvoir entrevoir une quelconque divinité se nommant Aelith.

Bien entendu j'avais baissé le volume de ma voix pour évité toute mésaventure. Mais en tout cas j'étais assez content de voir que je n'étais pas le seul ici à avoir compris que tout ceci n'était qu'une mascarade. Mais alors dans ce cas, pourquoi était il ici? Ma curiosité reprenais le dessus moi et je pus m'empêcher de lui demander.

-Et du coup, vous faîte ce voyage parmi ses gens pour quelle raison?

Car si dans l'absolut c'est un fanatique d'une autre secte et qu'il est ici pour tous les tuer, ça risque de poser d'autres problèmes. Je doutais qu'il soit là pour ça, mais on était jamais à l'abri d'une surprise. Et puis si il était ici pour une raison tel que celle ci, je veux bien qu'il s'occupe du prêtre mes les humains naïf qui le suivaient n'avait rien fais de mal. J'attendais donc ça réponse, l'air serein et calme, il ne fallait pas, si c'était une obscure personne, éveiller les soupçons.

Voilà donc qui était rassurant, Abel n'était rien de plus qu'un bélua qui cherchait son chemin, donc à la différence de moi, si lui était ici, c'était juste pour traverser la montagne en sécurité. Du coup je me détendis baissant ma garde envers lui. J'en profitais pour jeter un coup d’œil à la masse, voyant que rien n'avais réellement bougé. Tout le monde était rester à leurs place, le prête continuais son monologue en tête de cortège, et la personne que j'étais venu chercher était toujours à ses côtés. Moi je continuais ma route au côté de Abel, quoi de mieux de continuer la route avec une personne dont on sait qu'on n'a pas besoin de cacher quoi que ce soit. Puis Abel relança la discussion:

- Je ne sais pas ce qui va se passer une fois que nous serons en haut, mais je doute fort que nous croisions le moindre dieu aujourd’hui. Quoi qu’il en soit je serais bien heureux de vous avoir avec moi, la situation risque d’être tendue si le prêtre se rend compte de nos croyances.

Je partageais totalement sa pensé, Pour moi également ce dieux n'allait jamais pointer le bout de son nez. Et puis j'étais également bien content d'avoir trouver quelqu'un sur qui compter en cas de mauvaise situation.

- Je n'aurais put dire mieux, je pense exactement la même chose. Lui dis-je avec un sourire.

Juste après avoir fini ma phrase je vis Abel préoccupé par quelque chose, en me retournant je vis ce dont il avait peur, un homme de petite taille nous fixant le visage timidement souriant. Tout ceci ne plaisait guère, j'avais un mauvais pressentiment. On aurait était isolé je l'aurais assommé pour éviter les problèmes mais là je ne pouvais faire quelque chose d'aussi voyant. Puis Alia, ce mis à miauler étrangement dans la direction du curieux personnage. Pas le choix il fallait que je fasse quelque chose.. Puis j'avais trouvé, en fixant cet homme je lui ôtais sa voix, mes nouveaux pouvoirs pouvaient être utiles quand ils voulaient. Et puis heureusement l'homme ne remarquait rien sachant qu'il ne parlait pas. Au moins on avait un garantit. Mais il fallait que je garde un contact visuel sur lui, sinon je pouvais maintenir mon pouvoir actif. Cette monté s'annonçait vraiment pénible.

Quoi qu'il en soit je regardais Abel du coin de l’œil sans lâcher l'autre, et lui dis.

- Ne vous inquiéter pas, j'ai fais en sorte que ci il veuille nous dénoncer il ne pourrait le faire aussi facilement.

Vivement qu'on atteigne le sommet car en plus de la condition, ma magie n'était pas illimité, et j'avais du mal avec mes nouveaux pouvoirs, ce qui fait que j'épuisais plutôt rapidement celle-ci.