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 Le soldat des Dieux (Quête solo)

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Lun 16 Déc 2013, 11:39


Les marches du temple des esprits. Cela faisait longtemps qu'il n'avait pas gravis, ce qui il y a quelques années lui avait semblé être une montagne. Aujourd'hui cela n'avait plu aucune importance. Les forces qui habiter ces murs n'étaient qu'illusion de grandeur. Ceux qu'il pensait autre fois être les maitres de ce monde, ceux qui les protéger, choisissez leurs destin car tel devait être et devait rester leurs terre, n'étaient en réalité que des enfants capricieux et géniards. Ils l'avaient trompé, l'avaient manipulé, pour en faire un pion, une chose dont ils pouvaient disposer à leurs guise et il les haïssait pour cela. Avoir fait de lui un monstre. C'être servit de sa prodigieuse capacité a supporté la puissance, à développer une force dévastatrice. Ils avaient fait de lui une arme, lui avaient menti pour qu'il gagne toujours plus en pouvoir et il ne savait même pas dans quel but. Qu'est-ce que cela pouvaient bien leurs apportés de faire de sa vie un enfer et de le faire souffrir. Zéleph en avait conclu une chose toute simple. Les dieux s'ennuyaient tellement qu'ils ne savaient plu comment occuper leurs journée, et avait choisi qu'il serrait leur nouveau jouer. Plus solide que les autres, il semblait incassable et à chaque défis qu'il lui envoyait il survivait toujours, non pas qu'il tenait à la vie, mais il était fier et ne se laisserait jamais vaincre car cela signifier ce soumettre a plus fort que lui. Il était le plu fort et le resterait. Les dieux l'avaient forgé ainsi, et rien que pour leur tenir tête, il continuerait à ce bénir de leur force. Il boirait leur eau empoisonné, pomperait comme un vampire dans leurs pouvoirs, pour accroître le sien. Après tout c'était le deal, sa foi contre leurs essences magiques. Après une vie de souffrance, ils lui devaient. Ils ne pouvaient lui dire non car il était de tous leurs fidèle, le plu puissant et le seul à rester malgré leurs mensonges. La haine qui l'habiter ne lui ferait jamais tourné le dos a ses promesses. C'était de cette contradiction qu'il tenait sa force, d'un orgueil et d'une fierté qu'aucun homme ne pourrait comprendre. Zéleph avait pour lui son honneur. Il avait juré fidélité, et ne trahirait jamais ceux qui malgré toutes ses reproches, l'avaient gardé en vie pendant plus de trois siècles.

L'ancien seigneur passa la cascade. Par habitude, il ne stoppa pas sa marche l'or ce qu'il entra sous le dôme. Son pas, assuré, le mena tout droit et il ouvrit la première porte, sachant depuis longtemps que qu'importe la porte, ce n'était pas la chance qui choisissez qui il venait voir, mais les esprits qui choisissaient de voir. C'st ainsi que commence la première trahison des dieux. Ils se moquent de vous en vous faisant croirez que vous avez le contrôle, que c'est vous qui tenait votre destins dans vos mains, mais en réalité ce n'est que vous mettre en confiance pour mieux vous détruire après.

Il poussa la porte, et entra dans la salle. Qu'importe qui il verrait, quoi qu'il arrivait il aurait ce qu'il était venu chercher et chaque esprits savaient ce qu'il voulait. "Est-ce réellement ce que tu penses ?" Le réprouvé ne bougea pas un cil, la voix de Méli résonnant encore dans l'immense salle vide. Au fond, dans l'ombres, un tigre blanc s'approcher d'un pas lourd et assuré. Une puissante magnificence provenait de cette animal, et Zéleph savait pourquoi Méli c'était ainsi métamorphosé. S’il n'avait pas confiance en les Aethers, celle qu'il accordait à l'esprit du tigre était sans égale. La raison était simple, le tigre, c'était lui. L'or ce que l'animal s'assit devant lui, majestueux, il crue y voir son propre reflet. De ses grand yeux jaune, Méli le fixer, impassible et calme. Ils auraient pu passer un temps incommensurable à rester ainsi. Au centre d'une salle sans fond, un homme et une bête ce regarder dans le blanc des yeux. Ils ne chercher rien, n'avaient pas non plus besoin de ce parler car chacun savait. Ils savaient tous les deux ce que l'ancien roi faisait entre ces murs, ils savaient ce qu'il pensait des dieux, ils savaient ce qui était arrivé pour qu'ils en arrivent là. Il n'y avait rien à dire, rien à ajouter. Pourtant les choses n'épient pas encore aussi simple. Aucun d'eux ne douter qu'il mériter ce qu'il était venu prendre, mais rien ne pouvait se faire sans contrepartie. Comme les génies, les Aether semblaient cupide. Il n'était jamais un pouvoir qui n'était pas acquis. Aucun dieux n'était généreux et encore moins altruiste. Il fallait toujours donner sa vie au final et les perdant étaient toujours les plus faibles : mortel.

" Tu es devenu suffisant. " « Vous êtes devenus laids. » Elle ne prit pas la peine de s'offusquer. C'était une perte de temps avec un être tel que Zéleph et au fond il avait raison. Les Aetheris ressemblaient a des tyrans et en leurs façon de se comporter, ils étaient laids. " Alors pourquoi venir chercher notre aide si jusqu'à ta moelle, ton être nous hais." La question n'avait ni besoin de réponse, ni besoin d'explication, c'était une reproche pour réprimander son insolence. Qu'en avait-il à faire du respect ? Il était là, encore soumis à leurs puissances. Il n'avait aucun compte à rendre, car il serait toujours plus faible qu'eux. « Où te mènera ta quête Shizuo? Que cherches-tu à fuir? » Méli avait repris forme humaine. Celle qui avait pour visage celui d'une jeune femme semblait inquiète, le fixant avec les yeux d'une mère veillant sur son enfant. Si il détester les Aethers et tous les esprits de ce temple, il semblait qu'elle soit la seule en la quel il avait encore de l'attachement. La seul pourquoi il avait cette rancœur, la seule à qui il reprocher réellement de l'avoir trahit car au plu loin qu'il se souvienne, elle c'était montré attentive à son sort et sensible à sa souffrance. Elle l'était toujours, elle l'aimer comme l'un de ses enfants car il faisait partit de cette nature, et ressemblant plus à une bête cas un véritable homme, elle le traitait de la même façon. Peut-être était-ce la raison pour la quel elle était encore là à vouloir l'aider alors que lui ne faisait que lui reprocher une vie de douleur.

« Fuir ? » Il sourit malgré lui, son regard quittant celui de Méli pour la première fois depuis qu'il l'avait vue. Il parcourra la salle vide, tournant sur lui-même, s'amusant de l'ironie de la situation. « Je me prépare à mourir. » Tout simplement. Elle le savait et elle n'aimait pas le besoin qu'il avait toujours de défier la mort. Cette fois il savait qu'il ne gagnerait pas, et pourtant il si diriger sans aucun doute ni regret. C'était à la fois impressionnant et terrifiant de voir autant de force et de courage assemblait a si peu d'intelligence, ou peut-être trop justement. Car, Zéleph n'était pas stupide, loin de là même, il savait très bien ce qu'il faisait et c'était cela qui rendait la chose si terrible. Rien ne pouvait stopper cette homme, rien ne pouvait contrôler cette ouragan, il était comme l'eau, le vent ou même la terre : dévastateur. La seule à pouvoir lui faire entendre raison ne se donnerait pas cette peine et en cela Méli reprocherait toujours à Mitsuko son laxisme, mais elle ne pouvait pas comprendre cette façon de vivre et ne voulait pas le faire. Il semblait qu'elle ne pourrait rien y faire, Zéleph avait choisi depuis longtemps de défier les dieux et ne plus prendre au sérieux leurs conseils. Elle pourrait toujours l'enfermer ici, elle savait qu'elle n'en avait pas le droit. Alors le choix était simple, il lui fallait l'aider à assimiler plus encore de puissance, c'était la seul solution.

« Bien, alors commençons. » le silence qui peigner entre eux était pensant, les reproches que faisait Zéleph à l'esprit étaient palpable, et elle ne ce défendrais d'aucune. Reculant, elle disparut dans l'ombre, laissant le réprouvé seul avec lui-même. Il ne savait pas ce qui aller arriver, ignorant même jusqu'à ce qu'elle pourrait lui faire subir, ne serait-ce que pour le dissuader de partir embrasser la mort. Zéleph attendit patiemment. Une, puis deux, puis trois minutes et il commença déjà à sentir la frustration monter ne lui. Il n’avait pas de temps à perdre avec les bêtises de l’esprit. Seulement quand il voulut ouvrir la bouche, elle réapparut, son index coller à ses lèvres et le regard sévère. Quoi ? Qu’avait-il fait ? Il ne c’était pas encore plein et bien qu’il savait qu’elle était au courant des mots qu’il désirait prononcer, cela ne justifier pas de se faire réprimander comme un enfant. Ses épaules s’affaissèrent, prouvant qu’il capituler et elle disparut à nouveau satisfaite. La plus grande vertu de Zéleph n’était certainement pas la patience, beaucoup de monde pouvait en témoigner, il n’en avait aucune, ou du moins elle était plus proche de zéro que toutes ses autres qualité. Méli savait ce qu’elle faisait, mais il se demander au fond de lui si elle ne chercher pas juste à l’agacer, ce vengé pour toute cette haine qu’il avait pour les Aether, particulièrement pour les esprits de ce temple, cause de bien trop de ses soucis. Pouvait-on réellement lui en vouloir ? Alors que sa mère était en vie, ils ne lui avaient rien dit, alors que son père n’était qu’un moins que rien on lui avait fait croire à une puissance plus grande encore que la sienne, o lui avait fait croire en un Aether qui n’exister pas, un démon des autres temps. Toute sa vie n’était que mensonge, et lui comme un ignorant, il y avait crue comme on croit aux étoiles. Comme un enfant, il c’était fait berner, plus encore que la rancœur, il avait une colère profonde pour ce qu’ils avaient fait de lui. L’auraient-ils laissaient dans l’ignorance toute sa vie ? Plonger dans un ignoble mensonge ? Ils auraient délibérément laissé sa mère enfermer dans ce temple, ensevelie a des centaines de mètres de la surface, au milieu de nul par. Au fond de lui il espérait que non, qu’un jour ils lui auraient dit, avant que sa mère ne meurt de désespoir dans ce lieux de solitude, avant qu’il ne perde tout à fait qui il était. Quelque part il se refuser à croire qu’il n’avait était qu’un jouet pour eux, un pantin fait de sang et de chair. Un pion, un fou, une tour, un roi, qu’importe la place où ils le mettaient sur l’échiquier, de toute les façons il c’était fait avoir comme un vulgaire imbécile. Peut-être sa haine provenait-elle aussi d’une certaine humiliation, mais quoi qu’il en soi ils étaient responsable. Aether, les grands dieux de ce monde, lors ce que l’on savait ce qu’ils faisaient à leur fidèles et comme ils ignoraient les autres, leurs statue de dieux devenait risible. Ils n’avaient rien de dieux. Ils n’étaient que des puissants s’autoproclamant créateurs et protecteurs de ce monde. Ils n’étaient rien, pas plus que lui au final.

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Lun 16 Déc 2013, 11:40


Méli ne réapparut pas, ce qui fit grogner d’impatience le réprouvé. Ce moquait-elle de lui ? Seulement à peine eut il reprocher à l’esprit de la nature de ce jouer de lui une nouvelle fois, que son corps ce plia, ses genoux touchant terre. La douleur qui l’avait frappé était insupportable. Il sentait que son cœur aller exploser, ses poumons étaient remplit d’aiguilles. Il suffoquer. Il ne pouvait pas résister, c’était comme si chacun de ses os venaient de ce briser pour ne devenir que poussière. Impuissant face à la souffrance, il se retrouver dans l’incapacité totale de résister et face à cette douleur interne qui semblait mental plus que réelle, il se retrouver démuni. Il pouvait à peine respirer, a peine ce tenir encore a genoux, ses poings serré contre le sol. Etait-ce pour le punir d’avoir blasphémer ? Etait-ce pour lui prouver encore une fois qu’ils étaient plus puissants que lui et qu’il n’était qu’une misérable vermine qu’ils avaient le pouvoir d’écraser sous leurs pieds ? Des tyrans, ils ne savaient prouver leurs valeurs que dans la souffrance, en la provoquant eux même pour faire croire que si ils apparences sous la lumière ce n’était que pour les aider, mais c’était eux la seule source des maux de ce monde. Plu personne ne lui ferait croire le contraire, plu personne ne le reprendrait a ce tromper. Zéleph agoniser, ce demandant si ils voulaient réellement le voir sombré une bonne fois pour toute, mais il força sur ses bras pour ne pas sombré. Jamais il ne leur ferait le plaisir de se soumettre, de les supplier, jamais. Sentant une ombre sur lui, il redressa les yeux et vit les pieds de l’Aether. Puisant dans le peu de force que son mal lui permettait d’avoir, il ce dressa sur ses genoux, ses yeux rouge, luisant de douleur et de colère ce posant dans ceux de Méli. Peut-être était-ce à ce moment précis que son dernière espoir s’évanoui a tout jamais, lors ce qu’il réalisa que dans les yeux de celle en qui il avait eu si confiance, il n’y avait ni peine, ni compassion alors qu’il sentait son corps ce fracturé. Plu rien chez Méli ne lui rappelait cette bienveillance maternel dans la quel il avait tant crue autre fois. Pour la quel il aurait encore offert jusqu’à son âme. Qui était cette femme aux yeux vide qui le regarder ? Le voyaient-elles seulement ? Elle semblait regarder en travers de son être et fixer les pavés froids et durs derrière lui, que ses yeux devenu humide par la torture. N’y pouvant plu, et malgré son âme invincible et fière, la puissance de ce qu’on lui faisait subir eux raison de lui. Ses yeux ce fermèrent bien que l’on pouvait constater sa résistance. Son corps tomba, frappant le sol dans un bruit sourd. Inerte, il respiré à peine, son cœur battant faiblement. L’Aether passa une main lasse sur le corps de l’ancien roi et il disparut.

Quand Zéleph rouvrit les yeux, il sentit des courbatures et des crampes dans tout le corps. Ses paupières étaient lourde et la lumières inexistante. Etait-il devenu aveugle ? Un instant il aurait espérait paniquer, mais il n’en fut rien. Sa vie n’avait plu d’importance, si bien cas aucun moment il n’eut peur de mourir ou bien de perdre a jamais l’un de ses sens. Il en fut profondément démuni. Allonger sur une stèle, au milieu de la pièce froide, il respiré à nouveau, mais comme un animal a l’aube de son dernier jour, son souffle ce perdait dans le vide sans espoirs que cela soit éternel. « Ne t’inquiète pas, tu retrouveras la vue d’ici quelque minutes. » Le réprouvé ne sut dire si la voix de Méli avait résonné dans la pièce ou bien seulement dans son être. Il l’entendait comme un écho à la porte de son oreille, comme le dernier soupire donner à un mort. Il avait si mal. Il n’aurait jamais crue pouvoir souffrir d’avantage que ce qu’il avait déjà vécu. Ceux-ci étaient al preuve que les Aether savaient comment briser les mortels alors même que leur être semblaient déjà l’avoir étaient des centaines de fois. C’était comme remettre les choses au claires, comme pour dire qu’il n’avait jamais connue la souffrance, la vrais et que si il le désirait alors ils lui feraient subir. « Redresse-toi. » C’était un ordre et étrangement, il y obéi, sans sourciller. Il lui sembla qu’il ne contrôler plu ses geste, ils étaient lent et automatique, comme celui d’une poupée dans les mains d’une fillette. Doucement, le noir entourant sa vue ce dissipa et l’ombre de la pièce commença à lui apparaitre. Le brouillard qui régner encore ne l’empêcher pas de voir le visage de Méli devant lui, le fixant toujours avec ce même désintérêt profond. L’avait-il réellement autant vexé pour qu’elle perde toute confiance ? C’était futile, tel des enfantillages. Elle leva la main vers lui. Il ne comprit pas, puis l’ors ce qu’il sentit sa peau le bruler la réponse lui vin comme une évidence. Elle parcourait sa peau, comme électriser, comme si l’on graver la roche avec de la lave. La douleur le fis serrer les dent, telle son intensité était forte. Elle suivait des courbes particulières, des formes et des voluptés. Il regarda alors son corps et réalisa que tous ses tatouages venaient de disparaitre, et qu’à mesure que la douleur monté sur ses bras, l’encre rougissante ce dessiné à nouveau. Zéleph ne put comprendre à cette instant, son esprit bien trop accaparé par sa peau blanche ce faisant recouvrir de ce noire et ce rouge, comme si un feu parcourait son corps, comme si il bruler tel une feuille de papier. L’or ce que la brulure atteignit ses épaules son corps ce crispa sous la douleur, elle commença alors à ce jeté vers son torse et cette fois il capitula. Ses yeux ce fermèrent, alors que du plu profond de son être un cri d’agonie le parcourra. Il avait la sensation d’être en train de cuire, de ce tenir sur de l’acier en fusion et de si rouler. C’était insupportable, mais quand il eut besoin de supplier que l’on arrête avant qu’il ne devienne fou, ses mots restèrent coincer dans sa gorge. La douleur était beaucoup trop grande, il ne semblait capable que d’une chose, c’était subir cette torture quoi qu’il arrive et qu’importe si son esprit ne s’en remettait jamais.

Il lui sembla que cela dura des heures, de longues et interminable minutes, où son corps n’étaient plus qu’un brasier sur le quel Méli soufflait sans relâche, faisant de une pauvre créature a l’ombre de la mort, suppliant intérieurement que l’on vienne l’achever. Pourtant cela ne dura que quelque minutes, à peine de quoi se justifier. La torture cessa soudain, et le réprouvé ce sentit soulager d’un poids si grand qu’il n’aurait su dire si cela était réelle ou si il rêver. Il avait vu une lumière blanche apparaitre devant ses yeux, elle s’évanouit comme un lointain souvenir. La douleur avaient fini de lui tordre le cerveau. A nouveau allonger sur la stèle, il n’avait même pas remarqué qu’il était tombé. Ses yeux fixer incertain le haut plafond de la pièce. Il ne savait pas si c’était réellement fini ou si il aller encore devoir subir une torture quel qu’elle soi. Alors il attendit en silence, l’appréhension commencent a le gagner. Essouffler, il avait l’impression que ses poumons lui bruler et que son cœur aller sortir de sa poitrine. Couvert de sueur, il sentit une goute lui couler sur la tempe. La peur ? Etait-ce la peur qu’il sentait lui tordre l’estomac et briser cette paix qui l’avait submergé ? Zéleph du prendre de longues, très longues minutes pour retrouver un souffle normal, son corps reprenant doucement son calme et son être confiance. Alors doucement, quand il fut certain que tout était fini, il ce redressa. Ses yeux se posent à nouveau dans ceux de Méli. Elle lui sourit et il sembla cette fois qu’elle le voyait réellement, retrouvant au fond de ses pupilles du regret et de la désolation. Il ne savait plu quoi penser, ni quoi lui dire, encore moins le désir de lui demander ce qui c’était passer. A cette instant, il voulait retourner d’où il venait et ne plus jamais mettre un seul pied dans ces lieux. « C’était nécessaire. » Elle semblait ce justifier et quelque part il en fut rassuré. Il n’aurait su dire pourquoi, peut-être par ce qu’il était bien plus attacher à l’esprit qu’il ne voulait bien d’admettre, et l’or ce qu’elle posa sa main sur son épaule il ressentit toute son émotion et sa gorge resta serré. Etait-ce de la souffrance qu’il discerner dans son regard ? Pouvait-il croire encore qu’il était pour elle important et que sa souffrance était pour elle aussi insupportable que celle de tous ses enfants ? Ses doigts fins glissèrent le long de ses muscles, longent ses tatouage et il eut un frisson lors ce que ceux-ci prirent une tinte rougeâtre a son toucher, la chaleur le piquant. « J’ai fait d’eux des réceptacles de puissance. A présent tu pourras supporter une puissance plus grande sans que cela n’influe sur ton corps et t’impose plus de changement physique. » Il comprenait, elle ne voulait pas qu’il devienne un monstre à cause de sa force, elle avait fait tout cela pour le protéger de sa propre soif de puissance sans pour autant l’empêcher d’y accédé. En réalité, et bien que cela le rendait malade de l’admettre, il devait plus a Méli qu’à n’importe qui dans ce monde. Malgré ses mensonges, sans elle il serait toujours un moins que rien, malgré que ce soit elle qui l’ai mené vers une vie de tromperie, sans son aide et sa patience, aurait-il pu réellement sauver sa mère ? « Merci. » Ce simplement mot a peine soupiré dans le silence profond de la pièce, fit sourire Méli, d’un sourire éclatant qui illumina son visage. Elle semblait soulager et peut être même heureuse qu’il lui soit reconnaissant. C’était la preuve incontestable que peut-être il n’avait pas perdu foie en tout ce qui l’entourait, que peut-être il y avait une chance. Après tout il avait eu peur, elle l’avait ressenti, et si la peur commencer à venir le gagner cela voulait dire qu’il y avait une chance pour qu’il se mettre à nouveau à tenir à la vie, pour qu’à nouveau il croit en ce monde. L’espoir était mince, voir même infime, mais elle voulait y croire plus que tout.

Zéleph se leva de sa stèle. Il fixa un instant l’esprit, qui lui sourit simplement. Il reviendrait, elle le savait et l’attendrait. Le réprouvé sortie du temple, a peine vêtue, mais il ne se retourna jamais, même pour ce demandé où étaient ses vêtements. Il repartie d’où il était venu, peut être avec un peu plus d’estime pour lui-même, peut-être plus fort qu’avant et cela n’avait rien à voir avec la puissance c’était bien plus grand que ça.

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