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 Les dieux vivent pieds nue, les enfants aussi. [Chaton -18]

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Mar 05 Mar 2013, 20:55

Un soupire lui échappa, bien malgré lui. « Tu es sur que tu n’en veux pas ? » Adam vida la bouteille de whisky dans un verre en cristal, levant les yeux vers lui avec un sourire, presque pour le narguer, voyant bien que son ami avait l’air abandonner. Zéleph ne répondit pas, ce détournant simplement du sorcier pour aller s’assoir sur son fauteuil. Adam prit cela pour un « non » et but le liquide cul sec. Cela agaça passablement le réprouvé. Un Whisky de cent ans d’âge, c’était du gâchis que de le boire comme ça, sans en prendre gout, ça le rendait malade. Le sorcier le savait, il n’avait aucun respect pour cela et provoqué ouvertement le roi. Il méritait une bonne leçon, mais Zéleph avait bien d’autre chose en tête en ce moment pour ce soucier des enfantillages ‘un vieux sorcier qui ne savait plus quoi faire pour s’amuser et attiré l’attention de son camarade. Adam vivait dans le passer, Zéleph s’évertué à lui tourné le dos, comment voulait-il qu’il recommence ces conneries ? Fermant les yeux en soupirant à nouveau, les mains liées soutenant son menton, il entendit soudain le bruit du verre ce posé sur le bois. Ouvrant les yeux sur le sorcier il la vit, l’air grave. « Quelque chose ne vas pas, tu ne dis jamais rien, mais quelque chose ce trame et je n’aime pas ça. Mon nouveau roi. Je sais que ça a un rapport et… » « Tait-toi. » Coupa Zéleph, doucement. Ce fut peut être cette lassitude dans la voix qui choqua le plus Adam, comme si cela avait était plus violant encore qu’un coup de colère. C’était peut être la première fois qu’il voyait son ami dénué de toute énergie, blasé, comme si il avait perdu toute espoir. Oui, quelque chose n’aller pas, et l’appréhension ce transforma petit à petit en angoisse. « Rien ne peut atteindre le Circus, rien ni personne ne peut nous anéantir. » Le sorcier paraissait ne plus rien comprendre, et c’était le cas. Il était comme sonné. Qu’arrivait-il à son camarade, son ami, son seigneur ? Celui qui ce révolté contre le monde, qui frappé les titans a coup de poings quitte à s’en briser les os, juste par conviction ? Il avait l’air d’avoir baissé les bras, et c’était si loin de l’homme qu’il avait connue autre fois. Si loin du frère qu’il avait suivi dans les pires tempêtes. Il aurait voulu ouvrir la bouche, mais le roi ce releva, le surplombant de quelque centimètre, plongent son regard bleu, si sombre dans le sien, si dénué de lumière, cette éclat si propre au réprouvé que cela lui coupa le souffle. Il était comme mort. Zéleph avait étrangement changé, il était si sombre qu’il en paraissait diffèrent. « Adam, tu es le gardien du Circus. Tant que nous sommes unis, rien ne pourra nous atteindre. » Il se contenta d’acquiescer, avalant difficilement, ce prenant soudain un coup. Depuis quand le roi était-il ainsi ? Si terrifiant ? Si sérieux ? Non, il ne comprenait pas, mais ce qu’il savait c’était qu’il devait continuer à gérer l’organisation et protéger leurs « famille » puise que c’était ce que son patron voulait. Il ne chercherait pas à comprendre, pas si il ne voulait pas s’expliquer. Il acquiesça simplement. Puise qu’il avait l’air de comprendre, Zéleph parut soulager et se rassit toujours pensif. Oui, il y avait quelque chose de dur marqué dans ses trais, de sombre dans son regard. Adam soufrait pour lui. Il savait à quel point son camarade était torturé depuis toujours, et ça n’avait pas l’air de s’arranger avec le temps, qu’il soit marier ou bientôt père. Rien ne paraissait soigner ce pauvre être, cette âme en lambeaux. Il ne rajouta rien et se contenta de sortir, laissant seul le roi avec sa douleur. Ferment doucement la porte, il vit une serveuse lui amené à manger, mais il lui fit signe de ne pas le déranger. Zéleph était dans un de ces moments où il n’y avait que la solitude qui pouvait apaiser son mal.

Adam resta anxieux jusqu’à ce que Zéleph finisse par sortir de son bureau, l’air normal, cela le soulagea, bien qu’il n’était pas dupe. Il cacher sa misère avec des sourires et des injures. Seulement il était là, devant lui l’air renfrogné et ça le fit sourire, peu importe ce qui aller arrivé, même si il aller surement ce faire encore écraser. « Tu imagines si elle leur parle comme elle le fait toujours ? » « Hein ? » Là le sorcier était largué. « Mitsuko ! Ces enfants ont besoin d‘être ménager, et elle, elle ne sait même pas parler à un adulte ! » Le roi était inquiet à propos de ça. C’était bien vrais, sa femme n’avait aucun tact, elle n’avait aucune notions des choses. Les mots pouvaient avoir des impacts très puissants sur des petits êtres comme les enfants. C’était une chose que le roi trouvé amusant chez elle, mais qui en réalité n’avait rien de comique. Il se souvenait encore quand il avait dû ramasser Neros à la petite cuillère, elle ne voulait pas faire de mal, mais la pauvre ne se rendait pas compte, ou peut être que si… avec lui elle ne se gêner pas pour le piétiner, l’écraser. Il en soufrait encore, mais s’empêcher d’y penser. « Et alors ? » Zéleph frappa du poing le crane d’Adam comme pour l’assommé, visiblement agacer qu’il pose une question aussi bête. « C’est leur idole imbécile ! Il croit vraiment en elle. Je ne veux pas qu’elle gâche ça… » Il avait confiance en elle, elle était parfaite, elle ressemblait a un ange, si élégante, pleine de grâce et d’une beauté légère a vous coupé le souffle, seulement voilà, son comportement pouvait être celui d’un vrais démon, même de façon maladroite, sans qu’elle ne le veuille. Ce n’était pas de sa faute au fond, il savait bien qu’elle ne se rendait pas compte, mais tout de même, il tenait beaucoup à l’image que c’était fait ces gosses d’elle. « Elle n’est pas doué avec les enfants et elle vas être mère. Il est peut-être temps de justement la laisser apprendre à nager seule non ? » Le réprouvé parut réalisé que ce n’était pas une mauvaise manœuvre. Laisser Mitsuko au milieu de ce gamin. En y pensant il était certain que ces gosses allaient la manger toute crue. Il eut un sourire. Oui, en réalité il douterait qu’elle soit capable de les décevoir, elle allaient tout simplement couler sous leurs amours inconditionnels, et lui allait avoir une jolie vengeance pour toute les fois où elle l’avait torturé. Une jeune femme vin les interpeller dans un sourire charmeur. « Patron, votre femme et votre trognon de fils son ici. » Trognon de fils ? Faust était vraiment le chouchous de ces dames. Zéleph acquiesça et alla à l’entrée du Circus accueillir sa « famille ». En plein milieux de l’après-midi il n’y avait pas beaucoup de monde dans le bâtiment, que les employé et les quelques clients, habitués ou paumés qui n’avaient rien d’autre à faire de leurs vies que regardé des femmes ce trémousser pendant qu’ont vidé leurs poches sans la moindre honte. Zéleph allait enfin avoir pourquoi quand il avait voulu rentré au manoir, il avait failli en perdre le nez en ce cognant à un mur visiblement magique. Si elle ne voulait plu de lui autant le lui dire directement et ne pas continuer à être si « aimante » dans ses lettres.
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Mitsu
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Mitsu
Mar 05 Mar 2013, 23:47

« Maman, le monsieur il me regarde bizarrement... ». Mitsuko tourna la tête vers une sorte de clochard qui fixait Faust avec un air peu recommandable. Le fusillant du regard, le pauvre homme n'eut d'autre solution que de détourner les yeux, la prestance de la jeune femme l'écrasant presque. La déesse était quelque peu rassurée depuis la dernière lettre de son fils Ed qui lui avait envoyé des pierres précieuses en lui proposant de venir vivre avec son père et lui. Elle avait refusé mais avait promis de se rendre quelques jours au manoir Kuro passer un peu de temps avec lui. Quoi qu'il en soit, elle devait en parler à Zéleph d'abord, pas qu'elle est besoin de son autorisation pour se rendre où que ce soit, simplement qu'elle devait lui dire qu'elle avait été mise à la rue par son ancêtre et que, de ce fait, il ne servait plus à rien pour lui d'essayer de se rendre au manoir Taiji. Le petit garçon qui l'accompagnait semblait rassurer que le monsieur cesse de le fixer, son grand sourire réapparaissant sur son visage, sourire qui montrait à quel point il était heureux de voir le réprouvé. Quant à la jeune femme, oui, elle avait aussi envi de le voir, elle ne s'en cachait pas. Elle se souvenait de la première fois où elle était venue ici, les habitants de ce lieu se comportant d'une manière bien différente avec elle. Aujourd'hui, chacun la regardait, la contemplait, sans rien oser lui dire, aucun mot de travers. Parfois, elle percevait quelques envies mais ça s'arrêtait là. Et lorsque Zéleph apparut à la porte du Circus, tous les regards se baissèrent d'un même mouvement, les hommes soudain intéressés par des choses insignifiantes. La déesse sourit, elle n'allait pas faire semblant de ne point être amusée de ce genre de comportements, comportements qui démontraient parfaitement la puissance de son mari et l'emprise qu'il avait sur tout Sceptelinôst. Cela était plaisant. « Zélleeeppphhhh!!! ». A peine l'avait-il vu que Faust avait lâché la main de sa mère pour entrer dans les jambes du roi sous l’œil encore plus amusé de cette dernière. Fixant son mari dans les yeux, elle prit un air savant avant de lui souffler : « Tu sais, embrasser ça prend deux s. ». Baissant les yeux avec un petit sourire en coin, elle regarda Faust, quelques filles de joie semblant s'adonner au même passe temps. Bien sûr, le Circus n'avait pas l'air bien peuplé et beaucoup de membres du personnel devait dormir, du moins, c'est ce que la déesse imagina.

Mitsuko finit par tripoter ses cheveux d'un air pensif avant de se rappeler que sa robe était trop transparente pour qu'elle puisse s'égarer à ce geste. Elle avait d'ailleurs attacher sa chevelure en couette afin qu'elle retombe sur sa poitrine. Quelque peu gênée, elle replaça la couette à sa place, sachant pertinemment qu'elle devrait lui parler de ce qu'il s'était passé. En attendant, elle avait vendu la robe qu'elle portait le jour où son ancêtre l'avait mise à la porte, la qualité du tissu lui permettant d'acheter plusieurs autres vêtements, de qualité moindre, certes, mais tout de même de quoi tenir une semaine. Et puis, elle devait nourrir le déchu aussi et payer la chambre à l'auberge. « Écoute... je ne sais pas si c'est une bonne idée d'aller voir ces enfants. ». Pas qu'ils lui faisaient peur mais que dirait-elle une fois qu'elle se retrouverait devant eux? Qu'elle n'avait plus d'argent pour payer les frais de l'orphelinat? Non, elle ne le pouvait pas. Sortant le sachet de pierres précieuses envoyés par Ed de sa poche, elle le fixa un instant avant de décider qu'elle devait le leur donner. Elle s'y était engagée alors elle ne pouvait aller à l'encontre de sa promesse. Attrapant la main de Zéleph, elle lui glissa à l'intérieur. « C'est pour eux. Je n'ai plus rien après ça. ». « Oui! Maman et moi on est pauvre parce que y a une vilaine sorcière qui a piqué notre maison! Alors maintenant on habite tous les trois dans une chambre à l'auberge avec Seth même! ». Faust disait cela avec un naturel déconcertant. La jeune femme n'avait pas envi de faire la manche auprès de son mari. Certes c'était sans doute un peu étrange en vu du statut qu'il partageait mais elle n'avait jamais vécu ça et elle n'avait pas envi de l'importuner. « L'un de mes fils m'a invité à passer quelques jours chez lui alors... enfin. ». Ça l'embêtait aussi de partir vivre chez Alec, surtout vu ce qu'il s'était produit la dernière fois. Mais c'est vrai qu'elle devait voir Ed, elle en avait envi, surtout de lui présenter Faust puisqu'ils avaient à peu près le même âge. « Grand mère elle est pas gentille en plus! ». Il avait bien fallu qu'elle trouve quelque chose à lui dire, même s'il avait un peu tout mélangé entre le statut de sorcier de Jun et sa grand mère, qui était en fait bien plus que ça dans l'arbre généalogique. Mais tout ceci était bien compliqué, elle n'était même pas sûre qu'une personne normalement constituée parvienne à tout comprendre alors, un enfant... « Jun a ramené d'entre les morts l'une de mes ancêtres, la pire sans doute. Alors elle a récupéré le manoir. C'est elle qui l'a fait construire et elle commande chacun des domestiques, chacun des meubles. La maison lui obéit. Je n'ai pas voulu lui résister, j'avais peur qu'elle s'en prenne à mes enfants. Enfin, pas elle mais lui oui... ». Elle parlait de Jun car Mitsuko était si faible en ce moment même qu'elle n'aurait sans doute pas pu tuer Faust lui-même. Mais l'esprit pervers de son ancêtre mêlé à la force de Jun était un cocktail plus que redoutable. « Écoute, je ne suis pas ici pour demander ton aide. Je vais sans doute me trouver un travail le temps de pouvoir créer de l'or de par ma simple volonté. ». Elle sourit, un peu embarrassée, ne sachant pas trop quoi dire d'autre. « Tu m'as manqué!! ». Faust venait de rompre le petit silence, son sourire toujours immense. Il était courageux.
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Mer 06 Mar 2013, 01:40

Zéleph posa une main sur la tête du garçon, ce forcent à lui sourire. Seulement il ne savait comment prendre toute ces informations. Pauvre ? Son ancêtre ? Jun. Bien sûr, Jun. Alors c’était pour cela qu’il n’arrivait plu a rentré dans l’enceinte du manoir. Il y avait passé des heures, avait ragé contre sa femme, et Jun devait bien en rire, lui était désoler de s’en être prit à elle. Son regard se posa sur le sachet qu’il avait dans sa seconde main, puis finit par sourire à nouveau. Prenant la main de Mitsuko il lui ouvrit délicatement. « Une femme ne devrait pas avoir à dire cela. » Il ferma sa main sur la poche, tout simplement. Quand il l’avait vue arrivé il ne pouvait se cacher d’avoir était surprit par ses vêtement, en réalité il en avait était contrarier ce demandant si elle chercher encore à l’agacer, mais puise qu’il savait la vérité à présent il comprenait mieux son manque d’apparat, bien qu’il eut toujours trouvé qu’elle n’en avait nullement besoin. Ebouriffant à nouveau les cheveux de Faust, il le poussa à l’intérieur. « Allez un verre de lait chaud, ça vous fera du bien. » Rentrant dans le Circus, il demanda à ce qu’on leur servent trois grand verres de lait chaud. Il les fit rentré dans ses appartement, c’était toujours plus confortable que son bureau, un peu plus grand aussi peut être, et puis le grand aquarium plairait peut être à Faust. A peines furent-ils entré que la serveuses leurs amener déjà le plateau avec les verres et des gâteaux. Le posant sur la table basse entre les fauteuils, elle s’éclipsa sans un mot. Zéleph donna un verre et un cookie à Faust, ça lui changerait de la nourriture de l’auberge. S’asseyant sur un fauteuil il posa son regard sur Mitsuko. Il ne c’était pas attendu à cela. Jun avait ressuscité une femme ? Il y avait clairement quelque chose qui cloché chez ce type, un truc sincèrement pas nette. Il ne voulait pas savoir ce qu’il en retourné, a vrais dire il n’en avait rien à faire de ce que pouvait bien faire cette imbécile. Non, ce dont il se soucier c’était du sort de sa femme, de son fils et peut être bien un peu de celui de Seth. « Ma femme qui vit à l’auberge, je passe pour quoi moi au juste ? » Il n’y avait pas de reproche dans sa voix, ni même de colère, juste de la simple observation. C’était ce que les gens penseraient si ils savaient, et ici, ça n’allaient pas tarder. Il passerait pour un mari indigne, peut être avar, incapable de donner même pour sa femme, mais peut importer. Il savait bien que quoi qu’il lui offre elle refuserait, que ce soit par le plus pur des sentiments et non pas charité. Posant son regard sur le gamin il lui sourit. « Enfin vous n’avez pas l’air malheureux. » Il était tout de même un peu vexer, mais ne le montrerait jamais. Elle préférait l’aide d’un de ses enfants plutôt que de son époux ? Elle ne voulait pas de lui, que pouvait-il contre le désir d’une déesse ? Sincèrement pas grand-chose. Elle savait très bien qu’elle pouvait rester ici, qu’elle ou plutôt, Faust ne manquerait de rien, mais puise qu’elle n’était pas décidé, il la laisser vivre la vrais vie. Comme disait Adam, elle aller apprendre à nager ainsi, ce n’était pas plus mal. « Pour en revenir aux orphelins. Je donnerais de ma poche, à ton nom, ils seront heureux, tu gardes tes pierres. Tout le monde est satisfait. » Il se leva. Il était temps d’y aller, il ne voulait pas parler, n’en avait aucune envie. Tout ça le rendait malade et pour aller voir des enfants aussi malheureux, mieux valait ne pas penser aux mal les englobant. Tendant sa main à sa femme pour l’invité à le suivre-il conclu. « Ce n’est que de l’argent après tout. » Il n’y avait rien de plus futile. Il avait mis du temps à le comprendre, ayant couru après toute sa vie, mais quand il avait fini par en avoir trop pour lui seul, il avait commencé à comprendre ce que l’expression « l’argent ne fait pas le bonheur » voulait dire et avait créé le Circus. Au final grâce à son organisation il en avait encore le double, tellement qu’au fond il ne se soucié plu de rien. Sortant de la pièce, en sortant ils croisèrent Adam, qui sourit simplement à Mitsuko, puis a Faust, Zéleph sentait l’ironie dans ce geste de courtoisie, mais il ne lui fit aucune remarque, lui prenant juste le panier qu’il tenait. Remplit de gâteaux pour les enfants. Ce dirigent vers la sortit, Zéleph ce stoppa au dernier moment, posant son regard sur le corps de sa femme. C’était qu’elle était tout de même trop… exposée, à son gout. Ô si cela ne le déranger pas personnellement, le faite qu’on puisse voir un bout de chair en trop le rendait nerveux. Personne à par lui n’en avait le droit. Retirant son lourd manteau, qu’elle avait, il y a longtemps, déjà revêtu, il lui posa sur les épaules. Lui personne ne s’arrêterait sur son torse nue, ou peut être que si, mais entre les idées perverse des habitant de cette ville ou la peur à la vue de ses muscles saillant et de ses tatouages inspirant la puissance, son choix était vite fait. Il s’amusa simplement en lui chuchotant qu’il ne voulait pas qu’elle attrape froid, même si ni elle, ni lui n’était dupe à ce propos.

Préférant prendre Faust dans ses bras, bien qu’il était assez grand, il ne voulait pas la lâcher, pas dans le quartier où ils devaient se rendre. Juste à une rue d’ici, derrière le Circus, l’endroit peut être le plus mal famé de tout Sceptelinôst. Il savait bien que personne n’oserait les attaqué, pas Mitsuko, pas si il était là, mais il ne voulait surtout pas que Faust comprenne cette misère. Il avait assez fait de cauchemar autre fois, pas la peine de lui montrer plus d’horreur. Puis avoir un gamin dans ses bras, ce n’était pas désagréable, il avait au moins l’impression de servir a quelque chose dans cette famille. Arrivé devant la maison en ruine, il était certain que si on entendait pas de cries ou autre bruit de vie, on aurait pu croire cette endroit abandonner. Cela aurait peut-être était plus rassurant de le savoir d’ailleurs. Devant la porte, Zéleph savait que les gosses les avaient vus, mais il prit pourtant le temps de ce retourné vers Mitsuko, posant Faust, et de dire d’un air sérieux. « Ils ne voient jamais personne à part moi, ne leur en voulaient pas si ils sont un peu… maladroit, brutaux. » Il avait envie de dire qu’au final ce n’était que des enfants, mais il ne voulait pas vexer Faust. Il frappa alors à la porte. Celle-ci s’ouvrit presque instantanément, et a peine on vit le visage radieux d’Ondine, qu’une tornade blonde ce jeta sur Zéleph en criant un « papa » qui du résonné dans toute la rue. Ondine du presque l’arracher du corps du roi en le réprimandant gentiment. « Damian ne l’étouffe pas, on en a encore besoin. » « Désoler » dit le petit penaud en baissant les yeux. Zéleph souri ébouriffant ses cheveux en entrant, il embrassa la joue de la rouquine amusé. « Merci de me porter autant d’estime. » « Mais c’est toujours un plaisir Monsieur Zéleph. » Avait-elle prit un peu plus d’assurance encore que la dernière fois ? Dans tout les cas à peine dans le couloir, Zéleph croula sous les enfants, il en avait un accrocher a chaque membres, si bien qu’il avait du mal à marcher. Ondine, invita gentiment Mitsuko et Faust a entré avant de fermer a clef la porte derrière eux, toujours pas précaution. Damian posa son regard sur la jeune femme, et soudain il parut y avoir une étoile brillé dans ses pupilles comme émerveiller. « C’est vous. La déesse de papa, aussi belle que son ange. » A cette phrase presque soufflé dans l’élan d’admiration intense du jeune garçon, le calme retomba brutalement. Tous ce retournèrent vers l’entré, ce rendant compte à cette instant de la nouvelle venue. Ce fut comme si un halo de lumière avait déchiré le ciel noire de ces enfants. Pour la première fois il voyait une autre personne que Zéleph, pour la première fois ils voyaient la déesse qu’ils avaient tant attendue. « Elle est belles » « Oh ça oui alors ! » « Elle est petites ! » « On dirait un ange. » « C’est une déesse idiot ! » « Cela suffit les enfants, vous allez finir par lui faire peur à vous jeter sur elle comme des hyènes affamé ! » « Pardon mamy » Tous reculèrent, lâchant Zéleph par la même occasion qui respira un peu mieux. La vieille dame s’approcha de lui et posa ses mains tremblante sur son bras, dans un franc sourire. Elle ne dit rien mais il y avait eun profonde reconnaissance dans son regard, et il n’u pas besoin de plus pour comprendre. Ce tournant vers sa femme, il accompagna la grand-mère jusqu’à eux. « Mamy, je vous présente ma femme, Mitsuko, et … son fils, mon fils, Faust. » La dame, dans son vieille âge n’avait à offrir à ces deux invité qu’un sourire chaleureux, accueillant. Un peu ému, sentant la fin de leur calvaire arriver, elle ne sut quoi dire, et ce contenta du plus simple. « Soyez les bienvenu dans notre humble demeure. » En se retournant vers les enfants elles leurs ordonna d’aller dans le salon, et Ondine qui avait posé Damian, accompagna Mamy à leur suite.

« Tes qui toi ? » Zéleph baissa les yeux sur Roxanne, pointant du doigt ce pauvre Faust. Il devait avoir le même âge, enfin, cela rester qu’une apparence, mais il était amusant de voir l’air contrarier de la gamine au caractère si fort. Le réprouvé la prit dans ses bras, comme pour épargner le pauvre déchu à ne pas avoir à subir le courroux de la célèbre Roxy. « Laisse le, il ne ta rien fait. » « Mais j’ai pas était méchante. » Bouda-t-elle. Le réprouvé la posa devant le salon, et fit signe a Mitsuko et Faust de le suivre. Entrant dans la pièce, la plus grande probablement, les murs tombant littéralement sur eux, tous les enfants étaient là. Zéleph posa son panier de cookies et ils ce jetèrent dessus sans attendre. Les trois grand-mères assises dans des vieux fauteuils miteux à moitié éventré avaient beaux les réprimandé rien n’y faisait. Zéleph trouva une chaise à donner à sa femme, et une autre à Faust, lui resta debout, mais ça ne le gêner pas. Le silence ce fit alors, et tous avaient leurs yeux braquer sur Mitsuko, la détaillant de haut en bas comme si il s’agissait de la chose la plus merveilleuse qu’il n’est jamais vue. Quelque part c’était bien vrai. « Bordel qu’est-ce qu’elle est belle ! » « Jose ! » Reine avait crié, et le gamin de quinze ans ne manqua pas de ce prendre un bon coup de coude dans les cotes par Ondine, qui plus que gêner par la vulgarité de son ami, se voyait également un peu jalouse de la façon dont cette idiot regardé la déesse. Zéleph, lui ça le fit rire. Le pauvre jeune homme passer trop de temps avec lui, c’était flagrant, mais malheureusement le rire du roi ne fit que renforcer l’audace du garçon qui avait l’air très fier de lui. Le réprouvé ce pencha alors vers eux. « Voilà votre Déesse. Vous pouvez lui posez toutes les questions que vous voulez, elle y répondra, ou non, tout dépend de la question. » Roxane leva la main, comme une bonne écolière. Zéleph sourit amusé, s’attendant au pire. « Dite. Faust, y peut jouer ? » Un peu déconcerté, mais soulager, le roi posa sa main sur la tête du déchus. « Si il veut bien oui… » Seulement Roxane ne lui laissa pas le choix, elle se leva, prit la main du garçon et le tir avec elle, suivit par les jumeaux Yuri et Yumi et les autres plus petits. Ne restée dans la pièce plu que les plus de dix ans, sauf un seul, tout petit qui c’était levait et tendait maintenant les bras vers Mitsuko. Le réprouvé ce pencha alors sur l’oreille de Mitsuko « Il s’appelle Shizuo et il adore les câlins, amusant non ? ». En ce redressant, il s’assit sur la chaise à côté. Tout aller bien, pour le moment.
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Mitsu
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Mitsu
Mer 06 Mar 2013, 03:15

Les bras de Shizuo, voilà quelque chose qui avait fini d'achever la déesse. Elle n'avait rien dit depuis qu'ils étaient entrés dans l'orphelinat, un petit sourire illuminant son visage, un sourire qui cachait son trouble grandissant. Bien sûr, elle avait imaginé l'état de détresse dans lequel devait être ses enfants, mais lorsqu'elle était entré dans l'endroit, elle avait tout de suite regretté de ne pas avoir donné plus d'argent. Elle n'en avait jamais manqué et les joyaux et pièces d'or contenus dans le manoir pouvaient nourrir tout Sceptelinôst sur plusieurs décennies sans aucun problème. Et, à présent qu'elle ne possédait plus tout ceci, elle se rendait compte qu'elle aurait aimé avoir les moyens de leur venir en aide. Pourtant, quand elle vit la mine enjouée de ces enfants, elle se rendit compte que malgré l'état de pauvreté qui était le leur, ils avaient l'air heureux, très heureux. Mitsuko avait l'habitude d'être le centre de l'intention, celle de tout un peuple, celle des regards curieux qui avait suivi l'évolution de sa lignée avec une grande attention mais les enfants c'était tellement... elle ne le savait, elle avait l'impression de ne pas pouvoir les contrôler. Bien sûr, elle était souvent avec Faust mais ce dernier était plutôt calme et, surtout, il était seul. Là, devant cette ribambelle d'enfants, elle ne savait quoi faire, quoi leur dire. « D'accord! Moi je veux bien jouer! ». Faust, lui, semblait réellement à son aise, regardant à droite et à gauche depuis qu'ils étaient entrés, curieux de voir autant d'enfants réunis au même endroit. Il avait déjà joué avec Violette avant mais les occasions étaient rares alors il voulait en profiter. Il avait donc accepté la proposition comme on le lui avait appris, bien qu'il était déjà à moitié parti avec ses nouveaux compagnons. La jeune femme s'en retrouva sans doute un peu plus démunie, n'ayant à présent plus que le souverain comme seul repère. Regardant ce qui semblait être le plus grand des garçons un instant, elle finit par baisser les yeux sur le fameux Shizuo qui attendait toujours avec une petite moue qu'elle daigne accepter sa demande. Se jetteraient-ils tous sur elle si elle acceptait de l'enlacer? Elle en doutait mais elle les avait vu a l’œuvre avec Zéleph. Elle sourit, ces enfants semblant l'adorer. Mitsuko savait que jamais ils ne l'aimeraient autant, elle n'était pas ce genre de femme à qui l'on s'attachait facilement. Tournant son regard vers son époux, elle aurait sans doute voulu être seule avec lui ou partir très loin d'ici pour ne pas avoir à subir un interrogatoire. Qu'allaient-ils lui demander au juste? « Hum!! ». Les yeux de la déesse se tournèrent vers l'origine du bruit : Shizuo qui commençait à s'impatienter. Tout le monde la regardait et dans sa robe bon marché, elle se sentait aussi à l'aise que si elle s'était retrouvée totalement nue. Heureusement qu'elle avait le manteau du réprouvé, bien que cela ne changeait rien à la situation. Elle finit tout de même par prendre le petit garçon dans ses bras, celui-ci se collant contre elle sans plus de cérémonie une fois qu'il fut sur ses genoux. Se tendant légèrement, elle finit par se convaincre de faire comme si il s'agissait de Faust.

Cela dit, elle n'était pas au bout de ses peines car l'interrogatoire commença, les questions fusant d'un seul coup comme si le fait qu'elle ait accepté de faire un câlin à Shizuo montrait aussi qu'elle donnait le feu vert pour les questions. « Vous avez quel âge? ». « Dites, vous êtes l'amoureuse de papa, dites? ». « Pourquoi vous êtes petite? ». « Vous avez un château? ». « Comment on fait pour devenir une déesse? ». « Vous voulez jouer avec nous? ». « Doucement les enfants. Elle ne pourra pas répondre si vous posez plusieurs questions à la fois. ». Celle qui, apparemment, se faisait appeler Mamy venait d'intervenir. Le sourire de Mitsuko s'était progressivement atténué, la jeune femme semblant même étrangement terrifiée d'être ainsi sollicitée. Fixant les personnes âgées qui se trouvaient ici, elle se voyait mal dire à haute voix qu'elle avait sans doute cinq fois leur âge, si ce n'était plus. Et puis, elle était plus vieille que Zéleph aussi, ce à quoi elle n'avait jamais pensé avant aujourd'hui. Elle regarda donc le petit garçon qui avait posé la question avant de répondre : « Je vais te donner un conseil pour quand tu seras plus grand : il ne faut jamais demander son âge à une femme. Et puis, entre nous, je ne saurai même pas te dire. J'ai arrêté de compter une fois que j'ai atteint ma trois centième année. ». Quelques exclamations retentirent dans la salle avant que les enfants ne l'observent encore plus, essayant sans doute de chercher une ride sur son visage, du moins, c'est ce qu'elle se dit à ce moment précis. Pourquoi était-elle petite? Elle n'allait pas simplement leur dire qu'elle avait arrêté de grandir assez jeune, c'était idiot. Peut-être attendaient-ils autre chose? Mais quoi? Tournant le visage vers le réprouvé, se fut à ce moment précis que Shizuo choisit de lui faire un bisou sur la joue, un bisou mouillé qui la fit se tendre encore plus mais qui lui donna une idée. « Je suis petite pour que les enfants, comme vous, puissent me faire des bisous. Ça doit être ça. Et puis, comme ça, les hommes aussi grands que votre papa doivent se baisser pour venir m'embrasser. C'est une épreuve en quelque sorte, pour voir s'ils sont assez courageux. Et comme votre papa l'a été, il a eu le droit de m'épouser. ». « C'est vrai que papa est courageux! Moi aussi quand je serai grand je trouverai une femme petite et je lui ferai un bisou en courbant le dos! ». « Tu seras pas aussi grand que monsieur Zéleph d'abord! ». « Hé! Qu'est ce que tu en sais? ». Mitsuko finit par rire, légèrement amusé de ce débat houleux. Ce n'était que des enfants après tout. Aussi, elle décida de passer sous silence la question sur le château. Elle ne pouvait pas leur dire qu'elle vivait à l'auberge et le manoir n'était, de toute façon, pas réellement un château. Elle préféra donc aborder la question de comment devenir Aether. « Pour être comme moi, c'est trèèèèès long! D'abord il faut devenir roi ou reine, comme votre papa, et ensuite il faut être très fort! Et puis un jour il faut partir faire une quête, et une fois la quête terminé, hop on devient un dieu. ». « Alors tu es plus forte que papa? Et t'es son amoureuse ou non? Tu l'aimes? Tu as un bébé dans ton ventre? Comment on fait les bébés? ». Légèrement prise de court, l'enfant ne la vouvoyant même plus comme s'il l'avait déjà adopté, la jeune femme décida de rendre son bisou à Shizuo, technique qui lui permettrait de gagner du temps pour trouver une réponse adéquate. « Non, c'est votre papa le plus fort! C'est le plus fort du monde entier! ». Voilà qu'elle se mettait presque à parler comme eux. C'était contagieux finalement et puis, elle n'allait pas leur expliquer que si elle avait envi, elle pouvait faire mordre la poussière à celui qui semblait être leur idole. « D'ailleurs, comme il est très fort et qu'il connait beaucoup de choses, je vais le laisser répondre au reste! ». Tournant son regard vers le roi, elle lui sourit, légèrement amusée d'avoir réussi à lui donner la parole sur les questions embarrassantes. Se détournant de lui, elle sourit à Damian qui voulait « l'embrasé », drôle de petit garçon, auteur de toutes ces questions embarrassantes. Elle savait que l'ange de Zéleph était sa mère et elle devrait sans doute questionner le réprouvé sur ce rapprochement étrange avec cette dernière. Mais plus tard, elle était impatiente de voir comment il allait s'y prendre pour répondre convenablement. Surtout qu'elle espérait que les enfants lui posent des questions à lui et oublient leur envie de jouer avec elle... elle n'était pas sûre de savoir.
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Mer 06 Mar 2013, 04:43

Zéleph resta penaud. Si au début il avait souri, trouvant que Mitsuko s’en sortait très bien, malgré le faite qu’il voyait bien qu’elle n’était pas à l’aise. Il avait était soulager, elle faisait beaucoup d’effort ça l’amuser, amis il ne disait rien, hors là c’était lui qui se retrouver gêner bien malgré lui. Ce fut les ricanements de Jose et d’Ondine qui le faire sortir de son moment de panique. Il les fusilla du regard, mais ces deux adolescents n’en avaient rien à faire. « C’est ça Monsieur Zéleph, dit nous comment on fait les bébés ! » Celui-là il en ferait du la chair à pâté pour dragon ! Ce raclant la gorge, le réprouvé fixa les petits yeux le regardant avec attention. « Eh bien… Pour faire un bébé il faut qu’un homme et une femme s’aime très fort, qu’ils ce mari, et voilà. » « Mais tous les couple marié n’ont pas forcément d‘enfant. » Zéleph chercher a embrouiller les gamins mais forcement il fallait que les deux aux fond s’amuse et l’enfonce un peu plus. Fixant Ondine de ses yeux percent, il fut forcé de continuer en serrant les dents. « En effet Ondine, merci pour cette intervention, réellement indispensable. » « Mais c’est toujours un plaisir … papa. » Son grand sourire en disait long sur son esprit vicieux de jeune fille cherchant a le taclé sans cesse, et forcement ça mettait Jose dans une hilarité complété. Ah ils ne manquer pas d’être complice quand c’était pour ce ligué contre lui. Agacer, le réprouvé fini par dire un peu trop brutalement peut être. « Part fois les gens ne s’aime pas assez fort, voilas. » « Oh oui ! Et toi tu l’aime fort ta femme papa, hein ! » La chaise vola à travers la pièce. Jose manqua de ce la prendre de justesse, ce baissant juste à temps pour la voir explosé contre le mur derrière lui. Ce retournant vers le roi, celui-ci se rendit compte qu’il y était peut être allé trop fort. « Tu peux pas te la fermer abrutie ! » Ondine avait frappé Jose, qui avait d’ailleurs l’air bien plus scandalisé par cette claque que par la chaise qui aurait bien pu l’assommé. « Faire des sous-entendu pareille, tu devrais avoir honte ! » « Attend tu te fou de moi ou quoi ? C’est toi qui le chicane et c’est moi l’abrutie ? » Le regard d’Ondine devin dangereusement noire soudain, sa voix sifflante. « Tu m’insulte ? » « Non mais je… » « Tais-toi ! Tu en a assez fait tu ne trouves pas ? » Jose commença lui aussi a entré dans une colère noire, ce trouvant agresser il devait se défendre, c’était bien légitime. Il n'allait tout de même pas ce laisser marcher sur les pieds ! « Quoi ?! Mais tes d’une put*i* de mauvaise fois ! » « Ne jure pas idiot ! » « Arrête avec ça ! » Et les cries continuèrent dans une royales dispute. Zéleph soupira, mais ne put s’empêcher de rire devant le regard blasé de Damian qui s’approcha de Mitsuko et lui dit en haussant les épaules comme si on ne pouvait fatalement rien y faire. « Et c’est repartie. » Il quitta la pièce en soupirant, suivit de près par les autres ce qui fit que bientôt il ne resta que les deux jeunes se disputant, le roi, la déesse, et les trois vieilles qui s‘échappé aussi, lors ce qu’en partant Reine ce tourna vers Zéleph. « Arrêtez les avants qu’ils… » Trop tard la gifle était partie. Reine parut abandonner comme Damian quittant la pièce également dans le nouveau silence qui s’installé. Seulement ce ne fut pas la seule. Ondine cherchant a frappé toujours plus fort et Jose ce protéger en profitèrent des « tu es complétement folle » ou encore des « garce » qui n’aidé pas la situation. Zéleph dû intervenir prenant la jeune fille qui ce débâtait, mais alors ce fut Jose qui fonça sur elle. Seulement en quelque seconde le réprouvé les avaient maitrisé tous les deux et il commencer a sérieusement perdre patience. « Le prochain qui lève la main sur l’autre c’est moi qui le frappe et vous vous en souviendrez ! » ce genre de phrases sur le ton de la colère avait toujours le don de calmé les tensions. Ils croisèrent chacun les bras de leurs coté, ce tournant le dos, mais même si il y avait encore de l’électricité dans l’air, il n’y avait plu crie, ni coup. Les lâchant, Zéleph soupira.

Bien sur Shizuo c’était mis a pleuré, les cris, la violence, ça n’aidé pas un enfant si jeune a resté tranquille, surtout quand il s’agissait de sa mère. Ne ratant pas une occasion pour crier sur Jose elle repartit au quart de tour. « Regarde ce que tu as fait ! » « Moi ? » s’indigna forcement Jose « C’est toi qui indispose notre invité ! Ta cas le gardé ton fils si tu ne supportes pas qu’une autre le porte ! » Cette fois une autre gifle avait frappé, plus forte et violente que l’autre. Zéleph aurait pu l’empêcher mais il ne l’avait pas fait, la trouvant parfaitement légitime. Oui, il n’était pas le juge qu’on pouvait d’être d’avoir dans un procès, prenant toujours partie pour un coté ou un autre. En réalité le faite qu’Ondine était la mère de Shizuo était tabou, personne n’en parlait. Ça ne se voyait cas l’affection et l’attention particulière qu’elle avait pour lui. Les autres enfants n’en avait aucune idées et c’était mieux ainsi, personne n’était censé s’avoir ce qui était arrivé à Ondine. L’enfant avait beau retenir ses larmes quand elle prit Shizuo des bras de la déesse en s’excusant elle ne put retenir un sanglot avant de s’enfuir. Ce retournant vers Jose, Zéleph était furieux, le prenant au colle celui-ci ne résista même pas, un peu perdu dans ses pensé, malheureux d’avoir dérapé. « Va-t’excuser ! » « Mais elle. » « J’en ai rien à foutre, met toi à genoux si il le faut, rampe, laisse la te frappé si elle a envie, mais tu vas t’excusé et tout de suite ! » Le jetant presque par terre, Jose quitta la pièce un peu sonner, pas tout à fait certain de ce qui venait d’arriver, les joues encore rouges de honte et du courroux d’Ondine. Soupirant Zéleph se laissa tomber par terre. Il ne pensait pas qu’ils lui feraient une scène comme cela un jour comme celui-là. « Je suis désoler, ces deux-là ont les hormones en ébullitions et ils ne trouvent qu’un seul moyen de communiqué depuis quelque temps. Seulement par fois quand on est en colère, les mots dépasse la pensé n’est-ce pas ? » Il eut un petit sourire ironique, bien sûr elle le savait bien. Se rapprochant d’elle, il resta assit devant sa chaise et lui attrapa les mains. « Shizuo est le fils d’Ondine. Il a six ans, elle en a quinze, je te laisse imaginer… » Jose avait voulu se rendre intéressant aux yeux de la déesse, malheureusement cela avait piqué la jalousie d’Ondine qui n’as pas manqué de ce venger et de fil en aiguille Jose c’est laisser porter. Peu importe, ce n’était pas grave, que de la routine pour tout le monde ici. Ce redressant, Zéleph se pencha sur Mitsuko et l’embrassa tendrement. Il était fier d’elle. Les enfants avaient l’air de l’adoré malgré les mouvements houleux de l’océan sur le quel cette maison navigué.

« Ils t’aime. Tu vois que tu peux être doué avec les gosses. » Des rires ce firent entendre, des bruit de pas précipité un peu partout. Les gamins jouaient, il entendit Faust et ça le fit sourire. « Ils n’avaient besoin que d’espoir, tu es leurs étoiles. Tu pourras ne plus jamais revenir ça leur serra égale. Ils voulaient simplement voir ma femme, et comme par hasard il semble que ce soit leurs grande bienfaitrice, et en plus une déesse. » Plus sérieusement, il glissa son pousse sur le yin de sa main, le regardant un peu distrait. « Si tu veux partir, je comprendrais. » Il savait combien elle redouté le contacte des enfants et comme elle devait se sentir mal à l’aise aux milieux de tous ces gamins sans manières et trop affectueux pour si peu. Comme lui ils manqué cruellement d’affection, privé trop jeune, alors à présent il partait en quête d’un peu de tendre partout où cela pouvait ce présenté. C’était en réalisant cela, que Zéleph avait fini par ce laissé attendrir. « Alors comme ça tu as plus de trois cent ans ? » Dit-il en prenant un air effaré, toujours assit par terre. Il fallait dire qu’il savait bien qu’elle était plus veille que lui, mais de plus de deux siècles, c’était impressionnant. Elle était presque aussi vieille que sa mère, c’était effrayant ! Oui elle aurait très bien pu aller aux jardins d’enfant avec sa mère. C’était étrange, non ? Puis il ricana. « Et tu es petite pour qu’on se casse le dos pour toi ? C’est ça que tu te dis pour te consolé d’être naine ? » Il se mit à rire, ne pouvant s’empêcher de se moquer d’elle. C’était de bonne guerre vue le pétrin dans lequel elle l’avait mis aves les enfants. Il finit par la tirée vers lui pour qu’elle tombe dans ses bras et il l’embrassa sans plus attendre. Il avait attendu trop longtemps. Il respecté sa pudeur et ne l’embrasser pas continuellement en publique, sans y être invité, et pourtant il en avait cruellement envie. Même pour le saluer, elle ne l’embrasser pas. Il ne se plaignait pas, ce pliant a ses bon vouloir par ce qu’en société il faisait assez de bêtises comme cela pour qu’elle trouve son images grimé, il ne voulait pas en plus qu’elle soit gêner de ça, non, par ce que ça le blesserait réellement si elle le repoussé en publique. Seulement là, sur le planché miteux de cette pièce vide, il ne se privé pas de retrouvé sa femme, la serrant contre lui avec la ferme intention de ne pas la lâcher tant qu’il ne l’aurait pas décidé. Gouttant ses lèvres, trop longtemps séparé des sienne à son gout. Il se sentait toujours griser quand leurs bouches ce retrouvé, quand ses lèvres caresser les sienne, si douce. Pour être honnête si il n’avait pas besoin d’oxygène pour vivre il ne s’arrêterait jamais, ne ce lassant d’aucune façon de cette douce caresse qui le faisait toujours autant vibré que la première fois.
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Mitsu
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Mitsu
Mer 06 Mar 2013, 21:26

C'était étrange la rapidité avec laquelle les choses avaient dégénéré. Peut-être aurait-elle dû expliquer comment l'on faisait les enfants, même s'ils auraient sans doute eu le droit à la vrai version du « le bidule du monsieur entre dans le truc de madame et hop, ça fait un enfant ». Elle avait envisagé d'employer des termes scientifiques auxquels ils ne comprendraient strictement rien mais la pensée de son mari expliquant cela l'avait emporté. Et puis, elle devait bien lui faire payer un peu. Quoi, elle ne savait pas, mais il devait sans doute avoir quelque chose à se reprocher. Elle avait souri à son explication. Il n'était pas si à l'aise que cela et, quelque part, ça la rassurait. Contemplant son visage un instant, elle avait dû reporter son attention sur le petit garçon qui se trouvait sur ses genoux, ce dernier ayant levé ses grands yeux vers elle pour lui faire un nouveau bisou. Après cela, c'était parti en vrille, surtout avec le petit commentaire du dénommé Jose. Pourquoi Zéleph avait-il réagi ainsi? Cet adolescent devait savoir qu'il ne l'aimait pas... ou alors était-ce le contraire? Lui avait-il dit quelque chose? Elle ne comprenait pas et, finalement, elle ne chercha pas à savoir, même si elle se demandait comment il parlait d'elle lorsqu'elle n'était pas là. Leur avait-il dit qu'il l'aimait ou leur avait-il expliqué la vérité, leur histoire? Elle doutait qu'il ait pu dire à ces enfants qu'ils avaient fini par succomber au désir brûlant qui les avait habité, et qui les habitaient encore. Non, ils devaient tous croire qu'ils étaient un couple modèle, qu'ils s'aimaient d'un amour semblable à celui qui était souvent raconté dans les contes de fées. Ce n'était pas plus mal. Les enfants n'avaient sans doute pas besoin de savoir les déchirures que leur passion était capable d'engendrer, les blessures qu'ils s'infligeaient parfois, les mots cruels qui sortaient parfois de leur bouche. Pourtant, peut-être était-elle celle qui le repoussait le plus. C'était vrai, c'était amusant que Shizuo aime tellement les câlins, peut-être que le prénom jouait un rôle finalement? Elle savait qu'elle n'était pas câline mais comment faire? C'était dur d'aller vers lui pour simplement l'enlacer, elle n'y pensait pas et, quand elle y pensait, elle n'osait pas. Elle voulait l'enlacer juste lorsqu'ils faisaient l'amour, acte légitime. Mais si ce n'était pas un acte de désir alors c'était forcément un acte d'amour finalement. Alors elle préférait ne rien faire, ne rien lui laisser penser. Elle le lui avait dit lors de leur lune de miel, c'était la dernière fois qu'elle l'aimait. Mais pouvait-on réellement décider de ce genre de chose d'une simple volonté?

Elle ne se préoccupa pas de la dispute, regardant Damian avant qu'il ne parte, restant pensive. Seulement, quand Shizuo se mit à pleurer, elle ne sut pas vraiment quoi faire. Devait-elle se lever? Etait-il mal sur elle? Était-ce à cause du bruit que faisaient les autres? Le fixant sans rien faire au final, de peur de se tromper ou peut-être parce qu'au fond, elle savait que rien n'y ferait, elle laissa Ondine le prendre, la jeune fille semblant blessée des propos de Jose. S'aimaient-ils? Oh ça, elle était douée pour analyser les sentiments des autres et les liens qui les unissaient, elle comprenait, tant que tout ceci ne la concernait pas. L'homme en devenir était trop fier pour savoir reconnaître ses tords, maladroit pour lui dire les bons mots, et elle était jalouse, ne lui montrant sans doute pas de la bonne manière. Elle avait ses démons et lui était trop impulsif parfois pour penser à ne pas les lui rappeler. Mitsuko sourit à Zéleph, elle comprenait. Elle pouvait imaginer oui, cette jeune fille, presque femme, avait dû vivre l'enfer. De toute façon, ces enfants devaient tous avoir une histoire propre, une histoire qui ne devait guère être rose. Et ils arrivaient encore à sourire. Silencieuse, elle n'ouvrit la bouche que lorsqu'elle fut dans ses bras, par terre, rompant leur baiser tout en gardant les yeux fermés quelques secondes. Elle aimait tellement ça, sentir ses lèvres caresser les siennes, comme une drogue dont elle ne pouvait plus se passer. Oui, elle allait rarement vers lui mais dès qu'il la saisissait, dès qu'il l'embrassait, alors elle ne pouvait plus faire autrement que de lui appartenir, entièrement. Elle finit par le pousser en arrière, le dominant, allongée sur lui avec un petit sourire. Plaçant son menton sur ses bras liés sur le torse de l'homme, elle lui sourit simplement avant de lui souffler : « Je crois, qu'effectivement, tu es condamné à devenir bossu mon amour, à force de te pencher vers moi. Et peut-être qu'à force d'essayer d'atteindre tes lèvres, je prendrais quelques centimètres. ». Se hissant un peu plus vers lui avec un petit air malicieux, elle déposa un baiser dans son cou, effleurant sa peau comme si elle refusait de lui en donner plus. « Finalement, ce n'est pas si mal d'être ici, il s'y passe pleins de choses, j'apprend beaucoup et puis, je ne vais pas écourter une si belle occasion de voir mes fans. ». Elle rit, doucement. « Surtout qu'à l'auberge, à cause de l'état dans lequel est Seth, on ne peut pas faire trop de bruit. Il se remettra mais le fait de couper le lien de servitude qui le liait à mon ancêtre et au manoir l'a considérablement affaibli. Tu ne l'aimes peut-être pas mais il m'est fidèle. Je ne peux rien te dire en ce qui concerne Tara par contre mais une chose est sûre : elle déteste mon ancêtre. ». Atteignant ses lèvres, elle les effleura de la même manière. « Enfin, parlons d'autre chose. ». Elle n'avait pas envi de s'attarder sur le sujet. Aussi, elle en trouva un bien meilleur, un qui pousserait sans doute le réprouvé à bout. « Alors comme ça je suis aussi belle que ton ange? ». Elle l'embrassa de nouveau. « Et de ce que j'ai vu, un certain Jose est aussi doué que toi avec les femmes... ». Lui mordant la lèvre inférieure délicatement, elle rit doucement, se moquant de lui. « Tu m'aimes fort hein? ». Elle en rajoutait, amusée, son regard semblant lui lancer un défi. S'approchant lentement de son oreille, elle y murmura d'une façon bien plus sensuelle que tout le reste : « Je suis impatiente que tu m'embrases, Zéleph... ». Elle se redressa avec la même lenteur, ses mains parcourant son torse, le fixant avec un air qui ne trompait pas sur son petit jeu. Il ne pouvait rien lui faire ici, rien tenter. Les murs tombaient littéralement, il n'y avait aucune isolation et quelqu'un pouvait entrer à tout moment. Et elle, ça l'amusait d'éveiller son désir en sachant très bien qu'il était coincé d'avance, impuissant. Mitsuko lui adressa un petit sourire satisfait, sachant pertinemment qu'elle avait gagné son petit jeu.
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Mer 06 Mar 2013, 23:06

Grognant, le regard soudain empreint d’une teinte beaucoup plus sombre que d’ordinaire, il ce retenait fermement de lui dire à quel point elle était garce. Dans n’importe quelle autre circonstance, elle serait surement déjà plaquée sur le plancher sous lui à gémir sous son désir brulant de la voir payé pour son affront. Seulement aves des enfants par tout dans cette bâtisse tenant à peine debout, il aurait était plus qu’indécent de faire ce genre de chose, c’était même sale et assez dégoutant d’y pensé, mais aller dire ça a ce pauvre homme privé depuis si longtemps du corps de sa femme qui s’évertué à le rendre fou. Zéleph ne put s’empêcher, il ne put s’empêcher de ce jeté sur ses lèvres, rien que pour lui enlever ce sourire satisfait qui l’agacer. Ca elle était contente d’elle, toujours un peu trop à son gout, mais soit. La faisant rouler sous lui, il l’emprisonna de son corps, ses mains attrapant ses poignet pour les tenir fermement contre le bois, possessif, dominant, elle ne pouvait pas s’en tiré ainsi, ce n’était pas juste et trop bon pour qu’il arrive à la lâché si vite. Sa langue cherchant sensuellement la sienne. Il était lui aussi très doué à certain jeu, et particulièrement à celui-là. La narguant, la quittant pour la retrouvé avec plus de ferveur encore. Caressante, à la fois douce et féroce, alternant sans cesse pour faire exploser le plaisir, mais dans ce baiser dés plus langoureux et brulant, il en oublié son désir grandissant pour elle. Il devait arrêter, et vite avant que cela ne devienne réellement gênant. Zéleph avait beau être puissant, une force mentale à toute épreuve, dans ce genre de circonstance il était le plus faible des hommes. Quitté ce fruit si délicieux, sentir le manque et la frustration l’envahir. Il était vrais que le coup était cruelle, mais néanmoins nécessaire. Ce séparant d’elle, il posa son front sur le sien, essoufflé par la vigueur, par les sensations faisant vibrer son corps. Si seulement il avait pu… Ses lèvres effleurèrent encore les sienne, comme si ce séparait était bien trop difficile. Pour finir, il les glissa jusqu’à son oreille, et laissa son souffle chaud, encore troublé, se rependre sur sa peau. « Tu serrais jalouse si une déesse ce glisser dans mon lit, cette nuit ? » Déposant un baiser sur sa joue, il ce redressa et ce fut à son tour de la défier, le regard victorieux avant de ce levé et de quitter la pièce sans plus de cérémonie. Pourtant il était en train de brulé vif, il avait extrêmement chaud et juré que si il devait retourner à cette instant dans cette pièce il ne pourrait réellement pas ce retenir. Quand il entra dans une pièce pour tenter de fuir le plu loin possible, il reçut de l’eau glacé en plein visage. Ce tétanisant sous le choc du froid sur sa peau jusque-là, incandescente, il ouvrit les yeux sur une Ondine lui faisant un grand sourire. « Ça va mieux ? » Son petit air supérieur, avec ce sourire moqueur, lui fit comprendre que le verre d’eau n’était pas là pour rien. Elle les avaient vues ? Comme si elle avait entendu ses pensé, Ondine continua. « C’était très chaud en tout cas. Vous avez décidez que mieux d’expliquer, vous alliez montrer, comment on fait les bébés ? » Zéleph se sentit soudain très mal à l’aise, est-ce que les enfants les avaient vue ? Combien ? Puis pourquoi elle ne se disputé pas encore avec Jose ? « Les enfants, on vue ? » La rouquine haussa les épaules. « Ils ont dit que vous faisiez un truc dégoutant. » Le réprouvé soupira. Si ils n’avaient pas posé plus de question e n’était pas bien grave. Seulement il paraissait qu’ondine en avait vue bien plus, sinon le verre d’eau n’aurait jamais était lancer par hasard. Avant qu’il ne pause sa question, l’accusant déjà de voyeurisme, elle l’enlaça, en posant sa tête sur son torse. Il ne sut continuer et préféra simplement, l’enlacer à son tour. Ca n’avait pas du s’arranger avec Jose, son grand idiot d’humain. « Je t’envie tu sais. » Il sourit, un peu tristement, posant son menton sur la tête de la jeune femme. Il n’y avait franchement pas de quoi, mais il comprenait ce qu’elle voulait dire. Elle aurait voulu que Jose soit un eut plus attentionné et arrête d’être de si mauvaise fois avec lui-même, mais ils étaient encore jeunes et avaient le temps, tellement de temps que cela en était scandaleux pour lui, ce vieille homme. « Ondine. Ne les laisse jamais te marchés sur les pieds. » La sirène sourit contre son torse. Il le lui avait assez répété, et ce n’était pas son genre. Elle était un peu trop violente par fois, mais n’arriver pas à s’en excusé. C’était à cause de son traumatisme, elle se sentait si faible, mais là dans les bras de Zéleph elle savait pertinemment que rien ne pourrait jamais lui arrivé, c’était rassurant de l’avoir. Ce hissant sur la pointe des pieds elle lui embrassa la joue puis lui offrit un magnifique sourire. « Je t’aime. ». Il ne répondit pas, bien incapable de le faire, mais lui sourit et cela lui suffisait amplement a la jeune fille. Elle sortit de la pièce, laissant entrer derrière elle, Roxane tenant la main de Faust.

Le roi posa ses yeux sur la gamine qui le fixer intensément, avant de lui sourire, un si grand sourire qu’il paraissait atteindre ses deux oreilles de petits chat. Très fièrement planté devant lui elle se mit a parlé de sa voix pleine de confiance, d’une audace attendrissante du haut de ses dix ans. « Hein papa que Faust il peut être mon amoureux, même si toi aussi tes son papas ?! » assura-t-elle très sûr de la logique de la situation. Zéleph resta incertain en posant son regard sur le déchut dont la main était emprisonner par la petite capricieuse. Le pauvre, le voilà lui aussi en proie avec la gente féminine. Le réprouvé ne su quoi dire. Sauvé Faust d’un potentiel divorce, ou brisé le cœur d’une petite fille qui n’avait d’yeux que pour le déchus de puis qu’il était entré dans la maison. « Comme je suis un papa de cœur, vous pouvez être amoureux. » affirma-t-il avec un sourire amusé non dissimulé. Yuri a la porte croisé les bras en boudant manifestement contrarier par la nouvelle, Yumi a ses coté fixer Faust sans arrêt, apparaissant soudainement très timide, ce cachant légèrement derrière son frère jumeaux. Roxanne ce tournant alors un aire de victoire sur le visage, les yeux lancent des étoiles de bonheur. Elle était très fière d’elle et ne manqua pas de nargué Yuri à ce sujet ! « Ah ! Tu vois ! Faust y peut être mon namoureux d'abord! » Triturant es doigts Yumi, soupira alors quelque chose. Si Zéleph ne l’eu pas entendu, cela n’avait ni échappé a Yuri, ni à Roxanne qui quitta la main du déchu pour courir vers Yumi soudain choqué par ce qui venait d’arrivé. « Tu as dit quelque chose ? » « Elle a dit « moi 'si » ! » Le regard de Yuri s’illumina soudain et Zéleph réalisa qu’il était possible en effet que la petite est parlait. S’approchant d’eux, il s’accroupit devant elle, qui rougie soudain violement quand il lui demanda ce qu’elle avait dit. Regardant ses chaussures, le réprouvé l’encouragea en emprisonnant son menton entre deux doigts pour qu’elle le regarde, et lui sourit, voulant la rassuré. « Moi aussi… Je veux… Je veux un amoureux. » Son regard se posa doucement sur Faust, un peut inquiéter, puis elle baissa à nouveau violement la tête, comme effrayai. Roxanne ne paraissant pas le moins du monde jalouse ce jeta sur elle, en la serrant dans ses bras criant des « Je le savais ! Je le savais ! » et Yuri en fit de même l’accompagnant dans des « Elle parle ! » Zéleph ria devant la joie des enfants, lui aussi soulager que Yumi est dépasser son blocage. Ce tournant vers Faust il lui fit un clin d’œil, ce gamin faisait des miracles, il avait rendu sa voix a une petite fille, il avait fait sortir de l’ombre une âme blesser.

Pendant ce temps, Damian avait fait un dessin à Mitsuko et il voulait absolument lui montré. C’était ainsi qu’il avait foncé dans les couloirs, un peu avant le petit salon il ce cogna a quelqu’un et tomba par terre. Ce frottant le nez il leva les yeux, et quand il vit la déesse il eut un grand sourire qui apparut sur son visage, comme si ses fesse et son nez n’avaient jamais était douloureuses. Il lui tendit alors son chef-d’œuvre. « Tenez Madame papa ! » Sur le dessin, il y avait chaque enfant de l’orphelinat, les trois grands-mères, et juste devant Zéleph et Mitsuko, du moins ce qui devait y ressemblé, après tout c’était encore un peu maladroit, mais il y avait tellement de cœur dans cette représentation de ce qu’il avait intitulé « famille » dans le titre, qu’on ne pouvait pas en vouloir à ce gosse. « Vous savez papa c’est le don de la déesse, et la déesse c’est vous alors… » Damian rougie un peut gêner d’être ainsi devant les yeux de la déesse, elle qu’il voyait comme une idole ce promenant dans les cieux accompagner des autres Dieux. Une vision tout à fait innocente, mais pleine d’espoir. « Merci d'partagé papa avec nous. Il a dit que c’était vous qui l’avait envoyé, c’est votre don, vous êtes méga gentille et méga belle aussi ! Je suis content que vous soyez là, par ce que papa… Papa il parla pas beaucoup de vous, mais j’étais sûr que vous étiez comme sa maman. Gentille et belle comme un ange ! » Le petit garçon, ria, des étoiles dans les yeux au souvenir des aveux de celui qui pour lui serrait à jamais sons seul père, n’ayant jamais connue les siens. « Même qu’il a dit que son sourire, c’est comme des morceaux d’étoiles qui touche le cœur. Je sais que vous êtes une super déesse par ce que, le vôtre c’est pareille ! » Affirmât-il dans un grand éclat de rire, avant d’enlacer sa taille et posé sa tête contre son ventre. Juste à cette instant le crie de Roxane retentit, puis celui de Yuri. Ni une ni deux, la curiosité piquer a vif, Damian ce défi de la déesse et détala dans le couloir pour rejoindre le groupe qui chanté leurs victoire, la guérison miraculeuse de Yumi qui désirait ce faire de plus en plus petite à mesure que les autres arrivaient autour d’elle.
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Mitsu
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Mitsu
Ven 08 Mar 2013, 01:57

Mitsuko resta là, allongée sur le sol, la bouche entre-ouverte. Il était insupportable. Se redressant, elle sourit, se disant qu'il ne perdait rien pour attendre. Néanmoins, il est vrai qu'au bout d'un moment, elle s'était demandée s'il ne convenait pas de le repousser, s'il pourrait s'arrêter, si elle n'était pas allée trop loin. Il ne voulait pas qu'elle gagne leurs petits jeux mais il ne s'en tirerait pas aussi facilement à chaque fois, elle allait se venger. Elle rit, reprenant une respiration normale comme si elle en avait réellement besoin, comme si elle était humaine. Fermant les yeux, elle se mit à écouter les bruits de l'orphelinat, son ouïe aussi fine que si elle s'était retrouvée dans chaque pièce. Elle pouvait entendre le bruit de l'eau lancé sur Zéleph, elle pouvait même presque voir la scène, presque l'imaginer. Elle sentait la chaleur du corps du réprouvé, elle sentait la moquerie d'Ondine, elle sentait son amour pour lui, son admiration aussi sans doute. Se baladant de pièce en pièce comme si elle s'y était elle-même rendue physiquement, ce qu'elle entendait prenait vie, elle s'oubliait, se plongeant dans la contemplation de cet univers qui n'avait jamais été le sien. La misère du lieu ne se retrouvait en aucun cas dans le cœur de ses enfants. Elle écoutait le bruit des enfants qui jouaient, courant ici et là, leurs petits pieds frappant le sol ancien. Elle entendait le bruit des pas silencieux des grand-mères, leur canne, leurs vieux os les supportant avec difficulté. Peut-être qu'elle avait aussi envi de vieillir finalement, de sentir la fin arriver. Elle ne l'avait jamais souhaité avant de devenir immortelle, courant toujours après la puissance, après l'éternité. Pourtant, lorsqu'elle était devenue Aether, elle avait pris conscience qu'elle verrait ses fils mourir avant elle, qu'elle verrait leur descendance mourir avant elle, que, si un jour elle aimait quelqu'un, alors elle le verrait partir avant elle. Elle n'en avait plus voulu de ce cadeau empoisonné. Bien sûr, elle savait que Jun la tuerait avant qu'elle n'assiste à pareil spectacle mais comment savoir ce qui pouvait arriver à ceux qui lui étaient proches? La connaissance n'était acquise qu'à l'apogée de la puissance d'un dieu et, elle en était loin. Dans ses pensées, elle finit par entendre le bruit du tabac que l'on roulait sur le perron. Jose. Il semblait énervé mais pas seulement. Il était sans doute triste que la situation avec la jeune fille ne se soit pas arrangée. Ouvrant les yeux, Mitsuko se téléporta pour apparaître à ses côtés, le faisant sursauter. Attrapant la cigarette qu'il avait dans la bouche, elle la balança sans plus de cérémonie dans le caniveau, ne faisant pas attention à son expression. Elle savait qu'il n'oserait pas la contredire mais elle précisa quand même : « Je fais la même chose avec mon époux. Ce n'est pas bon pour la santé et, en plus de cela, je suis enceinte. ». Il devait comprendre. Attrapant ses mollets pour coller ses genoux contre elle, elle posa son menton sur ces derniers, contemplant la rue. « Tu aimerais voler, voir le monde? ». Doucement, elle tourna son visage vers lui, le fixant droit dans les yeux en lui tendant la main. Il était un peu troublé, autant par la question que par le geste. Cependant, elle ne lui laissa pas réellement le choix, allant chercher la sienne, les téléportant tous les deux haut dans le ciel, l'adolescent mort de trouille à l'idée qu'elle puisse le lâcher. Mais c'était le but. « Tu vois, sur ces terres, beaucoup de gens se battent pour ce qui leur tient à cœur, bonne ou mauvaise raison, peu importe. Les créatures maléfiques ne le sont qu'en se basant sur une norme neutre. Mais si demain la neutralité se rapproche du mal, alors il le sera moins. Je ne te cacherai pas que les jours à venir risque d'être sombre, pour tout le monde. ». « Pourquoi vous me dites ça? ». Il semblait confus. « Je veux que tu penses à ce que tu aimerais faire avant de mourir... à ce que tu aimerais dire aux personnes qui t'entourent. ». Elle était perdue dans la contemplation du paysage qui s'étendait à perte de vue. L'on voyait tout le continent dévasté d'ici, bien plus, l'océan comme horizon. Le monde vivait sous leurs pieds, ils le dominaient. Elle planta son regard dans le sien, de nouveau puis finit par rire, le lâchant sans plus d'explication, le jeune homme aspiré par le bas, tombant en chute libre. Le regardant à peine, elle attendit qu'il ait presque toucher le sol avant de se téléporter pour le rattraper, le ramenant dans la pièce où elle était précédemment en compagnie de Zéleph. Il manqua de tomber une fois ses pieds fixés dans le plancher miteux. Mitsuko sourit à sa mine traumatisée avant de lui dire : « Il arrive un moment où il faut avouer l'amour que l'on porte aux autres. Attendre ne rime à rien. Imagine un seul instant qu'elle meurt demain, imagine un seul instant que tu meurs demain. Les sentiments non exprimés ne forment que des êtres malheureux, fatigués par l'attente d'un bonheur qui ne viendra sans doute jamais. Vous pourriez être heureux elle et toi si vous appreniez à vous comprendre, à vous parler. ». Puis, elle sortit de la pièce, le laissant là. Parfois, il lui arrivait de dire des choses qu'elle ne comprenait pas elle même. Enfin, peu importait, au moins, elle lui avait fait ressentir la mort.

Encore dans ses pensées, se demandant si elle ne l'avait pas légèrement trop secoué, elle ne vit Damian que lorsqu'il la heurta, tombant sur le sol. Elle le regarda, attendant qu'il se relève, étonnée par son sourire. Madame papa, drôle d'appellation. La déesse prit pourtant le dessin, le regardant en tournant étrangement la tête sur le côté. Faust ne faisait pas de dessins lui. En réalité, elle ne savait pas trop quoi lui dire, ce n'était pas du grand art et elle n'avait pas envi de faire semblant de s'extasier. Pourtant, c'était touchant quelque part, et elle n'était pas au bout de ses surprise, le petit lui exposant la vision qu'il avait d'elle avant de l'enlacer, le corps de Mitsuko se tendant légèrement sans qu'elle ne sache quoi faire exactement de ses propres bras. Devait-elle les poser sur lui ou les maintenir en l'air? Et puis, cet enfant se trompait sur elle, elle n'était pas comme ça. Elle ne lui dirait pas, bien sûr, si cela l'aidait à grandir, à avancer, à devenir plus fort, à garder le pétillement qui prenait place dans ses yeux. Elle repensa à Alec, lorsqu'il lui avait attribué tous ses malheurs. Oui, elle était comme ça, elle laissait les individus se faire une fausse image d'elle, s'en nourrir pour évoluer, quitte à ce qu'ils deviennent ses ennemis. Enfin, heureusement pour elle, des cris retentirent et Damian la lâcha, partant rejoindre les autres. L'Aether le regarda courir devant elle, plein de joie de vivre. Ces enfants vivaient dans la misère mais, d'ici peu, le monde entier serait plongé dans un chaos encore plus horrible, sans limite hormis celle de la volonté d'un sorcier malade et de ses acolytes. Quel avenir y avait-il pour ces enfants au juste? La jeune femme suivit pourtant Damian, arrivant devant le petit groupe qui félicitait la fillette qui, apparemment, avait retrouvé la parole. S'arrêtant auprès de son mari, elle ne perdit pas une si belle occasion de l'embêter. Le regardant d'un air amusé, elle lui fit remarqué : « Oh? Tu es tout mouillé... ». Puis, se hissant sur la pointe de ses pieds, elle lui chuchota à l'oreille comme si de rien n'était. « Cela nous fait un point commun, mon lapin. ». Elle sourit, prenant gentiment sa revanche, ses yeux posés sur lui semblant refléter tout le désir qu'elle ressentait à son égard. Pourtant, elle dut tourner le regard quand Faust vint l'enlacer, avant de lui demander. « Dis? Je pourrai me marier moi-aussi? ». Il semblait heureux d'être ici, et elle l'était tout autant de le voir ainsi. Le château désert de son père semblait loin, tout comme ces sombres jours qui l'avaient traumatisé. « Si tu es sage. ». Quoi dire d'autre? Mitsuko tendit le dessin à Zéleph pour qu'il le regarde lui-aussi, ne s'attendant absolument pas à ce qui allait se passer.

L'ange déchu, semblant ravi cria alors à tout le monde : « Moi je vous protégerai! Regardez comment je peux être fort! ». Et il se transforma, prenant l'apparence de son père ce qui déchira ses vêtements. Pourtant, là, totalement nu, sur son visage apparaissait son air enfantin, un grand sourire aux lèvres, ne se souciant pas d'être dans le même état physique qu'un nourrisson venant de naître. En plus, il avait appris à tenir sur ses pieds, ne risquant pas de tomber comme la dernière fois où Zéleph l'avait frappé. « Vous voyez, comme ça, j'ai presque autant de muscles que monsieur Zéleph! ». Depuis qu'il avait développé ce don, il n'arrêtait pas de l'utiliser, au plus grand désespoir de Seth qui s'était mis à lui courir après un peu partout dans le manoir. Enfin, heureusement, son nouveau précepteur était moins pointilleux que l'ombre. D'ailleurs, elle attendait toujours sa réponse à sa lettre, espérant qu'il ne soit pas retourné au manoir avant de l'avoir reçu. En attendant, la jeune femme dit doucement. « Faust, je crois que tu pourrais éventuellement t'habiller un peu... ». Le petit garçon, maintenant homme dans la fleur de l'âge, se baissa pour ramasser les débris de ses vêtements, soudain désolé, se rendant compte qu'il avait déchiré ce que sa mère avait dû payer alors qu'ils n'avaient pas beaucoup d'argent. Elle ne le regardait jamais quand il prenait sa forme d'homme et peut-être ne s'habituerait-elle jamais à voir ressurgir Dante de temps en temps. Elle n'osait pas gâcher son plaisir en lui demandant de reprendre une forme enfantine mais il risquait de faire peur à quelqu'un comme ça. Tournant les yeux vers son époux, elle lui sourit, tout simplement, comme si la hache de guerre avait été enterrée. « J'ai faim moi! ».
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Ven 08 Mar 2013, 15:32

Les yeux du réprouvé lancé des éclairs à sa femme. Elle voulait le tuer ? C’était ça le but de la manœuvre. Osé faire ça devant des enfants c’était dégoutant. Pourquoi ne pouvait-il alors pas s’enlever cette idée de la tête ? Cruelle. Elle n’avait aucune pitié pour lui. C’était affligent. Le roi détourna le regard, ne pas y pensé, avec tous ces gosses il pouvait bien faire ça, pourtant ce n’était pas simple. Lui qui était constamment en manque, ne la voyant pas autant qu’il l‘aurait voulu, si en plus c’était pour qu’elle l’enfonce un peu plus dans sa frustration, il finirait par ne plus en pouvoir. Elle ne devait pas savoir ce que c’était de vivre entouré de femme nue, n’ayant aucune limites dans l’indécence la plus total. Non, elle n’avait pas idée, que lui dans son lit froid, seul, il entendait par tous les cris de femmes et prenant du plaisir alors que lui ne pouvait en avoir que l’or ce qu’elle était là, et en ce moment, elle n’était pas souvent là. Alors lui faire ça, c’était réellement malsain. Il avait des besoins comme tous les hommes, sur tout lui, et il ne cacher pas que ses pensé s’égaré par fois vers elle quand il était plongé dans sa solitude. Après tout pensé à sa femme de cette façon n’avait rien de déplacé, au contraire, mais cela ne faisait qu’augmenté son besoin d’elle, sa frustration, et a force de voir toute ses femmes autour de lui, il en finissait par faiblir. Il supposé qu’elle ne voulait pas cela, pourtant elle prenait plaisir à le rendre fou et lui n’était qu’un homme. « Dis? Je pourrai me marier moi-aussi? ». Zéleph posa son regard sur le gamin. « Je ne te le conseille pas » murmura-t-il pour lui-même. Après tous les femmes étaient toutes des démons bonnes cas rendre les hommes fous et les faires enfermé pour s’en débarrassé. Mitsuko lui donna le dessin de Damian, il le prit sans rechigner, mais refusa de levé les yeux sur elle. Non, hors de question de rentré dans son jeu. L’ignorait, il y arriverait très bien, il y avait beaucoup d’autre chose à regarder ici, tout aussi beau. Ils étaient là pour les bambins de toutes façon, autant leurs donné toute son attention. Regardant le dessin, il eut un sourire amusé. Damian était très sensible. Il était rassuré que Mitsuko s’en sorte si bien avec les enfants, il avoué ne pas avoir grande confiance en ses capacités démonstrative, voir émotive, mais dans le paraitre elle était parfaite. Coupé dans l’éloge qu’il se faisait de sa femme sans défaut, il leva les yeux sur le corps nu de Faust, un peu plus grand que lui. C’était la seconde fois, et très sincèrement il ne s’y ferait jamais. Surprit, il fut sur tout alerté par le soudain crie de Roxane qui ce caché les yeux et Yuri s’évertuant a caché ceux de sa sœur qui paraissait tétanisé. Enfaite Zéleph eu envie d’éclaté de rire, mais il l’étouffa dans sa main, pensant que cela vexerait peut être le déchu, seulement il fallait avouer que la scène était dés plu comique. Il était certain que ses nouveaux amis n’avaient pas dû s’attendre à ça, et les deux jeunes filles sous ses charmes s’en voyaient bouleversé. Zéleph sentit bien Mitsuko leva a tête vers lui, mais il ne la regarda pas, fixant ses yeux sur Damian, pas le moins du monde perturbé, réclamant à manger. Alors en ignorant royalement sa femme, il attrapa le garçon et le prit dans ses bras. « Bonne idée, allons manger. » Damian leva les bras en criant, plus heureux que jamais « C’est l’heure du diner ! » Poussant les jumeaux et Roxane hors de la pièce, il posa la main sur la tête de Yuri. « Tu ne veux pas aller donner un pantalon à Faust, s’il te plait ? Ca évitera à Mamy et Reine d’avoir une crise cardiaque. » Le garçon parut contrarier, ne sachant pas ce qu’était une crise cardiaque, mais il acquiesça tout de même, invitant Faust à le suivre à l’étage.

Sortant de la pièce pour gagner la petite cuisine, il y avait du pain sur la table, et de la vieille soupe. Juste assez pour nourrir cinq personnes, mais comme les plus de dix ans ne mangé pas aujourd’hui et que tout était partager en petite portion, cela réglé le problème. Malgré cela, il y avait tout le monde ici, pour cette petite pièce c’était ennuyeux, cela ne donné pas beaucoup d’espace pour ce déplacé. Lâchant Damian qui devenait soudain très agité, il partit s’assoir à la petite table avec les autres. Zéleph sourit a Reine qui servait un verre de thé a chacun, avec plus d’eau que de thé, mais c’était l’effet « eau chauffé » qui compté le plus. Ondine servait les petits, pendant que derrière elle, Jose la regardé, l’air tétanisé, comme si il avait vu la mort. Le roi fronça les sourcils l’observant attentivement. Oui, il paraissait profondément plonger dans ses pensé, comme déterminé à faire quelque chose en étant terrifier à cette simple idée. Le réprouvé oublia vite quand, Shizuo de sa bouche pleine de pain, lui tira le bras. Il lui sourit, cela suffit à l’enfant qui paraissait juste avoir besoin de l’attention de l’homme pour continuer à ingurgité sa tartine, qui bien que petite paraissait énorme pour ce gosse. « Après ça, tout le monde au lit ! » Il y eut des plainte, bien sûr, il était encore tôt, mais pour les petits c’était le mieux et puis les grand-mères étaient fatigué. Jose et Ondine s’occuperait des plus grand, c’était le moins qu’ils pouvaient faire, même si Jose l’inquiété un peu. Voyant Faust revenir dans les vêtements de Yuri accompagner de celui-ci qui ne se fit pas prié pour s’assoir à table, le roi fut heureux de voir le gamin invité le déchu avec eux. Alors même qu’ils n’avaient pratiquement rien a mangé, ils trouvaient encore le moyen de partagé. Demain il ce promit de leur envoyait de quoi mangé pour toute une semaine, avant qu’il ne revienne. Croisant le regard de Mitsuko, il sourit. Lui aussi avait faim. S’éclipsant pour « faire visiter », il attrapa la main de sa femme et la poussa dans le couloir.

Sans s’arrêter une seconde, il la conduit dans une pièce éloigné, au fond de celle-ci il ouvrit une porte et là poussa dedans. Fermant derrière lui, ils se retrouvèrent dans un placard à balai, miteux, dont la seul lumière provenait d’un trou dans le plafond qui laisser aussi un courant d’air affreux venir secouer la poussière et les toiles d’araignée. Seulement peu importe l’endroit, le regard du roi s’illumina. Le prédateur grogna, sautant sur sa proie en la plaquant brusquement contre les étagères, l’une, instable, s’effondrant sous le coup. Elle aurait dû le savoir, le provoqué, peu importe l’instant ou l’endroit, c’était accepté son sort. Peut-être était-ce qu’elle cherché, mais il s’en fichait, il ne pensait déjà plu, ses pensé toute droit tourner sur le désir, son corps déjà consumé. Il faisait beau faire froid ici, il étouffé par sa faute. Elle mérité d’être puni pour ça, elle mérité sa vengeance. Ses lèvres s’écrasant contre les siennes, il ne chercha pas la douceur, laissant s‘exprimé sa frustration, déversait son mal. Elle en était la cause, et subirait la violence du désir qu’elle avait fait monté en lui, qu’il avait dû ravalé, ce contenir alors qu’il en était incapable. Oui, il était faible face à elle, mais il s’en fouta lors ce que ses mains, impatiente parcouraient son corps. Il ne pouvait pas déchirer cette robe, il en avait conscience, s’il le faisait elle n’aurait plu rien et ça serrait le drame dans cette maison. Sa langue parcourant son cou était en feu et laisser sur son passage la trace brulante de son désir. Mordant son oreille, il sourit, un sourire peut être un peu pervers, et amusé. « Moi aussi j’ai faim. » soupira-t-il d’une voix rauque, enroué par ses envie indécente de la faire sienne, de la faire ce tordre de douleur sans qu’elle ne puis totalement libéré son plaisir, après tout cela alerterait les enfants. Reprenant possession de sa bouche avec une envie féroce, il lui mordilla la lèvre inférieure avant de plonger son regard dans le sien, noire de désir. L’envie qu’il avait d’elle en devenait insupportable. « Ne ronronne pas trop fort, mon chaton. » Il la défia, la surplombant de toute sa hauteur dans un air des plus arrogants. C’était qu’il avait un plan, un plan qui la mettait-elle en danger, et pas lui.

MWAHAHAHA:
Ce retirant, il eut un sourire satisfait. Attendant juste le temps qu’elle reprenne pied, il la remit en équilibre sur ses deux pied, remit correctement sa robe, puis ramassant sa culotte, il se leva. Plongent son regard victorieux dans le sien, il s’essuya vulgairement la bouche du revers de la main, comme si il venait de finir un festin. Un léger sourire sur les lèvres, il là narguait en y trouvant un plaisir certain. Il avait gagné ce round. « Délicieux » soupira-t-il simplement, ses yeux brulant toujours de désir, sucent un à un ses doigts dans un élan de pur provocation. Lui tendant son sous vêtement avec une moquerie certaine dans le geste, il la laissa là, sortant du placard très fier de lui, et avant qu’elle ne puise tout de suite lui en faire voir de toute les couleurs, car il savait qu’elle le ferait pour le « remettre à sa place », il rejoignit les enfants. Reine fut ravis de le voir, lui disant que justement elle le cherché pour aller bordé les petits qui n’attendaient plu que ça. Zéleph lui sourit gentiment, acceptant sans problème cette échappatoire. La vielle femme remarqua bien cette soudaine énergie, cette joie, mais supposé que c’était l’effet que produisait les enfants a un futur père. Si elle savait… Il vit alors Faust déboulé et lui faire un sourire. « Elle est où maman ? » Zéleph retint un ricanement, il lui prit la main, ce disant que malgré tout il ne pouvait pas lui faire ça. « Elle vas nous rejoindre. »
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Mitsu
Lun 11 Mar 2013, 02:21

Les jambes tremblantes, Mitsuko fixa Zéleph avant qu'il ne s'en aille, la laissant là avec cet air supérieur qui l'énervait au plus haut point, surtout en vue des circonstances. Elle allait se venger de ce qu'il venait de lui faire subir, il pouvait s'y attendre, et elle savait qu'il s'y attendrait. Il était tellement cruel de la forcer à garder le silence alors que ce qu'il lui prodiguait à ce moment là était si plaisant. Pourtant, dans une maison remplie d'enfants, elle ne pouvait pas se laisser aller ainsi, elle ne pouvait pas faire entendre son plaisir, obligée de canaliser sa respiration, obligée d'étouffer ses gémissements, ses cris. La déesse avait même dû placer l'une de ses mains sur sa bouche, son corps se cambrant sous ses caresses, son corps tremblant ses coups de langues. Néanmoins, bien que terrible, la situation l'avait excité au plus haut point, l'interdit, le fait de se dire que n'importe qui pouvait entrer dans se placard pour aller y chercher quelque chose, ou tout simplement attiré par le bruit qu'avait fait l'étagère en s'effondrant. Et que diraient-ils si quelqu'un les voyait? Oh elle avait essayé d'y penser, souhaitant même le repousser mais, au bout d'un moment, ses lèvres sur son intimité avaient eu raison d'elle, et cette probabilité lui avait paru loin, très loin, ne restant plus que l'excitation de l'interdit, l'excitation due au fait qu'elle ne devait pas crier, qu'elle devait se taire, ne pas gémir. Elle savait qu'il était satisfait. Il l'avait surprise, l'attaquant alors qu'elle ne s'y attendait pas après l'avoir ignoré, chose qu'elle trouvait fort déplaisante d'ailleurs, alors qu'elle connaissait très bien l'état dans lequel elle l'avait mis. Plaçant son sous-vêtement dans sa poche, elle finit par sortir du placard, se dirigeant vers la chambre à coucher des plus petits. Lorsqu'elle entra, Faust l'accueillit avec un grand sourire alors que l'un des enfants réclama un bisou du soir à la déesse, suivi d'un deuxième et d'un troisième. Amusée, la déesse eut une idée, répondant alors : « Très bien, je vais vous faire un bisou du soir à tous. ». « Et, est ce qu'on peut avoir une histoire après? ». « C'est une bonne idée! D'accord pour l'histoire alors. ». Elle devait juste trouver un conte qui ne les effraierait pas. La jeune femme se déplaça dans la pièce, venant déposer un baiser sur la joue de chaque bambin, en recevant elle-aussi en retour, se faisant la remarque que personne ne l'avait jamais autant embrassé de sa vie, sauf son mari, bien sûr, mais c'était tout différent. S'avançant vers la vieille femme qui était là, elle lui sourit avant de lui indiquer : « Allez donc vous reposer, Zéleph et moi-même nous chargeons d'eux. Vous avez dû avoir une rude journée. ». Celle-ci la remercia chaleureusement avant d'aller rejoindre les deux autres dans une autre pièce, chacune d'elle effectivement très fatiguée. Plus les jours passaient, plus leur vie leur échappait. Mitsuko sourit au roi, marchant en sa direction avant de lui chuchoter : « Toi aussi tu as le droit à ton bisou du soir. ». L'embrassant sur la joue comme les autres enfants, elle lui plaça néanmoins d'une façon discrète quelque chose dans la poche de son pantalon, très amusée. Il s'agissait de son sous-vêtement, bien entendu, mais il ne le remarquerait qu'en essayant de voir ce que c'était. « Moi aussi, moi aussi! Et dis, je peux écouter l'histoire aussi? ». « Il n'y a que les enfants qui ont le droit, et Zéleph parce que, finalement, c'est un grand enfant aussi. ». « C'est quoi un grand enfant? ». « C'est Zéleph. ». « Hum... ». Le déchu réfléchissait sans comprendre, reprenant néanmoins son apparence de petit garçon, le pantalon fourni maintenant trop grand pour lui. Il pouvait même tenir dans une seule jambe. Montant sur l'un des lits vides avec son habit au creux des mains, il se coucha là, prêt à attendre l'histoire. La déesse s'avança vers le lit le plus proche de la porte, celui qu'avait choisi Faust et elle s'accroupit, ses genoux sur le sol, ses coudes sur le matelas, son buste légèrement penché en avant à cause du fait qu'elle appuie sa tête sur ses mains. Une position parfaite en somme pour le voyeur de roi qui se trouvait derrière elle, surtout quand il saurait qu'elle n'avait pas remis son sous-vêtement. Non, elle ne provoquait pas son mari, pas du tout. Maintenant, elle devait trouver une histoire et, au lieu de chercher dans ce qu'elle connaissait déjà, elle décida d'inventer.

« Il y a fort fort fort longtemps, sur ces terres, existait un homme très très très fort. Beaucoup de gens le craignaient parce qu'il avait des muscles et un très très très mauvais caractère. ». Les enfants écoutaient, certains écarquillant les yeux, surpris, regardant Zéleph quand elle avait dit que l'homme était très fort pour ensuite replonger leur attention sur elle, d'autres somnolant déjà. « Cet homme vivait seul, un peu reculé du village où il allait faire ses courses, et, au fond de lui, il était très malheureux parce que, lui, il voulait une amoureuse à qui il pourrait faire un bisou du soir, tous les soirs. Et, un jour, il vit une femme très très très belle arriver dans le village. Ce qu'il ne savait pas, c'est que son père, le roi, venait de décider qu'elle deviendrait sa femme. Avec ses muscles, il pourrait la protéger des méchants qui voulaient aussi l'épouser. Le mariage fut donc célébré, bien qu'aucun des deux n'aime l'autre. Ils habitèrent ensembles dans le palais du roi, un château très très très grand où l'homme ne se sentait pas à sa place avec son nouveau titre de prince. Au début, la cohabitation se passa mal, mais, au fur et à mesure, ils se rapprochèrent, tombant amoureux l'un de l'autre. Et, depuis, chaque soir, le prince fait son bisou du soir à la princesse. ». Mitsuko sourit, légèrement amusé par ses talents d'oratrice. Elle préférait les histoires un peu plus complexes mais pour des enfants, il valait mieux faire simple. Ça avait eu au moins l'avantage de les endormir presque tous, certains somnolant juste, la déesse se demandant comment elle devait le prendre. Dans tous les cas, Faust dormait à poings fermés. Elle finit donc par se relever, marchant vers son mari d'un pas félin. C'était l'heure pour lui de payer, et autant dire qu'elle n'entendait pas ça exactement de la même façon que lui. Lui prenant la main, elle sortit de la chambre en sa compagnie, laissant la porte entrouverte en se disant que les petits en seraient plus rassurés. Elle n'en savait rien en réalité mais, ce qu'elle savait, c'est que Zéleph allait prendre cher.

Guacamole:

Mitsuko réapparut dans la pièce où étaient réunies les vieilles femmes. Elles discutaient calmement entre elles avant d'aller se coucher, probablement le seul moment de détente qu'elles avaient dans la journée. La déesse était curieuse de savoir où se trouvait Ondine et Jose mais elle ne posa pas la question, s'installant dans un vieux fauteuil, déclarant alors : « Faust s'est endormi avec les plus petits. ». Celle qui se faisait appeler Mamy déclara alors : « Eh bien, pourquoi ne pas laisser ce petit dormir ici cette nuit. Vous viendrez le rechercher demain matin, comme ça il pourra jouer encore un peu avec ses nouveaux amis. C'est un gentil petit bonhomme que vous avez là. ». Sa voix était faible et bientôt la vie la quitterait, cela ne faisait aucun doute. « J'apprécie votre offre mais je ne souhaite pas vous déranger. ». « Avec tous les enfants qu'il y a ici, cela ne peut nous déranger et ça nous fera même plaisir. Après tout ce que vous faites pour ces enfants... ». Si cette femme savait qu'elle avait commencé à financer l'orphelinat après un stupide jeu pour obtenir une nuit avec Zéleph, peut-être ne penserait-elle pas ainsi. Enfin, à présent, seul son mari pourrait supporter le poids de l'entretien de la vieille bâtisse.
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Lun 11 Mar 2013, 15:11

La rage, l’excitation, la frustration. Zéleph avait envie de crié, mais il ce retint, intériorisant ce flot de sentiments qui manquèrent de lui faire détruire cette maison. Il sentait son cœur battre, le sang frappant ces tempes. Ne pouvant que serrer les dents en maudissant cette femme qui finirait par le tuer, il comprit que cette fois elle avait gagné. Plu jamais il ne la laisserait faire, non, dorénavant il prendrait les choses en mains, ça l’empêcherait de se faire avoir de cette façon. De plus, il était rudement agacer. N’avait-elle pas promit de ne plus faire cela ? Disparaitre de cette façon, c’était triché. Seulement la parole de Mitsuko ne valait pas grand-chose, plus il vivait avec elle et plus il s’en rendait compte. Ah ça l’amuser ? Pas lui. Cette fois elle l’avait poussé à bout. Le provoquer avec son sous-vêtement pour finir par ça ? Non, il en avait marre de jouer. Elle avait raison il y avait des enfants ici, cela eu moins l’avantage de le calmé. Seulement pouvait-il l’être totalement après cela ? Rien n’était moins sûr. Ce rhabillant, le roi soupira en sortant du placard. Il aller finir par maudire cette endroit, si ce n’était pas déjà fait. Ce passant une main dans ses cheveux. La chute avait était brutal, mais peu importe, le plus difficile était surmonté. Maintenant ne resté plu cas faire illusion. Allant dans la cuisine pour y trouvé un verre d’eau dont il avait rudement besoin ce qu’il vit le fit resté sans voix. Un autre choque. Différent, de celui passer, mais tout autant violant. Le réprouvé eu un sourire, puis il ressentit une pointe de jalousie accompagné d’un étrange sentiment de soulagement. C’était amusant, et quand il ce racla la gorge pour informer de sa présence les deux jeunes gens, il retint un rire à leur tête. « Oh, ne vous déranger pas pour moi. » Jose et Ondine étaient tous les deux rouges pivoines, mais Zéleph ne sut si c’était essentiellement la honte, ou bien également la chaleur du baiser ardant qu’il s’échanger. S’approchant de la carafe, Jose étant devant les verres, il fut forcé de lui en passer un, détournant le regard du réprouvé qui ne manqua pas de sourire de plus belle. « Je… je vais me coucher. » dit alors Ondine fuyant la pièce sans plus attendre, l’air presque soulager d’avoir trouvé de quoi ce dérobé. Profitant de cette fuite, Zéleph s’adossa à la table, buvant son verre d’eau sans lâcher du regard le jeune humain, qui comprit très bien ce que ce regard voulait dire. « Ne te fou pas de moi ! » Comme pour ce défendre, le roi leva sa main libre l’air choqué. « Moi ? » Agacer, Jose soupira. Il devait faire la vaisselle, c’était son tour. Retournant a sa besogne, le roi comprit rapidement ce qui ‘était passé en voyant le second torchon utilisé. Ondine avait dû l’aidé par pure gentillesse, aussi proche l’un de l’autre, dans le silence des ouvert s’entrechoquant, il y avait eu rapprochement. Seulement il trouvé cela étrange. Depuis le temps, cela aurait dû arriver depuis longtemps, alors pourquoi maintenant ? Pourquoi après cette énorme dispute qui aurait dû les laisser en froid pour plusieurs siècles ? S’approchant, il lui donna son verre, trouvant dans cette histoire l’opportunité d’oublier sa femme. « Alors vous deux… ? » Jose prit le verre, pour le rincer en grognant quelque chose qui semblait vouloir dire oui. Zéleph attrapa le garçon par les épaule, le secouant un peut brutalement, mais soulager que cette « guerre » soit fini, seulement il savait mieux que personne que cela ne voulait pas vraiment dire que ce serait une paix éternel, ça pourrait même être bien pire, mais peu importe, là-dessous, il y avait de l’amour et c’était touchant et drôle pour lui qu’ils prenaient tous pour leur père. Devenant soudain bien plus sérieux, Zéleph prit Jose par le col, et le plaqua violement contre le meuble. « Ne lui fait pas de mal ! » Voyant dans son regard qu’il ne blaguer pas Jose acquiesça simplement, craignant au final ce grand homme qui pouvait parfois être réellement terrifiant. Le réprouvé le lâcha gentiment, avant de lui remettre ses vêtements correctement. « Dorénavant vous ne dormez plu dans la même chambre. » Tout les enfants dormaient par âge, et forcement les deux plus grand ayant grandi ensemble dans cette maison, avaient une chambre a deux lits, mais là en vue de la situation, Zéleph préférait ne pas donner du souci aux vieille dames. Les hormones de deux adolescents enfermer dans la même chambre, qui semblaient s’être enfin avoué leurs sentiment, cela ferait trop a géré pour ces pauvres femmes. Jose parut tout de même un peut choquer. « Mais, où je vais dormir ? » Zéleph sourit, ce moquant ouvertement de lui. « Dans la baignoire. » « Tes pas sérieux ! » « J’ai l’air de plaisanté ? » finit-il sèchement. Jose secoua la tête, retournant a sa besogne, trouvant tout de même le prix de ces aveux un peu lourd a porté. Seulement, il se mit à sourire, mais c’était la déesse qui avait raison. Il se sentait heureux, soulagé, léger. Jose pensa que Zéleph avait beaucoup de chance d’avoir une déesse comme ça pour lui tout seul, et qu’elle devait drôlement l’aimé pour le supporté.

Le roi le quitta en lui souhaitant bonne nuit, il rentrait chez lui. Jose, surprit qu’il n’attende pas sa femme lui posa bien la question, mais le réprouvé ne lui répondit pas, fermant la porte derrière lui en lui offrant un léger sourire. Vraiment, ces deux-là avaient une drôle de relation. En réalité Zéleph n’avait aucune envie de croisé Mitsuko. L’ignorait, ça avait bien marché et il aller continuer. Cela lui éviterait de ce retrouvé encore dans des situations désagréable, avec cette femme parfois trop détestable pour qu’il arrive a resté dans la même pièce qu’elle sans vouloir l’étranglé. Si c’était son truc de le frustré, tant mieux, mais dans ce cas-là il ne serrait plu le seul à l’être. Marchant lentement jusqu’au Circus, il roula une cigarette, écrasant délicatement le tabac dans cette feuille fine, structure essentiel de son vice. Oui, Mitsuko faisait sa vie, il faisait la sienne, mais il la trouvé dur avec lui. Elle aller mourir, il ne pouvait rien y faire, oh il avait bien essayait mais la seule chose dont il était capable c’était foncer droit dans un mur et devant cette analyse il préférait encore perdre ce temps pour elle. Elle qui avait l‘air de s’en foutre avec un royale déconcertant. Pourquoi lui avait-elle avoué qu’elle aller mourir si c’était pour l’éjecté ainsi ? Passé son temps loin de lui, et pour le peu d’instant qu’il avait avec elle, elle s’évertuer à le rendre dingue ou mettre se mur insurmontable entre eux. La frustration conduisait à la colère et la folie, à trop grande dose on finissait par en souffrir. Par ce que Zéleph n’était pas frustré que de manière charnel, mais d’un tout. Il ne pouvait rien faire, ce retrouvé impuissant, avait beau avoir cherché, s’être battue, tout ce qu’il avait à la fin c’était : tu ne peux rien y faire. Insupportable sensation. Tout lui glisser entre les mains, tout s’effondrait autour de lui, et peu importe l’énergie qu’il dépensait à sauver son monde, rien ne résisté. Le réprouvé aurait pu courir après Jun, puisse qu’il semblait être la source du problème, mais cela aurait voulu dire tout abandonner, et tant de gens compté sur lui. Il avait même crue qu’elle avait besoin de lui, qu’il était plus important qu’un jouet réconfortant, l’éloignant de sa solitude, un père pour sa fille, une occupation comme une autre qui ne serait pas inutile au final. Oui, il l’avait crue. Seulement il avait toujours du mal à avoir confiance en elle. Croire en ses promesses, croire en elle alors que quand il cherché à en savoir un peu plus elle ce dérobé, elle le quitter ? Il avait compris qu’elle ne voulait pas parler avec lui, qu’elle n’aimait pas cela, lui non plus d’ordinaire, mais il y avait par fois que les mots qui pouvait exprimer certaine choses, expliquer certaine situation. Bien sûr il savait bien qu’il n’était qu’un misérable pion, qu’il ne comprendrait jamais rien de cette histoire, Jun, Naram-sin, maintenant son ancêtre, des choses qui paraissaient ne pas le concerné. Pourtant c’était sa femme ! La sienne ! Et même si a cette instant sa promesse n’avaient était que du vent, il avait juré de la protéger, pour une vie éternel. Alors il était frustré de voir qu’on ne voulait pas de lui, qu’elle s’éloigner de plus en plus, lui parlant toujours moins et lui signifiant qu’il ne pouvait rien faire pour elle. Il n’avait même pas le droit de lui offrir de quoi vivre, c’était un comble, c’était complétement irréaliste qu’elle est à ce point besoin de ne rien lui devoir. Encore une chose qu’elle avait promis et qui disparaissait dans les oublies. Elle avait pourtant juré de dormir dans la même chambre que lui, peu importe la maison, si c’était la même chambre cela voulait également dire le même toit. Bien sûr, elle prenait bien soin de ne pas s’en souvenir. Si c’était de l’espace qu’elle voulait, il lui en offrait. Qu’elle ne vienne pas régir sa vie après ça. Au fond elle n’en avait aucun droit.

Ecrasant son mégot à l’entrée du Circus, il entra sans attendre. La fête battait son plein, c’était bondé de gens, la plupart des raté, comme lui. S’asseyant au bar, le réprouvé soupira en voyant Heylel lui sourire avec cette air mauvais qu’il lui aurait bien faire ravalé si il n’était pas si épuisé par cette vie de chien. Pourquoi avait-il prit un fils de Mitsuko pour servir son bar ? Pour ce faire toujours plus de mal peut être. « Alors patron, un verre de limonade ? » railla le démon, ayant l’habitude maintenant, de se moquer du roi et de sa bonne conduite face à l’alcool. Un mythe qui s’effondrait pour chaque personne apprenant sa sobriété. « Un whisky. Un double, sans glaçons. » Le démon resta interdit quelque secondes avant d’y trouver une grande satisfaction. Il servit le verre du roi, qui le descendit cul sec. Voilà qui était bon. Fermant les yeux, il ce délecta de cette douce sensation qui envahissait son corps. La brulure, le gout d’une amère victoire sur sa femme. Elle brisé ses promesse, lui brisé les siennes. Elle vivait sa vie, il vivait la sienne. Reprenant un second, il se leva emportant la bouteille, ce dirigent vers sa chambre. Il fut plusieurs fois attiré dans des bras inconnus, qu’il repoussa en grognant. Tombant sur son lit, il finit son second verre, ce sentant s’enfoncer dans ce bien être cotonneux de l’alcool qui embrouiller son esprit. Après tout par sa faute il avait beaucoup trop changé. Il était devenu trop… moue, bien pensent, attentionné. C’était Adam qui avait raison, cette femme était en train de lui bouffer la vie, de le rendre amoureux, et il ne la laisserait pas faire alors qu’elle refusé de le voir autrement que comme un second choix inutilement attachant. Retirant ses chaussures, et le reste de ses vêtements, il resta étaler sur son lit, en fermant les yeux. Buvant encore, ne prenant même plu la peine de prendre son verre, il se laissa bercer. Après tout si il resté raisonnable, il ne risquer pas de retombé si bas. Oui, si il régulé sa consommation tout irait bien… il le supposait… Avait-il le choix ? La seule qui l’aimer, qui lui était fidèle et qui ne le juger pas, c’était bien l’ivresse. La meilleure maitresse des hommes. Allonger nue, sur son lit, s’imbibant d’alcool pour oublier son mal être, il entendait autour de lui, la musique, les cris, les chants, le plaisir ce rependre dans son bâtiment. La frustration n‘en était que plus rude et insoutenable. Il aurait souhaitait n’être qu’un de ces abrutie misérable, mais libre et inconscient de leurs futur. Il aurait voulu ne rien devoir a personne, et simplement s’enfoncer dans le plus scandaleux des remèdes sans se soucier des conséquences. Seulement au final il avait choisi cette prison dont il ne pourrait jamais ce défaire, mais dans sa solitude il avait tellement de regret qu’il ce demandé comment il arrivé a résisté encore à l’appelle de la débauche. Peut-être pour les rares instants qu’elle lui offrait, ces moments où, juste en l’ayant contre lui il se sentait vivre. Seulement le reste du temps il cesser de vivre, alors, est-ce que tout ce mal, pour si peu de bonheur en avait la peine ?
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Mitsu
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Mitsu
Lun 11 Mar 2013, 17:10

Mitsuko discutait avec les grand-mères, se demandant ce que faisait Zéleph qui ne revenait pas. Légèrement contrariée, elle se questionna sur le fait de savoir s'il ne l'avait pas finalement mal pris. Quel mauvais joueur. Se levant, elle finit par s'excuser auprès des trois femmes : « Je pense que nous allons rentrer à présent. Il est déjà tard et il faut que vous vous reposiez toutes les trois. Il paraît que les jeunes enfants se réveillent plus tôt que les autres. ». Oui, elle s'était tout de même renseignée, consciencieuse dans sa grossesse, voulant au moins savoir ce qui l'attendrait une fois que son bébé serait né. Souhaitant une bonne nuit aux gérantes de l'orphelinat, elle sortit de la salle, promettant qu'ils viendraient chercher Faust demain matin. Une fois dans le couloir, elle fit quelques pas avant de tomber sur Jose qui la regarda quelque peu gêné, s'apprêtant à lui souhaiter bonne nuit avant de se raviser. « Vous... vous cherchez Zéleph c'est ça? ». « Oui. ». « Il est rentré. ». Sans dire au revoir. Eh bien, quel comportement. La jeune femme lui sourit, irritée au fond d'elle-même, ne le montrant guère à ce garçon. Que devait-elle dire à cet adolescent qui la regardait à cet instant? Que devait-elle dire pour éviter que son estime de roi ne descende en flèche? Elle finit par rire. « Je le comprend, nos histoires de bonnes femmes ont dû l'ennuyer. ». Délicatement, elle posa l'une de ses mains sur son épaule. « Je vais aller le rejoindre. Je suis heureuse de t'avoir rencontré et j'espère t'avoir aidé bien que mes méthodes soient quelque peu discutées. ». Puis, sans un mot de plus, elle se téléporta devant le Circus, entrant dans la salle bondée, cherchant son époux du regard. Il n'était pas là, visiblement. Elle finit par apparaître sans un bruit dans ses appartements, ayant bien l'intention de lui faire une surprise pour qu'il digère sa frustration passée. Seulement, lorsqu'elle le vit, là, sur son lit, accompagné d'une bouteille de whisky, son idée de surprise s'effaça et le goût de la trahison s'installa dans son cœur. Disparaissant, elle réapparut au bar du Circus, regardant son fils qui travaillait ce soir en l'ignorant totalement lorsqu'il la salua, détournant les yeux pour fixer un autre point. Que devait-elle faire? Se tournant vers la salle, elle chercha une solution parmi la foule. Elle était tellement furieuse qu'elle envisagea même de le punir en attendant qu'il soit bien ivre et en poussant une femme quelconque dans ses bras pour le faire fauter. Elle envisagea aussi de le quitter, vraiment, sans qu'il ne puisse jamais la revoir, jamais la toucher de nouveau. Il sombrerait dans l'alcool et la tromperait et elle ferait mine d'en avoir rien à faire. Pourquoi le retrouvait-elle toujours dans un état semblable? Pourquoi fallait-il que, lui aussi, soit trop faible pour pouvoir exister à ses côtés? C'était ça au fond, elle le problème. Elle n'était pas faite pour aimer, encore moins pour éclairer les individus. Non, elle les attirait à elle, comme le papillon de nuit attiré par la flamme de la bougie, et chacun connaissait la suite. Les cadavres qui reposaient à ses pieds étaient nombreux, la folie embrassant les âmes qui la côtoyaient trop souvent, la déchéance les emportant avec elle. Elle n'avait pas envi de le sermonner, de lui dire qu'il n'avait pas le droit de boire, de le sauver de ce mal qui allait le ronger de nouveau. Elle n'avait pas envi d'être la gentille de l'histoire, celle qui le consolerait, qui lui dirait que ce n'était pas grave, qui l'embrasserait avec amour. Elle soupira, se demandant si elle ne devait pas elle-même fauter pour qu'il soit tout simplement furieux. Contemplant les hommes aux alentours, rien que l'idée que l'un d'eux puisse poser sa main sur elle la dégoûta profondément. Alors que faire? Rien. Voilà, elle ne ferait rien.

Se levant, elle sortit du lieu de débauche, avançant dans la ville la plus mal famée de ces terres, se dirigeant vers la plage, s'asseyant sur le sable devenu froid avec la nuit, contemplant l'océan. Ça l'apaisait. Elle allait rentrer à l'auberge et demain, elle irait chercher Faust, se rendrait au Circus tard dans la matinée pour être certaine qu'il se serait levé et, elle le demanderait en faisant mine d'être rentrée chez elle, ne sachant pas où il se trouvait. Elle verrait bien ce qu'il ferait, et s'il ne lui disait rien, alors elle ferait semblant de ne pas savoir, tout simplement. Elle n'avait aucune intention de ressentir de la tristesse s'il se perdait, elle ne voulait pas être horrifiée, être obligée de se battre contre lui, non, elle voulait rester debout contre vent et marais si lui courbait l'échine. Elle devait le faire, pour elle, pour lui et pour leur enfant. Alors elle ferait semblant de ne pas savoir, de lui pardonner. Il ne lui restait plus qu'à prier qu'Heylel ne dirait rien, qu'il ne lui rapporte pas sa présence au Circus. Elle resterait vague, c'était la meilleure solution. La déesse se téléporta donc à l'auberge, faisant sursauter Seth qui était couché dans le seul lit de la pièce, faible, des cernes sous les yeux. Se couchant à ses côtés sans un mot, fixant le plafond, il lui demanda alors : « Comment s'est déroulée cette visite? ». Elle ne répondit pas, se relevant pour se diriger à son bureau, rédigeant une lettre pour cet homme, Naram-Sin. Ce serait le seul moyen de s'occuper, le seul moyen d'arrêter de penser à l'état déplorable dans lequel devait être son époux à l'heure actuelle. Jun lui avait dit son nom et lorsqu'il l'avait décris, elle avait tout de suite fait le rapprochement avec l'homme qu'elle avait rencontré cette nuit là à la plage, Ismérie. Elle ne lui dirait pas à lui non plus qu'elle savait, elle lui écrirait en tant qu'Ismérie, lui raconterait qu'elle était désolée de s'être endormie, lui conterait qu'elle voulait le revoir, qu'ils pourraient être amis s'il le voulait bien. Elle était curieuse, sachant malgré tout qu'elle devrait prendre ses distances, jamais lui faire savoir sa connaissance nouvelle quant à son identité. Elle était mariée et il semblait respecter cela. Et elle lui en voulait de ne pas s'être présenté plus tôt à elle, de ne pas avoir cherché à la contacter. Entourée d'hommes qui préféraient sombrer plutôt que de lui faire face, elle était dans un sacré pétrin. Zéleph, ce Naram, ils se valaient finalement. Pas un pour rattraper l'autre. Elle était malheureuse à cause de leurs actions, de leurs comportements. Et, finalement, peut-être que le Mârid avait préféré ne pas chercher à la revoir tout simplement parce qu'elle ne l'avait jamais rendu heureux, tout comme elle en serait incapable avec Zéleph. Une fois la lettre finie, elle posa doucement sa tête entre ses bras, épuisée de chercher à accomplir une chose dont elle n'était en l'occurrence pas capable d'exécuter. Se levant, Seth se dirigea vers elle avec une couverture, lui posant sur les épaules. « Vous n'avez pas à vous forcer vous savez. Vous n'êtes pas obligée. ». Le majordome regarda la lettre adressée à Naram. « Vous devriez partir chez votre fils, Ed. Cela vous fera du bien. Occupez vous de vous, tout simplement. ». « Tu sais, tu n'es plus obligé de me vouvoyer, je ne suis plus une grande dame. ». « Vous serez toujours une grande dame pour moi, Mitsuko. Bien plus grande que votre ancêtre d'ailleurs. ». Elle finit par sourire, Seth retournant s'allonger. Ainsi, la déesse passa la nuit à écrire du courrier à « ses amis » afin de trouver des personnes acceptant de l'héberger quelques temps, Seth, Faust et elle.

Lorsque le soleil fut haut dans le ciel, elle se changea, optant pour un pantalon cette fois et un simple débardeur tout ce qu'il y avait de plus classique, blanc, enfilant une veste en cuir qu'elle avait eu pour pas grand chose. Faisant glisser ses pieds dans des talons noirs, ceux qu'elle avait sur elle le jour où son ancêtre l'avait mise à la porte, elle attacha ses cheveux en queue de cheval et sortit, sans réveiller l'ombre qui ne dormait pas vraiment, se trouvant plus dans un état de faiblesse avancée. Il ne devait pas bouger, trop faible. Une fois dans la rue commerçante, elle se rendit dans une boulangerie pour acheter un biscuit pour Faust, avant de le cacher dans l'une des poches de sa veste pour éviter de faire des envieux parmi les enfants de l'orphelinat. S'y téléportant, elle y resta quelques heures, jouant avec les petits qui ne voulaient plus la laisser partir, devant appeler plusieurs fois le petit déchu pour qu'il vienne. Lorsqu'elle sortit, elle remercia chaleureusement les vieilles femmes avant d'aller au Circus, Faust accroché à sa main, demandant son mari à la première personne qu'elle croisa. Elle allait bien voir ce que cela donnerait.
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Lun 11 Mar 2013, 19:03

Il y eu un bruit de verre tombant, puis roulant sur le plancher. Zéleph ouvrit les yeux avec plus de difficulté qu’à l’ordinaire. Pendant quelque secondes il resta sans bouger, fixant le plafond. Les secondes se transformèrent en minutes alors que le brouillard qui subsisté dans sa tête commencer à ce dissipé. Il avait était hanté par des cauchemars. Il ne ce rappelait plu exactement de quoi il s’agissait, mais il se souvenait de l’angoisse, de la peur. Soudain cela le frappa. Ce redressant il posa ses yeux sur la bouteille et comprit qu’une partie de ses cauchemar était bien réel, comme par exemple la soif, cette sécheresse enfin étanché. « Fais chiez. » grogna-t-il, ce levant pour aller en directe dans sa salle d’eau. Il en avait bien besoin pour se remettre de ses conneries. La tête plonger dans l’eau le réveille fut brutale. Cherchant un responsable, il réfléchit à ce qui c’était passer la veille et ne put blâmer que sa nature infecte. S’échant son visage, il croisa son propre regard dans le miroir. Il n’avait l’air de rien, c’était affligent de voir où il était capable de tombé, sombrant sans le moindre mal, comme si au fond il apprécier cela. Il était en colère contre le monde entier, mais sur tout contre ce vide. Recommencer à boire ? En voilà une belle solution. Cela faisait longtemps qu’il y pensé. Il pouvait recommencer, il pouvait si seulement il faisait attention à ne pas retombé dans l’excès, et là comme un idiot il c’était laisser prendre. Il se sentait si seul. L’ivresse avait toujours eu quelque chose de rassurant pour lui, l’oubli. Zéleph ce détesté. Depuis toujours, à présent un peu plus encore. Pendant un instant, il regarda ses yeux redevenu rouge, ses cheveux blancs. Tout n’était que mensonge. Il en voulait aux autres, les insultants d’hypocrites, mais au fond si il détesté cela c’était bien par ce qu’il faisait partie de leurs groupes. Finissant sa toilette, il ressortit habiller. Il faisait illusion, comme toujours. Fixant le lit défait il eut un sourire amer. Il avait encore dormit seul, ironiquement il n’avait jamais autant dormit seul que depuis qu’il avait désiré Mitsuko. Etait-elle seulement venue ? Il imaginait que non, elle lui aurait brisé cette bouteille sur la tête sinon, non ? La ramassent il regarda l’étiquette. Elle était vide. Il espéré au moins l’avoir prise entamé, mais vue le léger mal de crane qu’il avait depuis qu’il avait ouvert les yeux, rien n’était moins sûr. Sortant de ses appartement, il croisa Adam qui aller lui parlé, mais il le fit taire d’un geste. Il n’avait pas envie de se faire moquer aujourd’hui. Il était fatigué. Il avait mal dormit et ne pouvait s’en prendre cas lui-même. Un instant il imagina que Mitsuko était partie et qu’elle ne reviendrait plu, il eut un étrange sentiment de soulagement puis un profond regret. Soulager, peut être à l’idée qu’elle n’est pas plus honte de lui que ce qui était déjà, et le regret d’y avoir pensé.

« Patron, votre femme est là. » Vraiment ? Posant sa bouteille vide sur le comptoir pour qu’on la range, il leva les yeux vers la grande porte et vit en effet sa déesse et son fils. Le réprouvé fut soulager de la voir. Il ne pouvait se le caché, malgré la rancœur qui subsisté, il ne pouvait s’empêcher de voir l’obscurité ce dissipé quand ses yeux ce posé sur elle. Pourtant à cet instant, il aurait voulu fuir. Qu’est-ce qu’il devait faire maintenant ? Pourquoi était-elle là ? S’avancent vers eux, avec un peu d’appréhension, il ébouriffa la tête du garçon, ayant pris cette habitude pour le salué comme un « homme ». « Tu t’es bien amusé ? » il lui sourit gentiment, sourire qui s’estompa très vite. Levant les yeux sur sa femme, il hésita un instant. « Je suis désolé de ne pas avoir attendu. » En réalité il était désolé pour beaucoup de choses qui rendaient ce geste d’impolitesse tout à fait obsolète. Il ne se rappeler pas très bien de sa soirée passer pour être honnête, mais ce n’était pas plu mal. Il se souvenait seulement de la colère, des pensé noir, de la solitude. Il s’en voulait, mais il lui en voulait aussi, ce qui les mettait dans une drôle d’impasse. Adam, jamais loin pour épier son patron, ce fit appeler d’un seul geste. Obéissant, ce sentant en faute, Zéleph regarda Faust. « Tu veux bien rester avec Adam le temps que j’empreinte ta maman ? » Le sorcier sourit au gamin et sortit comme par magie et sucette de ses poches. Au moins avec lui Faust ne risqué rien. Attrapant le bras de Mitsuko, le réprouvé l’attira plus loin, dans un coin isolé. C’était déjà si dur de parler avec elle, alors avec tous ces yeux et ces oreilles sur lui, cela devenait un vrai combat. Il devait arrêter de ce posé des questions, mais avec tout ce temps passer seul il finissait toujours par fatalement divagué, ce créer un noir opaque dans lequel il s’enfermer comme un autiste, incapable de regardé la réalité et de s’en affecté pour calmé son mal. Seulement il savait à quoi s’en tenir. Ce n’était pas juste elle et lui. Il y avait une troisième personne à inclure. Il savait qu’il n’était pas n’importe qui. Sa confiance en elle n’était pas toujours dés plus solide c’était vrais, et peut être était-ce en cela que résidé le fond du problème. « Je m’excuse, hier j’ai pensé des choses qui je crois, ne sont pas très correcte… » Osant enfin la regardé, il planta ses yeux dans les sien et face à ses deux prunelle émeraude il se sentit pris au piège. Si elle ne voulait pas être honnête avec lui, alors lui le serrait, totalement, et elle ne pourrait rien lui reproché, non, car si maintenant c’était lui le fautif, il ne supporterait pas de continuer à tout faire foiré sans réagir. « J’ai bu… j’ai beaucoup bu. » A cette instant il attendait une gifle, ou quelque chose de violant, mais avant il préféra continuer, pour pouvoir en finir avec ce qui lui pesé tant sur le cœur. « Je tes mis ça sur le dos, mais c’est pas toi. C’est moi qui es pris ce verre et qui l’ai bue. Par ce que j’ai l’impression de te perdre avant l’heure, je perds pied quand je pense à ce qui vas arriver et j’ai beau me battre contre ça, c’est… comme si je n’y pouvais rien ! » Pour un mari, pour un homme, c’était difficile à admettre. Cette impuissance face au mal. Ca le ronger de l’intérieur, il s’en rendait bien compte mais n’avait jamais pu lui dire. Elle le prendrait pour un faible. Seulement il n’était pas faible. Reconnaitre sa douleurs c’était pouvoir avancer de nouveau, il l’avait fait avec l’alcool, il pouvait le faire avec la peur de la perdre. « Alors j’ai bue. Je sais que c’est pour effacer ma douleur, que c’est pour noyé ma peur et faire comme si tout aller bien. Seulement, ça ne vas pas. Je suis avec toi Mitsuko. Je suis toujours avec toi et je ne te quitterais jamais. J’ai fait des sacrifices, j’en referais. Seulement toi tu… »

Il soupira, elle aller encore mal le prendre il en était sûr, mais au diable les malentendus. Il valait mieux être clair et qu’ils n’en parlent plu. « C’est comme si je n’étais plu là. Que tu n’as pas besoin de moi. Je sais que tu ne veux pas « m’aimé », mais bon sang ça n’a rien à voir. Tu mes se mur entre nous, tu t’éloignes et moi je me retrouve seul comme un con à m’inquiéter quand je ne peux pas entrer dans cette connerie de manoir. Savoir si tu vas bien, si Faust vas bien, si elle va bien. » Il fit un geste vers son ventre, désignant le bébé. Seulement ça c’était un exemple parmi tant d’autre, mais autant qu’elle le comprenne. S’étant un peu emporté, il se calma, soupirant. « Je tien à toi, à vous. Tu comprends ? Par fois j’ai juste l’impression que tu t’en fou, tu refuses de le voir, mais moi je ne suis pas comme toi. J’ai besoin qu’on me montre de l’intérêt, je vais pas faire semblant d’être heureux dans des bras vide, à brasser de l’air. » De sa main, il retira une bague, une chevalière qu’il avait volé, comme beaucoup d’autre chose, quand il était jeune. Possédant un S comme son nom, il avait toujours trouvé ça amusant, mais elle n’avait aucune valeur sentimentale particulière pour autant. Elle valait très chère, il le savait, c’était peut-être pour cela qu’il l’avait gardé si longtemps. Prenant la main de Mitsuko, il lui enferma dedans. « J’ai de l’argent. J’en ai à ne plus savoir quoi en faire, laisse-moi au moins couvrir ma femme de bijoux, de tout ce qui te fera plaisir, ce dont tu as envie. Tu n’auras cas envoyé les factures. Je ne te force pas à rester avec moi, si tu ne veux pas. Tu ne veux pas vivre ici et je le comprends, bien que j’aurais aimé t’avoir près de moi, mais accepte aux moins ça de moi. » Lui serrant la main qu’il n’avait pas pu lâcher, il se pencha pour l’embrasser, lui montré sa bonne volonté. Il n’attendait rien de sa part, juste qu’elle le comprenne, qu’elle y réfléchisse. « Vas voir tes enfants, voyages, mais s’il te plait revient le plus souvent. J’ai mal, et pas qu’à cause de la marque, je suis seul sans toi. Je dérive en ton absence. Je sais que je suis égoïste, mais tu l’es aussi. Je voudrais seulement profité de ma femme de temps en temps, et avoir le sentiment d’être un bon mari, utile, réconfortant. » Zéleph souri. Quelque part il était un peut gêner, mais d’un autre soulager. Il se sentait mieux, peut-être même conforté dans ses idées, et confiant. Il était simplement un peu anxieux sur sa réaction. Il se demandé si elle n’aller pas finir par ne plus en pouvoir de ses saute d’humeur, de ses crises de colère ou de déprime. Après tout il ne demandé pas grand-chose, que d’avoir sa femme pour lui, et enfin avoir la sensation d’être utile à celle qui, logiquement, était la femme la plus importante de sa vie. Il eut un petit rire, ce moquant de ses propres pensés, mais aux fond il se rassuré comme il pouvait. « Tu sais, hier j’ai pensé… En trois cent ans de vie ? Tu n’a autorisé que deux hommes à t’avoir. Moi plus que quiconque. Je me suis calmé grâce à ça. Je me dis que… c’est moi que tu as voulu. Avec tous ces hommes qui on dut te tourné autour, toute ces années… Je m’en veux de douté par fois. Je m’en veux d’en avoir après toi. Tu ma permit de te toucher, te faire ce bébé. Tu m’as épousé. Je suis heureux quand j’y pense. Tu m’as choisie moi. Par fois j’oublie que je ne suis pas le seul à avoir sacrifié beaucoup. Je suis désolé, pour ne m’être jamais soucié de ça. Tu mérites bien mieux qu’un homme qui se morfond dans l’alcool, et je promets que c’est la dernière fois, maintenant je prends soin de toi. C'est la seul chose qui compte. »

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Mitsu
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Mitsu
Lun 11 Mar 2013, 21:58

Les traits du visage de Mitsuko s'étaient figés au fur et à mesure que le réprouvé avait parlé et maintenant qu'elle devait dire quelque chose, il semblait que la déesse avait été remplacée par une véritable statue, respirant à peine. C'est qu'elle ne s'était absolument pas attendue à ça, souhaitant plusieurs fois lui indiquer de se taire avant qu'il ne lui déclare trop de choses sans pourtant oser l'interrompre. Elle devait dire quelque chose, répondre à ce qu'il venait de lui confesser mais elle n'avait aucune idée de ce qu'il convenait de faire, comme si son inexpérience en la matière la rattrapait d'un coup, la paralysant. « Je... ». Elle passa sa main dans sa poche, sortant le biscuit qu'elle avait acheté pour Faust avant de lui déclarer : « Je t'ai acheté un gâteau. ». Tant pis pour le déchu, mais elle savait ce dernier non en reste, devant se goinfrer de sucettes à l'heure qu'il était. Et puis, elle ne savait pas quoi dire d'autre, la chevalière de Zéleph serrée dans son autre main. Elle devait d'ailleurs en avoir la trace dans la paume tellement son corps s'était tendu lorsqu'il avait commencé à lui avouer tout ce qu'il avait sur le cœur. Elle lui tendis donc la poche contenant le biscuit, le forçant presque à le prendre avant de se rendre compte qu'il ne se contenterait pas de ça. Seulement, à ce moment précis, faire parler Mitsuko revenait à faire parler une muette. Elle envisagea de partir mais ce n'était pas concevable, elle envisagea même de lui balancer de but en blanc qu'ils ne s'étaient pas mariés pour rester ensembles, mais, là encore, non seulement ce serait faux, mais elle se ferait presque rire toute seule si des mots semblables venaient à sortir de ses lèvres. Devait-elle le réprimander d'avoir bu, se baser là dessus pour partir après lui avoir administré une claque monumentale alors qu'il venait de lui promettre que ce serait la dernière fois et qu'il allait s'occuper d'elle? Elle finit par baisser les yeux en soupirant, sa queue de cheval se plaçant sur son buste du côté droit. La chevalière à présent enfilée sur son pouce, et elle était encore trop grande pour elle, la jeune femme commença à jouer nerveusement avec ses cheveux. Plus elle prenait conscience de son état, plus il s'aggravait. Il la déstabilisait totalement avec son attitude idiote. Avec n'importe qui, c'était facile. Une personne qui ne changeait pas de caractère comme de chemise était simple à gérer, mais lui, il... Elle se mordilla la lèvre inférieure, toujours silencieuse, ses yeux posés sur ses mains qui s'activaient à faire une tresse de ses cheveux. Peut-être devait-elle le rassurer, lui dire qu'elle ne mourrait que dans un siècle, que, d'ici là, rien ne lui arriverait, rien n'arriverait à Faust, à leur fille. Mais elle était persuadée qu'il le savait déjà. Non, le problème était ailleurs, le problème c'était qu'il était trop attaché à elle. Alors oui, il s'inquiétait et quoi qu'elle pourrait bien lui dire, il s'inquiéterait encore et encore. Quant à l'argent, le problème n'était pas là. Le problème c'est qu'elle avait du mal à confier son existence à quelqu'un, elle avait du mal à sacrifier cette indépendance qu'elle aimait tant. S'il payait pour elle, elle deviendrait encore plus dépendante de lui. Que diraient les gens? Que le patron du Circus Brothel payait les bijoux de sa femme avec l'argent que gagnaient ses prostituées? Qu'elle l'avait épousé en échange d'argent? Elle finit par sourire, se trouvant finalement bien sotte. Elle n'avait jamais eu besoin de personne, avait toujours vécu dans le luxe, sa puissance augmentant avec le temps. Elle avait même été l'une des femmes les plus convoitées des terres du Yin et du Yang à une époque, vivant pour atteindre ses objectifs, d'une beauté naturelle presque détestable, jalousée. Oui, fut une époque où elle avait tout, absolument tout, une époque où elle refusait les propositions de mariage des meilleurs partis du monde, une époque où elle snobait les hommes trop sûrs d'eux, les artistes dont elle admirait uniquement l'art. Et ils devaient bien rire aujourd'hui de la savoir aux mains de cet homme là, en particulier. Celui qui frappait plus vite que son ombre, celui qui buvait, celui qui était rustre, n'appartenant pas au monde de la haute bourgeoisie, ce monde de règles et de faux semblants. Il ne savait pas créer des illusions parfaites, des œuvres d'art, n'était sans doute pas un bon orateur, sa façon de se comporter laissant souvent à désirer. Il n'avait rien à voir avec son monde, celui qu'elle avait côtoyé durant des années, pourtant, plus elle y pensait plus elle s'en fichait. Alors peut-être devait-elle accepter son offre finalement?

Elle n'avait dit aucun mot depuis qu'elle lui avait offert le biscuit mais, doucement, elle se déplaça, passant entre ses bras pour se coller à lui, contre son torse. Elle aurait pu dire tellement de choses à cet instant. Pourtant, les mots qui sortirent de sa bouche, bien que le fruit d'une réflexion intense de plusieurs minutes, devaient paraître bien énigmatiques. Peut-être qu'il comprendrait finalement. « Au moins, toi tu es vrai. ». Elle ferma les yeux un moment, respirant son odeur. Il avait dû se laver parce qu'il ne sentait en aucun cas l'alcool. Ses mains dans son dos, elle sentait la chaleur qui se dégageait de lui. Oui, cet homme était toujours chaud, même lorsqu'elle avait froid. Elle ne lui dirait jamais mais le fait de vivre le plus humainement possible, c'était aussi pour lui qu'elle le faisait. Elle pouvait arrêter de respirer sans mourir, elle pouvait ne plus manger, ne plus boire, ne plus ressentir la chaleur, la fraîcheur, elle pouvait même décider de devenir totalement insensible lorsqu'ils faisaient l'amour, totalement insensible aux sentiments. Mais elle avait décidé que même en ayant plus besoin de tout ceci, elle devait être proche des Hommes, et elle l'était, bien plus qu'elle ne l'avait jamais été. Mais c'était pour lui aussi, parce qu'au fond, elle avait su que si elle restait sourde à son désir pour lui, alors elle raterait quelque chose d'important dans sa vie. Bien sûr, parfois, elle se maudissait de l'avoir laissé se positionner si près d'elle, à ses côtés, en tant qu'époux, en tant que père, en tant que partie d'un tout, mais, finalement, quand elle le sentait contre elle, elle n'avait aucun regret, juste le remord de l'avoir rendu dépendant malgré elle, comme elle l'était de lui. Elle préférait l'ignorer, s'éloigner, c'était vrai, mais comment demander à une femme qui avait vécu toute son existence seule de venir se loger chaque soir dans les bras d'un homme, de le laisser l'aider, de le laisser la caresser juste par besoin de tendresse, juste par affection. Elle apprenait, elle savait qu'elle n'était guère douée pour venir à lui, pour l'enlacer, pour l'embrasser, ces deux gestes provenant d'elle seule. Elle n'était pas compétente, ni pour prendre soin de lui, ni pour l'aimer. Elle inspira, ouvrant les yeux, sentant son cœur battre. « Je vais aller rendre visite à mon fils Ed et ensuite... ». Elle leva les yeux vers lui, doucement. « Ensuite je viendrai vivre ici avec toi. Si tu veux toujours bien sûr. ». Baissant de nouveau les yeux, elle chuchota toujours contre lui. « Je vais tellement être présente à tes côtés que tu voudras que je déménage. Et je vais tellement dépenser d'argent que tu t'en retrouveras ruiné. ». Une manière comme une autre d'accepter son aide. Elle n'aurait sans doute jamais dit ça autrement, se contentant d'une simple mise en garde, d'une affirmation. Mitsuko, elle, vivre dans un bordel, et bien plus que cela, un lieu de débauche où se côtoyaient prostituées, drogués et alcooliques. Le monde allait rire sans doute. Elle devait lui dire pour l'autre, même si le sujet était difficile à aborder, notamment à cause de sa nudité quand elle l'avait rencontré, il ne supportait pas qu'on la voit nue et elle l'avait remarqué au Circus lorsqu'il avait tué Alec. Restant près de lui, elle commença son récit. « Lorsque nous nous sommes mariés, après notre dispute, je suis restée plusieurs jours sous l'océan, nue. Je t'en voulais. Mais au bout d'un moment, je suis remontée sur la plage, la lune éclairant l'océan et je t'ai cherché. J'ai entendu du bruit et je t'ai appelé, tombant sur un étranger, un homme ressemblant tellement à Jun que s'en était troublant. Il m'a fabriqué une robe de fleurs et nous avons discuté. Je lui ai expliqué pour nous, j'étais en colère et, malgré mon ressentiment, je lui ai dit que tu étais l'homme qui en avait probablement le plus fait pour moi, que tu étais le seul à pouvoir rester à mes côtés. Et cet homme m'a dit qu'un homme était capable de tous les sacrifices pour la femme qu'il aime même sans se l'avouer. Il m'a demandé ce que je faisais si loin de toi alors que je t'avais promis l'éternité. Il a créé une muse qui a chanté pour nous et je me suis endormie, ce dernier étant parti lorsque je m'éveillai le lendemain. ». Elle fit une pause avant d'entamer la suite. « Et un peu avant que Jun ne prenne possession du manoir en compagnie de mon ancêtre, il m'a écrit une lettre dans laquelle il m'a révélé le nom de celui que j'ai oublié, le Mârid, Naram-Sin, le décrivant. J'ai compris qu'il s'agissait de l'homme de la plage et je lui ai écrit, sans lui dire que je savais. Je suis curieuse, je veux comprendre. ». Pour elle, Zéleph ne le connaissait pas, elle n'était pas au courant de la rencontre qui les avait réuni plus tôt. Elle finit par murmurer, au cas où : « Ne t'inquiètes pas. ».
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Lun 11 Mar 2013, 23:58

L’anxiété, puis le soulagement. Oui, en fermant ses bras autour d’elle il ne demanda pas plus. Cela lui suffisait amplement. En réalité, il n’en avait pas demandé tant, alors il ressentit un bien être nouveau l’envahir à ses mots. Il n’avait pas tout à fait comprit le début, il n’avait même pas du tout comprit, déjà un peu frustré d’attendre un mot de sa part en la voyant si incertaine. Un instant il crue même qu’elle aller ce braqué, qu’il y était allé trop fort d’un coup, mais une fois dans ses bras, le reste n’avait aucune importance. C’était si rare qu’elle fasse le premier pas. Du moins pour ce genre de signe affectif. Son plaisir fut de courte duré. Quand elle commença a parlé, beaucoup trop parlé, il se mit à ce crispé, chaque mot un peu plus. Bien sûr il avait imaginé que cela arriverait, qu’elle le retrouverait, ce souviendrait et que lui passerait en second plan, mais qu’elle le lui avoue en lui racontant tous les détaille, c’était… violant. Ca faisait terriblement mal en réalité. Il ne sut dire si il devait être satisfait du faite qu’elle soit soudain si honnête avec lui, et qu’elle trouve le besoin de ce confesser, ou si il devait être horrifier, et en colère qu’elle veuille gardé contact avec lui. Enfaite il comprit que ce n’était pas elle qui avait cherché à le trouvé, mais lui. Ce n’était pas un hasard si il était apparu sur cette plage. La colère l’envahit alors, ce sentiment intense de jalousie. On venait lorgner quelque chose qui était à lui. C’était sa femme, et il était prêt à défendre corps et âme ce qui était à lui. Ce type qui était venu le voir, lui demandé de l’aide. La prochaine fois il ne le laisserait même pas ouvrir la bouche. Après tout un coup de poings dans le nez serrait bien légitime. Sa femme, nue sous les yeux d’un autre c’était déjà quelque chose qui le dégoutait, mais devant celui qu’on lui avait rabâché être le « grand amour » de madame, ça le rendait vraiment malade. « Ne t'inquiètes pas. » Oh mais oui, bien sûr qu’il n’allait pas s’inquiéter. Sa femme désirait rester en contact avec le seul homme qu’il pouvait considérer comme rival. C’est vrais, il n’y avait pas de quoi s’inquiéter. Elle voulait comprendre quoi au juste ? Pourquoi il l’avait abandonné ? Par ce qu’aussi intelligent qu’on disait qu’il était, le Marîd était surement l’homme le plus stupide qui soit. « Et comment tu veux que je fasse ? » finit-il par dire sèchement, agacer qu’elle croit seulement ça possible. Seulement il ne la repoussa aucunement, même si l’idée lui vin à l’esprit, tout au contraire il la serra plus fort encore, comme pour marquer qu’il ne là lâcherait pas, jamais. Devait-il lui dire qu’il le savait depuis longtemps ? Non, autant garder sa petite aventure avec Naram entre lui et le génie. Un instant, le réprouvé eu envie de lui interdire de le rencontré, ce serrait une protection minimum, appréhendant ce qui pourrait arriver, mais ce serait mauvais. Il n’avait pas le droit de faire ça, elle le ferait quand même et lui en voudrait pour ça. Il avait dit qu’il prendrait soin d’elle, il le ferait, quoi qu’il arrive, mais si cette homme osé la touché, la détourné de lui, Marîd ou pas, il le tuerait.

Zéleph enfouit son nez dans les cheveux tendu de Mitsuko, s’enivrant à grande bouffer de son parfum délicieux. « Et si… » Il t’enlève à moi… Il ne put s’empêcher d’y penser. Après tout si elle se souvenait, si elle regretté ce qui était arrivé, qu’elle partait avec lui. Il savait qu’ils en avaient déjà parlé et qu’elle lui avait promis qu’elle resterait avec lui, que c’était lui qu’elle choisissait, mais à ce moment elle ne savait pas qui il était. Elle l’avait vue sur la plage, mais sans savoir qui il était. Après sa confession, il se sentait légèrement humilier maintenant. Déçu sur tout. Ça voulait dire quoi « un homme était capable de tous les sacrifices pour la femme qu'il aime même sans se l'avouer. » ? Etait-ce un aveu ? Si il lui monté la tête, si il lui volé alors il n’aurait plu rien, alors non, il ne pouvait pas s’empêcher de s’inquiéter, faire comme si tout aller bien, comme si il s’en foutait alors qu’il était dépité en imaginant déjà l’inévitable. « Qu’est-ce qui se passera ? » Si tu l’aime ? Le préfère ? Si tu te souviens ? « Ne me fait pas de promesse si tu n’es pas sur de les tenir Mitsuko. Je ne le supporterais pas. Tu veux comprendre, je ne t’en empêcherais pas, mais ne viens pas me demandé de resté calme pour autant. » Il finit par la lâché, ne supportant plu cette proximité alors qu’il avait envie d’extériorisé sa rage. Oui, l’idée qu’elle l’ai choisi lui, en trois cent ans de vie, qu’elle ait oublié le Marîd ou non entre temps, ne changer rien, c’était lui et aucun autre peu importe ce que lui avait rabâcher Seth. Cela le rassuré, mais il ne pouvait s’empêcher de ce demandé ce que le génie avait en tête, lui qui lui avait confié désiré rester dans l’ombre, voilà qu’il voulait la voir, qu’il l’avait déjà fait. Elle avait raison, il était le seul vrais dans cette histoire, aucun d’eux n’étaient capable de tenir le moindre engagement sans changer d’avis un mois plus tard. C’était déplorable et ça le plonger dans une colère qui n’avait pas de fin. « Ma femme, ma fille. Je ne prends pas Naram pour un homme sans principes, mais si moi je comprends que tu veuille assouvir ta curiosité, comprend que je ne puisse pas apprécier ce genre de chose. » C’était comme offrir un agneau a un loup, et lui mettre directement dans la gueule. Il fallait tout de même avoir une grande confiance en elle pour qu’il la laisse faire, qu’il ne l’en dissuade pas. Il prenait sur lui, c’était extrêmement difficile, mais il faisait l’effort. Pour elle. Toujours pour elle. « Met toi à ma place et dit moi honnêtement ce que tu en penserait. » Il était certain qu'elle ne lui pardonnerait pas.

Glissant à nouveau un bras autour d’elles pour l’amener à lui, tenant son étrange cadeau dans cette main, il posa la vide sur sa joue pour qu’elle le regarde. Il était incapable de lui refuser une telle chose. Se serrait cruel, frustrant et cela prouverait qu’il n’avait pas confiance ni en elle, ni en lui. Bien que le dernier point soit vrai, il ne voulait pas qu’elle croit qu’il soit capable de lui en vouloir, pour seulement retrouver un bout de sa vie. « Si tu te souviens, alors dit le moi. Tu ne peux plus me laisser dans l’ignorance maintenant. » Se serait trop dur a supporté, d’attendre chaque jours que la sentence tombé, qu’elle s’éloigne pour finir par disparaitre malgré tout ce qu’ils avaient construit ensemble pour que cela n’arrive pas. Il était tant complexer au fond, il ne le voyait pas, ne l’admettait pas, mais dans ce sentiment intense d’infériorité il angoisser qu’elle trouve mieux que lui et ça le tuer. Lui embrassant la joue il ce força à sourire, la caressant doucement du pouce. Lui n’était pas un dieu, il ne savait rien du monde, ni de ce qui aller arrivé et craignait qu’une nouvelle fois dans sa vie on vienne tout lui prendre. C’était un vrai déchirement. Elle aurait pu enfoncer sa main dans sa poitrine et lui serré le cœur entre ses jolis doigts fins que la douleur aurait était la même. Pourtant, il l’embrassa tendrement, glissant sa main dans la sienne pour la lui prendre doucement. Au fond il préférait qu’elle le lui ait dit plutôt qu’elle le lui cache. Il ne savait pas réellement ce que cela voulait dire. Si c’était pour qu’il ce face à l’idée que quelque chose pouvait arriver, ou si c’était pour qu’il garde confiance. Avec elle il ne savait jamais comment prendre les choses, il ne savait jamais où il en était et c’était cette sensation d‘incertitude qui le rendait si instable. « Aller Madame Stark, allons sauver votre fils d’une crise de foie. » S’échapper, ne plut y penser, il ne lui resté plu qu’une seul option maintenant.
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