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 Quand il faut protegé un peuple. [Quete Cocoon]

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Dim 02 Déc 2012, 14:37


J’étais restée avec lui un bon moment, je n’étais pas certaine que ça allait mieux, je n’avais pas son don, mais en tout cas il avait repris un semblant de vie. Je voyais toujours un peu de tristesse dans ses yeux, mais après tout c’était normal. Le seul truc, c’est que du coup j’avais repris ma place ici, ne voulant pas le laissée seul. Malheureusement je ne pouvais négliger les affaires du sanctuaire plus longtemps et je devais absentée de la journée. Mais je ne trainais jamais à rentrée, même si je savais qu’il n’était pas seul, je voulais vraiment passée le plus de temps prés de lui. Le temps avait passé, certes, mais la plaie se refermerait elle ? Certainement pas de si tôt en tout cas. Les filles avaient été compréhensives et assez calmes ces derniers temps, même si leur joie de vie suffisait légèrement à réchauffer le cœur. De temps en temps, j’avoue que j’essayais de nouveau de la ressentir, peut être m’étais je trompée, mais après quelque temps, il fallait que j’arrête, je ne pouvais pas continuée a espérée qu’elle est vivante pour lui annoncée, car il allait devoir faire son deuil et je devais lui laissée le temps. Un jour alors que j’étais tout seul avec Alicia, celle-ci me dit quelque chose qu’il me rend immobile soudainement.

— vous êtes tous les deux seuls maintenant, je sais bien que c’est triste, mais si c’était le destin qui voulait s’a. Je sais bien que je suis qu’une enfant, mais pourquoi ne pas vouloir essayer avec lui maman.

J’avais dû alors lui expliquer que les choses ne marchaient pas ainsi et que c’était mon grand frére et que ca s’arretais la. Et pourtant, je savais quand dans la rue, certain voyais la même chose que ma fille, que nous etions plus même si je ne le voyais pas ainsi. J’étais un peu mal à l’aise, mais qu’est ce que je pouvais y faire, devais je vraiment lui enlever le reconfort que j’avais l’impression de lui aportée pour de simple racontard de rue. Non je n’en avais pas l’intention. Continuant à mes occupations, je dus soudainement m’accorchée à quelque chose pour ne pas tombée, car un flot d’inquétude me traverssais de part en part, de la peur, de l’angoise, qu’est ce qui ce passait ? ca avait l’air d’être générale. Avec tout ca, je n’avais pas pu lui demandée de m’aider, ce n’étais vraiment pas le moment après tout. J’essayais alors de fermer mon esprit, sachant que s’il avait quelque chose de vraiment grave, on viendraient me prevenir. Continuant à faire ce que je faisais, je n’y pretais pas plus attetion, mais restait quand même vraiment attentive. Après quelque instant, je retournais prés de Cocoon qui était assis dans son fauteuille, m’assayant à cotée de lui, je regardais la cheminée ou le feu brulait, fille qui jouais joyeusement devant.

- Comment ca va aujourd’hui ?

Jamais je n’avais eu l’impression d’être aussi impuissante, j’essayais de le revoir si pas heureux, en meilleur forme, mais ce n’étais pas facile. Une des filles, sans le fair exprès, lançait un jouet qui atterre sur le visage de Cocoon, lui entaillant la lèvre au passage. Alicia s’excusa rapidement pendant quand je posais mon dois sur l’entaille pour la refermée. Je sais bien qu’il ne ma ne l’avais pas demandée, mais autant le faire. Pendant que je faisais ça, je ne pus m’empêcher de poser mon regard sans ses yeux vairons, ces yeux qui m’avaient toujours facisné. Je ne savais pas vraiment pourquoi, mais je sentais que mon cœur battait plus rapidement et je me sentais mal. Qu’est-ce qui m’arrivait ? Je retirai alors rapidement mon doigt avant de me lever, il allait falloir que j’aille faire un tour pour reprendre mes esprits, mais Kahel entra dans la pièce, sans même avoir pris le temps de frappée à la porte, mais il n’était pas seul, deux autres anges l’accompagnaient, la mine grave.

— Majestée, veuillez préparée des affaires pour Vouet votre fille, vous devez rentrée au sanctuaire et ne plus en sortir, c’est très important.

Majesté ? Ne plus quitte le sanctuaire ? Mais qu’est-ce qui se passait ? Je ne l’avais jamais vu comme ça, mes sensations de tantôt étaient donc fondées, mais que s’était-il passé ?

-Tu sait m’expliquer ce qu’il se passe avant de m’ordonner des choses ainsi, qu’est ce qui te prend ?

Il m’expliqua alors qu’il se passait quelque chose d’inquiétant, qu’il voulait simplement que je sois en sécurité. Je regardais Cocoon, ce n’était vraiment pas le moment, mais je n’avais pas le choix.

-Je vais allez au sanctuaire, mais sache que je ne veux pas que ma fille vienne, quoi qu’il ce passe, elle est en sécurité ici et je reviendrais ce soir compris. Cocoon, je suis vraiment désolée à tantôt.

Je n’eus d’autres choix que de suivre Kahel, je m’inquiétais, qu’est-ce qui ce passait, pour que je doive partir ainsi ?

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Lun 03 Déc 2012, 13:31

Cocoon ne vivait plus depuis ces deux semaines. Nydelia avait insisté pour rester chez lui bien plus d'une nuit et il n'avait pas rechigné. Ainsi les choses avaient reprit naturellement leurs cours au niveau de la vie intérieure. L'ange partait avec dépit au sanctuaire, laissant l'orisha seul, et revenait le soir assez tôt pour s'occuper de lui. Il ne pensait même plus à manger, à boire, ou même prendre soin de lui. Il restait allongé toute la journée, sans bouger, sans parler, à ne penser à rien si ce n'est son chagrin. Il était clairement en train de sombrer. Son mutisme faisait presque peur à vrai dire, même si Daemon arrivait à lui arracher quelques mots.
Hasnna avait tenter aussi de lui demander des choses, comme lui lire une histoire, ou lui parler de tout et de rien, mais en vain. Il l'embrassait mécaniquement avant de repartir se coucher. C'était infernal.
Pour celle qui le regardait vivre, c'était insupportable. Lui avait l'impression que ça allait mieux, mais loin de là, bien loin de là.

Alors le jour même, quand son amie rentra en ramenant les filles, elle alla le voir, lui demandant comment ça allait. Il hochait la tête, se relevant un peu, en disant :

-J'ai mangé.

D'accord, c'était deux simples mots, sa voix était presque caverneuse vu qu'il ne parlait jamais, mais au moins ça prouvait qu'il recommençait à vivre. Il s'était nourrit de sa main et non de celle de Nydelia, il avait bu. En même temps, c'était le minimum syndical. L'ange devait le pousser un peu pour aller se laver, se raser la barbe et prendre un peu soin de lui, mais il faisait vite, et mal. Il se coupait le visage, ne faisant attention à rien lors de ses toilettes, il renversait les bocaux remplies de savon liquide, c'était un manche dans cette salle d'eau.
Mais le jour apparaissait petit à petit dans sa vie. La fenêtre si sombre commençait à laisser passer un raie de lumière.
Etant resté sur le divan après avoir mangé, il regardait à présent les filles jouer. Son esprit se vidait, son cœur aussi, pour être rempli à nouveau quelques secondes après. Ca l'épuisait. Tournant légèrement la tête vers Nydelia, il reçu un projectile sur lui. D'habitude il l'aurait vu, senti, rejeté, mais là, rien. Ses sens et ses réflexes étaient totalement perturbés. Sa lèvre saignait un peu et par réflexe, il lécha la goutte de sang qui en perlait avec sa langue. Le goût du fer envahit rapidement sa bouche, et ça lui procura une sensation qu'il connaissait. Il n'aimait pas le goût du sang, mais il ne grimaça pas, il resta totalement neutre. Mais il pensa à autre chose, se rappelant presque qu'il était en léthargie et qu'il fallait qu'il en sorte.

Et alors elle posa ses doigts sur sa bouche. Ses doigts fins et doux, sur ses lèvres.

Il prit conscience qu'elle était là. Qu'elle était là depuis le début. Il la regarda dans les yeux, réfléchissant lui même à l'évidence qui s'était posé sous son nez. Elle était là pour lui, bâclant son propre travail pour sa petite personne. Il se sentait tellement égoïste et en même temps tellement aimé. Leur visage était proche l'un de l'autre, et Cocoon sentit la vie s'éveiller en lui, comme une fleur qui commençait sa croissance et qui grandissait, à vitesse grand V. Les points où la peau de l'ange touchait la sienne, étaient comme des marques de brûlures au fer rouges, douloureuses, intenses et pourtant tellement agréable. Sortant de la brume, il réalisa qu'elle avait un doigt sur ses lèvres, une main sur son bras, un de ses genoux touchait un des siens, elle était si proche et pourtant il ne l'avait pas vu pendant ces deux semaines.

Et puis elle se leva, rompant tout ce qui était en train de se passer. Dans la foulée, Kahel arriva et ordonna sa mise en sécurité au Sanctuaire, laissant Cocoon seul.

Tellement seul.
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Lun 03 Déc 2012, 14:07


J’étais vraiment enquête, d’une part pour ce que m’avait ordonnée Kahel qui me fis retrouvée rapidement au sanctuaire et de l’autre, à cause de Cocoon, je ne voulais pas le laissée seul, pas avec ce qu’il traversait, mais je n’avais pas vraiment le choix. Je savais que Daemon était la, on c’était le seul est arrivé à lui faire prononcée certain mot. Hasnna, la pauvre n’arrivait pas vraiment à comprendre, heureusement que Alicia faisait de son mieux pour qu’elle aile mien. Ainsi Deamon et moi avions du travaillé ensemble pour essayer d’avoir des résultats, mais ce n’étais pas facile et j’avais du mal à supportée de la voir ainsi. J’espérais vraiment qu’il arriverait à aller mieux.

Une fois arrivée au sanctuaire, je me rendis dans mon bureau et je vis que tout le monde était là, tous les conseillers, ainsi qu’une femme que je n’avais jamais vue. Je sentais leur inquiétude et je me demandais vraiment ce qui se passait. Je m’installais alors derrière mon bureau et attendis que quelqu’un prenne la parole, mais personne ne parlais, c’est alors que Kahel demanda à la jeune fille d’expliquer ce qu’elle avait appris récemment.

-Majesté, Avallon nous est maintenant interdit et pire, la reine Aya promet une récompense à tous ceux qui arriveront à tuer un des nos, ainsi que tous ceux qui serais encore de notre cotée. Je ne sais pas vraiment ce que ça veut dire, mais ce n’est pas à prendre à la légère et on a peur de la suite.
— tu comprends, tu dois être mise en sécurité et ta fille aussi, on ne sait pas encore plus que ça, mais il faut faire quelque chose et rapidement, sinon ça risque de très mal finir.

Je ne l’écoutais cas moiti, qu’est-ce qui lui prenait ? Elle avait été l’un des nôtres et maintenant elle nous rejetait. Je n’avais pas d’avis posé sur les déchus, il était dommage qu’il nous aille trahi, mais nos vies est quelque peu compliqué et nous pouvons succombée à n’importe qu’elle moment. Ce n’était vraiment pas facile de poser un avis sur ce qui était en train de se passer. J’écoutais les avis. Certain voulais que l’on attaque les premiers, d’autre que nous soyons sur nos gardes, certain voulais capturée des déchus pour en savoir plus sur ce qui se passait, mais je n’étais pas d’accord, la priorité n’était pas la. Me levant et m’approchant de la fenêtre, je regardant les environs, particulièrement la direction ou était Avallon, tellement proche de nous, il ne fallait que très peu de temps pour arrivée ici. Trop peu.

-Je veux que chacun chercher un moment pour que l’on puisse s’éloigner d’eux. Je vais aller voir dans les archives. Kahel, elle na pas encore déclarée de guerre, prévenons les anges qu’ils ne doivent plus allée en avalon resto attentif. Mais le plus important maintenant, c’est de trouvée un moyen de partir d’ici et vite.

Le sanctuaire était en effervescence, et ce malgré l’heure tardive. Chacun cherchait dans les contacte, les rapports quelque chose qui pourrait nous aidée. Enfermée dans les archives avec Kahel, on cherchait une solution nous aussi. Après quelques heures de recherche, il m’apporta alors un papier assez ancien. Dessus était notée les coordonnées d’un magicien qui serait capable de déplacée le sanctuaire, ça n’allait pas être évident. Mais bon il allait bien falloir faire avec. C’était plutôt une bonne nouvelle, car ça nous permettrait de nous éloigner, où nous voulions. Il allait falloir que j’aille à sa rencontre et prévient automatique Kahel.

— Nydelia, je sais que je ne peux pas t’empêches de le faire, mais sache que je ne te quitterais pas, il te faut une protection et ce quoi que tu dises ou fasse.

Je ne contais ne pas partir seul, enfin normalement, car ça allait dépendre de son état, mais allée à l’extérieur lui ferait peut être du bien. C’est alors que je rentrais chez lui, il était tard, la nuit était presque finie. Je n’avais vraiment pas vu le temps passé. Je montais alors dans la chambre sans bruit et vi qu’il n’était pas encore endormi., je demandais alors à Kahel de m’attendre la, hors de question qu’il continue à me suivre. C’était déjà assez pénible. Je m’assis alors prés de lui et lui caressa sa joue, comme dans la soirée, ma cour battait plus fort, mais j’avais quelque chose d’époux important a lui demandée que de chercher pourquoi je réagissais ainsi.

-Cocoon, je suis vraiment désolé, mais je vais devoir te laissée quelque temps. Aya menace mon peuple et on a pris la décision de déplace le sanctuaire bien loin d’avalent. Je dois pour ça trouver quelqu’un qui en serait capable. Je suis désolé de devoir te laisser maintenant, mais c’est la sécurité d’un peuple qui est en jeu. Mais je crois que ça te ferait du bien si tu m’accompagnais. Pour un peu te changer les idées. Malheureusement, vu la situation, je ne suis pas revenu seul Kahel tien à restée auprès de moi, désolé de te l’imposé.

Je m’en voulais vraiment de lui imposer ça, après tout ce qu’il devait déjà traversé, ce n’était pas juste. Je continuais à passer ma main dans ses cheveux, espérant qu’il saurait me donner une réponse. J’espérais qu’il vienne avec moi, il avait besoin de bouger et de sortir, mais je ne pourrais pas le forcer, s’il ne s’en sentait pas capable.
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Lun 03 Déc 2012, 19:12

Une fois qu'elle fut partie, il ne trouva rien de mieux que monter se coucher. Dormir était sa seule rédemption, quand ses rêves ne venaient pas embrumer sa tête. Dieu merci, ils le laissèrent tranquille pour le moment. Daemon était près de lui et Hasnna jouait sur le lit. D'un geste presque machinal, il caressait ses longs cheveux blonds. Au bout d'un moment elle se tourna vers lui, toucha son visage, et se jeta dans ses bras en pleurant. Sa voix rauque retentit à nouveau :

-Pourquoi tu pleures ma Reine ?

Il se racla la gorge, pour s'éclaircir la voix.

-T'es triste papa, si tu pouvais tu pleur'rais tous les souars !

Il sourit de l'entendre parler comme ça et fourragea sa tête dans ses cheveux, contre sa nuque, son épaule, la couvrant de baisers. C'était sa fille et il l'avait abandonné pendant deux mois. L’absence de Nydelia, plus le décès prématuré d'Oëna.

-Tu es tout pour moi, tu le sais ça ?

Agrippant à lui, elle dit :

-Ne me laisse pas papa ! Ne me laisse pas toute seule ! Tu n'étais pas là, la maison était froide sans toi !

Il s'en voulu plus que de raison, et la serra contre lui.

Dans la nuit, Nydelia revint. Entendant le loquet de la porte, il bascula sur le dos. Toujours allongé dans le lit, il avait quand même bien broyé du noir, malgré la présence d'Hasnna. Entendant les pas presque feutrés de son amie, son cœur s'apaisa automatiquement quand il sentit se rapprocher. Il était fatigué, ses yeux étaient cernés, son visage pâle malgré son teint de peau. Bien qu'il avait sentit une autre présence dans la maison, il ne s'était pas levé pour aller saluer l'ange qui accompagnait Nydelia. Étant resté en pantalon toute la journée, la cicatrice sur son torse nu était visible et il avait encore la sensation des petites mains de sa fille contre sa peau. Une fois assise à côté de lui, l'odeur de son amie l'embauma, le transportant dans un monde bien plus doux et sucré. La main fraîche qui se posa sur sa joue brûlante, fut comme un pansement, elle apaisait tout. Fermant les yeux, il se tourna vers elle pour mettre sa tête sur ses cuisses.

Citation :
-Cocoon, je suis vraiment désolé, mais je vais devoir te laissée quelque temps. Aya menace mon peuple et on a pris la décision de déplace le sanctuaire bien loin d’Avalon. Je dois pour ça trouver quelqu’un qui en serait capable. Je suis désolé de devoir te laisser maintenant, mais c’est la sécurité d’un peuple qui est en jeu. Mais je crois que ça te ferait du bien si tu m’accompagnais. Pour un peu te changer les idées. Malheureusement, vu la situation, je ne suis pas revenu seul Kahel tien à restée auprès de moi, désolé de te l’imposé.

Cocoon écoutait, sans vraiment comprendre. Il entendait, sans vraiment écouter. Aya ? Mais... C'était pas la femme avec qui l'un des siens s'était marié et reconvertie ? Attend mais... La reine des anges déchus ? Menacer les anges ? Le laisser ?
Tout se bousculait trop vite dans sa tête, lui qui réfléchissait au ralentit pendant maintenant deux semaines, il était dur de faire fonctionner à nouveau son cerveau. La main qui passa dans ses cheveux, avait eu pour effet de remettre tout cela en place. Déglutissant il comprit. Celui qui un jour, aurait pu être son frère, était devenu quasiment son ennemie en se mariant avec cette femme. Il n'avait rien contre les anges déchus, mais il n'avait pas forcément eu de bonnes expériences avec. Ainsi il fallait déplacer le Sanctuaire.
Au bout de trente secondes, ou d'une minute il dit :

-Je vais venir avec toi. Kahel fait son boulot, et puis je ne serais peut être pas d'une grande aide, alors autant qu'il soit là. Pourquoi Aya a changé d'idée comme ça ? Elle était hostile déjà à la base ? Car elle a un jour était ange non ?

C'était des questions simples, mais dont il ne connaissait pas forcément la réponse. Il ne connaissait rien des déchus. Ainsi, il s'assit sur le lit, à côté de son amie, et posa sa tête sur son épaule, enroulant son bras autour du sien.

-Nous partons quand ?
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Lun 03 Déc 2012, 21:01


J’avais remarqué qu’il n’avait pas tout de suite compris. En même temps c’était sans doute normal, j’avoue avoir eu l’impression d’être avec un zombi ces derniers temps, ou un enfant qui venait à peine de naitre. Ca me mettais mal à laisse de devoir lui imposé mon départ ou le fait qu’il doive m’accompagné. Mais je n’avais pas vraiment le choix non plus. Qu’est ce que je pouvais faire d’autre, je ne pouvais pas abandonnée les miens. Je ne pouvais pas renoncer à mes responsabilités. J’attendis, patiente, quand j’entendis enfin sa voix, me faire une phrase complète et non que quelque mots, ça me faisait me sentir mieux, ça m’avait manquée, mais je savais que ce n’était pas encore ça, j’espère que ça ira mieux avec le temps et que nous partions quelque instant lui permettrais d’allée miteuse. Il m’expliqua qu’il comprenait pour Kahel, c’était toujours ça de gagner. Mais il me posait des questions en tout cas.

-J’ aurait toujours confiance en toi Cocoon. Pour Aya, je ne sais pas trop, tout ce que je sais c’est qu’elle a succombé au péché de luxure. J’aurais peut être du allée la voire, même si je ne sais pas ce que j’aurais pu lui dire. Je ne sais pas comment ça va s’arranger, elle ne va peut-être pas faire plus, après tout il n’y a que la ville qui est fermée et ça fait longtemps que le sanctuaire est fermé lui aussi. Enfin c’est surtout que je veux être prudente.

Il s’installa alors sur mon épaule, me demandant quand on partirait. Je voyais que Kahel nous regardait par la porte, l’air de dire tout de suite. Mais c’était hors de question, je voulais qu’il puisse se reposer. Je m’installai autrement pour qu’il puisse poser sa tête sur mes genoux. J’avais déjà passé quelque nuit ainsi et ça ne me dérangeait pas. Je ne lui répondis pas tout de suite, le laissant enfin s’assoupir. Quand il s’endormit enfin, Kahel se permit d’entrer.

— vous vous êtes encore plus rapprochés tous les deux, dame nydelia, on ne doit pas trop trainée, pensez-y. vous avez bien réagi, mais il faut continuée ainsi et vu le savez. Je vais m’arranger pour préparer des affaires, mais je vous en supplie, partons rapidement.
-Nous avons perdu tous deux la personne qui contait beaucoup pour nous. C’est normal après tout. Ne t’en fait pas, on partira vite, mais la on a besoin de repos, alors laisse-nous s’il te plaie, toi aussi va dormir.

Il sortit alors de la pièce après nous avoir jeté un dernier regard. Je m’endormis quelque instant après plongée dans des songes un peu tourmentée. J’avais peur pour les miens et pour lui aussi. En tout cas j’osais espérer que ça ira pour la suite. Le lendemain, il n’était ni trop tôt ni trop tard quand on se leva. Il semblait aller mieux, peut être l’idée de voyager ? En tout cas je m’occupais de prévenir les filles, surtout que Kahel avait insisté pour qu’elles aillent au sanctuaire. Dommage que Hasnna je verrais pas ce lieu comme il était magnifique.

-les filles il faudra restée calme, je suis désolé de devoir vous obligée d’allée là-bas. Mais c’est très important. On reviendra vite, c’est promis. Allée les filles, restée tranquille et surtout sodée prudente.

Kahel m’étais revenue que jam’ étais peut être ma fille en danger en devenant reine, mais j’avais pris ce risque. Alors je devais maintenant l’assumer. On sortit alors de la ville s’avançant calmement et encore assez silencieusement. Une fois de nouveau à la sortie de la ville. Je demandais à Kahel de s’éloigner un petit peu. Je regardais cocoon alors en lui prenant délicatement la main, plongeant à nouveauté mon regard dans le sien, je ne put que remarquée que je me sentais différente, mais pourquoi.

-Cocoon, avant de continuée, j’ai besoin de savoir comment tu vas. Pas simplement, un jetait bien ou mal, mais vraiment ce que tu ressens. Ça fait tellement longtemps que j’attends de pouvoir en discuter réellement avec toi. De plus j’ai besoin de savoir, te sens tu capable de volée sur une assez longue distance, ou est-ce que tu préfères que je t’appelle Astraëlle, elle sera contente de t’aider tu sais.

Je voulais être certaine que ses ailes fraichement acquises seraient capables de la portée au loin, surtout que l’on ne savait pas combien de temps ça allait durée. Je sentais un peu d’amertume au loin, Kahel n’approuvait pas que j’accepte qu’il m’accompagne, à cause de son état et de sa peine. Peut-être à cause qu’il est de la même race que l’était le nouveau souverain déchu. Mais ça n’avais que très peu d’importance pour moi, il était prés de moi et rien d’autre ne contait réellement. Même si je ne comprenais pas pourquoi je réagissais ainsi, peut être me sentais je simplement coupable.


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Lun 03 Déc 2012, 21:45

Les réponses à ses questions furent données rapidement. La voix de Nydelia lui donna du courage et le fit se sentir mieux. Une vraie conversation était mieux que de s'enfoncer dans son propre malheur.

-Le péché de la luxure... ? Intéressant...


Immédiatement ça le fit sourire qu'un ange soit si faible et si addict d'un tel plaisir. Il fallait dire que chez lui c'était le désert depuis un sacré moment, alors il préférait éviter d'y penser. Reprenant un peu de sérieux il dit :

-Elle règne sur Avalon, je ne pense pas qu'elle soit forcément puissante au delà des ses propres terres. Sauf si elle envoies une armée, là c'est encore différent.


Il pensa un instant à si la guerre devait survenir entre ces deux peuples. Forcément les reines se battraient, elles n'allaient pas rester passives. Mais l'orisha se dit que s'il luttait à ses côtés, il allait surement mourir et plutôt rapidement. C'était un guerrier, mais il avait ses limites, et une armée... Ils avaient pas mal de puissants au delà des lignes ennemies.

-Tu as fais des pactes d'alliances avec d'autre chef de clan ? Ce serait important pour te préserver de ses attaques, si un jour elle décide d'envoyer un escadron te tuer. Si tu peux rallier des grandes têtes à ta cause, ce ne serait que bénéfique je pense.


Automatiquement il pensa à l'Orishala. Peut être pourrait-elle intervenir ? Et puis il savait que le peuple était méfiant depuis que Koal avait viré de bord pour devenir un ange déchu. Si ce n'étaient pas leurs ennemis, ce n'était pas pour autant leurs amis.

Le fait qu'elle soit là lui fit oublier tout cela et il s'endormit tranquillement paisiblement, contre elle.

Le lendemain Cocoon se réveilla en même temps que son amie. La nuit fut un peu courte mais il devait se lever. Ainsi il alla dans la salle d'eau pour faire sa toilette puis fit ses affaires pendant que son amie prenait sa place pour sa propre toilette. Voyant le collier sur sa table de nuit, il le prit et le mit dans la poche de sa longue veste, ne savait-on jamais. Il voyageait avec une ange alors il aurait surement besoin de ce moyen de locomotion.
Une fois en bas, il vit l'ange parler aux filles et Hasnna leva automatiquement la tête :

-Papa ? Tu pars ?


-Chérie...


Elle se jeta à son cou. Daemon vint près d'eux pour embrasser la fillette que l'orisha avait dans ses bras.

-Tu veux rester avec Daemon ?


-Je veux PAPA !


Il soupira et lança un regard à son ami près de lui.

-Donne la moi, je vais m'en occuper, je te rejoindrais plus tard.


Elle changea de porteur, et s'accrocha de plus belle au cou du démon :

-Tu sauras me retrouver ?


-Mieux que personne.


Daemon avait pour idée de passer la journée avec elle, et de la laisser le soir au sanctuaire. Ainsi Kahel pourrait vaquer à ses occupations pendant que l'homme s'occupait des filles, et le soir venu, il rejoindrait Cocoon. Le coeur un peu moins lourd ils purent tous partir. Une fois Daemon partit de son côté, la marche fut silencieuse. Kahel restait là pour la protection de Nydelia et Cocoon n'y voyait -pour une fois- aucun inconvénient. Mais l'ange fit un signe à son subordonné, avant de se tenir devant le bronzé -un peu perdu dans ses pensées-.

Citation :
-Cocoon, avant de continuée, j’ai besoin de savoir comment tu vas. Pas simplement, un jetait bien ou mal, mais vraiment ce que tu ressens. Ça fait tellement longtemps que j’attends de pouvoir en discuter réellement avec toi. De plus j’ai besoin de savoir, te sens tu capable de volée sur une assez longue distance, ou est-ce que tu préfères que je t’appelle Astraëlle, elle sera contente de t’aider tu sais.

Cocoon fut étonné, voire abasourdi. Il ne s'attendait pas vraiment à ce qu'elle le prenne entre quatre yeux comme ça, main dans la main, face à face, si proche et si... Il recula un petit peu et dit :

-Je... Ça va, je vais pouvoir voler ne t'inquiète pas pour ça. Je... Fais mon deuil, je n'ai pas d'autre choix.

Il soupira, se maitrisant pour ne pas être à nouveau envahit par la déprime intense qu'il ressentait en temps normal, ces derniers temps. Une coquille vide. Pour le moment c'était ce qu'il était.

-J'ai peur de ne pas pouvoir te protéger comme il se doit. Tu comptes sur moi et... Et je suis tellement aveuglé par la perte de...


Il ne pu prononcer son nom, qui resta coincé dans sa gorge.

-Allons-y, ne t'inquiète pas, ça va. Vraiment.


Il ne savait pas quoi dire de plus. L'orisha était très mal à cause de la mort de l'ange, mais il ne pouvait pas retourner en arrière, ni s'en vouloir. Personne n'avait même retrouver son corps. Soupirant il jeta un coup d'oeil à Kahel et se tourna à nouveau vers son ange :

-Je pense que ma présence n'est pas désirée ici... Je ne sais pas si c'est une bonne idée, je ne veux pas que tout te retombe dessus si jamais je fais quelque chose de mal.
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Mar 04 Déc 2012, 16:04

J’attendais sa réponse avec inquiétude, je dois bien avouer que ça m’avait fait un peu mal de le voir s’éloigner de moi, alors que c’était tout à fait naturel. Il devait avoir quelque chose de pas clair pour le moment en moi et ce n’était vraiment pas le moment pourtant. Il me dit que ça ira pour la vole, mais il avait encore un peu de mal à s’exprimer. Pourquoi est-ce que j’avais dû lui annoncer ça ? Pourquoi est-ce qu’en plus, je devais encore l’emmener loin de sa fille ? Alors qu’il n’aspirait peut être cas être tranquille, mais je n’avais pas vraiment eu le choix. Enfin si, il aurait pu restée, même si je savais que ce n’était pas une idée. Mais est-ce que j’aurais accepté, je ne le savais pas ? Il s’inquiétait aussi de son efficacité, franchement, comme si c’était pour ça que je voulais qu’il vienne avec moi, mais bien sûr il était tombé juste au niveau de Kahel. Il avait bien sûr senti qu’il était retiens, même si je ne comprenais pas.

-Bon, si tu es certain que ça va, on va se mettre en route alors. Mais ne te crois pas inutile. Si je veux que tu viennes avec moi, c’est surtout à cause que j’aime t’avoir à mes cotées… Enfin je… Je veux dire que c’est aussi nécessaire pour toi de sortir un peu de chez toi. J’aurais dû y penser plus tôt, mais tu étais tellement…

Faible ? Mort ? Inerte ? Je ne savais pas comment définir le Cocoon que j’avais eu près de moi ces derniers jours. Mais il fallait maintenant qu’il arrive à se changer les idées. Mais bordel, qui est ce qu’il m’avait pris de lui lâcher quelque chose comme ça moi. J’allais finir par me taper la tête dans le mur si ça continuait. Mais enfin soit, je déployais mes ailes pendant que Kahel prenant déjà de l’altitude. Attendant Cocoon, je profitais de la brise froide sur ma peau pour me rafraichir les idées.

-En faite, pour Kahel, ce n’est pas vraiment que tu n’es pas désirée, c’est juste qu’il est inquiet il sait bien que tu ne va pas bien, mais n’en t’occupe pas. Car franchement à ton niveau son avis ne m’importe vraiment pas.

Jamais je ne laisserais qui que c’est le juger apte ou pas apte à m’accompagné. Et il le savait, c’est pour ça qu’il se faisait assez discret. Du coup il se contentait de rester en arrière pour surveiller les environs. Après quelque heures de vol, on décidait de s’arrêter, le jugeant trop faible et peut n’être pas encore assez habituée, je préférais ne pas trop forcée sur les distances et m’arrêtée quand il le fallait. On s’installa alors pour la soirée pendant que Kahel partit chercher de quoi nous remplir l’estomac. Regardant le feu qui nous réchauffait, je pensais à quelque chose.

-Je ne t’a même pas tout expliqué correctement. On doit trouver un certain Thorin, c’est lui qui serait capable de nous rendre ce service, il n’est pas méchant, mais il demanderait quelque chose en échange. Une fois fait, il devrait savoir accomplir ce que je veux lui demander, même si ce n’est pas facile. Il habite près du berceau cristallin, donc ce n’est plus trop loin. En faite tu ma demandée si je contais faire une alliance. Je ne sais pas trop, j’aimerais bien, mais impliquée d’autres personnes, dans une guerre qui ne serait pas la leur. Je ne sais pas si ce serait une bonne chose, mais je dois l’envisager. Je vais certainement voir avec les races bénéfiques pour commencer. Le reste on verra par la suite.

Je ne savais pas ce que je devais faire réellement, j’espérais ne jamais à devoir gérer ce genre de crise et pourtant, je n’avais pas vraiment le choix et avoir une alliance peut être un autre chef qui puisse me guider, pour le bien des miens et leur protection, ce serait quelque chose à envisagée. Mais je ne cessais de me demander pourquoi est-ce qu’elle faisait ça. Pourquoi s’en prendre à ce qu’elle était avant ? C’était vraiment étrange et ça me tourmentait. J’avais l’impression d’avoir trop de choses à m’occuper en même temps, les décrets d’Aya, le faite de devoir trouvé des solutions. Et ce cœur qui battait la chamade quand je regardais l’homme qui était auprès de moi. Je devais trouvée des réponses, des solutions, mais rien à faire. Je finis par m’allonger avec la ferme intention d’avoir les idées plus claires au matin. Mais je me trompais, tout était encore la quand on reprit la route. On devrait arrivée d’ici peu, donc ça irait le voyage n’était pas trop long, mais pour ce que cet homme allait nous demandée, c’était différent, car ce que j’allais lui demandée n’étais quand même pas rien et je me doutais que même s’il en était capable, ce ne serait pas facile, moi tout ce que je demande, c’est que ça ne prenne pas trop de temps, car ce temps, je ne l’avais pas malheureusement.
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Mar 04 Déc 2012, 21:56

Depuis qu'ils avaient récupéré le collier, il n'avait pas eu l'occasion de voler souvent. Ainsi, la peau qui s'ouvrait pour laisser passer les ailes, fut plus tendre de manière à ne pas lui faire ressentir une grande douleur. Ainsi, une fois le collier mit autour du cou, il enleva sa veste pour laisser les plumes bleu nuit, apparaitre une à une. Une fois prêt, il fit signe qu'ils pouvaient tous partir.

Les paroles de l'ange trottaient dans sa tête un grand moment, quasiment jusqu'à l’atterrissage sur un petit coin de verdure, là où ils passeraient la nuit. Elle avait hésité sur certain mot et en même temps ses sentiments sincères de l'avoir près d'elle, lui allèrent droit au cœur. Quand Kahel partit, Cocoon et Nydelia était assis à même l'herbe. L'orisha s'allongea et posa sa tête sur les cuisses de son amie, puis regarda le ciel étoilé. Il allait faire froid cette nuit, très froid. Sentant le vent balayer les mèches qui étaient devant ses yeux, il écouta l'ange parler.

-Un magicien ? Pourquoi simplement ne pas abandonner ce sanctuaire et en construire un autre ? En même temps j'y connais rien en magie, ça ne doit pas être dur pour quelqu'un de son envergure. Il va être déplacé où ? Et pourquoi tu fais pas construire un citée des anges, accessible qu'aux anges ou personne de paix ? Aya a bien fait ça pour Avalon...

Il trouvait l'idée ingénieuse pour sa part. Après tout c'était intéressant de ne pas avoir juste un sanctuaire, mais carrément une citadelle !
Et puis elle lui parla d'alliance. Il ne savait pas trop où les orishas se positionnaient :

-Je pense que l'Orishala ne serait pas contre car elle fait le plus d'alliance possible, donc tu devrais lui proposer un jour, je pense qu'elle ne dirait pas non. Il est bon de pouvoir compter sur quelqu'un quand on est dans le besoin, tu ne crois pas ?


En disant ça, il la regardait dans les yeux, essayant de déceler la moindre trace d'un quelconque sentiment, mais en vain. Il était toujours sur ses jambes, et elle avait la tête baissé vers lui. Mais au même moment, il entendit Kahel revenir.
Se redressant il s'assit à nouveau, et ils passèrent une partie de la soirée à manger.

Le lendemain, il avait mal au dos et se leva en se massant les reins. Tournant son bassin, il fit craquer certains os pour finir par aller un peu mieux. C'était horrible, il avait du dormir sur un cailloux, ou quelque chose qui s'en rapprochait. Ainsi, il ne traina pas de son côté et ils se remirent tous en route pour de bon. Nydelia était soucieuse, il le voyait bien.

-Ne t'inquiète, ça va s'arranger, on va faire en sorte de se dépêcher.
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Mar 04 Déc 2012, 23:04

Il s’était alors installé, d’une façon qui devenait quasiment habituelle, même si c’était assez étrange. Il me demandait alors pourquoi je n’avais pas pensée à le faire détruire et en faire reconstruire un, il n’avait pas tord et j’y avais songée, encore maintenant, c’était encore une idée qui me traversait l’esprit, ça allait dépendre de ce qui allait ce passée avec cet homme, de ce qu’il allait demandée. Car j’aurais peut-être plus de chance en fin de conte.

-Le temps Cocoon, imagine devoir tout déménagé, tu es déjà venu, mais tu na pas vu les archives ou tous les autres endroits remplis d’objet, ça prendrait beaucoup trop de temps. Mais bon s’il me demande quelque chose de trop long, je serais peut être obliger de le faire. Mais j’ai vraiment envie que ce se fasse le plus vite possible, mais ne t’en fait pas, je vais tout faire pour que mon peuple est en sécurité, c’est ce que j’ai promis que je suis devenue celle que je suis.

Protégée ceux qui m’étais chers, en devenant ange, il y avait tout les humains et maintenant tout mon peuple, je me devais les protégées, et ce, même si ça signifiait me battre et risqué de perdre la vie. Car je me doutais bien que Aya ne se contenterait pas des anges normaux, elle ne resterait certainement pas à rien faire non plus. Je me doutais bien qu’elle me rechercherait, mais je n’en connaissais pas le déroulement, ni la conclusion, mais j’avais le temps. Par conte ça m’arrangeait que l’orishala fût pour faire plusieurs alliances, ce serait quelque chose de positif, enfin une bonne nouvelle. Il faudrait sans doute que je me dirige vers megido rapidement, comme si je n’avais pas assez de choses à faire. Enfin, chaque chose en son temps, en premier lieu, le sanctuaire, puis les protections et enfin envisager les alliances. Une fois qu’il fut revenu, je le laissais partager les portions, heureusement il avait pensé que je ne mangeais pas de viande, même si je ne lui avais jamais réellement dit. Le lendemain, pendant que je préparais mes affaires, j’entendis quelque chose craquée derrière moi, du coup, je me dirigeais vers cochon, décidément, il était fragile au niveau du dos. Et je lui soulageais son dos. J’espérais vraiment que ça irait mieux. Kahel me regardait quelque instant avant de prendre les devants. Je demandais alors à cocoon de m’attendre en haut, dans les cieux. Pendant ce temps, je m’approchais de Kahel, il semblait étrange pour le moment et je voulais comprendre.

-Qu’ est ce qui t’arrive, j’ai souvent cru que c’était à cause du faite qu’il n’était pas bien, mais je vois bien qu’il y a quelque chose d’autre. Alors s’il te plaie, dit moi ce qui te gêne dans sa présence, car il conte bien restée avec moi, est-ce que c’est compris ?
— c’est juste que vous êtes devenu trop proche et je trouve ça dangereux, de plus comme vous l’avez dit, vous avez tous les deux perdu ceux que vous aimiez et vous risquez de vous trompé de chemin et je crois que vous deviez vous éloignée de lui pendant un moment, le temps de retrouvée vos esprits, ce n’est pas le moment de faire un pas de travers majesté.

Il avait accentué le dernier mot, je savais ce qu’il voulait dire, mais je ne voulais pas m’en occuper. Surtout qu’il ne devait pas se mêlée de ce que je voulais faire, du coup je contais bien le lui faire comprendre.

- Kahel, je connais mes limites, qu’est-ce que tu crois ? Cocon a été près de moi que Élise ma lâcher, quand Shaolan ma trahie. De plus je suis encore libre de mes décisions, alors ne te mêle pas de ma vie s’il te plaît. Rentre au sanctuaire. Rassure les autres et prépare de transfère. Je continuerais avec lui, il n’a pas besoin de se sentir indésirable.

Je tournais alors les talons rejoignant Cocoon dans les airs, lui prenant la main je lui demandai de bien se tenir à ma main et je me mis à voler le plus rapidement possible. Je voulais mettre le plus de distance possible. Je ne voulais pas continuer qu’il ma suive, je voulais retrouvée ma liberté.

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Mer 05 Déc 2012, 13:55

Alors qu'il finissait de ranger son manteau, Cocoon fut surpris que Nydelia s'éloigne comme ça. Bon, après tout il n'avait pas vraiment le droit de s'interposer mais en même temps, qu'allaient-ils dirent ? Il savait qu'elle allait le défendre et non le dénigrer, mais Kahel lui, ne voyait pas ça du même œil, et il le savait très bien. Se perchant haut sur un arbre, il se mit assez loin pour respecter l'intimité des deux personnes, et se prit à penser à nouveau à Oëna et toutes les choses qu'ils avaient ratés. Elle était son amour, son âme soeur, mais en même temps était elle faite pour lui ? Les parasites envahirent son esprit. Il ne croyait pas au destin, ce n'était pas dans ses gênes d'Orisha. Le destin enchaînait les personnes à croire que certaines choses va se produire ou se produiront par fatalité. Lui il n'était pas soumis par la Vie, bien au contraire. Alors même s'il refusait de croire que le destin bridait la liberté, il ne pouvait s'empêcher de se dire que si ce n'était pas sa faute, alors pourquoi quelque chose comme cela s'était produit ? La mort était mystérieuse... Sans indices. Une disparition dans ces terres. Et il ne pouvait pas se mettre à sa recherche, ça ne servait à rien. Il l'aimait tellement et pourtant, quand elle était encore vivante -ou supposé l'être- il pensait déjà à après, comme lui avait conseillé Daemon. Il pensait à, "et si elle était partie ?". Si simplement elle avait renoncé à sa vie avec lui pour partir avec un autre ? Cocoon lui, regardait déjà d'autres femmes, en pensant à cela de temps en temps, mais en se voilant la face surtout. Mais là c'était réel, elle était partie. La Mort l'avait arraché à la Vie et elle le laissait seul. Dans un coin de sa tête, il l'aimerait toujours car l'histoire n'était pas fini, ne le serait jamais. Son coeur battrait-il alors pour une autre ? Pour le moment ça lui faisait trop mal de penser à cela, et il préférait se concentrer sur la mission. Ils avaient peu de temps, mais peut être que ça prendrait quelques jours pour la terminer. Il aurait ainsi le temps de réfléchir et de mettre au clair ses sentiments. Il lui faudrait du temps pour tourner la page, mais son amie était là pour l'aider ? Déjà deux semaines s'étaient écoulées et ce départ le faisait voir du pays, c'était très bénéfique, alors la mélancolie pouvait bien s'emparer de lui, ça n'allait pas être pour longtemps.

Mais il n'avait pas eu le temps de vraiment réfléchir qu'il entendit un bruissement d'aile. Se retournant il vit Nydelia décoller. Prenant à son tour son envol il prit de l'altitude et l'attendit. Sa main fut vivement emportée, et il glissa dans l'air vif du ciel, voyant Kahel en bas.

-Que fais tu ?

Il s'accrochait aussi à elle, paniquant un peu à l'idée de ne pas savoir comment il allait reprendre le vol quand elle le lâcherait. Donnant un grand coup d'aile, il se mit à sa hauteur tenta de suivre le rythme. Leur main était toujours enlacée l'une l'autre et au bout de quelques minutes à vive allure il dit :

-On... Pourrait peut être... Ralentir non ?

Ouais il était un peu essoufflé, mais ne voulait pas la contrarier.

-Que t'arrive-t-il ?

Il ne savait pas trop si elle allait vouloir lui parler de sa conversation avec Kahel ou non, mais il tenta sa chance.
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Mer 05 Déc 2012, 14:35

Je m’éloignais, ne me souciant pas plus de ce qu’il pourrait penser. J’appréciais l’effort qu’il faisait pour ma protection. Mais je n’aimais pas qu’il agisse de la sorte. Déjà bien avant, lors de ma nomination, il m’avait exaspérée en retournant tout les moments joyeux que je vivais, contre moi. J’avais eu l’impression de revoir cet homme, que j’avoue avoir été tentée de giflée, mais bon. Plongée dans mes pensées, je n’entendis pas la question de Cocoon, c’est bien plus tard, quand il me demanda de ralentir, que je repris mes esprits. Je me mordis la lèvre à ralentissent. Je lui avais proposé de monter sur le dos de ma dragonne et maintenant je venais de le forcé à volée à une vitesse folle, alors qu’il n’avait pas l’habitude. Je me posais quelque instant pour qu’il puisse souffler un peu en regardant derrière moi. Je m’assis alors sur un roché et une part de moi, infime, regrettait mon attitude, il voulait seulement me mettre en garde.

-C’est juste qu’il est un peu trop formel par moment, il connait des choses sur moi, que je ne suis même pas sur de connaitre moi-même. Mais je sais qu’il fait ça pour mon bien, mais je n’ai pas envie qu’il commence à ma dictée ma conduite. Je suis désolé de t’avoir fait ça Cocoon, j’espère que ça va, je n’aurais pas du.

Je m’en voulais terriblement, même si une part de moi me disait que nous étions presque arrivée et que ça nous avait permis de gagner du temps. Je restais attentive, voulant vérifier s’il nous avait suivis, mais je n’en avais pas l’impression. De temps en temps je pouvais avoir de drôle de réaction quand même, surtout c’est dernier temps. Certainement le stresse, avec tout ce qui c’est passée, j’avais l’impression que ma tête allait explosée. On attendit quelque temps, je ne voulais pas repartir tant que je n’étais pas certaine qu’il allait mieux, mais quand ce fut le cas, on reprit la route à une vitesse beaucoup plus normale. Je commençais à regarder dans les environs, pour voir s’il n’aurait pas un indice sur l’endroit où il était exactement, car je ne le savais pas et surtout, je ne savais pas s’il était encor vivant. Je savais que ce n’était pas rationnel d’être parti à sa recherche, en n’ayant aucune information, mais le temps presse et je n’avais trouvé que ça comme idée. Heureusement que volée par ce temps frais me permettait de me détendre et me vider l’esprit, enfin, c’est ce que j’espérais. Je remarquais alors après quelque instant une petite cabane d’où de la fumée sortait, ça devait être le bas ou il aurait peut êtres des informations sur l’endroit ou ce qu’il se trouvait. Je lui fis alors un signe de tête et j’allais devant la porte, du mouvement ce faisait à l’intérieur et après quelque instant la porte s’ouvris, laissant apparaitre une petite fille qui devait sortir a première vue.

- Bonjour, je cherche un certain Thorin, est-ce qu’il habite ici, ou savez-vous où est ce que je peux le trouver ?
- C’est pour toi papa, il est dans le salon la bas.

Elle nous montra alors la pièce ou un homme était tranquillement assis sur le fauteuil le, je m’approchais alors de lui.

-Bonjour, je m’appelle Nydelia et voici mon frère Cocoon. J’aimerais vous demandée un service, si je puis me permettre.
-Nydelia, ah oui. Et bien quelle surprise. Est qu’est ce que je pourrais faire pour vous deux ? Ça à l’air important vu le timbre de votre voix ?
-Aya, la reine des anges déchue, a créé plusieurs décrets qui nous montrent une assez belle image de l’avenir. Je veux protéger les miens, cependant, le sanctuaire est trop proche de leur citée. J’ai retrouvé des archives me disant que vous seriez capable de m’aidée, de la déplacée, c’est ce que je cherche aujourd’hui en venant vous voir.

Il resta silencieux pendant un moment, semblant nous examiner. Est-ce qu’il cherchait quelque chose en particulier ? Après quelque instant, il finit par se lever pour allée regardée par la fenêtre.

- Ca fait longtemps que je n’ai plus fait de tel prodige, mais votre cause est juste, je vais donc acceptée. Cependant, il me faudrait plusieurs choses, des ingrédients qui me permettront de crée une potion qui décuplerait ma magie pendant un court instant, mais normalement suffisante. Je vous demanderais seulement d’aller les chercher. Pendant votre voyage, essayer de trouver un endroit sur pour le déplacé. Mais dame Nydelia, vous savez ce qui va se passer, vous vous en doutez n’est-ce pas. Envisager vous la défaite ? êtes-vous vraiment prête à tout pour la protégée ?

J’étais étonné par une telle question, mais je crois qu’il voulait seulement savoir jusqu’où je serais capable d’allée.

-Je suis jeune, je n’ai jamais connu la guerre, c’est vrai, si Aya devait avoir de dessus sur moi, ou un autre déchu, je ne pourrais que l’acceptée. Mais jamais je ne me rendrais, j’irais jusqu’au bout.
-Passé la nuit ici, vous en avez besoin, j’ai l’impression que vous manquée tous les deux de repos. Je vais vous écrire la liste de ce qu’il me faut d’accord ? J’espère que vous aimée voyagée.

On passa alors une nuit reposante, le lendemain, il nous donna un liste et on peu se mettre en route, il n’y avait plus qu’a croisée les doigts. Mais ça commençais mal, car il avait neigé de la nuit et le premier ingrédient était une fleur de givres des environs, vous savez la fleur qui ressemble parfaitement à un flocon.
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Mer 05 Déc 2012, 15:19

Cocoon apprécia l'atterrissage et pu ainsi souffler et reprendre un peu sa respiration. Marchant un peu pour habituer son corps, il finit par aller s'asseoir à côté de l'ange. Ses pulsations cardiaques ralentirent et il écouta son amie.

-Ne t'inquiète pas, ça va moi. Il faut que je m'habitue au rythme. Je ne sais pas trop quoi penser de cet homme, je l'avouerais que je tolère sa présence par respect pour toi.


Il l'embrassa sur le front, essayant de lui redonner courage et foi en elle, mais même ce simple geste lui paru tout à coup bourré de sens et de signification. Alors il eut une bouffée de chaleur le submergeant, mais garda une attitude neutre, se concentrant sur les battements de son cœur. Il était vraiment étrange. Se levant ensuite, il annonça à Nydelia qu'ils pouvaient repartir.
Une fois sur le lieu, il inspecta plusieurs endroits pour voir si rien ne laisser présager un quelconque indice ou lieu, où pouvait se trouver le type. A un moment, Nydelia trouva quelque chose et ensemble ils descendirent. Cocoon, comme d'habitude, resta en retrait quand elle frappa à la porte, restant près d'elle pour entendre, mais pas trop pour ne pas effrayer les gens à l'intérieur.
Une jeune femme apparut, gentille et serviable, indiquant où se trouvait l'homme. L'ange entra et Cocoon la suivit. Il avait enlevé son collier, ne préférant pas garder ses ailes quand il ne volait plus. Son manteau était toujours plié dans sa besace, et attendait d'être vêtu. Elle le présenta comme son frère, et quelque chose s'écroula en lui. Déjà pas mal abattu, il ne comprit pas vraiment ce que son cœur lui faisait passer comme message, mais ne s'en soucia pas, se concentrant sur la conversation.
Le mage discuta avec elle de ses aspirations et de ce qu'elle était réellement capable d'accomplir. Mais le fait qu'elle puisse se faire tuer par Aya fut réellement impossible à envisager pour Cocoon. Il ne préféra pas se mettre à réfléchir maintenant, bloquant ainsi ses pensées. Quand il proposa le gîte et le couvert, l'orisha ne se fit pas prier. Et une fois dans la chambre, il se coucha comme d'habitude aux côtés de son amie.

-Tu sais, j'ai l'impression qu'il y a des guerres partout en ce moment. Je ne sais pas si c'est par ce que moi je ne vais pas bien mais j'ai de plus en plus cette impression...

Mais peut être n'était-ce qu'une impression ?

Le lendemain la neige recouvrait le berceau cristallin et d'après la liste d'ingrédient, c'était la fleur de givre qu'il fallait trouvé. Malheureusement, Cocoon ne l'avait jamais eu dans son inventaire et ne pouvait aider. Il se sentait démunie, ainsi ils dirent au revoir au type et se mirent en route. Ils allaient parcourir bien des régions avec cette liste longue comme le bras.
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Mer 05 Déc 2012, 16:23


Toléré, voilà ce qu’il faisait chacun pour l’autre, mais pourquoi est-ce que ça ne pouvait pas être beaucoup plus simple ? Une vie tranquille, dans une maison au loin, peut être isolée du reste du monde, pour rester tranquillement. J’allais vraiment devoir trouver un arrangement, car entre Kahel qu’il ne voulait pas qu’il s’approche trop de moi et Cocoon qui ne supportait pas ce qu’il était, sa façon d’être trop formel. J’avais de temps en temps envie de tout envoyer en l’air, mais je ne le faisais pas. Si cocoon avait eu à un moment l’impression que j’étais enfermée chez lui, comme il me l’avait dit une fois. Pour moi, je m’enfermais moi-même, tous ces problèmes, c’est choses qui vous empêche d’avancée commençais réellement à être lourd à portée et c’était loin d’être fini, malheureusement.
Il me demandait alors pourquoi il avait l’impression qu’il y avait des guerres partout actuellement.

-Nous avons de l’affrontée les zombis, ce qui a été long et éprouvant. Mais maintenant quand on par aussi. On rencontre des personnes mal intentionnées, et ce même si c’est quelque chose de banal. Je crois qu’à force de la craindre, on commence à la voir partout.

Le lendemain donc, j’essayais de m’imaginée cette fleur au milieu de toute cette neige, comment trouvée un flocon parmi les flocons ? Et le pire, c’est que j’avais bien l’impression que les autres ingrédients ne seraient pas beaucoup plus faciles à trouvée, mais il fallait gardée courage, après tout ça s’arrangeait non. Pendant que nous marchions, je repensais à un détail de ma discussion, il avait un truc que je n’avais jamais fait, alors pourquoi est-ce que je l’avais fait maintenant ? Ce n’était pas normal. J’avais toujours présenté Cocoon comme un ami, gardant ce lien d’amitié plus fort pour nous, comme un secret qui ne devait être révélé. Mais alors pourquoi est-ce que je l’avais présenté comme tel ? Surtout que n’importe qui pouvait voir que l’on ne se ressemblaient pas. Lui bronzée, grand et costaud et moi blanche, fine et de taille normal. Sur le coup, j’aurais aimé qu’ielenia sois avec moi, elle aurait peut être sur m’aider, mais je lui avais demandée de veiller sur les filles. J’avais beaucoup trop d’interrogation en tête pour commencée vraiment à penser à un moyen de trouvée ce fichu fleure. Essaient alors de faire le vide en moi provisoirement, je regardais les derniers flocons tombés et je me souviens alors des entrainements passés à m’entrainée pour les contrôlées. Quand j’avais appris à maitriser la glace, c’était la première chose que j’avais faite. Faire tomber de la neige alors qu’il pleuvait. Si je n’aimais pas le froid, j’aimais le paysage qu’elle nous offrait grâce à son manteau blanc. Tapis glacé qui était sous mes pas. C’est alors que j’eus une idée, la neige, au lieu d’être un obstacle allait vraiment nous aider. Ce n’était que de la glace en faite, du coup, si j’arrivais à la déplacée, le flocon qui refuserait de bougée serait ma fleure non. C’était à tentée, mais il fallait déjà allée dans un endroit ou elle était censée poussé n’est-ce pas et pour ça, je contais sur les connaissances de Cocoon. On finit pas décidée d’un endroit où elle pourrait être. Prés d’un rochée en hauteur en fin de conte. Elle me faisait penser à une edleweise, blanche, aimant les hauteurs, le froid. Mis à par la couleur, tout mon contraire quoi.

- cocoon, je vais essayé de déplacé la neige, mais pour ne pas abîme la fleure, je dois la remettre au même endroit, du coup, il faudrait que tu cherches sur le sol pendant que je serais en haut. Est-ce que ça te vas ?

Il accepta et parcelle par parcelle, je commençais à soulever la neige. Au moins, lui n’abimerait pas la plante en la cueillant. Je savais qu’il devait avoir l’habitude, combien de champignon n’avait il pas cueilli ? Après quelque tas, il finit par me dire qu’il avait trouvé une sorte de mini champ. On en avait besoin que d’une, c’était parfait ça. Pendant qu’il rangeait la fleure en sécurité, je sentis le besoin de redevenir un petit enfant, une petite fille, joueuse et espiègle. Même si je ne l’avais jamais réellement été. De la triche de faire une boule de neige par magie ? De la triche de l’envoyer sur l’homme qui était devant moi ? Peut-être, mais en tout cas, ça nous permettait de retourner en enfance. D’ailleurs, la suivante, je la fis de mes mains, sentir la neige sur celle-ci, douce froideur qui caressais ma peau. Cocoon semblait d’ailleurs surpris de ma réaction, mais s’il pouvait savoir à qu’elle point ça me détendait. Dans un sens, je voulais que ça fasse la même chose sur lui, je voulais qu’il arrive à sourire, son doux sourire que je m’étais battu pour le voir, trop peu apparu et encore moins maintenant et pourtant. Me trouvant plus joyeuse, je ne vis pas vraiment la suite arrivée et même si ce fut cours, j’étais personnellement trempée et gelée par la même occasion. Ne voulant pas être la seule, je pris la poudreuse, la plus douce et tel un raz de marée, je le submergeais, volant au-dessus. Mais une petite erreur de contrôle me fit chuter… sur lui. Je m’assis alors dans la neige à coter de lui et me mis à rire comme je ne l’avais plus fait depuis longtemps. Court, mais suffisant, ça m’avait vraiment fait du bien de pouvoir me détendre de la sorte. Je croisais alors son regard en voulant vérifier qu’il n’était pas fâché. Mais je dus baisser le regard. Traçant des signes dans la neige, quelque peu gênée. Oui, en faite je devenais folle.

-Bon ben maintenant, en route pour l’antre des marais, c’est le plus prés.

Quitté un si bel endroit, pour un autre sinistre, dommage.
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Mer 05 Déc 2012, 21:42

Cocoon et son amie cherchaient tous les deux la plante. Mais il voyait bien que Nydelia était dans ses pensées et elle risquait de passer à côté si elle ne se concentrait pas. Malgré tout il ne disait rien, préférant elle aussi la laisser réfléchir à ses problèmes. Les menaces étaient grandes et elle devait s'en débarrasser au plus vite. Mais voilà qu'elle sortit quelque chose de très ingénieux. Ainsi elle pouvait faire bouger la neige, de manière à voir en quelque sorte dessous, pour ramasser la plante. Quel miracle !
Au bout de quelques minutes de marche, ils arrivèrent à un endroit propice où trouver la fleur de givre. Commençant leurs recherches, Cocoon finit par apercevoir une petite parcelle où toutes les fleurs se collaient les unes aux autres. Enlevant ses gants -tout neuf !- il en cueillit une avec délicatesse, comme il sait bien le faire et la mit dans un petit tube percer d'un ou deux trous, de manière à la laisser respirer. Une fois dans sa besace, il alla pour se relever mais reçu une boule de neige sur l'épaule. Se tournant vers son amie, il la vit en position d'attaque pour en lui balancer une autre. Essayant de l'esquiver, il la prit dans le cou. Alors une fois qu'il eu sourit, il en fit une petite pour lui rendre la pareille. Ainsi, la bataille de boule de neige commença. Pendant plusieurs minutes, ils jouèrent comme des enfants à se tirer dessus et esquiver les rafales de l'autre. Et puis l'ange finit par s'envoler, saupoudrant de la neige au dessus de lui, qui fondit instantanément et mouilla son pantalon et son débardeur. Seul son manteau fut épargné car il était imperméable.
Une ombre arriva vite sur lui, et il eut à peine le temps de tendre les bras qu'il se retrouva allonger par terre avec son amie sur lui. Souriant en pouffant un peu, elle lui communiqua sa joie de vivre et son rire. Mais tout cela se termina bien vite car dès que leurs regards se croisèrent, une alchimie apparut entre les deux. Cocoon arrêta de sourire, regardant son amie jusqu'au fond de ses yeux. Elle était tellement proche et en même temps elle semblait des fois distante. A ce moment là, égoïstement, il ne pensait plus à rien, ne regardant qu'elle et écoutant son coeur d'homme battre. S'était-il déglacé ? Il ne comprenait pas. Pourquoi là ? Pourquoi maintenant ? Pourquoi elle ? N'avait-elle pas dit que c'était son frère la veille ? Un lien fraternel indestructible ? Ou l'avait-elle dit par automatisme ?
Il était un peu perdu, et ne savait pas différencier qui elle était vraiment, de qui il aimerait que ce soit. Puis le lien se rompit, quand elle tourna la tête. Quand il cligna des yeux ils lui brûlaient, et avait l'impression de ne pas les avoir fermé de six jours. L'air frais commençait à engourdir son corps. Ainsi ils se levèrent en soupirant. Regardant la liste des ingrédients Cocoon pointa un doigt sur un :

-C'est des lianes, elles sont dans l'antre des marais. On aura toute les chances de tomber sur des Trolls en plus, je déteste ce lieu et ces bêtes là... !


Regardant son amie il enleva ses gants et les lui mit en prenant le tout dans ses propres mains.

-Je sais que tu es très forte pour ne pas sentir le froid et compagnie, mais quand ça commence a devenir violet c'est que c'est généralement pas bon signe...


Ayant peur qu'elle n'ait pas que les mains de geler, il la prit contre lui, et il s'enroula dans son manteau. Il pouvait ainsi lui procurer de sa chaleur, et la faire se réchauffer. Il ne fallut que quelques minutes, puis ils changèrent de destination.

Une fois sur place, Cocoon dit :

-Il va falloir être très prudent, je passe devant, et fait attention où tu mets les pieds.


Automatiquement, comme avant quand ils étaient face au danger, c'était Cocoon qui menait la barque, servant surtout de bouclier humain de manière à encaisser les dégâts, pendant que Nydelia usait de sa magie derrière. C'était leur tactique et ça avait toujours bien marquer. La petite louve n'était pas là pour cette fois, mais il se rappela quand ils étaient tous les trois. Il fut nostalgique en se souvenant qu'elle lui en voudrait toute sa vie pour un geste déplacé qu'il avait pu faire un jour. Essayant de rester vigilant, plus ils avançaient plus ses sens étaient en alerte. Les marais étaient éclairés par une lumière qui n'avait pas vraiment l'air d'être celle du soleil, mais en même temps qu'en savait-il ?
En passant devant un arbre, il vit une liane solidement accroché au tronc, et qui n'avait pas finit de grandir. Se rappelant vaguement comment il fallait s'y prendre il dit :

-Cette liane là est très bonne, en revanche il faut que je creuse pour la déraciner. Si jamais on la sectionne, elle perdra toute ses vertus et ne servira plus à rien.


Ainsi il rangea son épée et se mit au travail, restant quand même alerte de ce qu'il pouvait se passer aux alentours. Déraciner ce truc lui avait au moins prit vingt minutes, et il voulait à tout prix sortir de là. Ainsi il pu enrouler la liane sur elle même de manière à la faire tenir dans sa besace. Le plus gros, et le plus important était sa racine, le reste n'était pas très grave. Mais une fois repartit, il préféra enlever son manteau et mettre son collier disant à son amie :

-On va essayer de sortir par le haut, car ça grouille de Trolls par...


A peine avait-il dit ça qu'un grognement de bête géante se fit entendre derrière eux, plus loin. S'élevant dans les airs rapidement ils purent échapper à l'affreuse bête et sortir indemne de ce fichu endroit.
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Mer 05 Déc 2012, 22:21

Pourquoi est-ce que j’avais l’impression de ressentir quelque chose de nouveau envers lui ? Pourquoi est-ce qu’il fallait que ça m’arrive, ça me faisait peur et en même temps, ça me rassurait ? Mais pourquoi lui, pourquoi maintenant alors que ce n’était vraiment pas le moment. Qu’est ce que je pouvais faire de ces sentiments que je ne comprenais pas ? Il allait pourtant falloir que je comprenne, que je sache qu’est-ce qui m’arrivait et plutôt rapidement si je ne voulais pas devenir complètement folle. Il m’avait alors mis ses propres gants, c’est vrai qu’elles avaient pris une jolie couleur violette, mais c’est vrai que ce n’était pas bon signe. Quelque temps après, c’est complètement dans ses bras que je me retrouvais, je sentais son cœur battre, fermant les yeux, me laissant bercé par ce son si mélodieux. Je voulais éloignée et en même temps quelque chose me retenait. Pourquoi me sentais je si bien ici. Âpres quelque instant, il m’expliqua que c’était une liane le prochain ingrédient, c’était plutôt une bonne nouvelle, malgré l’endroit, ça ne devait pas vraiment être compliqué à trouvée. L’avantage avec les marais, c’est qu’il n’avait pas de neige, mais il faisait quand même beaucoup humide et ce n’était pas plus agréable. Je me souvenais bien du moment ou j’étais venue ici pour Astraëlle, pour retrouvée ses parents et qu’elle puisse maitrisé son nouveau pouvoir. Il repéra la liane beaucoup plus rapidement que moi, certainement question d’habitude. Il m’avait dit que je devais me méfier des trolles, mais je n’en avais encore jamais croisé. Comme d’habitude, il se m’étais en attitude protectrice. Petit à petit, il redevenait celui que je connaissais, il redevenait simplement lui-même. Ça faisait vraiment du bien de voir ça. Une fois qu’il eu trouvée la liane, il s’en chargea pendant que je regardais autour de moi. Quand il eu fini, nous dûmes prendre notre envole rapidement, car un bruit plutôt inquiétant c’était fait entendre dans les environs. Pendant que nous voyageons ainsi par les airs, je remarquais alors un oiseau arrivé, un magnifique aigle royal qui volais prés de nous, nous suivant à sen rythme. Je m’arrêtais alors et tendis le bras. Je sentais un peu les serres du rapace s’enfoncer dans ma peau quand celui-ci se posa. D’une voix mélodieuse, il prit la parole.

— C’est mon maitre qui m’envoie, un ami a lui devait lui demandé un service et il lui à demandé la même chose, mais il n’en a plus besoin et du coup, il a certain ingrédient. Il ne lui manque qu’une fleure de givre, les lianes des marais et enfin, la fleur de lys qui dois se trouvée quelque par dans les citée d’émeraude. Bonne chance dame Nydelia.

Dans un sens j’étais vraiment soulagée, il nous restait dans ce cas qu’un seul ingrédient a trouvé, au lieu de huit. Mais la fleur de lys ne serait pas facile à trouvée, après tout, c’était tellement vaste quand on y pensait. J’avais aussi beaucoup de souvenirs dans les environs, peux être de trop. En plus, je savais où trouver les fleurs de Lys.

-Cocoon, tu sais pourquoi je vivais dans les terres d’émeraude avant ? Élise était comme toi, elle aussi faisait des potions et autre bricole. Du coup, elle avait fait un magnifique jardin de fleurs, il y a des fleurs de lys. Mais je ne sais pas s’il a survécu. Je l’espère en tout cas. Ainsi, on pourra tout apporter et on regardera pour la suite.

On se dirigeait vers mon ancienne demeure, ça faisait vraiment longtemps et même si ce n’était pas encore facile tout le temps, en tout cas j’avais appris à vivre avec. Arrivant là-bas, je ne m’arrêtais pas devant la maison, mais directement vers le jardin. Heureusement, rien n’avait touché ce jardin, au contraire, il avait l’air d’avoir repris ses droits. Je cueilli la fleur de lys et lui confiait. Il nous restait plus qu’un truc à faire, il fallait maintenant tout lui apporter et on arriverait enfin à déplacer le sanctuaire.

-Bon, ben en route pour le berceau maintenant, je suis contente, ça aura été beaucoup plus rapide.

Une fois arrivée, Thorin examinait les ingrédients que l’on lui avait apportés., visiblement contente de nos trouvailles.

-Parfait, je peux donc le faire, mais il faut que tu me montres l’endroit ou ce que tu veux que je te le range, si on peut dire !

Je lui expliquais alors que j’en avais pas encore réfléchi à ça, du coup, il me proposa de garder les ingrédients pendant que je cherchais. C’était tout ce qui nous restait à faire. Trouver un endroit tranquille, éloigné de tout où nous pourrions être tranquilles.
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