Cocoon n'eut aucune emprise sur personne. Voulant protéger Nydelia avec son corps, finalement, ce fut Elise qui s'en prit juste à lui. Le combat entre les deux femme était acharné, et la vieille femme était totalement envahit par la colère et l'amerturme. Crachant son venin au visage de l'ange, cette dernière essaya de répliquer, mais elle ne fit que envenimer les choses. De son arme divine, elle chassa l'orisha, qui ne pu absolument pas se défendre de rien. Après tout, il ne pouvait pas grand chose contre les anges... Basculant dans l'escalier en bois, il alla se fracasser contre le mur, prenant appuie sur son bras, qui se cassa sous la dureté du choc. Elise s'était faite violente avec lui, et il ne pu même pas se relever pour l'affronter à nouveau. Sa vision se flouta, et il la voyait descendre, mais il n'arrivait pas à reprendre ses esprits, étant dans un demi coma. La douleur lui faisait monter bien trop l'adrénaline, pour qu'il puisse rester de marbre. Cocoon entendit Nydelia parler, et se précipiter vers lui. Lorsqu'elle manipula son bras il failli s'évanouir tan la douleur était intense. Se reposant contre le mur, en grimaçant, il sentit peu à peu son os reprendre sa forme originelle.
Cette garce était arrivé à la prendre par les sentiments en faisant du mal à son entourage. L'orisha se félicita d'avoir tout de même pu protéger la colombe et la louve, car elles aussi auraient pu charger. Finissant par ouvrir les yeux, il vit son amie le rafistoler à coup de magie, alors qu'en haut de l'escalier trônait Elise et les animaux. Il soupira puis la voix de Nydelia résonna dans sa tête :

Citation :

*Je dois y allez, c’est beaucoup trop dangereux, surtout pour toi, je ne veux pas te perdre, mais je préfère te savoir en vie, n’espère pas arriver à me joindre, elle sait crée un bouclier enlevant tout ce qui est langage distance Je ne t’oublierais jamais, prend soin de toi et pardonne moi pour tout, je n’ai jamais voulu ca. Adieu grand frère.*

Chacun de ces mots avaient été dit avec une tristesse dans nom et un amour fraternel, inconditionnel. L'orisha voulait juste dormir, et se sentait partir, ne pouvant lutter. Il s'en voulait. Elle avait attraper sa main, et lorsqu'elle se leva pour s'en aller, chacune d'elle glissait, jusqu'à ne plus se toucher. Il ne pu même pas lui répondre, trop anesthésié par la douleur et les soins.
Il vit juste sa robe blanche disparaitre aussi tôt, dès qu'elle toucha Elise. Et puis la maison devint vide. Absolument vide, et froide, comme l'hiver. L'orisha s'effondra sur le sol, totalement inconscient.
Il se maudira quand il se réveillera...