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 ¤ Event Partie I : Groupe IV ¤

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Sam 30 Juin 2012, 20:17

NE PAS POSTER AVANT LE 1ER JUILLET!


¤ Event Partie I : Groupe IV ¤ 312712PNJIV

Parcourant le continent du matin calme, une femme toute de cuir vêtue se déplaçait, un phénomène étrange l'entourant. Bien entendu, l'on aurait pu être abasourdi devant la dureté de son regard, entouré d'un masque noir, on aurait pu être étonné devant la blancheur de ses cheveux ou même par son accoutrement noir tout en restant sexy. Seulement, le regard était occupé par une toute autre chose, ce qui la suivait : des centaines d'armes, des sabres, des lances, des arcs de métal, des poignards, des couteaux, des shuriken. Ces armes flottaient dans l'air sans la moindre difficulté, prouvant la puissance de cette élémentale de métal. Elle s'était toujours prise pour une héroïne, une femme d'action d'un haut niveau qui se rendait toujours là où il y avait du mouvement, parcourant les routes pour le trouver. Et depuis que l'épidémie avait pointé le bout de son nez, elle n'avait cessé de se battre un seul instant contre cette dernière, déchiquetant ces êtres semblant tout droit sortis de l'enfer, sauvant les vies des individus sur son passage. Oh elle avait un fort caractère, c'était certain, mais son cœur était juste et bon.

Elle avait marché longuement pour atteindre la rue commerçante, ayant entendu dire que des dizaines d'individus étaient bloqués à l'intérieur de celle-ci après que les portes aient été fermées afin de garder les morts-vivants dans son enceinte. Pourtant, tous les efforts qui avaient été faits, les sacrifices des commerçantes, des artisans et des acheteurs, tous ces efforts avaient été vains. Et, à présent, il fallait ouvrir ces portes, détruire les morts-vivants et sauver les quelques vies qui pouvaient encore l'être. Plus loin, derrière les armes suspendues, se trouvaient des individus, tous ayant le même regard que cette femme que l'on surnommait Black Pearl. Ils la suivaient, tous résolus à se battre, tous résolus à mourir s'il le fallait. Peu importait car le présent ne laissait que deux choix face à l'épidémie : se battre ou ne pas se battre. Dans tous les cas, la mort menaçait de venir cueillir tout être quoi qu'il fasse. Et pour cette femme, le choix était tout fait : elle se battrait et décapiterait autant de zombie que nécessaire jusqu'à son dernier souffle. Même s'ils la mordaient, déchirant sa peau de toute part, elle ne cesserait jamais de lutter! Jamais!

Elle sourit, se trouvant avec sa mini-armée devant la porte de la rue commerçante. Se concentrant, elle regarda l'énorme masse de fer d'un regard déterminé, ses yeux changeant légèrement de couleur. Et alors, la porte se mit à grincer, s'ouvrant petit à petit jusqu'à venir se fixer dans les gonds fait pour la maintenir ouverte. Alors, voyant la chair fraiche, les centaines de zombies qui se trouvaient là se hâtèrent tous vers la direction de Black Pearl. Le sourire de la jeune femme s'agrandit alors qu'elle faisait un geste de la main, chacune des armes qu'elle avait amené avec elle se dirigeant vers une cible, tranchant la gorge de chacune sans exception, dégageant alors le passage. Puis, elle dit à haute voix pour le groupe d'hommes et de femmes qui la suivait :

« EN AVANT! »

Les laissant y aller, elle murmura pour elle-même :

« Nous allons voir de quoi ces monstres sont capables... »

Black Pearl sortit sa propre épée, trois armes gravitant toujours autour d'elle afin de la défendre en cas de besoin. Elle espérait que d'autres individus viendraient en renfort afin de sauver la rue commerçante. Ainsi, elle dit d'une voix forte, amplifiant le son avec l'un de ces dons :

« A tous ceux qui ne souhaitent point voir notre terre s'éteindre, venez à moi et battez vous pour la sauver! »

Puis, elle s'élança à son tour dans la bataille, bien décidé à décapiter quiconque se mettrait en travers de son chemin. La jeune femme était loin de se douter à ce moment là qu'un individu en vie était enfermé dans un laboratoire, essayant de trouver en vain l'antidote, ayant fait également des théories sur le coupable éventuel. Le sort du monde dépendait des poignets de résistants, des combattants qui devaient affronter la mort, voire même bien pire que cette dernière...

Spoiler:
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Sam 30 Juin 2012, 21:51

- Gnéhéhéhé ...

Un petit rire se fit entendre , sadique , ironique , moqueur . C'était le mien bien entendu . Il n'y avait que moi pour sourire et rire de cette manière ... surtout face à un tel massacre . Brave bonne femme va . Elle s'était lancée dans la bataille comme dans un combat de matous pour attraper une souris comme si l'appât ici n'était point un rat mais la fierté qu'une femme se jette au combat parmi ces hommes , prouvant qu'ELLE aussi pouvait castagner n'importe qui . Au fond , rien que de ce point de vue , on se ressemblait . Je souriais un peu plus ; si l'on se devait de marcher ensemble un jour pour accomplir je ne sais quel objectif , je savais que ce sera dans un pur bonheur , d'avoir une femme aussi bourrine et déterminée que moi à mes côtés .

Je descendais de mon perchoir car depuis tout à l'heure , je regardais le massacre du haut de la porte qui était maintenant ouverte , fermée tout à l'heure pour retenir les zombies . Des zombies ... Des trucs sans âmes en fait , qui castagnent et veulent de la chair fraîche un point c'est tout ... Ça c'est une vie ! Mais je ne désirais jamais être un truc sans vie de ce genre . J'aimais les bastonner NUANCE . C'était mou ces trucs-là , ça valait pas grand chose ... Okay , je connaissais pas mal de gens bien vivants sur ces terres qui valaient pas mieux , et qui mériataient plus d'une fois la Mort mais c'était moins facile de les achever ceux-là . Justement , si ils méritaient de crever et qu'ils étaient encore là , c'est qu'ils étaient un peu coriace et résistaient encore .

Mais je m'égarais encore une fois . Ne chassant point ce sourire de mon visage , je m'approchai lentement de ce fourbi de bataille , tranquillement . Mon sourire affirmait presque que je pouvais avoir bien moins d'âme et de raison - même bien plus de sans-gêne - que le crâne vide et sans vie de ces débiles de morts-vivants . L'un d'eux vint d'ailleurs m'accueillir , semblant ignorer mon visage de ... sadique pure , il me fonçait dessus dague en main , tirant une tronche même pas comparable à celle qu'on avait lorsque qu'on sortait d'une mauvaise nuit dans son lit , le matin . Il était un peu taré celui-là mais pouvait-on lui en vouloir ? C'était un zombie oui ou non ? Ben qu'il crève , il avait rien à foutre ici . Il était inconscient , ça se voyait , je suppose qu'il était pas super coriace non plus . Il tenta de m'asséner un violent coup de sa lame , que j'esquivai sans problème . Abttant ma propre arme sur son cou frêle et pâle . Celle-ci vola un peu plus loin , juste après le corps , n'étant maintenant qu'un BEL ET BIEN cadavre inerte pour de bon .

Et j'étais tellement déterminée et sûre de moi que je pouvais affirmer sans problèmes que bientôt , ses zombies ne seraient qu'un tapis de cadavres tapissant la rue pour qu'on marche dessus . Je souriai encore de cet air ignoble qui était mien . Dommage que les zombies ne détalent pas face à cet air-là , ça m'aiderait . Mais j'avais bien trop de plaisir à leur arracher la tête un par un , c'était de toute façon la seule technique pour les éliminer . Je sentais quelque chose m'agripper le bras alors que j'avais la tête ailleurs . Un jeune homme au teint un peu pâlot lui aussi , les dents acérés , qui beuglait "MAAAANGEEER" en bavant tout en exerçant une forte pression sur mon avant-bras . On ne me touchait pas , surtout de ses mains horriblement sales de zombies . Le réflexe fut simple rapide , je lançai mon arme sur sa tête mais il esquiva rapidement . Je ne m'usais pas et lui assénai un nouveau coup en plein dans le ventre , un autre lui coupant le bras , le dernier lui tranchant enfin la tête . Ça devenait coriace ces bêtes-là ... !

J'allai pas y arriver avec des armes de si courtes portée . Je dégainai la faux , rangeant mes lames de prédilection pourtant . Celle-ci trancherait bien plus que 2 têtes à la fois , c'était bien plus cool et amusant . Deux amis morts-vivants s'approchaient de moi , suivis de quelques sbires aussi pâles qu'eux . Amusons-nous ! Je les regardai , tandis qu'ils marmonnaient un par un en me regardant d'un air d'insomniaque le même mot : manger . Je laissais échapper un petit rire toujours aussi sadique .

- Huhuhu ...

Le premier eut la tête tranchée , le deuxième arrêta ma faux de sa main , ce qui lui valu un grand coup de pied dans la tête . Mais ça mourrait pas en se mangeant une de mes godasses , bien malheureusement . Mais leurs mouvements étaient lents et le temps qu'ils se relèvent , je pouvais bien achever ses petits copains . Ils se jetèrent sur moi comme 3 affamés n'ayant rien mangé depuis 3 semaines , tandis que je jouais le rôle du gigot . Petite ombre glissant le sol je devins bien , vite , me plaçant derrière eux et profitant qu'ils se relèvent pour faire un joli ensemble , leurs têtes tombant d'un air synchronisé sur le sol . Je m'amusai bien , certes .

Mais y'avait plus sérieux . J'entendais des gens hurler ... Ça venait de la maison à ma droite , juste derrière un stand de fruits frais . Amusée , je toquais longuement avant d'ouvrir la porte ... pour tomber nez à nez avec un zombie , tirant encore une tête de déterré ... Mais un zombie est un zombie vous allez me dire . Quand on s'y attend pas ... Je lui claquai la porte au nez , brandissant un sabre . La porte était de bois , je pus facilement la transpercer par la gauche d'abord , avant de l'entailler de gauche à droite très vivement .

Ça résistait : ça , c'était la tête du zombie derrière la porte . J'entendis un faible bruit contre le sol , et satisfaite , rentrait à nouveau dans la maison , enjambant le cadavre . Je fis signe aux gens recroquevillés d'effroi au fond de la pièce , leur indiquant la sortie , ils étaient priés de me suivre . Je les fis bien vite sortir , et prenait la porte en dernier juste derrière l'enfant de la petite famille que je venais de sauver . Un zombie , sortant de nulle part , tenta de me sauter dessus , crocs sortis . J'esquivais , ne remarquant point que la fille derrière moi était bien plus jeune et n'avait certes pas les capacités nécessaires à se sauver .

Elle s'écroula à terre , les crocs du mort-vivant violemment plantés dans son cou . Je reculais d'un pas d'effroi , scrutant la scène avec horreur . J'achevais le zombie toujours de la même façon et attrapai la main de la jeune fille pour l'aider à se relever . Ses yeux , son teint devenu tout d'un coup froid ... Si je n'avais point de réflexe pour retirer ma main , celle-ci se trouvait avec une jolie morsure de déterré de cimetière . Je mettais vite fin à la gamine , bien trop innocente et faible pour résister longtemps . Mon regard se fit dur , tandis que je bénéficiais de quelques secondes de repos , scrutant la scène avec un sentiment que je ne connaissais pas ...

De la pitié ? Soudainement , un détail me fit tilter . Quelqu'un à quelques mètres de moi , la peau encore colorée , ne regardait pas au bon endroit . Dans un réflexe rapide et vital , je me jetai dessus , lui évitant une zombification certaine . Je me relevai assez vite pour attendre la récidive du mort-vivant , bien que lent . Je prenais donc le temps de demander à la personne à laquelle je venais de sauver la raison et la vie , sans prenant le temps de détailler son visage , je devais tout de même garder mon attention sur ma propre personne , tennat à garder le titre d'Ombre à celui de zombie :

- Ça va , rien de cassé ?


HRP:

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Dim 01 Juil 2012, 19:51



    Les combats avait déjà commencer Julius était en retard, il avait quelque chose à finir ici, une épidémie à éradiquer. Un groupe de combattant ce trouvait au grille du quartier des commerçant mener par une femme qui était visiblement une élémental de métal. Aucune autre créature sur cette terre ne pouvait contrôler autant d'épée à moins que ce ne sois son pouvoir, Julius ce demandait qu'esse qu'elle pouvait bien faire d'autre. L'homme survolait la zones pour voir ce qui ce passait et combien de combattant guerroyait contre les créatures. Au moins cinquante personne si ce n'était plus, devait t'il rebrousser chemin car personne ne semblait avoir besoin d'aide ici et la situation semblait être sous contrôle. Pas question d'avoir fait tous cette entrainement pour rien, l'homme s'arrêta au dessus de la rue principal, il irradiait de son pouvoir encore une fois. Avoir fait tous cette entrainement pour franchir ce nouveau palier de pouvoir était vraiment bien car il n'avais épuiser aucune énergie pour venir ici. L'homme avait acquis une endurance physique et mental hors du commun pour atteindre ce nouveau bien que beaucoup de personne sur cette terre restait encore plus puissante que lui mais un jour Julius les rattraperais tous. La femme qui conduisait la charge suivait ses lames et entrait dans le peloton de zombies laissant les créatures ce faire déchiqueter par ses lames qui tournoyais autour d'elle, une magnifique exécution. Julius ce demandait s'il devait intervenir dans la bataille car la femme aurais pus nettoyer tous ce foutoir seul mais les autres qui s'aventurais dans les impasses et les cul de sac ne s'en sortirais peut-être pas aussi bien. L'homme regardais la scène en bas, son corps illuminait légèrement car son pouvoir ne demandait qu'à être déchainer. Une femme avançait elle aussi dans les créatures et elle aussi ce débrouillait quand même assez bien même si elle était un peu folle de devoir ce battre avec des dagues. À ce rythme l'élémental devrait bientôt intervenir car elle avait déjà faillit ce faire mordre, heureusement que les créatures étais stupides pour l'instant. La femme avait eu le temps de contre attaquer et de déployer une nouvelle arme, une faux qui semblait un peu grande pour la petite taille de la femme qui s'avait tout de même s'en servir malheureusement. Si elle c'était fais morde Julius aurais été l'homme le plus heureux du monde car il aurais pus la tuer sans que personne n'en dise quoi que ce soit.

    Une ombre c'était intéressant peut-être l'impressionnerais t'elle autant que la dernière qu'il avait rencontrer. Vivianne était une ombre qui habitait pas très loin qu'il avait rencontrer une nuit d'orage ou il avait défoncer sa maison pour ce réfugier de la pluie, en faite Julius avait détruit la fontaine de la grand place ce soir là et ne voulais que ce cacher. Cette race l'impressionnait énormément car pourvoir ce déplacer tel une ombre et en prendre l'apparence était un dont que même lui avait désirer un jour. Le meilleur des Assassin serais assurément une ombre. Le problème de celle là c'était qu'elle tentait de sauver les personnes dans les maison plutôt que d'éradiquer la menace. S'il fallait sacrifier plus de gens pour éradiquer la menace pourquoi pas ce n'était qu'un simple pris à payer. Lentement les zombies s'approchait d'elle alors qu'elle surveillait les arrières d'un autre homme. Julius usa de sa foudre pour détruire un bâtiment non loin de la jeune femme espérant qu'il ait encore des humains à l'intérieur de quoi détourner l'attention des créatures. La foudre percuta la structure de pierre qui s'effondra sous le choc de celle-ci, le moine avait bien vue à l'intérieur ce trouvait une femme qui hurla de toute ses force lorsque les créature qui approchait l'ombre virent de la chaire fraiche à porter de main.

    - Ce n'est pas le moment de risquer sa vie. Éradiquez l'ennemi avant de sauver des vie et de mettre la vôtre en danger.

    Le moine était toujours dans les airs, assez près pour quoi tous le monde l'entende crier mais trop loin pour que d'éventuel ennemi l'atteigne. Le moine sentait déjà le regard des combattants sur lui qui le détestait d'avoir sacrifier une femme mais Julius ce foutait bien de leurs penser lui tous ce qui l'intéressait c'était de déchainer son pouvoir et peu importe les dommages collatéraux d'éradiquer la menace. Rien ne valait un bon combat pour lui et celui-ci était vraiment approprié. Le moine créa une nouvelle fois la foudre mais cette fois son pouvoir percuta les lame qui ce battait contre les créatures, la foudre passait d'une épée à l'autre créant de ce fais une chaine de foudre qui explosait sur des corps ne laissant que le torse et tous ce qui avait en descendant. La masse de zombie qu'avait frapper la foudre avait fais sauter le haut de leurs corps ne laissant que des corps inerte sur le sol. Julius jubilais à l'idée de tuer encore et encore, ses pulsions reprenait peu à peu le dessus, la bête sortait de son antre et allais déchaîner ses forces sur des créatures encore plus maléfique que lui.

    - Ce sera un combat magnifique.







    :
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Lun 02 Juil 2012, 11:54

J’étais face à cette femme, sa peau partait par endroit, laissant place à l’os blanc, vraiment très tendance ! Ses dents jaunies claquaient dans la vide dans un « clac-clac » impressionnant, je fis moi aussi « clac-clac » lui lançant un grand sourire de mon cru, sourire cruel et je m’en foutiste. Puis mettant une certaine distance entre elle et moi. De la salive coulait de son menton, ses habits ressemblaient à des guenilles. Elle s’approcha, braquant son œil unique sur moi, l’autre orbite était noir, tout en profondeur. J’étais sûr que j’aurais pu me noyer dans toute cette obscurité.

« GUARG !! »


Je poussais un profond soupire, mettant mes mains sur les hanches, lui lançant un regard hautain. Ce qu’elle pouvait me casser les pieds celle-là ! Elle avait mon poignard dans la main, continuant à faire claquer ses dents rien que pour moi.

« Vous savez… Je peux pas exhausser vos vœux si vous articulez pas un peu… Quoi que, j’pense deviner tout seul ce que vous voulez… »


Elle balança maladroitement une de ses mains vers moi, dans l’espoir de m’attraper les cheveux. Je fis un pas en arrière, échappant à sa main griffue et sale. J’osais à peine imaginer ce tas de vers posant sa sale patte sur moi. Je fis un bond, atterrissant avec adresse derrière elle.

« Bon a part bouloter tout ce qui vous passe sous la main, vous savez faire quelque chose d’autre ?! »

Ho elle me réservait une surprise de très mauvais gout, Elle se retourna vers moi avec un sourire, je pouvais voir ses dents noires, charmant, très charmant, me crachant à la figure. Un bon gros cracha bien dégoulinant et purement dégueulasse… Je sortis un mouchoir en soie, m’essuyant le visage et lui lançant un regard arrogant.

« Je vois que vous avez pas perdus votre sens de l’humour ! C’est bien, mais si vous ne pouvez pas formuler votre vœu c’est mort hein ! Ho ! Je crois que moi aussi je me mets à l’humour ! C’est que c’est contagieux ! »


Tandis que je disais ça, j’avais dégainé ma hachette et lui avait tranché la tête d’un coup sec et puissant. La colonne vertébrale se trancha net. N’opposant qu’une petite résistance. J’essuyais la hachette à son cadavre… Plus très frai en la rengaina avec ma bonne vingtaine d’autres hachettes. Ouais en ce moment valait mieux se balader armer ici. Je me trimballais avec ma quincaillerie et c’était absolument pas discret. Je pris le poignard qui gisait dans sa main. Je prenant du bout des doigts.

« Beurk… Vous m’aurez agacé jusqu’au bout… Vous avez bavé sur mon Djambiya ! »


Je l’essuyais aussi et le rangeait dans ma ceinture. Soudain j’eus un moment de faiblesse, et j’entendis une voix, je ne saurais dire si elle était dans ma tête… Ou alors si la personne avait amplifié sa voix, mais j’étais seul sur ce chemin, semant les cadavres sur mon passage.

« A tous ceux qui ne souhaitent point voir notre terre s'éteindre, venez à moi et battez vous pour la sauver! »


A ce moment je suis tout de suite d’où cette voix venait. Elle venait de la rue marchande… Oui la concentration de ces bestioles devaient avoisiner la centaine… Je poussais un soupir avant de m’élancer avec une vitesse inhumaine vers le champs de bataille, marmonnant néanmoins.

« Comment ils veulent que je sois pas blasé si des trucs comme ça font partit de mon quotidiens ?! Encore des rigolos… »


Me mouvant avec aisance parmi les arbres j’arrivais bien vite en ville, me glissant furtivement jusqu’à la rue qui était condamner jusqu’à peu. Des cris inarticulés, des êtres décharnés et cannibals... Ho comme c'était mignon, je gravais ce tableau d'horreur dans mon esprit pour ne jamais l'oublier... Le combat avait commencé depuis peu, et je ne pouvais que m'incruster dans cette bataille. Je Tombais alors face à une femme jouant avec ses lames, des lames qui volaient comme par magie… Impressionnant… Je sortis trois de mes hachette, m’exclamant alors que je passais à côté de la jeune femme aux cheveux aussi blanc que la neige.

« Une véritable âme de guerrière se reconnait avec son courage… Bon combat lady. »

Puis arrivais à l’épicentre du combat, apercevant mon ombre préférer en train de se castagner avec les zombies, ho vous direz ce que vous voudrez… Mais cette fille j’ai toujours l’impression qu’on l’a forgé dans le métal et qu’elle arrivera à tout défoncer si on la laisse réellement se déchainer. Pour l’heure elle était en train de parler avec d’autres gens… Je fis donc ce que j’avais pris l’habitude de faire, prenant un bâton incandescent, le frottant contre un mur pour faire vivre la flamme. Elle était éclatante, et semblait tellement brûlante… Une force destructrice de la nature, détruisant tout. La flamme se jeta sur mes armes comme le je lui ordonnais, le fer vira au blanc étincelant sous le coup de la chaleur. Je pris appuis sur le mur et m’élança dans les aires. Lançant mes haches entre les deux yeux de quatre zombies, j’avais même dégainer mon habitacle, ma fidèle lame qui brillait elle aussi d’une lueur blanche. La lame vint se ficher dans le torse d’un zombie qui se trouvait non loin de mon ombre préférée. Les créatures, au contact du métal brûlant devinrent des torches humaines puis furent réduits en cendre. Le feu dévorait tout sur son passage… C’était l’élément le plus instable… Et mon pouvoir le faisait vivre, le faisait se nourrir correctement. Je regardais ces feux de joies avec un sourire fou puis vint récupérer les armes sur les cadavres encore chaud. Puis me tournant vers la jeune femme avec un regard moqueur.

« Tu m’en dois une princesse, je croyais que les vampires c’était ton truc, je savais pas que tu aimais aussi les zombies, je note ! »


Je me détournais d’elle, posant un regard méprisant sur les zombies. L’une d’entre eux avait osé baver sur mon cher habitacle… Ils allaient tous payer pour une seule personne, ouep la colère dirigé contre les mauvaises personnes c’était mon dada rien qu’à moi !
Puis une autre voix se fit entendre. Je levais les yeux un instant, croisant le regard d’un homme. Mes sourcils se haussèrent.

- Ce n'est pas le moment de risquer sa vie. Éradiquez l'ennemi avant de sauver des vie et de mettre la vôtre en danger.


Un éclair tomba soudainement sur une maison, l’électricité présente à la suite de cette démonstration se fraya un chemin jusqu'à moi sous le sol. Je connaissais bien là cette sensation, j'avais aussi appris à faire joujou avec des éclaires, mais qu'en temps d'orage... Ou bien quand ils étaient à porté de main.
Un grand sourire angélique prit place sur mes traits tendis que je baissais les yeux vers la horde d’êtres décharnés… Je concentrais tout le feu que j’avais créé en faisant brûler les zombies de tout à l’heure puis la balançait vers un groupe d’affreux. Je m’exclamais avant de partir dans un petit rire.

« Je ne sauverais personne, ne comptez pas sur moi, les rescapés risqueraient d’y passer aussi… Personne ne me sauvera moi, alors qu’ils se débrouillent. »


Que de dureté dans une voix qui semblait aussi jeune, mais quand vous voyez tous les jours la facette la plus noire de l’être humain… Un zombie ne peut être pire qu’un être pourri jusqu’à la moelle. Je me battais, pour la seule raison que je voulais continuer à me balader sur ce monde calme et reposant, avec ces horreurs dans le paysage comment apprécier une forêt ou une ville ? Sans façon !
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Jeu 05 Juil 2012, 20:00

¤ Event Partie I : Groupe IV ¤ 5mhoz

    « Nous devons sortir maintenant. »

    Il y avait maintenant quelques jours que Kyo, Dies et moi étions bloqués dans l'auberge de la rue commerçante. L'attaque des morts-vivants avait été fulgurante et c'était en enfant que j'avais assister à ce spectacle avant que le démon mineur qui était mon garde du corps ne m'éloigne de la fenêtre afin de constater lui-même l'horrible scène. J'en avais été réellement émue, pleurant à chaudes larmes pour une raison qui m'avait échappée jusqu'à ce que je grandisse mentalement grâce à l'objet que j'avais trouvé au manoir Taiji en même temps que j'avais rencontré mon ange gardien. Une fois adulte, je comprenais les impacts que cette scène aurait sur mon moi enfant. C'était certain que j'en garderai un souvenir précis, qui hanterait mes nuits de nombreuses années. Cependant, si j'arrivais à la place que je souhaitais obtenir, je ne devrai plus avoir peur. Car oui, je voulais rassembler les humains de ces terres, les rassembler et les mener vers le destin qui les attendait. Je voulais devenir reine, celle qui les guiderait, les rassurerait, celle qui érigerait un abri pour eux. J'avais d'ailleurs commencer certaines démarches auprès de chefs de races mais mes moyens étaient limités pour le moment. Pourtant, j'étais sûre que je parviendrai à réaliser mes rêves et si j'avais survécu au temple des esprits lors de mon épreuve d'initiation, c'est que j'avais assez de détermination pour mener à bien mon projet. Kyo me répondit alors :

    « C'est de la folie. Violette, tu n'as aucun pouvoir, tu te feras déchiquetée par ces zombies... »

    Je caressais doucement la tête de Dies. Quelque part, je savais qu'il avait raison sur une chose : sortir était de la folie. Mais rester là ne nous avancerait à rien. Je regardais mon reflet dans le miroir. J'avais mon physique d'enfant et je ne pouvais certainement pas m'aventurer dehors comme ça. C'est pour cette raison que je sortis mon masque du bureau de la chambre d'hôtel, l'apposant sur mon visage où il disparut en même temps que je prenais une forme adulte, devenant blonde claire. Ce n'était certainement pas le physique que j'aurai d'ici quinze ans mais, pour le moment, il me convenait très bien. Je souris, me tournant vers le démon, parlant cette fois avec une voix d'adulte.

    « Tu as sans doute raison. Mais il suffit de réfléchir cinq minutes pour comprendre que rester là ne retarde que l'échéance. Les sans vies finiront par venir nous chercher. De plus, si la gérante de l'auberge a pu nous fournir de quoi nous nourrir, son stock sera bientôt épuisé. Si nous ne mourrons pas en nous faisant contaminer, nous mourrons de faim. Je ne veux pas attendre ici, il faut agir. Et... »

    Je semblais réfléchir un court instant avant de continuer :

    « ...si nous réussissons, cela prouvera au monde entier que les humains sont des êtres à part entière. Je veux prendre part à ce combat, quelle qu'en soit la fin. »

    « Tu es décidément bien têtue. Mais puisque tu le souhaites ainsi, très bien. »

    Je vis le démon dégainer son sabre. Je souriais, faisant apparaître l'arme que j'avais acquis au temple des esprits. Nous allions nous battre, quoi qu'il nous en coûte. Si nous périssions avant de pouvoir sortir, au moins, nous aurions débarrassé le monde de quelques unes de ces créatures infernales. J'attachais mes cheveux rapidement, réunissant mes affaires dans un sac à dos que j'enfilais. Il était temps. Nous sortîmes de l'auberge après moult avertissements des clients de l'auberge et des patrons eux-mêmes. Je leur avais souris, les rassurant, leur disant que ça irait puis, j'étais sortie, suivie de Dies mon animal ailé et kyo.

    Une fois dans la rue commerçante, nous fûmes témoins du spectacle qui se déroulait sous nos yeux. Apparemment, la résistance avait commencé. Cela me fit penser au vieil humain qui m'avait fait passer mon épreuve de puissance, un homme épatant, étonnant que je prenais à présent comme modèle. Mais l'heure n'était pas à ce genre de pensées car ma vie en dépendait. C'était à mon tour de me battre pour mes convictions, aussi, alors qu'un zombie se dirigeait vers moi, Dies détourna la lumière, la faisant se reflétait dans ses yeux alors que je dégainais mon sabre, lui tranchant la tête. Oui, j'en savais des choses, et c'était grâce aux clients de l'auberge qui n'arrêtaient pas de discuter du sujet. Chacun était plus ou moins informé mais en réunissant tous leurs dires, j'étais arrivée à plusieurs conclusions : si l'on se faisait mordre, l'on devenait un zombie et le seul moyen de les tuer était de leur trancher la gorge. Dans mes pensées, je vis alors une femme magnifique, de cuir vêtues et une chevelure blanche descendant sur ses épaules. Elle était impressionnante, vraiment. Je la regardai un instant avant de m'apercevoir qu'un petit groupe s'était formée un peu plus loin.

    « Kyo, le mieux est de rejoindre un groupe, nous serons moins vulnérable comme ça! »

    « C'est sûr! »

    Nous nous dirigions alors tous les deux vers ces derniers, mon garde du corps décapitant les sans vie bien mieux que moi même si j'avais reçu un enseignement il y a peu de temps. Et alors que nous nous rapprochions d'eux, j'entendis un cri d'enfant avant de tourner la tête, m'apercevant qu'une petite fille était coincée sur l'un des balcons d'une maison imposante de la rue. Je devais l'aider. Je dis alors à Kyo avant de me diriger vers cette maison :

    « Va voir les autres, je reviens! »

    Kyo aurait surement protesté s'il ne me connaissait pas. Il fit donc ce que je lui avais dit, s'approchant du groupe composé de trois personnes. Il dit alors :

    « Oui, la bataille va être rude et peu importe nos raisons, il vaut mieux nous unir pour l'instant! »

    Quant à moi, je m'engouffrais dans la maison, espérant ne pas rencontrer trop de résistance.


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Ven 06 Juil 2012, 10:38

Elle n'avait sûrement jamais été aussi vive d'esprit qu'en ses temps obscures, au loin elle aperçut un éclair fendre le ciel nocturne, l'orage exprimait sa colère. L'homme qui était venu les avertir à la bibliothèque n'avait pas menti, sa correspondante l'avait aussi averti du danger qui se tramait sur le continent. La folie l'avait poussé à venir malgré les dires. Non pas pour aider les hommes, son but était autre et personnel.

Magnolia drapée d'une de ses robes aux belles dentelles et fanfreluches s'épanouissait dans le ciel. En cette occasion elle avait laissé sa part de fée montrer ses talents, des ailes rosées scintillantes décoraient son dos. La jeune fée rebutait habituellement son apparence, les Hommes ne la connaissaient en tant que quasi-humaine. Seulement la menace présente sous ses yeux était réelle et ses idéologies oubliées. Elle venait chercher celui qu'elle avait abandonné.

Son premier et seul refuge se trouva sur un toit, elle observait la bataille qui faisait rage, certains groupes s'étaient distingués, pendant que d'autres se faisaient lamentablement tuer, la cruauté ne fait pas défaut à ce Monde. Et son intention ne valait pas mieux que les zombies, atteindre son objectif. Elle éteignit la lueur de clarté qui lui avait permit de se laisser guider jusqu'au toit, sa pupille argent s'efface, et elle rangea ses ailes de la même façon. La cécité de Magnolia était revenue, alors elle commença à posséder la vision des autres comme elle l'avait toujours fait depuis sa jeune existence pour se guider dans le monde noir que la vie lui avait promis.

Voilà cinq minutes qu'elle épiait les rues du haut de son perchoir, elle avait bien l'impression que le nombre de vivants se diminuait, il allait être temps d'agir. Seulement le destin n'est pas forcément clément, ou plutôt la jeune femme n'est point adroite. Un pied mal placé lui fit passer à travers le plafond, c'est dans une cruelle douleur, fesses les premières qu'elle se fraya un passage dans une maisonnée, les débris accompagnèrent sa chute.

Doucement mais sûrement, elle enlevait les morceaux qui s'étaient juchés sur elle, jusqu'à ce qu'un bruit la perturbe, celui d'un calme étrange. Celui qui dit - c'est anormal ! -. Elle essaya de voir au travers d'un vivant qui sillonnerait la maison, rien. L'angoisse aurait pu naître mais ce manque de clairvoyance pouvait parfois être un don face au danger ; un sang froid à toute épreuve. Elle attendit puis le son se déguisa en lame, et une chute sur le sol lui fit comprendre que c'était fini, quelle chance ! Une voix s'éleva dans les airs lui demandant son aisance. La jeune fée allait répondre quand un éclair frappa non loin d'elle. Cette fois-ci en plus de sa cécité elle avait perdu l'usage de son ouïe pour quelques minutes.

Sa tête restait penchée vers le bas et elle ne répondit pas à la jeune femme. Maladroitement elle se remit sur ses petites jambes d'humaine et frotta par petits gestes sa tenue. Elle se mit à observer les invités de cette maisonnée d'abord par le regard de l'homme. Une jeune femme armée d'une faux, elle mit une race sur ce visage, c'était une ombre, belle et élégante dans sa robe noir.
Puis elle changea de visuel et prit le regard de la jeune femme pour détailler Julius, tout en muscle, Magnolia fut surtout marquée par ses yeux à la couleur si particulière, ça lui rappela ce qu'elle était venue chercher ici. Après un temps d'hésitation et ses oreilles pointues commençant à retrouver le chemin de la raison elle répondit à la première question qu'on lui posait.


« - Non, ça va, merci.


La voix de Magnolia était harmonieuse et la silhouette qu'elle offrait aux personnes pouvaient allégrement deviner qu'elle n'était pas faite pour les combats, se retrouvant au mauvais endroit au mauvais moment. De long cheveux roses ondulées encadraient son visage de poupon, des petites oreilles pointues ressortaient de sa chevelure mal dressée. Souvent les êtres vivants s'attardent sur ses yeux, remarquant sa cécité. La première phrase depuis son absence qu'elle put entendre fut celle que ce combat serait magnifique. Elle répondit :


« - Alors je vais vous laisser à ce combat. Je vous serais inutile.


Magnolia s'en retourna avec habilité vers le semblant de porte qui fermait la demeure pour sortir à l'extérieur ou somptueuses créatures attendaient d'en faire un repas. Elle leva la main et les cinq créatures présentent devant elle s'écartèrent, trouvant autre chemin ou victimes ou même parfois s'arrêtant totalement de vivre, néant de réflexion.

Une chauve souris à la suite de cette altercation vint se poser sur son épaule. Ses serres se plantèrent doucement dans son épaule. Par le regard de la chauve souris, elle vit un jeune homme jouer avec son feu. Ils semblaient bien assez nombreux pour se battre. Bien assez pour qu'elle aille à ses occupations.

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Sam 07 Juil 2012, 03:20

La ville, comme beaucoup d'autres endroits, était déformée par la menace putride. L'air nauséabond charriait des relents infâmes de chair putréfiée. La menace à laquelle j'avais du faire face dans la forêt était arrivée jusqu'ici, et elle était bien plus importante. Ma destination était la rue commerçante, l'endroit où ces choses immondes se dirigeaient, appelées par la chair fraiche. J'enrageais et je n'étais pas le seul, Shalnira aussi était révolté. Ces êtres, morts et vivant à la fois, ces créatures répugnantes, ces cadavres ambulants étaient une insulte à la vie. Plus leur nombre était grand et plus ma rage hurlait en moi, se déversant dans tout mon corps tel un feu liquide se répandant dans mes veines et mes artères.

Je me frayais un passage parmi les zombies, usant de mes griffes et Shal de ses crocs. Je ne me contentais pas de les décapiter, puisque c'est ainsi qu'il fallait procéder pour les tuer, je le savais depuis ma mésaventure dans la grotte, avec le trio de vampires, mais je les démembrais, emporté par la rage. A force de faire retourner ces créatures à l'état de cadavre qu'elles n'auraient jamais du quitter j'arrivais dans la rue commerçante où d'autres que moi combattaient les zombies. La rue était tellement remplie de corps en putréfaction avide de chair, et j'étais aveuglé par la rage, ma louve virevoltait au milieu de nos ennemis, attaquant à la gorge, décapitant ainsi tout se qui se trouvait sur son chemin. Elle avait été réticente à l'idée de venir en ville et de s'exposer ainsi au danger, mais en voyant ces abominations elle avait décidé qu'elle aussi devait se battre contre ces choses qui n'était ni tout à fait mortes ni tout à fait vivantes.

J'entendis des cris, mais je n'y prêtais pas attention, plus rien ne comptait à par détruire l'objet de ma fureur. Puis, alors que j'éclatais une de ces maudites créatures contre un mur, celui-ci s'écroula en partie et je me retrouvais alors dans une maison où grouillaient des morts-vivants. La situation ne changeait pas, seul le décor changeait. Et puis, je tombais nez à nez avec une jeune femme blonde qui venait probablement d'entrer dans la maison, il s'en fallut de peu que je ne la décapite elle aussi, mais même dans mon état je pouvais constater qu'elle n'était pas un zombie.

-Que faites-vous dans cette maison? Vous voulez vous faire tuer, ou pire, changer en ces choses affreuses?

J'eus à peine le temps de prononcer ces mots qu'un cris d'enfant ce fis entendre. Il ne me fallut pas une demie seconde pour comprendre. La jeune femme venait sauver l'être sans défense qui devait se trouver piégé dans la maison. Mais c'était du suicide, éviter les morsures était bien plus difficile dans un espace réduit, j'avais d'ailleurs moi-même du mal à éviter d'être mordu. Je m'apprêtais à sortir de la maison en passant à nouveau par le mur écroulé, mais si je laissais cette femme seule, elle avait toutes les chances de se faire contaminer. Je ne pouvais accepter cela. Habituellement, je laissais les autres à leur sort, à moins qu'ils n'aient éveillé mon intérêt, mais cette fois tout était différent. A quoi servait de combattre ces choses si c'était pour les laisser se reproduire? J'étais le plus près de l'escalier, je me frayais donc un chemin parmi les êtres répugnants afin de le gravir.

-Je vais chercher l'enfant, retenez-les!

Je ne savais pas si la jeune femme allait obéir, mais après tout, avions-nous le choix? Arrivé sur le balcon, je remarquait une fillette à travers la porte qui séparait la pièce du balcon et que les zombies détruisaient petit à petit. Ils étaient peu nombreux à l'étage et j'eus peu de mal à m'en défaire. Je défonçais ensuite la porte d'un coup de pied, et prenant la fillette qui ne devait pas avoir plus de 6 ans dans mes bras, puis redescendis par l'escalier.

-Sortons d'ici avant de mourir tous les trois. Ce n'est pas très galant de ma part, mais si vous pouviez ouvrir la marche, je vous avouerais que cela m'arrangerais.
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Sam 07 Juil 2012, 15:58


¤ Event Partie I : Groupe IV ¤ 312712PNJIV

Rien ne semblait pouvoir arrêter Black Pearl, son corps se mouvant avec une aisance qui aurait fait pâlir le plus grand des trapézistes, le plus connu des équilibristes. Elle maniait l'épée comme personne, ses muscles se contractant avec force à chaque fois qu'elle levait sa lame pour venir la ficher dans le corps d'un zombie, de fines perles de sueur faisant luire sa peau déjà mate. Cette femme aurait pu être la muse d'un artiste qui souhaitait représenter la force, son attitude, son regard, tout, trahissant la détermination qui était la sienne. Elle s'était donnée comme mission d'éradiquer les morts-vivants et elle y arriverait. L'éclair qui s'abattit un peu plus loin ne perturba nullement sa concentration et à chaque fois qu'elle coupait la tête d'une de ces créatures des enfers, un petit sourire satisfait apparaissait sur son visage. Seulement, elle était très loin de s'imaginer que les choses se corseraient légèrement par la suite. Car la nuit qui régnait n'était pas le seul facteur climatique qui entrerait en jeu.

Soudain, une fine goûte de pluie s'abattit sur la lame de Black Pearl, l'élémental de métal ressentant la fine onde de choc dans son geste auparavant parfait. Elle détestait la pluie, l'eau en général car le métal rouillait au contact de cette dernière et le caractère de la jeune femme, sa façon d'être, l'obligeait à ralentir légèrement la cadence lors de cet événement. Elle semblait être comme un chat, détestant la pluie, étant troublé par elle, la moindre goûte la mettant dans tous ses états. Pourtant, quelques secondes plus tôt, elle avait répondu aux dires d'un homme qui avait choisi de se battre à ses côtés ceci :

« Et mon courage est sans limite! »

Elle ferma les yeux un instant, se concentrant, essayant d'entendre si la pluie s'arrêterait bientôt ou non...non, bientôt, ce serait pire. Alors, celle que l'on appelait Black Pearl décida d'entrer dans les maisons de la rue commerçante afin de les débarrasser de leurs occupants maudits. Elle hurla cependant à l'adresse de la personne qui était à l'origine de l'éclair :

« Ne refaites plus ça, sinon nous serons tous morts grillés avant même d'avoir éradiqué toutes ces saloperies! »

Elle lui fit un clin d'oeil avant de s'engouffrer dans une maison proche de celle où se trouvaient Volk et Violette. La pluie s'abattit alors de plus belle, l'eau tombant de plus en plus, si bien qu'il n'était maintenant plus réellement possible de distinguer une personne se trouvant à un mètre de soi. Comment reconnaître qui étaient ses alliés et qui était ses ennemis dans ces conditions? Quoi qu'il en soit, qu'il vente, qu'il neige ou qu'il pleuve, les zombies n'étaient pas les victimes des conditions climatiques, attaquant sans faire de différence entre une pluie torrentielle et un magnifique soleil.

Dans la maison où la jeune femme entra, il y avait plusieurs zombies réunis autour d'une grosse mâle dans laquelle était sans doute réfugiée une personne. Black Pearl siffla ces enragés avant de leur dire :

« Alors mes mignons, vous voulez danser une valse mortelle avec moi? »

Les zombies, conscients qu'ils arriveraient sans doute plus facilement à dévorer une jeune femme non barricadée dans une protection de bois sautèrent sur cette dernière. Alors, usant d'un pouvoir qui lui était propre et très rare, Black Pearl mit un pied en arrière, prenant appuis, avant d'unir ses mains vers ce pied puis de les projeter violemment contre les morts-vivants. Alors, une onde de choc se produisit envoyant les zombies qui se réduire en poussière à l'impact, sur le mur d'en face, mitoyen à l'autre maison. Normalement, cela n'aurait rien produit mais l'électricité avait endommagé légèrement les murs des maisons de la rue commerçante, qui commencèrent à s'écrouler. D'ailleurs, la maison où Violette et Volk se trouvait fut la première à commencer à trembler, des pierres se détachant ici et là. Pourtant, elle ne tomba pas la première, une autre maison s'écroulant avec ses habitants, dont un homme qui se mit à crier, coincé dans les décombres :

« S'il vous plait!! Aidez moi! Au secours! »

Des bruits se firent entendre, des cris, des pleurs. Black Pearl s'élança pour sauver le maximum d'individus qu'elle pouvait, découpant les zombies qui osaient se mettre sur son chemin, oubliant la pluie un instant. La suite ne s'annonçait pas bien...pas bien du tout. Quant à la personne qui se trouvait dans la mâle, la jeune femme espérait qu'elle sortirait d'elle-même...

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Dim 08 Juil 2012, 11:33

Cauchemar inconnu



Voilà ... qu'il pleut ? Je lève les yeux au ciel . Noir , c'est la nuit , et pourtant . De nombreux et fins traits blancs tombent à la verticale , sans aucun souffle de vent , dans un torrent incessant au creux de cette place plongée dans une obscurité quasi totale . Ohlàlà ... Va falloir voir à se calmer ... La pluie nous gèle jusqu'aux os , rendant le terrain glissant , déjà bien empli d'obstackes par tous ses cadavres . A part quelques lampadaires éclairés comme par magie de-ci de-là , même un chat avec ses yeux fait pour l'obscurité ne saurait distinguer un poteau d'un homme dans un foutoir pareil . Achevez-moi ...

Mais il n'est pas temps de penser à ça . Les maisons ne sont plus très stables , ils restent encore plein de gens à l'intérieur . Evauons la situation , en dehors des conditions météos associés à l'instant présent qui sont pour ainsi dire ... bien plus que lamentables .

Il y a le guerrier là , un espèce d'autre combattant qui accompagnait la fillette rousse tout à l'heure ... Une seconde . Où était-elle d'ailleurs ? Bonne question . Et il y avait également une jeune femme semblant un peu perdue dans ce bazar , pas loin du fanatique de l'or allergique à l'obscurité ... Il paierait l'affront qu'il m'avait lancé plus tard , le temps que je l'atteigne pour lui faire ravaler ses paroles ... Je me jèterais dans la mêlée de morts-vivants juste avant ... Quel comble de se retrouver dans cet enfer de ténèbres sous la flotte , surtout pour un fervent utilisateur du feu comme lui ... Quel dommage !

Mais il y avait plus important . Mon attention fut captée par un bruit d'éboulement très rapide sur ma droite , je pivotai pour vérifier les conséquences de ce son . Les poutres du balcon s'était effondrées sur la porte , empêchant les gens de sortir par là ... Puis ils étaient pas assez fous pour défoncer une fenêtre ... Y'avait que moi pour faire ça . Aussitôt dit , aussitôt fait . je fonçai sur la vitre , avant de donner un grand coup de lame dedans tout en passant au travers en tant qu'ombre , histoire de pas me faire une acupuncture trop vite quoi .

Je reprenais forme humaine avant de toucher le sol , toisant avec intérêt et impatience les trois personnes qui se trouvaient là . Un garçon dans la dizaine d'années et ses parents certainement . Je leur fit signe de sortir , ils daignèrent sortir de l'ombre en s'approchant de la fenêtre sans me regarder , la tête basse sans trop se presser . J'avais pas que ça à faire ! Mais le jeune garçon restait là , sans bouger , je distinguai à peine sa silhouette .

- Tu ne viens pas ? questionnai-je .

Tout d'un coup , l'espace d'une seconde , je dérapai sur la droite , évitant ainsi de me manger la chaise qu'il venait de me balancer . Ses yeux livides , son teint pâle lorsqu'il s'approchait très lentement de moi me firent changer d'avis et bien vite , je passai moi aussi la fenêtre pour ressortir , tout en donnant un violent coup de sabre dans une autre poutre qui semblait être les fondations de la maison . Je m'écartai juste , entendant un énorme fracas derrière moi . Bon ben ...

Je m'éloignai ni vu ni connu , sans rien dire . Donnant des coups de-ci de-là à quelques êtres zombies -je crois , j'y voyais rien pour tout dire- mais que ce soit un mort-vivant ou un bel et bien vivant , il mourrait tous dans le même hurlement gluant et horrible , en s'étalant à terre , la tête tranchée . Bref . J'arrivais sans mù'en rendre compte à la hauteur de celui que je surnommais gentleman , et lui volait une de ses proies en lui tranchant "gentiment" la tête , avec toute la grâce et délicatesse qui m'était donnée d'office . Puis m'arrêtai un instant , souriant sournoisement aux yeux de ce cher Narcisse :

- Et bien , on dirait que le destin t'en veut de m'avoir lancé un tel affront ... Quel comble pour l'allergique à l'obscurité et fervent utilisateur du feu de se battre sous la pluie en pleine nuit ! Tu veux que je vienne jouer les baby-sitters petit ou tu peux te débrouiller tout seul , comme un grand ?

Je l'avais dit que je me vengerais ! Même en plein combat sanglant et destructeur ou NORMALEMENT , quand on est quelqu'un de sensé et de raissonnable -pas moi en gros- , on ne peut offrir du temps à nos petites vengeances personelles . J'étais vraiment une petite peste quand je m'y mettais . Mais c'était les petits pics que nous nous échangions qui nous rendaient uniques tous deux . Un joyeux petit duo de déglingués . Enfin ... J'en rajoutais quand même une couche parce que j'étais pas tant une psychopathe sans coeur que ça .

- Oh fais gaffe quand même , j'ai pas envie de ramasser ton cadavre parmi tous les autres hein . Pis ce serait tout aussi idiot de devoir t'achever en tranchant ta pauvre gorge que je menace depuis si longtemps alors que tu souhaites me bouffer hein .

Je reprenai bien vite mes "occupations" et d'un bond très court , esquivai le zombie qui venait de plonger dans mes jambes , abattant alors la lame sur sa pauvre tête . Il fallait un peu d'ordre dans ce foutoir -et je vous assure que la parenthèse que je viens de me permettre ne fait qu'accentuer l'impression de ce combat ô combien bordélique à souhait- . Je fusionnai dans les ténèbres , escaladant alors un réverbère setrouvant à peu près au milieu de tout ça . Voilà une belle vue d'ensemble .





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Mar 10 Juil 2012, 18:27

    J'étais déterminée à trouver cette fillette, peu m'importe ce qu'il adviendrait. Je savais un peu me battre et j'userai de chacune de mes facultés s'il le fallait. Soudain, je tombais nez à nez avec un homme à l'allure effrayantes qui me fit tout de suite penser à un démon. Après tout, toute ma vie durant j'avais vécu près de Kyo, mon père adoptif en était le roi et je pensais que je pouvais par simple déduction deviner ce genre de choses. Mais peut-être est ce que je me trompais? Je n'en étais pas sûre et je ne savais si je pouvais le considérer comme un allié ou non. Quoi qu'il en soit, ce dernier faillit ne faire qu'une bouchée de moi et finalement, cela me fit étrangement sourire. Par contre, le problème qui se posait à présent était simplement que ma particularité d'humaine entrait en jeu, absorbant sa magie comme le sable absorbait l'eau, faisant de lui un être sans défense. Je me demandais s'il l'avait senti mais je savais déjà que dès qu'il essaierait d'user de ses dons, de ses pouvoirs, il ne le pourrait. Parfois, cette caractéristique des humains était un moyen efficace de survie, annihilant les pouvoirs de toutes les créatures aux alentours n'ayant pas assez de force magique. Mais, d'autres fois, c'était problématique car hormis les anges et les compagnons des humains, tous leurs alliés perdaient leurs pouvoirs. D'ailleurs, j'étais convaincue qu'au delà du fait que nous n'ayons pas de pouvoirs, les autres créatures cherchaient à nous détruire parce qu'elles se sentaient en danger à nos côtés. Mais, un jour, je rassemblerai les humains, je leur donnerai de quoi vivre dignement, de quoi être prospère, de quoi penser à un futur lumineux. Ce jour arriverait, je m'en étais fait la promesse. Alors, je souris au démon qui m'avait parlé, acquiesçant lorsqu'il me dit de retenir les zombies.

    Je me battais donc contre une horde de morts vivants assoiffés de chair fraiche, pensant à mon avenir, pensant à ce que je devais réaliser. Je ne pouvais pas mourir maintenant, et c'était mes rêves qui me maintenaient à flot.

    * Tues les tous... *

    Mes yeux s'agrandirent légèrement quand j'entendis cette voix résonner dans ma tête. Ce n'était pas la première fois, cette voix de femme, une voix ferme mais qui avait su me guider dans les moments difficiles. C'est ce que je devais faire en tout cas, tous les tuer, un par un. Je n'avais pas de remords, je ne devais pas en avoir car c'était eux ou moi, quoi qu'il arrive. Alors, je maniais l'épée que j'avais reçu au temple des esprits, une lame légère qui convenait parfaitement à mon corps. Je n'étais pas très forte mais mon agilité était l'un de mes points forts. Tranchant la tête de plusieurs zombies, j'attendais que l'homme dont j'avais fait la connaissance revienne avec l'enfant. Une fois que ce fut le cas, je fus soulagée, regardant la petite fille en souriant, consciente que nous n'étions pas pour autant sortie d'affaire. Seulement, j'avais une petite réponse verbale à faire au démon qui était à présent de nouveau proche de moi et sans pouvoir. Je le regardais alors dans les yeux, profitant du fait que les zombies ne soient pas si nombreux que cela pour lui dire :

    « Et vous? Qu'êtes vous venus faire dans cette maison? N'avez vous pas peur de vous retrouver aux côtés d'un humain et de mourir dévoré par ces bêtes avant même d'avoir pu vous défendre? »

    Je n'attendais pas réellement de réponse, et c'est pour cela que je tournais la tête vers le chemin de la sortie, la maison tremblant, manquant à chacun de mes pas de s'effondrer. Je dis alors par dessus mon épaule :

    « Si vous voulez utiliser vos pouvoirs, restez loin de moi! »

    Je me dépêchais afin que l'homme soit à une distance plutôt raisonnable de moi et, surtout, ne pas être un fardeau pour lui. Et alors que je sortais de la maison qui s'écroulait petit à petit, je fus plongée dans le monde de la pluie, celui où on ne voyait rien à un mètre devant soi, celui où cinq petites minutes passées sous la pluie suffisait à nous tremper jusqu'aux os. J'essayais de regarder aux alentours car j'avais une idée. Je ne savais pas si les autres participeraient mais je trouvais que c'était la seule solution si l'on voulait sauver des personnes. Je vis alors ce que je voulais, faisant demi-tour pour me retrouver face à face avec Volk qui portait l'enfant dans ses bras. Je le regardais alors un instant avant de lui dire avec une voix forte à cause de la pluie :

    « Merci pour votre aide. »

    Puis je mis mes mains de chaque côté de mon visage pour crier à ceux qui m'entendraient :

    « Il y a une maison là bas! Le mieux est d'y mettre les survivants et de tuer les zombies des alentours! Dans tous les cas, la masse de chair fraiche va tous les attirer vers cette maison, il suffira de les cueillir! »

    Je criais cela plusieurs fois, me déplaçant légèrement, changeant d'angle afin que le maximum de personnes possibles entendent mon message. Puis, je me tournais vers Volk afin de prendre l'enfant qui était dans ses bras :

    « Je vais m'occuper d'elle maintenant, comme ça, vous n'aurez plus à rester à mes côtés... »
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Jeu 12 Juil 2012, 16:34

La jeune femme me retourna alors ma première question et en profita pour me demander si je n'avais pas peur de me retrouver aux côtés d'un humain et de mourir sous les morsures des zombies. Comme si cela pouvait me faire peur, comme si ces pathétiques créatures pouvaient me tuer. Sans attendre une réponse de ma part, elle se détourna et s'éloigna de moi avant de me conseiller de me tenir loin d'elle si je voulais utiliser mes pouvoirs. Je n'y avais absolument pas pensé, d'ailleurs comment aurais-je pu? Je ne pouvais pas juger de la race de quelqu'un simplement par son apparence. Mais maintenant, tout était clair. La jeune femme était une humaine, et par conséquent, cette particularité des humains à annihiler toute magie autour d'eux m'affaiblissait considérablement. Mais puisqu'elle s'éloignait, il n'y avait pas réellement de problème.Elle ouvrit donc la marche et nous sortîmes de la maison pour nous retrouver dehors, avec ces créatures immondes à perte de vue...ce qui n'était pas bien loin. En pleine nuit, avec se temps, il était impossible de voir bien loin de voir clairement en tout cas. On distinguait bien les bâtiments et on pouvait repérer les couleurs vives, mais rien de plus. Il faisait tellement sombre qu'il devenait même difficile de repérer les gueules de nos ennemis qui tentaient de nous mordre. Puis la jeune femme après avoir scruter les environs du regard, se retourna vers moi et me remercia de l'avoir aidé. J'en fus quelque peu étonné, habituellement les humains n'aimaient pas trop les démons et n'étaient pas vraiment très courtois, préférant les fuir de plus vite possible. Il semblait qu'on pouvait encore me surprendre. Beaucoup de démons, et d'ailleurs pas que les démons, beaucoup de représentants de chaque races considéraient les humains comme inférieurs et les détestaient pour ça. Ce n'est pas mon cas, j'ai toujours pensé que les humains étaient une race comme les autres, avec ses forces et ses faiblesses. Peut être la haine à leur égard était du à leur faculté très spéciale, une haine née de la peur. Moi je ne les haïssais pas, et ils ne m'effrayaient pas non plus, pas plus que n'importe quel individu de n'importe quelle race. Peu importe la race, c'était l'individu qui comptait, après tout, je m'entendais très bien avec certain vampire, une honte pour certain.

La jeune femme cria alors pour que toutes les personnes vivantes du coin puisse l'entendre et nous conseilla d'emmener les survivants dans une maison, afin d'une part de les protéger, et d'autre part de concentrer l'attaque des zombies en un point pour les faucher et ainsi éviter de les chercher partout dans la ville. Ce n'était pas une mauvaise idée, je l'approuvais, en revanche, je fus déçu par la suite. La jeune femme prit l'enfant avec elle, en me disant qu'elle s'occuperait d'elle et que je n'avais plus rester à ses côtés. Finalement, elle était peut être simplement polie mais avant quand même des préjugés sur les démons. Je détournais la tête, vexé. Aussi stupide que cela paraisse, la jeune femme avait attiré mon attention, j'avais pensé qu'elle pourrait être différente... je m'étais trompé.

-Très bien, puisque ma compagnie à l'air de vous déplaire, soit.

Shalnira vint me retrouver et se placer à mes côtés et se frayant un chemin parmi les cadavres ambulants.

-On dirait bien qu'il n'y a que toi pour vraiment m'accepter... Allons-nous en, et laissons ces gens à leur sort.

Sans un regard pour la jeune femme, je m'enfonçai dans la masse de créatures avides de chair fraiche accompagné de ma louve. Et, avant de ne plus être à portée de voix, lançait :

-Adieu! Essayez de ne pas vous faire mordre au moins. Bien qu'il semblerait que je vous sois indésirable, je n'aimerais pas avoir à vous tuer...définitivement.


Je repris alors l'extermination des zombies tout comme à mon arrivée. Avec désormais une colère emprunte d'amertume. Le monde ne changeait pas, le monde ne changerait jamais, pourri par ses préjugés et ses rancœurs absurdes.
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Jeu 12 Juil 2012, 21:08

La ville à feu et à sang, des zombies grouillant un peu partout, rien de mieux pour un rendez vous romantique… Vraiment ! C’était bien évidement de l’ironie. Je n’étais pas gaga de massacre, et je redoutais de me faire mordre par une de ces immondices. Mais il y avait tant d’adrénaline qui coulait dans mes veines que je ne pouvais les refréner. J’empoignais la hachette que je venais de dégainer, et en un éclair argenté, une tête roula au sol.
Je plissais les yeux devant cette obscurité toute naissante ainsi que cette pluie qui s’abattait sur nous à grosse goutte. J’inspirais le maximum d’air par la bouche. Entendant la jeune femme s’exclamer.

- Et bien , on dirait que le destin t'en veut de m'avoir lancé un tel affront ... Quel comble pour l'allergique à l'obscurité et fervent utilisateur du feu de se battre sous la pluie en pleine nuit ! Tu veux que je vienne jouer les baby-sitters petit ou tu peux te débrouiller tout seul , comme un grand ?


Il était vrai que désormais mon feu… Serait sans doute sans utilité. Je serrais un instant les dents, regardant ces ombres inconnus, amis ou ennemis me tourner autour. Ho oui on se serait crus dans un cauchemars de mauvais gout. Je répliquais d’une voix douce. Tranchant net les bras d’un zombie puis lui faisant manger de mon arme.

« Ho mais le destin est bien malin, il nous a réunit encore une fois, tu sais les risques que tu encoure ma belle ? Mais je saurais me montrer brave, je te protégerais petit ange des ténèbres. Je me protégerais, et j’assurerais même tes arrières ! Ne suis-je pas un génie génialissime ?! »


Je laissais échapper un petit rire discret. Puis lançais ma dague dans le cœur d’un de ces monstres, la dague prit feu, enflammant cette peau jaune et parcheminé de taches noir. Humain, ou autre ? Tôt ou tard ils se ferraient mordre et deviendraient une menace non ? Je pouvais sentir l’air mouillé et la pestilence se dégagent de ces êtres étranges.

- Oh fais gaffe quand même , j'ai pas envie de ramasser ton cadavre parmi tous les autres hein . Pis ce serait tout aussi idiot de devoir t'achever en tranchant ta pauvre gorge que je menace depuis si longtemps alors que tu souhaites me bouffer hein .


Elle avait dit ça en tranchant une tête, que je rattrapais par pur réflexe, avant de la regarder dans les yeux, puis de la lâcher et de la laisser rouler. Je me baissais puis ouvrit le ventre d’un autre assaillant qui pourra un grognement, La tête roula avec tout autant de facilité. J’avais l’impression d’être un nouveau genre de reine de cœur de Alice aux pays des merveilles. Au lieu de crier ‘qu’on lui coupe la tête !’ à tout bout de champs… Je faisais la basse besogne moi-même.
Mes cheveux étaient gorgés d’eau et dégoulinaient. Faisant retomber mes cheveux contre mes yeux. Je poussais un fort soupir.

« J’ose à peine imaginer ma réaction si je retrouve ton cadavre parmi les victimes Sora. Je t’aime, compte sur moi pour rester vivant, mais moi aussi je compte sur toi… Même si je le fais à contre cœur je vais aider les gens qui sont resté dans les maisons… Je pense que si je les met à l’abri… Ils n’auront pas l’idée de se faire croquer n’est-ce pas ? Reste en vie amour. »


Je déposais un baiser chaste, qui ne dura à peine une seconde avant de partir, me frayant un chemin à travers les zombies, évitant leur crocs. Arrivant à une maison en train de s’écrouler.

« Vous allez bien m’sieur ? Si vous voulez vivre… Suivez moi ! »


Je lui offrit ma main qu’il prit, gardant ma hachette en main et lui en donnant une autre. Afin qu’il se défende un peu, j’allais pas faire tout le boulot quand même ! Il me prit la main, ne la lâchant sous aucun prétexte, même lorsque nous étions tous deux couverts de sang. Je fis le tour de quelques autres maisons, et bientôt nous formions une petite troupe, c’était à mon tour de servir à quelque chose. Il nous fallait un lieu sûr. Mon choix se porta sur une cave, Ils descendirent tous, je leur dis de barricader la porte tendis que je m’élançais à la recherche d’autres survivants.
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Ven 13 Juil 2012, 06:12



    La noirceur suivit de la pluie, c'était parfait. Les scénarios idéales pour l'élémental qui peu à peu déployait son pouvoir autour de lui. À son contact la pluie ce transformait en de la foudre qui émanait de son corps jusqu'à l'entourer complètement et créer une sorte de bouclier électrique. Julius enluminait la rue sur une centaine de mètres à la ronde, chaque recoins semblais encore plus sombre, chaque ombres semblait vivante et chaque endroit éclairer par l'homme était presque aveuglant. Si on levait les yeux vers le ciel pour le regarder on pouvait le comparer à un mini soleil qui lévitait au dessus de la grand place.

    - C'est une belle nuit pour ce battre.

    La température préférer du moine était les nuit tel que celle-ci, les nuit noire et orageuse. La foudre qui dominait le ciel était une si belle musique que le guerrier ce sentait en paix avec lui même, ses envie de destruction allais pouvoir être assouvis dans cette endroit. La femme qui dirigeait le cortège de la résistance contre les zombies ne voulait plus qu'il utilise son pouvoir ici parce que tous le monde pourrais mourir et les bâtiments qui ne tenait plus qu'à un cheveux à cause de sa foudre s'effondrerais coupant la seul sortit possible au survivant et le seul moyen de ce cacher à tout autre être vivant en ces lieux. Le moine ria aux éclats, son rire ce répandit dans la rue comme un échos dans les montagnes. Julius n'était pas du genre à écouter qui que ce soit, il était un guerrier solitaire qui ne faisait que ce défouler sur tous ce qui bougeais, tous faire péter, tuer et devenir plus puissant encore et encore voilà ce qui était sa seul et unique raison de vivre. L'élémental cria à plein poumons pour que tous puisse l'entendre.

    - VOUS CROYEZ VRAIMENT QUE JE N'UTILISERAI PAS MON POUVOIR POUR ÉVITER DE VOUS TUER ET VOUS LAISSER UNE CHANCE DE LES SAUVEZ TOUS. BIEN QUE TU SOIS PUISSANTE J'AI LA PERMISSION DE TAKIAS POUR FAIRE TOUS CE QUE VEUX CETTE FOIS ET JE COMPTE BIEN EN PROFITER.

    La foudre des cieux répondit au paroles de l'homme car à cette même instant elle claqua et tomba sur le sol mouiller ce qui électrifia et fit exploser tous les morts de cette endroit. Julius n'avait pas commander la foudre du ciel pour faire cela, il pouvait arriver quelque fois que la foudre tombe sur le sol et cette fois il semblait qu'elle était tomber à cette endroit. Peut-être le guerrier avait t'il attirer l'éclair inconsciemment mais cela ne l'aurait jamais arrêter pour autant. L'homme déploya l'énergie autour de lui, la foudre de son corps s'échappa autour de lui dans toute les direction possible et explosa sur les premiers obstacle qu'elle trouvait. C'est à dire bâtiment, sol, lampadaire et personne venu aider. Julius ce foutait de qui cela pouvait toucher, il n'avait aucune allégeance autre que la sienne et ne tenait à personne en ce monde.

    - J'AI AFFAIBLIT LES BÂTIMENT DE TOUS LES GENS AUTOUR ET BIEN CREVER TOUS SI VOUS N'ÊTES PAS CAPABLE DE VOUS BATTRE SEUL. SI VOUS SURVIVEZ ALORS VOUS GAGNERAI MON RESPECT.


    Le moine pris son envole et monta de quelque mètre dans les airs ce rapprochant un peu plus de la tempêtes, l'homme était maintenant à presque trente mètres de hauteur et lança de violente rafale de foudre sur les maisons et commerces des alentours pour terminer ce qu'il avait commencer plus tôt. La ranger que le guerrier avait abimer commençait à s'effondrer sur les cadavres et autres créatures des rues tel des dominos qu'on venait de pousser du bout du doigt pendant que l'homme regardait ce travail fier de ce qu'il avait accomplis. La foudre émanait toujours de son corps au contact de la pluie qui ce faisait plus violente créant de ce fait s'en qu'il n'est besoin de le faire une sorte de bouclier d'aura foudroyant autour de lui qui calcinerait n'importe qui entrant en contact avec elle.





    :
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Sam 14 Juil 2012, 10:04

Magnolia déambulait dans les rues fichée d'un animal de la nuit sur l'épaule. La pluie battait de plus en plus fort et bientôt elle allait devoir se chercher un abri, écartant chaque zombi se dressant sur sa route, les renvoyant ci et là dévorer leur victime. Les cris infâmes perçaient la pluie et les ténèbres, chaque échos raisonnaient dans la ville, mais lui importait peu, rien ne la détournerait de son objectif. Elle s'abrita sous un pan de mur, pas encore en ruine.

Certaines voix essayaient de mettre de l'ordre dans les rangs, peut-être pourrait-elle être renseignée, les personnes présentes devaient sûrement connaître le quartier. Elle pensa aller les interroger, même interrompre leur combat si nécessaire, les zombies seraient surement ravie de danser la carioca ! Mais son projet ne fut abouti, son ouïe fine se tourna vers une menace qui s'élançait contre elle et tous. Son esprit fut aussi vif que l'éclair qui s'abattit à quelques mètres d'elle. Elle s'envola dans les airs, moitié mutante et empocha quelqu'un à l'apparence humaine, elles étaient juste à deux mètres du sol, loin des bâtisses alentour qui s'écroulaient déjà.

L'animal regarda la rescapé, Magnolia espérait que ce soit un être vivant, car dans cette pluie, elle avançait à l'aveuglette. Une jeune fille à la chevelure blonde et l'apparence humaine se faisait porter du bout de ses bras. Mais Magnolia se sentit soudainement plus faible, comme si ses pouvoirs la quittaient, la chauve souris d'ailleurs se décrocha de son épaule et elle sentait que son apparence de fée n'allait pas tarder à pointer le bout de son nez.

« - Je ne sais pas qui vous êtes, mais je vais vite vous lâcher quelque part si ça continue ! »

Ce qu'elle fit dans les secondes qui suivirent, ce maléfice était une épidémie qui parcouraient tout son corps. Alors la Vérité s'installa aux yeux de la jeune fille. Magnolia était une toute petite fée qui se distinguait à peine sous la pluie et qui prenait des gouttes d'eau plus grosses qu'elle ! Elle se dirigea aveuglément vers un abris qu'elle put trouver par hasard.

« - Mais qu'est ce que tous ses éclairs ? Un zombi surpuissant qui sort des entrailles de la terre ? »

Un peu éloigné de l'étrange personne, Magnolia redonna vie à sa vue, les éclairs semblaient jaillir d'un point précis dans le ciel, elle n'allait pas le laisser faire à sa guise et à sa joie ! Car si lui ne pouvait pas griller et bien elle, elle pouvait et ce n'était pas le moment. Seulement elle ne pouvait user plus de ses dons à côté de la jeune fille.

« - Quel abruti ! Si il vient à détruite la seule preuve de son existence je le noierai dans sa folie. »

Magnolia était très en colère, et elles avaient plusieurs cartes en main, prête à rediriger sa force contre lui. Mais pour le moment, elle se lamentait de sa faiblesse. Elle regarda en direction de la blondinette et l'appela assez fort en poussant des " Eh !" pour qu'elle entende.

« - Je voudrais savoir, connaissez-vous un artiste dans le quartier ? Il se nomme Neth, on le reconnaît assez facilement par ses longs cheveux roux et ses yeux dorées, l'avez-vous vu ? Ou croisé par ici ? Après votre réponse je vous quitterai, car vous êtes une humaine et je ne veux pas qu'un monstre lanceur d'éclair m'empêche de vivre ma vie. »

Son précédent passage à la bibliothèque lui avait été très instructif.
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Dim 15 Juil 2012, 19:03


¤ Event Partie I : Groupe IV ¤ 312712PNJIV

Black Pearl cracha au sol en voyant ce qu'un abruti fini était en train de faire. Elle se dirigeait auparavant vers des innocents à sauver mais elle ne pouvait pas le laisser tuer des êtres qui étaient justement venus aider. La jeune femme se fit une remarque à elle même :

« Y en a qui visiblement sont aussi intelligents que ces zombies... »

D'ailleurs, la guerrière était elle-aussi une élémentale, et elle connaissait la reine. Elle ne raterait aucunement une occasion d'écrire une lettre à Takias elle-même pour lui déférer du comportement de cet homme qui n'avait pas compris quelles étaient ses priorités. Mais soit, elle allait lui apprendre ce qu'était la vie, et ce n'était pas parce qu'il était de la même race qu'elle qu'elle allait lui faire de cadeaux. Mais pour le moment, elle avait d'autres chats à fouetter. Doucement, elle tendit les bras vers le ciel. Alors, entre ses mains fut créée une drôle de plaque qui se divisa en de multitudes de morceaux qui se mirent à flotter doucement avant de partir à grande vitesse vers différents endroits. Si l'on pouvait voir leur trajet au ralenti, on s'apercevrait que chacune de ces petites plaques s'en allait se coller sur le dos d'un zombie différent. Une fois que presque la totalité des morts-vivants eurent la leur, Black Pearl prit son appuie sur le sol avant de sauter en l'air, se dirigeant vers Julius en déviant ses éclairs. S'il pensait être le seul à savoir créer et maîtriser la foudre, il se trompait. Et si l'objectif ultime d'un élémental était de savoir créer et contrôler chacun des éléments, la jeune femme n'en était guère loin. Elle se planta alors devant lui, le regardant un instant avant de lui dire d'un air mauvais :

« On verra bien ce que Takias pensera de vous lorsque je lui expliquerai la situation. »

Puis, sans attendre son reste, elle manœuvra le dernier bout de métal qui vint se coller dans le dos de Julius. Tendant le bras vers le sol, elle y créa plusieurs nouvelles plaques de métal et, à peine cela fut-il fait que autant les zombies que l'élémental furent attirés vers ceux-ci. Black Pearl sourit :

« Les aimants, il n'y a que ça de vrai! »

Au moins, ça apprendrait à ce jeune impertinent qu'il valait mieux respecter l'ordre hiérarchique de sa race. Elle espérait juste qu'il réussirait à se sortir de ce pétrin assez vite pour éviter de se faire dévorer par les zombies qui se retrouveraient plaqués au sol par le même aimant que celui qui l'avait attiré. Quoi que, après tout, elle n'avait de comptes à rendre à personne et la vie de cet être lui était égal. Les zombies étaient maintenant presque tous regroupés en petits groupes, bloqués par la force attractive des aimants, ne pouvant plus bouger, seulement leurs bras et leurs jambes s'ils en avaient encore. La jeune femme regarda alors la rue commerçante dans laquelle il ne restait que des victimes, des maisons en ruine et de courageux combattants :

« Voilà qui est bien mieux... »

Puis, elle s'adressa d'une voix forte à qui l'entendrait :

« Je vous ai livré ces êtres, maintenant, prenez vos armes et libérez ce monde du fléau qui s'est abattu sur lui! Coupez leur la tête et chercher les derniers qui ont échappé à mon pouvoir! Sauver les vies qui peuvent encore l'être et recevez les honneurs dus aux courageux combattants ou mourrez comme des héros! »

Les cris des hommes et femmes que Black Pearl avait engagé retentirent dans la rue alors que ces derniers se dirigeaient vers les groupes de zombies qui se débattaient sans pouvoir bouger. La jeune femme se dirigea à son tour vers un aimant du sol qui avait attiré une dizaine de zombie, revenant sur le sol, et avec ses armes, les transperça un à un, leur coupant la tête sans aucune pitié.

Spoiler:
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