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 Quel Parc, incroyable ! [Pv Takias, Chocolat et Inami]

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Ven 23 Déc 2011, 21:39

Je me promenais dans le parc depuis un petit moment. J'avais laissé encore une fois ma petite fille que j'aimais tant et, encore une fois, j'avais une légère peur. Je n'aimais pas savoir ma chérie seule sans avoir de nouvelles. Il fallait inventer un engin qui nous permetterait de communiquer instantanément. Mais c'est evidement impossible. Qui aurait l'idée de créer un truc pareil ? Pourquoi j'y étais allé ? Dans cet endroit plus que merveilleux. Tout simplement parce que j'avais toujours envie d'y amener Inami. J'aurais tellement aimé qu'elle soit un peu plus à mon écoute. Bien que je ne le voyais pas souvent. Je ne savais pas vraiment ce qu'elle avait mais elle me paraissait changée. Peut-être n'étais-je pas un assez bon père. A force de rester dans mes pensées, je me tapai la tête contre un arbre. Ca faisait plus mal que j'aurais pu prévoir. Je n'avais pas souvent prit des coups, et je ne voulais pas vraiment que ça se produise. Bien que je donnerais ma vie pour ma fille. Je la trouvais trop choupinou. Et surtout que je n'avais plus qu'elle. Celle que j'aimais est partie et je ne pense pas qu'elle reviendra. J'eu tout de même un peu mal au coeur quand elle fuya. J'avais encore mal à force d'en parler, alors je vais rapidement fermer le sujet. Je m'asseyai sur un banc, regardant l'horizon de mes yeux bleus. Pourquoi les anges ont des yeus de couleurs vivent ? Tout ceux que j'ai rencontré sont des gens souvent pas très net mais ils ont de ses yeux. Moi, j'ai perdu cette luminescence en même temps que ma bénédiction. Je n'éprouvais pourtant aucun regrèts, c'était cela qui me différençiais des autres. Bien qu'il y en a plusieurs, je pense, qu'il ne veulent pas retourner dans leur passé. Pourquoi regarder en arrière ? Je n'avais plus que le présent, et pour moi c'était ma fille. Je trouvais ça dommage qu'elle ne soit pas là avec moi. J'aurais bien voulu, mais je ne le trouvais pas. Elle pourrait au moins m'envoyer des lettres, ou passer à la maison. Je sais pas pourquoi, mais je m'inquiétais de plus en plus. Je me demandais si quelque chose ne lui était pas arrivé pour qu'elle me laisse comme ça. J'étais, moi aussi, la seule famille qui lui restait. Pourquoi ? Je ne savais pas encore à quoi m'attendre, mais je restais impatient de la revoir. j'aimais beaucoup sa couleur de cheveux. Ils me rappellaient...Le soleil.

Je décidai alors de me relever, ce que je fis. Il faisait jour, je venais de terminer mon déjeuner. Il était encore assez tôt pour qu'il fasse vraiment froid. On était dans la saison où la température était basse, et c'était sûrement dans ce continent qu'on le sentait le plus. C'est vrai qu'il ne risquait pas de faire très froid prèt du volcan. J'avais eu de la chance cette fois, il n'avait pas neigé. Heureusement, mes piedsne l'auraient pas supportés. Je voulais m'attarder ici, mais je devais rentrer rapidement. Il se pourrait que ma petite chérie était déjà rentrée à la maison. Je ne devait absolument pas la manquer parce que si elle repartait sans me prévenir, je ne pouvais pas savoir si elle était passée ou pas. Je jouais avec les doigts tellement je craignais ce qui pouvait se passer. Ce qui m'effrayais le plus, c'était de la voir se retourner contre moi. Je ne pourrais pas la toucher. Et avec l'éducation que je lui portais, c'était facile de s'égarer dans le mauvais chemin. N'oublions pas qu'en plus, j'avais la constente impréssion que dieu me détéstait. Tout ça parce que j'avais aimé un jour. Au tout début de ma journée, je m'étais levé de très bonne heure. Le nuit venait à peine de partir et le soleil n'envoyait pas encore ses derniers rayons de soleil. Je n'avais pas eu l'envie d'aller me balader directement après m'avoir levé, mais comme d'habitude, je voulais sortir. Depuis que j'étais devenu déchu, je préfèrait rester dehors, aidant les personnes qui en ont besoin. Je cherchait peut-être le pardon dans ses actes de pietre qualité. Je savais bien que dieu ne revenait jamais sur ses actes, mais je rêvais redevenir un ange. Ces êtres si purs ne m'accépteront sûrement pas, mais je voulais retrouver la sensation de bien être. Je voulais ne plus à avoir honte de prendre ma fille dans mes bras. Je souhaitais oublier cette femme qui m'avait poignardée dans le dos, parce qu'il fallait l'avouer, je la détestais. Peut-êter était-ce ce pêché qu'il m'empêchais de faire de plus belle action encore. Je la détestais pas parce qu'elle avait donné vie à ma projéniture, mais parce qu'elle m'avait abandonné, seul avec cet enfant alors que je ne savais même pas m'en occuper. Je ne pourrais sûrement jamais lui pardonner.

J'aimais vraiment, je souhaitais presque pouvoir rencontrer quelqu'un qui pourrait me réconforter. Quelqu'un qui pouvait me dire que ma fille n'avait rien à craindre. Mais c'était pas vrai. Ce monde dans lequel nous vivions. Ce monde qui tournait au cauchemar. Il fallait avouer que les ténèbres dans les coeurs des personnes prenaient de plus en plus le contrôle de ce monde alors que les chefs de guerre ne faisaient rien pour l'arrêter. D'où mon rêve, devenir un conseillé, et surtout un bon père. Le meilleur sur terre. Je marchait droit devant moi, regardant le ciel un peu trop même. Je ne savais plus quoi faire...
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Sam 24 Déc 2011, 16:32


    Je marchai calmement dans le parc. Kolio était derrière moi, j'adorais cet endroit. Depuis que j'étais toute petite, je venais toujours ici pour réfléchir. Même les yeux fermés, je pouvais marcher en sachant exactement où je me trouvais, ce parc n'avait plus de secrets pour moi, enfin pour nous, Kolio me poussa affectueusement du bout du museau.

    Je caressai sa somptueuse crinière, puis grimpai sur lui avec une agilité due à l'habitude. Il bondit et se défoula dans le parc à une allure vertigineuse, l'air me piquait les yeux et le vent fouettait mon visage et pourtant...pour rien au monde je ne voudrais échanger ma place. Depuis le massacre de ma famille et même avant, Kolio était est et sera toujours mon meilleur ami, nous nous comprenons par un simple regard, pas besoin de parler et même si le besoin en est, il peut rugir je le comprend grâce à mon don qui me rapproche tant des félin, et puis de toutes façons, nous pouvons aussi nous parler dans les pensées, alors...

    Mon corps suivait le mouvement du galop de Kolio, nous arrivâmes alors près d'un petit ruisseau que je connaissais bien...secouant la tête, je tentai de ne pas me laisser submerger par la vague de souvenirs qui envahissait ma mémoire, ces souvenirs étaient tous heureux, et c'est bien pour ça que je ne voulais pas me les remémorer.

    Kolio s'arrêta, nous étions près du banc...de mon banc...c'était celui que j'aimais, celui où tous les moments joyeux de mon existence y ont été inscrit...celui où, pour mon premier anniversaire, ma mère m'offrit Kolio, celui où pour la première fois, mon don de félidé s'annonça, celui où mon père m'offrit mon arc lors de mes 10 ans, quelques jours avant le massacre...et enfin celui où, quelques mois auparavant j'avais rencontré l'élu de mon cœur, celui que j'aimais et qui m'aimais, d'un amour maudit, peut-être, mais tant pis. L'amour je l'avais trouvé ici, c'était celui qui m'avait quitté le jour du massacre et que j'avais retrouvé avec ce vampire, un soir, sur ce banc, avec Saïto Kagouri...

    Je fit demi-tour, des larmes me montaient aux yeux et j'étais venu pour me changer les idées pas pour pleurer. Je redescendis la petite colline en amont, sur laquelle, au sommet se trouvait ce fameux banc. Il y avait des centaines d'autres bancs dans le parc, fouillant dans ma mémoire j'en choisi un, assez proche de l'entrée principal. Je me dirigeai donc vers ce point que je ne connaissais que de mémoire vue que la petite colline que j'appréciai se trouvait à l'opposé. Bientôt, je me trouvai à côté de ce banc, mais une personne était déjà assise dessus. Une personne aux traits fins et angéliques, qui semblait d'ailleurs bien soucieux. Kolio le regarda avec intensité, cet homme inspirait la confiance.

    "Excusez-moi, je peux m'asseoir" demandais-je en indiquant le banc, cet homme allait me prendre pour une folle ou une fille en manque d'amour, il y avait des centaines de banc libre aux alentours et je choisissais celui-ci, mais c'était tout simplement parce que j'avais dis que je voulais m'asseoir là et que j'étais une vraie tête de mule, tout simplement....
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Dim 25 Déc 2011, 17:31

Le parc... Chocolat venait rarement ici, si ce n'est jamais. Pourquoi? Car pour une étrange raison, les gens avaient la fâcheuse tendance à venir lui parler, ce qui avait le don de bien l'énerver, elle qui détestait le contacte avec les gens. La dernière fois qu'elle était venu, elle s'était battue avec une enfant de son âge car celle-ci avait voulu jouer à un jeu avec elle, qu'elle n'aimait pas. Elle avait trop insisté et la petite sirène avait tapé à de nombreuses reprises la tête de l'enfant avec sa poupée emplie de cailloux. Ils y avaient eut beaucoup de pleures, de cris des parents et si elle n'avait pas été une enfant, elle aurait sûrement payé son excès de colère de la même façon. C'était pour ça qu'elle n'y été plus jamais revenu et préférait les grandes étendus sauvages, vide d'homme.

Cependant, elle avait besoin d'y retourner pour trouver de nouveaux cailloux pour enrichir sa collection. Étant passionné de cailloux pour une étrange raison, ca collection grandissait chaque jour et parfois, elle devait aller dans des endroits qu'elle n'aimait pas pour trouver des cailloux qu'elle ne trouvait nulle part ailleurs. Elle aurait bien demandé à son père de l'accompagner, de la protéger dans cet endroit de la peur, mais hélas il était partit à Sceptelinot pour chercher un nouveau travail et elle ne savait pas quand il reviendrait la voir. Sa mère, quant à elle, n'était pas trop d'humeur pour s'occuper d'elle, elle n'avait pas osé demander.

Devant le portail de l'entrée du parc, qui paraissait immense, tel un géant de fer, pour une enfant, une petite silhouette attendait un peu anxieuse. Chocolat, sous son chapeau un peu trop grand pour elle, était planté ici, depuis une bonne dizaine de minutes, la mine boudeuse, se demandant encore si elle ne pouvait pas attendre plutôt que d'aller à la rencontre de tous ses gens heureux de vivre, heureux de profiter du beau temps. Elle heureuse? Elle ne savait pas vraiment ce que c'était, elle ne comprenait pas pourquoi il fallait sourire lorsque quelque chose nous rempli de joie, mais ça c'était une autre histoire. Sous son bras droit, elle tenait fermement sa poupée qui, quelque part, la rassurait un peu.

Finalement, ce ne fut que lorsqu'elle repéra un tas de cailloux, dans un coin du parc, qu'elle regardait depuis quelque minutes, qu'elle se décida à entrer d'un pas des plus hésitants. Elle faisait de petites foulées, comme si, si elle faisait de grands pas, les gens la remarquerai plus facilement. Après avoir marché un peu dans le parc, dans la direction voulu, elle se mit à courir, comme soudainement effrayée, le plus vite possible, d'une démarche maladroite. Puis, d'un geste vif, elle ramassa les objets de sa convoitise, regardant à droit et à gauche, tel une espionne, si personne ne l'avait remarqué. Une fois sa petite besace emplie de cailloux, elle se releva doucement, bien décidé à sortir d'ici, seulement, ses yeux tomba sur une pierre brillante et argenté, se trouvant sous un banc. Hélas, deux personnes étaient assis dessus et il était évidemment hors de question qu'elle aille vers eux. Elle se retourna, à regret. Elle fit quelque part dans le sens opposé pour partir, mais la frustration de ne pas avoir en sa possession cette magnifique pierre était si grande, qu'elle avait l'impression que le caillou l'appelait, avec de grands cris de désespoirs.

Chocolat se stoppa net, agacée. Puis, d'un pas déterminé, elle se retourna et regarda de nouveau cet objet précieux. Elle l'avait décidé, elle ramasserait ce cailloux quoi qu'il arrive, et elle ferais tout pour ne pas se faire remarquer. C'est alors qu'elle fit un grand arc de cercle dans le parc, prenant soin d'éviter les gens autour d'un, et en trottinant, elle se dirigeant derrière le banc en question, essayant même de retenir sa respiration pour ne pas se faire entendre. Elle se mit ensuite à quatre pattes et se glissa dessous le banc. A ce moment là, et heureusement, personne ne l'avait remarqué, seulement, elle s'entrava avec ses mains et se cogna violemment la tête contre l'assise du siège, provoquant un bruit sourd et une douleur vive à la tête.

« Aïe » cria-t-elle de douleur, sans pleurer pour autant, ce n'était pas son genre... Mais elle se mordit les lèvres, elle n'avait pas réussit la mission qu'elle s'était donnée, et elle s'était faite remarqué. Elle se détestait déjà pour ça.
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Dim 25 Déc 2011, 18:07

    « Belle danse ma petite ! Tu es vraiment douée ! »

    « Merci madame ! J'adore danser ! »

    « Ton papa doit être fier de toi ! Tu es si mignonne ! »

    J'étais vraiment très contente ! Parce que je dansais depuis quelques heures maintenant dans la rue commerçante et je commençais a attirer pas mal de monde qui s'arrêtait. Bon... D'accord, je devais avouer que j'avais un peu triché parce que je m'étais servi de mes ailes pour les attirer mais bon...
    Une fois que la charmante dame fut partie, je comptais les pièces que j'avais récoltées, tout heureuse de les montrer a mon papa mais... J'avais quand même un pressentiment... En effet, bien qu'il ne me l'ai pas dis, j'ai lu dans les pensées de mon papa. Apparemment, il ne serait pas a la maison mais dans un parc.
    Soudain, j'entendis quelqu'un qui avait du mal a parler. Aussitôt je me retournais :


    « Kasai !! Tu m'as attendu !! C'est trop super ! Je t'adore mon beau cheval ! »

    Je ne faisais pas attention aux pensées étonnées des gens autour de moi qui se demandaient si j'avais une bonne vue car je venais de traiter un jeune homme de cheval mais c'était MON cheval, MON compagnon qui pouvait prendre une forme humaine, sans pour autant parler.
    Il n'osait pas s'approcher de la foule donc je vins vers lui, me collant contre son torse avec joie. J'étais joyeuse mais je savais qu'il ne fallait pas que je fasse attendre mon papa. Soudain, j'eus un léger gémissement de douleur, tout simplement parce que mes ailes voulaient sortir de mon dos. Lorsque je ne m'y attendais pas, la sensation pouvait être douloureuse. Donc, quelques instants plus tard, une grande aile blanche d'ange et une aile membraneuse de démon apparurent dans mon dos, provoquant un regard colérique de la part de Kasai.
    Cependant, je le rassurais :


    « Ne t'inquiètes pas mon beau. Je n'est pas l'intention de m'envoler. Tu veux me porter sur ton dos ? Ou peut être que tu veux une course ? Parce que tu sais que je peux me transformer en poulain moi aussi ?! »

    Je le pris soudainement par la main et je l'entraînais hors de la ville, mettant mes sous dans la poche de ma veste. Une fois sortie de la rue commerçante, je savais qu'il fallait que j'aille dans la direction du parc pour retrouver mon papa.
    Sans plus attendre, Kasai reprit sa première apparence de cheval a la robe noire. Il se cabra et hennit, heureux de se retrouver lui même. N'hésitant pas une seule seconde, je sautais sur son dos et m'accrochais fermement a son encolure. Avec Kasai, je n'avais besoin ni de scelle, ni de mors. Je le laissais faire ce qu'il voulait et, ayant une totale confiance en lui, je savais qu'il ne ferait rien pour me désarçonner.
    Heureuse comme tout, je m'écriais :


    « En route Kasai ! Direction le parc ! Yeah Ah !! »

    Kasai se cabra et je m'accrochais toujours plus fermement tandis qu'il m'emmenais au galop en direction du parc. Les paysages défilèrent rapidement devant mes yeux et cette sensation de vitesse me plu au plus haut point. Soudain, le portail qui annonçait l'entrée du parc apparurent trop rapidement a mon goût. Kasai dû également le sentir parce qu'il ralenti pour, finalement, s'arrêter, me laissant descendre de son dos, presque a contre cœur.
    Lentement donc, je descendis et mis pied a terre, caressant l'encolure de mon cheval qui ne me lâcha pas d'une semelle. Nous avançâmes alors tranquillement, lorsque Kasai poussa un hennissement de peur et manqua de se cabrer.
    Inquiète, je me dirigeais vers lui pour le rassurer en lui flattant les flancs :


    « Voyons mon beau. Tout doux. Qu'y a t il donc pour que tu te mettes dans cet état ? Qu'as tu senti ? »

    Je finis par le voir alors et lorsque je vis, je n'eus qu'une seule et unique réaction :

    « PAPA !!!! »

    Je courus alors vers l'ange déchu qui était mon père, sans me préoccuper de la femme qui était a ses cotés. Je me jetais dans ses bras, tandis que Kasai continuait a hennir et se cabrer. Sous la joie et l'excitation, mes ailes s'étaient de nouveau déployées et s'agitaient joyeusement derrière mon dos :

    « Papa !! Tu sais quoi ?! Une dame dans la rue commerçante m'a dis que je dansais très bien !! J'ai même réussis a gagner quelques pièces et... Oh... B... Bonjour madame... Je... Je ne vous avais pas remarqué... J'étais trop contente de revoir mon papa que.... »

    J'étais tellement gênée que je collais mon dos contre mon papa en rougissant tandis que les battements de mes ailes ralentissaient quelque peu. Cependant, je pu sentir une vague de peur secouer mon cheval et l'empêcher de venir a moi. Mais... Pourquoi ? Que se passait il donc ?
    Soudain je compris en voyant le lion qui accompagnait la jeune femme. Ah oui.... ça devait être pour ça que Kasai ne voulait pas approcher.... Timidement, je m'adressais a la dame :


    « Euh... Excusez moi mais... Je crois que mon cheval est impressionné par votre lion et... C'est pour ça qu'il ne veut pas approcher... »

    Regardant a mes pieds pour cacher ma gêne, je remarquais un petit caillou brillant. Intriguée et curieuse, je m'accroupis pour le prendre, lorsque je vis une petite fille se tenir la tête. Apparemment, elle avait voulu se relever et s'était cognée.
    Me redressant doucement, je levais la tête vers mon papa :


    « Euh... Papa... Il y a une petite fille sous le banc et... Je crois qu'elle s'est cognée la tête... »

    Je ne savais pas trop où me mettre en fait...
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Ven 30 Déc 2011, 21:50

Je ne fis pas attention à elle, pensant qu'elle allait passer son chemin, tout simplement. Mais quand elle me demanda si elle pouvait s'asseoir, je fus surpris. Je regardais autour de moi avant de me concentrer sur cette jeune dame. Pourquoi ce banc, là où j'étais justement assis ? Où j'attendais avec impatience l'arrivée de ma fille qui était, de nouveau, en retard. Je ne pouvais donc pas la laisser seule comme ça. et puis, pourquoi ne voulait-elle pas que je vienne avec elle ? Bref. Il y avait tellementde banc qu'une armée de gorille pourrait se trouver une place parmis les familles "normales". Alors je lui lançais un regard inquisiteur en signe de doute. Pour rester sur mes gardes on peut dire. Non, ce n'était pas moi. Je ne suis pas comme ça. J'ai peut-être été déchu de mon grade d'ange, mais j'ai tout de même gardé ma purté, je ne peux pas me fier aux apparences et aux évenements. Si elle voulait ce banc, ainsi que osn animal de voyage, c'était bel et bien pour une raison. Mais était-ce forcement pour me nuire ? Je ne pense pas. J'avais intérêt à garder ma sympathie et mon sens de l'honneur si je voulais pas devenir des plus méchants. Je frappai donc ma main sur le banc pour l'inviter à s'asseoir sur le banc. Certes elle n'était pas obligée de se poser "à mes côtés". Je doutais qu'elle le ferait. Un inconnu n'inspire pas souvent la confiance au premier coup d'oeil. J'hésitait quand même à engager la conversation maintenant que nous étions seuls, sur un banc dans un parc. Je ne voulais pas sembler impolie ou méfiant, alors il fallait bien que je dise quelque chose. Mais c'était peut-être trop tôt non ? Bon, faudra bien que je me lance un jour. Ha, maintenant que j'y pense, faut que je fasse quelque chose. depuis le temps qu'il tape sur son pauvre bocal. Je devrais peut-être mieux m'en occuper, mais tant qu'il me comprend c'est le principale. Qui ? Bas, Xim allons. Je pioche un morceau de biscuit que je porte toujours dans ma poche et je le plonge dans l'eau de la bouteil qui pend à ma ceinture. Je passe mes habits dessus. Il est bien caché comme ça. Il a le temps de dévirer ce que je lui ai donné aussi rapidement qu'une bande de piranas dévors un homme. J'adresse ensuite un sourire enjoué à la jeune femme qui est assise à côté de moi. Bon, nourir le poisson, fait. Ca ressemble à une liste des chises à faire ma vie. Un jour est bien plus banale pour moi que pour un humain. C'est toujours la même chose avec moi non ? Prouvez le contraire !

Bon, je dois bien dire quelque chose zut. Je ne suis pas timide d'habitude, alors je vais me lancer; J'ouvre la bouche, prêt à engager cette conversation par, tout d'abord pourquoi ce banc et pas un autre. Mais le problême c'est que j'entendis un étrange bruit. Une résonnance plutôt bruyante. Je jette un coup d'oeil en desous du banc et que vois-je ? Une petit fille ! Mais que fait-elle ici ? Et pourquoi s'être mis là-dessous. Je ne la voyais pas très bien de là où j'étais. Ce qui m'étais sûr, c'est qu'elle avait un drôle de couvre-chef. je me demande maintenant si elle est là depuis le début. Après tout, je n'ai fais attention à strictement rien. Je n'ai pas vu le jeune femme arriver, je n'ai pas remarqué la fillette sous le banc. Je m'attenderais presque à... J'entends, alors que je suis plongé dans mes pensées les plus phylosophique, le cri d'une fille réclamant son papa. Cette voix, jamais je l'oublirais. C'est enfin elle que j'attendais depuis si longtemps ! J'adore la voir arriver comme ça, c'est toujours une vraie surprise et ça met un peu de boost dans mon train-train quotidien. La voyant arriver à toute vitesse, c'est impréssionant comme elle pouvait être contente de me voir, j'étais tellement ému. Je me préparais à l'attraper, écartant les bras. Je vis les ailes de ma filles se déplier. Qu'elle était chou comme ça. Je n'attendis pas. Dès qu'elle fut à portée, je la pris dans mes bras. J'adore sentir mon étreinte la sérrer contre moi. rien que nous deux, nous sommes une famille. Elle commença à me raconter sa journée avant qu'elle en se rende compte que je n'étais pas tout seul. Tiens ça me fait penser à une chose. Je me tourne vers mon invitée surprise, j'étire un sourire et je lui demande :

-Je voudrais tout d'abord vous adresser le bonjour de ma part. Ensuite, je voudrais bien savoir pourquoi...

Je n'ai pas le temps de parler que ma choupinette me rappelle qu'il y a toujours une petite fille sous le banc qui c'était cognée la tête contre celui-ci. J'en profite pour avoir une idée. Puisque nous sommes tout les quatres, je peux peut-être... J'attrape la jeune fillette sous le banc et je la repose sur le banc, entre moi et la magnifique jeune femme qui était à mes côtés. Voilà, nous sommes tout les quatres réuni. Je suis aux côtés de la ravissante femme dont je ne connais pas le nom d'ailleurs. Je me demande d'ailleurs comment ce nomme cette petite. Puis, peut-être ce demandent-elles mon nom à moi aussi. J'étire un sourire.

-Je me nomme Minuki, et voilà ma fillette adorée, Inami. ravi de vous rencontrer.

C'était pas commun une rencontre comme ça...
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Sam 31 Déc 2011, 12:41

    L'homme se trouvant à côté de moi semblait méfiant. Il mit un temps assez long avant de me répondre. Je regardais la beauté de ce parc en attendant. Les oiseaux avaient entonnés un petit chant merveilleux, laissant aux passants une douce mélodie dans l'oreille. Les feuilles virevoltaient autour de nous dans une ronde folle, on aurait dit qu'elle nous incitaient à danser avec elle. Et puis, il y avait le soleil. Ses doux rayons doraient la peau sans pour autant la brûler. Je plongeai mon regard dans cette boule de feu que j'aimais tant. Fermant les yeux, j'essayai de deviner chaque faits et gestes des petits animaux du parc. Ici un écureuil grignotait des pommes de pins, les jetant ensuite sur les enfants qui les montraient du doigts à leurs parents. Un peu plus loin, un petit chien jouait au ballon avec son jeune maître, aboyant et écrasant sous ses pattes les feuilles d'automne. Encore plus loin des furets courait sur les bancs, en passant sur les personnes assises dessus. Il y avait aussi une femme qui donnait des petits bouts de pain aux pigeons. Les oiseaux ne cessant de roucouler pour en avoir plus. Je rouvris les yeux, mon regard de feu éclairé par les doux rayons du soleil. L'homme fit alors un geste que je ne vis pas. Il tapota avec sa main sur le banc pour m'inciter à m'asseoir. Ce fut Kolio qui; me sortant de ma rêverie, m'expliqua le geste de l'homme et me poussa sur le banc. Je m'assis donc laissant un espace suffisant entre l'homme et moi. Kolio se coucha à mes pieds, enfin, il était à mes pieds mais le haut de son dos, m'arrivait aux coudes, même lorsqu'il était couché, Kolio avait une stature plus qu'imposante. Plusieurs enfants passèrent en le montrant du doigt. L'un d'eux, plus courageux que ses congénères, me demanda si il pouvait le caresser. Tous sourire, je lui répondis qu'il n'y avait aucun problème et que Kolio était, en dépit de son physique, un adorable petit lionceau dans l'âme. Le petit garçon, après l'avoir caressé, était repartir tout fier vers ses parents en leur montrant le gros félin de sa petit main enfantine. Je souriais. Ils étaient tellement mignon. Ces enfants. C'est alors que je me souvins que cela faisait un moment que je n'étais pas allé à l'orphelinat divertir les enfants. Me promettant d'y penser, je me disais qu'il faudrait aussi que je passe au magasin de jouets afin de leur prendre quelques petits cadeaux. Les fêtes étaient passées et je doute que l'orphelinat avait de quoi payer un cadeaux autres que quelques chocolats aux enfants.

    Soudainement, un choc fit vibrer le banc. Quelqu'un s'était visiblement cogné sur celui-ci. Je remarquai d'ailleurs que l'homme qui se trouvait à côté de mi, baissai la tête pour apercevoir une petit fille sous le banc. Elle avait du se cogner la tête en essayant de récupérer quelque chose...

    Un cri strident me fit relever la tête. Une petite fille criai "papa" avec joie. Haussant un sourcil, je regardai autour de moi pour retrouver le "papa" en question. La petit fille s'élança alors vers l'homme assis sur le banc, deux ailes se déplièrent alors dans son dos. L'une, remplie de plumes blanches et soyeuses, l'autre membraneuse et noirâtre. Une Réprouvée sans aucuns doutes. Ce n'est qu'alors que j'apercevais le poulain qui hennissait et se cabrait derrière sa maîtresse. Kolio se releva en position assise. La petite fille raconta alors sa journée à son père jusqu'à ce qu'elle se rende compte de ma présence. Elle semblait gênée. Je ne voulais pas gâcher une retrouvailles de père à fille.

    « Papa !! Tu sais quoi ?! Une dame dans la rue
    commerçante m'a dis que je dansais très bien !! J'ai même réussis a
    gagner quelques pièces et... Oh... B... Bonjour madame... Je... Je ne
    vous avais pas remarqué... J'étais trop contente de revoir mon papa
    que.... »

    "Ne t'inquiètes pas ce n'est rien, faites comme si je n'étais pas là."

    C'est alors que, remarquant mon lion, elle expliqua la raison pour laquelle son poulain ne voulait pas approcher.

    « Euh... Excusez moi mais... Je crois que mon
    cheval est impressionné par votre lion et... C'est pour ça qu'il ne veut
    pas approcher... »

    "Ah, je vois, tu peux lui dire qu'il est très gentil et qu'il ne lui fera pas de mal. Mais si il préfère que nous nous éloignions, c'est comme tu veux..."

    L'homme m'adressa alors la parole en se retournant vers moi:

    -Je voudrais tout d'abord vous adresser le bonjour de ma part. Ensuite, je voudrais bien savoir pourquoi...

    La petite Réprouvée regarda alors ses pieds et aperçut visiblement un objet qu'il l'intrigua. Se baissant pour le ramasser, elle se releva immédiatement et dit à son père, le coupant dans sa phrase:

    « Euh... Papa... Il y a une petite fille sous le banc et... Je crois qu'elle s'est cognée la tête... »

    Tiens c'est vrai, je l'avais complètement oublié elle. Il faut dire que les évènements s'étaient précipités; et j'avais publié jusqu'à sa présence!
    L'homme se baissa alors, récupéra la petit fille sous le banc et la posa entre lui et moins. Elle avait des cheveux bruns et des yeux verts pétillants. En revanche, là, elle se tenait la tête, elle allait certainement avoir une petite bosse.

    "Ça va? Tu n'as pas trop mal? Si tu veux j'ai quelque chose pour calmer la douleur, si elle est trop forte" dis-je à la petite fille aux cheveux bruns et aux yeux verts. L'homme se présenta alors:

    -Je me nomme Minuki, et voilà ma fillette adorée, Inami. ravi de vous rencontrer.

    "Enchanté répondis-je je me nomme Takias et voici Kolio" j'indiquai mon lion d'un signe de la main, Kolio inclina la tête, montrant ainsi son consentement.

    Nous étions maintenant quatre sur le banc, plus un lion et un poulain.

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Dim 15 Jan 2012, 14:45

Spoiler:


Il y avait de l'agitation au dessus sur le banc et tout près, mais ce n'était pas ce qui préoccupait la petite Chocolat qui avait maintenant mal à la tête. Elle espérait juste que l'on ne l'ai pas remarqué et elle tentait tant bien que mal d'atténuer la douleur en se frottant la tête.

A côté de ça, elle avait toujours les yeux rivés sur le caillou brillant qu'elle n'avait toujours pas réussit à attraper. Peut être que si elle se concentrait totalement sur le caillou, les autres ne la remarquerait pas. Quel naïve espérance. Elle essaya alors tant bien que mal d'oublier la douleur afin de pouvoir tendre le bras et d'attraper cette pierre si jolie. Seulement, lorsqu'elle se retrouva à quelques centimètres de l'objet tant convoité, celui-ci lui fila entre les doigts, ramasser par une autre personne. Chocolat ouvrit grand la bouche, abasourdi qu'on ait pu lui piquer SON caillou. Elle n'en croyait pas ses yeux et elle ne parvenait plus à bouger, essayant de réaliser dans quel situation elle s'était retrouvé. Elle était d'ailleurs tellement éberlué, que c'est à peine si elle se rendit compte qu'on la portait pour l'asseoir sur le banc. Les gens parlaient autour d'elle, mais elle ne les voyait pas vraiment, elle était toujours concentrer sur une chose: son caillou.

Peu à peu, elle prit un peu plus conscience de son environnement. Elle avait vu que c'était une fille qui avait ramasser son bijou et elle la cherchait du regard. Les yeux froid et plein de haine de la petit sirène se posa sur la fillette en question et elle serra les dents, sentant sa colère habituelle monter en elle et sans rien faire pour l'arrêter. Il faut dire qu'elle n'avait pas tellement envie de la stopper. Cette personne lui avait volé son caillou et ça, c'était inadmissible.

Chocolat entendit à peine, la jeune femme à sa droite lui demander si ça allait. De toute façon, la colère lui avait annihiler la douleur et elle ne pensait plus qu'à son caillou. Une fois que tout le monde eut fini de se présenter, le petite brune pointa son doigt accusateur sur la petit blonde et elle répliqua d'un ton accusateur.

« Tu as pris mon caillou! C'est moi qui l'avait vu en premier, rend le moi! »

Rien qu'à voir les poings de Chocolat, on pouvait voir qu'elle était énervée car ils étaient blanc tellement elle était crispée. Sa bouche tremblait légèrement et elle tenait fermement sa poupée contre elle. D'un œil extérieur, tout cela pouvait paraître assez démesuré comme réaction, surtout pour un simple caillou. Cependant, la petite sirène n'aimait pas les gens, surtout les gens heureux comme cette fille et elle tenait à ses cailloux presque plus qu'à sa propre vie. Pour preuve, elle était venue ici, endroit qu'elle n'aimait pas, pour avoir plus de cailloux. Et puis, la colère était une émotion courante chez elle.

« Chocolat, calme toi. Si tu lui demande plus gentiment, elle te le rendra sûrement. Mais si tu t'énerve, elle risque de s'énerver aussi. » Tenta de calmer Taïs dans la tête de l'enfant. Or généralement, l'esprit ne parvenait que rarement à calmer la sirène lorsqu'elle se mettait dans ce genre d'état. Seul la possession du caillou la ferait se sentir mieux.

« Je m'en fiche, je veux mon caillou » ajouta Chocolat cette fois à haute voix, ce qui pouvait paraître assez étrange, car les autres n'avait pas entendu les paroles de Taïs.
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Jeu 09 Fév 2012, 21:28

    « Tu m'as pris mon caillou ! C'est moi qui l'est vu en premier ! Rends le moi ! »

    « Mais je... Désolée... Je ne savais pas qu'il était a toi.... »

    Quelle petite fille bizarre ! Tout ça pour un simple caillou ?! Elle n'en faisait pas un petit peu trop ? Je ne savais pas comment réagir. La partie maléfique en moi souhaitait prouver qu'elle savait se battre mais... Je ne le pouvais pas... Pas devant mon papa et cette femme qui n'avait rien a voir dans cette histoire.
    En plus, elle avait l'air de vouloir y tenir a son caillou. Hum... Je consultais mon papa du regard en me demandant ce qu'il fallait que je fasse * Ne lui rend pas son caillou, c'est marrant, tu ne trouves pas ? En plus elle se met en colère pour rien, franchement c'est pitoyable ! *Je regardais donc le caillou avec l'envie d'écouter la partie maléfique en moi et garder le caillou simplement pour le plaisir d'énerver encore plus la fillette aux yeux verts mais, avec mon papa, je savais qu'il fallait que je me montre raisonnable.
    Tendant donc le caillou vers la fillette, je lui dis :


    « Tiens et t'inquiètes pas ! Je ne voulais pas te le voler ton caillou ! »

    * Pfff... Jouer les filles sages et bien élevée... Que c'est énervant ! Tu aurais dû le garder qu'on puisse s'amuser un peu ! *. Mais j'étais tout de même fière de moi. Pendant ce temps, mon papa nous présentaient a la jeune femme aux cheveux rouges.
    Apparemment, elle s’appelait Takias et son lion avait comme nous, Kolio. Tiens... En parlant de lion... ça me faisait vaguement penser a... Regardant un peu plus loin, je m'aperçus que Kasai – sous sa forme de cheval – n'avait toujours pas bougé de sa place et regardait toujours le lion avec méfiance.
    J'en profitais pour le présenter :


    « Enchantée Mlle Takias. Comme l'a dis mon papa, je m'appelle Inami. Et le cheval qui reste a l'écart bah... C'est le mien et il s'appelle Kasai ! Vous savez quoi ? Il peut se transformer en humain ! Par contre... Il ne sait pas parler et c'est un peu embêtant... »

    Aussitôt dit, aussitôt fait, Kasai se transforma en humain et vint vers moi. Il se posta a mes cotés, essayant de ne pas croiser le regard de Kolio, tandis que je lui lançais un regard rassurant. La jeune femme demanda alors a la fillette aux yeux verts si elle n'avait pas mal.
    La fillette ne répondit pas et je me dis qu'elle ne devait pas avoir comprit. Soudain, j'eus une idée un peu farfelue certes, mais j'espérais que ça puisse marcher. Toujours le caillou en main, je m'approchais d'elle. Puis, je m'arrêtais a quelques mètres pour la regarder et jouer la « grande fille » en lui disant, comme si je lui faisait la morale :


    « écoute moi. Je vais te proposer un truc. Tu réponds a Mlle Takias qui s'inquiète pour toi et je te rends ton caillou. D'accord ? On fait comme ça ? Marché conclu ? »

    Peut être cela n'allait il pas marcher mais au moins... J'aurais essayé. Je gardais toujours le caillou dans ma main mais, bien évidemment, j'avais l'intention de le lui rendre
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Ven 10 Fév 2012, 21:21

Il y avait de l'agitation et je ne peux pas dire que ça me déplaisais. J'aimais cette ambiance assez étrange. Bien que, lorsque je me tournais vers ma fillette chérie, elle avait l'air parfois distraite. La petite fille qui était sous le banc avait l'air de tenir à son cailloux plus que tous. Si elle le voulait tellement, on avait qu'à lui redonner. Après tous, ce n'est qu'une pierre et je suis sûr que ma chouquette se fera un plaisir de lui rendre. La jeune femme qui était à mes côtés était elle aussi très gentille. Certes son lion faisait peur à Kasai mais, le connaissant, ce n'est que de la crainte. Oui, je ne suis pas le maître de cet animal, mais je me dois de le connaitre un peu. C'est le compagnon de ma fille ! Le remue-ménage me fit un peu perdre le cours de la discussion, mais je pense avoir compris l'essentiel ! Je souriait, légèrement gêné. Wouah, c'était une vraie pagaille ici. Ma main derrière ma nuque, je regardait chacune des filles ici présente. Oui, j'étais le seul homme dans ce groupe. Je me sentais un peu macho sur le coup, mais je devais rester calme. J'ai tendance à vite m'emporter. Il fallait que je reste digne de moi-même. Bon, je crois que ma petite pause était devenue une grande rencontre. Je fus quand même vraiment surpris de voir la petite fillette accuser ma Inami de lui avoir piqué son cailloux. Je regarde la petite accusatrice, les yeux grands ouvert. Je n'arrive pas vraiment à croire qu'elle soit si direct. C'est vrai que je vois les enfants comme des personnes plutôt timides. Je ne m'attends jamais à voir ce que j'ai vu. En tant que bon père, je dois prendre la défense de ma fille, mais je ne dois pas oublier que je suis un adulte. Je ricane juste. Mieux vaut être sympathique avec ces jeunes là. Heureusement que ma chouquette est raisonnable et lui propose de reprendre son rocher minuscule. Je sourit en posant ma main sur sa tête et lui adresse un "c'est très gentil de ta part" avant de pousser un soupire. Au moins une bonne chose de faite non ?

Je pensais que M'dame Takias préférait être discret puisqu'elle avait proposé à ma fille de faire comme si elle n'était pas là. C'est dommage je trouve. On pourrait parler de pleins de trucs ensemble. C'est un parc ici, c'est parfait. La verdure, l'horizon dégagé. Pas de danger, rien pour embêter le monde. On peut se reposer tranquillement. Je souriait toujours. J'étais content de voir d'autres gens ici. Ca fait longtemps que je n'ai pas parlé avec quelqu'un d'autre que ma progéniture. Je voyais qu'Inami faisait déjà les louanges de son animal. Je sursaute légèrement tout de même lorsqu'il reprit forme humaine. Je hochait la tête vers lui en signe de salut. J'aimais bien cet...Homme. Il ne savait pas parler, c'était un peu dommage, mais sa présence me rendait légèrement plus sûr. Bien que je ne sais pas s'il est apte à protéger ma fille. Je voyais que beaucoup de monde avait des partenaires. Sauf la petite fillette. Quoique si on dit que sa pierre est son animal, ça voudrait dire qu'on a tous quelqu'un qui nous accompagne. Moi j'avais Xim, mon poisson. Je me baladais avec lui presque tous le temps puisque je le met dans un bocal portable. Par contre, je ne peux pas frimer avec. Bas, je ne peux pas dire qu'il est plus fort que tous. Il ne peut pas sortir de son eau. Par contre, je peux faire dormir qui je veux avec. Il est comme une super boite à musique.

Il fallait que je détende un peu l'atmosphère. Je pris ma bouteille accrochée à ma ceinture et je le posais sur mon genoux.

-Et lui, c'est Xim, mon poisson !

Je rigolais. C'était peut-être pas rigolo, mais devant toutes ces personnes, il avait un peu peur. Ça ne m'étonnerais pas de voir quelqu'un tomber dans un rêve tellement il avait peur. Je le rang, arrêtant de rire. Gardant juste mon sourire. Je dois m'occuper de cette petit fille qui c'était cognée la tête. Je voulais savoir son nom d'ailleurs. je suis comme ça, très curieux. Je me lève du banc et je prends la jeune fillette par les bras avant de la soulever. Je sourit, la tenant dans les airs. Je l'ai peut-être empêché de prendre son cailloux, mais c'est pas le plus important pour moi. Je la regarde.

-Je te lâche si tu me dis ton prénom. Ca te va ? Je me tourne vers Takias. D'ailleurs, je suis moi aussi enchanté de vous rencontrer mademoiselle.
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Sam 25 Fév 2012, 17:34


    Et bien dis donc! Les évènements s'enchainent et bientôt, j'eus du mal à suivre! La petite ne répondis rien à ma phrase, en fait, elle m'évita royalement! Les yeux rivés sur son caillou, elle dit à Inami d'un ton chargé de colère:

    « Tu m'as pris mon caillou ! C'est moi qui l'est vu en premier ! Rends le moi ! »

    Je haussai un sourcil...tout ça pour un caillou? Quoi que, c'est vrai que les enfants affectionnent souvent de drôles d'objets. Pour ma part, j'adorais les plantes et les arbres lorsque j'étais gamine, et même encore maintenant, c'était peut-être la même chose pour les caillou de la petite fille...La fille blonde parut troublée, et il y avait de quoi! Le ton menaçant de l'enfant m'avait laisser perplexe moi aussi.

    « Mais je... Désolée... Je ne savais pas qu'il était a toi.... »

    Mais étrangement, elle ne semblait pas vouloir lui rendre...ou du moins elle hésitait car elle resta immobile un long moment avant de dire:

    « Tiens et t'inquiètes pas ! Je ne voulais pas te le voler ton caillou ! »

    Son père salua son geste en posant sa main sur sa tête et dit:

    "c'est très gentil de ta part"

    C'est vrai, devant le ton agressif de l'autre enfant, elle aurait très bien pu décider de ne pas le lui rendre...Cela aurait certainement créer d'autre problèmes mais heureusement, elle avait décider de lui rendre le caillou sans faire d'histoire. Se tournant alors vers moi, elle dit:

    « Enchantée Mlle Takias. Comme l'a dis mon papa,
    je m'appelle Inami. Et le cheval qui reste a l'écart bah... C'est le
    mien et il s'appelle Kasai ! Vous savez quoi ? Il peut se transformer en
    humain ! Par contre... Il ne sait pas parler et c'est un peu
    embêtant... »


    Je n'eus pas le temps de répondre que déjà le poulain s'était métamorphosé en homme et s'approchait de nous, à ma plus grande surprise. Le jeune homme revint dans la conversation en présentant son poisson, je dois dire qu'il était plutôt jolie bien que je n'exprime aucune affection particulière aux animaux aquatiques.

    -Et lui, c'est Xim, mon poisson !

    La fillette blonde se tourna ensuite vers l'autre petite fille qui m'avait éviter. Ce n'est d'ailleurs qu'à ce moment là que je m'aperçus qu'elle avait encore le caillou en main. Il me semblait pourtant qu'elle le lui avait rendu mais peut-être avait-elle prononcé la phrase sans le geste, ce qui n'en était pas moins curieux il fallait l'avouer!

    « Écoute moi. Je vais te proposer un truc. Tu
    réponds a Mlle Takias qui s'inquiète pour toi et je te rends ton
    caillou. D'accord ? On fait comme ça ? Marché conclu ? »


    Voilà quelque chose d’intéressant! Vraiment, cette petite fille, Inami donc, semblait être maline! D'ailleurs son père rajouta:

    -Je te lâche si tu me dis ton prénom. Ca te va ? D'ailleurs, je suis moi aussi enchanté de vous rencontrer mademoiselle.

    Ma tête commença à tourner et je me demandai dans quelle situation je m'étais fourré. Je pris une inspiration et décidai de résumer ce qui s'était passer:
    Je me promenais dans un parc tranquillement, j'avais simplement demandé à un homme de m'assoir à côté de lui et c'est là que les évènements s'étaient précipités, d'abord la fille de ce monsieur était arrivé avec son poulain-homme. Puis une autre petite fille avait fait son apparition allongée sous le banc-plutôt étrange comme position- pour attraper un caillou. Sauf que la petite fille s'est cogné la tête sur le banc, que l'autre petite fille-celle avec le cheval-homme a pris le caillou parce qu'elle le trouvait jolie et qu'on m'a présenté un poisson dans une bouteille. Au final la petite fille qui s'est cogné la tête m'a évité quand je lui ai parlé, elle s'est énervé parce qu'on lui a pris son caillou et l'autre petite fille blonde lui rend son caillou que si elle répond à ma précédente question. En effet j'étais maintenant sûre et certaine que j'avais un don pour me fourrer dans les situations plus que compliquées! Je pris une inspiration et tentai de répondre à tout le monde.

    "Alors, je suis enchanté de faire la connaissance de tout le monde, que ce soit celle d'Inami, de Minuki, de Kasai ou Xim, et je serais ravi de faire la connaissance de cette petite fille."


    J'indiquai du regard la seule qui ne s'était pas prononcer, la petite fille aux yeux verts qui avait ouvert la bouche que pour vociférer une phrase sur Inami. J'espérais ne pas m'être trompée dans les prénoms, il faut dire que cela commençait vraiment à devenir dur à a suivre!
    Spoiler:

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Quel Parc, incroyable ! [Pv Takias, Chocolat et Inami]

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