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 L'entraineur [Quête avec Kagouri]

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Mar 02 Aoû 2011, 18:38


    Accompagnée de Kagouri je venais d'arriver devant la Forêt aux mille clochettes , lieu où était censée se trouver un jeune garçon d'une douzaine d'année nommé Sasha et qui pouvait entrainer Kolio, mon lion, et Charbon, le chat noir de Kagouri, si on arrivait à le trouver, chose qui n'était pas facile d’après les rumeurs que nous avions entendue en ville. Mais personnellement j'étais enthousiaste à l'idée de rendre Kolio plus fort que ce qu'il n'est déjà et mieux que ça, je faisait cette recherche avec la personne que j'aimais le plus au monde et avec qui j'étais marié depuis peu.

    La joie était donc à son comble, nous étions devant avec Kagouri et nos fidèles compagnons étaient derrière, nous suivant de prés en batifolant. Kolio qui était quand même bien âgé, ne se lassait pas de jouer avec les papillons de sauter partout, il était clair que cette sortie lui faisait plaisir. De temps en temps on les voyaient nous dépasser en courant et se poursuivant l'un et l'autre, et j'avais aussi aperçue Charbon perché sur le dos de Kolio tandis que celui-ci prévoyait d'attaquer un énorme papillon gros comme sa pattes. C'était amusant de les voir jouer ensemble et dans ces moments là, la différence de taille importait peu! Sauf lorsqu'il s'agissait de passer sous une racine de chêne. En effet Charbon était passé dessous à toute allure suivit de prés par Kolio qui se prit la branche sur le front et retomba en arrière. Il ne s'était pas fait mal, il avait la tête bien plus dure que ça. Le gros félin préféra donc sauter par dessus et continuer sa course-poursuite avec le chat noir qui l'attendait patiemment de l'autre côté. Je rit avec joie en montrant du doigt la scène à celui qui faisait battre mon cœur et qui était maintenant mon époux.Tout en marchant je posai ma tête sur son épaule et lui dit:

    "Ils ont l'air de bien s'amuser tous les deux! Heureusement que nous sommes venus à deux, je ne crois pas que Kolio aurait vraiment apprécier de rester quelques jours seul avec un gamin de douze ans, bien qu'il adore les enfants..."

    Cependant nous n'étions pas venu pour faire une balade de santé mais bel et bien pour trouver le gamin en question. Je décidais donc de chercher un peu plus "sérieusement" les chemins par lesquels nous passions afin de ne pas prendre trois fois le même chemin car celui ci tournait en rond...Je regardai aussi les fleurs qui avaient des couleurs magnifiques et vives, il me semblait qu'il y en avait des milliers et qu'aucune ne se ressemblaient. De temps en temps de petits écureuils grimpaient aux arbres ou lançaient des glands sur les deux félins qui les cousait joyeusement en tant qu'excellent prédateurs. J'observai chaque arbre contenant des milliers d'oiseaux qui chantaient diverses comptines, mais heureusement grâce aux immenses arbres, le soleil n'était quasiment pas présent, seuls quelques fins rayons passaient entres les branches laissant ainsi un minimum de lumière pour laisser à l’œil humain une vue correct et aux vampires l'autorisation d'y venir en journée.

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Mer 03 Aoû 2011, 20:52

La forêt aux mille clochettes, un nom étrange pour désigner cet amas de verdure dont aucune clochette n'avait, pour l'instant, fait son appartition, les humains nommaient les endroits comme celui-ci avec des sobriquets si étranges, preuves que ceux-ci ne semblaient pas vraiment très interressés par leur environnement, qui était je l'avoue l'une des plus belle forêt qu'il m'avait été donnée de voir, la végétation luxuriante empêchait le soleil de briller avec trop d'intensité, les arbres s'étendaient au dessus de nous nous protégeant de leurs branches comme s'ils nous accueillissaient parmis eux, nous invitant à nous prélasser et nous détendre. Mais nous n'étions pas là pour ça, Takias et moi cherchions un jeune homme que l'on nommait Sasha, celui-ci pouvait entrainer nos compagnons pour les rendre beaucoup plus fort, d'après les rumeurs peu encourageantes des hommes de la ville que j'avais glané ci et là, le garçon ne se laisserait pas facilement convaincre, mais j'étais convaincu de notre reussite, avec Takias à mes côtès rien ne pourrait m'arreter, après tout, Sasha ne pourrait pas refuser surtout si ma charmante épouse lui faisait don d'un de ses magnifiques sourrires dont elle avait le secret.



J'observais le curieux spectacle que nous offraient nos compagnons, les deux Félins chassaient les animaux qui butinés les fleurs, en s'acharnant tout particulièrement sur ces pauvres papillons, qui ne demander rien à personne. Charbon avait pris place sur le dos du lion, Kolio servant de moyen de transport quand mon compagnon fatiguait, mais la plupart du temps le chat et le lion se livrait à une course poursuite éffrainé à travers les arbres, les laissant hors d'haleine. Sentant qu'ils s'entendaient à merveille je ne me préocupais guère de leur sécurité, ils veillaient l'un sur l'autre comme deux frères, Charbon étant la tête de la fine équipe et Kolio les muscles.



Je riais de bon coeur à la remarque de Takias et lui repondis d'un ton tacquin: "Je crois plutôt que c'est le gamin qui aurait eu peur de rester seul avec Kolio, mais avec ces deux compères je crois bien qu'il attendra notre retour avec impatience, car je sens que leur séjour va être riche en bêtises en tout genre"



Les deux félins se faisaient arroser de gland par des écureuils mécontents de leur approche, quand je sentis une odeur familière à mes narines, la tête de Takias sur mon épaule j'en profitais pour lui glisser un baiser dans le cou.



Celant fait je lui murmurer à l'oreille:"



" Je sens une odeur de sang, je crois que nous touchons au but", je rajoutais tout doucement un "je t'aime", avant de degainer mon katana, garçon ou brigand, je tenais à être pret si nous allions vers les ennuis.
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Jeu 04 Aoû 2011, 19:23



    Il répondit à ma remarque:

    "Je crois plutôt que c'est le gamin qui aurait eu peur de rester seul avec Kolio, mais avec ces deux compères je crois bien qu'il attendra notre retour avec impatience, car je sens que leur séjour va être riche en bêtises en tout genre"

    Oui en effet ce n'était pas totalement faux! Je riais avec lui et lorsque je posai ma tête sur son épaule, il déposa un petit baiser dans mon cou, je souris, il me glissa alors dans l'oreille:

    " Je sens une odeur de sang, je crois que nous touchons au but"

    Puis m'offrait un petit "je t'aime", avant de dégainer son katana, je lui répondis:

    "Moi aussi",et lui offris mon plus beau sourire, il avait dit qu'il avait senti une odeur je dit alors:

    "Cela m'étonnerait que ce soit le gamin, cela fait à peine une heure que nous marchons dans la forêt et tous les villageois nous ont dit qu'il était au cœur de la forêt!"


    Sur ce je pris mon arc et encocha une flèche "jaune", j'avais quatre sorte de flèches dans mon carquois, les flèches rouges, les bleu, les jaunes et les noirs, chacune avait des facultés spéciales que j'avais mis au point pendant des années, les flèches rouges étaient induites d'un poison qui endormait l'adversaire. Les flèches bleus étaient les flèches les plus simples, elle n’avaient aucun poison en revanche, lorsque elles étaient lancés, elle s'enflammaient. Quand aux flèches jaune, elles étaient particulière, un sortilège leurs avaient donner le pouvoir de drainée l'énergie, leurs pointes étaient en spirale de façon à ce qu'elles s'enfoncent profondément dans la chair et à ne pas être dévier, lorsqu'elles touchaient leur cible, il fallait absolument enlever la pointe le plus rapidement possible, sinon elles aspiraient peu à peu l'énergie de leurs "pensionnaire" pouvant tuer si on les enlevaient trop tard. Enfin les flèches noires, les plus redoutables, celles induites dans un poison mortelle et douloureux. Mon arc bander, je dit à l'élu de mon cœur:

    "Je couvre tes arrières!"

    Et je me laissai distancer de quelques pas, je ne voulais pas sous prétexte que je sois marié, être la petit épouse qui à peur des méchants brigands et qui se laisse sauver par son amant( bien que je ne doute pas du courage de celui ci), mais je voulais plutôt être celle qui combattais aux côtés de son mari, formant ainsi un duo redoutable car si je savais me battre et utiliser mes pouvoirs ce n'était pour cueillir des pâquerettes en attendant que Kagouri ait terminé de liquidé des bandits. J'attendis donc de voir qui cela étaient en grimpant à un arbre de façon à surprendre l'adversaire d'une position inconnu, je n'eut pas attendre longtemps, un groupe de cinq personnes grossièrement habillés avec des peau d'animaux se jetèrent sur mon amant en hurlant, je tendis la corde, visai, lâchai, la flèche se ficha dans le cœur d'un des hommes, un de moins, j'avais utilisé une flèche "jaune" pour rien, je soupirai et encocha une deuxième flèche, une bleu cette fois...

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Sam 06 Aoû 2011, 16:17

Il est étrange de s'aprecevoir que le champ de bataille révelle la véritable nature des gens, pour ma part j'étais dans une sorte de transe incontrôlable, je ne savais si la présence de Takias y était pour quelque chose, mais mes pulsions prirent le dessus lorsque je vis l'un des bandits tomber mort, répendant dans sa chute une douce odeur de sang qui me fis perdre pied.

Je jettais mon katana en arrière et me lançais en direction des bandits, habillés de peaux de bétes comme sortis d'un bal costumé, on aurait dit des animaux vivants, armaient de boucliers de bois et de petite hache ils me faisaient pitié, un rire sortis de ma gorge lorsque l'un des bandit essaya de me percuter avec son bouclier en avant. L'homme fût surpris lorsque je transperçais son bouclier d'un coup d'estoc de la main, les morceaux de bois voilèrent dans tout les sens, je ne me protègeais pas de ce qui arrivaient sur moi, une seule chose comptais en ce moment à mes yeux et d'un bond sautais sur mon assaillant, le faisant tomber en arrière. J'en profitais pour arracher un morceau de chair de la câge thoracique de l'homme d'un coup de crocs, et me jetais sur sa gorge. Je sentais ce goût si fruité sur ma langue, un mélange de fer et de chaleur, le seul qui savait satisfaire ma soif, cette même soif qui me poussais en ce moment même à un extrème que je n'avais jamais atteint, je me sentais vivant, incroyablement vivant, un mélange d'exitation et d'envie de tuer m'envahissait à chaque seconde, j'étais dans un état second, j'étais en cet instant un prédateur et ces pitoyables bandits mes proies.

Je me relevais lentement et me jettais sur les ribauds restants, je décapitais l'un d'eux d'un coup de crocs, et repousser les autres par de violent coups de poing. Ils tremblaient les laches et essayaient de s'enfuir, mais à chaque fois je profitais de ma vitesse pour les rattrapais et les jeter de toute ma force vers l'endroitqu'ils venaient de quitter pour s'enfuir, j'entendais leurs os qui craquaient, ils suppliaient, l'un d'eux essaya de s'enfuir en rampant, s'aidant de ses bras, je me plaçais devant lui et m'accroupis, j'armais mon bras pour lui arracher sa tête tuméfié, lorsque Charbon s'interposa entre l'homme et moi.

Je me calmais presque instantanément a la vue du félin, je relevais les yeux vers Takias qui avait pris place dans un arbre, la honte s'emparant peu à peu de moi...
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Dim 07 Aoû 2011, 15:02



    Mon arc étant bandé, je m'apprêtais à tirer sur un autre bandit lorsque je vis Kagouri s'approcher de l'homme qui venait de s'effondrer dans râle de douleur, je l'observai, il lança alors son katana en arrière et à ma plus grande surprise, il se jeta, main nue sur les bandits qui lui faisaient face, l'un deux voulut le bousculer, mais un rire moqueur sortis de sa bouche tandis qu'il fracassai le bouclier en bois d'un coup de main, les bouts de bois s'éparpillèrent sur le champ de batailles, certains s'étaient même cogné contre l'arbre où j'étais cachée.

    C'est alors que Kagouri sauta sur son assaillant et le plaqua par terre, il lui arracha un morceau de chair avec ses crocs, le sang lui giclaient au visage mais il ne paraissait pas y faire attention, le sourire sadique qu'il portait sur ses lèvres me fit comprendre que ses pulsions prenaient peu à peu le dessus, mais je ne pouvais pas bouger, voir tout ce sang me répugnais, j'étais bloqué sur mon arbre Kolio était grimpé lui aussi et attendait à coté de moi bien décidé à me protéger si le besoin s'en faisait. Il envoya le bout de chair sans même le regarder et se précipita sur la gorge de sa proie tandis que celle ci poussaient d'effroyable hurlements qui cessèrent peu à peu, l'homme se vidait de son sang que Kagouri aspirait délicieusement. Je voyais le massacre de mes propres yeux, les bandits tentants de s'enfuir et celui que j'aimais se précipitais à une vitesse ahurissante vers eux, c'était un jeu pour Kagouri et un cauchemar pour les bandits qui regrettais maintenant d'avoir mis le pieds dans cette forêt.

    La pire scène fut la dernière, le dernier homme suppliaient, ses os étaient tous fracturaient il rampait misérablement, Kagouri souria en le voyant ainsi et s’accroupit devant lui il leva la main, je murmurai un "non", Charbon s'interposa alors entre le vampire et le bandits et planta son regard dans celui de son maître. Kagouri s'arrêta net lorsqu'il vit son félin, et tout doucement, il se tourna vers moi, j'étais pétrifié, mais je vis que ses pulsions avaient cessés, il me regardait je me tenais bien droite sur la branche, une main posé sur le tronc afin de garder mon équilibre, je sautai, et atterrit sur le dos de Kolio qui avait pris soin de sauter avant moi. L'élu de mon cœur me regardait sans rien dire qu'y avait-il à dire après une telle bataille? Je me jetais dans ses bras en pleurant à moitié et je lui dis:


    "Je suis désolée, je suis désolée....La prochaine fois je saurai t'arrêter...J'aurais pu, je...j'aurais dû intervenir mais je ne pouvais plus bouger..., je..je t'aime tellement..."


    Je m’abandonnai dans ses bras glacé et maculés de sang, mais le sang, je m'en fichais complètement! Je m'en voulais de n'avoir rien fait pour ses pulsions meurtrières, je m'en voulais tant...!


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Mar 09 Aoû 2011, 18:20

Je la serrais un long moment contre moi, laissant le silence s'installer entre nous, profitant de la chaleur de son corps, je lui enlevais les petites branches qui ornaient sa chevelure , je ne savais que dire, les mots permettaient d'exprimer des émotions, des sensations mais pouvaient-ils exprimer l'exitation qui me parcourait encore les veines en cet instant ?, j'avais tué ces hommes et n'en éprouvais aucun remord, je crois que c'était ce qui me dégoutais le plus chez moi, ce manque total d'attachement à la vie humaine, à part celle de Takias bien entendu.

Je pris conscience de certaines choses en cet instant et en fîs part à Takias:" Cette forêt doit-être très belle en hiver, la neige recouvrant les haut arbres, donnant à cet endroit une allure fantomatique, le vent faisant craquer les branches guidant nos pas sur les sentiers enneigés, oui se doit être très beau, mais un peu froid quand même".J'essayais par mes phrases maladroites de faire oublier à Takias ce qu'il venait de se passer mais comment oublier un tel acte de barbarie, je me liberais de ses bras délicatement et sans un bruit deposais un baiser sur ses lèvres qui m'attiraient tant, y laissant un mince filet de sang que je ne pris même pas la peine d'essuyer. Je me dirigeais vers mon katana d'un pas lent, sentant le regard de ma bien-aîmée sur mon dos ainsi que celui de Charbon. Je rengainais mon katana sans un bruit tout en me tournant vers Takias "Cent coups de fouets pour chaque larme que tu lui fera verser et dans ta douleur elle pourra oublier le mal que tu lui as fais, tel est le dicton". Je mis mes mains autour de sa taille, et posais ma tête contre sa poitrine ma voix se faisant murmure, "Ne t'en veux pas de ne pas être intervenue cela n'a aucune importance, puisque c'était la dernière fois que je cede à mes pulsions, pour moi, pour toi, pour notre amour"



Ma tête contre sa poitrine j'attendis sa reponse, le coeur battant à la chamade.
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Mer 10 Aoû 2011, 21:42


    Il me retira délicatement les brindilles qui étaient perchés dans mes cheveux, il ne savait visiblement que dire et je devais l'avouer moi non plus. Il admira le paysage et me dis sur le ton de la confidence:

    "Cette forêt doit-être très belle en hiver, la neige recouvrant les haut arbres, donnant à cet endroit une allure fantomatique, le vent faisant craquer les branches guidant nos pas sur les sentiers enneigés, oui se doit être très beau, mais un peu froid quand même."

    Je tentai de lui sourire de lui murmurer une réponse chaleureuse, mais je n'y arrivais pas et ce n'était pas faute de volonté bien sûr que non mais...quelque chose m'en empêchai, je ne savais pas quoi, mais je le savais, c'est tout. Lentement il se libéra de mon étreinte et déposa un doux baiser sur mes lèvres brûlantes, y laissant un mince filet de sang. Puis il se dirigea vers son katana le rentra dans son étui et se retournant vers moi il me dit:

    "Cent coups de fouets pour chaque larme que tu lui fera verser et dans ta douleur elle pourra oublier le mal que tu lui as fais, tel est le dicton"

    Puis il revint vers moi et me prenant par la taille, il posa sa tête contre ma poitrine, et il me dit:

    "Ne t'en veux pas de ne pas être intervenue cela n'a aucune importance, puisque c'était la dernière fois que je cède à mes pulsions, pour moi, pour toi, pour notre amour"

    Je lui répondis:

    "Je sais, mais je t'avais fait une promesse et je n'ai pas su la tenir, je sais que tu auras du mal à ne pas céder à tes pulsions, et, d toutes façons un vampire qui ne boit pas de sang est un vampire mort donc si tu réussi à contenir tes pulsions avec des innocents et à les libérer en combat ou en présence de bandits comme maintenant je ne t'en voudrai pas, je serai même contente que des enfants ou des personnes innocentes ne soit pas tués comme cela..."

    Je me blottit contre lui et avec efforts je lui fis le plus beau sourire que je pouvais, je ne voulais pas qu'il se tue peu à peu en se refusant du sang par ma faute de toute façons j'avais fait mon choix je savais qu'un vampire avait besoin de sang, j'avais acceptés ce problème avec tous les autres et ceci n'était qu'un premier obstacle que notre amour infini avait réussi à franchir, alors ce n'est pas maintenant qu'il me fallait abandonner, en fait, j'avais la réponse au fond de mon cœur, il ne faut jamais abandonner!

    Kolio vint se frotter contre nous en ronronnant, je lui souriais en lui caressant sa somptueuse crinière. Oui, l'amour était un sentiment qui nous permettait de surmonter beaucoup d'épreuves, dont celle-ci! Et je le savais!

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Ven 12 Aoû 2011, 20:42

Je caressais Kolio d'une main distraite trop occupais à regarder Takias, un ange, voila ce qu'elle était à mes yeux, un être de lumière envoyer à moi pour me guider à la sortie de ces chemins si sombres, si obscurs que sont la solitudes et la folie car c'étaient cela même qui dirigeaient mes pulsions meurtrières. Je la fixais intensement, comme si je la voyais la première fois, comme si tout ceci n'était qu'un rêve de ma part, qui allait surement bientôt se terminé, trop tôt comme chaque réves qui nous emmene dans ces endroits merveilleux peuplés de créatures au combien merveilleuses et dotaient de pouvoir fantastique. Je me dis que j'étais l'homme... non le vampire le plus chanceux qu'il soit, et sentir le contact chaud de Takias ne fît qu'accroitre ce sentiment, j'étais absolument et éperdument amoureux d'elle.

"Il faut nous remettre en route, ce garçon aussi sympathique qu'on pretend ne sera pas spécialement ravie qu'on arrive chez lui au beau milieu de la nuit et je sens qu'en plus il va être assez dur à convaincre", je regardais Charbon qui fixé le cadavre de l'un des bandits, me jettant sans arrêt des regards qui allait sur moi et qui revenait immediatement au cadavre, je soupirais et lui lançais d'un ton détaché "aller boule de poil on a encore de la route à faire", mon compagnon nous rejoignit d'un pas lent et se plaça d'un bond sur le dos de Kolio, un endroit qui avait l'avantage de le mettre à hauteur de poitrine d'homme et lui permettant de voir le danger venir tout en lui évitant d'avoir à marcher, un emplacement stratègique. Sans crier gare je saisis Takias par les jambes et le milieu du dos, et la portais comme une mariée, "Il faut bien se faire des petits plaisir dans la vie non ?" lui lançais-je dans un grand sourire, ne manquant pas de lui faire un petit clin d'oeil discrettout en commençant à courir aussi vite que je pus en cet instant. Je ne voulais qu'une chose quitter ce cimetière de feuilles dont j'avais été pour quelques instants la faucheuse, l'envoyé du diable, le prédateur.

Nous débouchâmes dans une clairière, avec un tel vacarme que les oiseaux s'envolèrent autour de nous, Kolio ennivré par la vitesse de notre course, avait commencé à courir pour essayer de nous rattrapper oubliant Charbon sur son dos, qui feulait de toute sa voix, un spectacle bien étrange pour une compagnie bien étrange. Je reportais mon attention sur Takias tout en continuant de courrir, sans me rendre compte je lui dis combien elle était belle en cet instant et combien je l'aimais, de tout mon être de toute mon âme.
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Ven 12 Aoû 2011, 22:31


    Je souriais en regardant Kagouri caresser Kolio, vraiment heureusement que Kolio et Kagouri s'entendait bien car je n'aurai pu me passer de mon fidèle compagnon, et encore moins de Kagouri...Pour une fois la vie m'avait fait un cadeau, que j'attendais depuis longtemps, le plus beau cadeau de ma vie et que j’espérais ne jamais perdre...Il reprit:

    "Il faut nous remettre en route, ce garçon aussi sympathique qu'on prétend ne sera pas spécialement ravie qu'on arrive chez lui au beau milieu de la nuit et je sens qu'en plus il va être assez dur à convaincre"

    Puis en regardant Charbon fixer le cadavre, il lui dit tristement:

    "aller boule de poil on a encore de la route à faire"

    Charbon le regarda intensément puis il sauta sur le dos de Kolio, il avait l'air d'apprécier cette place et cela ne gênait nullement Kolio sachant que celui-ci était habitué à me porter. En les voyant faire Kagouri a du avoir une "merveilleuse" idée qu'il lui est passé par la tête car il s'est approché de moi et me saisissant par les jambes et le bas du dos me portant comme une mariée, je riais de bon cœur en m'accrochant à son coup il me dit alors:

    "Il faut bien se faire des petits plaisir dans la vie non ?"

    Sans oublier le grand sourire et le petit clin d’œil mignon comme tout! Je lui rendais son sourire et un clin d’œil exagéré en imitant quelqu'un qui veut se faire discret. J'éclatai de rire, il se mit alors à courir suivit de prés par Kolio qui avait légèrement oublié la présence de Charbon sur son dos qui s'accrochait comme il le pouvait à la crinière du lion, absorbé par sa course.



    Arrivés sur une petite clairière, nous continuions de courir, enfin, le "nous" n'est pas très appropriés, Kagouri continuais de courir, je l'aimais, l'aimais tant...il me glissai des mots d'amour en me disant combien j'étais belle, j'étais comblé, quelle femme ne rêverait pas d'être à ma place? Je lui répondais en lui disant que je l'aimais, tout ce que je donnerai pour vivre des moments comme ça toute ma vie. Mais bien sûr l'amour parfait n'existe pas, des épreuves surgissent toujours devant, pour l'instant nous réussissons à les surmonter, mais réussirons indéfiniment, comme le dit le proverbe:"L'amour qui a le plus souffert sera le plus fort à jamais." Je le savais un couple se formait en s'aimant en s'entraidant et en vivant des moments parfois durs et douloureux. Cela nous l'avions vécue chacun de notre côté, nous avions tous deux un passé difficile et rempli de tristesse et de haine. Je descendis des bras de mon amant, et me posai dans l'herbe délicatement fraîche, le regardant avec un grand sourire, je lui dis:

    "Je crois que c'est la première fois que je suis aussi heureuse d'être avec quelqu’un autre que Kolio!"

    Et je ne disais pas cela seulement pour lui faire plaisir, je le pensai vraiment. Nous allions bientôt partir en voyage de noce et cela m'enchantais aussi, mais pour le moment il fallait trouver le gamin...je soupirai, ahlala, heureusement que Kagouri était avec moi qu'aurais-je fait toute seule en cherchant un gamin dans la forêt? Telle était la question. C'est alors que mon ventre gargouilla, prenant ma besace, je me retournait vers mon amour, et lui demandai:

    "Dis-moi, est ce que les vampires mangent aussi, ou bien ils se nourrissent que de sang enfin, je veux dire est-ce que tu trouves quand-même un certain plaisir à manger de bonnes pâtisseries ou bien cela ne te fait strictement rien ressentir?"

    J'avais pris des biscuits aux amandes de ma fabrication, je ne cuisinais quasiment jamais mais c'était la seule chose que je savais faire, une recette que je tenais de ma mère et qui était excellente, mais peut-être pas pour un vampire...Je le regardai intensément, les biscuit dans ma main mais toujours dans le sac, il ne voyait donc pas ce que je tenais, je ne voulais pas qu'il s’oblige à les manger alors qu'un vampire n'a aucun goût pour des aliments comme ça.

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Sam 13 Aoû 2011, 20:55

"Dis-moi, est ce que les vampires mangent aussi, ou bien ils se nourissent que de sang enfin, je veux dire est-ce que tu trouves quand-même un certain plaisir à manger de bonnes patisseries ou bien cela ne te fait strictement rien ressentir?"

Je souris à cette question que beaucoup qualifiaient d'étrange voir stupide, mais je me devais de repondre à mon amour le plus sincerement possible surtout que j'aurais fait n'importe quoi pour entendre le son de sa douce voix, mais aucun mot ne pouvait qualifié les sensations que la nourriture humaine me faisait ressentir, ou alors ils ne faisaient pas partis de mon repertoire, chose très probable aussi. Je m'assis à coté d'elle, entourant mes genoux de mes bras, tout en réfléchissant à ma reponse je sortis de mon manteau de petits morceau de viande séchée que je lançais en direction des félins, j'essayais d'ordonner mes idées quand un rire sortis de ma gorge, elle me demandait si j'aimais les patisseries, les femmes étaient decidement pleine de surprise, surtout que entre elle et moi je sentais que le défaut de la gourmandise penchait plutôt en sa faveur, voyant le regard de Takias j'expliquais, me rappellant cette façon qu'avait mon professeur d'arme lorsqu'il debattait avec moi après nos échanges dans la salle d'arme, j'essayais de jouer avec les mots pour les tourner à mon avantage, ce qui me laisserais le temps de mûrir ma réponse et ne laisserais pas un silence gênant s'installer entre mon angélue et moi.
"La bonne question ne serait-elle pas plutôt, j'imitais le son de sa voix, mon cher Kagouri je me demandais, penses-tu que la gourmandise est un vilain défaut ? Parce que si je suis la seule à manger de la nourriture humaine de nous deux, je ne pourrais pas plainement savourer ces délicieuses patisseries qu'il y à dans ma besace car tu me regarderais manger, et je trouve cela très désagréable... Ceux à quoi je te repondrai, que de toute façon je ne peux pas te quitter du regard tellement tu es belle".

Je saisis sa besace et en sortais un biscuit aux amandes, je le regardais avec un air neutre,

"Je dirais que le sang apaise totallement ma faim à l'inverse de la nourriture qui laisse un certain vide, enfin c'est dur à expliquer avec des mots, il faut le vivre... Je ne dirais qu'une chose, tu ne sera pas la seule à en manger"

Je mordis dans le biscuit avec avidité, gratifiant Takias d'un sourire, et lui dit d'un ton dout qu'il était delicieux, et qu'il me faisait penser à elle, un doux melange de douceur et de croquant d'amande.

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Lun 22 Aoû 2011, 15:28


    Il me sourit, fouilla dans ses affaires et lança des morceaux de viande à nos compagnons, puis, il parut réfléchir un moment, et enfin répondit:

    "La bonne question ne serait-elle pas plutôt, mon cher Kagouri je me demandais, penses-tu que la gourmandise est un vilain défaut ? Parce que si je suis la seule à manger de la nourriture humaine de nous deux, je ne pourrais pas pleinement savourer ces délicieuses pâtisseries qu'il y à dans ma besace car tu me regarderais manger, et je trouve cela très désagréable... Ceux à quoi je te répondrai, que de toute façon je ne peux pas te quitter du regard tellement tu es belle".

    Je ris de bon cœur lorsqu'il tenta de m'imiter et le pire c'est qu'il avait raison, je me sentirais mal à l'aise si j'étais la seule à manger. J'avais l'impression qu'il pouvait lire en moi comme dans un livre ouvert...Je me demandais si c'était la même chose pour moi, je n'avais pas encore eu l'occasion de me le prouver mais nous avions encore du temps devant nous!

    Il se saisit de ma besace et en sortit les petits biscuits que je tenais dans la main, il plongea son regard dans le mien et dit:

    "Je dirais que le sang apaise totalement ma faim à l'inverse de la nourriture qui laisse un certain vide, enfin c'est dur à expliquer avec des mots, il faut le vivre... Je ne dirais qu'une chose, tu ne sera pas la seule à en manger"

    Il mordit avec envie dans le biscuit et me dit chaleureusement et d'une voix douce, qu'il était délicieux et qu'il lui faisait penser à moi, "un doux mélange de douceur et de croquant d'amande", voilà ses mots exacts. Je lui sourit et me saisis d'un gâteau, pour une fois j'étais contente du résultat, habituellement, la cuisine n'est pas trop mon fort mais là, ils étaient réussies, peut être parce qu’au moment où je les aies fait je pensais à Kagouri, oui c'était surement grâce à lui. Les amandes craquaient dans ma bouche, j'adorai cette texture. Je regardai les deux félins batifoler dans l'herbe. Ce sera dur de les laisser m^me quelques jours...Je fit part de ma pensée à mon amant:

    "Cela sera difficile de les quitter... même quelques jours....mais je pense que le fait d'être avec toi saura me remonter le moral!"

    Je me tournai vers lui et lui souris joyeusement. J'étais heureuse de faire ce voyage en compagnie des personnes que j'aimais le plus au monde, c'était comme dans un rêve mais assez réaliste pour y introduire quelques péripéties...
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Sam 27 Aoû 2011, 16:31

Je la regardais en souriant et détournais mon regard vers les deux félins qui s’amusaient dans l’herbe, Takias était ma lueur, celle qui me guidait à travers les chemins obscurs de mon être et mes bas instincts de vampire. Je repensais à tout ça, le bien et le mal, les gens bon, les personnes méchantes, dans qu’elle catégorie pouvait-on me classer ? Un vampire dégouter de sa seule existence mais qui se délecte du sang qui coule, j’étais ce que je redoutais, un tueur, un assassin qui essayait de se donner bonne conscience en ne tuant pas gratuitement, mais qui cédait à ses bas instincts à la vue du sang, et donc une personne méchante.

Je restais un moment à penser, ou à déprimer comme diraient certains humains peu avenant, lorsque je sentis sur ma main le contact d’un pelage et l’odeur de mon compagnon, celui-ci se frottait sur moi et me lançait des miaulements inquiets, me jetant soudainement une attention lourde de sens. Je me rendis compte de tous les regards dont mon humble personne était criblé, les deux félin, me fixaient intensement de leurs yeux et Charbon profita de ma stupeur pour me mordre ferocement au niveau du poignet. Je lachais un long soupir et montrais la morsure à Takias, "petit mais feroce, doué d'une grande intelligence, mais viens de se mettre dans une situation des plus compliqué sachant que c'est moi qui porte la viande séchée, nécessaire à son alimentation, enfin je dis ça mais cela me dérange de laisser un tel démon avec un enfant si jeune, deux en comptant Kolio".


J'avais entendu la remarque de Takias quelques instants plutôt, je lui repondis amusé :

"Moi je ne pense pas, j'en suis sur. Etre avec toi me remplis de joie et met mon moral au plus haut niveau,
Il était une fois dans une forêt eloignée,
Deux jeunes amoureux perdu dans une belle contrée,
Un jeune garçon ils s'en étaient chercher,
Mais le fourbe dans les bois à jamais caché, ils ne purent trouvés
La belle à son amant proposa un biscuit,
et... je n'ai pas la suite, je vais epargnais tes oreilles de ces vers minables, cependant j'aurai une requète pour notre arrivé dans la cité elfique, bon je ne vois pas le rapport avec le poème je te l'accorde, mais les vers sont sorties comme ça... Takias accepterais-tu de me forger un sabre à lame inversé ?"

Je la regardais impassible, ne pensant qu'a une chose l'embrasser, mais j'attendais sa reponse...
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Lun 29 Aoû 2011, 23:14


    Kagouri semblait pensif, en effet quelques instants plus tard, Charbon se plaça devant son maître et le mordit férocement. Kagouri ne broncha pas, puis se retournant vers moi, il me dit en riant:

    "petit mais féroce, doué d'une grande intelligence, mais viens de se mettre dans une situation des plus compliqué sachant que c'est moi qui porte la viande séchée, nécessaire à son alimentation, enfin je dis ça mais cela me dérange de laisser un tel démon avec un enfant si jeune, deux en comptant Kolio"

    En effet je regardai la morsure dont perlaient quelques gouttes de sang sur la peau de mon amour.

    Je pensais plutôt que le gamin savait s'y faire avec les animaux mais peut être pas avec les nôtres...et puis après tout, il avait une renommée intéressante et que ne se basait pas seulement sur des rumeurs! Kagouri répondit alors à ma précédente remarque.



    "Moi je ne pense pas, j'en suis sur. Être avec toi me remplis de joie et met mon moral au plus haut niveau,
    Il était une fois dans une forêt éloignée,
    Deux jeunes amoureux perdu dans une belle contrée,
    Un jeune garçon ils s'en étaient chercher,
    Mais le fourbe dans les bois à jamais caché, ils ne purent trouvés
    La belle à son amant proposa un biscuit,
    et... je n'ai pas la suite, je vais épargnais tes oreilles de ces vers minables, cependant j'aurai une requête pour notre arrivé dans la cité elfique, bon je ne vois pas le rapport avec le poème je te l'accorde, mais les vers sont sorties comme ça... Takias accepterais-tu de me forger un sabre à lame inversé ?"


    Sa question était déconcertante mais franche et directe. J'appréciai d'ailleurs ce caractère dont j'avais encore un peu de mal à en définir les traits exacts mais qui ne saurait tarder. Un sabre quel forgeron ne rêverait-il pas de forger une lame à la personne qu'il aime le plus au monde? Je lui souriais et lui répondis:

    "Pour toi, je ferais n'importe quoi!"

    Puis, je posai doucement me lèvres sur les siennes. Lorsque le tendre baiser s'acheva, je lui demandai doucement:

    "Tu aimerais des détails particulier? La forme de la garde, la couleur de l'acier, la longueur. Si tu préfères un acier lourd ou plutôt léger. Si tu veux que j'y inscrive quelques mots ou signe dans sa poigne?"

    J'étais devenue sérieuse, je tenais mon travail à cœur et je ne supportais pas voir des lames grossièrement forgées, la forme de la lame, le poids, la taille, si toutes ces mesures n'étaient pas calculés et mise au hasard, cela faisait une arme disproportionné et qui à du mal à être correctement manier. Sabre à lame inversée, ce ne serai ni la première fois, ni la dernière, que je forgerai une arme comme celle-ci. Mais cette fois, cela n'aurait rien à voir avec les autres fois, sachant que celle-ci serait entièrement et uniquement réservée à un être particulier. Celui pour qui mon cœur battait et mes lèvres souriaient. Kagouri. Et j'étais fin prête à travailler des mois si il le fallait pour lui forger une arme exceptionnelle et dont il se souviendra pendant toute sa vie de vampire, en espérant que cela lui rappelle mon existence lorsque nous serons séparés. Kolio vint s'assoir à côté de moi en ronronnant, il demandait des caresses. Nous étions assis en tailleur dans l'herbe fraîche et mon fidèle compagnon posa sa lourde et imposante tête sur un de mes genoux. Je lui caressait sa somptueuse crinière en attendant d'entendre la douce voix de celui que j'aimais s'élever dans l'air et ainsi formuler la réponse à ma question, enfin, les réponses à mes questions...
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Mar 30 Aoû 2011, 22:00

Que de question, je ne pensais pas que forger une lame ressembler à un parcours du combattant, enfin à vrai dire j’avais hérité ma lame actuelle d’une compagne mercenaire, et n’avais jamais vraiment fais attention à tout le travail qu’il avait fallu fournir, pour que je tienne une lame de si bonne qualité entre mes mains aujourd’hui, mais le temps des questions était venu, je répondis avec grand soin à ma bien-aimé :

« J’aimerai une garde simple, de forme arrondie, comme celle de mon sabre, à la seule différence de la couleur, jaune, symbole de renouveau, pour me rappelais la promesse que je t’ai faite, ne plus cédais à mes pulsions, vois-tu c’est étrange, je n’avais vraiment réfléchis à tout ça mais les idées viennent au fur et à mesure, ah et du violet aussi, pour nous autre mercenaire, il symbolise la ténacité, pour que jamais notre serment ne soit bafoué. La couleur, que dirais-tu de blanc ? Un katana noir pour les vilains messieurs et un blanc pour les gentils, quant au poids je n’en ai strictement aucune idée, je me fierai à ton jugement, qui est me semble-t-il, le plus compètent que je connaisse, quand à une inscription sur la poigne, pourquoi ne pas y graver ton prénom ? Cela nous fera nous sentir plus proche lorsque nous serons séparés à cause de nos métiers respectifs, et puis une lame une telle valeur doit porter le nom de celle qui l’a forgé, car à mes yeux, tu es la plus belle chose qui me soit arrivé »

Je me levais et époussetais mon manteau, rependant sur le sol de petites feuilles mortes, et dans une infime précaution, déposais sur l’herbe devant moi un morceau de viande séchée. Je m’accroupis attendant que le prédateur attaque, un bruit sur ma droite m’indiqua que le départ de la chasse était donné, Charbon sortit des buissons à une allure folle, bondissant sur le morceau de viande il ne vit pas ma main le saisir la peau du coup. Le positionnant sur mon épaule je souris à Takias :

« Avant de parler d’épée et donc indirectement de travail, je dois vous rappelez ma chère et tendre que nous sommes en voyage de noce, et qu’il débutera une fois que nous aurons déposé ses charmantes créatures, dans la demeure de sieur Sasha, le pauvre ne se doutant nullement que sous ces airs de petit chat, se cache en vérité le pire démon de toute l’histoire des animaux, la taille n’a rien avoir, ce démon est petit, recouvert de poil, particulièrement malicieux, aux grandes capacités intellectuelles, j’ai nommais, attention roulement de tambours, Charbon dit boule de poil, un animal perfide se terrant dans le noir pour vous sauter dessus, et vous plongez dans une terreur affreuse et incontrôlable, n’est-ce pas ? »

Je jetais un regard à mon compagnon, qui eus pour seule réaction de se frotter la tête contre ma tempe, dans un rire je tendis ma main à Takias, la route était encore longue jusqu’à Earudien, semé d’embuche qui plus est, sans compter que nous n’avions toujours pas trouvé le jeune homme qui s’occuperait des félins durant notre absence, mais une seule chose comptait, voir le regard de mon amour s’illuminait par un de ses si beaux sourires...
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Ven 02 Sep 2011, 15:52


    « J’aimerai une garde simple, de forme arrondie, comme celle de mon sabre, à la seule différence de la couleur, jaune, symbole de renouveau, pour me rappelais la promesse que je t’ai faite, ne plus cédais à mes pulsions, vois-tu c’est étrange, je n’avais vraiment réfléchis à tout ça mais les idées viennent au fur et à mesure, ah et du violet aussi, pour nous autre mercenaire, il symbolise la ténacité, pour que jamais notre serment ne soit bafoué. La couleur, que dirais-tu de blanc ? Un katana noir pour les vilains messieurs et un blanc pour les gentils, quant au poids je n’en ai strictement aucune idée, je me fierai à ton jugement, qui est me semble-t-il, le plus compètent que je connaisse, quand à une inscription sur la poigne, pourquoi ne pas y graver ton prénom ? Cela nous fera nous sentir plus proche lorsque nous serons séparés à cause de nos métiers respectifs, et puis une lame une telle valeur doit porter le nom de celle qui l’a forgé, car à mes yeux, tu es la plus belle chose qui me soit arrivé »

    Il me décrivit précisément le sabre qu'il voulait, je souris lorsqu'il prononça la dernière phrase, oui, je l'aimais à la folie, je lui souriais en prenant soin de noter tous les détails dans ma mémoire. Plus il me regardait plus je sentais que c'était lui l'élu de mon cœur. C'est alors que, me faisant sortir de ma rêverie et donc, de mon amour, Kagouri se leva et enleva les petites feuilles qui s'était accrochés à son manteau. Il sortit alors un petit bout de viande séché et le posa avec douceur et délicatesse dans l'herbe comme si il y déposait son bijoux le plus précieux, puis attendant visiblement une quelconque réaction des félins. En effet, à peine cette pensée eut-elle traversé mon esprit que Charbon se jeta sur le morceau de charcuterie, gracieusement disposé dans l'herbe. Mais il n'eut pas le temps de toucher le bout de viande, la main rapide et cinglante du jeune vampire eut tôt fait de l'attraper par la peau du cou. Le jeune homme disposa son chat sur son épaule avant de reprendre:

    « Avant de parler d’épée et donc indirectement de travail, je dois vous rappelez ma chère et tendre que nous sommes en voyage de noce, et qu’il débutera une fois que nous aurons déposé ses charmantes créatures, dans la demeure de sieur Sasha, le pauvre ne se doutant nullement que sous ces airs de petit chat, se cache en vérité le pire démon de toute l’histoire des animaux, la taille n’a rien avoir, ce démon est petit, recouvert de poil, particulièrement malicieux, aux grandes capacités intellectuelles, j’ai nommais, attention roulement de tambours, Charbon dit boule de poil, un animal perfide se terrant dans le noir pour vous sauter dessus, et vous plongez dans une terreur affreuse et incontrôlable, n’est-ce pas ? »

    Il ria de bon cœur, acte auquel je rajoutais mes propres rires. Il me tendit sa main je le saisit, puis me relevant je dis:

    "Oui et j'espère que ce gamin ne va pas être trop indiscipliné car si nous continuons à ce train là, notre voyage de noce sera effectuer dans quelques mois environs..."

    J'ajoutai une pointe d'humour en prononçant mes derniers mots. Oui, ce gamin n'allait pas ce cacher éternellement dans cette maudite forêt! Je jetai un coup d’œil dans la forêt puis vers le ciel. Le soleil n'y était pas présent et la nuit ne se ferait pas attendre longtemps, d'ailleurs, le soleil se couchai de plus en plus tôt dans le continent naturel en ce moment. Nous avancions un peu plus rapidement que tout à l'heure, bien décidés à trouver ce Sasha. Nos pas formaient un son bien particulier sur les feuilles mortes, comme si celles-ci étaient parcourues de morceau de verres, une caractéristique de la forêt aux milles clochettes peut-être était-ce pour cela que l'on l'avait nommé ainsi, ou peut-être pas, il y avait quelques fois des noms si étranges que je n'en cherchai même plus le sens. C'est alors que j'entendis un bruit de pas, un bruit de pas qui n'étais pas le notre mais qui se trouvait devant. Le sentier que nous suivions jusque là ne cessait de tourner autour des arbres si bien que séparé de deux ou trois mètre nous n'aurions pas pu remarquer la présence de quelqu'un d'autre. C'est lorsque le bruit recommença que nos regards se croisèrent avec mon amant, il avait compris que quelqu'un se trouvait ici. Tout en marchant pour ne pas faire tâche, je dégainai mes katars, griffes d'acier crystalique noires, acier le plus résistant trouver jusqu'à présent dans les terres du yin et du yang. Les miennes étaient particulièrement fatale étant recouverte, tout comme mes flèches, d'un poison mortellement douloureux et dont les lames étaient forger avec de minuscule dents sur les extrémités. Contrairement aux katars standards, mes griffe ne coupaient pas, elles arrachaient. Le bruit ce fut de plus en plus rapides, la personne qui causait ces pas avait dû nous entendre car elle se mit à courir, trop tard, nous l'avions repérer, là derrière ce buisson, je sautais sur lui, Kolio derrière moi pour découvrir....



    Spoiler:


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