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 | Orphée Dasgrim – Vers l’horizon |

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Orphée Dasgrim
~ Orisha ~ Niveau I ~

~ Orisha ~ Niveau I ~
◈ Parchemins usagés : 113
◈ YinYanisé(e) le : 11/03/2023
◈ Activité : Voyager avec les Enfants de Yanna
Orphée Dasgrim
Sam 11 Mar 2023, 19:14


Orphée Dasgrim

Nom : Dasgrim
Prénom : Orphée
Parents : Ulysse Dasgrim (Rehla-Magicien, parent adoptif) ; il est né d’un Orisha et d’une Rehla
Sexe : Homme
Taille : 1m28 ; 1m75 adulte
Âge apparent : 10 ans
Ère de naissance : Ère de la Conciliation
Race : Orisha
Empire : Les Enfants de Yanna (Maison Smara)
Apparence : Enfant | Adolescent | Adulte

Spécialités :
- Agilité : 5 + 1 + 1 = 7
- Force : 5
- Charisme : 5
- Intelligence : 5
- Magie : 5
Métier : X
Activité : Voyager avec les Enfants de Yanna.
Armes :
- Une fronde
- Un lance-pierre

Particularité : Il se présente comme un Magicien et est persuadé de l’être. Il aime bien se peinturlurer le visage avec différents motifs et fait souvent acheter à Ulysse des poudres colorées là où ils font escale. Depuis qu’il sait écrire, il passe son temps à envoyer des lettres à des inconnus. Il est passionné par la généalogie des grandes familles. Il adore bricoler, ainsi qu’écouter des histoires et les raconter.


Pouvoirs et gains

Pouvoirs de base :
- Saäba’Lohu
- Nesh’Baäsa
- Hanha’Thü
- Télékinésie
- Transformation en pétrel des neiges

Gain de niveau II :
- X

Pouvoirs :
- Liquide cristallisé : Il s'agit de la capacité de faire prendre à un liquide la forme d'un cristal. Ce cristal pourra ensuite reprendre une forme liquide.

Armes :
- X

Artefacts :
- Un talisman de dragon qui assure à son porteur la bonne fortune.

Formes de magie :
- La Magie de Jade
- La Magie de l’Enclave

Patrimoine et réputation :
- X




Role-play

Posté à la proue du navire, Orphée offrait aux vents son visage ; ses cheveux, millions de filaments d’argent, s’enthousiasmaient dans une danse insufflée par les murmures du zéphyr. Ses vêtements vibraient contre sa peau et, bien qu’il se tînt de dos, je devinais le sourire qui s’étalait sur son visage, tout comme j’imaginais sans peine les larmes qui nacraient ses yeux clairs, appelées par la vitesse et le sel. Cet enfant n’avait encore conscience de rien. Par moments, je me questionnais : devais-je dès maintenant briser son innocence ? Moi, je n’oubliais rien. Ni le passé, ni l’avenir. À chaque fois que je le regardais, j’entendais les hurlements de ses parents, leurs pleurs et leurs supplications, et je savais qu’il ne s’agissait pas là des derniers que notre présence susciterait. Nous étions liés. La plupart des gens n’auraient jamais compris, et c’était bien normal. Il n’y avait pas d’explication parfaitement rationnelle. C’était juste ainsi. On n’y échappait pas. J’aurais pu essayer de m’y soustraire, mais je n’ignorais pas que toutes les rébellions que le futur n’approuvait pas étaient vaines. Quand on savait la cause perdue d’avance, se battre confinait à la folie. Je n’étais pas fou. Je voyais sans peine que la soumission avait, plus souvent que de raison, l’apanage de la sagesse. Les choses avaient un ordre. Parfois chaotique ou injuste, mais un ordre tout de même. Rien n’arrivait par hasard, quoiqu’on pût aimer y croire. Je n’y croyais pas. Le garçon, lui, vivait encore de ces illusions que sèment bonheur et jeunesse.

Je m’avançai sur le pont du navire, jusqu’à ce que le bruit de mes pas le conduisît à se tourner vers moi. Il me sourit. Il avait les yeux dépareillés – l’un vert et l’autre noisette – et le sourire de son père, mais son visage me rappelait celui de sa mère. Il avait une pierre sur le front. Quand ses cheveux ne la cachaient pas, les gens le prenaient souvent pour un Orisha – ce qu’il était. Cela l’agaçait, parce qu’il était persuadé qu’il ne s’agissait que d’un bijou et qu’il était un Magicien, comme moi – ce que je n’étais pas non plus. « Je trouve le ciel encore plus beau depuis que les constellations ont changé ! » s’exclama-t-il, les joues rosies par l’air frais et les prunelles pétillantes. Je m’approchai et caressai doucement sa tête, qu’il inclina pour venir toucher ma taille. « On les réapprendra ensemble ? » J’acquiesçai, en passant mon bras autour de ses épaules. « On pourra faire ça quand l’expédition aura démarré. » Il aimait apprendre, imaginer, inventer. Son existence avait été bercée par ces concepts ; je lui avais enseigné ce que je pouvais et l’atmosphère qui régnait sur chaque navire de Yanna, et peut-être d’autant plus sur ceux de Smara, l’encourageait à faire preuve de curiosité et d’ingéniosité. Tant que le sujet l’intéressait, il se prêtait volontiers au jeu. Dans le cas contraire, il se renfermait sur lui-même pour s’évader dans des rêveries qui n’appartenaient qu’à lui – quand il ne s’échappait pas de la situation en courant à l’extérieur afin de gravir le mât ou de grimper dans les cordages. Je n’aimais pas qu’il agît de la sorte, parce que j’avais toujours peur qu’il chutât. Cela arrivait à chaque fois : il n’avait ni la force, ni l’agilité requise. Pourtant, il persévérait, quitte à briser ces os trop fins que la nature lui avait légués. Je ne pouvais qu’intervenir en le rattrapant, souvent à l’aide de ma magie, et en le sermonnant à chaque fois. Ça ne servait à rien. Je me surprenais régulièrement à m’interroger sur le déroulé de son adolescence. Quelle relation aurions-nous, lorsque mes interdits ne deviendraient plus que des mots à braver ? Les années passant, j’avais fini par être touché par le mal que connaissaient la plupart des parents : l’inquiétude. Il releva les yeux vers moi. Je les vis s’attarder sur la boussole que je portais en permanence, avant de s’arrêter définitivement dans les miens. « Quand est-ce qu’on arrive à Port Diraella ? » - « Demain matin. » - « Je pourrai poster mes lettres, là-bas ? » - « Bien sûr. Tu me les feras lire ? » Il opina. « J’ai inventé une nouvelle histoire, d’ailleurs. Et il faudra aussi que je te montre mon bateau en coquillage ! Tu pourras le faire voler ? » Je lui souris, puis tendis la main devant nous pour désigner, d’un geste ample, l’horizon qui s’étirait à perte de vue. « Jusqu’au bout du monde. »



HRP

Le thème de votre personnage : John Rzeznik – I’m still here (je suis un énorme cliché et j’assume)
La mort : On verra !
Votre fréquence de rp : On verra aussi, mais assez régulièrement je pense !
Comment avez-vous découvert le forum ? : Dans les prisons de Nantes ♫
Le code du règlement : « Mitsu valide-moi s’il te plaît ? »

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http://yinandyangpower.forumactif.com/t40008-orphee-dasgrim-vers
Orphée Dasgrim
~ Orisha ~ Niveau I ~

~ Orisha ~ Niveau I ~
◈ Parchemins usagés : 113
◈ YinYanisé(e) le : 11/03/2023
◈ Activité : Voyager avec les Enfants de Yanna
Orphée Dasgrim
Sam 11 Mar 2023, 19:15

Lazare Halloy

Nom : Halloy
Prénom : Lazare
Sexe : Homme
Taille : 1m63 adolescent, 1m82 adulte
Âge apparent : 15 ans
Ère de naissance : Ère de la Conciliation
Race : Magicien
Apparence : Adolescent | Adulte
Métier : X
Activité : Étudiant à Basphel, département du Charbon
Armes :  
- N/A
- N/A

Particularité : Lazare change régulièrement de couleur de cheveux. Il aime bien tester différentes teintes, tantôt classiques, tantôt insolites. Ou, en tout cas, il aime bien constater la crispation qui s’inscrit sur le visage de sa mère quand elle remarque le changement et le pli qui vient tressauter entre les sourcils de son père, qui tente tant bien que mal d’avoir l’air indifférent aux lubies de son fils. Il nourrit une grande passion pour les jeux de toutes sortes, dont les tiroirs et placards de sa chambre sont truffés, et a toujours sur lui plusieurs paquets de cartes, d’éditions différentes.

Niveau : I (Niveau I à partir de 0 point)

Spécialités :
- Agilité : 5 + 2 + 1 = 8
- Force : 5 + 1 + 1 = 7
- Charisme : 5 + 1 + 1 + 1 + 2 = 10
- Intelligence : 5 + 1 + 1 + 1 + 1 = 9
- Magie : 5 + 1 + 1 = 7

Pouvoirs :
- Umbra in Lucem | Benedictio
- La Valse Créatrice
- La Magie des Pentacles
- Hypnose
- Révélation

Gain de niveau 2
- X

Gain de niveau 3
- X

POUVOIRS
- Reliure magique : Lorsque votre personnage prend des notes, écrit des lettres, dessine ou toute autre activité dans cet esprit, il peut ensuite relier le tout dans un livre aux pages infinies. Le livre ne sera pas plus gros au fur et à mesure de l'ajout de contenu mais par un procédé magique, les pages se tourneront jusqu'à la fin. De plus, tous les supports n'étant pas au bon format seront automatiquement redimensionnés. Enfin, le personnage pourra donner accès à les livres de la reliure magique à tous les personnages du conte.
- Lire ce qu'on ne devrait pas : Toutes les lettres qu'écrivent les personnages jouant les personnages de ce volet de Narfas peuvent être lues par les autres. Il n'y a néanmoins pas de preuves : une fois la lecture terminée, la lettre copie disparaît. Ce pouvoir concerne donc les correspondances de : Aäron, Jil, Eméliana, Zeryel, Lysium, Sympan, Oriane, Lorcán, Lazare, Orenha, Hélène, Ikar, Dastan, Adriaen, Yngvild, Ilias, Jezeṃiās, Blu et Seiji.
- Votre personnage devient apte à créer, à l'aide de sa magie, des jeux de plateau en rapport avec les contes dans lesquels il a joué un personnage.
- La possibilité de prendre l'apparence de tous les personnages des contes de Narfas et Lieugro. Le sort demande moins de magie qu'un changement d'apparence standard mais la transformation est capricieuse et peut rester active plus longtemps que prévu. Le caractère et les goûts dudit personnage peuvent également s'inviter à la fête indépendamment de la volonté du vôtre.

ARMES
- X

ARTEFACTS
- Le conte espion imparfait : Le conte espion imparfait est un livre qui cible, pour une durée dépendante de la magie de son possesseur, l'un des personnages participant à la partie du conte de Narfas qu'il désire suivre. Le livre écrit ce que ce dernier fait, en théorie. En pratique, c'est bien plus complexe car il arrive que le conte écrive ce que celui qui l'utilise désirerait lire. Plus la magie du possesseur est grande par rapport à celle de la cible et plus les faits relatés sont précis. Plus il est émotif ou instable et plus le livre le trompera.
- La toge d'Ivanhoë : Il s'agit d'une toge de bonne facture. Elle permet à votre personnage, en l'enfilant, soit de changer de sexe, soit de gommer son identité aux yeux d'autrui pendant un temps dépendant de sa magie.
- Le dé de Primaël : Avoir le dé de Primaël sur soi confère une chance insolente à son porteur, en fonction de la magie de la personne qui le possède.
- Le poison de la Foi : Il s'agit d'une petite fiole contenant un liquide. Il est inoffensif la plupart du temps. Seules les intentions de son propriétaire le transforment en poison. Pour cela, il doit agir pour ses convictions profondes ou pour la gloire des Ætheri, sans aucune hésitation.
- Le médaillon des révélations : Il permet à son porteur de dénicher les armes chez les personnes qu'il croise. Les localisations de ces dernières lui apparaissent en bleu clair, par transparence.
- Des places pour une partie de Labyrinthien : L'île prévue pour accueillir les matchs de Puffball possède une zone réservée pour un jeu qui a pris récemment de l'ampleur sur les terres de Sympan. L'idée originelle appartient à un Démon et est déclinée en plusieurs versions depuis que l'on s'est rendu compte que son créateur un peu distrait a oublié de breveter son idée, afin de satisfaire les goûts et couleurs de chacun. Tenue par des Magiciens, le Labyrinthien de l'île à côté de Basphel connaît du succès auprès des élèves, mais aussi des visiteurs de passage, amateurs du jeu. Le principe est simple : les organisateurs créent un décor dans un thème bien précis (jungle impénétrable, temple sous-terrain abandonné, caverne maritime, ...). Dans le temps imparti, des équipes formées doivent trouver la première la sortie en déjouant les pièges et en trouvant et déchiffrant les indices et énigmes dissimulés par les créateurs.

~ Formes de magie
- La Magie de la Lumière
- La Magie Bleue

~ Patrimoine et réputation
- X

Roleplay : « J’irai pas ! » Le cri claqua presque comme une insulte – toutes celles qu’il retenait grondaient dans ces quelques mots. Son père, Abérias Halloy, assis derrière son bureau, joignit les mains sur les dossiers posés devant lui. Ils étaient parfaitement alignés et rangés : pas une seule feuille n’osait en dépasser. D’une voix calme, comme il en avait l’habitude, il articula : « Tu n’as pas le choix, Lazare. Ta mère et moi avons pris une décision, et si on ne la prend pas, ce sont les Palais de Coelya qui la prendront : c’était leur dernier rappel à l’ordre avant l’exclusion. » - « Mais c’est pas de ma faute ! J’ai rien fait ! » Ses yeux bleus lançaient des éclairs. Le Vicomte leva la main. « Peu importe. À ce stade, je me fiche de savoir si tu mens ou si tu dis la vérité. Avec toi, c’est impossible à savoir, de toute façon. » Lazare frappa l’arrière de son crâne contre le fauteuil sur lequel il était cloué, les dents serrées et les doigts crispés autour des accoudoirs. Ses mèches céruléennes tombèrent devant son regard. « Tu vas donc être déscolarisé des Palais de Coelya et aller à Basphel. » - « Vous avez pas le droit de me forcer ! J’ai tous mes amis, là-bas ! » s’insurgea-t-il. « Tu les verras pendant les vacances. » - « Non ! Je veux pas partir ! C’est injuste ! » Abérias se redressa. Même quand il ne se tenait pas debout, on devinait qu’il était grand. L’adolescent se ratatina sur son siège. « Ce n’est pas injuste. Tu ne peux t’en prendre qu’à toi-même. En revanche, ce qui est injuste, Lazare, c’est de faire tous les efforts du monde pour venir en aide à son fils, et que celui-ci n’y mette pas une once du sien. J’espère que Basphel saura t’aider où nous avons échoué. C’est une très bonne école et je suis certain que tu finiras par t’y plaire. » continua-t-il en ignorant les signes de mécontentement du jeune homme. « Maintenant, sors de ce bureau et va préparer ta valise. Tu pars dans deux jours. » - « Quoi ? » Stupéfait, il se pencha en avant. « Deux jours ? » Son père ne cilla pas. Le cœur du garçon se tordit, parut s’arrêter, puis repartit à une vitesse folle ; il cognait si virulemment qu’il lui faisait mal à la poitrine. « Je vous déteste ! » hurla-t-il en se levant, sa silhouette fondue dans le pull trop large qu’il aimait tant porter.. « Vous faites tout pour que je vous déteste ! Vous comprenez jamais rien ! Je veux pas aller dans ton école de merde ! » La porte s’ouvrit avec violence, claquant contre le mur. « Je ne veux plus t’entendre, sors d’ici. » souffla son père, froidement. « Tu reviendras me voir quand tu seras calmé. » - « Je reviendrai jamais ! De toute façon, vous faites tout ça parce que vous voulez que je fasse ce que vous avez décidé ! Mais je veux pas devenir comme vous ! C’est mort ! » Lazare s’approcha de la porte, attrapa la poignée et ferma de toutes ses forces derrière lui. Cette famille l’insupportait. Suivre la voie toute tracée qui s’étendait devant lui, comme ses frères et sœurs : non merci. Il préférait les chemins de traverse, ceux qu’on emprunte sans savoir où ils mènent. Il adorait les paris risqués, les folles idées, les actions hasardées, les esbroufes calculées. Il aimait la fête et le jeu ; et, comme il entendait le faire depuis toujours, il y consacrerait sa vie. Ce soir-là, il prit la fuite, avec dans l’idée de rejoindre Avalon. Deux jours plus tard, il se retrouva pourtant bien devant les portes de Basphel, pour un transfert exceptionnel au beau milieu de l’année. Durant sa fugue, il avait à peine pu traverser Vervallée. Désormais, perché sur cette maudite île, il doutait de pouvoir aller beaucoup plus loin. Échec et mat – pour cette partie-là, du moins. Il restait encore à jouer la revanche et la belle.




Cal

Nom : Plus depuis qu’il est un Génie
Prénom : Cal
Sexe : Homme
Taille : 1m80
Âge apparent : La trentaine
Ère de naissance : Ère de la Conciliation
Race : Génie
Métier : X
Activité : Comprendre sa condition, la dompter, parcourir le monde des rêves et réaliser des vœux.
Armes :
- Un sabre
- Un coutelas

Particularité : Son habitacle est une vieille boussole qui ne fonctionne plus.

Niveau : I (Niveau I à partir de 0 point)

Spécialités :
- Agilité : 5 + 1 + 1 = 7
- Force : 5 + 2 + 1 = 8
- Charisme : 5 + 4 = 9
- Intelligence : 5 + 1 +1 + 3 = 10
- Magie : 5 + 1 + 1 + 1 + 2 = 10

Pouvoirs :
- Le Lien du Rêve
- La Divine Comédie
- Le Subtil Mensonge
- Contrôle de l’eau
- Empathie

Gain de niveau 2
- X

Gain de niveau 3
- X

POUVOIRS
- Invitation au Rêve : Ce pouvoir permet au Génie de se rendre dans le Monde des Rêves et d’y amener avec lui un ou plusieurs Rêveurs. Il peut également en rejoindre qui sont déjà en train de dormir. Le Génie ne dort pas, il se fraye simplement un chemin jusque dans le Monde Divin. Là, il peut exaucer les souhaits des Rêveurs – qui n’auront aucune conséquence dans la Réalité. Plus il le fera, plus il distillera dans l’esprit des concernés l’idée selon laquelle les Djinns sont essentiels.
- Soupçon de trahison : Il s'agit d'une poudre qui doit obligatoirement être saupoudré sur des gâteaux. Lorsque des personnes en mangent, elles ont envie de trahir ceux qui leur sont chers.
- Muse : quand Cal se regarde dans un miroir, le reflet d'Arcange peut lui apparaître. Cette vision inspirera le Génie pour ses interventions au sein des songes des dormeurs : il se sentira obligé d'y impliquer des références au Conte ou au personnage qu'il a incarné. Le tempérament de ce dernier influencera ses choix de scénario, le poussant vers la brutalité et la violence.
- Main baladeuse : C'est un pouvoir qui permet de créer deux portails. En passant sa main dans l'un, elle ressort par l'autre. Ca permet, entre autres, d'attraper des objets normalement hors de portée.
- Ça sent le roussi : Votre personnage est capable de créer de la fumée qui propagera une odeur de brûlé et donnera l'impression qu'un incendie s'est déclaré quelque part.
- Nécessaire à pique-nique : Il s'agit d'un joli petit panier en osier contenant le nécessaire à pique-nique (vaisselle et nourriture) et qui apparaît devant votre personnage lorsqu'il a besoin de faire une petite pause. S'il prend la anse du panier dans sa main, le panier le téléportera, avec son entourage, quelque part dans les Terres d'Emeraude. Le voyage de retour n'est pas compris.
- L'inoubliable réveil : lorsque Cal intervient dans le cauchemar d'un dormeur, celui-ci se réveille avec certaines des séquelles physiques qui lui ont été infligées durant le songe.

ARTEFACTS
- Le moule à gâteau [épée] : Il s'agit d'un moule à gâteau qui, s'il est placé à l'envers sur un plat le soir, fait apparaître un gâteau la nuit (le moule ponctionne la magie aux alentours). Le lendemain, un gâteau apparaît. Ce gâteau a la particularité d'avoir un pouvoir d'attraction assez grand sur les gens et les attirera vers lui et ceux qui ont contribué - inconsciemment - à le créer. Parfait pour se faire des amis, même si les effets sont éphémères.
- La Clef magique : Il s'agit d'une clef qui peut entrer dans toutes les serrures. Elle ne sert pas à ouvrir les portes de base mais plutôt à les fermer. Quand on tourne la clef dans une serrure, la pièce dans laquelle la personne se trouve devient protégée magiquement des intrusions extérieures. Il suffit de la tourner dans l'autre sens pour que le sort cesse de fonctionner.
- Le miroir maudit : Il s'agit d'un miroir qui semble tout à fait banal à première vue. Néanmoins, de temps en temps dans son reflet apparaissent des scènes horribles, provenant du conte ou non. Si celui qui les regarde reste trop longtemps devant, le miroir l'aspire et il se retrouve au beau milieu de la scène. La seule façon de s'en échapper est de crier trois fois le nom d'un des personnages les plus mauvais du conte ou qu'une autre personne regarde à son tour dans le miroir (la notice est marquée derrière le miroir).
- Tenue magique : Il s'agit d'un vêtement qui change d'apparence en fonction de la situation. Si votre personnage entre dans une salle de bal, la tenue magique se transformera en habit d'apparat. Si votre personnage doit courir, elle se transformera pour optimiser cette tâche. Néanmoins, l'inventeur a oublié d'informer qu'une fois sur dix, la tenue magique se trompe.
- Un mouchoir capable d'absorber tous les liquides sans finir trempé ou taché.
- Exemplaires du conte : Lorsqu'un personnage du conte les lit, il se peut qu'un autre personnage ayant joué un rôle dans ce dernier soit téléporté soudainement vers le lecteur depuis le livre. Choc garanti. Les exemplaires peuvent se prêter.
- Un talisman de dragon qui assure à son porteur la prospérité.

ARMES
- X

~ Formes de magie
- La Magie des Ténèbres
- La Magie Bleue

~ Patrimoine et réputation
- Une parcelle constructible à Somnium ou aux alentours afin d'y bâtir une maison, d'établir un commerce, un élevage ou une plantation [un seul choix, le moment venu].

Roleplay : La mer était bleue comme les cieux, et les étoiles crépitaient à sa surface. L’horizon, ligne un peu plus sombre que les deux univers qu’elle semblait séparer, était un infini qui le laissait rêveur. Petit, il avait longtemps cru que le soleil se noyait dans l’océan, le soir, parce qu’il était trop fatigué d’avoir subsisté durant la journée, et que le lendemain, un autre le remplaçait. La lune blanche l’enfantait durant la nuit. C’était une machine de mort infernale, mais aussi un renouveau inépuisable. Encore en ce jour, le ciel se fondait dans l’eau : et rien que pour cela, naviguer, c’était un peu voler. On se trouvait dans un entre-deux incertain et délicieux, à goûter du bout des sens, avant de s’y plonger pleinement, et d’en ressurgir fou d’ivresse. Les eaux du monde ne pouvaient faire que cet effet-ci. Pourtant, celui que l’on nommerait Cal se sentait cloué au sol, et rien dans les profondeurs de l’océan n’aurait pu le ramener à flots. Ses ailes s’étaient noyées. Elle savait tout cela, la femme qui se tenait à ses côtés. Des heures durant, ils avaient discuté.

« Je voudrais pouvoir la venger. » La beauté sourit doucement, avec l’air paisible de ceux qui ont tant vécu et que plus rien n’illusionne. L’air marin caressa ses cheveux bruns et joua dans ceux du jeune homme qui lui faisait face. Il avait des yeux comme l’océan sous la tempête, d’un gris profond et brillant, agité de soubresauts d’argent. Un éclat farouche les piquait ; ils dardaient sur le monde une colère pleine de tristesse. Du désespoir naissait immanquablement des désirs ; et ceux qui désiraient produisaient un appel qu’elle ne voulait jamais manquer. C’était entre la plainte et le sourire ; juste un soupir qui formulait des envies déçues et des espérances à pourvoir. Le désir de vengeance brûlait dans ses prunelles comme un brasier sous le vent : elle se répandait dans tout son être avec une vivacité vorace. Luftë ne l’exaucerait pas. « Je peux t’aider. » Son regard se teinta de surprise et de curiosité.



La croyance veut que la plupart des bouleversements débute par la présence nouvelle d’un élément qui vient bousculer la monotonie ; ici, tout avait commencé par l’absence. Elle avait créé un vide, et de ce vide étaient nés des espoirs. Sa vérité, celle d’un homme parmi tant d’autres, les avait déçus. Et la déception avait aiguillé son existence vers ses tourments.

Svana n’était jamais venue à leur rendez-vous. Quelques jours avant de revenir à Drosera, il lui avait fait parvenir une lettre avec la date et le lieu. Il s’y était rendu, et il avait attendu. Des minutes, des heures ; des jours, enfin, à faire des allers et retours entre le port et les rues, entre l’épouse qui le retenait par sa présence et l’amante qu’il aimait peut-être encore plus dans l’absence. Il se languissait d’elle comme le naufragé espère la terre. Chaque grain de temps craquelait son cœur et écaillait le sang figé dans ses veines. La douleur pénétrait ses pores et diffusait son poison dans chaque interstice de raison. Il s’était interdit les larmes, et pourtant leur sel fielleux avait inondé la commissure de ses lèvres. S’était-elle lassée de leurs rendez-vous secrets ? L’avait-elle trahi ? Voulait-elle abandonner tout ce qu’ils avaient – si peu et tant à la fois ? Préférait-elle la morosité de la vie aux côtés de son mari plutôt que les instants volés au creux de ses bras amoureux ? Désirait-elle la stabilité et le confort plus que la passion et les rêves fous ? Cal se laissa tomber à genoux, les bras croisés sur un coffre et la tête posée dessus. Après des éternités passées à l’attendre, il avait regagné le réconfort du navire. Ils étaient repartis. Ils voguaient, mais même les froufrous des vagues contre la coque ne berçaient pas suffisamment sa peine.

Par orgueil ou par amour, il ne pouvait se résoudre à l'idée qu’elle n’eût pas eu envie de le voir. Si les coups bas au sein de leur peuple tenaient si bien de la coutume, les coups de bassin qui rythmaient leur relation charriaient des sentiments véritables, au point que ceux-ci défiaient toutes les ambitions. Elle ne pouvait pas l’avoir trahi – cette idée distillait en lui trop de colère et de haine. Près de son époux, elle semblait trop malheureuse pour ne pas vouloir s’enfuir avec lui, même si ce n’était que pour quelques heures arrachées à la roue infernale du temps. Ils s’évadaient tous deux d’une existence qui ne leur seyait pas en totalité. Sa propre femme ne suscitait aucun émoi dans son âme. Ils s’étaient mariés par intérêt. Elle était intelligente et loin d’être laide, mais elle n’avait pas l’éclat de Svana. Il lui avait fait deux enfants et il les aimait, à sa façon. Un peu gauchement, peut-être. Ils l’étouffaient.

Cal vivait pour valser avec la liberté. Le mariage et la paternité figuraient parmi les chaînes qui le retenaient aux autres, à ses devoirs, aux rivages. Il n’était pas fait pour vivre pieds et poings liés. Il était fait pour être aimé comme on aime un oiseau. Un jour, il était là, et l’autre, non ; un jour, il offrait, et l’autre, il reprenait. Il ne devait et ne pouvait pas être emprisonné. Il était fait pour la pleine mer. Les murmures de l’océan l’apaisaient plus que tout le reste et ses langues salées savaient laver toutes ses plaies. S’il l’avait pu, il aurait pourchassé des artefacts sans jamais mouiller plus de trois jours dans un port. Bien qu’il méprisât les autres peuples, il était toujours curieux de leur culture, de leurs savoir-faire et de leur mentalité. Il notait toutes ses observations dans un petit carnet, aux côtés de légendes sur des objets mystiques. Il vivait pour la liberté, l’aventure et la beauté d’un monde à laquelle tant d’autres sont aveugles.



Il perdait son âme sur les touches du piano. Ses doigts clapotaient dessus comme la pluie sur la mer, y roulaient comme les courants sous l’océan, les écorchaient comme les vagues assaillent les falaises. Il avait pour l’art un attrait particulier. Ses traits de crayon esquissaient des scènes, des visages, des instants capturés. Il griffonnait sur ce carnet qui l’accompagnait partout. Parfois, il prenait un chevalet et délaissait ses croquis pour s’épancher plus longuement sur une toile. De temps à autre, il sculptait, surtout dans le bois.

Ses mains étaient des bâtardes, à mi-chemin entre l’élégance de celles des artistes et la sécheresse de celles des marins ; entre le maniement des pinceaux et des cordes et celui des gouvernails et des cordages. Son esprit naviguait tout autant entre les mondes. Cal avait fait l’expérience de l’importance de la duplicité. Il était le visage d’ange à qui l’on cédait tout et trop, celui qui sautait de prunelle en prunelle pour attendrir les âmes, sans jamais perdre de vue ses objectifs, même les plus bas. Comme l’artiste, il fallait parer la réalité d’atours imaginés, pour conserver le cap du marin.

L’insolence et l’impétuosité lui donnaient des sensations d’invincibilité : l’enfant n’avait eu peur de rien et l’adolescent s’était cru tout permis. Il était jeune et le monde entier lui tendait les bras, dans une promesse de réussite et de félicité. S’il n’avait pas encore trouvé ce qui le comblerait tout à fait, il avait déjà l’âme pleine de nuances de bonheur. Aventurier, il s’était promis de défier le temps et l'espace. Il avait bondi sur le dos de la liberté, et ils avaient galopé vers une terre inconnue, un univers de miracles où chaque vœu se transformait en réalité, à peine prononcé. Il avait rêvé d’un monde où l’ordinaire côtoyait l’impossible. Son monde. C’était ce que la mélodie des notes lui rappelait, comme le souvenir d’un chant connu par cœur.

Lorsqu’il était enfant, il aimait à croire qu’il était libre, d’une façon totale, complète, despotique. Il avait parcouru le monde comme un oiseau : il avait survolé, sans s’attarder. Ses années d’études n’avaient été que papillonnages entre les livres et les salles de classe, malgré la rigueur et la qualité de l’éducation. Puis, la désillusion l’avait happé. Sans pitié. Elle se moquait qu’il fût trop jeune. Il avait l’esprit fait pour elle. Il avait compris qu’il n’était pas libre ; qu’ils n’étaient pas libres. Ils étaient enfermés dans des prisons de chair. Ces lambeaux de peau qui se glissent sensuellement les uns sur les autres, qui se font l'amour, qui s’abattent brutalement corps contre corps, qui se tuent. L’orgie meurtrière. Le règne des pulsions, régi par des systèmes dans lesquels ils s’encastraient volontiers. Le devoir avait battu en brèche ses illusions de jeunesse. Pourtant, la malice n’avait jamais cessé de pétiller dans son esprit, les sourires taquins et le charme provocant ne l’avaient pas quitté, et il n’avait jamais arrêté de rêver. S’il paraissait parfois cynique, il portait en réalité cet espoir lourd et fort des cœurs qui ne dorment jamais et des esprits qui ne prennent pas de repos. Il était de ces êtres qui vibraient au son des possibilités et des éventualités.

Dans les corridors sombres et tortueux qui s’entrelaçaient au sein de son crâne, des flambeaux lumineux éclairaient quelques recoins dévorés par les ronces. Il n’était pas qu’obscurité. Un feu le consumait depuis toujours. Dans son enfance, il avait enflammé ses jambes. Elles bougeaient frénétiquement, avides de le porter où bon leur semblait, joyeuses de s’ébattre dans l’eau, le sable, la terre, l’herbe. Dès les débuts de l’adolescence, il avait enrobé son palpitant. Il y soulevait des passions, y déclenchait des incendies et des feux d’artifice, bien heureux de malmener ses battements sauvages. Un dernier point crucial lui avait résisté, longtemps : la tête. Mais il était écrit qu’un jour, ses flammes la dévoreraient. Et ce jour-là, ce serait sa fin. C’était arrivé, lorsqu’il avait appris comment Svana avait péri de la main de son mari. Le cœur était monté jusqu’à la tête. Là où la raison n’a plus sa place, la folie enlace.



« Comment ? » Son sourire s’étendit, énigmatique. Elle n’était qu’un entrelacs de masques et d’apparences, auquel tous voulaient faire confiance. « Je peux t’offrir ce que tu désires. » Il fronça les sourcils, méfiant. « Contre quoi ? » - « Ma liberté. Tu en connais la valeur. Laisse-moi voguer avec vous. Laisse-moi prendre la barre et naviguer vers des contrées inexplorées. » Enchanteresse, elle s’était approchée et faisait courir ses doigts sur sa clavicule. « Laisse-moi ta place de capitaine. Juste quelques temps. » ajouta-t-elle en voyant sa figure se travestir sous le coup d’un refus à venir. « Je te la rendrai en temps et en heure. C’est une promesse. » Elle se tut. Il ne dit rien. « La vengeance pour ton amour contre quelques instants de liberté pour moi. » Le silence perdura. Puis, l’Alfar se redressa et inspira. « Ta liberté ne sera jamais complète. La liberté absolue est un concept qui ne sied pas aux mortels. » Il réduisit encore la distance qui les séparait. Plus grand qu’elle, il la surplombait, mais ne l’effrayait pas. « Cela dit, ma vengeance ne sera jamais parfaite non plus. » Son regard gris toisait son apparence factice, acéré. « C’est d'accord. » conclut-il. « Mais à la moindre tromperie, tu paieras de ta vie. » Elle acquiesça, un masque de sérieux imprimé sur ses traits. En dépit de la douleur, il demeurait un Alfar, un être formaté pour croire que rien ne s’offrait, que tout s’échangeait, et que les opportunités naissaient parfois de sombres actions correctement calculées. Peu importait. Elle lui échapperait, toujours. Il ne le savait simplement pas. Il ignorait tant ; et pourtant, l’orgueil de l’éducation et de la science l’étreignait. « Je veux qu’il souffre. Qu’il paie pour son crime au point de regretter de l’avoir commis. » Elle opina. Délicatement, elle tira la chaîne qui pendait à son cou. Une boussole sortit du creux de ses seins. Dans un claquement discret, elle l’ouvrit. Et le monde perdit toutes ses saveurs. Il n’était plus qu’écume ; un rejet de l’océan, une trace de mouvement, une once de chaos dans l’infiniment grand.




Nyx

Prénom : Nyxastra
Surnom : Nyx
Sexe : Indéfini
Race : Mange-rêve
Les Mange-rêves, aussi appelés "Attrape-cauchemars", sont des créatures dont on entendait autrefois parler dans les contes de Fae, mais qui ont depuis longtemps été oubliées. Se nourrissant des songes des dormeurs, on prétend que c'est à cause de leur gourmandise que les rêveurs ne se souviennent que rarement de leurs rêves. Certaines légendes leur prêtent également des propriétés magiques, qui expliqueraient la nature enchanteresse ou cauchemardesque de vos nuits : ces bêtes seraient en effet capables d'influencer les rêves afin qu'ils correspondent davantage à leurs goûts.
Invisible pour les mortels, ces créatures n'échappent pas aux Génies ni aux personnes capables de rêves lucides. Leur corps, fait de sable doré ou noir selon la qualité de leur régime, prend une forme animalière qu'ils peuvent modifier à volonté. Ils ne sont pas palpables et peuvent donc traverser la matière.  
Après avoir dévoré un rêve, de petits cristaux de la même couleur qu'eux apparaissent. En le touchant, les individus sont plongés dans un profond sommeil qui les plongera au cœur de ce rêve.
Les contes ont instauré une tradition : afin d'attirer les faveurs des Mange-rêves et de passer des nuits paisibles, les individus accrochaient des talismans au-dessus de leurs têtes pour leur demander de ne pas se nourrir de leurs rêves ou pour leur demander de leur accorder une nuit sans cauchemar.


Pouvoirs :
- Poussière enchanteresse : Nyx est capable de produire une poussière de sable d'une couleur dorée. Lorsqu'elle touche quelqu'un en train de dormir, ses songes sont influencés positivement et ils seront plus susceptibles de ressembler à des rêves agréables.
- Poussière cauchemardesque : Nyx est capable de produire une poussière de sable d'une couleur noire. Lorsqu'elle touche quelqu'un en train de dormir, ses songes sont influencés négativement et ils seront plus susceptibles de ressembler à des cauchemars terrifiants.
- Changeforme : le corps de Nyx, fait de sable noir, est intangible et invisible. Il est capable de le transformer à volonté, à condition de prendre une apparence animalière.
- Cristallisation : Nyx est capable de se nourrir des songes des dormeurs. Après qu'un songe a été dévoré, le dormeur ne s'en souvient plus en se réveillant. Cependant, un cristal apparaît sous l'habitacle du Mange-rêve. Lorsque quelqu'un l'effleure, il s'endort alors et revit le rêve ainsi capturé.
- Domaine du Rêve : Nyx est capable de voyage dans le domaine des rêves. Dans ce monde, il est visible des rêveurs lucides.
- Réciprocité de la tangibilité : Si le Génie auquel il est lié est capable de rendre son corps palpable, Nyx peut devenir tangible. Il apparaît alors comme un animal lambda (dont il choisit les traits) aux yeux des individus qu'il croise.
- Eternité

Particularité : lié à Cal.

Mon Histoire : L'enfant s'approcha de l'étal. Plusieurs talismans y étaient présentés. Sur des parchemins, on pouvait lire les légendes : "charme pour avoir de la chance" ; "porte-bonheur" ; "amulette pour repousser les Bondibouh". Gontrand Ward replaça ses lunettes sur le haut de son nez. Il se demanda vaguement ce que pouvait être un Bondibouh mais n'y porta pas grande importance. Il préféra continuer à observer les objets présentés devant lui. Son attention s'arrêta sur l'un des articles : un talisman était surmonté d'un écriteau "Attrape-cauchemar". Il pencha légèrement la tête sur le côté, intrigué part la forme de l'objet : un tissage contenu dans un arceau de petite taille, entremêlé de perles dorées et noires. Deux ficelles tombaient, au bout desquelles pendaient des billes se terminant en pointes. Curieux, l'enfant s'en empara pour mieux l'examiner. « Dites, ça sert à quoi ça ? » demanda le petit garçon en se tournant vers la vendeuse. « Ca, c'est un talisman très puissant, capable de capturer des mauvais cauchemars pour qu'ils ne viennent pas te réveiller pendant la nuit. » Peu convaincu, le marmot lorgna sur l'objet. Il n'était pas certain qu'une breloque comme celle-ci puisse le protéger de quoi que ce soit, certainement pas de ses cauchemars. Il passait des nuits agitées, ces derniers temps. C'était sans doute une arnaque. « Si tu le veux, tu n'as qu'à le prendre pour essayer. » proposa l'adulte.

Le Mange-rêve s'extirpa du talisman. Il toisa la pièce dans laquelle il avait atterri. Une chambre d'enfant. Il ne lui fallut pas longtemps pour repérer son propriétaire. Ses sabots frottèrent contre le sol, tandis qu'il renâclait. En une fraction de seconde, il se métamorphosa en luciole pour virevolter jusqu'à la tête du rêveur. Lentement, il commença à se nourrir, après avoir rejoint le monde des rêves. Dedans, il aperçu quelqu'un. Ce n'était pas une partie du rêve, mais bien un autre individu qui, comme lui, envahissait l'esprit du garçon. Curieux, il s'approcha du Génie.
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