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 [Rp dirigé] - Les Portes III - Couloir entre la pièce 1 et la pièce 4

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Jun Taiji
✞ Æther de la Mort ✞

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Jun Taiji
Mar 26 Jan 2021, 17:30


Image par Eva Sophie

Les Portes III - Couloir entre la pièce 1 et la pièce 4


Pas de rp.

Explications


Rps précédents :
- Depuis la pièce n°1 | Lien
- Depuis la pièce n°4 | Non encore ouverte

Départ : Voici le plan : >> ICI <<. Votre personnage était précédemment soit dans la pièce 1, soit dans la pièce 4 et a réussi les épreuves menant au couloir qui sépare les deux pièces. Que ce soit la porte de la pièce 1 (si vous avez ouvert par là) ou la porte de la pièce 4 (idem), chacune reste ouverte quelques minutes avant de se refermer. Pendant ces quelques minutes, rien dans le couloir ne se passe et d'autres individus peuvent s'engouffrer dedans sans avoir réussi au préalable les épreuves. Une fois la porte fermée, il faut réussir de nouveau l'épreuve (soit de la pièce 1 soit de la pièce 4) pour pouvoir entrer dans le couloir. À savoir qu'après la fermeture de la porte, si un autre groupe entre dans le couloir, il ne peut pas croiser le groupe précédent.

Couloir : Le couloir, avant que la porte ne se ferme, est semblable à l'ambiance qui se dégage de l'ensemble des bâtiments. Des fresques sont dessinées sur les murs, de grosses briques les formes et une lumière tamisée donne à l'ambiance un aspect mystérieux. Pour les Rehlas, ceux qui ont une grande intelligence ou ceux ayant des pouvoirs leur permettant de faire œuvre d'empathie, d'avoir plus de sensibilité ou de visualiser l'avenir, vous pouvez avoir un mauvais pressentiment par rapport à la porte de la pièce n°4 (si vous venez de la pièce n°1). C'est comme si votre corps n'était pas tout à fait d'accord pour y aller. De longs frissons peuvent le tenailler. Si vous venez de la pièce n°4, vous êtes plutôt rassuré de la quitter.

Après la fermeture de la porte : Le couloir semble toujours normal mais un pas de la part de votre personnage le conduira dans un tout autre endroit avec les membres de son groupe. Il est à présent dans le Désert, de nuit. Le ciel est menaçant et les nuages formes un tourbillon. Des éclairs zèbrent les cieux et de la cendre en tombe. La température est de -10°. Il fait donc froid. Autour de vos personnages, il y a une ville plutôt étendue (votre personnage n'en voit pas le bout d'où il se trouve). On lui bredouillera peut-être qu'il est à Karjah, la Cité d'Amsès, aussi appelée la Cité des Âmes, mais comme il ne comprendra pas, il retiendra sans doute Amsès et Karjah. Votre personnage, quelle que soit son intelligence, sa race ou quoi, n'a jamais entendu parler de ce lieu. Les bâtiments ressemblent à >> ça << et >> ça <<. Il y a plusieurs temples recouverts d'or et de saphir, des peintures et fresques murales d'une beauté époustouflante, représentant le plus souvent un coyote ou un chat, les deux noirs, avec le corps recouvert de bijoux divers. Il y a également des momies de dessinées et des sarcophages qui servent de décoration. Certains bâtiments, qui sont réellement des tombeaux pour le coup, sont fermés.

Voilà pour la base. Néanmoins, votre personnage va vite comprendre - à l'odeur de brûlé, à la fumée et aux cris qui retentissent ici et là - qu'une attaque est en cours. Karjah est une ville jugée sacrée et habitée par des Humains (je vous le dis en contexte). Cependant, votre personnage n'est pas affecté par le Ma'Ahid. Il garde donc ses pouvoirs. Rapidement, il va se rendre compte qu'il s'agit d'une guerre entre les habitants de Karjah (qui essayent de défendre leur village et, surtout, leur Dieu) et un autre groupe. Il ne sait pas trop si ce sont aussi des Humains ou pas. Rien ne différencie vraiment les gens, si ce n'est par leurs vêtements. Les locaux sont surtout vêtus de blanc, d'argenté et de doré. Les autres sont vêtus de rouge et d'argenté. Les locaux n'ont pas d'armes. Les étrangers sont tous ou presque munis de cimeterres. Ils ont tous la peau allant du noir à l'ambré. Aucun n'a la peau blanche. Votre personnage, s'il observe bien ou théorise, peut se dire que c'est peut-être une guerre de religion.

Après quelques temps passé dans cette zone en plein affrontement (forcément, au début, votre personnage comprend rien ou presque en fonction de ses statistiques), il va avoir une forme de révélation, avec son groupe, et savoir quoi faire. Il devra retrouver les Enfants d'Amsès et les conduire en lieu sûr. Le lieu en question est un >> temple << qu'aucun envahisseur n'a encore osé saccager, contrairement au reste de la cité qui prend cher. Il se trouve à l'est de la ville. Le visage des enfants lui apparaît clair comme de l'eau de roche. Néanmoins, il n'a aucune idée d'où ils sont. À partir du moment où il décidera d'aller les chercher, les étrangers commenceront également à l'attaquer véritablement s'ils le voient. Et aussi, chose importante, je le redis : votre personnage ne pige rien à ce que les autres disent, à moins d'en avoir les compétences (les Ygdraë, les Humains qui peuvent comprendre quelques mots, les Rehlas qui peuvent avoir des intuitions et les autres ça tiendra surtout à la magie s'ils ont un pouvoir pertinent ou à l'intelligence).

Les enfants
- Leila
- Shiva
- Youssef
- Soukaïna
- Lahcen
- La petite : Baraah
Ils ne seront pas ensemble (ça peut mais la plupart sont dispatchés et hautement menacés puisque c'est surtout eux que les étrangers cherchent). Donc organisez-vous bien en fonction de votre nombre o/ Vous pouvez décider de les chercher tous ensemble, de faire des petits groupes ou d'en choisir un ou deux chacun en fonction de combien vous êtes. Quoi qu'il en soit, à la fin, il faudra que les gamins soient tous dans le Temple.  

Réussir l'épreuve :
- Le minimum : Pour pouvoir retourner dans le couloir et voir la porte qui donne dans la pièce n°1 ou la porte qui donne dans la pièce n°4 s'ouvrir, il faut ramener les six enfants dans le Temple d'Amsès, en sécurité et s'y rejoindre.
- Réussite complète : La réussite complète consiste à détruire les envahisseurs jusqu'au dernier après avoir ramené les enfants dans le Temple d'Amsès. Une fois fait, vos personnages se réuniront dans le temple. Le ciel cessera d'être menaçant et le soleil se lèvera, éclairant la pièce et faisant briller le Symbole d'Amsès (la clef de Ankh IRL). Vos personnages seront alors ramenés dans le couloir.

Échec de l'épreuve :
- Rejoindre les envahisseurs malgré la conscience de la mission : Dans ce cas, votre personnage retournera dans la pièce n°1. Il écopera d'une malédiction qui le suivra sans qu'il ne puisse s'en défaire, à savoir : Malédiction de l'Âme : De temps en temps, une Ombre viendra faire bouger légèrement l'Âme de votre personnage. Celui-ci se sentira tout de suite faible, comme s'il faisait une attaque cardiaque. Il tombera par terre, s'évanouira ou aura des sueurs froides. Il aura peur de mourir, sentira son rythme cardiaque battre à tout rompre, aura du mal à respirer et vivra un calvaire durant quelques secondes ou minutes.
- Ne pas réussir à ramener tous les enfants dans le Temple : Soit parce que l'un d'eux se fait enlever/tuer, soit parce que votre personnage ne l'a pas trouvé. Dans ce cas, il reviendra dans la pièce n°1.
- Mort du personnage : Si votre personnage meurt, il repopera dans la pièce n°1 avec une migraine.
- Errance : Si votre personnage décide de fuir la ville, il errera dans le désert. S'il ne meurt pas dévoré par un Dragon des Sables ou par un Ver des Sables, il oubliera petit à petit ce qu'il faisait là. Il pourra commencer une nouvelle vie, jusqu'à tomber par hasard sur Karjah de nouveau. Là, il se rappellera o/ Ça ne le dispensera pas de faire l'épreuve dans tous les cas 8D Il sera juste tout seul
[dans les cas de la sortie de la ville, de la mort ou de la traîtrise d'un personnage, le groupe se réduit d'un protagoniste automatiquement, ce qui fait que ça ne bloque pas les autres qui peuvent repartir]

Gains


Gain de la première pièce :
- Le titre d’Élu ou d’Élue des Portes
- La balance du jugement : C'est une balance magique. Sur l'un des plateaux, il n'y a rien. Sur l'autre, il suffit de placer un objet appartenant à un individu pour savoir si sa vie a été faite de plus de mauvaises actions que de bonnes. Si l'objet est plus lourd, sa vie aura été plus maléfique à autrui et au monde que bénéfique. Si l'objet pèse le même poids, c'est un juste milieu. Si l'objet est plus léger, sa vie aura été plus bénéfique à autrui et au monde que maléfique. | Uniquement pour les personnages ayant contribué à ouvrir la porte en ramenant un objet de la fresque.

Gains du couloir entre la pièce n°1 et la pièce n°4, une fois que l'épreuve sera réussie - les gains ne sont valables qu'une seule fois :
- 1 point de spécialité au choix, en fonction de ce qu'aurait fait votre personnage.
- La Vision des Âmes : Votre personnage peut voir les Âmes des individus. Il s'agit d'une sphère qui se trouve au niveau du haut de la cage thoracique. La plupart des Âmes sont faites d'une lueur blanche. Certaines sont, en revanche, dorées. Concrètement, les Âmes dorées appartiennent aux individus qui ont vu leur Âme être partagées ou morcelées. C'est le cas des jumeaux, des triplés etc. C'est aussi le cas des Eorgor qui peuvent scinder leur Âme.

Notes sur le pouvoir de Vision des Âmes : Les écrits dans la pièce n°2 font des révélations à ce sujet si votre personnage est à-même de comprendre ce qu'il y lira. Niveau couleur des Âmes, il vaut mieux demander à un personnage sa situation avant de déterminer la couleur de son Âme. Par exemple, Edwina est l'une des divisions de l'Âme d'Edelwyn, même si elle l'ignore. Ça peut être utile aussi au niveau de l'intrigue des Mäh Jii Qaal (vu que les Élus sont des divisions de "l'Âme" de Jun ou de Filou). Ça peut être utile pour voir si une personne dit la vérité lorsqu'elle affirme avoir un jumeau ou ne pas en avoir. Et, en général, ça peut être utile pour avoir accès aux secrets du Cycle, en fonction de ce que votre personnage fera ou non dans ce RD. Ce n'est pas anodin et, normalement, cette magie est réservée aux Ombres. Le fait que les individus aient une Âme est un secret pour 99% de la population mondiale.  

Pour les gains généraux du RD :
Ça marche comme les gains de quêtes.
- Soit vous choisissez de considérer l'ensemble du RD comme une seule quête et vous déclarerez tous vos messages une fois votre personnage sorti définitivement.
- Soit vous considérez chaque sujet comme une quête unique et déclarez à chaque fois que vous changez de sujet.

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Astriid
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Astriid
Mer 27 Jan 2021, 20:54

[Rp dirigé] - Les Portes III - Couloir entre la pièce 1 et la pièce 4 Fm3t
Les Portes III
Couloir entre la pièce 1 et la pièce 4






Dorian Lang

Race : Vampire (Douria)
Taille : 185cm
Âge apparent: 25
Niveau : I | Rahzdens

Spécialités :
- Agilité : 8
- Force : 9
- Charisme : 7
- Intelligence : 7
- Magie : 7
En un instant, un individu à l'intelligence questionnable épuisa ma patience déjà étiolée. Sans considération pour son environnement ni le moindre soupçon de raison, il s'attaqua au blond avec autant de hargne que d'inutilité. Je grinçais des dents et reculais du combat qui avait pris place. Il était hors de question que je sois le dommage collatéral de ces abrutis finis. J'échangeai un regard de connivence avec Willhelm. Lui aussi était peu friand de ces démonstrations stériles et pathétique de force. Un vieil homme se tenait près de nous et semblait partager notre point de vue. J'acquiesçai silencieusement. Il y avait au moins une personne normale parmis nous, tout n'était pas perdu.
Une fois le cafard mis à terre, je lui jetais un regard dégoûté et l'enjambait sans faire de commentaire. Mon expression valait mille mots. Je préférais ne pas relever la déformation que Deccio avait fait de nos noms. Il ne fallait parfois pas trop en demander, il ne s'agissait pas de carboniser les derniers neurones restants dans le cerveau fatigué par la bêtise de ces vermines. Je passerai sous silence les coups portés à mon ego en enfilant les tenues ridicules et me contenterais de prier Lubuska pour que tout ça ne soit qu'un mauvais rêve. De plus, je doutais sérieusement de la validité de cette mise en scène pour nous faire sortir de ce trou mais je n'avais pas de meilleure idée à proposer et le vieil homme se pliait aussi aux directions du blond. Pendant ce temps, le brun reprenait ses esprits et laissait éclater au grand jour son crétinisme, des fois que quelques personnes eussent encore des doutes à ce sujet. Par chance, il s'éloigna pour aller embêter quelqu'un d'autre. À genoux depuis seulement quelques secondes à écouter Deccio devenir fou devant cette stupide porte, je sentais la lassitude me monter au nez et allait en informer le blond quand la porte glissa sur ses gonds. Peinant à croire à la réussite de cette affaire, j'écarquillais les yeux et ravalais mes sarcasmes avec difficulté. Il était encore trop tôt pour réévaluer mon opinion du blond et de son acolyte au regard vague et je me relevais pour me débarrasser du ridicule accoutrement dont nous étions affublés. Le couloir qui apparut devant nous ne semblait guère différent du reste de la pièce où nous étions mais avait l'avantage de nous éloigner du reste des personnes. Je répondis à Severus sans quitter des yeux le couloir. «Discutons en marchant pour ne pas perdre de temps.» J'étais en vérité réticent à partager avec cet inconnu des informations sur moi. Je concédais qu'il puisse avoir raison mais je n'étais pas suffisamment naïf pour dévoiler notre nature à Willhelm et moi. Si nous étions malchanceux, il aurait l'occasion de le découvrir. Marchant sur les pas de Deccio, nous nous engouffrâmes dans l'ouverture. Voyant que je ne comptais pas parler de nouveau, Willhelm marcha aux côtés de Severus. «Dorian et moi ne sommes pas très forts et j'ai bien peur que si nous venions à devoir nous battre, nous ne soyons pas d'une grande utilité.» Déclara l'albinos sur un ton d'excuse mais j'eus un sourire narquois. Ce n'était pas tout à fait la vérité. Magnus nous avait tous les deux formés à Fjörd pour chasser et Will encore plus que moi. Même si nous étions loin d'être des traqueurs accomplis, nous n'étions pas complètement démunis non plus. Du moins, je l'espérais. Je m'enveloppais sans doute d'un nuage de confiance mal placée.
La porte dans notre dos se referma et un pas de plus fit disparaître les murs étouffants de notre prison pour une nouvelle. La seule fresque qui nous englobait désormais était le manteau sombre et brumeux du ciel et un air glacial claqua contre mon visage. Court moment de bonheur, je cru être de retour à Merhoneän mais le sable à mes pieds et les épais murs me contredirent. Cette ville ne ressemblait à aucune autre que je connaisse. Muet de stupeur, je me contentais d'être spectateur du paysage qui s'offrait à notre groupe. Le ciel chargé d'humeur se fendait parfois d'un éclair qui craquait à nos oreilles sans parvenir toutefois à masquer le fracas d'une ville sur la verge de l'apocalypse. Des flocons épais alourdissaient l'air. Non. Ce n'était pas de la neige, je le réalisais en voyant les particules sombres s'attarder sur les cheveux pâles de Willhelm. Nous étions au milieu d'une ruelle quand j'aperçus des locaux courir dans notre direction. Au nombre de trois, les enfants affichaient une expression terrifiée et ils ralentirent en nous apercevant. La panique faisait rouler leurs yeux dans leurs orbites et ils se mirent à nous parler à toute vitesse dans un langage inconnu tout en montrant du doigt là d'où il venaient. «Quoi ?» J'étais complètement perdu et un peu gagné aussi par la peur qui figeait leurs traits. Voyant que nous ne bougions pas, ils continuèrent leur fuite et je les regardais avec envie. Dans quoi nous étions-nous encore fourrés ? «Amsès. C'est le mot qui revient le plus dans leur charabia. Et euh quelque chose comme Karjah.» Déclara posément Willhelm comme s'il faisait face à un modèle mathématique insoluble mais particulièrement intéressant. C'était bien gentil mais ça ne nous avançait pas beaucoup. Et je n'aimais pas beaucoup les cris et la générale ambiance chaotique qui embourbait la ville. Je maugréais. «On s'en fout. Trouvons-nous un coin plus calme pour trouver une solution et dégager de cette ville. On dirait qu'on est là au mauvais moment et je suis pas d'humeur touristique.» Et je ne voulais pas me retrouver au milieu d'une guerre qui ne me concernait pas. Accessoirement.


Message III | 991 mots:



[Rp dirigé] - Les Portes III - Couloir entre la pièce 1 et la pièce 4 Aoyv
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Jeu 28 Jan 2021, 16:41

[Rp dirigé] - Les Portes III - Couloir entre la pièce 1 et la pièce 4 Nk6j
« Pingu, Numérobis et Détective Conan à la plage. »



Son obstination lui donna raison ; l’accès à la suite de l’épreuve se décoinçant peu de temps après, anéantissant l’espoir de tous ces condescendants d’avoir la possibilité de se moquer de sa déduction. Bon, pas de quoi en être fier pour le détective qui trouvait cela relativement limpide, qu’il s’agisse de cette porte ou de toutes ses jumelles. Dans l’ensemble, il suffisait de s’attarder sur les détails pour ne pas tomber complètement à côté. Hormis les irresponsables et les ahuris de service, les résoudre ne représentait qu’une formalité. C’est donc en toute logique que le Démon se plaça en tête de ligne, curieux de voir ce qui les attendait au bout du tunnel. Escortée du Vampire à ses côtés — son teint blafard le trahissant — et d’un autre hurluberlu qui ne lui disait rien qui vaille, la suite des aventures s’annonçait édifiante pour tous les participants de cette mascarade. Oh, il en oublierait presque le fameux petit blond au faciès ridiculement dérisoire, qui malgré son QI négatif avait tout de même contribué à rassembler quelques objets pour la complétion de ce couloir. Mais ce qui frappa le Vil en s’engageant dans ce dernier, c’est l’impression de mal-être qui contracta ses boyaux. Au-dessus d’eux se tenait manifestement un fendoir prêt à trancher à la moindre incartade de leur part. « Soyez prudent en avançant. Honnêtement, je m’en fous de ce qui peut vous arriver, je suis pas votre mère. Mais la réalité, c’est que j’ai plus de chances de survivre avec vous à mes côtés. » Un aveu qu’il ne se serait jamais permis il y a de ça quelque temps en arrière, symptôme de son équilibrage psychologique. Les trainer dans ses pattes ne lui fit pas plus plaisir qu’à eux ; un point sur lequel ils se rejoignaient tous sans soucis.

C’est pourquoi dans un but purement utilitaire, ils devaient au moins se tenir au courant des forces et des faiblesses de chacun. « Comme vous l’avez probablement deviné, je suis un Démon. Mon atout : ma capacité d’adaptation. Mon défaut : me coltiner des tanches. Et vous ? » Des présentations somme toute usuelles pour le luciférien. Lorsqu’il posa un pied devant lui après la fermeture des portes, tout se passa extrêmement vite ; son corps et celui des autres se retrouvant happés dans un désert qui s’étendait à perte de vue. Des édifices et quelques temples jonchaient leur périphéries, exprimant la certitude de l’épanchement des autochtones. Quant à la poussière qui leur tombait dessus, tous prirent conscience assez rapidement qu’il s’agissait en fait de particules de cendres, prémonitoires d’un funeste présage. Des locaux firent ensuite leur apparition ; mais impossible de comprendre ce qu’ils baragouinaient, leur dialecte ne s’apparentant à aucune langue qu’il connaissait du monde extérieur. « Certes, mais ça ne nous avance pas des masses de savoir ça. Ils pourraient tout aussi bien répéter croissant au beurre et tartine de fion que ça reviendrait au même. » Le maniaco-dépressif qui marchait près de lui devait être contagieux au point de le rendre encore plus soupe au lait, car il était même à se questionner sur le pourquoi de cette irritation.

L’odeur qui émanait de l’environnement apaisa néanmoins son humeur caractérielle. Il reconnaissait celle-ci entre mille ; classique pour un type comme lui. « Ça pue les corps calcinés à plein nez. Malgré le froid qui étreint ma chair, je me sens de nouveau comme chez moi. » Afin de vérifier ses hypothèses, le blond escalada une dune sur laquelle se fondaient des piliers. En se camouflant par le biais de sa largeur, il jeta un coup d’œil derrière, relatant les exploits d’hommes et de femmes qui s’affrontaient de façon sanguinolente. Difficile de déterminer qui avait le dessus, contrairement à l’appréciation des deux groupes qui se clôtura indubitablement par le visuel de leur accoutrement et de la couleur de leur peau. Quelque part, ça le rassurait de voir qu’en dépit du dépaysement dont ils fussent victimes, les choses restaient toujours telles quelles avec des dissensions internes. « Une guerre d’indépendance ou ethnique ? Non. Des religions. Aucune importance après tout, ça nous regarde pas. » S’écartant de ce champ de bataille afin de ne pas être impliqué dans des histoires qui ne le concernaient pas, Deccio fouilla les environs dans l’intention de trouver une échappatoire. Cependant, il s’immobilisa net lorsque de nouvelles informations se greffèrent à sa mémoire comme un amnésique venant de recouvrer la partie manquante de ses souvenirs. Agité, il se tourna vivement en direction des autres, puisant dans leurs regards pour y prélever le même constat. « Vive les putes. » Parfois, certaines déclarations sortaient de nulle part.


778 |Post IV:
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Mar 09 Mar 2021, 18:58


Image par Eva Sophie
Couloir n°9 3/4 et des brindilles

Thème.

e4oj.jpgS’il y avait bien une chose que l’expérience avait apprise au Sorcier, c’était qu’il ne valait mieux pas prendre la vie trop au sérieux. En dépit de son austérité coutumière, il conservait une âme de freluquet. D’ordinaire réprimé, son instinct voyait en cet étrange évènement une occasion de s’épanouir. Son apprentie se trouvait ailleurs, et aucun de ses congénères n’irait le dénoncer ; d’abord parce qu’il n’y avait pas l’ombre d’un chapeau pointu à l’horizon, et ensuite, parce que personne ne savait jamais qui il était. Se trouver en compagnie d’un Démon et de deux hurluberlus aux blanches fesses présentaient de nets avantages. Toutefois, l’attitude du brun le chagrinait, et, en bon vieux gentleman, il le lui fit gentiment remarquer. « Je suis d’accord avec Blondie. Par contre, tu devrais arrêter de tirer une gueule de cent pieds de long. Tu vas finir ridé comme un trognon. Déjà que tu ne m’as pas l’air favorisé par la nature, il ne faudrait pas aggraver les dégâts. » Reportant son attention sur le paysage autour d’eux, il remonta ses lunettes sur son nez. Du sable, des cris, des bâtiments en flamme. Réjoui par cette vision, il partagea sa pensée. « Je pense au contraire que nous devrions entrer dans la ville. Vous savez ce qu’on dit : c’est dans les pots cassés qu’on trouve la meilleure confiture. » Nul doute que des richesses délaissées par leurs propriétaires attendaient qu’une main généreuse vienne les consoler.

Alléché par la perspective d’un pillage, le couturier incita ses camarades à le suivre. Le blond, toutefois, paraissait frappé de stupeur. Devant sa mine interloquée, il se demande s’il ne venait pas de perdre l’esprit _ ou d’apercevoir une sainte vierge. Soudain, quelque chose le percuta. Fort mécontent, il baissa les yeux, apercevant le garnement, qui, déjà, reprenait sa fuite. Sa conscience s’éveilla soudainement. Catastrophé, il se frappa le front. « Nom d’un gaufrier ! Les enfants ! » Comment avait-il pu oublier ? Sans s’assurer de la compréhension de ses partenaires, il se lança à la poursuite du bambin. Relevant ses chausses, il se dandina d’un pied sur l’autre dans l’espoir de le rattraper. Des grains de sable s’infiltrèrent dans ses chaussures. Ignorant la gêne ressentie, il dévala la dune. Quelques mètres en contrebas, il parvint à un groupement de maisons. Partiellement ravagées, ces dernières se rassemblaient en un chaos étrangement ordonné. À bien des égards, elles représentaient la cachette idéale pour un jeune effrayé. « Petit, petit, petit… Viens voir Papy. J’ai des bonbons dans mon sac. » Sa tentative se solda par un échec magistral. Pas la moindre silhouette ne sortit de l’ombre. Néanmoins, une lame vint chaleureusement à sa rencontre ; il ne valut sa survie qu’à un réflexe moteur. Reculant précipitamment, il dégaina son poignard. Derrière lui, il entendait les pas lourds de ses camarades. De mauvaise humeur, il invita ses adversaires à l’affrontement. « Bougres de faux jetons à la sauce tartare ! Je m’en vais vous tailler le bout de gras, ça vous fera ça de moins à trimballer ! » Tant que son petit-fils s’échappait de là sain et sauf, il se moquait du reste.

510 mots - Post III:

Stats de Severus:

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Astriid
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Astriid
Dim 28 Mar 2021, 20:11

[Rp dirigé] - Les Portes III - Couloir entre la pièce 1 et la pièce 4 Fm3t
Les Portes III
Couloir entre la pièce 1 et la pièce 4





Dorian Lang

Race : Vampire (Douria)
Taille : 185cm
Âge apparent: 25
Niveau : I | Rahzdens

Spécialités :
- Agilité : 8
- Force : 9
- Charisme : 7
- Intelligence : 7
- Magie : 7
«Qu'est-ce qu'il fabrique le vieux ?» Ronchonnais-je en voyant Severus cavaler vers la ville, droit là où je ne voulais pas mettre les pieds sous aucun prétexte. J'étais tenté de le laisser aller se suicider tout seul mais comme le Démon l'avait dit auparavant, nous devions unir nos forces pour sortir vivants de cet pétrin. Mais il avait aussi déclaré son amour fervent pour les prostituées juste après et je questionnais sérieusement sa santé mentale. À mes côtés, Willhelm intervint soudainement avec un regard vide : «Il faut aller chercher les enfants.» «Oui, dépêchons-nous avant que la ville ne soit plus qu'un tas de cendres.» M'entendis-je répondre avec surprise. Sans comprendre pourquoi, j'étais convaincu que nous devions tout mettre en œuvre pour sauver une floppée de mioches. «C'est peut-être pour le goûter.» Plaisantais-je et Willhelm eut un mince sourire avant de descendre vers la ville. Réprimant un soupir, je le suivis en me demandant ce que j'avais fait dans une autre vie pour être sans arrêt téléporté dans des situations taillées sur mesure pour m'emmerder.
Sur place, Severus était parvenu en un temps record à se retrouver dans une position délicate face à des individus à la peau sombre. «J'ai une proposition, la prochaine fois, on établit un plan avant de se lancer sans réfléchir.» Déclarais-je avec mauvaise humeur. Notant notre apparition, les soldats braquèrent leurs cimeterres sur nous et lâchèrent un chapelet de mots incompréhensibles. «Je sais pas pour vous mais moi ça commence à m'agacer leur baragouinage. Essayons de les faire taire.» Et par là, j'entendais : laissons Deccio faire le ménage. Je l'avais vu se défendre face au bipolaire qui lui était tombé dessus un peu plus tôt et j'étais plus confiant dans ses capacités que dans les miennes. De plus, nos opposants n'étaient pas nombreux et j'interpellais mes compagnons : «Je vais chercher le gamin, il n'a pas pu aller bien loin, je vous laisse vous occuper d'eux.» Et sans attendre de réponse de leur part, je me faufilais dans une des maisons par la porte qui baillait sur ses gonds en retenant un rire. Willhelm avait eu l'air profondément choqué par mon départ avant d'esquisser un sourire d'excuse crispé au blond et au vieux. Il s'était alors rangé à leurs côtés, ses lèvres dénudant des quenottes pointues à souhait. Heureusement pour nous tous, il était plus courageux que moi.
Ignorant les bruits de lutte au dehors, je me concentrais pour déceler la présence de l'enfant. Je renonçais rapidement à me reposer sur mon odorat, l'air était trop saturé par la fumée et la mort pour espérer sentir le fumet appétissant d'une chair juvénile. Fouillant chaque pièce, je fronçais le nez devant le cadavre d'un homme effondré à un mur. Soudain, un bruit de verre cassé dans la pièce adjacente suivi d'un cri me fit sursauter. Je m'avançais précautionneusement pour observer la scène sans me faire remarquer. La silhouette d'un des soldats se dressait face à un enfant qui le défiait du regard. J'avais cherché la solution de facilité en fuyant la bataille et je me retrouvais forcé à intervenir malgré tout. L'enfant lui jeta quelques mots sur un ton insolent mais l'homme se contenta de rire et de l'attraper par le bras quand il voulut s'enfuir. Une lame brilla dans sa main libre et je cessais de réfléchir pour me forcer à agir. Il fallait sauver le gamin, c'était la seule chose qui comptait. En un instant, je fus dans le dos du soldat et agrippais sauvagement une poignée de cheveux pour le déséquilibrer. Pris par surprise, il glapit et poussa un hurlement de rage qui s'éteignit dans un gargouillis de sang. Je n'avait pas attendu qu'il retourne sa lame contre moi et avait enfoncé mes crocs dans sa gorge offerte. Son bras s'agita furieusement et je raffermis ma prise sur sa chair sanguinolente avant d'en arracher un large morceau que je recrachais. L'homme s'effondra et je réalisais à cet instant les palpitations effrénées de mon coeur. J'inspirais profondément et essuyais ma bouche avant de regarder l'enfant qui était désormais terrorisé. Il voulut à nouveau s'enfuir mais je l'attrapais par le col. «Hop hop hop mon lapin, tu restes ici ou je te mange aussi.» Ignorant ses cris de colère, je le traînais derrière moi pour rejoindre les autres.
Message IV | 764 mots:



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Mer 21 Avr 2021, 20:56

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« Pingu, Numérobis et Détective Conan à la plage. »


Une claque sur la nuque du doyen rehaussa son espérance de vie d’au moins cent ans supplémentaires. Il ne demandait qu’à réitérer l’expérience une seconde fois. D’ailleurs, il ne s’en priva pas pour lui flanquer un soufflet bonus. « Appelle-moi encore une fois comme ça le vioc, et je t’enterre sous le sable. Même si ta mémoire flanche, je te suggère d’oublier tout le reste et d’ancrer ce message quelque part dans un coin. » En s’attardant sur les deux membres de son équipe, le Démon s’insurgeait d’avoir tiré le pire lot possible. L’antipathie insupportable du premier intensifiait ses appétences pour les génocides, quant au relâchement du second, il amplifiait juste ses envies de meurtre. Ouais. C’était pas gagné. Toutefois, il reconnaissait la lucidité du Vampire qui quitta la troupe à l’instant crucial pour ne pas les importuner. Même si tous savaient qu’il se barrait par lâcheté et égoïsme. Du moment que Miss Teigne n’urinait pas sur ses belles chaussures, il s’en carrait la biscotte. De toute façon, ces individus méritaient de crouler derrière une cage, observés toute la journée par des mioches qui leur jetaient des quignons de pain.

« Un débile en moins, c’est toujours ça de pris. » Invectiva Deccio à propos de l’asperge qui tirait la tronche. Il avait à peine suffi que ce dernier s’éloigne pour lui faire retrouver le sourire. Quel perfide don possédait-il pour réussir à affecter son humeur de la sorte ? Assurément, des claques se perdaient, et par grappes de six, au bas mot. Quant à Severus, et bien, malgré une carrière plus proche du cimetière que de la foufoune de sa mère, il valait un peu mieux que l’autre tanche. Insensible aux guerres et encore moins à celles qui ne le concernaient pas, le Démon resta impassible lorsque les mercenaires sommèrent de le tailler en pièces. D’un rictus consternant d’arrogance, le blondinet avança à côté du vieux loup pour le gratifier d’une abrupte tape dans le dos. « Ah ah, bien dit vieux crouton. Ça me rassure de voir que je suis pas tombé qu’avec des dégonflés. T’as des cojones et j'aime ça. Maintenant, tâche de pas canner avant le huitième round sinon c’est moi qui te crève. Et je pisserais sur ton cadavre en prime. » Parfois, Deccio perdait toute forme de civilité au profit d’un instinct animal, limite despotique.

Maintenant qu’il en avait terminé avec ses encouragements, le maitre des combats se focalisa enfin sur son art ultime : celui de casser des mouilles en minimisant la durée par principe de précarité. Se débarrassant d’une partie de sa tunique pour dévoiler sa saillante musculature d’acier, le protagoniste assouplit ses articulations, usant d’un jeu de jambes exemplaire afin de se familiariser avec le sable qui ondulait sous ses pieds. Une fois en phase avec l’environnement, le beau Diable se précipita sur les guerriers, offrant son corps lavé de toute pureté à ces impies. Les mouvements et les gestes précis se succédèrent les uns aux autres, ses coups s’affirmant avec véhémence dans les tibias et la gorge de ses adversaires. Il ne lésinait pas une seule seconde sur l’emploi de la force brute, se démenant à trois cents pour cents pour établir une véritable hiérarchie entre lui et le reste. Il s’en donnait à cœur joie, étalant tous les participants qui souhaitaient s’investir du rôle de piñata. Et c’est qu’ils étaient nombreux. Deccio ne recourut jamais à l’utilisation d’une arme. Du moins, pas durant cette première vague, mais les choses n’allaient certainement pas demeurer telles quelles.  

Foutant sa dernière salve de baffes dans la face d’un rigolo qui trainait par-là, le Démon se tourna vers son unique associé dispo en présentiel. « J’allais vous prêter main forte, mais je constate que c’est futile. Avec une santé pareille, vous devez forniquer comme un Dieu. » Son regard se perdit vers une silhouette qu’il peinait davantage à apprécier. « Contrairement à certains émasculés. » Acheva proprement le geai moqueur tout en malaxant ses phalanges d’une façon bien étrange. « A l’aiiiiiiiide ! » Hurla une jeune fille en passant en toute hâte près d’eux. D’après son sens de la déduction remarquable, elle devait faire partie des enfants à sauver. A quelques mètres derrière la cible, un soldat tentait désespérément de la rattraper en agitant son cimeterre dans tous les sens. Il ne le secoua pas bien longtemps, Deccio s’interposant entre lui et la fugitive. Empoignant le bras du malandrin qu’il positionna en étau dans le creux de son coude, ce dernier le déboita instantanément, accueillant le cri de l’homme avec au moins autant de délectation qu’une fellation. « Hep, le vieux. Occupe-toi de cet enfant à ma place, veux tu? Si on attend après le macchabée, on est pas sorti du sable. » Qu’est-ce qu’il mourrait d’envie de lui filer une beigne bien cuite, à peine sortie du four. D’habitude, il arrivait à contrôler ses pulsions, mais là… aie aie aie. Oh et puis merde. En attendant la suite des escarmouches, il orienta sa destination vers celle de Dorian. « Hey Blanche-fesse ! Attends-moi, j’ai une charade pour toi. » Mon premier pue la mort. Mon second suce autant qu’une trainée. Mon troisième est aussi expressif qu'une table basse et mon tout est une locution mal orthographiée. Qui suis-je ?




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