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 Inventer, c’est penser à côté

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Kyra Lemingway
~ Déchu ~ Niveau III ~

~ Déchu ~ Niveau III ~
◈ Parchemins usagés : 4741
◈ YinYanisé(e) le : 22/03/2016
◈ Activité : Tenancière d'un Bar à vin (rang I) ; Négociatrice (rang I) ; Brasseur (rang I) ; Reine du monde des contes à mi-temps
Kyra Lemingway
Sam 23 Nov 2019, 22:18



Je choisis la marche en arrière pour arriver au sommet de mes pensées.
Pour ce moment de liberté, Je grimperais trois fois, et chaque fois d’un différent coté.
Je n’ai besoin de luxes pour me sentir satisfaite.
Seulement le travail que je dois faire dans ma tête me donne des espoirs.
Et qu’importe la sueur pour comprendre que j’existe dans ce monde éphémère.
je n’ai pas besoin de gloire, aucune jalousie, tout est possible dans mon esprit libre.
L’union humaine est une merveille, avec du travail devient le miel de l’abeille.

Inventer, c’est penser à côté


Maximilien avait pendant un certain temps privilégié le travail fin du bois avec Luam à celui du fondateur sur les chantiers. Hors il savait que si l’on voulait découvrir la cité dans son entièreté, il ne lui fallait pas négliger cette partie là de lui. Pourtant, même avec cette prise de conscience il retournait régulièrement chez l'Humaine. L'atmosphère y était différente. Qui plus est, il la savait sincère dans ses mots et dans ses gestes. Une qualité qui se perdait, bien que certain parleraient plutôt de défaut. Il donna quelques coups sur le bois de la porte avant de poser sa main sur la poignée. Mais avant même qu'il ne pousse la porte elle répondit par un, « Entre, c’est ouvert. ». En pénétrant la pièce, il la trouva penchée sur son bureau, une lampe à huile éclairant son ouvrage. « Je sais, c'est toujours ouvert, même quand t'es pas là. » - « Ah oui ? J'ai jamais fais attention... », rétorqua-t-elle négligemment. « Comment t’as su ? », demanda-t-il en s’approchant. « Que s’était toi ? À ta manière de frapper. ». Il fronça des sourcils. « Je suis pas sûr de comprendre. », ajouta-t-il en attrapant un ciseau à bois avec lequel il jongla d'une main. Elle poussa un soupir comme elle levait le nez de ce qu’elle était en train de faire. « Repose ça. », lui dit-elle d'une voix autoritaire, ce à quoi il répondit en levant les mains, « Bien madame. ». Puis il reposa sagement l'outil où il l'avait trouvé. Elle haussa un sourcil et reprit. « Quand tu as frappé à la porte, j'ai su que c'était toi. On a chacun ses manières et depuis le temps j’ai fini par reconnaître ta façon de frapper à ma porte. », lui expliqua-t-elle comme s'il s'agit d’une évidence. Ce qu’il ne manqua pas de relever. « Évidemment pourquoi j'y ai pas pensé plus tôt. ». Un rictus se dessinait sur les lèvres de Luam. Elle était parfaitement consciente qu'il se moquait d'elle en entendant le ton qu'il avait employé. Elle ne répondis rien sinon offrit un rictus rieur. Ce merdeux commençait à prendre sérieusement ses aises depuis quelques temps. Elle se retourna vers le bureau avant de reprendre, « J'ai fini hier l'armoire sur laquelle on travaillait la dernière fois. » - « Oh. Alors c'est jour de repos aujourd'hui ? », rétorqua  le Kaahi avec un air ironique. A nouveau Luam se tourna vers Maximilien. « Jour de repos ? Ça aurait pu. Mais je viens d'en décider autrement. ». Mensonge. Du moins c'est ce qu'il songeait. Il avait du mal à s'imaginer l'ébéniste profiter d'une journée sans commande pour musarder dans la ville. Elle lui fit signe de s'approcher. Aussi se saisit-il d'une chaise  afin de s'installer à ses côtés. Il put ainsi voir disposé sur le bureau plusieurs échantillons d'essence. « On va profiter de ce temps libre pour faire un peu de révision. » - « Comment ça ? » - « J'ai vu comment tu faisais pour reconnaître les différents types de bois. ». Elle se tourna vers lui, pointant son index sur son visage comme si elle s'apprêtait à le remontrer. « Tu te reperds grâce à leur écorce. C'est malin. Mais inutile. », conclut-elle en balayant l'air de la main. Ce n'est pas sur l'écorce de l'arbre que l'on juge de la qualité d'un bois pour un ouvrage. «  C'est en observant sa couleur, le détail de ses nervures. ». C'était également pour cela qu'il doutait qu'elle ne puisse passer sa journée à faire autre chose que ne serait-ce se faire une création personnelle. Elle était bien trop passionnée par son métier pour ça et elle savait transmettre cette passion. Elle marqua un temps où elle rassembla les échantillons. « Il faudra que tu saches reconnaître une espèce uniquement en observant son essence à l'avenir. », ajouta-t-elle en lui tendant le regroupement de bois. « Me voilà de retour à l'école à devoir me taper les leçons le soir. », répondait le rouquin, narquois, en se saisissant des essences. « On ne finit jamais d'apprendre. Même après avoir quitté la cours. ». Il haussa des épaules. « Maintenant je veux voir si tu as déjà retenu quelques un d'entre eux. ». Maximilien commença à les détailler un à un pendant qu'elle commença à croquer quelque chose sur un rouleau de parchemin. Le tilleul, le bouleau ou le chêne furent facile à reconnaître. D'autre passèrent totalement à la trappe. Il attardait cependant ton regard sur l'un de ces derniers. « Celui-ci... Qu'est-ce que c'est ? » - « Du teck. Ça ne m'étonne pas que tu ne l'ai pas trouvé celui-ci. Il est principalement utilisé pour le mobilier naval. ». Il fronça des sourcils. Alors c'était là qu'il avait vu cette essence-là.

La porte s'ouvrit soudain dans le bruit grinçant des gongs. Luam tourna rapidement la tête vers cet intrus. « Le moulin c'est pas ici. Demi-tour et oubliez pas de fermer la porte derrière vous. ». L'homme s'arrêta net face à cet accueil. « Mais.. Je venais pour... » - « Vous voulez savoir ? J'en ai rien a faire. ». Maximilien détaillait l'Humaine, surpris. Ça aurait pu être quelqu'un venu demander un service ou commander un meuble ou tout autre objet requérant ses compétences. En l’occurrence, il se doutait que ce n'était pas le cas. « Attends, c'est pour moi qu'il est là. » - « Et ? Qu'est-ce que ça change ? », rétorqua-t-elle sévèrement. Strictement rien à ses yeux, clairement. Maximilien fit signe de la main à Ra'ad de quitter la pièce. « Je reviens. », fit-il à l'attention de l'Humaine en posant les échantillons. A l'extérieur, il retrouva Ra'ad adossé au mur, les bras croisés et l'air bougonnant. « Et t'arrives à supporter cette grognasse ? », fit-il en voyant Maximilien passer le pas de la porte qui répondait d'un haussement d'épaule. « Nan, finalement ça m'étonne pas que vous vous entendiez bien tous les deux en réfléchissant un peu. » - « Comment ça ? » - « Peu importe. Y a Antonija qui vient d'arriver. » - « Antonija ? Qu'est-ce qu'elle fait ici ? » - « A ton avis ? » - « Justement. ». Il poussa un soupir comme il se passait une main dans les cheveux. « Je la rejoins quand j'en ai fini. ».

En revenant auprès de l'Humaine, il vit cette dernière l'observer d'un œil sérieux. « Antonija ? » - « Tu es jalouse ? », répondit-il d'un ton railleur auquel l'ébéniste répondit par un air équivalent. « Et toi tu es bien sûr de toi. ». Un rire échappa au Kaahi. Pourtant il vit rapidement Luam reprendre un air austère. « Qu'est-ce qu'il y a ? » - « C'est ton Ange c'est ça ? » - « Oui, et bien ? ». Après quelques secondes elle poussa un soupir. « Non rien. ».
C'est la personne humaine, libre et créatrice qui façonne le beau et le sublime.

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Kyra Lemingway
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Kyra Lemingway
Lun 25 Nov 2019, 22:05



Je choisis la marche en arrière pour arriver au sommet de mes pensées.
Pour ce moment de liberté, Je grimperais trois fois, et chaque fois d’un différent coté.
Je n’ai besoin de luxes pour me sentir satisfaite.
Seulement le travail que je dois faire dans ma tête me donne des espoirs.
Et qu’importe la sueur pour comprendre que j’existe dans ce monde éphémère.
je n’ai pas besoin de gloire, aucune jalousie, tout est possible dans mon esprit libre.
L’union humaine est une merveille, avec du travail devient le miel de l’abeille.

Inventer, c’est penser à côté


Maximilien feuilletai les différents croquis de l'ébéniste comme cette dernière finissait son propre dessin. « Ce n'est pas bien de fouiller dans les affaires des autres. » - « Je ne fouille pas je m'instruis. », rétorqua-t-il d'un air nonchalant. Elle leva le nez de son parchemin et le scruta quelques secondes avant de répondre, cynique, en se replongeant sur son travail « C'est qu'il apprend vite le gamin. ». Cette fois ce fut lui qui quitta des yeux les différents dessins pour la fixer. « Gamin, sérieusement ? » - « Le jour où l'élève dépassera le maître alors éventuellement je songerai peut-être à ne plus te voir comme un sale gosse... » - « Ça fait quand même beaucoup d'incertitude... ». Elle eut un rire bref. « Ah oui ? Je n'avais pas cette impression pourtant. ». Le rouquin leva les yeux au ciel. Peu importait s'il acquérait une renommée sans nom, elle n'avait pas la moindre intention de revoir sa position. « Au lieu de te foutre de moi, tu peux m'expliquer ce que c'est que ça ? On dirait le plan d'un bâtiment. ». Elle tourna vivement la tête. « Ça... Un travail inachevé. J'aurai dû le brûler il y a longtemps. » - « Comment ça ? ». Elle marqua un temps puis croisa les doigts sous son menton, la tête légèrement penchée sur le côté de façon à ce que son regard croise celui de Maximilien. « Dis-moi. Est-ce que tu es capable de garder un secret pour toi ? Crois-tu pouvoir tenir ta langue si l'on venait à te confier quelque chose d'inavouable. ». Il ne détacha pas son regard de celui de Luam. Que cherchait-elle à savoir ? Avait-elle quelque chose à cacher ? « Je pense que oui... » - « Non. La réponse est mauvaise. Il ne faut pas seulement penser. Tu dois en avoir la certitude. ». Était-ce si grave pour qu'elle insiste ainsi ? « Dans ce cas, je te confirme que je saurais garder ce secret. ». Vraiment ? Probablement, mais quelle garantie avait-il ? Elle le dévisagea un instant avant de reprendre. « Tant mieux. Ce que tu viens de trouver, c'est un secret que l'on m'a confié. », conclut-elle en désignant le parchemin d'un signe de tête. Le Kaahi fronça des sourcils. « Comment ça ? » - « L'ébéniste magnifie le mobilier. Mais ce n'est pas tout. Il est aussi le faiseur de faux-semblant. Les trappes invisibles menant aux passages souterrains. Les doubles fonds dans les meubles. Les mécanismes cachés dans les murs et les meubles permettant d'accéder à des lieux qui n'existent pas. ». Il la fixait avec intensité tandis qu'elle prononçait ses paroles. Il comprenait à présent la raison de son insistance. Ce genre d'oeuvre demandait de la discrétion et il était inutile de dire que le commanditaire n'allait pas se renseigner auprès de dix ébénistes pour un tel travail. « Tu as dis qu'il était inachevé. » - « En effet. Je suis partie de Haute-Terre, les croquis étaient seulement validé et j'allais juste commencer. » - « Pourquoi tu es partie avant la fin ? » - « Quelle importance ? On ne refait pas le passé. Je t'apprendrais ce genre de travail. Mais si un jour tu venais à le mettre en pratique, tu devras faire attention à tes commanditaires. » - « Certains ne prennent pas le risque de laisser fuiter l'information en laissant le maître d’œuvre en vie... J'ai juste ? ». Elle se contenta de te répondre par un regard appuyé avant de revenir sur son croquis.

« Là. J'ai fini. », fit-elle en dépliant fièrement le rouleau. « Oui. Elle me plaît bien. » - « Une table ? Je croyais que personne n'était venu commander quoi que ce soit. », fit Maximilien en se penchant pour voir le dessin. « Une table basse plus exactement. Et si. C'est une commande pour moi-même. ». Le Kaahi se tourna vers l'Humaine en haussant un sourcil. « Je suis arrivée ici sans rien. Il faut bien que je meuble. Et comme tu n'as pas l'air pressé de rejoindre tes amis, tu vas, bien entendu, m'aider à commencer ça ! », finit-elle avec un sourire exagéré avant de reposer le plan sur le bureau, le calant à l'aide de deux planches en bois. Le rouquin la suivit un instant des yeux comme elle commençait déjà à s'activer. Cette femme ne s'accordait donc jamais une minute pour elle ? Tandis qu'elle s'approchait des planches de bois, elle se retourna vers Maximilien, les sourcils froncés. « Et bien ? Qu'est-ce que tu fais encore assis là ? C'est quand tu veux que tu viens m'aider. Tu sais que je fais pas dans la charité, si tu viens pour glander tu peux repartir. ». Un rictus amusé se dessina sur ses lèvres en même temps qu'il haussa un sourcil. Puis il se leva pour la rejoindre. « Je sais même pas ce que tu veux, tu le sais au moins ? » - « Va donc jeter un œil au croquis. Y a tout dessus... ». C'était étrange comme elle devenait une autre personne dès qu'elle se mettait à la tâche. Irascible au possible. Il poussa un soupir et récupéra le croquis pour le détailler quelques secondes, le temps d'avoir une vue d'ensemble de ce qu'elle comptait faire. « Du saule ? » - « A la base je voulais de l'ébène mais on en a plus. Alors on va tricher un peu et faire en sorte que ça ressemble avec le bois de saule. Sauf si d'ici-là on en récupère parce qu'on n'y est pas encore ! ». Il reposa le dessin pour aider Luam à récupérer des planches de châtaigner. « Je m'occupe de ça. Va donc récupérer le cèdre pour le placage. » - « Lequel ? » - « C'est écrit sur... » - « Justement, non. » - « Ah tiens. De toute façon on commence à être en rupture d'un peu de tout. Si les gars de Babelsba se dépêche pas, j'irai chercher mes fournitures moi-même. », elle poussa un soupir en même temps que le Kaahi eut un rictus amusé à la réplique de cette dernière. Elle en serait capable. « Prends celui qui te viens. J'aurais l'occasion de retravailler dessus à l'avenir. » - « Si tu le dis. ». Il récupéra une planche et la posa sur un établi avant de vérifier les mesures sur le parchemin puis chercha une mine des yeux. « T'as rien pour que je puisse marquer la planche. » - « Si, mais je l'utilise. » - « Alors il faut investir parce que c'est compliqué une mine pour deux. ». L'Humaine poussa un soupir. « Tu veux crever mon budget en fait ? C'est pas comme si c'était la première fois que je dédoublais le matériel depuis que t'es là. » - « Mais je peux m'occuper de ça, tu sais. Pas besoin de râler. ». Elle balaya sa réplique d'un revers de la main. « Tiens, j'en ai fini. », fit-elle en lui envoyant l'objet qu'il rattrapa de justesse. Il commença alors à dessiner sur le bois le motif désiré par Luam à la surface de l'essence. Il pourrait même travailler sur l'épaisseur plutôt que la longueur. Mais ça voulait aussi dire qu'il devrait travailler avec plus de précision pour sortir les plaques fines qu'elle demandait. Il attrapait alors un couteau à bois et commença son œuvre après avoir légèrement poncé la surface du matériaux. Probablement allait-il s'y reprendre plusieurs fois et Luam s'énerverait pour ça. Il le savait. Elle le savait également, c'était évident.

Lorsqu'il traversait les rues pour retrouver Ra'ad et Antonija qui l'attendait depuis le début de l'après-midi, les miroirs de Qaixopia réfléchissaient la lueur crépusculaire du soleil couchant. Pourtant il ne retrouva que Ra'ad, en train de se peler une mangue. « Où elle est ? » - « Antonija ? Elle est partie. » - « Comment ça partie ? », lâchait le rouquin, entre la surprise et la colère. « Ouai, elle a dit qu'elle se sentait oppressée sous terre comme ça. », expliqua-t-il en pointant le dôme de terre et de sable. « Alors elle est partie. » - « Sans rien dire, ni au revoir, ni excuse, ni merde ? ». Son ami haussa des épaules. Maximilien allait rapidement récupérer un vêtement épais et un chèche avant de prendre la direction de l'extérieur dans un juron, récupérant un chameau avant cela. La Wun avait peut-être quitté la cité souterraine, mais elle n'était pas partie. Il la retrouva à peine plus loin, à Utopia, dans un endroit qu'il avait lui-même l'habitude de rejoindre de temps à autres. « Sérieusement, t'aurais pu m'attendre là-bas ! » - « Oui... Je suppose. ». Il l'observa un instant. Elle semblait particulièrement remontée. « Qu'est-ce qu'il se passe ? ». Elle plongea son regard de jade dans le sien. « Pourquoi tu ne me l'as pas dit plus tôt ? Pourquoi est-ce qu'il a fallu que je l'apprenne des autres plutôt que de toi ? », finit-elle par lui lancer brutalement. Il laissa échapper une expiration. Alors ça y est. Elle avait fini par l'apprendre.
C'est la personne humaine, libre et créatrice qui façonne le beau et le sublime.

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