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 [XXIII] Soldat de garde pour la garde. [Weï]

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Mar 26 Fév 2019, 00:34


[RP Métier] Soldat de garde pour la garde.

[XXIII] Soldat de garde pour la garde. [Weï] Fentet10
~ Musique ~

Citation :
Catégorie de quête : XXIII. Métier
Partenaire(s) : //
Intrigue/Objectif : En tant que Soldat, on ne fait pas seulement la guerre. Il est aussi question d'appliquer la loi, en servant et protégeant le peuple. Pour sa première mission Wei est envoyé avec d'eau près du domaine d'un grand riche de l'île de Yangin, pour veiller sur le domaine et s'assurer que rien ni personne ne s'y n'approche. Pendant la ronde autour du domaine, lui et son collègue tombe sur un homme suspect qu'ils préfèrent géré à leur façon plutôt que risquer quoi que ce soit. Sa mission est de protéger et Wei prend très à coeur son rôle en tant que Soldat.


L’air étouffant de l’île de Yangin n’étais pas pour plaire à tout le monde. Cette atmosphère lourde pouvait être difficilement respirable pour des lyrienns autre que ceux du feu. Le ciel couvert d’une épaisse couche grise, mélange de cendre et de vapeur de volcan. Le sol lui-même laisser s’évaporé les gaz et la chaleur des terres du feu. Au milieux de la roche noir et des rivières de lave ce tenais ici et là d’extravagant bâtiments. Un en particulier était immense, au pied d’un des volcans les plus turbulents, à quelque lieu à peine de la caserne militaire. Le maitre de l’endroit était un ami proche du chef de l’armé, lui permettant une protection avantageuse par rapport à ses rivaux. Il n’est pas rare que le capitaine de la caserne envois une troupe de soldat ou deux pour garder les portes ou faire une ronde autour de du palais, simplement par précaution. L’homme de cette maison se nommé Sultan Anh Qiu Khalid, un lyrienn du feu d’on la puissance égaler la richesse. Le titre de Sultan n'étant que quelque chose que l'homme avait inventé pour sa personne, affirmant que le domaine où il vivait imposé un tel titre. Son orgueil l’avait poussé a ériger un palais a sa propre gloire. D’un égoïsme et d’une prétention rare il était persuadé que les puissant de ce monde ignoré son existence par peur. Il se targuer de représenté un immense danger pour le monde, mais dans sa grande bonté il contrôler son pouvoir pour ne blesser personne. D’après lui les créatures de ce monde devaient lui être reconnaissant de cette bien vaillance. Un mystère entouré cette homme et son immense fortune. Nul ne savait vraiment comment il avait accumulé tans de richesse. Il était arrivé un jour comme sorti de nul part et c’était placer comme l’un des lyrienns les plus puissant sans que nul ne sut jamais qui il était vraiment. Seulement son impressionnant trésor eux rapidement fait d’acheter quiconque contredisait l’homme. Sa noble prestance persuadant tout homme de ne pas croire une prestigieuse origine. Plus encore il avait tant d’histoire de victoire et de rencontre légendaire, qu’il compté avec tant de vigueur et de naturel que quiconque se laisser berné. Rien ne disait si c’était vrais ou faux, le plus important pour le capitaine de la caserne était l’argent que le Sultan offrait pour faire tenir les lieux. Il était l’un, voir le plus gros donateur. Presque à lui seul la caserne arrivé a subsister, acheter de nouveau équipement, entretenir les bâtiments et payé les soldats. Il était bien sur officieusement normal qu’en échange la caserne lui offre défense et protection.  Au fil du temps la caserne sud était pratiquement devenu l’armé privatisé du Sultan Anh Qiu Khalid.

C’est ainsi que pour sa première mission en tant que Soldat officiel de la caserne, Weï fut envoyé en binôme faire une ronde autour du bâtiment. C’était la première fois qu’on lui donner la chance de faire quelque chose d’autre que s’entrainer. Cela voulait dire qu’il était prêt à être sur le terrain. Du moins c’était le moment de prouver que c’était belle et bien le cas. Pour son binôme, Talek Deck Zol, c’était la routine. Soldat depuis plusieurs années maintenant il avait bien plus d’expérience que Weï. Pour cette mission il serait son superviseur. Le jeune soldat était à la fois nerveux et excité. C’était sa première et il avait envie de faire ses preuves, même si c’était seulement se mettre devant une porte et attendre durant des heures. Weï avait conscience qu’être soldat n’était pas toujours palpitants. Il n’était pas toujours question de se battre ou faire la guerre. Sur tout sur Yangin où les confrontations entre les Maitre Deck se compté en dizaine par jours. La rivalité ambiante était palpable. Aussi lourde que l’atmosphère de l’île.

Dans son uniforme, Weï était près. Il suivit Talek jusqu’au palais du sultan. Si le jeune homme avait connu la richesse c’était la première fois qu’il se confronter à l’opulence. Son seul comparatif était le Manoir Taïji. Une demeure d’un incroyable luxe, mais Weï se rendit compte devant l’exubérance du palais, cas son contraire le Manoir ne faisait pas excès de sa fortune. Là où le Manoir était tout en refinement et en décor esthétique, le palais offrait une débauche exubérante de trésor en tout genre. C’était comme une accumulation de tout ce qui était possible d’avoir le plus de valeur. C’était à la fois impressionnant et étrangement ignoble a regardé pour Weï qui avait vécu dans le luxe, mais la retenu des riches de ce monde qui ne trouver nullement besoin d’étaler leurs trésors à la vue de tous. Le choque était total et devait ce lire sur son visage car Talek lui donna un coup de coude bien placer dans les cotes qui le fit revenir à lui.

« Impressionnant hum ? Sultan Qiu Khalid est peut-être l’homme le plus puissant et riche de l’île et il n’a pas peur de le montré à qui veux. »
« Pas étonnant, la garde elle-même protège sa maison. »
« Je te conseil de ne pas manquer de respect au sultan, tu pourrais y perdre bien plus que ta place à sa porte. »
« Je dis juste que c’est facile d’être le plus puissant quand son domaine est surveillé et protéger par l’armé. » Le ton dédaigneux de Weï plu de moins en moins a Talek qui l’attrapa par le colle de sa tenue, grognant sa colère.

« Si tu veux que ce soit tes dernières paroles, continue comme ça. » De son sourire narquois, Weï leva les mains en signe de reddition. Il savait qu’il n’avait aucune chance, et plus encore que ça ne l’avancerait a rien d’en être arrivé là pour ce faire renvoyé de la caserne maintenant. Talek le laissa, non sans un regard meurtrier sous son casque. C’est en silence qu’ils gagnèrent la grande porte du domaine. La grille était forgée en or, tenu par des colonnes sculpté dans le marbre noir. Derrière la porte l’on pouvait voir une statue du Sultan au centre d’une fontaine de lave, accueillant les visiteurs avant les grands escaliers menant à l’entré. Talek pris place devant l’une des colonnes, prenant une position de garde. Weï fit de même de l’autre côté. Leur rôle était simple aujourd’hui. Ils devaient surveiller les lieux. Attendant que la relève ne vienne pour qu’ils commence une ronde autour du domaine. Les heures passèrent, et Weï ne pouvait s’empêcher d’imaginer comment la vie devait être dans une demeure si exubérante. Les murs étaient-ils peint d’or ? Les meubles en argents ? La nourriture meilleure que dans les palais des rois ? L’argent peut tout acheter, le lyrienn le savait et il rêver d’être aussi riche que cette homme. Il l’envier, mais du même temps trouver cette endroit dégoulinant et laid. Il fantasmé la vie que pouvait avoir le sultan. Il pouvait faire ce qu’il voulait protéger par la caserne si proche de chez lui. Il devait vivre comme un souverain sans même en avoir la pression politique. Une vie idéale. On disait de lui qu’il était d’une puissance à faire pâlir les légendes de ce monde. Pour sa part Weï ne l’avait jamais aperçu, mais des hommes qui l’avait croisé disait qu’il n’était pas beau. C’était bien la seule chose qui était désolant pour un tel homme, mais sa beauté physique n’était pas un frein, son argent le rendant d’une extrême beauté pour les femmes et persuasif pour les hommes. Weï était curieux de savoir à quoi ressemblait sa femme. Etait elle aussi belle qu’il était riche ? Il savait qu’il était marié et qu’il avait deux filles. Personne n’en parlé beaucoup, mais c’était une chose connue. Que devait être agréable la vie en temps qu’enfant d’un homme aussi aisé. Le besoin ne devant jamais entacher leur vie. Le luxe de tout avoir avant même d’y avoir pensé. Weï qui travaillé sans relâche, éreintant son corps à l’effort chaque jour pour une paye minable sans savoir si ses efforts seraient suffisant pour le sortir de sa situation était jaloux.

Vain le moment où la ronde précédente revint à la porte. Prenant la relève de la garde de la porte, Weï et Talek commencèrent leur propre surveillance autour du domaine. Longeant le grand mur ériger tout autour du palais pour y protéger les richesses. Comme tout ce qui était ici, le mur ressemblait plus à une muraille qu’une simple clôture. Talek conseilla d’un marmonnement à Weï de resté à l’affut. C’est ce qu’il fit, prenant sa mission à cœur. Bien qu’il n’avait nul respect pour l’homme vivant ici, par jalousie, il n’aller pas rater sa première chance de faire bien son travail. Sur tout qu’il serait payé plus si rien n’arriver à la demeure aujourd’hui. Il voulait aussi être repris pour ce travail car la paye était de toute façon plus importante que le minimum donner pour survivre dans la caserne et juste s’y entrainer. Les minutes furent longues à faire des aller-retour. Longeant le mur sans relâche. Observant les alentour pour voir n’importe quoi de suspect. Rien ne se passa jusqu’à ce que Weï aperçoive un homme accompagner d’un âne longer la rivière de lave proche du palais. C’était étrange qu’il soit seul, et surtout accompagner d’un animal. Sur cette terre désolée qu’était l’île de Yangin il était rare de croiser de la vie autre que les lyrienn de feu, l’air étant difficilement respirable pour beaucoup de créature, plus encore aussi près d‘un volcan. Weï fit signe a Talek pour lui montrer le voyageur. L’autre soldat du trouver cela aussi suspect car il se dirigea vers lui, forcent son second à lui emboiter le pas. De l’autre coter de la rivière de lave l’homme stoppa son avancer quand Talek l’interpella.

« Hey, vous ! Qu’est-ce que vous faite à roder dans le coin ? »
« Moi ? Roder ? Je ne fais rien d’autre que promener mon âne. »
« Si près du palais du sultan ? »
« Qu’est-ce que j’en ai à faire du Sultan ? Je suis loin de sa demeure, de l’autre coter même du fleuve. Vous pensé quoi, que je vais monter sur mon âne pour traverser et escalader ses murs ? Avez-vous quelque neurone fonctionnel où les soldats sont-ils tous aussi stupide que l’ont dit ? »
« Si vous n’êtes pas un voleur, vous êtes coupable d’injure à l’autorité de la région. »

« Ô je suis navré de vous avoir offenser. Vous allez faire quoi, me battre ? Pfff… ridicule. » L’homme riait, ce sentant protéger par la rivière de lave et il avait bien raison. Le temps de traversé il serait loin. C’était sans compté sur la colère sourde de Weï qui n’apprécier pas que l’on se moque de lui ou de sa profession. Sa colère lui fit faire usage d’un pouvoir qu’il utilisé rarement. Changeant le visage de l’homme pour l’esprit de l’âne. Rendant celui-ci monstrueux aux yeux de l’animal. Il prit alors peur de son maitre, dans la panique se mit à sauter angoisser. Le maitre essaya tant bien que mal de calmer la bête, mais ce fut une erreur quand celui-ci d’un coup de sabot projeta l’homme dans la lave. Si les lyrienns du feu son insensible au feu, il n’en est pas vrai de la lave. Certain aux pouvoir exceptionnel le peuvent, mais le commun du peuple du feu est tout à fait sensible à sa violence. C’est ainsi que Talek et Weï regardèrent l’homme ce noyé, le corps fondant dans la rivière rougeoyante. L’âne s’étant enfuis après avoir repousser son maitre, il ne resta que les deux soldats sur l’autre rive. Talek restant interdit devant la brutal scène. Weï pour sa part souriait, encore fasciner par la façon dont l’homme c’était calciner tout en coulant dans la lave. Toute trace de l’homme s’étant évaporé en quelque seconde.

« Pour notre rapport… Je dirais que nous avons géré une situation d’intrusion. » Weï acquiesça avant de ricané. Il avait réglé le problème seul, m’enfin il ne dirait rien, préfèrent que ce soit Talek qui face le rapport plutôt que lui.

« Continuons. » Talek ce détourna du fleuve pour retourner à la ronde, Weï jeta un dernier coup d’œil avant de le suivre, satisfait de sa journée. Y avait-il plu satisfaisant de voir quelqu’un mourir de sa main ? Il n’était pas sûr.


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