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 [IX; XXIII] Un jour après l'autre. [Weï]

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Mar 26 Fév 2019, 00:27


[RP Métier] Un jour après l'autre.

[IX; XXIII] Un jour après l'autre. [Weï] Fentet10
~ Musique ~

Citation :
Catégorie de quête : IX. Apprentissage; XXIII. Métier
Partenaire(s) : //
Intrigue/Objectif : En théorie faire la guerre est simple, mais en pratique tout devient compliqué. Savoir se battre ne s'apprend pas en un jour. Weï l'apprend chaque jour durant sa formation pour être soldat dans l'armée Yangin. Si les jours semblent parfois identiques, c'est à force de persévérances et de travail que le lyrienn du feu améliore ses capacités. Avec la rigueur de sa formation il évolue petit à petit. Chaque jour lui apportant plus de force physique, de vivacité d'esprit et de contrôle sur son Qyndily Mantris. Il sait que ce n'est cas force de persévérance qu'on le laissera sortir du camp d'entrainement pour faire ses preuves. C'est ainsi que même si les journées sembles se ressemblaient et se suivre pratiquement à l'identique, la vérité c'est que chaque jour son expérience devient plus grande et il se rapproche du but en devenant meilleur.


Repousser le drap du lit. Poser un pied après l’autre puis se passer une main dans les cheveux. Une fois sur ses deux jambes, enfiler un caleçon. Ouvrir son placard, prendre ses affaires et se diriger var la salle d’eau. D’abord prendre le rasoir et s’occuper de son visage, puis un peu de ses cheveux. Se laver à l’eau froide, essayé de ne pas y penser croyant que ça aidera. Se sécher, s’habiller. Un pantalon et une chemise sans colle, tous deux légèrement trop moulant au gout de son propriétaire. Retour à la chambre, ranger ses affaires de nuit. Enfiler des bottes de combat. Aller à la cantine. Prendre son café avec un bol de musli, de fruit et de la viande séchée. Apprécier un peu la compagnie des autres autour. Le bruit, la vie. Observé en silence la fumer quitter sa tasse, dansant au-dessus de la marée noire. Se perdre dans ses pensées, puis revenir à soi sifflements du début de journée. Sortir avec les autres dans la cour, rejoindre son groupe d’entrainement est commencé à courir. Prendre le temps de s’échauffer, de s’étirer. Les jambes, les bras, les épaules, tout sans exception. De longues minutes à préparer son corps, chauffer est étiré ses muscles endoloris de la veille, pour le reste de la journée. Ce n’est qu’une fois réellement prés que la journée peut commencer.

Répétitions de gestes. Enchainement de techniques. Faire et refaire le même geste jusqu’à la perfection, et le travaillé encore sans relâche. Frapper ses mains, ses pieds contre des mannequins en bois sous le regard avisé de ses supérieurs. Se faire reprendre sur sa posture, recommencé l’exorcise. Se faire réprimander, hurler dessus, et quand le geste est juste ne recevoir rien d’autre qu’un signe de la tête. Jamais un compliment, jamais un encouragement. Pas ici. Sué sans s’arrêter jusqu’à ce que le soleil soit assez haut dans le ciel pour sifflet l’heure du déjeuner. Boire d’un peu d’eau d’une gourde offerte par un collègue. Suivre les autres à la cantine. Se rassoir pratiquement au même endroit qu’au matin. Attraper le second bol de la journée, cette fois rempli d’une mixture changeante chaque jour. Pas très appétissant au premier abord, quelques cuillères plus tard c’était mangeable, bien que l’on s’habituer plus à la texture qu’au gout certes. Des œufs ou un morceau de viande accompagner d’ordinaire ce bol, avec pour à côté des pommes de terre. Parfois en purées, parfois frites, le plus souvent simplement à l’eau.

Rendre ses couverts, retourné dans la cour. Courir quelque tour pour digérer son repas. Commencé les combats de l’après-midi. Avoir un partenaire imposé. Appliquer les techniques du matin. Mettre en pratique les théories. Réussir, mais aussi échouer. Prendre coup sur coup, mais encaisser. S’entendre profaner des insultes, en recevoir en retour. Désiré faire mal plus qu’arriver à progresser. Oublier l’essentiel, ce concentré sur sa haine. Tomber à terre épuisait, se faire sermonner pour réagir comme un enfant. Changer de partenaire, recommencer. Vouloir se reprendre, prouver aux autres et à soi-même que l’on est capable. Réussir à tenir tête, arriver à batte son adversaire. Ne pas s’être montré trop ridicule durant tous les combats. Enchainer de nouveau sans avoir le temps ne se reposer. Toujours être sous pression, accablé par l’effort et la douleur, car en combat jamais l’adversaire n’arrête. Un champ de bataille n’offre aucune compassion. Apprendre que son ennemie ce n’est pas l’autre, mais ses soi-même et sa propre endurance. C’est au premier qui faiblira et créera une brèche dans sa défense. C’est à celui qui ne sera plus capable d’encaisser les frappes. Un seul genou par terre et c’est déjà la fin. Alors il faut être le plus fort, le plus agile, le plus endurant. Restez humble, mesuré la force de son adversaire et l’accepté. Ne pas sous-estimer pour savoir à quoi s’attendre et toujours se battre au maximum de son potentiel.

Contrôler le feu. Sentir l’agréable chaleur couvrait ses poings et ses bras. Aimer cette sensation de puissance qu’offre la destruction. La beauté des flemmes jaillissant des paumes vers son ennemie. Canaliser sa magie pour créer des projectiles incendiés. Eriger un mur de feu pour se protéger. Choisir des attaques de tir de feu quand celle-ci si prête. Préférez-le contacter et ne pas avoir peur de combiner force brute et puissance de la nature. Frapper de ses poings et de ses pieds enflammer dans des cascades et acrobaties impressionnantes, mais aussi encore par moments maladroits. Ce sont des points faibles qui trahissent la victoire. Permets des ouvertures qui empêchent de se protéger contre les contres coud. Manger de l’eau, de la pierre, du métal, on apprend à tout encaisser, mais rien ne rend la tâche plus facile. Il faut vite se remettre sur ses appuis, en position de défenses. Ça aide, mais ça n’est pas suffisant. La douleur est bien présente. Le sang a déjà coulé et il continue de se déverser sur la terre retournée. Les combats s’enchainent. Il n’y a jamais de gagnant ou de perdant. Tant que l’on tient sur ses deux pieds jusqu’à la fin c’est une victoire. Le principal c’est de mettre en pratique les apprentissages, et assurait ses acquis. Amélioré sa technique, sa force et sa vitesse. Quelque chose de plus difficile encore, sa perception, sa réflexion. Prendre le temps d’analysé pour savoir quel coup porté à quel moment. La vivacité de l’esprit était le plus difficile à avoir et garder durant tout un combat. Chaque second compte, une décision doit être pris dans un laps de temps si réduit qu’il est souvent méprisé, remplacer par la force brute. Essayé tant bien que mal de garder la tête froide. Chaque coup rendant la vue plus difficile. La tête cognant, l’adrénaline pompant dans les veines. C’est un supplice de penser, mais il faut ce forcé. Travaillé sa concentration. Son adversaire, ses bras, ses jambes, sa façon de se tenir, sa position, ses attaques et sa défense. Tout analysé tout en se défendant soi-même. Lancer des coups pendant sa demi-analyse. Avoir échoué, parfois réussit. Finir au même endroit comme à chaque fois. Par terre. D’épuisement ou de défaite.

Avoir passé des heures à se frapper avec ses adversaires jusqu’à ce que le soleil commence à se coucher et que le sifflet final ne résonne. C’est celui que l’on aime. Qui soulage. La fin de cette journée interminable. On se lève difficilement. Attrape une gourde et le vide sur son visage plus que dans sa gorge. La chemise collante, crasseuse, à moitié déchiré. Un soupire plus tard, en pensant à l’argent que l’on n’a pas pour s’occuper de ça, on se dirige vers l’infirmerie. Après s’être bousculé avec les autres dans le même état on s’assoit enfin sur un lit. La chemise et le pantalon son retiré, sans pudeur. Les plaît sont regardés, nettoyé et fermé. On vérifie les articulations. C’est douloureux par de nombreux endroits. Des bleus violacés couvrant tout le corps. Les muscles son légèrement masser après avoir été regardé pour éviter d'éventuelles déchirures. Il n’y a rien de pire qu’une blessure d’entrainement. Avoir travaillé, s’être saigné jusqu’aux os pour ne finalement jamais sortir de l’entrainement. Cela devait être l’agonie. Personne ne voulait vivre ça. Après avoir été regardé et tâter dans tous les sens, être mit dehors sans plus de cérémonie. Retourné dans ses quartiers. Prendre de nouvelles affaires, aller se laver. Nettoyé ses vêtements. Frotter la terre pour espérer la faire désincruster le tissu, sachant que pour le sang c’était déjà trop tard. Retourné à son lit. Etendre son linge au-dessus de son lit, un pauvre saut dessous pour y recueillir les gouttes. Prendre sa chemise et son pantalon de la veille. Avec une aiguille et du fil recousait les trous. Se piquer plusieurs fois. Grogner plusieurs insultes et insulter les camarades qui se moquent mais ne sont pas bien meilleurs. Se débrouiller pour que cela ressemble à quelque chose. Espéré que cela suffirait à satisfaire son chef. Ranger ses outils de coutures, replier son linge.

Rentré pour la dernière fois de la journée dans la cantine. Y prendre son dernier plat. Fatiguer, manger lentement, plus intéresser par son lit qu’au discutait de table. Entendre des invitations pour sortir à la taverne du coin. Décliner sans se soucier des moqueries. Quitter la table après l’avoir lavé. Se séparer des camarades encore vaillants pour aller noyer leur maigre paye dans l’alcool.  Apprécier le calme de son dortoir avec le manque des collègues. Aller se rafraichir une dernière fois à la salle d’eau. Retiré ses vêtements. Défaire son lit. Se glisser sous les draps. Fermer les yeux sans être perturbé par la lumière encore allumer car trop exténuer. Se faire bousculer dans son sommeil. Ouvrir les yeux sur ses camarades aussi ronds que des queues de pelle. Être trop épuisé pour s’énerver, mais s’énerver quand même. Devenir furieux quand on est tiré des draps pour aller avec eux. Refuser. Plusieurs fois. Avec force et persuasion. Ne pas non plus vouloir faire un scandale est alerté les chefs. Finir par accepter. Pas pour soi, pour les autres. Enfiler quelque chose à moitié, ce retrouvé dans la taverne avant même de l’avoir remarqué. Une chope dans la main que l’on n’a pas payée car c’était une des conditions de sa venue. Ne pas apprécier le gout amer et salé de la bière médiocre, mais sourire quand même pour l’ambiance avec les copains. Rire, chanter, trinquer, jusqu’à ne plus ce souvenir de l’heure ni du lieu. Avoir des filles autour. Jouer, flirté, se faire gifler, flirté encore gagner, toujours pour ce faire gifler mais sans avoir baisé.

Ignoré comment on est rentré, ni même à quelle heure. Avoir oublié un vomi ou deux, s’en souvenir d’un, qui n’est pas le sien. Ne plus être aussi riche qu’en début de soirée, mais ça aussi l’avoir oublié. S’écrouler dans son lit. Raid mort, s’endormir sur le coup. Peut-être même être dans un coma vu son état. La bave au bord de la bouche, humidifier son oreiller qui n’avait rien demander. Dans son sommeil avoir trop chaud, se défaire de ses habits avec une impressionnante dextérité. Finir en caleçon enroulait dans son drap. Bienheureux, le corps épuisé, l’esprit léger. Faire une courte nuit sans rêve, tout sauf réparatrice. Entendre le sifflet du matin, avec la désagréable impression qu’il résonne dans son crâne. Le soleil n’attend personne, le jour recommence. Alors comme un combat sans fin, lutter contre la nuit hantant encore con corps. Voir sa vie recommencée à zéro et comme chaque matin refaire le même refrain. Une routine de vie, encore et toujours presque identique. Repousser le drap du lit. Poser un pied après l’autre puis se passer une main dans les cheveux. Une fois sur ses deux jambes, enfiler un caleçon. Ouvrir son placard, prendre ses affaires et se diriger var la salle d’eau. D’abord prendre le rasoir et s’occuper de son visage, aujourd’hui pas besoin de toucher ses cheveux. Se laver à l’eau froide, pour faire passer la gueule de bois. Se sécher, s’habiller avec ses vêtements rapiécer de la veille. Ne pas faire un geste, ni une action sans penser à son café qui heureusement le sauve tous les matins. Chaque jour est un cycle éternel, celle-ci comme toutes les autres se répéteront inlassablement. Ils appellent ça la routine, il appelle ça la vie. Sa vie.

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