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 [XXXII | RP dirigé] Château château, que nous caches-tu ? [solo]

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Dim 17 Mar 2019, 03:09

Catégorie de quête : XXXII - RP Dirigé
Partenaire : Aucun
Intrigue/Objectif:

* * * * *

J'avançais pas à pas sur le chemin qui semblait mener à la porte d'entrée de ce château, une brume empêchait d'en voir la grandeur et les détails extérieur. Cela donnait l'impression d'un lieu très peu recommandable, le manque de lumière et de quelconque activité autour de celui-ci n'aidait en rien à cette impression. Des oiseaux noirs volait ici et là, leurs cris se mêlaient au craquement de mes pas sur le sol tandis que j'approchais de la porte. J'attrapais le heurtoir pour en donner trois coup rapide, politesse ou crainte d'être aperçu dans un endroit qu'il ne faut pas ? Je laissais passer quelques minutes, j'obtenais le silence pour seule réponse et me risquait à tirer la lourde porte pour l'ouvrir. «Même pas verrouillée... » J'y entrais dès que l'embrasure vu suffisante, tirant aussitôt pour refermer avec le grincement des battants qui n'appréciait pas le dérangement. Je faisais ensuite face au hall d'entrée, je regardais à gauche et à droite mais toujours personne. Le lieu semblait désert bien que toujours meublés et décorés, comme si tout le monde avait dû partir en vitesse sans rien apporter mais que tout avait été fait dans une grâce exemplaire pour ne rien déranger de l'apparence. Je laissais mes pieds me guider vers la droite, un couloir plutôt court qui menait à une aile sur la gauche dont je ne pouvais voir l'extrémité. Des chandeliers placé de façon stratégiques illuminaient juste assez le passage où j'y trouvais une série de portes, certaines closes, d'autres ouvertes. «J'explore ou je crie pour voir si l'on m'entends ? Non... si je les réveils ils seront encore moins heureux d'avoir de la visite.» J'attrapais une poignée et ouvrait lentement, une simple chambre dans un état impeccable. Je recommençais, encore et encore, me buttant parfois à des accès verrouillés où j'essayais de regarder par la serrure sans succès dans la majorité des cas. Ce qui avait été vu paraissait simple, des lieux de lectures, de nombreux livres, rien d'étranges en somme.

Je décidais d'avancer plus loin, évitant de nombreuses portes pour laisser mes impressions me guider. Un bouquet de roses noires attirait alors mon attention à l'entrée d'une salle, je m'y avançais, sourire en coin de voir la porte s'ouvrir sous la pression de mes doigts. Pas à pas pour une exploration sommaire, j'allais feuilleter les livres laissés ouvert sur une table. Je n'y comprenais pas la langue mais les images montraient ce qui devait être des humains puis peut-être des formules d'incantation suivi d'image de pots de diverses tailles. Troublant alors que mes yeux se posaient sur la table un peu plus loin où de multiples pots attendaient pour servir. J'en eu des frissons et quittait aussitôt cette pièce. «Tout ces récipients... jadis des humains ? Faut être dérangé pour faire ça ! » Ça et là je trouvais des livres sur des piédestaux, certains étaient lisibles, parlant de nécromancie et malédictions. Cet endroit n'avait rien d'une retraite paisible en toute quiétude, il en était presque effrayant de toucher un objet dans le doute que ce soit une personne. Un endroit inconnu, des livres aux sujets louche, personne pour accueillir à l'entrée, ma curiosité l'emportait sur la raison. Explorer et comprendre plutôt que fuir et ne pas terminer ce pourquoi j'étais là. Soudain je m'arrêtait devant un miroir à main et observait mon reflet. «Pourquoi suis-je ici au juste ? Ma mission était sur la Mer Maudite pas dans un château. J'ai juste passer le portail qui était par hasard à côté de la source du problème.» Je me tapais le front avec la paume de la main. «Et si tout les corps venaient d'ici ? Le portail servait à les expulser discrètement à des lieux d'ici, l'artéfact les gardaient là et les trop curieux mourraient aussi...» C'était logique dans ma tête mais d'un autre côté, pourquoi toute cette mascarade ? J'haussais les épaules et continuait à chercher au moins un être vivant dans cette demeure trop grande à mon goût. Ce château semblait digne d'un labyrinthe intérieur et pourtant je n'avais que farfouiller dans une seule aile du bâtiment. Je revenais sur mes pas au lieu d'atteindre la fin du couloir pour retourner vers l'entrée où j'avais vu un escalier, j'espérais que le deuxième étage aurait plus intéressant à offrir comme trouvaille.

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Dim 17 Mar 2019, 18:55

Je sentais des courants d'air froid sur ma peau, assez pour m'en donner des frissons, comme si il y avait beaucoup de mouvement à cet endroit alors que je n'y voyais personne. Toujours des livres et des roses, ça et là dans les couloirs et les pièces que je parvenais à ouvrir. Tout semblait si propre, à croire que le départ était encore récent et que la poussière n'avait pas eu le temps de commencer à couvrir les meubles et objets. Mais pourquoi tout quitter sans rien apporter ? Ne serait-ce que ce qui avait de la valeur plutôt que d'abandonner aux mains du premier vilain venu. Porte après porte, je cherchais à comprendre, à trouver des réponses à ce lieu, un nouvel accès bloqué qui piquait ma curiosité plus qu'ailleurs. Je posais la main sur la poignée et jouait avec le métal de la serrure pour en déverrouiller l'accès. J'y entrais lentement, ce qui était sous verrou ne pouvait qu'avoir une certaine importance, d'autant plus dans un château dont l'entrée principale n'est pas fermée. La pièce était gigantesque et s'étendait sur deux étages, sûrement l'une des portes que je n'avais pu ouvrir au rez-de-chaussé. Un escalier en colimaçon en son centre tandis que tout autour se trouvait une collection impressionnante de statues. Je m'en approchais pour en observer les détails, le réalisme était bluffant, tant par l'expression des visages que la perfection des corps. Nulle marques de sculptures, comme si des femmes et des hommes avaient servis de moule d'abord puis coulé ensuite. Puis me revenait à l'esprit les livres lu un peu plus tôt, parlant d'humains transformés en objet, est-ce que cette folie avait été jusqu'au point de transformer en oeuvre immortelle des êtres vivants ? J'en eu des frissons dans le dos à cette idée, me reculant d'un pas devant la statue d'une femme magnifique dont la pose était celle d'une coureuse. Même ses cheveux étaient figés dans un mouvement de vent, à croire qu'elle s'enfuyait... J'explorais néanmoins les deux étages, à la fois par curiosité et besoin de trouver des informations sur cet endroit, je remontais bredouille pour sortir de la pièce. Je gardais toutefois cette image horrible de fuyarde qui finissait en statue, je ne pouvais me faire à l'idée d'une telle cruauté bien que ma nature était froide envers les autres.

Je continuais de marché, le regard vide, perdu dans mes pensées dans le dédale de couloirs jusqu'à me rendre devant deux portes richement ornés. Contraste à la sobriété globale des lieux, la tentation ne pouvait qu'être là pour me faire ouvrir la porte. Avec surprise, aucun grincement tandis que s'ouvrait devant moi ce qui avait tout l'air d'une salle de bal magnifique. Des tentures bordeaux, vertes et dorées ornaient les murs, une touche de couleurs agréable dans cette demeure qui inspirait bien plus le maléfique que l'accueil chaleureux. De longues tables aux nappes assorties aux couleurs des tissus étaient disposés le long des murs mais rien n'y était posés, tout à fait logique puisqu'il ne semblait y avoir personne en ce lieu. Les frissons et courant d'airs avaient repris de plus belle en cet endroit et je décidais de retourner explorer, toujours en quête d'explication ou de trouvailles impressionnante. Je refermais derrière moi puis empruntait un nouveau corridor, laissant mes doigts glisser sur le mur à ma droite, sentant les reliefs de la pierre froide dont sont fait les murs. Une énième porte que j'ouvris et y entrait avec empressement, plus vite je regardais et plus vite j'irais à la suivante. Mais cette fois il y eu un déclic de métal derrière moi, la porte se refermait et de lourde poutre de bois me barrait la route. Un rapide coup d'oeil autour de moi me fit comprendre que j'étais prisonnière, il me fallait m'aventurer dans ce qui semblait être un labyrinthe vu l'étroitesse du passage où je me trouvais. Je me plaçais à genoux sur le sol pour réfléchir à la meilleure méthode pour ne pas me perdre. J'avais beau ne pas avoir de rendez-vous prochainement, je ne souhaitais pas y passer des jours à essayer de sortir tout en passant et repassant au même endroit. Je jouais des doigts sur mes jambes puis effleurait mes kunaïs placé dans leurs étuis de cuir de chaque côté de mes mollets. «Voilà mon ticket de sortie...»

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Dim 17 Mar 2019, 19:55


Je me relevait sans attendre tel soumise à une poussée d'adrénaline, la pointe de mon arme sur le mur à ma droite avec une pression suffisante pour en marquer la surface. En tournant toujours du même côté et en indiquant où je passais, je ne pouvais pas me tromper car il était ainsi possible de savoir si je passais deux fois au même endroit. Confiante, j'entamais la marche d'un pas rapide, voir presque à la course pour ne pas m'éterniser dans ce piège que j'avais bêtement franchie. La disposition me semblait presque impossible, cette série de dédale allant à gauche et à droite, parfois court et d'autres long, comme si le lieu n'avait pas de fin et voulait rendre fou voir faire mourir de peur quelconque claustrophobe qui avait le malheur d'y mettre les pieds. L'envie ne manquait pas d'essayer de percer un trou dans le mur avec mon arme, il me suffisait ensuite de la faire grandir en diamètre pour voir de l'autre côté. Déjà la ligne sur le mur était permanente et je devais savoir si une sortie existait réellement. Le temps me semblait si long à parcourir ce labyrinthe, j'en perdais à la fois ma vitesse de marche et ma concentration, las de ce parcours sans fin. Soudain ma lame provoquait un déclic sur le mur, je m'arrêtais pour voir ce dont il s'agissait mais ce fut là mon erreur ! Le sol se dérobait sous mes pieds et je me m'y à glisser de plus en plus vite. J'essayais de planter ma lame dans le haut de ce tunnel mais je ne provoquais que poussière et débris tout autour de moi. L'impact fut rude, un nuage de sable sous le mouvement rapide de mon corps qui roulait jusqu'au mur pour s'y arrêter. Le sol était froid, de la pierre sans doute, une maigre fenêtre au sommet de la pièce avec des barreaux pour en restreindre l'accès. Je pris un moment avant de me relever, endolorie et perturbée, un coup d'oeil par la fenêtre ne montrait qu'une brume opaque et de l'autre côté une grille avec une porte. «Me voilà au cachot... et je suis pas la première ici...»

En me relevant, la visibilité était plus claire avec la poussière qui retombait et dans le coin de la pièce se trouvait un squelette. La vermine avait dû se faire un festin et il n'était plus que le souvenir d'un individu passé. Je me secouait la tête pour reprendre mes esprits et me dirigeait vers la grille pour atteindre le verrou, y faisant pénétrer ma lame pour en mouler le chemin et devenir la clé de ma liberté. Il était temps de reprendre l'exploration et sortir de ce lieu dès que possible, j'en avais déjà assez vu et rien ne semblait me guider vers une réponse pertinente. Si un lien existait entre les corps de la Mer Maudite et cet endroit, ce n'était pas une pure évidence et personne à interroger en prime. «Je déteste tourner en rond, retourner à ma forge pour battre le fer me manque...» Je cherchais un escalier pour retourner à l'étage de la sortie, l'endroit était plus froid et limite lugubre, je ne regardais pas à travers les autres geôles pour ne pas y trouver d'autres défunts. À la place d'une échelle, ce fut une échelle de bois qui fit office de remontée, j'haussais les épaules et grimpait pour pousser la trappe du plafond. L'effort fut considérable et un fracas annonçait mon succès, une statue venait de s'écraser au sol, fissurer à plusieurs endroit par l'impact. Je refermais aussitôt derrière moi et m'éloignait sans plus attendre, je suivais la lumière au bout du couloir, espoir d'une sortie rapide. L'envie me prenait même de sauter par la première fenêtre que je verrais pour arrêter de ressentir ses courants d'airs qui effleurait de nouveau ma peau. Mon empressement s'arrêtait devant une porte avec un écriteau, le premier selon mes souvenirs jusqu'à présent. «Jeu Grandeur Nature... » Je restais là à regarder la porte, hésitante à faire une entrée après l'épisode du labyrinthe et de la cellule. Le jeu pouvait avoir un tout autre sens ici, l'idée que c'était au dépend des humains à chaque fois s'incrustait de plus en plus dans sa tête.


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Dim 17 Mar 2019, 20:32


Je posais la mains sur la poignée pour ouvrir la porte, la vue d'un immense échiquier s'ouvrait devant moi. Je passais la tête par l'embrasure pour jeter un oeil vers le haut alors que deux autres étages de verres était là avec le motif d'échiquier, trois étages d'un même jeu mais aucun pion de présent. Par jeu grandeur nature, s'agissait t'il d'un endroit où c'était de véritables personnes qui y bougeaient ? Je ne voulais pas en savoir plus et refermait aussitôt l'accès à ce jeu plus que compliqué pour moi. Je rôdais dans les couloirs, perdue dans la grandeur de ce château, je cherchais des points de repères sans véritable succès. D'un côté l'impression d'être déjà passée et de l'autre que des objets n'était pas là lors de mon premier passage. Pourtant je n'avait vu ni entendu personne durant cette promenade sans fin dans les couloirs et pièces diverses.  J'en choisie une dernière, pour le plaisir d'une autre découverte même si elle pouvait s'avérer lugubre. C'était une immense bibliothèque sur deux étages, des rayons et des rayons de livres, méticuleusement classés par thème, par auteur puis par titre. Un bref coup d'oeil me ramenait à des sujets déjà croisé ici et là, nécromancie et malédictions humaine était les plus courant. Magie et sorcellerie, potions et poisons, tout était à l'honneur dans cette archive titanesque d'informations. Je circulais à travers les rangées, curiosité d'y trouver un livre sur les forgerons de l'ancien temps, je regardais selon les thèmes mais sans succès et je n'avais pas d'auteur en particulier sur la question. «Dommage, peut-être si une personne s'occupait de l'endroit, j'aurais pu avoir de l'aide mais tant pis.» Au bout de la pièce se trouvait une porte qui devenait ma sortie, débouchant sur une couloir très lumineux versus le reste de l'endroit. J'appréciais cette chaleur du soleil qui caressait ma peau, contraste de cette fraicheur régulière qui venait me faire frissonner.

Je me retrouvais à nouveau devant les portes de ce qui semblait être la salle de bal, j'y entrais pour en apprécier de la splendeur encore une fois. Je m'avançais jusqu'au centre pour mieux regarder autour de moi, les détails n'étaient plus les mêmes, des masques s'étaient ajoutés sur les murs depuis mon premier passage. La quantité était impressionnante et leur présence en était d'autant plus étrange. Je n'avais toujours pas croiser la moindre âme et pourtant la pièce avait changé. Les tables avait maintenant des couverts en vu d'un repas, assiettes, coupe et chandelier ornaient chacune d'elles. «Comme si une réception se prépare mais aucun invité de présent ni d'employés pour mettre en place... je n'y comprend rien à rien. » Curieuse et désireuse d'avoir une réponse à tout ceci, je m'installais en tailleurs sur le sol, en plein coeur de cette salle de bal des plus magnifique. J'essayais de ne pas me laisser emporter par la fatigue et gardait au possibles les yeux ouverts pour ne rien manquer de ce qui permettait tout ce changement. Mais malgré toute ma volonté, je fermais par moment les yeux, un délai que ne pouvais compter ni les secondes ou les minutes, mais chaque fois de nouvelles choses étaient en place. Les frissons étaient à chaque fois plus intense durant ses instants d'absence, cela devenait presque une caresse agréable et réconfortante, comme un sentiment de présence et de ne plus être seule bien que je n'y voyais aucun être vivant. Je finis par m'allonger à ce même endroit, mon sac pour oreiller et m'endormir, j'avais succomber à la fatigue. Ce voyage en mer, cette plongée vers la mort, le portail et toute cette visite, je n'avais pas eu le moindre repos et mon corps réclamait une dose d'énergie nouvelle.

J'ouvris les yeux après une sieste qui me semblait des heures, le soleil ne brillait plus à travers les vitres de la pièce, une couverture avait été posé sur moi pour me garder au chaud. Toujours personne mais une salle maintenant totalement décorée s'offrait à ma vision. Magnifique spectacle et incompréhension totale, je me relevais lentement, tournoyant sur moi-même comme si je dansais, je m'abandonnais à cette ambiance festive qui n'étais pas commencé.

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[XXXII | RP dirigé] Château château, que nous caches-tu ? [solo]

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