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 A la soupe ! (solo)

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Lun 24 Oct 2016, 23:51


« Champignons ! » La fumé était épais. « Oignons ! » L’odeur persistante. « Activez vous ! » L’adrénaline exponentiel. « Vous attendez quoi ? Qu’on le fasse pour vous ? » Les hurlements incessants. Tu ignores ce qui t’as pris. Tu ignores comment tu en as arrivé ici. Perdu dans les cuisine d’une taverne à jouer les commis d’un chef désagréable et puant, appeler Cochon par ses employés. Ce qui quelque part aurait pu te mettre la puce à l’oreille avant d’accepté de faire ça. Tu as cru que ce serait une bonne chose. Tu as cru que c’était une bonne expérience et que ça valait le coup d’enduré quelque heures difficile par jour. Pour grandir il faut parfois souffrir, mais maintenant tu te demandes. Tu te questionne. Est-ce vraiment utile ? Tu n’as pas vraiment besoin d’argent. Tu n’as cas en demandé pour que l’on t’en donne. Tu ne fais pas sa pour l’or, tu le fais pour toi, et même pour ça tu regrettes maintenant cette décision. « Allez, princesse ! Ces salades ne vont pas ce nettoyés toutes seules. » Tu sens son haleine odorante percuté ton visage et tu retiens ta colère. Tu sers tes doigts sur ton couteau. Tu regardes tes phalanges devenir blanches, mais tu ne fais rien. Tu raval ta colère alors que tu sens toujours son regard pesant sur toi, et tu pause calmement l’outil de découpe sur la planche devant toi. Tu ne dis rien quand tu te retournes dans la cuisine. Tu ne dis rien quand il te jette au visage la passoire. Il se détourne dans un grognement satisfait et vas hurler sur quelqu’un d’autre, car il n’a réellement rien de concret à te reproché. Tu attrapas le panier de salade et commence à les plonger dans l’eau. Tu ne te plein à aucun moment. En réalité tu préfères ne rien dire du tout. Ça n’est pourtant pas ton genre. Resté dans ton coin, n’adresser la parole à personne. Tu déteste ça. Tu aimes le bruit, tu aimes charmé, tu aimes parler. Etre au centre de l’attention, mais ici, dans cet univers tu apprends à te taire et attendre. Attendre que les choses se tasse. Tu fais ce qu’on te dit. Tu obéi, car tu ne voudrais pas faire quelque chose de regrettable. Tu ne voudrais pas être violant et avoir des problèmes ici, dans la taverne d’Aeden la cité de ton peuple. Tu n’es encore personne dans ce monde, ça ne serait pas raisonnable de commencé à te faire connaître en prenant de mauvais choix.

Après une autre longue journée à suer au-dessus des légumes, on te fait rester pour faire la plonge. Tu sens l’eau bouillir sous tes mains, alors que ta frustration fait explosé en toi ta colère. Tu regardes l’eau bouillir et tu sens l’éponge prendre feu avant de la noyée dans l’eau chaude. Tu n’y arriveras pas. Tu penses à quitter ce travaille. Cette fois c’est la fois de trop. Autant de travail et si peu de reconnaissance. Tu n’as plus envie de faire ça pour apprendre à maitriser ta colère. Tu n’as plus envie de retenir tes émotions. Lors ce que tu vas exploser tu as peur de faire un massacre et tu finiras en prison avec du sang sur les mains que tu ne pourras laver, ni caché. Une idée stupide. « Vous n’y pensez pas ! » Il est tard, tu pensais cas par toi qui doit faire le sale boulot il ne restait personne dans la taverne, mais tu entends des voix. Une voix qui monte de plus en plus forte, tu ressens la colère de celle-ci alors que l’autre est tout le contraire. « Chef Ayo, je suis navrais, mais vous ne pouvez pas continuer ainsi, votre… » « Ca suffit ! Taisez vous ! Vous n’avez aucun droit de me parler de ma cuisine et de ma carrière de cette façon. Vous n’y connaissez rien. » Parce que tu es de nature curieux et que tu n’as rien à perdre, tu te retrouves derrière la porte, à regarder à travers la vitre. Tu vois ton chef debout, penché sur la table, visiblement fébrile. Un autre homme, le gérant des lieux, tu le sais par ce que tu l’as déjà aperçu passer dans les cuisines, assit de l’autre côté. Les bras croiser, le regard dur, fixer dans celui débordant de folie du chef. La tension entre les deux ne faisait aucun doute.

« Je vous conseille de vous calmez. » Un coup sur la table, manquant presque de la faire ce fissuré, et tu crois être prêt à assisté au meurtre du gérant. « Ne me dites pas quoi faire ! » Seulement le chef ne bouge pas plus, il reste, tremblant d’une rage palpable. Le gérant aura beau avoir tremblé devant autant de violence, il ne fit pas un geste. « Vous n’êtes plus capable de diriger correctement Ayo. Vous êtes à peine lucide quand vous cuisiner. Vous passez votre temps a hurlé sur vos cuisiniers, sur les serveurs, vous faite même peur aux clients. » Le gérant ce leva, alors que tu fixer le chef s’asseoir lentement, accablé par les accusations que tout le monde savait vrais, lui certainement le premier. Pendant un instant tu eu de la peine pour cette homme. Il semblait malheureux comme une pierre, les yeux perdus dans le vide, comme quelqu’un qui avait tout perdu. « Demain est un jour bien trop important pour la taverne, je ne peux me permettre le risque de voir notre réputation salie par votre nom. » Froidement le gérant recula sa chaise, se leva et puis jeta un dernier regard au chef. Tu pu lire dans ses yeux le débout, mais aussi une part de regret. Tu te souvins de ce qu’on t’avait recompté sur cette taverne avant de venir. C’était un haut lieu de la gastronomie, grâce à son chef Ayo, connue à travers toute les terres pour ses spécialités. Tu ne t’étais pas attendu à voir un restaurant au bord de la faillite quand tu es arrivé, son chef en déchéance. Alors que tu vois le gérant se diriger vers la sortie, tu l’entends murmurer. « Je suis navré, Ayo. » Au début tu n’y crois pas vraiment. Lors ce que tu vois le chef ce redresser, et jeté ce genre de regard qu’on ne voit que chez les fous. « C’est moi qui le suis. » En une fraction de seconde tu sens l’adrénaline monté, alors que le chef sort de nul par un couteau de cuisine et ce jeté sur le dos du gérant. Tu ne sais pas ce qui t’as pris, quand tu à aperçu l’éclat de la lame tu t’es précipités. Les portes de son ouvert, tu as vu le gérant ce retourné, le couteau à quelque centimètre de son visage avant que tu ne pousses de toute tes forces le chef et devis son attaque. Tu es tombé avec lui au sol, et tu t’es battu. Tu as donné coups après coups, encore et encore jusqu’à ce qu’il lâche son couteau. Tu es resté quelque seconde à fixer son visage boursouflé, couvert de sang. Il y eu ce sentiment qui t’envahit, ce sentiment de plaisir et de soulagement qui allégea tes épaules. Il respirait encore, difficilement, mais il était en vie et c’était déjà ça. Quand tu t’es séparé de lui, pour te retourner vers le gérant celui-ci ta fixer incrédule, comme s’il ne croyait pas ce qui venait d’arriver. Non, il n’y croyait pas, tu pouvais le sentir à la terreur dans ses yeux. Avec un étrange calme apparent tu essuie tes mains sur ton tablier. Tu trembles, mais tu sais comment le cacher. L’homme ne le vois pas, il fixe les yeux écarquiller le corps à terre. Cette homme avait échapper à la mort de si peut. C’était une chance que tu sois là.

Tu as l’habitude de vivre ce genre de situation. Post accident. Quand l’adrénaline retombe et que tu ressent toute la culpabilité humaine, le choque resté dans ton cerveau. « Venez. » Tu fais assoit le gérant à une table. Ramasse le couteau et t’assure qu’il soit loin du chef quand il se réveillera. Tu vas chercher une bouteille d’alcool. Le plus fort que tu trouves, et tu en sers deux verre, un pour toi, un pour le gérant. Tu le bois cul-sec. Il te fixe, puis fait de même sans hésitation. Sa main tremble tellement que ça en ai presque comique. Après un long moment de silence, entre couper par les faibles gémissements de douleurs du chef à terre, le gérant fini par parlé. Bien qu’il essayait de faire bonne figure, tu pouvais entendre le tremblement dans sa voix. Tu ne li en tenait pas rigueur, tu n’étais pas dans un bon état toi-même. « Je n’avais pas imaginer qu’il soit capable d’une telle chose. » Tu souris légèrement. Par ce que tu penses que l’homme devant toi est stupide. Tu le sais. « Le désespoir nous fait faire bien des choses Sir… » Tu attends qu’il se présente, il te regarde comme s’il venait de réalisa sa stupide erreur. Pourtant il ne dit rien à ce sujet, et tu penses que c’est mieux ainsi. « Drake, Jul Drake. » Tu tends la main au-dessus de la table, il la prend en dépits du reste de sang séché qui si trouve. « Shen-Khan. » Il sert énergiquement et te sourit. « Je vous doit la vie Shen-Khan. » Tu hausses les épaules et te sert un nouveau verre qui te brule la gorge, comme le précédant. Tu ne peux pas avouer que cela ta soulagé, que tu attendais ça depuis la minutes où tu es rentré ici, que tu à du te retenir pour ne pas le tuer. Non, tu ne peux pas. Parce que tu es un élémental, tu n’es pas supposé être ainsi au milieux de tes semblables. « Je vais devoir trouver un nouveau chef. » Le gérant avait certainement dit ça pour lui, et tu ne comprends pas pourquoi il partage l’idée avec toi, comme si tu avais la réponse. De plus tu avais cru comprendre que c’était déjà l’idée avant que tu ne le mettes à terre, qu’il était renvoyé pour laisser place à un autre. Après un long moment dans le silence froid de la nuit, le gérant fini par se lever et te tend à nouveau la main. « J’espère vous voir demain ici Shen-Khan. J’aurais un travail spécial pour vous. » Tu le vois partir et tu ne dis rien, quand quelques heures plus tard tu fini ta vaisselle et vois des hommes en noir emporté le corps abimer du chef. Tu n’as pas le souvenir de l’avoir revu un jour après ça.

Le lendemain. Enfaite à peine quelques heures plus tard, car avec tout ça tu n’as pas beaucoup dormi, tu reviens à la taverne pour un nouveau jour de travaille. Tôt, très tôt comme toujours, tu ne t’attends pas à ce que la salle soit nettoyé. Tu ne t’attends pas non plus à l’armé d’employé que tu trouves en rang et le gérant qui vérifie un à un leurs uniformes. Tu le vois te regardé et te sourire. Puis tu fini assit à une table devant une multitude de plats différents. A ton regard emplis de question, la seule réponse du gérant fut « En échange de ma gratitude. » Tu comprends alors qu’il t’a choisi pour gouter les nouveaux plats de la taverne. Tu comprends aussi que ce jour est important car le Conseil des Esprits vas se tenir entre ces murs et que c’est extrêmement important pour l’avenir de la taverne. Tu souri à ta chance et goute élégamment chacun des plats pour donner tes pensées et tes idées. Tu réalises que tous ces jours de travailles, à te faire insulté et à enfouir en toi ta colère a fini par payé. Que tu mérites d’être là, et tu en profite avec toute l’arrogance dont tu es capable, mais le gérant t’apprécie et il t’écoute. Tu as réussi à mettre une personne importante dans ta poche, et tu en es fière, car tu n’as rien fait pour.

1990 mots

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