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 Liberté, liberté chérie [Solo • Nv5 • Parti 1]

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Ven 14 Oct 2016, 16:46


Liberté, liberté chérie [Solo • Nv5 • Parti 1] En_tei14


Sous l’ombre des arbres, il était bon de sentir la légère brise chaude glisser sûr sa peau. Dans cette zone d’espace temps où tout été figer. Où ni le jour, ni la nuit ne venait voir ses heures passer. Dans un de ces rares endroit où les saisons ne reflètent pas le temps qui s'écoule, mais fête la vie. Les secondes avaient beau s’évaporés, les arbres ce dénuder aux portes de l’hiver, fleurir à la première lueur chaude de l’été, le temps ici étais figées. Aucun besoin de se hâter, aucune crainte ou appréhension. Les choses étaient calmes et apaisante. Juste simple. Comme il l’avait toujours souhaité. C’était un lieu parfait. Un endroit qu’il avait chercher toute sa vie, même sans le savoir. C’était chez lui. Par ce qu’il aimer le bruit et le chahuts des corps vivant autour de lui, mais il apprécier plus encore le silence et la solitude. Ici étais son endroit. Celui dans le monde qu’il choisissait par dessus tous les autres. Ca avait prix plusieurs siècle pour trouver ce lieu de paradis. Loin du tumulte des peuples, loin des dangers de la diplomatie, protéger des prédateurs déguiser en politiciens. Oui, ici étais ce qui reflété le plus un paradis. Son havre de paix. Un jardin vierge de toute violence et de toute épreuve. Loin des rois et de leurs égaux, loin des Dieux et de leurs guerres, loin des Hommes et de leurs stupidités. Zéleph étais seul dans son Eden, et il désirais le rester.

Au bord de l’eau, à l’orée de la foret derrière lui, il contemplé le remue perpétuel des vagues venant lentement s’abattre sur la terre. Il aimait cet endroit pour sa simplicité. La place laissait voir derrière elle un vaste horizon d’océan, calme et reposant. On pouvait imaginer tans de choses sur ce qui ce passer sous cette surface tranquille. On pouvait divaguer pendant des heures sur la vie sous-marine, juste par son séduisant mystère. Il y avait les bois derrière lui. La forêt, verte, bruyante, vivante. Il aimer l’odeur des herbes, les parfums d’écorces et de terres. Cette vie authentique, sauvage, dur et pourtant splendide comme aucune autre. Il aimait se sentir vivant. Ses sens ouverts devant cette nature qui ne portait ni mensonge, ni tromperies. C’était juste de la terre, des plantes et du vent. Des choses vraies. Du palpable, réel et rassurant. Il avait trouvé cet endroit il y a plusieurs mois maintenant, et il en était heureux. Dans sa solitude. Face a lui même.

Ses journées ressemblaient à ces jours ennuyeux qui n'intéresse personne. Car les gens désire de grandes histoires. Des batailles, des héros, du charnel et du sang. Les peuples parlaient tous de souffrance plus que de joie. Dans quel but autre que celui de ressentir cette fierté malsaine, de chercher l’empathie chez les autres, leur faire peur ou les impressionner, les hommes écrivaient des légendes sur le malheurs du monde ? Ce repaitre de sexe et de sang. Voie qui n’étais plu la façon dont le réprouvé voyait son univers. Non, il avait donné en légende. Il avait vécu plus que beaucoup n’as jamais osé rêver de gloire, d’argent et de femmes. Avec tans de douleur, de chagrin et de regret que lui seul savait Ô combien cela en valait si peut la peine. Il fallait être lucide. Les Hommes ne lisait dans les livres, et n’entendais dans les histoires que ce qu’ils aimaient entendre. Ils ne voyaient pas les sacrifices, l’horreur et la souffrance qui étais le prix de tout ça. Non, car ça n’étais pas écrit. Ca n’était pas dit. Par ce que personne ne voulait entendre ça. L'abomination n'excité aucune foule. Personne n’avait idée. Tous ce qu’ils voulaient entendre c’étaient les richesses, la gloire, et les plaisir que vivaient leurs « héros ». C’était irrévérencieux, naïf et prodigieusement stupide de leur part, mais l’humanité était ainsi faite et rien ne pourrait changer ça. La seule solution qu’il avait trouvée, était son choix de vie. Ce choix de vie simple et ennuyeux qui n’intéresserais aucun publique, et qui pourtant celons lui étais le plus courageux à choisir.

Jadis il c’étais construit une cabane dans les auteurs des terres d’émeraude, mais là comme par tout ailleurs, l’ombre du pouvoir et de la violence est venu ce nourrir de la cupidité des peuple vivant là. Rongent la terre et les hommes comme la gangrène qu’elle est. Une terre proclamé sienne par un peuple, qu’il soit pacifique ou non, étais une terre vouer à la destruction. Il avait abandonner ce lieux il y à bien longtemps et ne le regretter pas, malgré les souvenirs qui avait habiter ces murs. Comme à l’époque, quand il construisit de ses mains son chalet, il fit la même chose ici, dans son petit bout de paradis. Au bord de la plage, le front tourné vers l’air salé, le dos tourné aux mystères de la forêt. Ca n’était pas grande chose. C’était rustique et modeste. Juste ce qu’il lui fallait. Comme se qui il étais. Loin des terres souveraines, perdues sur une carte qu’on aurait pu appeler « nul part ». Sur une terre neutre, qui n’appartenais à personne. Personne cas lui qui habiter ici, dans la paix et la tranquillité.

Devant sa maison, il y avait un ponton auquel étais attacher une barque. De temps à autres il aller pêcher, pas trop loin, juste assez pour trouver des poissons de bonne taille. Le matin, après avoir chauffer son café, il s’asseyais au bout du ponton, ses pieds touchant à peine l’eau, et il médité les yeux perdu dans l’horizon. Une fois le soleil sorti du grand bleu, sa cigarette fini et sa tasse vide, il ce lever pour rentré. Il ce baigner souvent dans la petite rivière à dix, peut être quinze minute de marche. Traversant la forêt, pour atteindre le point d’eau où il ce décrasser de ses journées de labeurs, et ramener de l’eau potable. Souvent en début d’après midi il faisait le tour de sa maison, vérifiant si il n’y avait rien a réparés, si les poules étais toujours dans leur enclos derrières la maison, si les pièges a renard n’en avait pas pris un. Il ramasser ses œufs, puis regardé son potager. Des tomates, quelques carottes, des pommes de terres, et quelques quatre plants de légumes. Juste assez pour lui, pour vivre sans avoir à aller en ville. Certaines journée il oublier de nourrir sa jument. Une gentille bête un peut fatiguer par ses voyages, mais toujours de bonne compagnie. Elle venait voler les pommes qu’il garder dans un panier à l’extérieur, et il me la réprimandé jamais, ayant conscience de ne pas toujours être un bon maitre. La vie de Zéleph quand il était ici était bonne, et il l’aimait dans sa simplicité la plus pure. Les jours où il pêcher, les jours où il chasser, ou celle où il jardiner. Il était bien, et c’était paisible d’êtres loin de tout, de ne penser à rien d’autre que ce qu’il pourrait faire aujourd’hui pour rendre son quotidien plus confortable. Il recevait son courrier par corbeaux, le plus souvent ses lettres venaient d’Ethen ou bien des Corvus Aeris. De temps en temps il en recevait de son vieil ami l’Orishala, et puis c’était tout et ça lui suffisait. Quand les Chasseurs avaient besoin de lui, il venais a eux en mission, et bien que ce soit rare, aucun maitre n’avais mit d’objection à ce que les choses ce passe ainsi. Zéleph fut un grand souverains, il eu une vie remplis et fatigante et après avoir fait ses peuvent au sains de la guilde des chasseurs, les maitres avaient juger qu’il n’étais pas utile de le retenir. L’essence même du réprouvé étais son désir de liberté, il aurait étais stupide d’attacher un animal sauvage comme lui, et ça les maitres l’avais bien compris. Ethen n’avais pas dit un mot quand il lui avait annoncé. Peut être fut elle déçus, il n’en avait aucune idée, mais elle comprenait que c’étais son choix et qu’il étais juste. Il avait confiance en ses capacités. Ethen avait encore besoin de lui en temps que chasseuse, mais pas en temps que guerrière, et de par ses lettres il savait qu’elle voyager et qu’elle forger sa propre destiner. Il était heureux de lire ses mots, ses découvertes naïves et innocentes du monde. Il aurait souhaité connaître ça avant, mais il ne pourrait jamais revenir en arrière, et ne regretter aucune de ses action en vers ses autres enfants. L’humaine étais certainement arriver au bon moment, et par ce qu’elle n’espérais rien de lui et qu’il n’avais rien a lui offrir, ils savaient s’apprivoiser et ce comprendre.

Le réprouver stoppa un instant d’aiguiser son arme, et leva les yeux pour regarder le nuage cacher les rayons du soleil, ne faisant que passer. Essuyant la sueur sur son front, avant qu’elle ne gagne ses yeux, il esquissa un sourire. Il étais si seul que la seul chose qui pouvais perturbé ses activités n’étais que les caprice de la nature qui l’entouré. Et c’était une sensation délicieuse. Il aimait ça. Il aurait souhaité le partager, il y pensé souvent. Dans les rayons du soleil, dans le vert de la forêt, dans la caresse légère du vent. Ses idées et ses rêves étaient trouble d’une silhouette qui ravivait une douleur intense. Alors il s’efforcer de s’occuper l’esprit, d’éloigner la mélancolie pour ce sentir vivre a nouveau. Le soir il s’asseyait sur la porte de sa cabane, dans une chaise en bois robuste et profonde. Il regarder le coucher de soleil, et puis parfois les reflets lunaires naitre à la surface de l’océan. Il fumer tranquillement, profitant de sa solitude. Quand l’envie lui prenait, pour calmer sn esprit il lisait. Des livres de poésie, d’autres d’histoires sur son peuple, sur les terres, mais ce qu’il préférais étains ceux comptant des fiction de guerre et de stratégies. Il comprenais que l’ont puisse aimer ça, il étais lui le premier un grand fanatique, mais les vrais légendes sur son monde ne l’intéresser plu de puis longtemps. De puis qu’il avait compris que ça n’était toujours qu’une vérité arranger.

Quand il rentra dans sa cabane, il ressentis toute la solitude sur ses épaules, et pourtant il n’en fus pas accablé. Peut-être prendrait-il un chat un jour. Pour avoir quelqu’un à qui parler. Pour pouvoir divaguer sans avoir la sensation de devenir fou. Avant de ce coucher, il faisait toujours la cuisine. Un fais que peut de gens savaient sur lui, étais qu’il adoré la cuisine, et qu’il avait longtemps travailler dans les cuisine d’un bateau. Jadis, longtemps avant de devenir ce qu’il n’était plu. Alors il faisait revenir ses oignons et ses poireau, puis défaisaient son poisson pêcher le jour même, et apprécier l’odeur monté dans la cabane et embaumer son monde. Il manger dans le silence, appréciant le bruit des vagues et le chant des chouettes. Il finissait toujours nue sous ses fourrures ou ses draps, par fois il porté quelque chose, par confort, mais en réalité cela lui étais égale. C’étais si seulement il avait le courage de tout retiré, où si il tomber simplement dans son lit, épuiser par ses journées. Oui, peut être que la vie de Zéleph Stark paraitrais ennuyeuse pour beaucoup, mais elle étais ce qu’elle étais, et elle lui suffisait comme ça. Maintenant libre de son peuple, libre de ses obligations de Corbeaux, il étais le seul maitre de lui même et de son univers, et c’étais tout ce qu’il avait toujours souhaité.

1907 mots.
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